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20/02/2023

un tableau montrant des gens conscients de leur condition humaine et donc qu'ils sont condamnés à mort

la vie - condamée à mort.jpg

19/02/2023

Viroj kaj virinoj - la diferenco, jen la

TIKLEMUL’ KAJ GRUMBLULIN’

far GOTAINER

 


Plenridet’ kaj okulumad’
Ludhumur’ kaj ĉiam ŝercem’ :
Li la tiklemulo !

Paŭtanta pro ĉia ajn kaŭz’
Kritikemeca la humur’ :
Ŝi la grumblulino !

Tiklemul’ kaj Grumblulin’ !


Li bonule promenadis
Aŭ svingbrake aŭ man’ en poŝ’
Lia harpia karulin’
Sekvadis kun mallaŭda vip’.

Senripoze aŭdiĝis
Ŝia grumbl-argumentaĉad’
Li respondis per mokaĵoj
Li rebatis per ironi’.

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ fajfis,

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ furzis.

Laŭtempe li poetis,
Li babilis pri papili’;
Ts ! al ŝi estis kapdolor’.
Ts ! aŭskultu al l’televid’.

“ Mutu ja! ĉu vi frenezas ?
Infano vi estas ne plu !
Dum vi staras sidiĝu nu !
Piedviŝu, restu pura l’plank’ ! “

 

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ fajfis,

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ furzis.


Li fajfis „kristal-perloj“, dum
Pilolojn glutadis ŝi
« Vidu l’stelon ! », ekkriis li,
« Metu ŝalon » respondis ŝi.

Ŝi ne ŝvebis pli alte ol
Sia plejalta frizilo.
Dum li kuŝe sur sia dors’
Revis pri mil-unu noktoj.

Ĥĥĥĥ
Ĥgrrrrm !

Ŝi : la grumblulino !

Plenridet’ kaj okulumad’
Ludhumur’ kaj ĉiam ŝercem’ :
Li la tiklemulo !

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ fajfis,

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ furzis.

(refoje)


17/02/2023

ceux qui se radicalisent en vieillisant

comme Susan George, j'"apprécie beaucoup les gens qui se radicalisent en vieillissant" (à l'inverse de ce que font couramment tant de gens!!! tant d'autres gens, qui sont autant de nauséeux contre-exemples, je ne citerai pas de noms ! rien que ça, ça peut constituer un argument à la faveur de cette opinion).

Si les pays impérialistes comme la France ont pu maintenir pendant quelques décennies un relatif confort de vie à ses esclaves salariés, ainsi qu’une mascarade de «démocratie», cette période est définitivement révolue. Chaque jour, ce système apparaît de plus en plus sous son véritable visage, entièrement dévoué aux intérêts d’une minorité de parasites au détriment des besoins, de la vie et de la santé de tous.

 

 

 

15/02/2023

Alphonse Esquiros

j'avais prévu ce billet pour le 15/12/2022 - la "saint Zamenhof" ! - mais comme des espérantistes il n'y en a plus ou ils sont comme les cathos : ils ne savent même plus lire l'Eo c'est juste un attachement "identitaire" !! de bourgeois crédules et arrogants, je le publie maintenant !

Aŭtoro, maljuste forgesita (kaj tiu fakto pensigas, pensigas pensigas multe ....) de la meza 19a jarcento.

Li parenteze verkis poemojn, interalie tiujn versojn, kiujn mi esperantigas ĉisube :

 

Dio, dankas vin mi, revula pigrulo
Ke min vi irigis el la senekzisto !
Tiuj ne naskitaj ne vidis la stelojn,

 

mi aldonus, tiuj kiuj vidis la stelojn, kaj poste mortis, estas ekzakte kiel tiuj, kiuj ne naskiĝis, neniun memoron ili havas de la steloj, kiujn ili vidis, eĉ de ili mem.

 

en français pour les non-espérantistes et les "espérantistes" qui ne savent pas lire l'Eo !!! (...)

Alphonse Esquiros, un auteur injustement oublié (et voilà un phénomène qui donne à penser, et vachement beaucoup penser ....
SI on a une cervelle, et un cœur.) du milieu du XIXè siècle

Il a, soit dit en passant, écrit des poèmes, entre autres ces vers dont je donne ci-dessous une version en Espéranto

faute de retrouver le texte français je retraduit : Moi rêveur paresseux te remercie Dieu/ Toi qui m'a tiré de l'inexistence/ Car ceux qui ne sont pas nés n'ont pas vu les étoiles !

à défaut un autre  : Qu'est-ce que la vie ?

Poète : Alphonse Esquiros (1812-1876)

Recueil : Les hirondelles (1834).

Depuis bientôt vingt ans, je passe sur la route ;
Mes yeux regardent tout et mon oreille écoute ;
Deux rois ont laissé choir leur couronne à grand bruit.
J'ai vu tout pouvoir vain, toute gloire éphémère,
Et la fleur qui bourgeonne à cette plante amère
Ne fait jamais de fruit.

L'Europe a donc quinze ans sué sans prendre haleine
Pour qu'un homme, à la fin, mourût à Sainte-Hélène !
C'est là le dénouement de ce drame profond.
Le peuple maintenant, riant de ce qui tombe,
Nous dit : « Il faut marcher ! » Où va-t-il ? À la tombe.
De tout c'est là le fond.

Soulevez donc le monde avec votre génie ;
Moissonnez, en courant, une gloire infinie ;
Jetez les rois à bas pour monter à leur rang ;
Et vous aurez un jour, si le sort vous seconde,
Pour reposer à l'aise au vaste sein du monde
Un sépulcre plus grand.

Etreinte en son linceul au fond des pyramides,
L'Egypte n'arme plus ses cavaliers numides ;
Que nous reste-t-il donc de ces peuples si hauts
Qui firent tant de bruit en passant sur la terre ?
De vides monuments, dans un lieu solitaire,
Et qui sont des tombeaux !

Le néant est partout ; et la mort elle-même
Sur la bouche des rois est un souffle suprême ;
On s'accoutume à voir ces trépas si soudains ;
C'est le rideau baissé quand la scène est finie,
C'est un de plus tombé dans la mer infinie
Où tombent les humains.

Du sommeil à la mort quel est donc l’intervalle ?
Est-ce un nom différent quand la chose est égale ?
En visitant des morts la paisible cité,
Je dis : Quand Paris dort, au soir de la journée,
Tous se réveilleront, lui dans la matinée,

(eux non...)

(oui autrefois on se réveillait le matin au chant des hirondelles, partout, les hirondelles ont disparues, comme si elles n'avaient jamais existé, qui se souvient d'elles ? pas mêmes elles-mêmes bien sûr, et les enfants qui les entendaient n'auront même pas venus au "monde" (qui n'existe pas non plus, puisque qu'il n'existe que par la conscience qu'en on eu des "êtres" promis au néant éternel.)

 

 

14/02/2023

mort des vieux

Un couple de personnes âgées, un homme de 78 ans et une femme de 74 ans, a été retrouvé mort dimanche 12 janvier 2014 au soir à son domicile, étendu sur le lit de la chambre à coucher de la maison d’habitation sur la commune de Corrèze, dans le département de la Corrèze.
Un fusil de chasse est à leur côté. C'est leur fille qui les a trouvés et qui a donné l'alerte.
Le procureur de la République a saisi le groupement de gendarmerie « affaire criminelle ». Décrire en termes administratif glacés ce destin humain apparaît surréaliste....
«Apparemment, le mari aurait tué sa femme et se serait donné la mort». Il y aurait un homicide suivi d’un suicide.
Des constatations précises de la police scientifique et technique indiquent une blessure à la nuque pour la femme et une blessure à la bouche pour l’homme, toutes deux causées par une arme à feu.
«Une enquête de voisinage et des témoignages révèlent que l’homme avait un caractère dépressif, [c'est à dire lucide ...] mais que rien ne laissait présager un tel acte. ».
L’arme de calibre 16 est un fusil de chasse, qui appartenait à la famille. Elle aurait été rechargée après le premier tir. La femme aurait pu être tuée dans son sommeil.
Le couple vivait seul, dans une maison isolée. Le dernier contact téléphonique, le même jour, avec la famille, n’a rien laissé transparaître. Pourtant plus tard, d’autres appels resteront sans réponse. Voilà pourquoi leur fille se serait déplacée. Une autopsie sera réalisée certainement aujourd’hui, à Limoges. La chronologie n’a pas été établie.
Etc,etc

un jour peut-être vous mourrez comme ça,
ce qui veut dire que vous êtes déjà morts,
écoutez le bon sens, l'intelligence, de Montaigne :   «    Vivre    longtemps    ou    peu    de    temps,    c’est    tout    un  au    regard    de    la    mort.    Car    ni    le    long    ni    le    court    ne    peuvent    s’appliquer    aux   
choses    qui    ne    sont    plus    » (MONTAIGNE)

12/02/2023

le sexe hier et aujourd'hui

Une petite suite à changements dans le vocabulaire :

le changement du sens des mots témoigne du changement dans la société et ses mœurs. Autrefois on utilisait abondamment de mot “sexe” très librement et sans problème, car ce terme n’avait rien de pornographique, contrairement à ce qu’il est devenu maintenant.
Dans une société où le fait d’être homme où femme entraînait des vêtements différents, des rôles sociaux différents, des comportements différents, un aspect physique différent, un caractère différent, etc, le mot sexe - je rappelle que ça vient tout bonnement
du latin sexus, pour sectus, section, séparation. - n’avait dans 99 % des cas nullement la signification qu’il a de nos jours : organe de la copulation ! Et était utilisé couramment et très librement, aussi bien par les femmes, qui parlaient sans gêne des grâces de leur sexe car ça n'avait rien de porno.

Mais notre époque, à force de féminisme exacerbé, a exigé de supprimer, interdire et diaboliser toute différence quelle qu’elle soit entre hommes et femmes, mis à part la différence dans les organes de la reproduction ! On a réduit les deux sexes à leurs organes copulatifs. Résultat le mot « sexe » de nos jours n’a plus le même sens qu’autrefois, maintenant il désigne en anglais  le coït  (to have sex), et en français « organes de la copulation ». Effectivement ça change pas mal !

10/02/2023

pauvres Übermensch menacées !

Il y a quelque chose à quoi font penser les féministes de maintenant, leur éternelle complainte sur l’oppression de LA femme. C'est à  celle que serinait à l'époque l’Allemagne de Hitler, qui se plaignait, pauvre Allemagne ! race supérieure, seule civilisée, porteuse des valeurs de l'humanité, d’être constamment menacée, dans son existence même, d’être persécutée par les méchants tchèques, les pervers polonais (c’est pour ça qu’il a envahit la Pologne, pour protéger les malheureuses minorités allemandes sans défense victimes des atrocités de ces vilains polonais !), opprimée et injustement rabaissée par les vilains juifs, ou ces horribles communistes ! L’Allemagne réduite à se battre pour sa survie, la survie de la race supérieure, la seule qui soit civilisée et non vile et grossière, la seule qui sait « maîtriser ses pulsions », menacée dans son existence même par les infâmes hommes inférieurs violents et vicieux. Les femmes, qui sont des Übermenschen, bien entendu ! personne n’oserait le contester de peur de se faire piétiner et jeter en prison ! sont de même sans cesse menacées d’oppression par ces infâmes êtres inférieurs : les hommes.

« C’est en tout cas ce que souhaitent les représentants du mouvement féministe. Parler de politique de genre, de quotas de genre [ et pourquoi pas de quotas d’origine sociale ???! ça porte pourtant bien plus à conséquence !] et d’égalité des chances »

déjà, de parler « des chances » c’est un discours de DROITE ! Typique Et c’est raciste, essentiellement, et basé sur des critères darwiniste ! Les féministes sont des bourgeoises carriéristes.

racisme misandre encore et de plus en plus - on devient les noirs du Sud Profond US

http://www.israelshamir.net/French/Unmanning-Fr.htm

 

ah oui ? les bonnes-femmes on va garder une "distance physique" face aux inconnus (de sexe masculins ! les inconnus de sexe féminin non ! ah bon ? ah mais oui c'est bien connu les hommes sont des être inférieurs, et pervers par nature - à exterminer ? - indigne de marcher sur l'ombre des ces Übermensch supérieurs que sont les femmes)  Eh bien on va aussi garder une "distance physique" avec vous, n'essayez pas de demander l'heure ou un renseignement on va passer notre chemin loin de vous en pressant le pas, vous vous démerderez comme vous pourrez, et ne vous plaignez pas de vous retrouver dans la solitude, c'est vous qui l'avez voulu. Il n'y a pas de raison que ça soit toujours les mêmes qui trinquent, la justice et la réciprocité c'est la règle de la morale kantienne "que la maxime de ton action puisse être érigée en loi universelle", et n'oubliez pas la troisième "que l'humanité en toi comme dans les autres soit toujours un but et jamais un moyen" Il n'y a pas de raison que ce soit toujours les mêmes qui soient ravalés au rang de parias ! oeil pour oeil dent pour dent disait le livre  d'une religion tribale du temps passé. Vous aussi on va vous traiter comme de dangereuses bestioles dont on s'éloigne en vitesse.

Si vous préférez les machines, et les flics, grand bien vous fasse. de toutes façons vous n'avez pas un gramme de conversation ni de culture, donc on ne perd pas grand chose.

09/02/2023

"Je préfère être condamné (…) plutôt que trahir ma conscience"

Le procès de Mgr Pican evêque de Bayeux, c'était en 2001

"Je vous félicite de n’avoir pas dénoncé un prêtre à l’administration civile. Vous avez bien agi, et je me réjouis d’avoir un tel confrère dans l’épiscopat, qui (…) aura préféré la prison plutôt que de dénoncer son fils prêtre." Ces mots, datés de 2001 et révélés jeudi par la revue catholique critique Golias, sont signés du cardinal Castrillon Hoyos. préfet de la Congrégation pour le clergé, chargé de tous les prêtres à travers le monde.

On lui (à Mgr Pican) a reproché d'être « psychorigide » et de refuser à se « remettre en cause », traduisez : à suivre les consignes du pouvoir, Jésus aussi a refusé de se remettre en cause, il a même été crucifié à cause de ça, et il a obstinément refusé de jeter la première pierre à la femme adultère (ce qui était dans la société où il vivait considéré comme une chose aussi criminelle que la pédophilie à l'époque actuelle), et il s'est attiré par là autant de désapprobation et de mépris que Mgr Pican.

le tribunal, le procureur, les journalistes unanimes (d'ailleurs si un journaliste aurait osé dire le contraire n'aurait-il pas été viré aussitôt ?) ont appelé à ce qu'il dénonce les agissements à lui avoués par l'abbé René Bissey, mais il n'y a pas que les enfants qui sont en danger de vivre un enfer, et la culture de la délation à tout prix c'est quand-même quelque chose qui a caractérisé ce type de société : http://tpe-staline.wifeo.com/terreur-et-delation.php et celui-ci : http://clio-cr.clionautes.org/la-delation-dans-la-france-... (à l'époque ce ne fut pas les prêtres mais plutôt les juges et juristes qui ont, massivement - l'obéissance à la légalité instituée c'est professionnel ! - su, eux ! "se remettre en cause" et approuver, par exemple, la délation des juifs).

07/02/2023

le mythe de la féminité


L’« éternel féminin » et toutes les idéalisations qu’on a fait de la femme ce sont des mythes d'hommes en fait ; ça ne correspond pas du tout à la réalité, les femmes ne sont pas du tout comme ça. Dans la réalité il suffit de travailler ou de vivre avec elles pour s'en rendre compte. Dans la réalité elles sont matérialistes, dures, susceptibles et méchantes, superficielles, conformistes, menteuses et calculatrices.
Les féministes n’ont pas tort de dire que le mythe de la femme est un piédestal bâti par d’autres qu’elles (par les hommes) et que (dans le passé) on les a sommées à représenter comme étant leur être même, alors que ça ne correspond pas du tout à leur nature réelle (et c’est pourquoi elles sont devenues fausses, artificielles, comédiennes, hypocrites, s’auto-surveillent, jouent un rôle) mais tout simplement aux aspirations les plus profondes des hommes, qui les avaient cristallisées (lisez  le texte de Stendhal sur la "cristallisation") sur les objets de leurs désirs. 

L’étude de ce mythe nous dit quelque chose sur les hommes, pas sur les femmes, ce mythe reflète la nature profonde des HOMMES, étouffée elle aussi sous les conditionnements sociaux qu'on leur a sommés de respecter, et qui ont cristallisé sur les femmes de leur vie ce rêve inassouvi (relisez le poème de Vigny là-dessus http://miiraslimake.unblog.fr/2016/06/14/vigny-avait-prevu/)

 

 

 

( NB : On avait dit (par exemple Simone de Beauvoir "Le deuxième sexe") que les défauts des femmes étaient la conséquence de la condition qui leur avait été faite par les hommes. Mais regardez ce que j’apprends :sur les enfants de B******* (IA ***** Bureau **) : la fille (3 ou 4 ans) est sans scrupules, tricheuse, ne pense qu’à elle, le garçon est droit, presque trop, généreux, bonne pâte.
Déjà à 6 et 4 ans la nature des femmes apparaît. Là on ne peut pas parler de conditionnement social et encore moins des conditions d’asservissement faites aux femmes !
Il faut croire qu’il y a bel et bien une nature féminine innée et que tous leurs vices en font partie.)

06/02/2023

moi

quelques citations, qui parlent de moi ...

« C’étaient les injustices, les humiliations, les inégalités de toutes sortes qui me révoltaient. J’y réagissais violemment, comme si elles me touchaient personnellement. Je ne supporte pas de voir quelqu’un humilié ou injustement traité » (Maxim Gorki)

« Je gage que rien ne serait plus bénéfique…que chaque homme fit, comme il fait des études, assez longtemps l’expérience de la misère, et cela, dans la solitude érigée par le monde autour de lui. » (Hector Bianchotti)

« Nous sommes de ceux qui posent les questions jusqu’au bout ; Jusqu’à ce qu’il ne reste plus la plus petite chance d’espoir vivante. » (Jean Anhouil)

« Donc ce que j’ai voulu, Seigneur, n’existe pas. » (Alfred de Vigny)

« Trois passions simples ont gouverné ma vie : le besoin d’amour, la soif de connaissance et une douloureuse communion avec tous ceux qui souffrent. » (Bertrand Russell)

« Je n’habite pas la société, j’habite le monde. » (Atiq Rahimi)

"Moi, j'aime à lire comme une poule boit, en relevant fréquemment la tête pour faire couler."

Renard
(Jules)

il aimait surtout ce qu’il n’était pas obligé de connaître et ce que les autres ne connaissaient pas, ce qui était à côté, ce qui était en marge »

Paul Hazard parlant de LESSING

« Sa nature sensible, généreuse et spontanée l’exposa plus qu’un autre peut-être à ressentir les mesquineries et les cruautés de l’existence. » (préfacier de Shen-Fu)

« Et pleurer de regret, d’attente et de détresse,
Et d’un obscur tourment que rien n’a consolé. »

Regnier (Henri de)

«  …à qui autre chose que rêver sembla toujours impossible. »

Simone (Madame)

= Pauline Benda

« Ne me touches pas, ne me demandes rien, ne me dis rien, reste avec moi ! »

Beckett (Samuel)

« Et tel un orphelin pauvre sans sœur aînée. »

Verlaine (Paul)

 

« Pour me guérir, c’est simple. Il suffit de rendre la vie à un mort. »

 

Giraudoux (Jean)

Il avait pris l’habitude de ne plus répondre
Et quand on l’interrogeait,
Il se donnait simplement l’air d’une poule qui va pondre.
Il avait pris l’habitude de ne plus se défendre
Et quand on l’accusait
Il se donnait simplement l’air de quelqu’un sous qui la terre va se fendre.

Norge (Géo)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

" Un peu de douceur me guérirait, mais je sais que c'est demander beaucoup" (Henry de Montherlant) 

« La tristesse, le remords, l’inquiétude et les désirs inassouvis sont là, suspendus quelque part au-dessus de lui. Liang n’ose pas bouger. Un geste ou un mouvement de l’esprit auraient déclenché l’agression de ces sentiments cruels qui le bombarderaient. » (Ya Ding)

« Il y a l’infini entre ce que je suis, et ce que j’ai besoin d’être.
Que m’importe ce qui peut finir ? L’heure qui arrivera dans soixante années est l à tout près de moi. J n’aime point ce qui se prépare, s’approche, arrive … et n’est plus. Je veux un bien, un rêve, une espérance enfin qui soit toujours devant moi, au-delà de moi, plus grande que mon attente elle-même. (Senancourt)

« Qu’importe le soleil ? Je n’attends rien des jours.

Lamartine (Alphonse de)

« Se saouler la gueule, se sentir seul, se branler. »

Upamany Chatterjee

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Ce qui sauve c’est de faire un pas, encore un pas, c’est toujours le même pas qu’on fait. » (Guillaumet)

« Je souffrais trop, et ma situation était par trop désespérée. Pour avoir le courage de marcher, je ne devais pas la considérer. »

Guillaumet

« Les autres soirs où il errait merveilleusement seul, proposant voluptueusement ses idées aux murs qui les renvoyaient une fois en écho, puis les faisaient disparaître à jamais. Toute sa vie, il avait écrit des livres sur l’air des vastes bâtiments et il avait tout laissé s’envoler. »

Bradbury (Ray)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

"Je ne suis pas inconstant, mais divisé. Je reste fidèle aux choses les plus opposées."

Thibon (Gustave)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 « Je ne veux pas mourir, non, je ne le veux pas, ni ne veux le vouloir; je veux vivre toujours, toujours; et vivre moi, ce pauvre moi que je suis et que je me sens être aujourd’hui et ici, et c’est pour cela que me torture le problème de la durée de mon âme, de la mienne propre.” (Miguel de Unamuno)

 

"Car je crois que seul vit véritablement celui qui vit son destin comme un mystère." (Stefan Zweig)