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la Paix ne pourra revenir qu'après la victoire définitive sur cette ploutocratie mondialiste criminelle et surtout la destruction de ce monstre absolu, cette pensée unique du capital qui est responsable des pires fascismes 1.0 et 2.0
« L’histoire humaine n’est rien d’autre que l’histoire de la lutte des classes » avait dit Marx. Et il avait raison. Y compris dans l’Église, regardez la mort de Célestin V, de Adrien VI, de Marcel II, de Jean-Paul 1er, la démission forcée de Benoît XVI. Benoît XVI (qui avait prétendu être trop fatigué pour être pape, il était en pleine forme, bien plus que Jean-Paul II, qui resta pape jusqu’à son dernier souffle, il vit toujours !) Benoit XVI, son premier geste fut d’aller prier devant la tombe de ….. Jean-Paul 1er ! et quand il a démissionné il a déposé son pallium sur la tombe de Célestin V !! Benoît XVI ne masquait pas son admiration pour ce pape tiens tiens ! c’est clair ! ) Lisez mon compendium sur le dossier Célestin V, connaissant le contexte de l’époque, les "hérétiques" protestataires du luxe du clergé, diabolisés et brûlés par l’inquisition, Joachim de Fiore, etc, le conflit de Philippe le Bel avec les Templiers, préteurs de l’époque …. Et documentez-vous sur l’élection accidentelle, les projets et les conditions de la mort d’Adrien VI, et de Marcel II (pas sur Wikipédia bien sûr!) vous découvrirez des choses !
Selon l'histoire officielle (mais souvenons-nous que l'histoire est toujours racontée par les vainqueurs .... or par des évènements et des cas récents nous avons appris grâce à internet à voir comment, à quel point et par quels artifices on peut déformer, caricaturer, censurer cacher la réalité jusqu'à la rendre méconnaissable.) le pape Célestin V aurait démissionné (comme Benoît XVI mais Benoît XVI on s'est tout de suite douté que ça cachait quelque chose), il se serait retiré dans un couvent, puis ........ enfui dudit couvent, de ville en ville pour échapper à ses poursuivants ...... et c'est alors qu'il cherchait à filer en Grèce qu'on l'a rattrapé et le pape qui lui a succédé l'a enfermé sous bonne garde dans son château d'Agnani, officiellement pour le protéger contre des gens qui pourraient l'enlever ! Euh, un petit détail : il est mort peu après ....
Bizarre tout ça, d'autant plus quand on apprend des détails sur le personnage :
ça donne des pistes de réflexion, non ?
(eh oui ! au XIVè siècle il n'y avait pas internet ! il était plus facile de camoufler la vérité .... et après la routine des historiens fonctionne, voilà voilà)
Le dossier en plus détaillé :
D’ailleurs le pape Benoît XVI, qu’on a forcé à la démission en bloquant tous les contacts électronique bancaires du Vatican, qui furent aussitôt débloqués – sans explication ! - dès que fut annoncé sa démission ! Et qui visiblement avait le sens des gestes symboliques (quand il fut élu il alla prier sur la tombe de …. Jean-Paul 1er ! (…… ) et dans son premier discours il dit priez pour moi, que j’ai le courage de ne pas céder devant les loups ( …) visiblement il a cédé. Benoît XVI donc quand il a démissionné a déposé son pallium sur la tombe de CélestinV !! Benoît XVI ne masquait pas son admiration pour ce pape : « Huit cents ans se sont écoulés depuis la naissance de saint Pietro Celestino V, mais il reste présent dans l’histoire en raison des célèbres événements de son époque et de son pontificat et, surtout, de sa sainteté. En effet, la sainteté ne perd jamais sa force d’attraction, elle ne tombe pas dans l’oubli, elle ne passe jamais de mode, au contraire, avec le passage du temps elle resplendit d’une luminosité toujours plus grande, exprimant la tension éternelle de l’homme vers Dieu. Je voudrais alors tirer plusieurs enseignements de la vie de saint Pietro Celestino, valables également à notre époque ».
http://benoit-et-moi.fr/2013-II/benoit/ce-lien-etrange-entre-celestin-v-et-benoit-xvi.php La figure de ce pape doux est resté écrasée par un enchevêtrement d'intérêts politiques: ceux de Charles II d'Anjou (1254-1309), d'une part et de l'autre ceux du cardinal Benedetto Caetani, ce dernier devenu pape sous le nom de Boniface VIII. C'est ainsi que Célestin V renonça au bout de quelques mois, indisponible à toute forme de corruption, à la charge pontificale. Il est mort le 19 mai 1296 après dix mois de captivité à Castel Fumone près d'Anagni, prisonnier justement de Boniface VIII qui, redoutant que ses adversaires puissent convaincre Célestin V de revenir au trône pontifical, le destituant ainsi, empêcha le saint moine de retourner à son ermitage. Curieusement, Boniface VIII porta le deuil à la mort de Célestin V, seul cas dans l'histoire des papes, et fit célébrer une messe publique pour le repos de son âme, et c'est lui qui initia le processus de canonisation mené à son terme le pape Clément V en 1313 à l'instigation du roi de France, Philippe le Bel (1268-1314). (rapport de forces ! faux-semblants, takallouf, déjà !)
Plus tard, en 1630, Lelio Marini, Abbé Général de la Congrégation de Célestin, dénonça l'assassinat de Pietro da Morrone par ordre de Boniface VIII.
il fut élu pape, sans avoir jamais posé sa sa candidature, après un peu plus de deux ans de vacance du Siège Apostolique. http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/135084575af.html?fr=y "Les cardinaux avaient pour objectif d’élire, en sa personne, un candidat de compromis qui constituerait une solution de transition, un ermite dépourvu d’expérience, très avancé en âge (85 ans), qui promettait de devenir un pape pas trop sévère. … Ce n’est pas à Rome – ville dans laquelle Célestin V ne se rendit jamais – que Charles II organisa la cérémonie de couronnement du nouveau pape, mais à L'Aquila, ville qui faisait partie de ses domaines. Pierre y fit son entrée monté sur un âne, à l’exemple du Christ, ce qui fit naître dans le peuple l'idée que le pape angélique des prophéties était enfin arrivé. Puis il s’installa à Naples, la capitale du roi angevin Charles II, neveu du roi de France Louis IX et roi de Naples, où celui-ci l’entoura d’hommes à lui tout en comblant de privilèges royaux les monastères fondés par Pierre. Ce dernier ne refusa pas ces largesses, mais il continua personnellement à mener une vie austère, dans une cellule aménagée spécialement pour lui au Château Neuf de Naples.
Élu le 5 juillet 1294 avec l’appui du roi Charles II d’Anjou qui souhaitait un Pape apte à lui faire reconquérir la Sicile, Pietro Angelari da Murone était loin de se douter de ce qu’on allait faire de lui. Les cardinaux chargés de l’en informer eurent à escalader un sommet des Abruzzes par une sente à décourager un mulet ! Découvrir l’ermitage où Pietro vivait en solitaire depuis un demi-siècle ne signifiait pas encore forcer sa porte. Les messagers de Rome purent tout juste apercevoir, par un étroit grillage, une tête hirsute et entendre une voix affaiblie les prier de le laisser tranquille. Non, il n’ouvrirait pas ! Non, jamais on avait songé à élire Pape un bonhomme de quatre-vingts ans perdu depuis dix lustres dans des solitudes sauvages ! On lui rappela les services qu’il avait rendus à l’Eglise, la congrégation de solitaires bénédictins qu’il avait fondée ; on lui remit en mémoire une prophétie séculaire qui annonçait pour des temps apocalyptiques, un mystérieux Pape angélique… Or, ne s’appelait-il pas précisément « Angelari », et pouvait-on attendre époque encore plus apocalyptique ? C’était de toute évidence la volonté de Dieu qu’on était venu lui signifier. Pietro Angelari se laissa ébranler : il consentit enfin à ouvrir sa porte et descendit de sa montagne avec ces messagers de Dieu. Mais c’est monté sur un âne qu’il tint à se présenter à Aquila, le 29 août, pour son couronnement. Il prit ce jour-là le nom de Célestin V. Charles II ne perdit pas de temps et convainquit le nouveau Pape de résider à Naples. Le Souverain Pontife ne devina pas qu’on le plaçait ainsi sous étroite surveillance. Il fut tout heureux de se trouver un autre ermitage et se mit à méditer sur ses nouveaux devoirs. Mais Charles II se chargea de lui dicter les réformes qu’il attendait de lui. Pour commencer, nommer douze cardinaux, tous clients du roi de Naples. Après cela, il fallait aussi de toute urgence nommer un nouvel évêque à Toulouse : Louis, le tout jeune fils de Charles II. Et ainsi de suite… Célestin V était pieux, il était docile, mais il n’était pas encore complètement idiot. Il se rendit assez vite compte qu’il n’était pas taillé pour cette fonction. Le cardinal Caëtani d’ailleurs s’employa à dissiper ses derniers doutes : oui la « volonté de Dieu » demandait à Célestin de passer la main. Caëtani poussa le dévouement jusqu’à rédiger lui-même un texte que le bon Pape n’eut plus qu’à lire, le 13 décembre 1294, devant les cardinaux assemblés : un acte d’abdication, cinq mois seulement après son élection. Caëtani, sous le nom de Boniface VIII, succéda à celui qu’il avait si charitablement secondé. Célestin crut pouvoir regagner son ermitage mais Boniface VIII en décida autrement : il mit son prédécesseur sous les verrous. Et c’est en prison que mourut l’infortuné Célestin V le 19 mai 1296.
Le 13 décembre 1294, Célestin V renonce au trône de Pierre devant le collège des cardinaux à Castel Nuovo. Le texte de son discours semble avoir été rédigé par Benedetto Caetani, l'un des canonistes qu'il avait consultés . Le 24 décembre, ce même Caetani est élu pape sous le nom de Boniface VIII (!...) et fait placer l'ancien pontife sous surveillance au motif qu'il pourrait être enlevé par ceux qui contestent la licité de la renonciation. Pietro s'enfuit à Sant'Onofrio, puis à San Giovanni in Piano, avant de tenter de partir pour la Grèce.Il est arrêté en chemin et transféré à Anagni puis au château de Fumone en Campanie sur l'ordre de Boniface VIII. Là il mourra. Mort naturelle ou assassinat ?
http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php?page=2007101_vian Assurément, Pietro del Morrone ne fut pas la personne naïve et désarmée que beaucoup décrivent. Pour le démentir, il suffit de constater qu'à l'origine, il fut à la tête d'une congrégation d'ermites qui se diffusa et se ramifia, de son vivant, dans de multiples fondations, entre l'Italie centrale et du Sud, franchissant très vite les Alpes. Pour défendre sa création, Pietro eut la force et le courage de se rendre à Lyon vers la fin de 1274, à la Curie pontificale, où il obtint de Grégoire X un privilège solennel qui, incorporant sa congrégation dans la famille bénédictine, en confirmait les propriétés, alors déjà importantes. Il fut à la tête de plusieurs communautés, comme celle de Santa Maria di Faifoli à Montagano, dans le Molise, ou de San Giovanni in Piano, près de Lucera, dans les Pouilles, qu'il réforma et consolida, même économiquement. Frugoni a donc raison lorsqu'il voit en Célestin non pas "ce vieillard caché dans les silences de la montagne et dans la macération des pénitences", mais "l'âme ardente et volontaire qui avait pendant tant d'années guidé son groupe de moines, qui était devenu toujours plus grand grâce à lui. Vibrant d'une religiosité qui se nourrissait d'attentes eschatologiques et qui refusait certainement l'Eglise politique comme un péché. Et il aura considéré comme un péché cette expérience, riche de compromis et de calculs des hommes d'Eglise, si différente de son idéal passionné. D'où le sentiment d'être moins profondément menacé par l'appui des laïcs qui paraissaient lui offrir leur dévotion et leur aide, et en même temps le poussaient, complices des moines, ". ….. A ce point, les insatisfaits du nouvel ordre bonifacien s'emparent de la figure de Célestin pour voiler et celle de son successeur, accusé d'être le responsable occulte d'une abdication illégitime extorquée par des moyens frauduleux, et même responsable d'une mort violente dans la forteresse de Fumone. A l'Eglise entièrement politique et terrestre de Boniface est opposée la présumée Eglise spirituelle de Célestin. Et on applique à Célestin - ce que fait déjà le dominicain provençal Robert d'Uzès en 1295-1296 - les prophéties relatives à un Pape angélique. Celles-ci peuvent encore une fois être attribuées à des groupes de spirituels italiens protégés par Célestin, qui diffusèrent en Occident des prophéties grecques attribuées à l'empereur Léon le Sage qui, dans la traduction latine, appliquent à un Pape les caractéristiques d'un souverain des temps derniers, partisan du droit et de la justice. Le filon prophétique du Pape angélique trouve dans la figure de Célestin un point de départ qui se projette vers l'avenir, traverse le XIIIe siècle, influence Cola di Rienzo, qui en est venu à connaissance par les ermites de la Maiella, et en diffuse le contenu dans la Bohême de Charles IV, mais il apparaît encore chez Savonarole, arrive même à Nostradamus et, à la fin du XVI siècle, au pseudo Malachie. Si Dante, également pour des raisons personnelles, condamne la renonciation de Célestin comme un acte de lâcheté, Pétrarque, dans sa défense de la vie solitaire, l'exalte comme un geste de liberté évangélique suprême. Mais Célestin continue à être pendant tout le XIX siècle le symbole d'une Eglise différente, prophétique, non terrestre mais entièrement religieuse: des Lettere agli uomini di Papa Celestino VI (1946), où transparaît tout l'élan prophétique et apocalyptique du dernier Papini, à L'avventura di un povero cristiano (1968), le dernier livre d'Ignazio Silone, originaire des Abruzzes.
Dans sa vie d’ermite il avait acquis une grande renomée et plein de gens voulaient le voir, lui essayait de les fuir, sans succès : http://books.openedition.org/pup/7041?lang=fr Pierre de Morrone jugeait cette situation peu compatible avec sa vie d’ermite. Il décide de se retirer à Saint-Barthélemy de Legio, dans un lieu plus isolé, avec quelques frères seulement19. Les visiteurs l’y poursuivent et Thomas de Sulmona note qu’ils sont encore plus nombreux20. Après y être resté quelques années, le saint ermite se rend dans une grotte de la vallée de l’Orfente encore plus inaccessible. Si grande était la foule qui venait à lui de toute part, au moment où il recevait, que la montagne semblait presque pleine de gens et c’est à peine si quelqu’un pouvait avoir la faculté de lui parler. Il s’agit cette fois d’une multitude et c’est la première fois que Thomas de Sulmona emploie ce terme dans sa biographie. ….. Le retour de Pierre de Morrone dans un ermitage à proximité de la plaine, non loin du monastère du Saint-Esprit est une décision mûrie. Son installation est l’occasion d’une extraordinaire démonstration de ferveur populaire. Il y a une multitude d’hommes et de femmes qui encombrent tous les chemins, tous les sentiers et toutes les routes. C’est une véritable procession. Tous les habitants de la province sont là et certains sont venus de plus loin encore. … L’élection pontificale donne à la notoriété de l’ermite un caractère universel qu’elle ne perd plus par la suite. Pendant sa fuite il est partout reconnu. Dans les Pouilles, des enfants qui ne l’ont jamais vu l’identifient immédiatement. De son élévation au pontificat à sa mort, où qu’il aille, la rumeur publique le précède. Personnage vénéré, Pierre de Morrone est entouré, dès son vivant, par la dévotion populaire. … Que Pierre de Morrone ait effectivement donné un enseignement spirituel à ceux qui se pressaient auprès de lui est bien assuré par son biographe qui consacre quelques paragraphes à rapporter brièvement ses propos aux différentes catégories de visiteurs. Il exhortait les puissants à ne pas mettre leur espérance dans la gloire du monde et dans les biens périssables. Il les invitait à rendre à leurs vassaux et à leurs subordonnés l’honneur qu’ils méritaient. Aux riches, il rappelait le devoir d’aumône. … Il fait un signe de croix sur une fillette et elle est guérie. C’est donc un miracle. Après son élection au pontificat, la bénédiction donnée à la fin de la messe a le même résultat.
Et puis, la question qui fait mal ! la question de l'inspecteur Colombo !!
POURQUOI PHILIPPE LE BEL A-T-IL DEMANDE QUE CELESTIN V SOIT RECONNU COMME MARTYR ? hein ? martyr de quelle cause, martyrisé par qui ?
En 1305-1306, Philippe le Bel demande au pape Clément V l'ouverture d'une enquête sur la vie et les miracles de Célestin V. Clément V, qui a refusé au roi l'ouverture d'un procès contre Boniface VIII, finit par accepter. L'enquête débute en 1306, mais n'aboutit qu'en 1313. Le 5 mai, Pietro de Morrone (et non sous le nom de Célestin V) est déclaré saint comme confesseur et non comme martyr comme le demandait Philippe le Bel.
L’immonde nazisme actuel qui réduit (pour le plus grand PROFIT du Grand Capital fabricant de « vaccins », qui en plus n’en sont pas vraiment, vous le savez j’espère ?) les non vaccinés, comme autrefois les non-aryens, au statut de sous-hommes (Untermensch) n’est pas nouveau, il avait été testé depuis trente ans, mais les veaux que sont nos concitoyens avaient refusé de le voir, et étaient entré dans le jeu de la « Kollaboration » et hurlé avec les loups. Vous comprenez maintenant que ce faisant vous avez construit votre propre cage ?
« Le fascisme n’est pas imposé par les fascistes, ils ne seraient pas assez nombreux, il est imposé par ceux qui acceptent d’obéir au fascisme » (D. Icke)
(un article de 2007)
Peut-être croyez-vous que l’interdiction de fumer sur les lieux de travail ou dans les restaurants a pour but de protéger les non-fumeurs ? Peut-être croyez-vous que la propagande antitabac a pour but de sauver la vie des fumeurs ? Peut-être répétez-vous que les fumeurs coûtent cher à la sécurité sociale ? Peut-être êtes-vous persuadé que le tabagisme passif est responsable de nombreux décès ? Si vous croyez tout cela et que vous le répétez à l’envi, vous êtes à votre insu un collabo de la nouvelle forme de pouvoir totalitaire nazi et sournois qui s’installe : la « démocrature ». Je ne vous demande pas de me croire. Ne croyez jamais personne mais réfléchissez et jugez par vous-même !
Protéger les non-fumeurs ?
S’il ne s’agissait que de protéger les non-fumeurs, aucune loi ne serait nécessaire. Notre système économique s’appuie sur la loi de l’offre et de la demande. Un restaurateur non-fumeur était déjà en droit d’interdire de fumer dans son établissement et d’y attirer un personnel et des clients non-fumeurs. Certains l’ont d’ailleurs fait bien avant la loi et c’était parfaitement leur droit.
Si l’Etat estimait qu’il n’y en avait pas assez, il lui suffisait d’inciter les restaurateurs à déclarer leur établissement non-fumeur par l’octroi d’une prime ou une réduction de la fiscalité. Ainsi chacun, restaurateur , client ou travailleur, fumeur ou non-fumeur, aurait pu effectuer un choix libre et, au lieu de se haïr, nos concitoyens auraient pu gérer leurs différences à l’amiable.
Trop simple, n’est-ce pas ? Trop logique pour des élus qui, en principe, devraient refléter les avis de toute la population !
C’est pourquoi toute personne intelligente comprendra que le but n’est pas de protéger les non-fumeurs mais de s’en servir à leur insu. Le véritable objectif est de restreindre les libertés individuelles et le droit à la propriété privée.
Car un restaurant, tout comme un lieu de travail, n’est pas un espace public. C’est une propriété privée, achetée à gros prix, dans laquelle l’entrepreneur a, de plus, investi beaucoup d’argent pour pouvoir y travailler et assurer son avenir. Il est donc normal qu’il soit seul responsable des décisions qui concernent son bien. S’il omettait de payer les cotisations sociales de ses employés, l’Etat serait d’ailleurs le premier à le sanctionner. Cette omission pourrait pourtant avoir pour cause la perte de clientèle orchestrée par les décisions irresponsables du gouvernement.
Nous verrons plus loin pourquoi nos dirigeants tiennent tant à restreindre la propriété privée et les libertés individuelles, mais poursuivons d’abord notre analyse.
Réduirelecoûtdessoinsdesanté?
Nombreux sont les citoyens qui croient dur comme fer qu’ils paient les soins de santé des fumeurs. C’est encore un des nombreux mensonges du gouvernement et un simple petit calcul peut vous permettre de vous en rendre compte.
Je l’ai fait pour la Belgique, puisque j’y vis, mais vous obtiendrez sans doute pour la France des résultats proportionnellement identiques. En 2004, le total des remboursements de frais médicaux pour l’ensemble du pays s’élevait à 3.790.030.000 € . Le ministre de la Santé insistait sur le fait que le tabac était la cause de 10% de ces coûts (ce qui n’est pas beaucoup quand on sait que les fumeurs constituent 30% de la population).
Sur un paquet de cigarettes à 5 €, le détaillant perçoit 0,40 €, le fabricant 0,581 € et l’Etat le reste, décomposé en "taxe de droit à la consommation" et en TVA. Le gouvernement touche donc plus de 4 € par paquet de cigarettes. Puisqu’il y a 3 millions de fumeurs en Belgique, pour une moyenne d’un paquet par jour, les recettes du tabac s’élèvent donc à 12 millions d’euros par jour, soit 4.380.000.000 par an, c’est à dire plus que le coût des soins de santé pour l’ensemble de la population. Et les fumeurs cotisent aussi à la mutuelle.
Si les recettes en provenance du tabac ne sont pas consacrées aux soins de santé, est-ce la faute des fumeurs ou bien celle des militants antitabac qui relaient sans aucun discernement les mensonges les plus grossiers ?
Lestaxessurlescigarettesetletabac
Pratiquement chaque année, les gouvernements augmentent les accises sur le tabac. La dernière augmentation en Belgique date du premier janvier et elle est de 53 centimes.
"Bien fait pour eux" s’exclament les antitabac, s’imaginant avec une naîveté qui fait peine à voir qu’ils sont ainsi eux-mêmes épargnés.
Ce qui est faux car le tabac et les carburants ne sont pas repris dans l’indice des prix à la consommation et les taxes sur ces produits ne sont donc jamais compensées par des hausses de salaire qui pourraient bénéficier à tous les citoyens.
Pire, les 4 € par jour que chaque fumeur verse en taxes à l’Etat (et on a vu ce que ça faisait par an) échappent au chiffre d’affaires des commerçants qui ne cessent de souffrir de la baisse de pouvoir d’achat de la population. Si le commerce décline, les entreprises ferment et le chômage grossit. Et qui paie les allocations de chômage ? Seulement les fumeurs ?
Mais, me direz-vous, il faut bien que l’Etat prenne ses taxes quelque part. S’il ne les prenait pas aux fumeurs, il les prendrait ailleurs.
Sans doute, mais s’il les prenait sur des produits liés à l’indice des prix à la consommation, cette perte de pouvoir d’achat serait bientôt compensée par des augmentations de salaires, ce qui permettrait aux commerces de retrouver leur chiffre d’affaires et aux entreprises de continuer à produire de la richesse.
Pourlebiendesfumeurs?
Soyons sérieux ! S’il se souciait du bien des fumeurs, le ministre de la Santé n’aurait-il pas d’abord commandé une étude sur les risques inhérents aux comportements et produits de substitution que les fumeurs sont susceptibles d’adopter pour rééquilibrer leur vie en cas de sevrage ?
Nous vivons tous dans des conditions de stress et de frustrations accumulés : exigences de rentabilité, administration pesante, pertes d’emploi, baisse du pouvoir d’achat, multiplication des interdits et des obligations légales...
Chacun essaie de se rééquilibrer comme il peut. Les uns ne peuvent maîtriser des accès de violence qui tournent au vandalisme ou à l’agression, d’autres s’adonnent aux drogues dures, d’autres encore à l’alcoolisme, certains se suicident, d’autres enfin fument et ce ne sont pas les plus dangereux ni pour les autres ni pour eux-mêmes.
S’il se souciait du bien des fumeurs, le ministre de la Santé les désignerait-il à l’opprobre public ? Les contraindrait-il contre leur gré ?
Letabagismepassifseraitlacausedemilliersdedécès?
Voilà encore une pseudovérité qui va bientôt apparaître au grand jour suite à une action en justice pour faire cesser les nuisances des campagnes antitabac. Je suis en train de contacter à cette fin un panel d’experts, professeurs d’université en médecine et en psychologie. Je les choisis de préférence parmi ceux qui sont déjà engagés dans la lutte contre le cancer ou pour le sevrage du tabac afin d’assurer la crédibilité de leur expertise.
Sans préjuger de celle-ci, nous sommes déjà cependant d’accord sur les points suivants :
1) Il existe effectivement un certain nombre de patients qui, sans avoir eux-mêmes fumé, présentent les mêmes symptômes que les fumeurs. Leur exposition à la fumée des autres est cependant difficilement quantifiable. Certains ont vécu dans l’entourage de gros fumeurs, d’autres n’y ont été exposés qu’épisodiquement. Par ailleurs, l’intervention d’autres facteurs que le tabac n’est pas à exclure. Ce sont les décès dans cette catégorie de patients que les militants antitabac annoncent comme victimes du tabagisme passif.
2) Tout médecin et tout psychologue connaît l’effet placebo et son correspondant négatif appelé "nocebo"... Je vous invite à taper "placebo" dans Google et à lire l’explication qu’en donne Wikipedia. Tous les experts sont d’accord sur le fait que les prédictions alarmistes en matière de santé ont tendance à produire le développement de la maladie. Tous les médecins et psychologues le savent mais peut-être pas le ministre de la Santé ?
3) Les études entreprises sur les méfaits supposés du tabagisme passif sont postérieures à la naissance de la propagande antitabac. Auparavant, il faut croire qu’on n’en ressentait pas le besoin.
4) Il existe une évolution dans le temps quant à la manière dont le public perçoit la fumée de pipe ou de cigarette. Dans les années 60, elle était rarement perçue comme dérangeante, de nombreux non-fumeurs la trouvaient même plutôt agréable. Aujourd’hui, elle provoque plus souvent la répulsion. Il s’agit là d’une manifestation psychosomatique qui tend à accréditer l’influence de la propagande sur le développement de maladies tant chez les fumeurs passifs que chez les fumeurs actifs.
5) Le nombre de fumeurs se tasse et le nombre de cancers augmente. Il faut donc incriminer un autre agent que la cigarette.
6) La nicotine et les additifs placés dans le tabac pour renforcer l’assuétude ne semblent pas provoquer la moindre dépendance chez le fumeur passif. Ceci démontre à tout le moins que les effets de la cigarette ne sont pas les mêmes pour les fumeurs passifs. Pourquoi alors développeraient-ils les mêmes symptômes ?
En conclusion, il est plus probable que les méfaits du tabagisme passif dénoncés par les propagandistes antitabac soient dus à la propagande elle-même plutôt qu’au tabac des fumeurs. Relayer cette propagande est donc dangereux pour sa propre santé et pour celle d’autrui.
Pourquoialorscettechargecontrelesfumeurs? Ils vont faire l’Europe. La Communauté européenne, c’est une population presque deux fois plus importante que celle des Etats-Unis et la plupart des nouveaux adhérents n’ont pas l’héritage culturel de la liberté que nous a apporté la Révolution française.
Pour gérer l’Europe, d’aucuns estiment qu’il faut un gouvernement fort et autoritaire.sans lequel les décisions supranationales ne seront jamais respectées dans les Etats membres.
Pour instaurer ce type de gouvernement, ils ont simplement pris exemple sur la dernière méthode efficace utilisée en Europe. Souvenez-vous qu’au cours des années 30, les nazis ont progressivement désignés les Juifs coupables de tous les maux, qu’ils les ont spolié de leurs biens , qu’ils ont petit à petit créé un climat d’intolérance à leur égard, les ont éloignés des lieux de travail, les ont rendus infréquentables aux yeux de la population qui, relayant le discours officiel, a collaboré à la mise en place d’un pouvoir dictatorial.
Aujourd’hui, les fumeurs sont présentés comme des pestiférés, comparés à des animaux, pris en photos assouvissant leur vice par un temps à ne pas mettre un chien dehors. Si l’interdiction sur les lieux de travail est absolue, même pour le fumeur qui occupe seul un bureau, c’est pour l’obliger à sortir et ternir son image, pour lui faire perdre plus rapidement son emploi aussi.
Chassés des lieux de détente, condamnés à vivre en exclus
(tiens tiens ! Ça me fait penser à quelque chose, de très récent, même totalement actuel ...)
et, sous la pression des taxes, à dégringoler d’une classe sociale, les fumeurs d’aujourd’hui sont dans la même situation que les Juifs des années 30.iVous croyez que leur sort est plus enviable parce qu’ils peuvent retrouver un statut normal en arrêtant de fumer ? Deux tiers ont essayé... sans succès.
Je ne veux pas d’une telle Europe, ni d’une telle Belgique, ni d’une telle France. L’Europe est une chance si elle reste démocratique et sait prendre ses distances avec le modèle anglo-saxon.
Hélas, ce ne semble pas être le cas. Les Chirac, de Villepin, Schroëder, Verhofstadt qui avaient osé s’opposer à Bush lors de la question irakienne (et on sait à présent combien ils avaient raison) ont disparu ou sont en perte de vitesse tandis que se profilent pour leur succéder un Sarkozy qui n’a jamais caché sa sympathie pour Bush et une Ségolène qui avoue son admiration pour Blair.
La seule réaction que nous pouvons avoir est d’offrir aux fumeurs et à tous les non-fumeurs qui souhaitent défendre leur liberté, l’occasion d’exprimer leur poids démocratique.
C’est pourquoi s’est créé en Belgique un parti politique qui prendra ouvertement la défense des fumeurs pour les législatives du 10 juin. Et je peux vous assurer, pour être en contact avec les gens lorsque je distribue mes affiches, que le vent de la contestation est fort. Si les médias nous relaient dans l’ensemble du pays, nous pouvons faire passer aux partis de pouvoir, et pour longtemps, le goût des lois liberticides.
Commentaire de : pierrarnard 29 janvier 2007
Excellent article qui va a l’encontre de la bien pensance actuelle.C’est vrai que les fumeurs sont un bouc émissaire parfait presque autant que l’automobiliste. On les stigmatise mais c’est pour mieux les protéger mon enfants ! c’est pour leur bien...Les automobilistes tuent des qu’ils touchent un volant, les fumeurs tuent des qu’ils approchent un non fumeur, le bon citoyen est terrorisé. Mais heureusement l’état veille pour protéger le bon citoyen de tous ces méchants éléments subversifs. Et pendant ce temps on à dérogé pour utiliser l’amiante jusqu’en 1997 dans l’industrie. Manipulés, nous ????
Dans cette vidéo https://odysee.com/@ConversationDuLundi:4/CDL44:3 Jean-Jacques Crèvecœur parles parmi les conséquences du 11 septembre de "contrôles renforcés dans les aéroports". Mais c'est bien plus que ça, savez-vous comment ça se passait et comment l'esprit des gens, des GENS, était par exemple en 1969, année encore civilisée. Lisez ce qui suit, là vous allez vous rendre compte de la dégradation abyssale de la Civilisation depuis :
Relire les Reader's Digest de 1969 (1) aussi ça peut être vachement instructif!
(1) le n° d'octobre 1969, page 233
l'explication vous aller la lire plus bas, après la ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Esperantligva resumo: pr. 1968-69 ekestis en usonaj aviadiloj ondo de kaperoj, fare de (armitaj, kaj la vojaĝantojn minacantaj) homoj, kiuj volis igi la aviadilon iri al Kubo (ĉar pro la usona bojkoto al Kubo neeblis iri alimaniere, kaj tiuj estis revoluciemuloj, kiuj ege deziris vivi en Kubo). Do en artikolo de Selektado de l'Reader's Digest ( N° de oktobro 1969 p. 233 franclingva eldono), post rakontado de pluraj okazoj tiaj, la aŭtoro finis per meti la demandon? kion fari ?? Tiam lia respondo estis: malfeliĉe nenion, ĉar la ununura efika rimedo estus priserĉi ĉiujn pasaĝerojn antaŭ ke ili enirus en la aviadilo, kja tio estas nepensebla, aldonis li kiel memkomprenebleco, tro malĝentila, ktp, kaj "la vojaĝuntoj certe ne konsentus pri tia afero !" (kio subkomprenas: se ili rifuzas estas nepenseble ke oni trudu ilin). Kiom la etoso kaj kondutoj, kaj sintenoj, tiom bone de la "instancoj" kaj de la publiko, ŝanĝis !! ĉu ne ?! Nenio tiom utilas kiom relego de revuoj post "breĉo de kelkdek jaroj, ĉu ne? Certaj aferojn oni ne sentas dum ili okazas. Nur poste oni konstatas, kaj rememorante eble ia tremmalvarmiĝo ŝoviĝas laŭ via spino. Kiam oni konsciiĝas pri la evoluo, ĉu oni ne komencas maltrankviliĝi ? Ni direktiĝas pli kaj pli al la stato priskribita de unu rolulo de la romano de l'fratoj Strugatski "Malfacilas esti dio": "La principoj simplas, ili estas tri: blinda kredo je ĝusteco de leĝoj, senkontraŭdira obeo al tiuj kaj krome senĉesa kontrolado de ĉiu per ĉiuj !" -----------------------------------------------------------------------------------------------------------------
En effet: Vers 1968-69 s’est développé sur les avions américains une vague de détournements d’avions (c’étaient les premiers je crois) de la part de gens (armés bien sûr, et qui menaçaient les pilotes et les passagers) qui voulaient se rendre à Cuba, Mecque des révolutionnaires, que les USA avaient mis sous embargo et où il n’était plus possible de se rendre par les lignes régulières). Après une longue suite de récits, l’auteur de l’article (sur Reader’s Digest, une revue conservatrice et sans aucune sympathie pour le communisme !) concluait : "Mais Que faire ? Il n’y a malheureusement rien à faire. Car la seule solution vraiment efficace serait de fouiller les passagers et leurs bagages avant l’embarquement, et ça c’est impossible !" concluait-il comme une évidence, ajoutant que ce serait trop malpoli et trop choquant, et que d’ailleurs les passagers "prendraient, sans doute, cela assez mal" (Ce qui veut dire: si les passagers n’acceptent pas on ne va pas les forcer).
En 1969
Comme le monde a changé depuis !!! Je ne vous fais pas un dessin...
bon, je vous laisse réfléchir NOUVEAU Bon, parmi les dérives les plus graves actuellement et les plus menaçantes il ya l'instrumentalisation par la police du "délit d'outrage", il faut y mette fin, sinon notre Etat de Droit et notre civilisation sont foutues !
kaj nun Francio : Barbareca lando sub polica reĝimo ( la France tombée sous la shlague et devenue régime policier et barbare - et avec Macron-Nunez ça ne s'arrange pas ! )
"Et vous pensez que, lorsque la « pandémie » s’arrêtera et que l’économie s’ouvrira,"
la "pandémie" ne s'arrêtera pas, car elle n'a pas commencée, elle est inventée de A jusqu'à Z, dans le cadre d'un projet fasciste de maximisation du profit de grand capital, et d'imposition à ce qui restera de travailleurs d'un nouveau statu d'esclavage totalitaire. Il n'y a pas de raison qu'ils s'arrêtent !
D'autant plus qu'avec tout ce qu'ils ont déjà fait ils savent que si'ls baissent la garde et laissent revenir l'Etat de Droit, ils seron jugés à Nüremberg pour crimes contre l'humanité, et seront pendus, à moins que la foule en colère ne les lynche avant. Alors ils sont acculés et ne peuvent que pratiquer la fuite en avant, vers toujours plus de dictaure toujours plus de totalitarisme, toujours plus de repression et de mensonges.
On est mal barrés !
Car la comparaison avec le fascisme 1.0 des années 30 s'arrête là : ce fascisme-là a fini par tourner à la guerre, et ils ont été battus par l'URSS (Koursk, Stalingrad). Mais ici qui nous sauvera ? je ne vois aucune possibilité...
Les grands responsables sont ceux qui depuis plus de vingt ans ont accepté passivement toute l'évolution, sans protester, voire sans s'en rendre compte. que moi je voyais, et de rares autres. Amère satisfaction dont je me passerais bien.
Ce qui montre bien que la mondialisation n'est pas contrairement à ce que croient de nombreux naïfs quelque chose de bien, mais un mal et, de même que selon les époques, la création de l'Etat ou celle du fascisme, un danger, toujours soumis à l'éternelle "loi du plus fort" et à la lutte des classes, principal moteur de l'histoire. Un mal à proscrire.
avez-vous remarqué que quand dans un titre journalistique on dit "les diplômés" ceci, "les diplômés" cela - on entend TOUJOURS par là en fait les seuls diplômés du supérieur ! Alors, l'ami Socrate, réfléchissons un peu : alors comme ça le BEPC, le CAP, le BEP, le bac, ça n'est pas "des diplômes" !!? ceux qui ont le BEPC, le bac, ou un CAP, ça ne sont pas des diplômés ?! .....
revoilà l'infect racisme de classe (tout racisme d'ailleurs quand on gratte un petit peu, se révèle être un racisme de classe ! un racisme anti-pauvres, réflechissez un peu vous verrez) le racisme universitaire, de la classe des journaputes et leurs commanditaires les cadres-sup' du secteur privé (oui, les ceusses qui ne produisent RIEN, ni bien ni service, mais gagnent (très copieusement) leur vie à spéculer sur l'art de se faire du fric autour de la vente de biens ou de services produits par d'autres (très mal-payés eux), bref ceux que Bernard Friot rappelle (à leur grande colère, eh eh ! ) qu'ils sont des parasites.
Bref la classe qui vote pour le PS ou pour Macron, ou bien sûr pour la droite traditionnelle, et tout ça, bref "la volaille qui fait l'opinion" dans les beaux salons modernes éclairés à l'halogène. Des gens formés à coup de "réductions de texte" à bien penser dans les rails en manipulant rien que des petits cucubes conceptuels à la momode.
Eh oui "l'émancipation des travailleurs ne pourra être l'œuvre que des travailleurs eux-mêmes" (MARX). Maintenant voyons cette très intelligente vidéo https://ruclip.com/video/at_Ml0Zutfk/l-insurrection-est-e... et puisque sur ruclip on peut les lire lisez les commentaires ! le plus intéressant est celui qui dit :
"Je crois surtout que les "intellos" sont bien emmerdés, car ce sont les patrons des gilets jaunes : combien parmi eux emploient des femmes de ménage, des nounous et autresdomestiques(très très bonne remarque ! On revient aux principes d’analyse marxiste, les conditions matérielles de vie ! Fondamental !) (avec ristourne de l'État qui subventionne donc ce patronat-là aussi), tout en se félicitant de "donner du travail à des pauvres gens" ? Combien parmi ces intellos traitent le personnel administratif du CNRS et de l'Université comme de la merde ? Combien pensent en leur for intérieur quand ils ne le disent pas carrément que tous ces gens qui n'ont pas fait normale sup ne devraient pas être autorisés à voter ?"
Voilà qui apporte de l'eau au moulin de la remarque qui ouvre ce billet hein ?!
regardez cette vidéo, au milieu du débat (à partir de 54 min ?) il y a une très intéressante conversation sur le RACISME DE CLASSE des bourges "diplômés de l'université" envers le peuple, super ! : [youtube]https://www.youtube.com/watch?v=ZZxhCGEMMdE[/youtube]
"C’est assez amusant, si l’on peut dire, de discuter en ce moment avec des gens de la "gauche" bourgeoise intello qui, se sentant en tant que "du Parti du Bien" ! donc de la gôche obligés à une certaine solidarité (purement verbale !) avec la "France d’en bas" (dont ils font rarement partie), défendent le principe de donner davantage la parole au peuple, mais deviennent d’un coup très timorés dès qu’on entre dans le concret et qu’ils se rendent compte de ce que ça impliquerait... On perçoit très vite les limites de leur conception de la démocratie. On touche là à l’un des savoureux paradoxes de ceux qui se prévalent de parler au nom du peuple..."
(oui ce peuple qui pour eux est par définition stupide, voilà le nœud idéologique et viscéral de ces racistes de classe, par ailleurs dépourvus de toute trace de sens moral 4min20 : https://hdclips.top/hd-videos/ghEkDQcu5Yo/dieudonn%C3%A9-... )
" parce que justement vous ne vous sentez pas du côté des privilégiés, vous avez davantage prêté attention à des discours qui n'allaient pas dans le sens du discours des privilégiés"
aussi n'ayez pas honte d'être "conspirationniste" car c'est ça justement qui est l'esprit scientifique rationnel ! comme en 1995, le peuple en n'écoutant pas la propagande "obligée" des gens qui se croient par droit divin du côté du vrai du beau et du bien, vous aurez accès à plus d'esprit critique, et d'information !! et peut-être c'est ainsi que le petit peuple fera renaître la France !
un article de Nicolas Bonnal :
« cette haine pathologique envers le peuple »
Les Nouveaux Chiens de Garde et le « pass » (en amerloque dans le texte) sanitairepar Nicolas Bonnal.
La presse française, qui appartient à quelques oligarques (dont Bernard LVMH, qui pèse aujourd’hui MILLE milliards…de francs) et est subventionnée à hauteur de 500 millions d’euros tant elle dégoûte les Français, aura été crasse et ignoble depuis le début de cette histoire : affolement, confinements, masques, vaccins, meurtres de masse, passes sanitaires, chantage et menaces, elle nous aura tout imposé. Malheureusement il n’y a rien de nouveau le sommeil : depuis les années Mitterrand et le passage du col Mao au Rotary (Hocquenghem) nous sommes dans un présent permanent d’omerta (Coignard), d’abjection et de désinformation. Nous sommes là pour enrichir les riches et pour empoisonner les Français, disent les gardiens de camp médiatique et électronique.
C’est que les gens dont nous parlons sont des chiens de garde. Et quels dobermans ! Et quels roquets ! Revenons-en alors au maître-livre de Serge Halimi, trublion du Monde diplomatique, qui rappelait dans son très documenté pamphlet que le journaliste est avant tout un enthousiaste :
« La censure est cependant plus efficace quand elle n’a pas besoin de se dire, quand les intérêts du patron miraculeusement coïncident avec ceux de « l’information ». Le journaliste est alors prodigieusement libre. Et il est heureux. On lui octroie en prime le droit de se croire puissant. Fêtard sur la brèche d’un mur de Berlin qui s’ouvre à la liberté et au marché, petit soldat ébloui par l’armada de l’OTAN héliportant au Kosovo la guerre « chirurgicale » et les croisés de l’Occident, avocat quotidien de l’Europe libérale au moment du référendum constitutionnel : reporters et commentateurs eurent alors carte blanche pour exprimer leur enthousiasme. Le monde avait basculé dans la « société de l’information », avec ses hiérarchies « en réseau », ses blogs et ses nouveaux seigneurs ».
La presse fut chargée d’encenser Davos :
« Le capitalisme a ses charités, ses philanthropes dont la mission est d’enjoliver un système peu amène envers ceux qu’il ne comble pas de ses bienfaits. La presse trône au premier plan de ces campagnes de blanchiment. Ainsi, Davos, autrefois conclave des « global leaders » soucieux de « créer de la valeur » pour leurs actionnaires, serait presque devenu un lieu de virée pour patrons copains et citoyens ».
Halimi tacle au passage l’effarant Joffrin :
« N’accablons pas Laurent Joffrin. Lui qui, pendant les années Reagan, célébra les États-Unis et le libéralisme (l’émission « Vive la crise ! » fut en partie son œuvre) n’a fait que traduire à sa modeste échelle ce que, sous la double pression de la concentration capitaliste et d’une concurrence commerciale favorisant le conformisme et la bêtise, le journalisme est devenu presque partout : creux et révérencieux ».
La géographie ça sert d’abord à faire la guerre, disait Yves Lacoste. La presse encore plus, surtout dans une puissance belligène et coloniale :
« Pendant les guerres, la presse se soucie moins de consensus, de pédagogie, de complexité, et davantage de réchauffer l’ardeur des combattants. Presque tout a été dit sur l’effondrement de l’esprit critique lors de la guerre du Golfe où, mis à part L’Humanité et La Croix (par intermittence), chacun des directeurs de quotidien se plaça au service de nos soldats. Quasiment unanimes, les hebdos, radios et télévisions firent chorus, se transformant en classe de recyclage pour officier au rancart vaincu en Algérie trente ans plus tôt et soucieux de prendre, dans les médias, sa revanche sur les Arabes ».
Halimi souligne cette haine pathologique du peuple. On la sentit venir en 1992 au moment de Maastricht. Juste là confinée au nationaliste pauvre (raciste, fasciste, nazi, antisémite, etc.), cette haine se communiqua à tout le peuple de gauche, du centre ou d’ailleurs :
« En 1992, la campagne du référendum sur le traité de Maastricht répéta les « dérives » observées pendant la guerre du Golfe. Là encore, beaucoup de choses se conjuguèrent : la volonté d’encourager l’élite éclairée qui construit l’avenir (« l’Europe ») alors que le peuple ne sait qu’exhaler ses nostalgies, sa « xénophobie » et ses « peurs » ; la préférence instinctive pour les options du centre, surtout lorsqu’elles s’opposent aux extrêmes « populiste » et « nationaliste » ; enfin la place accordée aux avis des experts et des intellectuels, eux aussi particulièrement sensibles aux ressorts précédents. Intelligence contre irrationalité, ouverture contre repli, avenir contre passé, ordre contre meute : tous ces fragments d’un discours méprisant de caste et de classe resurgirent au moment du référendum de mai 2005 sur le traité constitutionnel européen ».
Et comme on continue de chercher la petite bête immonde ici et ailleurs, Halimi rappelle : « Il a fallu attendre la fin du second septennat de François Mitterrand pour « découvrir » que l’ancien président de la République avait, sciemment et longtemps après la guerre, continué à fréquenter un haut dignitaire de Vichy impliqué dans les basses œuvres de ce régime, qu’il avait envoyé à la guillotine des militants de l’indépendance algérienne…Tant d’enquêteurs et tant de journaux se prétendant concurrents pour arriver à ce résultat-là ! »
Ce qui est juif, disait Goebbels à Fritz Lang, nous en décidons. Ce qui est antisémite aussi.
Concluons philosophiquement comme l’andouille Ferry. La presse française est crevée depuis longtemps. Comme l’Église ou les partis, elle survit en hystérésis, grâce à nos subventions.
en France on revient à la "Gnadentod", destinée à réduire les dépenses de la sécu du Reich ! et ce n'est qu'un début ! une fois le tabou brisé vient l'emballement, la Belgique l'a bien montré !
Mais,au fait !
une question qui n'est pas posée c'est les infirmières qui FONT concrètement les ACTES (et absences d'actes) tueurs (car bien sûr le médecin, le "grand patron" d'hôpital, en général arrogant, oh combien ! dans ce milieu, se contente de donner les ordres à son personnel (et encaisser les gras honoraires) qu'en pensent-elles ? Ce sont pourtant elles qui donnent la mort. Mais bien sûr on ne leur demande pas leur avis, elles n'ont qu'à obéir "ac cadaver" sinon c'est la porte ! La ruine de leur vie, la maison achetée à crédit vendue par la banque, la clochardisation, etc ….
Et là, on ne peut s'empêcher de penser à ce cas : (paru sur la Midi Libre http://expressions.ecoutespirite.org/aux-frontieres-de-la-mort-revenus-dun-coma-ils-racontent/) celui de M. Joseph Garcia de Lagamas dans l'Hérault, à l'âge de 21ans il s'est retrouvé suite à un accident plusieurs semaines dans le coma, il dit entre autre : "Je sais aussi que malgré la fait que j'étais dans le coma je me rappelle très bien (en 2012, après 61 ans) du nom et du visage de l'infirmière en chef qui a désobéi au médecin pour continuer le bon traitement pour moi et qui m'a sauvé la vie. Comment j'ai pu connaître son nom ?"
Vincent Lambert n'a pas eu cette chance là ....
il n'y a pas eu d'infirmière qui a désobéi pour lui sauver la vie ...
6 juillet 2019, réponses à dix arguments favorables à l’ « euthanasie » de Vincent Lambert :
1« Sa mère n’a qu’à prendre son fils chez elle et s’en occuper elle-même ! »
Ses parents le souhaiteraient justement !!! et plusieurs autorités médicales ont reconnu que Vincent Lambert pourrait tout à fait être hébergé chez ses parents.! Ils en ont fait la demande plusieurs fois auprès des juridictions françaises et cela leur a été expressément et systématiquement refusé ! C’est le premier problème fondamental et spécifique à cette affaire : Vincent Lambert n’est pas dans l’unité de soins adaptée à sa situation. Il ne devrait pas être dans un service de soins palliatifs mais dans une maison ou clinique adaptée et spécialisée pour son handicap. Certains hôpitaux et cliniques privés spécialisés pour ce genre de handicap ont proposé d’accueillir Vincent Lambert dans leurs structures. Cela fut également systématiquement refusé.
Dans une tribune collective du 18 avril 2018, 70 « médecins et professionnels spécialisés dans la prise en charge de personnes cérébro-lésées en état végétatif ou pauci-relationnel » affirment à propos de Vincent Lambert qu’« il est manifeste qu’il n’est pas en fin de vie. » La durée moyenne de séjour en unité de soins palliatifs en France est de 16 jours. Vincent vit dans une unité de soins palliatifs depuis 10 ans. Cela montre bien qu’il n’est pas en fin de vie.
« Personne ne voudrait vivre comme ça, ce n’est pas une vie ! »
Oui, personne ne voudrait vivre dans une telle situation. Il y a cependant un sophisme à conclure que l’on devrait euthanasier une personne vivant dans une telle situation.
En effet, ce n’est pas parce que l’on souffre d’un mal ou de plusieurs maux que l’on voudrait nécessairement mourir. Personne ne souhaite perdre un bras dans un accident de travail et se retrouver au chômage. Cependant, si une telle chose arrive, une personne ne perd pas nécessairement la volonté de vivre. La réponse d’une société empathique ne doit pas être de maintenir une personne dans sa peine en l’invitant à mettre fin à ses jours pour ne plus souffrir, mais à la soigner, et à l’aider à comprendre que la vie vaut la peine d’être vécue.
De plus, juger de la valeur d’une vie d’une personne est dangereux. Quels critères permettent de dire qu’une vie vaut la peine d’être vécue ? Sont-ils universaux et acceptés par tous ?
Il a dit qu’il ne voulait pas qu’on le maintienne dans un tel état, respectez sa volonté ! »
C’est un point discuté dans cette affaire. Dans les faits, il n’a pas rédigé de directives anticipées, bien qu’il fût infirmier et informé d’une telle possibilité.
De plus, seule son épouse prétend rapporter des propos qu’il aurait tenus, ainsi qu’un frère qui prétend faire état de ses « dernières volontés ». L’ensemble de ses autres frères, sœurs, et même le demi-neveu ont affirmé que Vincent ne leur avait jamais rien exprimé à ce sujet. Ils ont cependant tous déduit cette prétendue volonté de ne pas être maintenu en vie de sa personnalité. Est-ce fiable ?
La réalité, c’est que chacun d’entre nous a déjà dit à ses proches qu’il ne voudrait pas vivre handicapé ou diminué. Cela ne signifie pas que l’on veuille être euthanasié dans ce cas-là. Même en exprimant clairement une telle volonté lorsque l’on est en bonne santé, l’expérience unanime des soignants est qu’une fois l’accident survenu, la volonté évolue car la volonté de vivre est bien souvent la plus forte.
Vincent Lambert a eu son accident de voiture en 2008. Or, ce n’est qu’en 2013, après une longue conversation avec le Dr Kariger, favorable à « un chemin de fin de vie », que Rachel Lambert va dire que telle était la volonté exprimée par son mari. Elle n’avait pas fait part publiquement de ces propos.
Sur cette base, le Dr Kariger tenta cette année-là une première euthanasie de Vincent Lambert. Le docteur continuant de l’hydrater (250-300mL/jour), Vincent Lambert a survécu à la faim pendant 31 jours. Cette résilience, qui s’est maintenue jusqu’à présent, est un indice sérieux d’une volonté personnelle de vivre. C’est ce qu’affirment tous les soignants spécialistes de ces patients et selon leur expérience, les patients comme Vincent Lambert qui ne veulent plus vivre ou « qui lâchent psychologiquement » partent en quelques jours, voire en quelques heures, sans signes avant-coureurs.
Il n’a plus conscience de lui-même, c’est un légume ! »
La question est débattue mais les divers diagnostiques établis au cours de toute la procédure judiciaire indiquent que Vincent Lambert est dans un état chronique de conscience altérée qui regroupe les états allant de « végétatif » à « pauci-relationnel ». Il respire seul, dort et se réveille. Il est alimenté par une gastrostomie. Ses mouvements et expressions faciales sont difficiles à interpréter médicalement, mais il est certain qu’il y a une interaction possible avec des personnes, aussi minimes soient-elles. Par exemple, il tourne les yeux et la tête vers sa mère quand elle l’appelle. Plusieurs vidéos prises par sa mère attestent de réactions à des sollicitations et a minima d’un éveil clair de Vincent Lambert, démontrant qu’il n’est pas un « légume. »
Si l’on considère que Vincent Lambert est dans un état végétatif tel qu’il ne pourrait rien exprimer ni même avoir conscience de son environnement – ce que contestent ses parents, alors on ne peut pas prétendre connaître sa véritable volonté à ce jour et prétendre avec certitude qu’il voudrait mourir. Cela rend l’euthanasie de Vincent Lambert d’autant plus choquante : la sagesse traditionnelle veut que « dans le doute, on s’abstient ». Ici, dans le doute, on le tue. Et si d’ailleurs Vincent Lambert n’était plus qu’un légume qui ne ressent et n’a plus conscience de rien, pourquoi vouloir le sédater pour qu’il ne souffre pas ?
Nous sommes entièrement d’accord. Seulement, dans le cas de Vincent Lambert, il ne s’agit pas d’un traitement médical. Il ne prend pas de médicaments, ne subit pas de pontages réguliers, n’est pas branché à une machine d’assistance respiratoire. Il n’est pas en fin de vie. Le 21 novembre 2018, les experts médicaux mandatés par la justice affirment que les
« besoins fondamentaux primaires ne relèvent pas de l’acharnement thérapeutique ou d’une obstination déraisonnable » et que la situation médicale de Vincent Lambert « n’appelle aucune mesure d’urgence ».
Certes, son alimentation par gastrostomie se fait par une sonde. Le moyen d’administrer l’alimentation est bien infirmier. Mais ce qui est administré n’est pas un médicament, ni un traitement, ni un artifice : c’est de la nourriture, comme tous les êtres humains ont besoin. De plus, dans le cas précis de Vincent Lambert, il faut dire qu’il est capable de déglutir de petites quantités de nourriture. Cependant, ses médecins successifs n’ont jamais cherché à stimuler cette capacité en vue d’un recouvrement de ses facultés.
Ainsi, priver Vincent Lambert de son alimentation n’est pas le « laisser partir » ou le « laisser mourir », c’est le faire mourir. Il est erroné et gravissime de voir dans la simple alimentation assistée d’une personne handicapée « une obstination déraisonnable ». Il y a en France des milliers des personnes qui ne peuvent pas se nourrir seules, certaines sont même malades et âgées. Serait-il légitime de les laisser mourir en ne les nourrissant plus ?
« Je suis contre l’euthanasie, mais là… »
… Mais là, c’est bien d’une euthanasie dont il s’agit : la décision par un tiers, le Dr Sanchez, de priver délibérément d’eau et de nourriture une personne avec pour objectif final de le faire mourir. Refuser de nourrir et d’hydrater un handicapé pour provoquer sa mort car on estime que son handicap est trop grave constitue, pour un médecin, un reniement du serment d’Hippocrate.
Si l’on n’est pas ferme sur un principe moral général, alors on se place directement sur une pente glissante. Certes, la situation médicale de Vincent Lambert est terrible et difficile ; mais s’il peut faire l’objet d’une euthanasie par la volonté de sa tutrice et de son médecin, pourquoi des personnes dans le coma depuis plus de 20 ans ne devraient-elles pas, elles aussi, être accompagnées vers une fin digne ? Et pourquoi attendre 20 ans d’ailleurs ? Et si l’alimentation par sonde est un traitement, pourquoi ne pas arrêter le traitement d’autres personnes qui ne peuvent se nourrir seules ?
La direction de cette pente, c’est la Belgique, qui permet légalement aujourd’hui l’euthanasie à la demande de mineurs dépressifs.
« Sa mère est une catholique traditionaliste qui fait subir à son fils ses croyances, c’est ignoble ! »
Lorsque les gens disent qu’il vaut mieux l’euthanasier car « personne ne voudrait vivre dans une telle situation », ces gens prétendent eux-aussi imposer leurs convictions à Vincent. Dès lors que Vincent Lambert ne peut pas exprimer sa volonté, les actions entreprises sur lui sont nécessairement imposées, que ce soit la vie ou la mort. Pourquoi un païen qui ne croit pas en la vie après la mort serait-il plus légitime à imposer ses croyances à Vincent ? Il est tout à fait absurde que certains se moquent des croyances des parents de Vincent Lambert tout en assénant qu’une fois mort,
Vincent Lambert ne souffrira plus. Qu’en savent-ils ? À titre de rappel historique, seules les autorités catholiques s’opposèrent au programme hitlérien "Aktion T4" mis en place en 1939 dans le but d’éliminer les personnes handicapées. Selon le texte du décret du programme, le but était « d'accorder une mort miséricordieuse aux malades qui, selon les critères humains, auront été déclarés incurables après un examen critique de leur état de santé. »
« Quels coûts pour la sécurité sociale ! »[du Reich?]
Oui. Mais fonder un jugement sur la vie ou la mort d’une personne sur des considérations financières est dangereux… pour tout le monde. Que dire de toutes les personnes plongées dans le coma ? Celles atteintes de cancers graves, foudroyants ou lents ? Doit-on fixer un âge au-delà duquel vivre reviendrait trop cher à la société et justifierait qu’on euthanasie une personne trop âgée ? Cela va à l'encontre du principe fondamental de notre système de sécurité sociale : contribuer à hauteur de ses moyens et être soigné en fonction de ses besoins.
Dans le cas particulier de Vincent Lambert, celui-ci ayant eu son accident de voiture sur le trajet entre son domicile et son lieu de travail, il est financièrement pris en charge par la compagnie d’assurance de son employeur, et non véritablement « par nos impôts ». De plus, les frais journaliers dans un établissement spécialisé qui lui serait adapté sont deux à trois fois moindres que dans un service de soins palliatifs. Le transfert demandé depuis des années par ses parents réduirait d'autant les coûts.
« L’ONU n’a rien à voir dans cette affaire. Les exigences de ses comités n’ont aucune valeur en France »
Les Nations unies sont une organisation internationale que les États ont eux-mêmes créée et acceptée en ratifiant un traité constitutif. Or, selon notre Constitution et la jurisprudence du Conseil constitutionnel, les traités internationaux ratifiés par la France s’intègrent à notre ordre légal et ont une force juridique supérieure à la loi.
En l’espèce, dès lors que la France a signé la Convention relative aux droits des personnes handicapées et son Protocol facultatif, elle s’est engagée, selon notre propre droit national, à reconnaître « que les personnes handicapées ont le droit de jouir du meilleur état de santé possible sans discrimination fondée sur le handicap » et à « Empêche[r] tout refus discriminatoire de fournir des soins ou services médicaux ou des aliments ou des liquides en raison d’un handicap. »
dès lors que les parents de Vincent Lambert ne sont pas parvenus à faire reconnaître le droit à la vie et aux soins de leur fils handicapé en France, il était légitime pour eux de saisir le Comité des droits des personnes handicapées chargé de veiller à la bonne application de ladite convention par la France.
La France a l'obligation de respecter la demande de ce Comité de ne pas faire mourir Vincent Lambert car elle a reconnu à ce Comité le pouvoir de
prescrire les « mesures conservatoires nécessaires pour éviter qu'un dommage irréparable ne soit causé aux victimes de la violation présumée ». En outre, le respect de ces mesures est une condition à l'effectivité du droit de recours individuel auprès des cette instance.
« Toutes ces années de procédures, c’est de l’acharnement judiciaire en plus de l’acharnement médical ! »
Personne ne s’engage dans des années de procédures judiciaires par plaisir et cela n’était ni ce qu’imaginaient, ni ce que voulaient les parents de Vincent Lambert.
Aux sources de cette volonté de protéger la vie de leur fils, il y a évidemment et en premier lieu l’amour parental ; mais il y a aussi la conviction de subir une injustice, d’œuvrer pour la protection de principes et de protéger la vie d’autres personnes qui sont dans des situations similaires à celle de Vincent Lambert.
C’est l’injustice et le scandale qui justifient moralement d’engager tous les recours possibles selon le droit français et international : voir leur fils handicapé être, pour ce motif, assoiffé et affamé jusqu’à la mort par décision d’un médecin et de la justice.
L’acharnement n’est ni thérapeutique, ni judiciaire, il est thanatologique
Maintenant un rappel historique : le 1er septembre on va fêter les 80 ans de lacréation officielle de l'AktionT4 Lisez bien bien des termes procédures et motivations de l'époque rappellent la notre ! (et n'oubliez pas le lien avec les valeurs du capitalisme ! de plus en plus preignant) :
Il y a 80 ans débutait l’opération Aktion T4
C’est à l’été 1939, il y a quatre-vingt ans presque jour pour jour, qu’a été mis en place par le IIIe Reich le dispositif Aktion T4 destiné à éliminer les handicapés physiques et mentaux d’Allemagne.
Si le début officiel de l’opération est le 1er septembre, au commencement de la guerre, la décision avait été prise antérieurement et il est vraisemblable que son exécution a été préparée tout au long de l’été. L’opération, pilotée par la Chancellerie, a reçu le nom de code T 4 parce que l’ administration dédiée a été installée dans une villa confisquée à une famille juive au 4 de la Tiergartenstrasse (rue du Jardin zoologique), une des avenues les plus huppées de Berlin.
C’est là que fut recrutée une équipe restreinte dirigée par Philip Bouhler, destinée à réaliser cette élimination, en liaison étroite avec le Dr Karl Brandt, médecin personnel du führer[1].
Dès avant son accession au pouvoir, Hitler avait ce projet en tête. Il découlait de son idéologie préconisant l’élimination des faibles et des tarés, à la fois pour améliorer la race et pour débarrasser le pays de la charge des improductifs. Il ne fallait pas trembler pour le faire car, selon lui, le monde appartenait aux forts aptes à surmonter les sentiments de pitié. Cela n’a cependant pas empêché Hitler de déclarer que l’opération visait à infliger « une mort miséricordieuse » à des gens dont la vie ne valait pas la peine d’être vécue. Entre les deux-guerres, l’idée d’une élimination des tarés, portée par la philosophie de Nietzsche[2], était déjà dans l’air du temps, non seulement en Allemagne mais aussi dans le monde anglo-saxon.
Dès 1933, les nazis avaient pris des mesures d’« hygiène raciale » : stérilisation obligatoire des porteurs de maladies héréditaires, légalisation de l’avortement dans le cas où un de parents en serait affligé. Mais pour des raisons politiques, Hitler préféra attendre la guerre pour aller plus loin tout en préparant les esprits par une propagande insistant sur le coût social des handicapés. A partir de 1938, la même propagande prétendit que des parents de handicapés de plus en plus nombreux écrivaient pour demander leur élimination.
La difficulté à surmonter était la résistance prévisible des familles et des Eglises. Tout se fit donc dans le secret. Si l’opération débuta avec la guerre de Pologne, c’est que le régime espérait que le bruit médiatique lié à la déclaration de guerre la couvrirait.
On commença par les enfants : dès le 18 août , une circulaire imposa aux médecins et sages-femmes de déclarer (de nos jours on dit "signaler" !) ceux qui naissaient handicapés. Les parents étaient informés de leur transfert dans des unités dispensant des soins spécialisés ; ils devaient signer une autorisation. L’opération fut très vite étendue aux adultes : furent particulièrement visés les psychopathes, les alcooliques, les infirmes, les faibles d’esprit, les incurables. L’inaptitude au travail était le critère déterminant (l'absence de "d'efficience" quoi !).
L’opération se fit hors des hôpitaux psychiatriques, dans six centres spécialisés, dont des châteaux isolés, répartis sur tout le territoire. Les malades y étaient amenés dans des autobus gris aux vitres opaques de la société d’Etat Gekrat. Ignorant leur destination, les familles recevaient plus tard un faire-part de décès pour cause d’épidémie et quelquefois une urne funéraire.
La majorité du corps médical était au courant comme l’a montré le procès des médecins qui s’est tenu à Nuremberg en 1948. Après avoir essayé les piqures de morphine ou scopolamine, l’administration du T4 jugea plus expéditif le recours au monoxyde de carbone, suivi d’une crémation.
On estime que, pendant les deux années (août 1939-août 1941) où elle se déroula, l’opération fit environ 75 000 victimes. Mais l’élimination des malades mentaux ou enfants handicapés se poursuivit hors de l’opération T4, dépassant au total les 100 000 victimes.
Le secret presque absolu dans lequel elle fut menée fit que les réactions furent lentes. D’autant qu’en régime totalitaire, les familles sont isolées les unes des autres et sous surveillance policière. Quand la chose filtra, des pasteurs protestants et de prêtres catholiques écrivirent à la Chancellerie. La protestation la plus spectaculaire fut celle de Mgr Clemens-August von Galen, évêque de Munster qui, à l’été 1941, saisit la justice et interpella avec véhémence le gouvernement du haut de sa chaire. Que l’opération ait cessé peu après est-il l’effet de cette interpellation ou cette phase de l’opération était-elle terminée ? Toujours est-il que l’évêque fit mis au secret et plusieurs de ses prêtres déportés.
Une autre raison de mettre fin à l’ opération, était qu’à l’automne 1941, après l’invasion de la Russie, commençait l’élimination des juifs, d’abord par balle dans les terres occupées de l’ Union soviétique puis, de manière plus « scientifique », dans des camps. L’Aktion T4 aura servi en quelque sorte de terrain d’expérimentation à cette autre opération, prévue elle aussi depuis longtemps. Le personnel qui avait été recruté pour éliminer les malades mentaux fut en partie transféré dans les camps d’extermination.
(source : Roland HUREAUX - agrégé d’histoire)
[1] Condamné à mort à Nüremberg ; Bouhler s’est suicidé en prison. [2] Le philosophe a à plusieurs reprises recommandé l’élimination des tarés.
à 1H 1min : "mais dans quelle société de barbares vivons-nous ? Jusqu'à quand on va accepter ça ? Jusqu'à quand on va accepter de vivre dans une société de barbares dans laquelle la fumée des crématoires ne gêne plus personne ! Tout le monde habite à côté des crématoires, on sent la fumée, et tout le monde dort paisiblement la nuit." "on sera responsables devant nos enfants, nos petits-enfants,
et c'etait pout pouvoir déclencher un projet général, la preuve, regardez maintenant après vincent Lambert ils passent à Tafida Raqeeb:
Et maintenant quand on pense aux ordres qui ont été donnés dans les EHPAD, on se dit que d'habituer l'opinion publique à l'euthanasie c'était vraiment un axe de leur plan d'action (en anglais ça se dit "agenda", mais pas en français !)
oui c'est une mise à mort, et les gens qui ont donné ces ordres devraient être pendus, comme les nazis à Nüremberg
eh oui ! dans un monde normal il y aurait un grand proès de Nüremberg pour ces politiques, et aussi pour les médias (propriétés de 9 milliardaires, on a compris leurs interêts de classe !). Mais Bertholt Brecht le sait : le fascisme est là pour empêcher ce qui se serait passé dans un monde normal ! c'en était le but dans les années 20 et 30, ça l'est encore à notre époque.
partout des affiches gouvernementales nous appellent à la "Solidarité" !
Je suis persuadé que dans ses discours Hitler appelait les allemands à la solidarité aussi ! Face à l'incendie du Reichtag par exemple, et à être bien civiques et à bien faire le salut "Heil Hitler !" que en peu de temps tous les allemands bien décents, bien "responsables" et bien soumis ont intégré à leur vie quotidienne, ne fusse que par peur des flics ou du regard d'autrui....
(et en URSS par peur de l'internement psychiatrique, pratique tellement hallucinante et immonde qu'à l'époque on croyait que les "psychiatres soviétiques étaient atypiques, mais non, tous l es régimes tous les Etats tous les psy sont comme ça aux Etats-Unis aussi en France aussi ! regardez ! regardez ce qui est arrivé au Pr Fourtillan https://odysee.com/@AgoraTVNEWS:5/Plainte_Contre_Pasteur:...
le professeur Fourtillan , qui a participé au documentaire HOLD UP, se retrouve en psychiatrie à Uzès. Centre Hospitalier , le pas Careiron BP 56 ,30701 UZÈS CEDEX - Gard. tél : Standard 04 66626900 secteur NASH. Ce monsieur à porté plainte pour crimes contre l'humanité contre le gouvernement. )
étant donné que les cygnes noirs sont "des gens pas d'cheux nous", des immigrés sans papiers qui viennent "manger les vers de vase des français !" les écologistes, lisez le lien ci-dessus, veulent (dans un premier temps ?) subordonner leur détention à déclaration. Après on les obligera à porter une étoile jaune ?
Et ensuite ?
lisez le cas des ibis sacrés (mal nommés les pauvres !) :
espérons que les italiens serons moins cons et plus humanistes que les français ! l’ibis sacré face à la BARBARIE EN GANTS BLANCS
Le Collectif pour la Protection de l'Ibis de Bretagne tient à révéler les dessous du mystère de la disparition de l'Ibis sacré. On nous a dit que cette espèce était invasive et que ses spécimens étaient de redoutables prédateurs. Une extermination programmée a eu lieu dans la plus grande discrétion et de manière tout à fait illégale : - Conformément aux observations du CNRS, l'Ibis sacré n'est pas une espèce invasive ; - L'ibis sacré a eu son utilité dans la protection des colonies de spatules ; - L'ibis sacré est protégé par la convention de Berne ; - L'Ibis sacré n'est pas un oiseau exotique mais bel et bien une espèce du Paléarctique, zone géographique dans laquelle nous nous situons (importé par le zoo de Branféré près de Vannes, il n'en est pas pour autant un oiseau étranger) ; - L'Etat a pris une décision sans appui réel et sans étude scientifique mais se base sur un rapport bidonné et non scientifique daté de 2005 ; - Les arrêtés préfectoraux de destruction de l'ibis sacré ont été pris hors décision ministérielle en Loire-Atlantique et en Morbihan ; - Les campagnes de destruction de l'ibis sacré ont eu lieu hors arrêtés préfectoraux ; - Cette destruction par tirs a fortement perturbé les colonies d'autres espèces protégées et ont eu lieu parfois en pleine nidification : des secteurs ont été désertés suite à des opérations de destruction ; - Plusieurs promeneurs ont retrouvé des cadavres d'ibis sacrés criblés de plomb et laissés en décomposition ; - Une poignée d'individus est à l'origine de la supercherie (notamment le cliché d'origine pris le lendemain d'une « descente » de renards sur des œufs de sternes et guifettes) : il s'agit d'anciens étudiants d'un chercheur au CNRS, ex directeur de la réserve de Grand-Lieu (sud Bretagne près de Nantes) et quelques membres bornés de Bretagne Vivante autour de la réserve de Falguérec en Séné ;
Cette affaire est caractéristique du monde dans lequel nous vivons : règlements de comptes personnels ou petits arrangements destructeurs entraînant des conséquences gravissimes sur les populations ou l'environnement ; recherche d'un bouc émissaire suite à des choix dictés par la recherche de profits immédiats que personne ne veut assumer (en l'occurrence la destruction de notre littoral par sa mise en vente au plus offrant et la diminution des espaces naturels et de la biodiversité) ; une justice qui n'en est pas une.
Plusieurs milliers de personnes ont dénoncé cette supercherie, quelques courageux médias ont osé dire la vérité face à la propagande généralisée que d'autres ont servilement relayé et des recours en annulation de notre collectif ont tenté de mettre un terme à ce génocide. Or, rien n'y a fait, ce massacre s'est fait en toute impunité [tiens ça rappelle quelque chose, quelque chose d'actualité depuis un an], en toute illégalité avec l'appui de la « justice française » usant de circonvolutions verbales et d'imbroglios administratifs pour protéger l'Etat et ses préfectures.
Cette issue ne doit pas être une défaite mais l'occasion de conserver un exemple concret de ce qu'une poignée d'individus mal intentionnés peut provoquer dans le système français. Le tribunal n'a pu contester nos arguments sur le fond de l'affaire, il appartient à tout un chacun de faire justice en diffusant la vérité désormais. Ce combat en rejoint bien d'autres
ça rappelle que le gouvernement a l'habitude de se conduire comme ça, à tous bouts de champs !!! ......
ça rappelle aussi la malfaisance de l'intégrisme écologiste !! (n'oublions pas que le premier à lancer l'écologie politique fut Adolf Hitler) et puis pensez : si on se met à pratiquer le génocide des immigrés qui viennent chez nous sans autorisation administrative, ça promet !
"Ce combat en rejoint bien d'autres" - c'est tout à fait vrai !!!
24/5/2024 Tous les journalistes qui péroraient si fièrement et si sûrs de leur pouvoir absolu à la radio de Vichy ou dans la presse, sont maintenant totalement oubliés, versés dans la poubelle de l’histoire (quand ils n’ont pas été carrément fusillés) et ce sont les “Terroristes”, les bannis les diabolisé, les obscurs clandestins d’alors qui sont devenus célèbres et immortels.
Ça sera pareil pour l’époque actuelle, tous les journaputes du pouvoir de haine, du grand capital OTAN-esque, du NAZI-Covidisme, tous les soumis au lobby qu’on n’a pas le droit de nommer, les réchauffistes, etc, tous les rédacteurs qui se sont emparé de la wikipédia, tous les lâches pas chômeurs, les censeurs à la soviétique, toute cette merde de larbins aussi arrogants que rampants ou terrorisés, personne ne s’en souviendra, sinon comme parangons du fascisme vomitif, Laissant la place aux vraies “têtes” aux vrais grands humanistes de notre époque : Dieudonné, Brusa, Jovanovic, JJ Crévecoeur, Fourtillan, Lalanne, Perronne, Philippot, Asselineau, Etienne Chouard, Bernard Friot, Jean-Dominique Michel, Istvan Marko, Claire Séverac, le héros Christophe Dettinger, etc etc.
et voilà ! le capitalisme vise à commercialiser et soumettre TOUS les actes de nos vies !! et c'est ce qu'ils ont fait au fur et à mesure (souvenez-vous les gens faisaient eux-même leur cuisine, les femmes cousaient elles-mêmes leurs vêtements et ceux de leurs enfants, les gens trouvaient leurs activités de loisirs gratis chez eux, en jouant aux cartes par exemple, les gens cultivaient leurs jardin, instruisaient eux-mêmes leurs enfants (école à la maison) s'ocupaient de leurs vieux au lieu de les remiser dans des maisons de retraite ! etc tout ça, est maintenant privatisé !!! il ne restait plus que de faire des enfants qui était resté naturel et non soumis à profit et à main-mise totalitaire du GRAND CAPITAL ! comme ça ça aussi ça va ouvrir un énorme et juteux MARCHE !!! (sans parler de la normalisation totalitaire qu'ils vont pouvoir mettre en place !
(au milieu du XIX siècle un journal satirique annonçait que le syndicat des marchands de chandelle portait plainte contre le soleil pour "concurrence déloyale" ! ben c'est ça l'hubris capitaliste, comme l'explique Michel Weber "rien n'est plus scandaleux pour un capitaliste que deux animaux en train de se reproduire dans un champ")
Voici déjà plusieurs jours que l'Assemblée nationale fait mine de "débattre" d'un sujet qui devrait précisément ne pas faire l'objet de débats: ce que l'on appelle par antiphrase la "bioéthique" (qui n'est évidemment pas "bio", puisque tout les traficotages artificiels de l'embryon que la science permet sont envisagés; et qui n'est pas davantage "éthique", puisqu'il est strictement interdit de s'interroger sur le bien de l'homme, le désir ou les pulsions justifient tout! [je dirais plutôt l’hubris du pouvoir normalisateur et l’appétit des spéculateurs, car il ne faut pas oublier que tout ça c’est du chiffre d’affaires pour les boites privées, et la commercialisation de la dernière activité humaine qui échappait aux féodalités du profit : la reproduction).
Nous avons déjà dit à plusieurs reprises à quel point cette discussion était ahurissante. Mais je dois avouer que je n'aurais pas pensé qu'elle le serait à ce point. D'une certaine façon, la cerise sur le gâteau de ce passage en force et en catimini est illustré par le fait que le premier soir, la quasi totalité de la majorité avait déserté l'hémicycle pour aller boire un coup à Matignon. Il paraît que les députés LREM étaient froissés de la présence de playmobil sur les tables du cocktail - eux qui n'apprécient pas beaucoup de se faire qualifier régulièrement de "députés playmobil". Mais je crois que c'est la firme des célèbres figurines en plastique qui devrait porter plainte: jamais un playmobil (à ma connaissance) n'a été siffler une flute de champagne pendant qu'en son nom, on votait des lois piétinant la nature humaine, en autorisant la traque aux trisomiques[retour de l’Aktion T4!] ou le peu ragoûtant mélange d'ADN de souris et d'ADN humain. On peut certes reprocher aux playmobils une certaine apathie, mais non cette inhumanité terrifiante qui caractérise les braves "humanistes" du groupe LREM!
Plus sérieusement, dans cette "discussion", il y a un côté fin du monde en musique qui est assez glaçant. [exact] Plus que jamais, il me semble nécessaire de prier pour que Dieu prenne Lui-même soin du sommet de sa Création [sommet ? qu’est-ce que t’en sais ? Et modeste avec ça!]
foulé aux pieds par les dirigeants politiques dont la mission est précisément de défendre l'être humain. Vous pouvez donc toujours rejoindre, à tout moment, la neuvaine du Salon beige en cliquant ici. (certainement pas ! Le salon Beige c’est un truc de droite)
J'ai publié ce matin un article pour faire connaître à nos amis du monde entier la réalité de cette loi monstrueuse. Mais, d'après les discussions que j'ai eues ces derniers jours à Paris – y compris au parlement –, je crois que l'immense majorité des Français ne sont pas beaucoup plus au courant. Donc n'hésitez pas à diffuser cet article – et de façon générale, plus nous pourrons faire connaître ce qu'il y a réellement dans le texte, plus nous aurons de chances d'éviter certaines des dérives gravissimes qu'il prévoit.
Mais je voudrais terminer cette lettre sur une note plus optimiste (même si l'optimisme béat n'est pas vraiment ma marque de fabrique!) Ça y est, la Pologne vient d'annoncer sa dénonciation prochaine de la convention d'Istanbul qui impose l'idéologie du genre aux Etats signataires (dont la France) – et cela perturbe beaucoup le conseil de l'Europe. Excellente occasion de remettre la question sur la table! Retour aux vrais débats! Décidément, l'automne sera chaud…
[ah si les gilets jaunes pouvaient remettre ça ! Moi j’ai toujours laissé un gilet jaune exposé sur le tableau de bord de ma voiture, depuis nov. 2018 il y est encore)
le cynisme des nazis dans les camps vous connaissez ? mais cette logique n'est pas morte le moins du monde, c'est l'âme du capitalisme, lisez ça !
Je doute que cette "émancipation" des femmes vis à vis de la procréation naturelle réponde à une aspiration communément rencontrée chez les femmes, d'autant plus que la majorité d'entre elles vivent la maternité, grossesse comprise, comme un accomplissement et non pas un fardeau. En réalité l'artificialisation de la procréation est avant tout la manifestation de la volonté de satisfaction des délires prométhéens (= le nazisme, « l’esprit de la modernité » comme dit Zygmunt Bauman, lisez-le) d'une frange de l'oligarchie et d'autre part une affaire de gros sous (la procréation doit devenir un service payant et non plus un acte naturel et gratuit.) - là lisez l’analyse Marxiste !
(Comme dit ici Etienne Chouard : https://ru-clip.net/video/bGzoAkmbxo4/entretien-avec-etie... "ils ont le pouvoir des médias, du commerce, de l'alimentation, de tout ce qui est vital pour nous" - il n'y avait plus que la procréation humaine qui était encore libre, et qui échappait à leur pouvoir totalitaire, c'est pourquoi ils tiennent à le mettre sous leur coupe maintenant !) Bien entendu les dingos qui veulent imposer ce mode de reproduction vont tout faire pour que les gens soient contraints de passer par là. Quand tout sera technologiquement prêt on aura droit à un matraquage médiatique permanent sur les dangers (pensez au fameux culte du « pour des raisons de sécurité » le grand dieu Moloch actuel !) de la grossesse naturelle...on aura droit à des films larmoyants sur des pauvres femmes mortes en couche...ayant raté une formidable carrière professionnelle à cause de la maternité...enfin bref les ficelles habituellespermettant de faire passer un truc ressenti par la majorité des gens comme "bizarre", "anormal", "malsain"… pour quelque chose de progressif et incontournable. Il y un précédent avec l'avortement… ("émanciper" les hommes et les femmes de devoir baiser avec un être humain! et d’autres choses encore, cherchez bien!) Ils nous préparent le même coup avec la sexualité "récréative" où le plan est de remplacer l'humain par des robots sexuels, c'est à dire "émanciper" les hommes et les femmes de devoir baiser avec un être humain! (souvenez-vous du titre du livre de Binder et Hoche « libéralisation du droit de … » (mettre fin à une vie) !). La propagande a d'ailleurs déjà commencé et on peut déjà trouver des malades mentaux qui préfèrent niquer une poupée en silicone qu'une vraie femme, et les médias( et oui, à QUI appartiennent les médias? hmm ?...) parlent de ce genre déviance comme si il s'agissait une modalité normale de la sexualité humaine…
un commentaire très perspicace on voit que la personne qui a écrit ça connaît bien le monde actuel, et l’a bien analysé dans ses fondements !
c'est ça le raisonnement, qu'on veut vous cacher, mais qui est vraiment présent partout
"La théorie du genre est un passe-temps byzantin qui n'intéresse que les championnes olympiques de la carrière universitaire, un sport cérébral tordu pour "colloqueurs" grassement payés, qui laisse le gros des mortels fort froid. On suppose que ces gens-gentes-là sont sérieusesx, qu'elles-ils "cherchent" des choses importantes, qu'ils-elles font des "sciences humaines", et que, quelque part, elles-ils doivent bien trouver quelque chose....
(ne fusse que leur plan de carrière ! et un gras salaire)
Mais on ne paierait pas les universitaires les plus inventifves s'il n'y avait pas un retour sur investissement à en escompter. Alors que dans tous les pays occidentaux, après les manœuvres pour imposer le mariage gay, s'instaurent sournoisement des décrets et règlements afin que la théorie du genre devienne un enseignement obligatoire depuis la maternelle, l'enjeu se clarifie: il s'agit de favoriser l'industrie de la procréation, laquelle ne peut s'implanter et s'étendre qu'en dévastant la procréation naturelle, et en modifiant profondément la conscience naturelle des gens en matière d'identité sexuée.
Une fois que l'on prend conscience de cette dimension économique, mercantile, prédatrice, visant un marché mondialisé, c'est à dire un nouveau sommet du projet capitaliste de marchandisation totale de l'être humain, tout à la fois réduit en esclavage en tant que producteur, contraint à la consommation sur un marché entièrement captif, et privé de toute liberté d'expression de sa volonté, l'analyse du phénomène du "gender" trouve son cadre bien réel, bien cruel, extrêmement vexant pour ceux qui se croyaient jusqu'à maintenant sujets faisant des "choix": ce n'est pas une vague idéologie fumeuse ni marginale: c'est une étape clé pour le développement de l'industrie de la procréation.
Le site http://www.planetoscope.com/natalite/1391-naissances-de-b... suffit pour constater l'essor fabuleux que peut prendre la chose en France et en Europe. Le frère du président Paul Bismuth en personne avait été mentionné dans l'affaire de l'Arche de Zoé, un vaste réseau de vol d'enfants tchadiens pour des "adoptions", voire transmutation en gibier à prostituer ou en stock d'organes sur pied, on ne le saura jamais. Les enquêtes entreprises par des chercheurs africains ont fait tout de suite l'objet de toutes les attentions des pouvoirs "publics": silence radio. Mais quand même, il en reste la trace sur certains sites: http://www.alterinfo.net/Arche-de-Zoe-Le-depute-Ngarlejy-..., http://www.voltairenet.org/article152777.html, et d'autres articles sur les mêmes sites.
Bref, allez, les jeunes, allez fouiller dans les bilans comptables de toutes les boîtes qui font du baby business, c'est le moment, on a besoin de dossiers étoffés pleins de chiffres et de courbes, tant sur ce qui se fait légalement que plus discrètement. Mais les conclusions, même sans chiffres, on les a déjà: la France fait incontestablement partie des pays de pointe pour l'exploitation d'un secteur de pointe: gpa, pma, transvasement de gosses de pays pauvres dans des familles riches de pays riches etc n'ont qu'un problème à régler: la demande n'augmente pas assez vite à leur goût.
Les eugénistes se frottent les mains
Halte-là, me dira-t-on! Qu'est-ce que vous racontez? A l'Onu, à l'Unesco, dans toutes les hautes sphères où on étudie des macro-choses, on se lamente: trop d'humains sur la planète, même Monsanto avec ses scientifiques projets de bouffe entièrement transgénique n'arrivera jamais à les nourrir tous; la seule solution: réduire la population, mais en douceur, dans le respect des droits de l'homme. Et les écolos d'en rajouter, dans leur sabir: il n'y a pas que les multinationales qui peuvent être nuisibles et doivent être encadrées, horreur, les affamés chez eux dévastent les réserves naturelles, et ces gouvernements d'incapables, en Afrique, en Amérique latine, qui sont infichus de mettre de l'ordre là-dedans. Là c'est la ligne Soros qui s'exprime: que des fondations sages s'emparent de tous ces territoires, par-dessus la souveraineté des États, car tout ce gâchis dépasse les frontières, la survie de la planète est en jeu.
Bref les eugénistes d'obédience diverse mais bien pensants poussent des cris d'orfraie, et ils sont inattaquables, car leur combat est indissociable de la lutte pour la santé des peuples, disent-ils. Si leur objectif était vraiment de réduire la population pour le bien de l'humanité, ne serait-il pas logique qu'ils protestent contre le bébé business? Or bien au contraire, on découvre que tous les organes supranationaux, composés d' industriels de la marchandise humaine, des commerciaux qui vont avec, et des prestigieux embrasseurs d'humanité, sont de mèche parce qu'ils ont une idée commune qui ne doit pas atteindre la conscience des peuples, sous aucun prétexte. Il s'agit de TOUT rationaliser, afin de contrôler la reproduction à l'échelle mondiale, et de faire avaler la pilule à ceux qui risqueraient de faire obstacle. L'invention de la pilule, dès le départ, s'inscrit dans le même schéma: limiter le nombre des indésirables, les pauvres du Tiers-Monde, mais en douceur, avec leur consentement, sous la bannière de la libération de la femme.
Les premiers résultats
Une génération plus tard, alors que ce sont les femmes des pays riches qui se sont ruées sur la pilule, nos autorités occultes cachent soigneusement ce qui constitue leur grand espoir, ce que chaque gouvernement interdit que l'on fasse savoir au peuple : au bout de 40 ans de pilule, d'innovations constantes dans le domaine de la contraception, et de libéralisation maximale de l'avortement, la stérilité progresse rapidement! Les hormones pissées par les dames du monde entier continuent d'agir en douce dans l'alimentation de tous. On est sur la bonne voie ! La fertilité baisse, et les magnats du bébé business tapotent fébrilement leurs calculettes: bientôt les hétéros n'arriveront plus du tout à se reproduire par la méthode ancestrale.
La déprime des hommes et des femmes, quand ils font les comptes de tous les avortements qu'ils ont favorisés, souhaités, encouragés, subis et exécutés dans la chair de leur chair, finit de les écraser. Pour s'en remettre, ils engraissent les psys et les labos de psychotropes. Pas de danger qu'ils relèvent la tête et entreprennent des révolutions, sourient nos Méphistos au pouvoir! Si vraiment ils y tiennent, au final, à faire des gosses, insinuent doucement les planificateurs de notre avenir, vers quarante ou cinquante ans, qu'à cela ne tienne, nos usines à bébés sur mesure sont là qui les attendent, parfait, on sait où les orienter, par ici la monnaie.
Jusqu'à l'entrée en scène de Farida Belghoul, tout allait bien dans le meilleur des mondes, celui d'Aldous Huxley, que nous concoctaient dans le plus grand cynisme nos inénarrables élites.
L'année dernière, la bataille contre le mariage gay mobilisait bien au-delà de la droite. Instinctivement, chacun rejetait ce projet qui nous tombait dessus, monstrueux et ridicule, comme disait Thierry Meyssan. Le choc de l'absurdité nous empêchait de comprendre. Cette année, l'offensive officielle sournoise sur le thème du "genre" a d'abord paru une bévue de ministres qui ne savaient pas ce qui se mijotait, et qui ont commencé par nier les faits. Il s'agit bien d'une campagne concertée, au niveau de l'enseignement obligatoire, à partir de l'école primaire, avec un gros investissement dans les labos de recherche du CNRS.. L'énormité du mensonge officiel réveille chacun. Voir tous les dossiers, très précis, sur http://www.civitas-institut.com/.
La bonne vieille logique coloniale
Le capitalisme ne peut prospérer qu'après avoir anéanti les modes de production et de consommation traditionnels. C'est la démarche typiquement coloniale mise en œuvre pour développer la culture de la canne à sucre afin d'alimenter les voitures en éthanol, pour prendre un exemple récent. Premièrement, ravager les cultures vivrières et les échanges normaux dans les sociétés traditionnelles, là où on veut s'implanter. Alimenter quelques guerres entre voisins pour faire fuir tous ceux qui le peuvent est une des méthodes meilleur marché pour ce faire, sans trop se faire remarquer. S'emparer des matières premières, du territoire, des villages désertés après avoir brûlé tout ce qui pouvait résister, rien de plus facile après cela. Et vendre au prix fort les denrées qu'on va produire avec de la main d'œuvre réduite en esclavage par la faim, de préférence importée d'autres régions pour s'assurer de sa docilité, c'est le moindre des profits escomptés. Cela a très bien marché dans les colonies, cela marche encore partout où les États sont à la merci des puissants corrupteurs étrangers et où les armes circulent.
On recule d'épouvante à l'idée que nos magnats, ceux-là mêmes qui nous permettent de vivre dans la surabondance de biens désirables, veulent maintenant étendre leur empire au domaine de la reproduction humaine, car on sait bien que leur appétit sera insatiable. On se rassure en se disant que ce n'est pas possible, qu'on est des citoyens conscients, qu'on est en démocratie. Effectivement, si le but à atteindre est bien toujours le même, l'expansion d'un marché au détriment de la nature, au prix de l'éradication sans états d'âme des traditions et des droits des habitants naturels de chaque pays, dans nos pays dits "développés", les moyens doivent être un peu plus sophistiqués.
Nos contremaîtres UMPS sont payés par les grosses pointures de la mafia du bébé-business, dont les ambassadeurs sont les groupuscules LGBT. La fonction de ceux-ci consiste à faire exploser les repères traditionnels en matière de filiation. C'est le but avoué de la théorie "queer", c'est le changement de civilisation imprudemment admis par Mme Taubira. Les néo-esclavagistes qui nous gèrent à une échelle complètement supranationale prétendent nous déposséder de notre nature, de notre sexe, de notre idéal en matière d'amour et de famille, de notre progéniture; que les bébés soient fabriqués par eux, en fonction des lois d'un marché qu'ils créeront et gèreront à leur profit.
L'argumentaire « religieux », tant chrétien, que bouddhiste, juif, musulman, animiste, agnostique ou dignement athée contre la théorie du genre, rencontre l'adhésion de chacun, au niveau de ses angoisses métaphysiques, de sa conscience, de ses intuitions, de ses hontes secrètes, de sa mauvaise conscience pour tous les ratages familiaux vécus, rarement assumés comme fautes personnelles, mais encaissés comme défaites toujours douloureuses.
On reste marxistes
Heureusement, Marx et Engels, toute la tradition révolutionnaire de gauche, et le féminisme qu'ils ont encouragé, puis Lénine, avec Rosa Luxembourg, avec Clara Zedkin, accourent à notre aide, avec leur langage clair, leurs raisonnements solides.
Avec la liquidation des partis communistes et l'évolution du monde du travail, la réduction du secteur primaire et secondaire dans le marché du travail, la dévitalisation de l'agriculture et de l'industrie, l'évaporation de la classe ouvrière, le patronat mondial a cru pouvoir proclamer la fin de la lutte des classes, du moins comme moteur de l'histoire dans les pays riches.
Pourtant, notre combat s'inscrit dans l'histoire des luttes de libération des opprimés. C'est bel et bien un patronat mondial qui, achetant les politiques, veut nous arracher l'âme, avec une propagande nous réduisant au statut de stupides bêtes de sexe, statut infiniment dégradant, tout en prétendant qu'il s'agit là de progrès, ou encore d'augmentation de notre éventail de plaisirs naturels, le tout faisant l'objet du consensus de toute population civilisée, ou plutôt, comme ils disent "développée", comme une tumeur se développe sans limites, jusqu'à ce que mort s'ensuive...
Nous nous réclamons de la tradition ouvrière, du combat pour notre dignité: non, nous ne sommes pas des esclaves de notre cul ou de leurs sophismes, pour leur plus grand profit! Et nous nous servons à nouveau de nos outils éprouvés: la grève, pour commencer. La Journée de retrait de l'école est une grève des parents. Comme toute grève, elle peut devenir très dangereuse pour le patronat qu'elle démasque. C'est cette logique qui explique la répression disproportionnée qui se met en place. En Allemagne, il y a des parents qui vont en prison pour avoir refusé l'enseignement déstructurant du "genre", en fait de l'encouragement à la pratique pornographique.
Et féministes
A Cologne, les résistants français, russes et allemands se sont retrouvés, le dimanche 22 mars, à l'ombre de la plus ancienne cathédrale d'Europe, pour lancer une campagne à l'échelle européenne contre la théorie du genre. C'est à Cologne que la philosophe Edith Stein choisissait d'entrer au Carmel en 1920. Avant cela, comme toute femme d'exception, elle s'était battue pour la promotion légitime des femmes. Son cheminement précéda de peu celui d'une Simone Weil ou de la socialiste espagnole Maria Zambrano: toutes trois, et avec elle bien d'autres femmes philosophes, universitaires, courageuses, révoltées et honnêtes, avaient embrassé la défense des humiliés, des pauvres, des prolétaires, et la cause des femmes bafouées; logiquement elles rejetaient tout despotisme cynique comme celui qu'incarnait à leur époque le nazisme hitlérien. Mais les savants hitlériens comme les savants juifs européens ont été recyclés aux USA dès la fin de la guerre, et maintenant le despotisme cynique se fait appeler "démocratie occidentale".
Nous nous réclamons des plus anciennes luttes pour les droits des femmes. Comme les femmes combattantes de toutes les époques, nous refusons que les enfants soient arrachés à leurs mères dévorées par la nécessité de gagner leur pain à la sueur de leur front. Comme les premières d'entre elles, nous refusons que les femmes soient traitées en bétail, en vagues couveuses: nous les femmes revendiquons notre facette maternelle vitale, même si elle n'est pas la seule, et notre devoir d'éduquer nous-mêmes nos enfants dans le respect de la maternité et de la paternité. De tout temps, les femmes ont réclamé le droit à l'instruction pour pouvoir éduquer correctement les enfants. C'est toujours de cette responsabilité qu'il s'agit.
Au temps de Flora Tristan, le respect des femmes passait par la reconnaissance de leurs droits en tant que personnes, et non pas seulement en tant que mammifères. Au XXI° siècle, avec la généralisation de la contraception, il n'y a plus lieu de protéger les femmes contre trop de maternités, dans nos pays; mais il est temps de les protéger contre les illusions répandues par les lobbys pharmaceutiques et médicaux: non, la contraception et l'avortement ne sont pas des pratiques anodines sans conséquences, leurs effets secondaires sont de graves pathologies individuelles et collectives, alors que la grossesse et l'enfantement ne sont pas des maladies, mais au contraire la plus rayonnante manifestation de la santé d'une femme! *
Et nous refusons la tyrannie d'une infime minorité, l'infâme lobby lgbt prétendant imposer ses sophismes à tout le peuple, et piétiner à son profit l'art de la perpétuation de l'espèce. Nous, féministes, continuons à penser qu'il faut se battre pour empêcher les hommes de céder à des pentes fatales: autrefois, c'était l'alcoolisme qui menaçait les ménages misérables et mettait les familles en danger. Désormais c'est l'irresponsabilité de l'hédonisme sans frein: les femmes comme les hommes, devraient, selon le "progrès", ne pas plus voir plus loin que leur plaisir, comme les hommes, et traiter les gosses comme des bagages qu'on peut laisser à la consigne.
Nous, les féministes qui en avons vu d'autres, et qui avons triomphé de bien d'autres mauvaises volontés, savons voir la puérilité de ces conduites addictives, incontrôlées; et comme nous savons apprendre aux enfants à maîtriser leurs caprices, nous allons apprendre aux adultes infantilisés à se reprendre en main, en leur montrant quels pouvoirs tyranniques et bien réels abusent de leur vacuité et de leur faiblesse.
Nous, féministes, sommes épouvantées par la trahison des soi-disant écologistes, incapables de se battre pour faire respecter le principe le plus universel de la nature, celui de la complémentarité des sexes, le degré zéro du bio. L'accès au pouvoir politique les a corrompus jusqu'à la moelle, ils ne sont plus capables de voir les menaces qui pèsent sur l'espèce humaine toute entière, si ses mystérieuses, ancestrales, animales parades amoureuses cessent de faire naître les enfants "au petit bonheur", comme des champignons, comme des dons merveilleux de la nature, au profit de fabricants cyniques et froids.
Nous, féministes, sommes solidaires des opprimés du monde entier. Olympe de Gouges se battait pour la libération des esclaves dans les colonies françaises. Nous nous battons pour le droit des peuples à résister à la colonisation forcée des esprits, contre l'intrusion de notre culture pornographique dans leurs univers spirituels propres. Nul ne nie que l'Occident répand chaque fois et partout sa propagande comme première étape de ses guerres de conquête, et la propagande soi-disant éducative du gender (en anglais ça fait plus sérieux) est une arme de destruction spirituelle massive. Le minimum du tiers-mondisme, du sens du respect dû aux les peuples non européens, consiste à les protéger de nos vices! Aucun héritier de la militance anti-impérialiste ne peut se voiler la face. C'est la guerre contre les pauvres qui atteint un nouveau degré de sophistication: tuer spirituellement des populations entières, les réduire en esclavage mental au nom de la combinaison des deux principes du monde occidental: la liberté pour le plaisir. Il faut parler de guerre, car la consommation des drogues de synthèse se veut obligatoire, elle veut s'imposer par l'école, les lois, les ONG, l'ONU...
L'ennemi, aujourd'hui comme hier, c'est le capital, qui veut vous voler votre force de reproduction physique et spirituelle, qui veut vous voler la maîtrise de vos engendrements et enfantements, et vos droits sur vos enfants, un capital avilissant qui s'avoue comme tel, avec l'ignoble projet de faire passer la pornographie au rang de matière scolaire obligatoire.
Reprenez confiance dans votre conscience, dans votre tradition spirituelle et familiale, dans votre intuition. Ce n'est pas parce qu'on ne trouve pas ses mots qu'on n'a pas de sentiments primordiaux. Il faut leur obéir, c'est notre santé mentale et morale qui est attaquée de toute part. Se sentir appartenir à la gauche, parce qu'on aime par dessus tout la liberté et qu'on a pour moteur la révolte contre l'injustice que les trop puissants imposent aux majorités, aux masses, aux multitudes, c'est sain, c'est le contrepoids nécessaire à la sensibilité de droite qui guide les responsables, les autorités, ceux qui ont du pouvoir, éventuellement légitime, bien entendu. Nos ennemis, ce sont les corrupteurs d'enfants qui veulent faire d'eux des larves, des larves face aux tentations qu'ils leur servent sur un plateau, à l'école même, apparemment pour rien. Il s'agit en fait de nous endetter à vie, sur plusieurs générations, car plus nous "maîtriserons notre fertilité", comme on dit, plus nous nous rendrons stériles, et eux sauront nous rendre dépendants jusqu'à la mort, de compensations misérables.
Lorsque Farida Belghoul s'est mise à ameuter les parents d'élèves au sujet de la fameuse théorie, les politiques tenants de la chose ont aussitôt battu en retraite, découvrant la nullité théorique de la chose, et le grand danger si le peuple découvrait qu'effectivement, le militantisme pour la chose relève avant tout du contrôle mental des peuples, par les politiciens les plus rusés et les plus rapaces, ceux qui veulent vraiment que leur empire s'étende à la planète entière, et atteigne les tréfonds de l'intimité. Ces aspirants à la domination mondiale travaillent de concert avec ceux qui veulent vendre toujours plus, toujours plus loin, et avec les médias qui ne vivent que de la publicité pour des nouveautés, pimentées de polémique et de cul.
Eh bien non, la pilule ne passe pas.
*Note: pourquoi êtes vous opposé aux « mères porteuses » ? a-t-on demandé à Jean-Luc Mélenchon. Réponse: « Parce que le corps des femmes n’est pas un instrument de production. Parce quand vous m’aurez montré une grande bourgeoise qui accepte contre rémunération de faire un enfant à une famille de pauvre, la discussion aura un sens ! Ça n’est pas vrai. Cela n’existe pas. Il ne peut pas être question d’accepter la marchandisation du corps humain. On ne me racontera pas d’histoire, c’est à ça qu’on arrive à la fin. Et si le corps d’une femme est un instrument de production, alors la question de sa propriété est reposée. » http://www.jean-luc-melenchon.fr/2011/07/01/interview-au-... "
"ils (le grand capital) ont mis la main sur la reproduction des plantes, et des animaux, alors maintenant ils veulent mettre la main sur la reproduction des humains", comme le marché de l'infertilité, pourtant en croissance explosive vu la pollution, ne leur suffit pas, il faut multiplier les couples non-reproductibles :
(par contre je ne suis pas du tout d'accord avec Pie XI : le communisme n'est pas intrinsèquement pervers ! au contraire ! par contre cette enquête-même montre que le capitalisme lui est intrinsèquement pervers. Dommage que cet Horovitz vienne en profiter pour tenir un discours intégriste, cependant il n'est pas aussi vieille baderne à la Pie IX qu'on pourrait croire, voir ici ce qu'il dit à côté de Farida Belghoul et où il donne de sains conseils de liberté et d'autonomie : https://www.youtube.com/watch?v=yYjJEm7y4O4 )
En Belgique :
NO MATERNITY TRAFFIC en première ligne le 3 mai à Bruxelles pour dénoncer une conférence de promotion de la GPA
Cette conférence, organisée par la société américaine Men having Babies autour d'agences commerciales essentiellement américaines (Extraordinary conceptions, Worldwide Surrogacy, etc.) présentait les différents moyens d'obtenir un enfant via une mère porteuse en contournant les lois nationales avec des prix allant jusqu'à 170 000 dollars. (on voit le public ! ...) La GPA est avant tout diffusée par des sociétés commerciales qui cherchent à faire du profit avec cette pratique en marchandisant des femmes et des enfants en toute impunité. Un basculement ?
La vigilance de No Maternity Traffic et la mobilisation de ses représentants belges qui ont manifesté à l'entrée de cette conférence, a suscité une vague de réactions médiatiques et politiques pour la défense des femmes et des enfants contre de telles pratiques.
C'est le premier coup d'arrêt donné à Men Having Babies qui fait la promotion de la GPA en Europe depuis plusieurs années, au mépris des lois existantes dans plusieurs pays européens, sans le moindre respect de la situation Belge en l'occurrence. Rajoutant à la confusion, cet évènement a eu lieu dans des salles louées dans les mêmes locaux que le gouvernement Bruxellois.
Ces manifestations ont lieu alors que la Belgique se pose la question d'encadrer la gestation pour autrui, actuellement tolérée mais pas légalisée. Pour les responsables de No Maternity Traffic : « On voit bien qu'il sera impossible d'"encadrer" la GPA. Le simple fait d'autoriser la GPA avec des conditions fait que des sociétés commerciales organiseront le contournement des lois mises en place pour procéder à la GPA à l'étranger et rapatrier ensuite le bébé dans le pays. C'est déjà ce qui se passe au Royaume Uni qui a "encadré" la GPA depuis 30 ans et où la très grande majorité des GPA se font à l'étranger sans le moindre respect des lois britanniques. La seule solution possible est donc l'abolition de la GPA au niveau mondial. »
No Maternity Traffic rappelle que la GPA fait des enfants l'objet de contrats en vue de leur conception et de leur abandon par leur mère et dénonce une nouvelle forme de traite d'êtres humains. La GPA viole le droit européen et international, en particulier les conventions sur les droits de l'enfant (1989), sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes (1979), en matière d'adoption (1967 et 1993), sur la lutte contre la traite des êtres humains (2005), sur les droits de l'homme et la biomédecine (1997).
Et c'est convergent avec un autre projet, celui de ceux qui veulent que l'humanité cesse de se reproduire et Ils que les humains meurent, mais pas eux, les autres…
Comme dit Mme Bilheran dans la préface du dernier livre d'Alexandre Jandrok : "Nous vivons des heures folles, une immersion de plus en plus insoutenable dans le système totalitaire, une situation grave à l’heure actuelle où des esprits ayant une haute conception de l’Humanité se dressent pour tenter de faire rempart au chaos, sous les railleries, les calomnies, les quolibets, les suspicions des inconscients ou des complices.
Oui, ils risquent leur vie, pour contribuer à informer, et à vous réveiller.
Ils ont désormais conscience que sans résistance l’Humanité périra.
et si nous résistons, nous avons une petite chance d’éviter le pire.
Et pour cela, chaque initiative individuelle œuvrant pour le Bien Commun compte.
L'humanisme ne risque pas de disparaître demain, il a déjà disparu aujourd'hui avec la chosification de l'embryon humain, la marchandisation du vivant et la police des ventres. Le transhumanisme est un créneau porteur qui agit comme une entreprise de démobilisation et de désarmement moral. Or, nous avons tous les moyens de ne pas devenir demain les robots du transhumanisme à condition de commencer par ne pas être les robots de la pensée dominante aujourd'hui. À propos de l'euthanasie.« L'avortement est d'abord le fait de tuer un enfant », Jean-Marie Le Méné, propos recueillis par Béatrice Piot, L'Homme nouveau (ISSN 0018 4322), nº 1581, 3 janvier 2015, p. 10
l'espèce humaine va être éliminée, pour être remplacée par une humanité transhumaniste programmée par les algorithmes de l'OLIGARCHIE seul et unique moyen de regarder la vidéo ci-desosu : cliquer sur le lien suivant : https://www.youtube.com/watch?v=h8F2cIQzDqU (vidéo essentielle à regarder, et regarder, et regarder, et enregisterer pour la mettre à l'abris, etc, etc, etc,) :
son adresse sur l'ignoble et totalitire et détraqué site de l'immonde totalitaire et capitaliste Youtube :
Le scénario est tellement connu que l'angélisme n'est pas raisonnable. Ce qui sera présenté comme l'exception deviendra la règle, puis la transgression finira par être brandie comme un "droit fondamental". puis par une OBLIGATION "citoyenne" contrôlée et sanctionnée par les flics sociaux de la DDASS. Les bouleversements que cette démarche systématique implique s'enchaînent comme des dominos et font tomber les uns après les autres les repères structurant de la société protecteurs des vies humaines fragiles.