23/07/2024
Caroline Galacteros - même dans les milieux contestataires et critiques
n'arbore plus son décolleté et se voile jusqu'au cou comme les nonnes
https://reseauinternational.net/caroline-galacteros-m-ten...
peut-être que quelqu'un lui a dit que ses décolletés plongeants ne faisaient pas "politiquement corrects" dans notre époque marquée par un puritanisme exacerbé, même dans les milieux contestataires et critiques ......
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22/07/2024
quelques détails très interessants sur le régime nazi
1° dans ses mémoires Victor Klemperer rapporte que des inspecteurs municipaux sont venu examiner son jardin, et lui ont mit une amende pour ce délit :
que le jardin n'était pas assez bien entretenu selon les normes.
Puis d'autres sont revenus et ont dit : il reste là et là des mauvaises herbes, si vous ne les faites pas enlever la municipalité vous enverra des jardiniers professionnels, et il vous en coûtera plusieurs centaines de marks.
2° parmi les catégories persécutées par le régime nazi à côté des handicapés de naissance (les premiers à avoir été exterminés systématiquement) les communistes (les premiers a avoir été diabolisés et enfermés dans des camps) les juifs, les tziganes, les homosexuels (dont tout le monde se foutait il y a pas encore longtemps jusqu'à ce que maintenant ils deviennent à la mode), il y a eu aussi les Témoins de Jéhovah. Mais eux, aussi bien à l'époque (et pourtant ils furent les premiers à diffuser internationalement dans leur presse la vérité sur ce qu'il shttps://www.youtube.com/watch?v=fr05N2XpowUe passait en Allemagne, mais déjà à l'époque personne ne lisait leur presse) que maintenant n'ont jamais été de "bonnes" victimes auxquelles les bien pensant aimassent à s'identifier .....
Or ces Témoins de Jéhovah qui, comme (normalement .....) tout chrétien, ne respectaient que les commandements de Dieu et non ceux des hommes, et de surcroît refusaient de devenir soldats, étaient évidemment très mal vus des nazis. Et on enlevait les enfants Témoins de Jéhovah de leurs parents, et bien sûr c'étaient les Services Sociaux qui s'occupaient de ça ("on Care" on dit en anglais), ou l'instituteur. Citations :
"Ces enfants sont en rupture avec la société et sa mission consiste à les y intégrer", or
"En se distinguant des autres par leur comportement, ils apparaissent conditionnés par les idées "sectaires" de leurs parents"
"Les parents dont l'éducation était jugée défaillante étaient déchus de leurs droits" (pratique très à la mode de nos jours ... https://odysee.com/@OhditC%C3%A9!:a/2012.04.14---Louis-Fo... dans NOTRE idéologie actuelle qui a les mêmes principes que l'idéologie nazie)
et en fait les bons allemands soucieux de l'ordre social trouvaient ça très bien. etc, etc
Quand on relit tout ça, quand on compare avec les pratiques typiques de notre époque actuelle, quand on se souvient de l'analyse de Zygmunt Bauman selon laquelle le nazisme est une exacerbation typique de la pensée du monde moderne ça redonne à la problématique du nazisme une actualité certaine, et donne à penser.
et puis regardez cette vidéo https://www.youtube.com/watch?v=fr05N2XpowUet réfléchissez bien....
tiens comparons avec cet article sur le comportement des pro-vaccins là actuellement de nos jours chez nous
" Leurs (les pro-obligation vaccinale, pourfendeurs des vaccinoseptiques) arguments reposent sur la nécessité de la brutalité collective pour "empêcher des maladies de revenir", pour assouvir l'ego des "bons parents" respectueux du système et qui sont ravis que l'on sanctionne ceux qui ne se sont pas comme eux."
tiens tiens ! ça rappelle les mentalités de l'époque des "bons allemands" vous trouvez pas ?
(ach ! Allemagne nazie et France de Macron - et même avant - même combat !)
résistance : résistance ! pour les INDIVIDUS, les PERSONNES, LES VALEURS HUMAINES, les LIBERTES PUBLIQUES, les LIBERTES, la LUTTE DES CLASSES, contre le fascisme étatique, envoyez des CHEQUES (pas de payement électronique ! POUR L'ENVOI DE CHEQUE écrire à contact@mouvement-jre.com) pour financer les actions de Farida en faveur de nos ENFANTS, et petits-enfants, et ceux de nos proches, SOLIDARITE ! IL FAUT LUTTER PIED à PIED contre le FASCISME !
j’ai trouvé des articles sur les pénates et les lares dans le monde romain. Une fois de plus on voit que le christianisme n’a fait que reprendre les pratiques religieuses des gens en leur donnant un vêtement chrétien. Par exemple il y avait dans la campagne (puis aussi dans les villes) de petits autels des lares,qui avaient la forme de petite guérites avec une statue dedans, et fermées par un grillage : vous avez compris !! ce sont exactement les chapelles de saints protecteur du village ou de diverses versions de la Vierge qu’on a construit à leur suite partout dans les champs ! Pareil pour les autels domestiques dans les maisons continués par les bénitiers avec du buis sous les crucifix, etc (ou les saintes icones en pays orthodoxes).
Quelque part dans l’article on lit : « Un décret du Sénat (senatus-consulte) rend obligatoire l’hommage à la divinité impériale et aux lares publics » donc les chrétiens, qui refusaient de pratiquer ces cultes étaient ipso facto des criminels qu’on punissait donc de mort.
C’est comme dans l’Allemagne nazie, là on ne les envoyait pas aux bêtes du cirque, quoique …. pas grande différence, par exemple on avait obligé tous les allemands au lieu de dire bonjour à se saluer en disant Heil Hitler ! Donc les enfants des Témoins de Jéhovah, qui refusaient de faire le salut nazi étaient « signalés » (comme on dit actuellement en France ! ……) aux services sociaux, lesquels, avec la même mentalité que les nôtres de nos jours, en concluaient que leurs parents n’étaient pas capables de les "intégrer à la société", donc ils leur retiraient leurs enfants (en Angleterre on appelle ça les mettre « on care », les services Sociaux sont toujours très portés sur les euphémismes doucereux et vipérins ! Comme l’était la Très Sainte Inquisition) et les mettaient dans des orphelinats, quand aux parents ils étaient envoyés en camps de concentration.
21/07/2024
Apologie de la lubricité
Il y a souvent plus de sagesse dans les corps que dans les âmes, et souvent plus de profondeur. Les gens ne se laissent pas assez guider par lui dans leurs rapports à autrui.
Quand on entre en contact avec le corps de quelqu’un on touche quelque chose de plus profond - et de plus spirituel ! – que quand on croit entrer en contact avec son esprit. (R.P.)
« Ces plaisirs qu'on nomme, à la légère, physiques... » (Colette)
"Kiu ne amas seksumi nescias pri la plej bela donaco de naturo. Seksĝuo estas kuracilo por ĉiuj da vivdoloroj." (Terezinha Souza AMENO)
"Niaj unuaj lecionoj de disdonado komencis per la seksumado . Tiu mirakla kuracilo estas enhavita en nia propra korpo por servi kaj esti disdonita al la aliaj. Tiu kuracilo ne apartenas al ni sed al niaj amantoj !" (Terezinha Souza AMENO)
On pourrait enchaîner sur une
Apologie de la LUBRICITE
De tous temps (même maintenant, peut-être encore plus même ! vu l'ambiance de plus en plus puritaine, paranoïaque, intolérante, agressive, de la pudibonderie politically-correct, en tous cas beaucoup plus maintenant que dans les années 50) on a condamné moralement la lubricité ; on nous dit : - la sexualité oui, mais pas ça, parce que alors on ramène une personne au rang d’objet, on s’en sert comme utilité et source de plaisir, etc., et que c’est ce qui justifie qu’on la condamne et qu’on juge (officiellement, et dans tous les écrits) cela sale et vil.
Mais c’est de la mauvaise foi caractérisée (en particulier de la part des tenants de l’ordre établi !) qui cache un sempiternel et irrationnel rejet pudibond. Car : 1°)
Dans le salariat et les relations patrons – employés, vous ne me direz pas que les employeurs ne considèrent pas leurs employés comme de simples moyens ( des « Ressources Humaines » !), comme des choses carrément ! Et qu’ils n’hésitent pas à envoyer à la rue, au désespoir, et parfois à la mort sans vergogne aucune, et ce me semble on ne (surtout ne nos jours …) les considère pas pour autant comme des êtres vils et sales (quoique, hein ! …) ni le salariat comme immoral (au contraire on incite les gens à « savoir se vendre » !).
Et même dans la vie quotidienne, les rapports humains pratiques sont plus chosifiés que dans la sexualité la plus matérialiste, et tout le monde, presque tout le temps utilise et considère les autres humains, marchands, (et clients !, et pas un peu !) guichetiers, etc., etc., comme des utilités, pour son plaisir et sans que personne n’en soit choqué (en tout cas surtout pas les plus fervents pourfendeurs du désir et de la lubricité !) et sans pour autant s’avilir les uns les autres, ni se considéré comme avili.(1)
Et 2°) Tandis que par contre dans le désir sexuel les pensées libidineuses, et la lubricité on ne considère pas, « quoi qu’on die », la personne comme une chose, il est même, contrairement à ce qu’on prétend, des plus importants, et essentiel pour le plaisir que ce soi un être humain, et un être humain qui éprouve le même genre de sentiments. Et la lubricité n’est pas incompatible avec l’amour profond et tendre ni avec la conception alibi de la relation-sexuelle-expression-et-sommet-de-l’amour (où on ne penserait même pas à ce qu’on fait !).
Que dis-je : « Un quart d’heure d’un commerce intime entre deux personnes d’un sexe différent, et qui ont, je ne dis pas de l’amour, mais du goût l’un pour l’autre, établit une confiance, un abandon, un tendre intérêt que la plus vive amitié ne fait pas «éprouver après dix ans de durée. » (Sénac de Meilhan)
En fait tout cela est d’une mauvaise foi évidente et sert de mauvaises raisons qu’on cherche pour justifier a posteriori une crispation viscérale.
En fait, par contre, si on réfléchit bien, et on compare, le désir sexuel, et même carrément la lubricité bien loin d’être des actes et des pensées condamnables, sont des choses dont on pourrait au contraire faire l’apologie, et des modes de partage, de complicité, et de communication humaine qui pourraient parmi les meilleurs et les plus chaleureux, tout en étant un des plus faciles, et donc des plus humains. (contrairement à bien d’autres …..)
(1) Vous vous sentiriez gêné(e) d’être regardé(e) d’un regard libidineux ? A plus forte raison alors devez-vous l’être bien davantage quand un patron considère votre curriculum vitae ou quand un vendeur ou un réceptionniste d’hôtel repère la grosseur de votre voiture et celle supposée de votre pouvoir d’achat ! Et par un regard raciste ! et par le regard d’un flic ! ou d’un vigile privé donc ! (ceux-là sont négatifs et inhumains ; le regard sexuel est humain et positif lui, sauf chez ceux qui sont, en plus et par ailleurs , cyniques ou tordus, mais ça on peut l’être dans tous les domaines).
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17/07/2024
Comme disait Aimé Michel il ne faut jamais s'bstenir de penser
Au bord des routes s'étalent des affiches sur un truc "Terres en fêtes" (en réalité ça veut dire que c'est censé être une fête de l'agriculture, qui en réalité est composée essentiellement de ..... spectacles de rock and roll et chanteurs dans ce goût-là, je ne vois pas le rapport avec l'agriculture , bref retenons bien l'agriculture, les élevages), qui représentent des cochons, des des poulets, et des vaches qui jouent gaiement du rock and roll avec des guitares électriques.
Bon, réfléchissons : vous imaginez Hitler organiser une "Auschwitz en fête" avec sur les affiches des juifs hilares et des déportés travaillant à IG Farben Monowitz qui jouent du Yodel, vous auriez apprécié ?
comme disait Parménide :
« C’est avec le raisonnement qu’il faut trancher les problèmes. Il n’y a qu’une seule voie pour le courage. »
PS : et le Colisée ?… Imaginez, dans 2000 ans, des touristes qui, visitant des camps d’extermination d’Auschwitz, prendraient des photos en s’exclamant : «Oh ! super !…
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de nombreux naïfs
"le gel des actifs russes, ce qui était également une étape sans précédent, " https://reseauinternational.net/les-avoirs-russes-geles-o...
Ce qui montre bien que la mondialisation n'est pas contrairement à ce que croient de nombreux naïfs quelque chose de bien, mais un mal et, de même que selon les époques, la création de l'Etat ou celle du fascisme, un danger, toujours soumis à l'éternelle "loi du plus fort" et à la lutte des classes, principal moteur de l'histoire. Un mal à proscrire.
15/07/2024
les chansons qu'on n'oublie pas ce sont celles qui disent la vérité
si la vidéo refuse encore de marcher il faudra 1° téléchager et installer le navigateur Opéra http://www.clubic.com/telecharger-fiche18773-opera.html 2° y ajouter le module https://addons.opera.com/fr/extensions/details/download-y... accéder à cette vidéo par ce navigateur, ou sur http://www.youtube.com/watch?v=KVvDNasH4No , alors vous disposerez d'un bouton descargar (en espagnol) sans doute "télécharger" en français, etc par leqel vous pouvez soit visionner la vidéo, soit l'enregistrer sur votre ordinateur, ce qui llà, vous rend enfin libre de la regardez quand et comme vous voulez.
écoutez la chanson
au moins une fois avant de mourir, pour toujours
14/07/2024
la force d'éprouver du chagrin est un privilège de la jeunesse
de Sophocle, dans Oedipe à Colonne : « Puis à la fin,tombe sur nous l'ennemi entre tous redoutable la vieillesse impuissante, insociable, privée d'amis, en qui viennent tous les maux se réunir. On n'a plus d'autres compagnons que le chagrin. »
- Même pas ! La force d'avoir du chagrin est un privilège de la jeunesse.
« Ewig rein bleibt nur die Träne »
je suis content d'avoir fait CE travail et d'avoir fait rire CE public
Dieuddo tout le monde t'aime. Ce sera comme pour les années 40 les putes seront oubliés et jetés dans les poubelles de l'histoire, et c'est toi qui restera la célébrté
NE SURTOUT PAS OUBLIER de METTRE cetteVIDEO AUSSI SUR MON BLOG D'EKLABLOG
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12/07/2024
cette "upper-class" qui crache sur le peuple
avez-vous remarqué que quand dans un titre journalistique on dit "les diplômés" ceci, "les diplômés" cela - on entend TOUJOURS par là en fait les seuls diplômés du supérieur ! Alors, l'ami Socrate, réfléchissons un peu : alors comme ça le BEPC, le CAP, le BEP, le bac, ça n'est pas "des diplômes" !!? ceux qui ont le BEPC, le bac, ou un CAP, ça ne sont pas des diplômés ?! .....
revoilà l'infect racisme de classe (tout racisme d'ailleurs quand on gratte un petit peu, se révèle être un racisme de classe ! un racisme anti-pauvres, réflechissez un peu vous verrez) le racisme universitaire, de la classe des journaputes et leurs commanditaires les cadres-sup' du secteur privé (oui, les ceusses qui ne produisent RIEN, ni bien ni service, mais gagnent (très copieusement) leur vie à spéculer sur l'art de se faire du fric autour de la vente de biens ou de services produits par d'autres (très mal-payés eux), bref ceux que Bernard Friot rappelle (à leur grande colère, eh eh ! ) qu'ils sont des parasites.
Bref la classe qui vote pour le PS ou pour Macron, ou bien sûr pour la droite traditionnelle, et tout ça, bref "la volaille qui fait l'opinion" dans les beaux salons modernes éclairés à l'halogène. Des gens formés à coup de "réductions de texte" à bien penser dans les rails en manipulant rien que des petits cucubes conceptuels à la momode.
Eh oui "l'émancipation des travailleurs ne pourra être l'œuvre que des travailleurs eux-mêmes" (MARX). Maintenant voyons cette très intelligente vidéo https://ruclip.com/video/at_Ml0Zutfk/l-insurrection-est-e... et puisque sur ruclip on peut les lire lisez les commentaires ! le plus intéressant est celui qui dit :
"Je crois surtout que les "intellos" sont bien emmerdés, car ce sont les patrons des gilets jaunes : combien parmi eux emploient des femmes de ménage, des nounous et autres domestiques (très très bonne remarque ! On revient aux principes d’analyse marxiste, les conditions matérielles de vie ! Fondamental !) (avec ristourne de l'État qui subventionne donc ce patronat-là aussi), tout en se félicitant de "donner du travail à des pauvres gens" ? Combien parmi ces intellos traitent le personnel administratif du CNRS et de l'Université comme de la merde ? Combien pensent en leur for intérieur quand ils ne le disent pas carrément que tous ces gens qui n'ont pas fait normale sup ne devraient pas être autorisés à voter ?"
Voilà qui apporte de l'eau au moulin de la remarque qui ouvre ce billet hein ?!
regardez cette vidéo, au milieu du débat (à partir de 54 min ?) il y a une très intéressante conversation sur le RACISME DE CLASSE des bourges "diplômés de l'université" envers le peuple, super ! :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=ZZxhCGEMMdE[/youtube]
"C’est assez amusant, si l’on peut dire, de discuter en ce moment avec des gens de la "gauche" bourgeoise intello qui, se sentant en tant que "du Parti du Bien" ! donc de la gôche obligés à une certaine solidarité (purement verbale !) avec la "France d’en bas" (dont ils font rarement partie), défendent le principe de donner davantage la parole au peuple, mais deviennent d’un coup très timorés dès qu’on entre dans le concret et qu’ils se rendent compte de ce que ça impliquerait... On perçoit très vite les limites de leur conception de la démocratie. On touche là à l’un des savoureux paradoxes de ceux qui se prévalent de parler au nom du peuple..."
(oui ce peuple qui pour eux est par définition stupide, voilà le nœud idéologique et viscéral de ces racistes de classe, par ailleurs dépourvus de toute trace de sens moral 4min20 : https://hdclips.top/hd-videos/ghEkDQcu5Yo/dieudonn%C3%A9-... )
mais il peut y avoir un retour de bâton ("l'éternel retour du concret" disait Lénine), écoutez ici JJ Crèvecœur :
https://odysee.com/@Contreverse:7/210621-CDL93-HR:6
" parce que justement vous ne vous sentez pas du côté des privilégiés, vous avez davantage prêté attention à des discours qui n'allaient pas dans le sens du discours des privilégiés"
aussi n'ayez pas honte d'être "conspirationniste" car c'est ça justement qui est l'esprit scientifique rationnel ! comme en 1995, le peuple en n'écoutant pas la propagande "obligée" des gens qui se croient par droit divin du côté du vrai du beau et du bien, vous aurez accès à plus d'esprit critique, et d'information !! et peut-être c'est ainsi que le petit peuple fera renaître la France !
un article de Nicolas Bonnal :
« cette haine pathologique envers le peuple »
Les Nouveaux Chiens de Garde et le « pass » (en amerloque dans le texte) sanitairepar Nicolas Bonnal.
La presse française, qui appartient à quelques oligarques (dont Bernard LVMH, qui pèse aujourd’hui MILLE milliards…de francs) et est subventionnée à hauteur de 500 millions d’euros tant elle dégoûte les Français, aura été crasse et ignoble depuis le début de cette histoire : affolement, confinements, masques, vaccins, meurtres de masse, passes sanitaires, chantage et menaces, elle nous aura tout imposé. Malheureusement il n’y a rien de nouveau le sommeil : depuis les années Mitterrand et le passage du col Mao au Rotary (Hocquenghem) nous sommes dans un présent permanent d’omerta (Coignard), d’abjection et de désinformation. Nous sommes là pour enrichir les riches et pour empoisonner les Français, disent les gardiens de camp médiatique et électronique.
C’est que les gens dont nous parlons sont des chiens de garde. Et quels dobermans ! Et quels roquets ! Revenons-en alors au maître-livre de Serge Halimi, trublion du Monde diplomatique, qui rappelait dans son très documenté pamphlet que le journaliste est avant tout un enthousiaste :
« La censure est cependant plus efficace quand elle n’a pas besoin de se dire, quand les intérêts du patron miraculeusement coïncident avec ceux de « l’information ». Le journaliste est alors prodigieusement libre. Et il est heureux. On lui octroie en prime le droit de se croire puissant. Fêtard sur la brèche d’un mur de Berlin qui s’ouvre à la liberté et au marché, petit soldat ébloui par l’armada de l’OTAN héliportant au Kosovo la guerre « chirurgicale » et les croisés de l’Occident, avocat quotidien de l’Europe libérale au moment du référendum constitutionnel : reporters et commentateurs eurent alors carte blanche pour exprimer leur enthousiasme. Le monde avait basculé dans la « société de l’information », avec ses hiérarchies « en réseau », ses blogs et ses nouveaux seigneurs ».
La presse fut chargée d’encenser Davos :
« Le capitalisme a ses charités, ses philanthropes dont la mission est d’enjoliver un système peu amène envers ceux qu’il ne comble pas de ses bienfaits. La presse trône au premier plan de ces campagnes de blanchiment. Ainsi, Davos, autrefois conclave des « global leaders » soucieux de « créer de la valeur » pour leurs actionnaires, serait presque devenu un lieu de virée pour patrons copains et citoyens ».
Halimi tacle au passage l’effarant Joffrin :
« N’accablons pas Laurent Joffrin. Lui qui, pendant les années Reagan, célébra les États-Unis et le libéralisme (l’émission « Vive la crise ! » fut en partie son œuvre) n’a fait que traduire à sa modeste échelle ce que, sous la double pression de la concentration capitaliste et d’une concurrence commerciale favorisant le conformisme et la bêtise, le journalisme est devenu presque partout : creux et révérencieux ».
La géographie ça sert d’abord à faire la guerre, disait Yves Lacoste. La presse encore plus, surtout dans une puissance belligène et coloniale :
« Pendant les guerres, la presse se soucie moins de consensus, de pédagogie, de complexité, et davantage de réchauffer l’ardeur des combattants. Presque tout a été dit sur l’effondrement de l’esprit critique lors de la guerre du Golfe où, mis à part L’Humanité et La Croix (par intermittence), chacun des directeurs de quotidien se plaça au service de nos soldats. Quasiment unanimes, les hebdos, radios et télévisions firent chorus, se transformant en classe de recyclage pour officier au rancart vaincu en Algérie trente ans plus tôt et soucieux de prendre, dans les médias, sa revanche sur les Arabes ».
Halimi souligne cette haine pathologique du peuple. On la sentit venir en 1992 au moment de Maastricht. Juste là confinée au nationaliste pauvre (raciste, fasciste, nazi, antisémite, etc.), cette haine se communiqua à tout le peuple de gauche, du centre ou d’ailleurs :
« En 1992, la campagne du référendum sur le traité de Maastricht répéta les « dérives » observées pendant la guerre du Golfe. Là encore, beaucoup de choses se conjuguèrent : la volonté d’encourager l’élite éclairée qui construit l’avenir (« l’Europe ») alors que le peuple ne sait qu’exhaler ses nostalgies, sa « xénophobie » et ses « peurs » ; la préférence instinctive pour les options du centre, surtout lorsqu’elles s’opposent aux extrêmes « populiste » et « nationaliste » ; enfin la place accordée aux avis des experts et des intellectuels, eux aussi particulièrement sensibles aux ressorts précédents. Intelligence contre irrationalité, ouverture contre repli, avenir contre passé, ordre contre meute : tous ces fragments d’un discours méprisant de caste et de classe resurgirent au moment du référendum de mai 2005 sur le traité constitutionnel européen ».
Et comme on continue de chercher la petite bête immonde ici et ailleurs, Halimi rappelle : « Il a fallu attendre la fin du second septennat de François Mitterrand pour « découvrir » que l’ancien président de la République avait, sciemment et longtemps après la guerre, continué à fréquenter un haut dignitaire de Vichy impliqué dans les basses œuvres de ce régime, qu’il avait envoyé à la guillotine des militants de l’indépendance algérienne…Tant d’enquêteurs et tant de journaux se prétendant concurrents pour arriver à ce résultat-là ! »
Ce qui est juif, disait Goebbels à Fritz Lang, nous en décidons. Ce qui est antisémite aussi.
Concluons philosophiquement comme l’andouille Ferry. La presse française est crevée depuis longtemps. Comme l’Église ou les partis, elle survit en hystérésis, grâce à nos subventions.
10/07/2024
la déshumanisation de l'humanité, réfléchissez
Maintenant (déjà dans les années 90, maintenant c'est encore pire) le désir sexuel est invariablement décrit comme celui d’un chien pour un bifteck, la tendresse comme une violence, la beauté comme attentatoire à la dignité de la femme, faire l’amour comme une perversion, la complicité comme une aliénation, l’attachement comme une maladie mentale !
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