05/09/2025
Dans tous les cas, nous devrons démanteler les structures comme Blackrock, Vanguard, Amundi… pour supprimer leur influence et arrêter leurs dirigeants
eh oui ! ça s'appelle la luttes des classes
La santé comme nouveau champ de bataille
par Phil Broq. Lu le 23/5/2025
Croire que les fabricants de médicaments œuvrent pour la santé, c’est comme croire que les marchands d’armes œuvrent pour la paix. Lorsque ces deux forces se croisent, elles ne construisent pas un monde plus sûr. Elles engendrent l’OMS, une organisation qui, loin d’être un bastion de protection sanitaire, est devenue l’instrument de domination des mondialistes, de manipulation et de spoliation des souverainetés comme des libertés humaines.
Ce 20 mai 2025 marquera une nouvelle page sombre dans l’histoire de la gouvernance mondiale où la 78ème Assemblée mondiale de la santé a officiellement ratifié un «traité pandémique» qui, sous prétexte de protéger la planète, offre les pleins pouvoirs à une institution corrompue jusqu’à l’os nommée l’OMS.
Sous son vernis humanitaire, cette organisation, grassement financée par des intérêts privés comme la Fondation Bill Gates, et dirigée par un homme à la réputation sulfureuse (un ancien ministre éthiopien dont les casseroles incluent de lourdes accusations liées aux massacres au Rwanda) se mue en véritable police sanitaire mondiale. Sans mandat démocratique, sans contrôle parlementaire, sans consultation des peuples, l’OMS s’octroie désormais le droit de dicter des mesures liberticides à des nations entières. Vaccination obligatoire imposée à marche forcée, confinements planétaires décrétés d’un simple claquement de doigts, passeports numériques traquant chaque citoyen.
Mais cette mascarade n’a pas dupé tout le monde. Certains pays, encore debout, ont refusé de se faire enrôler dans cette farce tyrannique : États-Unis, Russie, Chine, Brésil, Inde, Afrique du Sud, Israël, Égypte, Turquie… Ces nations ont reconnu la manœuvre. Elles ont compris que ce traité n’est rien d’autre qu’un cheval de Troie et une nouvelle tentative de prise de pouvoir globale, un mécanisme soigneusement huilé pour dépouiller les peuples de leur souveraineté et suspendre les constitutions sous prétexte de «crise». Ce n’est plus une théorie conspirationniste, c’est une opération bien réelle qui se déploie sous nos yeux. C’est une stratégie planifiée, une opération systémique pour dépouiller les peuples, suspendre les constitutions et centraliser le pouvoir sous couvert de santé publique. Les «grands» de ce monde n’ont pas construit des hôpitaux. Ils ont bâti des usines à virus pour stériliser et dépeupler la planète entière. Un programme froidement orchestré par une élite technocratique qui ne construit plus que des laboratoires d’expérimentation à ciel ouvert aux quatre coins de la Terre. Tels que les laboratoires officiels de type P4, et tous ceux, clandestins, non répertoriés. Le Covid n’était visiblement que l’échauffement.
Depuis des décennies, des générations entières ont été éduquées, manipulées, et conditionnées à placer une confiance aveugle dans les institutions internationales comme l’OMS, l’ONU, le CDC, le NIH, et GAVI. Ces organisations, massivement soutenues par les gouvernements, les médias et les grandes puissances financières, se sont peu à peu imposées comme des garants de la santé et du bien-être mondial. Elles sont perçues, à tort, comme des bastions d’impartialité, de dévotion humanitaire, et de bienveillance universelle. Mais derrière cette façade lisse et réconfortante se cache la plus perfide des mascarades. Loin d’être des sauveurs de l’humanité, ces institutions sont les rouages d’une machine de contrôle global mise en place pour broyer l’humanité et accomplir un plan machiavélique. Et cette machine n’est pas dirigée par des médecins ou des scientifiques œuvrant pour le bien de l’humanité, mais par des financiers, des technocrates sans scrupules, des industriels allant de l’armement à l’agro alimentation jusqu’aux cartels pharmaceutiques, tous plus intéressés par le profit que par la santé publique et le bien-être de l’humanité.
Très loin de protéger la population mondiale, pour lequel elles avaient un mandat, ces organisations ont surtout tissé un réseau d’influence tentaculaire, un cartel transnational aux intérêts totalitaires et financiers ignobles. Leurs véritables objectifs ne sont surement pas la protection de la santé, mais bien la privatisation des droits fondamentaux, la concentration du pouvoir économique et politique, et l’exploitation sans limites des citoyens comme des ressources naturelles. Le contrôle, cette fois sous couvert de science et de bien-être, est devenu leur vocation suprême. Un contrôle qui ne se limite pas seulement à la santé publique, mais qui englobe la vie privée, les libertés individuelles, et, plus insidieusement, l’autonomie des nations.
Ces cartels transnationaux ont réussi à infiltrer les plus hautes sphères du pouvoir, armés de milliards d’euros, de dollars et de puissants relais médiatiques. Au fur et à mesure que ces organisations ont consolidé leur pouvoir, elles ont mis en place un système complexe et opaque de surveillance mondiale où chaque aspect de la vie humaine est minutieusement observé, mesuré et contrôlé. Ce qui est recherchée, c’est la conformité totale et de tous à leur plan. Les citoyens ne sont plus des individus libres, mais des objets d’expérimentation ou des unités économiques à réguler, exploiter et contrôler.
Tout a été mis en œuvre pour créer un monde où la santé et la sécurité deviennent les justifications idéales pour des mesures d’une violence silencieuse et pernicieuse appuyée par des restrictions des libertés individuelles, de l’obéissance forcée, et la transformation de la population mondiale en un mouvement de troupeau numérique où chaque geste, chaque parole, chaque pensée est traquée, enregistrée, et modulée pour mieux servir les intérêts de ce Nouvel Ordre Mondial mafieux.
L’influence de ces organisations n’est pas seulement économique, elle est aussi profondément politique. Les gouvernements, aveuglés par des financements visant à les corrompre, du chantage sous toutes ses formes et des accords secrets, ont largement laissé les technocrates de l’OMS et les financiers de GAVI dicter les grandes lignes des politiques publiques mondiales. Des décisions cruciales, qui devraient relever des autorités élues démocratiquement, sont désormais prises dans l’ombre, loin de tout contrôle populaire. Par exemple, l’OMS, avec sa charte de neutralité et son prétendu rôle d’organisme international indépendant, a acquis un pouvoir démesuré dans la gestion des crises sanitaires mondiales. Mais cet «indépendance» n’est qu’une illusion. Derrière cette façade de neutralité, on retrouve les mains de Bill Gates, George Soros, et d’autres magnats de l’industrie pharmaceutique, qui dictent les priorités sanitaires non pas en fonction des besoins réels des populations, mais des profits à générer.
GAVI, par exemple, loin d’être une simple organisation humanitaire, est en réalité un moteur de privatisation de la santé mondiale, transformant la santé publique en marché mondial lucratif. Ce qui semblait être une noble initiative pour fournir des vaccins aux populations les plus pauvres s’est rapidement transformé en un mécanisme de domination, où les décisions de vaccination sont désormais gouvernées par des intérêts privés. Le système, loin de sauver des vies, impose une dépendance économique aux pays les plus vulnérables, leur fournissant des solutions imposées, mais d’une efficacité douteuse, et à un coût astronomique.
Dans ce système, tout est orchestré pour diviser et régner, pour maintenir un statu quo économique où l’élite mondiale détient toutes les cartes. Et ce contrôle se poursuit même après la crise avec la surveillance numérique imposée par des outils comme les passeports sanitaires numériques. Et on constate que les crypto monnaies d’état ne sont pas qu’une réponse à une crise sanitaire ou financière. C’est une reconfiguration totale des sociétés humaines, où la liberté individuelle devient une exception et où chaque mouvement est scruté et analysé. La traçabilité des comportements et des échanges commerciaux devient la norme. La vie privée n’est plus qu’une relique du passé. L’individu est transformé en une unité de contrôle dans un système de crédit social où le comportement est évalué, noté et, à terme, manipulé pour servir les grands intérêts économiques.
L’objectif final est d’imposer une dictature technocratique, où les libertés humaines ne sont plus qu’un souvenir lointain. La santé, au lieu d’être un droit universel, devient un moyen d’asservissement ; un outil de domination, où la peur est cultivée et exploitée pour justifier des mesures de contrôle toujours plus invasives et autoritaires. Ainsi, le véritable cartel pharmaceutique, en réalité, n’est pas constitué uniquement de laboratoires et de financiers, mais d’un réseau tentaculaire d’acteurs politiques, financiers et industriels qui s’entrelacent dans une convergence d’intérêts privés, créant ainsi une architecture de domination invisible. Ce gouvernement mondial, non élu et largement opaque, a une seule finalité de maintenir les peuples sous contrôle, réduire à néant toute forme de souveraineté nationale et imposer un système de surveillance totale.
Les véritables maîtres de ce système ne sont ni la science ni l’éthique, mais la rentabilité, l’oppression et la volonté de rétablir un esclavage 2,0 pour succéder à l’esclavage antique (et au servage et au prolétariat du XIXè siècle). Et à la tête de ce cartel, se trouvent des figures comme Fauci, Obama, Clinton, Biden, Soros, Gates, Klaus Schwab, des hommes et des femmes de pouvoir qui, sous couvert de lutter contre les crises qu’ils créent de toutes pièces, mènent une guerre ouverte contre la liberté, et l’indépendance des peuples.
La pandémie de Covid-19 leur a servi de cheval de Troie et d’entrainement (après la « psy-op » du tabac!). Car sous le prétexte de protéger les populations d’un hypothétique danger, diffusé à haute dose par leurs médias de propagande, le monde entier a été verrouillé. Les économies ont été brisées, les libertés piétinées, et l’obéissance fut imposée par des pseudos «experts» juges et parties. Mais cette crise sanitaire n’était que l’introduction d’un plan machiavélique bien plus vaste. C’est ainsi que l’Ukraine, ce pays dévasté par la guerre et rongé par la corruption, s’est transformé en un laboratoire biologique secret, où des expériences dangereuses sur des pathogènes mortels se menaient à l’abri des regards internationaux. C’était le terrain de jeu idéal pour une manipulation à grande échelle.
Sous la présidence de Barack Obama, un projet de coopération sanitaire a été lancé en 2005 avec l’Ukraine. Ce que l’on a vendu comme un programme d’aide humanitaire dissimulait en réalité des objectifs bien plus sinistres où des millions de dollars ont été injectés dans des biolaboratoires qui n’étaient pas destinés à sauver des vies, mais à développer des armes biologiques. Un projet qui a pris une ampleur considérable sous la présidence de Joe Biden. À partir de là, Metabiota, une entreprise liée à la recherche biologique, a servi de tête de pont pour infiltrer des fonds et des projets secrets. Il est impossible de dissocier Hunter Biden, le fils de l’ancien président, de cette affaire. Bien que les médias subventionnés aient tenté de disqualifier ces révélations en les qualifiant de «conspirationnistes», des documents et des témoignages prouvent clairement des liens directs entre Biden et ces laboratoires ukrainiens.
Mais la question centrale demeure : pourquoi l’Ukraine, avec son manque de surveillance, ses infrastructures fragiles et ses nombreuses zones d’ombre, est-elle devenue un terrain d’expérimentation biologique privilégié ? La réponse est à chercher dans la combinaison de facteurs géopolitiques et scientifiques. L’Ukraine n’était pas seulement un champ de bataille stratégique, mais aussi un laboratoire potentiel pour des programmes de guerre biologique, en partie parce que les preuves pouvaient y être effacées plus facilement dans le chaos du conflit – notamment sous les bombes russes.
Dans ce contexte, certains observateurs avancent que si Vladimir Poutine a ordonné à ses troupes d’avancer à pied, et non de bombarder massivement certaines installations sensibles, ce n’était pas par faiblesse militaire ou stratégie conventionnelle, mais par souci d’éviter une catastrophe biologique potentielle. En effet, un bombardement aérien de laboratoires impliqués dans des recherches pathogènes aurait pu libérer dans l’atmosphère des agents biologiques dangereux, virus expérimentaux ou agents chimiques, provoquant ainsi une crise sanitaire incontrôlable non seulement pour les populations locales, mais aussi pour les régions frontalières, y compris en Russie.
Dans cette optique, l’avancée terrestre pouvait apparaître comme un choix tactique visant à «neutraliser» ces sites de manière plus maîtrisée, en réduisant le risque de dissémination accidentelle. Cette hypothèse, bien que controversée, offre une grille de lecture alternative aux stratégies militaires adoptées au début du conflit.
Sous la tutelle d’Hillary Clinton, la doctrine de la «recherche à double usage» a pris une place centrale dans les politiques de bio-défense des États-Unis. Derrière cette terminologie aux accents orwelliens se cachait une stratégie habile pour dissimuler des programmes de recherche militaire sur des pathogènes hautement dangereux sous couvert d’objectifs civils ou médicaux. En réalité, cette approche a ouvert la voie à la création d’agents pathogènes génétiquement modifiés, officiellement étudiés pour «mieux s’en prémunir», mais dont l’utilité militaire restait une priorité tacite.
Clinton, à travers son influence diplomatique et juridique, a contribué à institutionnaliser cette militarisation de la médecine, en fournissant un cadre légal et politique permettant de protéger ces projets contre toute forme de transparence ou de régulation internationale. Ce sont les grandes agences fédérales telles que la CIA, la DARPA, et même le FBI, qui ont été mobilisées pour superviser, financer et couvrir ces programmes sensibles, souvent situés hors du territoire américain, dans des pays plus vulnérables à l’opacité, comme l’Ukraine ou la Géorgie.
Anthony Fauci, figure emblématique de la technocratie sanitaire moderne, s’est imposé comme l’un des maîtres d’œuvre de la biopolitique contemporaine, non pas par altruisme scientifique, mais en orchestrant une stratégie à la croisée de la science, de l’industrie pharmaceutique et de la guerre biologique. Sous couvert de recherche pour la prévention des pandémies, Fauci a soutenu, voire dirigé, le financement de projets à haut risque, via des structures comme «EcoHealth Alliance», en transférant des millions de dollars à des laboratoires étrangers, notamment à Wuhan en Chine, pour y mener des expériences de «gain de fonction». Une technique visant à rendre des virus plus infectieux ou plus mortels, supposément pour en anticiper les mutations. Ces activités, financées en grande partie par le NIH et la DARPA, ont bénéficié d’un large soutien de l’appareil d’État, mais aussi de la complicité tacite des grands laboratoires privés, soucieux de breveter à l’avance les traitements des crises qu’ils contribuaient à rendre possibles.
Au-delà du débat scientifique, les méthodes employées dans ces recherches posent une véritable question éthique. Certaines expérimentations sur des animaux, voire sur des groupes humains vulnérables dans des pays pauvres, ont évoqué, pour certains observateurs, une forme de folie médicale digne d’un Joseph Mengele moderne, où le progrès scientifique justifie la transgression des limites morales. Sous la direction de Fauci, un système parallèle s’est consolidé en un réseau opaque mêlant intérêts privés, institutions de recherche, agences de renseignement, et multinationales pharmaceutiques, avec pour objectif non déclaré le contrôle biologique des populations et la monétisation des solutions vaccinales préfabriquées.
Le plus troublant reste que Fauci a su se maintenir au cœur de ce dispositif durant des décennies, tenant les rênes du financement public et transformant la peur sanitaire en levier d’enrichissement personnel et de pouvoir bureaucratique absolu. Sa longévité institutionnelle et son influence sur les politiques sanitaires mondiales témoignent moins d’un succès scientifique que de la solidité d’un système de loyautés croisées, où l’expérimentation humaine est devenue une variable d’ajustement géopolitique et la corruption son moteur.
Lorsque les choses ont commencé à déraper, c’est George Soros, l’homme derrière le rideau, qui est entré en scène avec une puissance financière colossale. Par le biais de ses fondations et d’un vaste réseau d’ONG, il a injecté des millions de dollars pour soutenir certains laboratoires, contrôler les médias, et réduire au silence toute voix dissidente. Aucune décision majeure, aucun mouvement significatif dans cette sphère de pouvoir n’échappait à son influence.
Fondé sur la surveillance généralisée, la restriction progressive des libertés individuelles, et la centralisation du pouvoir.
La CIA (Central Intelligence Agency) est depuis des décennies un acteur central dans la projection du pouvoir américain à l’étranger. Ses opérations vont de l’espionnage classique à la manipulation politique, en passant par le financement d’organisations tierces et l’orchestration de coups d’État ou de révolutions dites «colorées». Dans de nombreux cas, ces actions sont menées en étroite collaboration avec des alliés stratégiques, parmi lesquels Israël occupe une place spéciale.
Le Mossad, service de renseignement extérieur israélien, partage avec la CIA des intérêts géostratégiques communs, notamment dans la lutte contre les États perçus comme hostiles à l’ordre libéral (= au capitalisme) occidental. Cette coopération s’est renforcée au fil des décennies, en particulier autour de la surveillance technologique, de la cyberguerre (avec des programmes comme Stuxnet contre l’Iran), et de la manipulation de flux d’information (notamment via les réseaux sociaux et ONG). Ainsi, parler de connivence CIA/Mossad, c’est évoquer un axe de renseignement transnational structuré autour d’objectifs partagés que sont l’affaiblissement des États-nations indépendants, la promotion d’un ordre mondial centré sur les intérêts occidentaux (et israéliens), et le soutien à des organisations et figures alignées idéologiquement avec ces objectifs.
Lorsque des figures influentes comme George Soros ou Anthony Fauci sont liées à des réseaux de pouvoir globalistes, leur proximité idéologique et opérationnelle avec des acteurs comme la CIA les place, de facto, dans une dynamique convergente avec le Mossad. En effet, les intérêts s’alignent sous la bannière du progrès ou de l’humanitarisme, avec la déstabilisation des régimes souverainistes, l’implantation de structures de contrôle transnationales et le soutien à des réformes sociétales disruptives amenée par des ONG et des groupuscules fomentant des révolutions dites «de couleur». Il est clair que la connivence CIA/Mossad est moins une conspiration explicite qu’un alignement stratégique bien documenté, nourri par des décennies de coopération, d’intérêts communs et d’opérations coordonnées sur les plans technologique, politique, et idéologique.
Et puis il y a Bill Gates, l’homme derrière la Bill & Melinda Gates Foundation, qui représente l’un des principaux architectes de ce système d’ingénierie sociale sanitaire. Bien plus qu’un simple investisseur, Gates est devenu l’architecte d’un monde où la santé publique mondiale est utilisée comme instrument de contrôle. La fondation de Gates a permis non seulement de redistribuer des milliards de dollars à des entreprises pharmaceutiques, mais aussi de définir les priorités sanitaires mondiales.
Le rôle central de Gates dans la pandémie de COVID-19 est indéniable. En tant qu’investisseur majeur dans des entreprises comme Moderna, AstraZeneca, et Pfizer, il a non seulement financé la recherche sur les vaccins, mais a aussi manipulé les politiques publiques pour imposer des stratégies de vaccination mondiale, et ce, sans transparence, sans preuve évidente de l’efficacité et de la sécurité des produits. Mais l’objectif de Gates dépasse largement celui de la simple philanthropie puisqu’il manipule l’économie mondiale de la santé, et ses partenariats avec l’OMS lui ont permis de piloter des politiques de santé publique globales, imposant des choix sanitaires controversés à travers le monde. Et son influence dépasse la simple recherche médicale, puisqu’il est à l’origine de technologies de surveillance numérique, telles que les Pass’ sanitaires et les vaccins numériques, permettant un contrôle social mondial et la traçabilité totale des citoyens. À travers des systèmes de géolocalisation sous cutanée et de crypto monnaie (Le brevet WO 2020/060606 A1 n’a officiellement aucun lien avec les vaccins ou le nouveau coronavirus, pourtant il concerne un système de production de cryptomonnaie qui utilise des données d’activité corporelle, et c’est une solution injectable sous cutanée !) et de crédit social, Gates œuvre à la création d’un monde où chaque action est traçable, chaque individu réduit à une simple donnée, et chaque mouvement est soumis à un contrôle numérique totalitaire.
Il est non seulement parfaitement légitime, mais nécessaire, d’examiner avec rigueur et audace les dérives d’un système qui, sous prétexte de santé publique, manipule les crises sanitaires à des fins politiques et économiques. Cette analyse doit se porter sur les dérives autoritaires déguisées en mesures d’urgence, la mise en place de régimes exceptionnels qui suppriment les droits fondamentaux au nom de la sécurité. Il est crucial de questionner les conflits d’intérêts qui jalonnent la gestion mondiale des pandémies, où l’indépendance des institutions de santé publique est souvent mise en péril par des acteurs privés, puissants et influents. Enfin, l’érosion insidieuse des libertés individuelles, sous couvert de prévention sanitaire, ne peut être ignorée car elle représente une menace directe à la démocratie, à la souveraineté des peuples et dorénavant à la vie elle-même. Critiquer ces abus, c’est refuser de céder à la manipulation et revendiquer la préservation de notre autonomie collective.
Ce cartel médico-politique ne s’effondrera pas sous le poids de ses propres mensonges, mais il prospère uniquement grâce à notre passivité. Il ne tombera pas tant que nous le regardons faire, les bras croisés, hypnotisés par ses discours sirupeux et ses fausses promesses de salut. Il doit être dénoncé, nommé, démantelé, sans détour, sans filtre. Il ne s’agit plus de simples erreurs. Ce sont des actes délibérés, calculés, méthodiques. Nous n’avons pas été «protégés», nous avons été soumis, dressés comme du bétail numérique. Chaque mesure imposée, chaque liberté arrachée, chaque vérité étouffée n’est pas une bavure, c’est une stratégie. Le masque est tombé, montrant que ce n’est pas la santé qu’ils veulent sauver, c’est le contrôle qu’ils veulent imposer. Et si nous continuons à attendre, à espérer un retour à la normale dicté par ceux-là mêmes qui ont fabriqué la crise, alors nous mériterons notre servitude. Car ce n’est plus une crise sanitaire, c’est un coup d’État global, rampant, technologique, cynique.
La seule réponse à cette imposture est la révolte. Non pas une révolte aveugle, mais une insurrection de conscience, massive, déterminée, inflexible. La désobéissance n’est plus une option, elle est un devoir. Reprendre le pouvoir, c’est refuser leur amerloquisation de la langue française, désobéir à leurs injonctions, dénoncer leurs réseaux. Ils ont transformé le monde en laboratoire. À nous de le reconquérir, mètre par mètre, idée par idée, vérité par vérité. Leur empire ne tombera pas par fatigue, il tombera quand nous cesserons d’avoir peur !
Et ce jour-là, ce ne sera pas seulement leur système qui s’effondrera, mais l’humanité qui se libérera…
source : Blog de l’éveillé
commentaire :
Nounours :Oui, l’analyse est claire. Nous devons nous séparer de nos dirigeants qui ont sévi depuis les années 60 et d’autres avant.
Nous devons les mettre en prison d’une manière ou d’une autre.
Dans tous les cas, nous devrons démanteler les structures comme Blackrock, Vanguard, Amundi… pour supprimer leur influence et arrêter leurs dirigeants.
Nous devrons aussi mettre fin à la double nationalité. Lorsqu’elle a été mise en place , je savais qu’elle serait détournée de l’idée de base.
De nombreuses lois taillées pour le mondialisme devront être éradiquer.
Nous devrons aussi garder l’argent fiduciaire.
02/09/2025
On ne voit plus jamais d’enfants courir dans les rues. C’est un très mauvais signe.

Avant partout il y avait des enfants qui couraient ; maintenant on n’en voit plus un seul !
ça fait vraiment sinistre et surréaliste.
(Quand aux adultes ils ne savent plus courir, ils se traînent, lourdement ! c’est fou, on les voit partout - eux ! - mimer rituellement des gestes de course en guise de récitation du rosaire (oui, c'est idéologiquement et socialement ce qui tient lieu de nos jours du rosaire des temps catholiques), mais c’est lamentable.)
Maintenant les enfants sont déjà éteints, il n’y en a plus un seul qui courre (c’est un signe ! un enfant ça court plus naturellement que ça ne marche, pour qu’on soit arrivé à les « dresser » à ce point c’est qu’ils sont vachement matés et détruits
)
C’est frappant, avant les enfants étaient frais, animés et espiègles, maintenant les rares, très très rares, "presque pas du tout" comme disait Marcel Amont, enfants qu’on voit encore parfois ont l’air tout soumis et ratatinés
( c'est pas comme à Cuba https://www.legrandsoir.info/un-regard-sur-le-modele-cuba... )
autre problème : on ne voit presque plus jamais (sauf dans le Tiers-Monde) de mère portant son enfant à bras ! C’est lamentable et un symptôme inquiétant.
On ne voit plus non plus d’enfants se tenant par la main, alors qu’avant c’était presque la règle, là aussi c’est un mauvais symptôme.
et comme j'ai déjà et déjà dit et redit, retrouver "un peu d'bon sens" dans ce marécage :
https://ru-clip.net/video/ghEkDQcu5Yo/dieudonn-eacute-gil...
3/9/2021 Déjà depuis plusieurs décennies on avait supprimé les églises, les gares, les hôtels, les commerces, fait mourir les cafés. Maintenant tout est disparu et interdit, il ne reste plus rien, les villes ne sont plus que de vastes camps de concentration et des cimetières sous les éclairages urbains et les caméras de vidéosurveillance.
voilà comment étaient les villes autrefois, vous voyez combien la civilisation humaine a perdu ....

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31/08/2025
le guide Michelin preuve de la CHUTE de notre société
C'est hallucinant de voir les prix des chambres d'hotel maintenant.
en 1977 les chambres d'hotel les moins chères faisaient entre 22 et 39 francs la nuit pour une personne.

De nos jours c'est 10 fois plus.....
or l'inflation officielle n'a été que de 310 (pour une base 100 en 1977) les salaires moyens 515 même calcul), un fonctionnaire débutait dans les 2.200 francs/mois (le SMIC était à 2.000 fr/mois, un ouvrier pouvait facilement trouver une nuit pour 2% de son salaire mensuel), aujourd'hui dans les 9.600 francs (1.500 "euros")
Faites le calcul.
Il est devenu IMPOSSIBLE pour, non seulement un français modeste mais aussi bien pour un français moyen de voyager maintenant ! La France n'est plus son pays mais un monde étranger et interdit, là aussi c'est la fin de la France.
c'est épouvantable.
les salaires ont à peine triplé eux
La société autrefois était une société hiérarchisée, les plus riches avaient mieux, les moins riches moins bien, mais il y avait pour toutes les bourses, partout ! Maintenant c'est - bien pire - une société d' ex-clu-sion : ou bien vous appartenez à la classe qui a les moyens de se payer les aménités de luxe ou bien il n'y a simplement plus RIEN pour vous, vous pouvez crever !
j'ai constaté ce matin que pour un hotel une étoile, donc la catégorie la plus basse et la moins chère, les prix sont : 57,20 machins ("Euros") pour la chambre la moins chère et 108,20 pour la plus chère (ce qui fait 375 francs et 710 fancs !
dix fois plus cher qu'en 79 !!! mais les salaires n'ont pas été multipliés par dix !) plus loin une chambre pour une personne 78,00 c'est à dire511 francs, pour passer UNE nuit pour une personne !!! Du délire !!!! Qui peut encore voyager de nos jours ? à part les hommes d'affaire, la haute bourgeoisie et les cadres sup qui se font payer leurs frais sur l'entreprise ? La France est devenu un pays interdit aux français ![]()
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30/08/2025
Pessoa
Fernando Pessoa : "tuer le rêve, c'est nous tuer nous-même"
vive Abdel Zahiri !
26/08/2025
dictature totalitaire du grand capital
En France, la formation médicale continue est obligatoire avec une menace de sanction par le conseil de l’ordre des médecins. Cette formation médicale continue obligatoire est dispensée par des agences privées poreuses à la pression de l’industrie pharmaceutique, ne serait-ce que par le capital. L’obligation de formation médicale continue comporte des « objectifs prioritaires » définis par l’État. Par ces objectifs prioritaires obligatoires, l’État s’immisce dans le savoir médical. Il pervertit la science médicale par la corruption politique, la réduisant à l’état de scientisme. En ce qui concerne la psychiatrie, on a vu ce que la politisation de la psychiatrie a donné en URSS : la psychiatrisation de la dissidence. En France aujourd’hui ça devient pareil toute dissidence est maltraitée de toutes les façon : ostracisme, criminalisation, censure. Le pas à franchir pour envoyer les dissidents à l’asile ne sera pas long.
24/08/2025
Gbagbo un grand démocrate et lutteur pour l'Afrique, comme Sankara
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17/08/2025
article censuré électroniquement
article censuré électroniquement !!!
Éric Denécé, un des plus grands esprits français, est mort le 9 juin 2025 dans des circonstances troubles. Je (Benoit Paré) ne crois pas une seconde à la thèse du suicide et j’écris pourquoi, notamment via des révélations explosives. Dès lors, il faut alors avoir le courage d’intégrer ce que cela dit sur l’état de notre pays.
Éric Denécé fut l’une des premières personnes à qui j’envoyai un lien pour acheter mon livre "ce que j'ai vu en Ukraine 2014-2022" par par Benoit Paré) , dès le 2 avril 2025. Il l’acheta le 4. Avec les délais d’impression et d’envoi, au mieux, il n’a pu recevoir le livre que le 11. Le 21 avril 2025, il m’écrivait pour me dire qu’il avait terminé la lecture de l’ouvrage de 750 pages. Il voulait aussi savoir si on pouvait échanger plus longuement par téléphone. Étant alors à l’étranger, je lui ai proposé d’attendre mon retour.
Le lendemain de mon retour en France, je lui écrivis pour lui l’informer que j’étais disponible pour parler au téléphone. Il m’appela au bout de quelques minutes seulement. Nous parlâmes alors pendant à peu près une heure. Il tenait d’abord à me dire pourquoi il avait apprécié le livre.
Ce que j'ai vu en Ukraine: 2015-2022 - Journal d'un observateur international Broché – 29 avril 2025
Un témoignage unique en son genre, précis, sensible et personnel, vu de l’intérieur d’une mission internationale, au cœur de la guerre du Donbass.
La réalité du terrain, aux premières loges.
Des révélations inédites, concernant notamment les victimes civiles, les violations des droits de l’Homme, les procès liés au conflit, les pressions extremes sur les journalistes ou la manipulation des faits.
Et puis, comment le projet ultranationaliste ukrainien a provoqué la réaction de Moscou.
Ensuite, il me proposa de le promouvoir auprès de tous ses contacts, notamment dans les médias alternatifs et autres. C’était pour moi un cadeau inespéré. Toute ma vie, je serai redevable à Éric Denécé pour cela.
Il me proposa aussi des travaux de collaboration avec son think tank, le Centre français de Recherche sur le Renseignement (CF2R), afin que les parties du livre qu’il jugeait les plus pertinentes puissent atteindre un plus large public. Il avait de mémoire à peu près 50 000 destinataires dans sa liste. Son idée était de créer jusqu’à trois rapports de recherche dans lesquels des parties thématiques du livre seraient publiées. Il n’y avait pas d’argent à gagner, car ces rapports étaient envoyés gratuitement. Mais cela pourrait contribuer aussi à faire connaître le livre en insistant sur quelques points-clefs.
Dès le 4 mai 2025, il m’écrivait ceci :
« Mon idée pour un éventuel rapport de recherche. Je vous confirme que les pages 427 à 503 me paraissent les plus percutantes, car elles couvrent trois aspects essentiels à mon sens
Les tortures contre les journalistes
La visite des bases d’Azov et la découverte de ces radicaux
La bataille pour diffuser les chiffres des bombardements. »
La balle était dans mon camp, mais je voulais d’abord promouvoir le livre.
Sur cet aspect-là, Eric avait rapidement tenu parole et avait adressé un message élogieux sur mon travail à plus de 30 journalistes de ses contacts. Près de la moitié d’entre eux m’ont par la suite contacté. Pour certains, il a fallu quelques relances de la part d’Éric. Il était donc tenace. Quand j’ai commencé d'être invité pour des interviews, il m’a écrit pour s’en féliciter.
Il était aussi très actif dans l’élaboration de plusieurs articles pour la revue Histoire Magazine, et il m’avait envoyé des questions pour une interview écrite à paraître dans le numéro de juillet.
En même temps, j’ai reçu de sa part tout un tas de documents et publications du CF2R, plus que je n’avais le temps d’en lire.
Jusqu'à la veille de sa mort, j’étais devenu un membre de sa liste d’envois. Il envoyait régulièrement des liens vers de nouveaux documents, et pas seulement des publications du CF2R, et il envoyait aussi des travaux critiques sur la Russie, comme quoi il n’était pas un militant prorusse comme on l’a caricaturé, mais avant tout un chercheur de vérité. Sauf qu’il lui était apparu, comme à moi-même, un déséquilibre flagrant dans le traitement de la crise ukrainienne par les médias dominants. La neutralité avait disparu au profit d’un militantisme permanent reprenant sans aucun recul la propagande otano-ukrainienne.
Le déjeuner du 4 juin 2025, cinq jours avant sa mort
Et puis, ayant l’occasion de passer près de la Haute-Savoie où il résidait, je lui avais proposé une rencontre autour d’un déjeuner, initiative qui vit le jour le 4 juin, soit seulement 5 jours avant sa mort, selon les médecins légistes.
Nous nous rencontrâmes dans un restaurant d’Albertville. Comme j’étais en retard, je me faisais un devoir de l’inviter, ce qui était la moindre des choses eu égard à tout ce qu’il avait fait pour mon livre.
D’entrée, malgré mon retard, il était souriant et jovial. Il avait commandé une bière et une pizza, m’avouant qu’il faisait d’habitude très attention à ce qu’il mangeait et qu’il n’avait pas l’habitude de faire des incartades. Mais notre rencontre était un jour spécial, alors il s’autorisait à se laisser un peu aller. Quand nous nous fîmes gentiment virer du restaurant qui fermait, nous allâmes continuer notre conversation à bâtons rompus dans un café voisin.
Je lui en dis un peu plus sur mon parcours de vie. J’en appris un peu plus sur le sien. Alors, nous discutâmes de l’état du monde, et nous nous retrouvions en accord sur presque tous les sujets. Je ne distinguai que deux ou trois nuances entre nous.
Il m’avoua ainsi être pro-israélien, mais qu’il ne pouvait cautionner la répression disproportionnée à Gaza. Il me dit ainsi qu’il avait dit à ses contacts israéliens ce qu’il en pensait. J’enchainais en rappelant qu’Alain Juillet lui-même avait souligné que Netanyahou avait été mis au courant au préalable de l’attaque du 7 octobre et qu’il n’avait rien fait pour s’y préparer… Éric convint qu’il faudrait un jour tirer cela au clair.
Sur la liberté d’expression, il me disait que le fait que des gens comme Dieudonné ou Alain Soral, qu’il voyait comme des antisémites, pouvaient s’exprimer sur les médias alternatifs le dérangeait. Je lui répondis que cela faisait partie pour moi de la liberté d’expression, sans préciser que seule la diffamation, les appels à la haine et à la violence étaient condamnables. Sur cette base, l’idée qu’Éric aurait pu être assassiné par le Mossad n’est pour moi pas crédible. Même s’il avait critiqué les dérives récentes du gouvernement en place – pas moins que Jacques Attali - il restait à la base un ami d’Israël.
J’enchainais la discussion sur la remarquable convergence de tout l’Occident, à quelques rares exceptions près, sur le sujet de l’Ukraine. D’où venait cet unanimisme de nos dirigeants à s’engager dans une voie suicidaire pour l’Europe, de confrontation sans fin avec la Russie ? Quels que soient les leaders et les partis au pouvoir, la ligne reste la même, comme on l’a vu au Royaume-Uni ou en Allemagne. Starmer et Merx suivent les mêmes politiques que Johnson, Sunak ou Scholz, ou Macron. Même en France, tous les partis représentés au Parlement suivent comme un seul homme.
Cet unanimisme pro-guerre, soutenu par une propagande permanente et généralisée de tous les médias dominants à l’échelle de l’Occident tout entier, suppose pour moi une coordination par un pouvoir de l’ombre supranational. Je précisai que l’on avait déjà perçu le même unanimisme autoritaire à l’œuvre pendant la crise du covid. Éric répliqua alors, un peu penaud, qu’il n’avait pas creusé cette affaire du covid.
Sans le lui dire et sans relever, je fus surpris de cette réaction, car, quand on est un homme de bon sens attaché à la vérité, comment peut-on ne pas voir que cette crise du covid était un exercice de propagande à grande échelle aussi inédit que suspect ? J’avais pour ma part très vite repéré les contradictions sur le port du masque ou l’hydroxychloroquine (étude frauduleuse du Lancet), ou encore le refus de considérer les tests sanguins comme pouvant dispenser de la vaccination, moi qui croyais que contracter une maladie était la meilleure vaccination possible. N’était-ce pas ce que l’on nous enseignait depuis des décennies ? Éric faisait-il partie de ces gens intelligents que l’idée même d’un virus tueur tétanisait et obscurcissait leur jugement ? En tant qu’analyste hyper-spécialisé dans le renseignement, se jugeait-il incompétent par principe sur les questions médicales ? Craignait-il de creuser le sujet ? Par la conscience du risque d’ostracisation, ou par peur inconsciente de ce que les recherches un peu poussées sur ce sujet pouvaient révéler sur l’immoralité, voire la perversité des gens qui mènent notre monde ?
Je continuais en disant que cet unanimisme des pays occidentaux sur tous les grands sujets de crise de ces dernières années (Covid, climat, Ukraine, immigration de masse, Agenda LGBT) semblait bien confirmer l’existence d’un pouvoir supranational de l’ombre, ce qu’on pourrait appeler un Etat profond globalisé occidental.
Dès lors, la question était de savoir qui était ce pouvoir de l’ombre. On a des pistes, avec le Club Bilderberg, le Forum économique mondial, Blackrock, Soros, ou encore certains banquiers historiquement puissants. Quand j’énumérais tout cela, je sentais Eric Denécé comme un peu gêné. Il baissait le regard, regardait la table, et n’avait rien à ajouter d’autre que de timides « oui », comme si le sujet l’intimidait.
D’une manière générale, même si j’étais en phase avec 90 % de ce qu’il pouvait dire dans les médias, je le sentais parfois un peu trop classique dans ses analyses, semblant prendre pour argent comptant les déclarations de tel ou tel dirigeant américain, sans avoir l’air de s’interroger sur les possibles manipulations dans la communication même. En homme de renseignement formé à analyser l’existant sans se permettre de trop extrapoler, je pouvais trouver que, justement, il pouvait lui manquer cette dimension supplémentaire dans l’analyse, celle consistant à échafauder des hypothèses au-delà des mots et des faits observables pour expliquer le monde. Mais ce genre d’approcher était peut-être pour lui ce qui pouvait faire sombrer dans le « complotisme ». Il demeure que l’analyse classique conservatrice est incapable d’expliquer ce que font nos dirigeants depuis plusieurs années. L’incompétence ne peut expliquer les aberrations que nous impose la quasi-totalité des dirigeants occidentaux sur tous les sujets ou presque. Leurs motifs ne sont pas ceux qu’ils prétendent être. Ces gens-là ne font manifestement qu’obéir.
A qui et pourquoi ? Voilà encore une fois la vraie question fondamentale de notre temps.
Éric était peut-être trop bon pour pouvoir imaginer le niveau de perversité de ceux qui nous manipulent à des fins qui nous dépassent.
Quand je lui demandai s’il avait subi des pressions, il me dit qu’il avait juste été contrôlé par trois organismes différents : Tracfin et la Direction du Renseignement et de la Sécurité de Défense au sujet d’éventuels financements de l’étranger, et il me semble qu’il cita aussi le Fisc. Eu égard à ses activités et ses prises de position, ces enquêtes ne semblaient pas scandaleuses. Elles ne trouvèrent rien et ne semblaient pas l’avoir dérangé plus que cela.
Ce qui le touchait le plus était le lâchage de certains parrains éminents du CF2R sur pression des cerbères de la bien-pensance officielle. Il me cita ainsi le cas d’un ancien ministre qui lui avait annoncé par email qu’il retirait son soutien au CF2R, un quart d’heure seulement après qu’un article manipulateur d’un journaliste de France-Info avait été publié. L’auteur de ce dernier était allé jusqu’à contacter personnellement tous les parrains du CF2R pour partager son interview tronquée de Denécé, en leur demandant comment ils pouvaient soutenir un tel homme, menaçant implicitement de les dénoncer à leur tour publiquement. D’après Éric, l’ex-ministre n’avait même pas souhaité entendre ses arguments pour se défendre des calomnies. Sa décision était prise, car il ne voulait pas devenir lui aussi un paria médiatique.
À part ces coups bas visant à l’isoler, j’eus l’impression qu’Éric ne se sentait pas menacé.
Quand je lui demandai qui finançait le CF2R, Éric me répondit que c’était lui-même, sur ses deniers personnels, et qu’il avait déjà investi près de 300 000 euros. Je compris alors que, pour lui, le CF2R était le projet de sa vie.
Pourquoi je ne crois pas à la thèse du suicide
Avec le recul, je comprends d’autant mieux qu’Eric Denécé voyait dans mon livre non seulement des vérités qu’il fallait partager. Mais c’était aussi pour lui l’occasion d’être réhabilité en tant qu’analyste pour ses prises de positions allant à l’encontre de la masse. Il avait donc doublement intérêt à vouloir promouvoir ce livre.
Je ne connaissais rien de sa vie privée. Je constatais juste qu’il n’avait pas d’alliance. Il disait ne monter sur Paris qu’une fois par an.
Nous nous sommes quittés, car j’avais un rendez-vous à honorer. Autrement, nous aurions pu discuter pendant des heures en plus. Il me semblait qu’autant lui que moi avions apprécié cette rencontre. D’ailleurs, il me le confirma dans un courriel du 7 juin, dans lequel il écrivit : « J’ai été très heureux que nous puissions nous rencontrer. » Si cela n’était pas vrai, rien ne l’obligeait à me le dire. Et puis, il me confirmait avoir envoyé un autre courriel de soutien à mon livre à tous ses contacts étrangers, sauf qu’aucun ne m’a contacté jusqu’ici. Mais j’ai eu quelques commandes de la version anglaise de mon livre.
Dans ce contexte, même s’il avait des problèmes financiers, voire sentimentaux et qu’il était ostracisé par la bien-pensance, comment expliquerait-on qu’un homme qui aurait consacré sa vie à son think tank, se suicide le 9 juin, au moment même où il promouvait un ouvrage susceptible de lui redonner espoir ? Cela n’a pas de sens.
J’ai aussi contacté sa famille, qui a beaucoup de mal à comprendre la thèse d’un suicide. La sœur d’Éric lui rendait régulièrement visite et c’est elle qui a fait la découverte macabre.
Une révélation explosive
De plus, d’après un de ses proches collaborateurs, qui tient l’information de source policière via une personne du milieu judiciaire, l’arme retrouvée près d’Éric Denécé ne portait pas d’empreintes… Et ce dernier n’aurait pas porté de gants.
Si cette information est exacte, la thèse du suicide devient impossible. Du reste, la source a lâché que l’enquête s’orienterait malgré tout vers cette thèse et qu’aucune enquête sérieuse ne serait menée, et que l’affaire serait enterrée comme tant d’autres auparavant. On pense à l’affaire Robert Boulin, ce ministre du Travail de Giscard d’Estaing, officiellement « suicidé » noyé dans 50 cm d’eau. Malgré le combat de la famille pour la vérité et la découverte de nouveaux éléments, l’enquête n’a jamais été rouverte.
Quand j’ai partagé ces éléments avec un homme d’expérience, respectable et respecté dans le milieu des médias alternatifs, il a tout de suite compris que si ces éléments étaient exacts, cela voulait bien dire qu’Eric Denécé ne pouvait pas s’être suicidé. Quand je lui ai répondu que « cela serait alors bien la preuve qu’il a été assassiné », sa réponse a immédiatement été qu’il ne fallait pas sombrer dans les « théories du complot », l’argument tarte à la crème fait pour arrêter de penser, ajoutant qu’il ne voyait pas qui pouvait en vouloir à Denécé au point de vouloir l’éliminer physiquement. Je lui ai répondu que si lui ne voyait pas les raisons qui auraient pu mener à cet assassinat, le fait que Dénécé ait été tué était bien la preuve que ces raisons, quelles qu’elles soient, existaient pour quelqu’un. La réticence chez certains à tirer des conclusions pourtant évidentes, même si elles sont dérangeantes, est quelque chose d’assez sidérant. Je me suis aperçu récemment que cette réticence existe même chez des gens qu’on pouvait prendre pour des résistants. Une autre personne m’a prévenue qu’il ne fallait pas sombrer dans la paranoïa, arguant qu’il y avait bien d’autres moyens de faire pression sur les résistants. Mais un leader d’opinion est mort assassiné. Seuls ceux qui ont envie, voire besoin de croire que le monde n’est pas aussi sombre, s’accrocheront au doute autour de sa mort. Ce monde ne pourra être sauvé que par ceux qui pourront regarder la réalité en face.
Concernant la personne citée plus haut, ce n’était pas la première fois que je constatais chez elle cette réticence à aller au-delà d’un certain point dans sa compréhension des dossiers délicats du monde. Sur de nombreux dossiers, il y a comme une volonté de ne pas savoir, pour se protéger soi-même des conséquences logiques de ses recherches. On appelle cela l’ignorance volontaire. Certains l’ont très tôt dans leurs démarches de compréhension du monde. D’autres l’ont à mi-chemin. Il semble qu’il y a chez eux comme une incapacité à imaginer jusqu’où peut aller le mal. De mon expérience, les gens qui ont une culture du renseignement ont le sens de la rigueur intellectuelle. Et c’est très bien. Mais il semble leur manquer un brin d’imagination, pour pouvoir échafauder les hypothèses les plus plausibles derrière les événements. Mais, on peut aussi supposer que dans un contexte sensible, cela soit de la simple prudence oratoire qui masquerait des convictions plus établies.
Quid de la piste ukrainienne ?
On pouvait bien sûr penser à la piste ukrainienne pour expliquer cet assassinat d’Eric Denécé. Le site ukrainien Mirotvorets qui recense de manière obsessionnelle tous ceux qui sont étiquetés comme des ennemis de l’Ukraine, comprend plus de 100 000 noms, et Eric Denécé en faisait, parait-il, partie. Les services ukrainiens ont démontré qu’ils sont capables de frapper au cœur de la Russie, mais aussi plus récemment en Espagne, avec l’assassinat par balle en pleine rue, devant l’école où il venait chercher ses enfants, de l’opposant ukrainien Andriy Portnov, le 21 mai 2025.
Les tueurs se seraient-ils déplacés alors vers la Haute-Savoie ? Mais jusqu’ici et jusqu’à preuve du contraire, les services ukrainiens ne se sont attaqués qu’à des citoyens russes ou ukrainiens. Et ils ne cherchent pas à maquiller les exécutions en suicide. De plus, les circonstances de la mort de Denécé laissent penser qu’il y a eu une surveillance préalable pour identifier l’endroit, le moment, et la méthode pour frapper. Connaître la France et la langue française semblerait être un prérequis. Dans l’hypothèse où des étrangers auraient fait le coup, comment expliquer l’empressement apparent des enquêteurs français à classer l’affaire en suicide ? Cela alors supposerait que ces derniers seraient complices. Donc, sur la base de ce que l’on sait, aucun scénario n’est rassurant.
Quel serait un mobile de la part du « système » pour s’en prendre à Denécé ? Quand on regarde bien, en France, le directeur du CF2R occupait une position centrale dans ce que qu’on peut appeler la résistance contre la pensée unique imposée. Il était très connecté, actif, et surtout crédible. Il était le grand spécialiste géopolitique invité sur tous les médias alternatifs. Cela faisait de lui une cible privilégiée pour ceux qui chercheraient à nous affaiblir collectivement et à nous faire taire. L'éliminer de cette façon brutale, sans avertissement, envoie un message glaçant à nous tous.
Cascades de menaces, et mort tout aussi suspecte d’Olivier Marleix
D’ailleurs, les suites de l’affaire Denécé ne s’arrêtent pas là. Un autre de ses collaborateurs a reçu un message, émanant d’un élu proche du pouvoir et l’avertissant que, s’il n’arrêtait pas d’écrire, il pourrait devenir « le prochain sur la liste ».
Et plus récemment, le 7 juillet, c’est le député Olivier Marleix qui était retrouvé pendu, là encore un «suicidé » qui ne laisse aucune note, et dont l’entourage est des plus sceptiques sur la thèse officielle. Et là encore, il s’agit d’un homme qui avait sérieusement attaqué Emmanuel Macron, l’accusant d’être au centre d’un « pacte de corruption » dans la vente d’Alsthom Energie au groupe américain General Electric, et un homme qui de plus s’apprêtait à faire de nouvelles révélations via un livre devant sortir en novembre. Certains n’ont pas manqué de relever qu’Eric Denécé avait largement soutenu le travail d’enquête de Marleix dans cette affaire d’Etat qu’est le dossier Alsthom.
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André-Louis Auzières devait forcément être le témoin n° un ! il devait tout savoir ...
l'aurait-on "éliminé" ?
https://odysee.com/@D%C3%A9NONCIATIONS:2/2025-02-12-21.02...
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Construit sur le mensonge https://www.youtube.com/watch?v=Rwrh5vkZg8c
fils et frère d'agent de la DGSE (et lui ? mystère) banquier fantôme dont on ne retrouve la trace sur aucun organigramme, mort victime de "dépression nerveuse" (tiens ! comme James Forrestal ! Lord Northcliff, et Dorothy Kilgallen ...) dans une chambre d'asile psychiatrique à la porte gardée par .... Bennalla ! Tiens tiens ! Et sa cousine en rangeant sa maison y a trouvé un billet d'avion pour l'Afrique et une grosse somme d'argent : donc il se sentait menacé et préparait sa fuite. Et sur le faire-part mortuaire, une photo en maillot de bain, la seule qu'on ai retrouvée "car toutes les photos de lui avaient été détruites" Tiens !! pourquoi ? ? Sur ordre de qui ?
https://reseauinternational.net/dans-le-contexte-de-la-di...
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14/08/2025
prison pour les dissidents - comme en URSS
Lorsque j’écrivais mon livre «Les 100 plus grands Anglais et les plus grandes Anglaises», j’ai d’abord été étonné par le nombre de personnes exceptionnelles qui ont passé au moins une partie de leur vie en prison.
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