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21/11/2024

à la sainte-Catherine tout bois prend racine

la résistance aussi

Manifestation le 25 Novembre 2017 à 14h aux Invalides

Madame, Monsieur
Nous le savons depuis quelques semaines maintenant, Madame Agnès Buzyn, Ministre des solidarités et de la santé, à placé au cœur du Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale ( PLFSS) l’article 34 visant à étendre l’obligation vaccinale.
C’est avec regret et indignation que nous vous annonçons que cet article vient d’être voté à l’Assemblée Nationale le Vendredi 27 Octobre par 63 députés sur 75 votants.
Non, vous ne rêvez pas, ce sont bien 75 députés seulement qui ont choisi pour 66 000 000 de Français ! (pour rappel il y a 577 députés)
En plus de bafouer nos droits fondamentaux tels que le droit de disposer de son corps et le libre choix thérapeutique (loi Kouchner de 2002, code de Nuremberg).                                                                                      Le parlement vient de se priver d’un vrai débat démocratique, malgré la demande de plusieurs députés pour que celui-ci ait lieu.
Les amendements de retrait de l’article 34 ont tous été rejetés tout comme la proposition de Monsieur Dupont-Aignan de mettre en place une commission d’enquête ainsi qu’un moratoire d’un an sur cette mesure.
Comment peut-on voter une loi aussi importante qu’est l’extension vaccinale sans que députés et sénateurs n’aient eu le temps d’examiner en profondeur la question ? Sans qu’ils n’aient eu entre leurs mains les études, recommandations, mises en garde, avis des différents médecins et citoyens !

Seules les conclusions de la commission FISCHER ont été examinées, commission qui rappelons-le, a étouffé la parole du jury de citoyens et du jury de professionnels de santé la composant.
Nous rappelons que la Ministre veut obliger tous les nourrissons nés à partir de Janvier 2018 à se vacciner contre 11 maladies et cela sans qu’aucune épidémie ou urgence de santé publique ne le justifie . Les parents qui refuseraient de faire ne serait-ce qu’une seule valence ( la très controversée hépatite B par exemple) se verront refuser l’entrée en collectivités de leur enfant.

C’est un scandale !

Les parents sont totalement dépossédés des droits parentaux en terme de santé, les médecins se font voler leur rôle de prescripteur et pire encore, les enfants seront exclus de toutes collectivités comme s’ils étaient des parias.
De quel droit peut-on prendre une décision aussi grave à la va-vite ?

Attention ! La ministre a annoncé que cette loi ne concernerait que les enfants nés à partir du 1er Janvier 2018, mais ne nous leurrons pas, si le projet de loi de Madame Buzyn passe tel quel, attendons-nous à des amendements élargissant l’obligation aux enfants nés les années précédentes.
Sans parler des allusions à peine déguisées d’Olivier Véran, lors de la Commission des affaires sociales, sur le projet d’extensions d’obligations au vaccin HPV (papillomavirus) , y compris pour les garçons, alors qu’il est déjà hautement contesté pour les filles, retiré de la vente en Autriche et au Japon. Remis en cause auprès de l’EMA au Danemark par rapport à sa sécurité , et que plus de 1000 professionnels de santé en France demandent depuis plusieurs années un moratoire sur ce vaccin.

A l’heure actuelle, personne ne sait encore si ce vaccin a la moindre efficacité pour prévenir un cancer du col de l’utérus… ( alors ne parlons pas d’autres préventions fort improbables ).  Comme toujours, le gouvernement a fait la sourde oreille quant aux propositions et doutes affichés par les nombreux citoyens, professionnels de santé et députés.

La Ministre persiste à marteler que les vaccins sont tous  efficaces, bénéfiques, nécessaires et sûrs, que les adjuvants sont inoffensifs et que toutes les études le démontrent (ce qui est clairement faux).

Avec monsieur le rapporteur général, Olivier Véran, ils remettent même en cause les études menées par le Professeur Gherardi, en affirmant qu’il s’agit d’un débat franco-français et que la pathologie décrite par M. Gherardi n’est pas reconnue par l’Organisation mondiale de la santé, et qu’il n’existe aucun cas ailleurs dans le monde.

Pourtant plus de 12 pays ont détectés des pathologies très similaires à la Myofasciite à Macrophage de part le monde, et des chercheurs de nombreux pays pointent du doigt la sécurité toute aléatoire des adjuvants aluminiques. Si on admet que l’adjuvant aluminique peut induire des troubles cognitifs, donc une atteinte neurologique chez des adultes, qu’en est-il des vaccins pédiatriques sur des nourrissons en pleine évolution neurologique, motrice, et d’apprentissages fondamentaux ?

En réalité la polémique sur l’aluminium remet en cause complètement la sécurité des vaccins sur ces 20 dernières années au moins, et si elle est tant controversée, c’est qu’il n’y a pas que les industriels pharmaceutiques qui se sentent concernés par la toxicité neurologique de l’aluminium , il y a aussi les industriels de la cosmétique et de l’agro alimentaire .

Ce point est d’un enjeu considérable.

Rappelons que sur les 11 vaccins que la loi prévoit de rendre obligatoires, 8 sont adjuvantés sur aluminium. De plus, comme si cela ne suffisait pas, en supprimant l’article L3116-4 du Code de Santé Publique qui prévoyait une peine de 6 mois d’emprisonnement et jusqu’à 3750€ d’amende, Les parents réfractaires seront dorénavant menacés par l’article 227-17 du Code Pénal qui dit que « le fait, par le père ou la mère, de se soustraire, sans motif légitime, à ses obligations légales au point de compromettre la santé, la sécurité, la moralité ou l’éducation de son enfant mineur est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende ».

Ce que ne nous dit pas la Ministre, c’est que les enfants ne seront pas les seuls à pouvoir se retourner contre les parents en cas de maladie suite à une non-vaccination !

En effet, toutes administrations, médecins, P.M.I., assistants sociaux etc pourront déposer plainte contre les parents qui ne feront pas vacciner leur enfant contre la totalité des 11 maladies, et cela peu importe que l’enfant soit en collectivité ou non, malade ou non !

Tout cela change la donne, nous sommes bien loin du discours de la Ministre qui se veut non punitif et en omettant sciemment de nous préciser ce “petit détail” elle a bien réussi à rouler dans la farine non seulement les citoyens et la presse mais aussi les députés !

la proposition de Monsieur Dupont-Aignan de mettre en place une commission d’enquête ainsi qu’un moratoire d’un an sur cette mesure. Pour autant, rien n’est perdu ! Le texte de loi doit passer par le sénat, qui espérons-le ne votera pas le texte en première lecture.

De plus, le conseil constitutionnel pourra également décider de censurer l’article 34 puisque nous vous rappelons que celui-ci présente toutes les caractéristiques du “cavalier législatif ” ; comme l’a rappelé madame Blandine Brocard les dispositions qui n’affectent pas significativement l’équilibre financier des régimes obligatoires et dépourvus de lien direct avec l’objet exclusivement financier du PLFSS sont systématiquement censurées.

Malgré le vote de L’Assemblée Nationale, il est totalement proscrit de se désolidariser. Nous devons rester debout, soudés unis et forts pour défendre les intérêts de nos enfants et des générations futures. Nous refusons de rester les bras croisés et continuons le combat !

Plus que jamais il est nécessaire d’élever nos voix en faveur de la liberté, en manifestant auprès du mouvement Ensemble Pour une Vaccination Libre le 25 Novembre prochain.Pour nous aider à financer l’organisation de la manifestation, vous pouvez dès à présent acheter vos t-shirts, badges et autocollants ou faire un don sur la boutique.

Les débats au sénat devrait débuter le 13 novembre, nous avons jusqu’à cette date pour convaincre un maximum de sénateurs du caractère inconstitutionnel de cette loi afin que le conseil d’état soit saisi. ( au moins 60 sénateurs ou députés)
Ainsi, nous vous demandons de continuer à les contacter en masse pour leur faire part de vos inquiétudes et demander la saisine du conseil constitutionnel.
Nous vous proposerons, très prochainement, une lettre à envoyer à vos députés et sénateurs. Par ailleurs nous vous demandons également de poursuivre la sollicitation auprès d’eux pour une demande de rendez-vous.

Nous vous invitons à venir manifester en nombre à Paris, le 25 Novembre 2017 à 14h aux Invalides, à l’angle de la rue de l’université, pour défendre nos libertés.

Il y aura au programme, des interventions de médecins et pharmaciens, des témoignages de victimes de la vaccination ainsi que de l’information. Nous vous attendons nombreux afin de faire entendre notre voix au gouvernement,
parce que
“LA LIBERTÉ EST UN DROIT, VACCINER EST UN CHOIX”.

Contrairement aux affirmations de la Ministre de la santé Agnès Buzyn, l’extension de l’obligation vaccinale s’accompagne de sanctions. Et de sanctions lourdes : 2 ans de prison au lieu de 6 mois et 30 000 € d’amendes au lieu de 3 750 €. La députée européenne, normalienne et agrégée de biologie Michèle Rivasi alerte sur cette dangereuse manipulation des députés et du public.

Le 18 octobre 2017, lors de leur examen du PLFSS 2018 et du vote de l’article 34 instaurant l’obligation des 11 vaccins, les députés en commission des affaires sociales ont aussi voté la suppression d’un article spécifique du Code de la Santé Publique (Article L3116-4). Ce faisant, en retirant cet article spécifique, c’est l’article général de « soustraction des parents à leur obligation légale » qui s’applique (Article 227-17 du Code Pénal), alourdissant les sanctions prévues en cas de non-respect de l’obligation vaccinale.

Le risque pénal est réel. Il a même été relevé par Eric Alauzet (LREM) dans son rapport sur le PLFSS 2018, où il se désolidarise de cette volonté d’obligation.

Michèle Rivasi : « Un mini-sondage préliminaire à la sortie de l’Assemblée Nationale nous a appris qu’aucun des 15 premiers députés interrogés n’ont conscience que les parents récalcitrants s’exposeront à 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende. Ils pensent à plus de 60% qu’il n’y aura pas de sanction « comme l’a dit la ministre. »

Je suis très inquiète de cette désinformation qui s’installe. La ministre de la santé par exemple, en insistant sur la possibilité d’un enfant d’attaquer ses parents pour ne pas l’avoir vacciné, ne dit pas que n’importe quelle autorité sanitaire ou administrative pourra aussi faire un signalement et mettre en œuvre le Code Pénal. Pourquoi dissimuler une information d’une telle importance ?

De deux choses l’une. Soit la ministre de la Santé Agnès Buzyn ne veut pas de sanctions, elle est cohérente avec ce qu’elle dit, et dans ce cas le texte de loi intègre explicitement cette exemption en la rendant légale. Soit le texte sera voté en l’état, en maintenant cette épée de Damoclès dans le PLFSS 2018, et cela démontre que ses affirmations ne sont que de la poudre aux yeux, destinée à endormir les braves gens.

Je trouve le double langage du gouvernement d’autant plus choquant et scandaleux, que je vois aussi comment, en parallèle, s’organise peu à peu la déresponsabilisation des acteurs de l’acte vaccinal.

Qui est responsable en cas d’accident vaccinal ? Ce ne sont plus les fabricants. Ce ne sera plus non plus les médecins traitants ou les pédiatres dont le paiement à la performance intègre depuis fin 2016 les vaccins ROR et NEISVAC contre la méningite C. Ni les pharmaciens engagés dans l’expérimentation d’injections du vaccin anti-grippe, également rémunérés à l’acte vaccinal. Tous transfèrent à l’Etat leur responsabilité en se conformant à des campagnes de vaccination nationale et des objectifs de santé publique. L’irresponsabilité devient la nouvelle norme administrative.

C’est pourquoi, en écho aux voix parlementaires qui cherchent à discuter du bien fondé de cette extension vaccinale menée au pas de charge, je demande au contraire à nos élus de prendre leurs responsabilités en votant contre cette obligation vaccinale et ses non-dits. »

Contact Presse : Sébastien Barles 06 75 00 63 31

Source : alterinfo.net

18/11/2024

fascisme le retour ! - la haine du gros est une haine de classe

en Nouvelle-Zélande, comme d'ailleurs dans tous les pays anglo-saxons, et issus du puritanisme calviniste :

http://www.lepoint.fr/monde/trop-gros-pour-rester-en-nouv...

mais aussi en Espagne maintenant : Un tribunal espagnol retire un enfant obèse à ses parents… qui le tiennent caché! Voila qui relance la polémique sur le “fascisme sanitaire“, que dénonce le psychiatre Apfeldorfer. Retour sur une interview prémonitoire

 

Le psychiatre Gérard Apfeldorfer n’y va pas avec le dos de la cuillère pour avertir d’une pression ambiante envers les « déviants de santé », toujours plus marquée à ses yeux. Obèses en tête. Bloob l’interviewait au printemps de cette année sur une tendance qu’il dénonce comme un “fascisme sanitaire“.

« Fascisme sanitaire ! » L’expression est apparue la première fois en septembre 2008, sous la plume de Gérard Apfeldorfer, dans la lettre mensuelle du GROS (Groupe de réflexion sur l’obésité et le surpoids) : « le fascisme à l’ancienne, » écrivait alors le psychiatre, « faisait la chasse aux races inférieures ainsi qu’à leurs ferments qui polluaient le corps viril de la nation. Le fascisme sanitaire veut éradiquer les corps non conformes qui coûtent trop, qui ralentissent la production, qui découragent la consommation, qui font tache dans le paysage. »

Hygiénisme à l’américaine

En ligne de mire de ce premier texte, la vague d’hygiénisme musclé dans les entreprises des Etats-Unis, selon le mode « change ou tu es licencié », « change ou paie ton surcoût » etc… Le magazine Le Point venait de publier une belle enquête (toujours en ligne)  sur le sujet, avec force exemples. L’on pouvait y lire notamment : « Le plus dur à combattre, assurent les entreprises, plus que la nicotine, c’est l’obésité. »

 

Octobre 2008 ! Rebelote. Deuxième texte, titré « Fascisme sanitaire et déficit d’amour » . Entrée en matière explosive : « La République prépare la guerre » (évidemment…à l’obésité !).

Et c’est parti pour le feu d’artifice : « grande cause nationale », « surcoût chiffré à 15 milliards d’euros qui doublerait d’ici 2015 », « taxons les mauvais aliments », « solutions hygiéno-diététiques », 

"Manger de nos jours, dans l’optique des politiquement corrects, c’est comme l’amour chez les catholiques : il faut que ça soit exclusivement utile, sinon c’est péché, uniquement pour accomplir son dévoir – le devoir d’engendrer des enfants autrefois, et ici le devoir de se garder en bonne santé jusqu’au moment où on vous euthanasiera – et surtout pas par plaisir ! Verboten !" (RP)

« embrigadement sportif », « diabolisation des aliments »…
Le tout condensé ainsi par Gérard Apfeldorfer : « bonjour ostracisme et honte, bonjour culpabilité, bonjour compulsions et boulimies, bonjour aggravation du surpoids ! »

Intolérance, rejet et punition

Ce verdict enfin : « les solutions proposées, si maladroites, si simplistes, au lieu de soulager, ne peuvent qu’aggraver la situation de ceux qui sont déjà dans la souffrance. (…/…) quel dommage, que l’État français donne ainsi dans le fascisme sanitaire ! »  

Dix de der, en novembre dernier, avec le texte « Faut-il brûler les obèses »  ; occasion d’un genre de définition :

- « Le fascisme sanitaire en matière d’obésité, c’est l’intolérance exacerbée face à la différence physique, c’est la surveillance des déviations pondérales par le corps médical, c’est la moralisation et la diététisation de l’alimentation, c’est le rejet des personnes aux corps non conformes, ce sont des brimades et des punitions pour les récalcitrants. En attendant pire… »

Chasse aux déviants

(*) NDR… à mars 2009, car en mai paraissait “Fascisme Sanitaire 3″… sur la stigmatisation des obèses comme péril écologique planétaire, cause du réchauffement climatique!
D.B.

>> Quelques petits extraits supplémentaires de l’entretien

- Au risque de nouveaux « sous-hommes » ?

« Tout le monde doit être jeune, beau et lisse. Si on n’est pas en bonne santé, on travaille moins bien, on coûte trop cher, on est fautif… on a fait des choses qui ne sont « pas bien ». On n’est pas « moral », on est une « mauvaise personne ».

Il faut savoir aussi qu’avec un IMC supérieur à 45, on n’est déjà plus considéré comme vraiment humain. On apparaît « inhumain »… Et l’on est traité tel : soit l’on vous évite, soit on vous traite en objet… Les personnes très belles connaissent d’ailleurs le même problème, attirant les pervers, et éloignant les autres.


Bien sûr, pour le moment, c’est un fascisme policé, sans violence encore, que l’enjeu soit l’école, la famille, le travail, le sport etc. Mais faut-il attendre que les gens lancent des pierres dans les devantures de pâtisseries ?
»

- Pourquoi si peu de réactions à cette pression ambiante?

« D’une part, les gros font énormément de choses pour se faire accepter. Ils sont plus que conciliants, ils sont « compliants » (note: au sens “américain“, voir la wikipedia)  : ils se plient aux volontés des autres, s’effacent, s’oublient. C’est particulièrement vrai des ados qui peuvent être prêts à tout pour se faire accepter comme une personne… même de deuxième catégorie.


D’autre part, quand on est stigmatisé, on se dévalorise. La stigmatisation est justement réalisée quand sa victime reprend à son compte le discours la désignant, et dit « c’est ma faute, j’ai honte »…

La plupart des obèses sont dans la honte. C’est pourquoi leurs regroupements sont relativement rares. Alors qu’y participer est déjà une preuve de guérison. »

- Comment en sortir?

« Désormais, il faut surveiller, punir, corriger ou exclure. Ce n’est pas propre à la France, c’est très généralisé, et cela se développe de plus en plus.  C’est l’exemple des fumeurs aux USA : on fait des prises de sang pour vérifier si les salariés fument chez eux, et si c’est le cas, on les licencie… Attention alors à la marginalisation et la stigmatisation accrues, à la distinction entre « bonnes » et « mauvaises personnes, à la criminalisation…

 

EN FAIT

LA HAINE DU GROS EST UNE HAINE DE CLASSE

LA HAINE DU GROS EST UNE HAINE DE CLASSE

depuis que les bourges politically-correct du côté du manche sont plus maigres les uns que les autres (comme dans la Grande-Bretagne de 1984 imaginée par Orwell ce sont les membres des classes universitaires et supérieures qui sont "dressés" soigneusement à suivre la norme avec une obéissance rigoureuse et intériorisée !!) et marquent par leur maigreur le niveau élevé de leurs revenus leurs permettant des cures, sports, aliments à la mode, abonnements aux revues normatives spécialisées, etc, le fait (on ne peut plus BANAL et témoignant de la DIVERSITE essentielle et NATURELLE du genre humain) d'être "gros" ne se rencontre plus que chez les pauvres (et les "sans diplômes de l'enseignement supérieur, or dans la société actuelle en-dessous de la maîtrise t'es considéré comme un sous homme par nos maîtres maintenant !), aussi la haine du "gros" est devenu la nouvelle forme du racisme de classe anti-pauvres, plus virulent, et plus dogmatique que jamais.

 

 

 


 

16/11/2024

l’anti-conspirationnisme est une psychopathologie et un avilissement de l’âme

LE COMPLOTISME EST UN HUMANISME

et la base d'une pensée scientifique et rationnelle, l'anti-complotisme est une maladie mentale, et surtout un outil de manipulation, une "psy-op" des comploteurs !

(et d'abord il faut, comme pour toute chose, connaître les origines historiques de l'usage qui est fait de ce terme ! dans ce film https://dissidencetv.fr/13/12/2020/sante/covid-19/vaccina...  à partir de 1H 45m 45s vous avez l'origine et la véritable nature de ce terme de "complotisme" dont on nous rebat les oreilles ! écoutez-bien, il faut toujours connaître l'histoire ! on ne l'étudie pas assez.)

Et bien sûr encore ce TRUC de manipulation de la masse par nos maîtres : Avant, tout ce qui menaçait leurs intérêts pervers et cyniques était qualifié de "communiste" et on faisait la CHASSE AUX COMMUNISTES "grande cause nationale" , maintenant les mêmes choses on les qualifie de "complotisme" !

En fait c'est exactement le même phénomène. Donc VIVE LE COMMUNISME !  VIVE LE COMPLOTISME ! VIVE LE RATIONALISME (C'est d'ailleurs  la même chose !)

 


Le Génie du Complotisme
 Guillaume de Rouville.
Le complotisme présente cinq caractéristiques majeures qui le distinguent de l’anti-complotisme et qui résument tout son génie. Ses caractéristiques, que nous passerons rapidement en revue (partie 1), sont autant d’avantages sur l’anti-complotisme qui nous feront comprendre, par contraste, les limites épistémologiques de ce dernier, ses motivations profondes et ses soubassements idéologiques (partie 2).
Notre conclusion sera double :
1. Seul le complotisme permet d’appréhender la nature du pouvoir. L’anti-complotisme est une émanation du pouvoir dont la vocation est de le protéger et de lui permettre d’échapper à la compréhension de ceux sur lesquels ce pouvoir s’exerce. 
2. On ne dialogue pas avec le pouvoir : on s’y soumet ou on le combat. Il s’ensuit, naturellement, que les complotistes n’ont plus à chercher les faveurs des anti-complotistes ou de leurs maîtres, ni à s’excuser de penser hors des sentiers battus ou d’émettre des hypothèses de travail audacieuses. Il est temps pour les complotistes de se montrer offensifs et face à l’idéologie du chaos que le pouvoir incarne et projette sur le monde à travers ses relais médiatiques et institutionnels, de présenter le complotisme comme un remède aux pulsions mortifères de l’hydre mondialiste. Le complotisme est un humanisme. 
Partie 1
Les 5 avantages du complotisme
1.    Avantage Méthodologique
Tandis que l’anti-complotiste se contente la plupart du temps d’énoncer la thèse (officielle s’entend), le complotiste est contraint de travailler, d’approfondir à la fois la thèse et l’antithèse. Ainsi, le complotiste a une connaissance fine de la version officielle et des arguments de la version opposée. Cela le contraint à chercher et à ausculter plus profondément les faits, à les présenter dans un ordre cohérent et à les soumettre à un examen critique poussé.

Tandis que l’anti-complotiste n’a qu’à répéter la thèse officielle sans avoir besoin de la justifier, le complotiste est obligé de chercher des preuves solides à l’appui de ses propos et finit par acquérir une connaissance bien plus large que celle de l’anti-complotiste qui a borné son champ d’investigation parce qu’il lui suffit de citer une source « prestigieuse » pour gagner la bataille du pouvoir médiatique et la considération de ses pairs.
Que ce soit, par exemple, pour le 11 Septembre ou le réchauffement climatique anthropique, seuls les complotistes appliquent le principe du contradictoire, principe fondamental à la fois pour les journalistes, les historiens et les juges qui devraient examiner méthodiquement et en profondeur les thèses en présence avant de se prononcer sur le fond de l’affaire dont ils s’occupent. L’anti-complotiste ne voit pas l’absurdité de sa position qui consiste à penser que la version officielle est toujours la bonne (comme la raison du plus fort). Ce qui revient à interdire toute alternative, toute contradiction, toute possibilité de remettre en cause la version des faits une fois qu’elle a été estampillée par le sceau officiel et crachée sur les ondes des médias dominants.
L’anti-complotiste confine ainsi le réel dans une forme figée pour les siècles des siècles. Il se comporte comme le gardien d’une prison où les faits récalcitrants sont tenus en joug et passés à tabac, loin du regard des foules, tant que leur volonté d’indépendance et de franchise n’a pas été brisée. Il rééduque et torture les faits qui ne suivent pas ses mots d’ordre ou son catéchisme et ne les relâche dans l’arène publique qu’une fois qu’ils ont perdu leur prétention à dire leur part de vérité. Le complotiste libère les faits cadenassés qui retrouvent tout leur sens caché et leur autonomie, il les rend à l’air libre où se meuvent à leur aise la vérité et le réel.
Le complotiste n’ayant pas droit aux arguments d’autorité (par exemple, l’invocation d’un prétendu « consensus scientifique » des experts sur le réchauffement climatique anthropique) et étant soumis au feu permanent des critiques, il lui faut devenir un orfèvre dans son domaine pour pouvoir contrer un adversaire qui se contente de répéter un message univoque et balaie d’un revers de mains dédaigneux les arguments qu’on lui adresse.
Enfin, le complotiste cherche à donner du sens à ce qui, apparemment, n’en a pas toujours. Il ne se contente pas de laisser l’inexplicable inexpliqué. Si trois immeubles s’effondrent sur eux-mêmes alors que seulement deux ont été percutés par des avions, le complotiste essaie de comprendre ce phénomène étrange en convoquant des causes humaines et physiques qui sont dans l’ordre naturel des choses. Là où l’anti-complotiste, à court d’idée et d’arguments, finira pas se contenter de hausser les épaules, le complotiste, ira chercher des causes humaines (des volontés) si les causes physiques (mécanique des corps et mécanique des fluides) ne sont pas suffisantes.
De son côté, l’anti-complotiste, n’hésitera pas à réinventer les lois de la physique, juste pour l’occasion, afin de s’interdire de penser au-delà de la thèse officielle. Car, s’il devait s’aventurer sur le terrain glissant d’une hypothèse alternative, cela pourrait le conduire à devoir désigner un coupable inattendu, à découvrir un acte humain, voire une entente entre plusieurs personnes conscientes de leurs actes. Ainsi, pour expliquer l’absence de débris d’avion sur le Pentagone ou sur le site de Pennsylvanie en septembre 2001, l’anti-complotiste invoquera la possibilité que les avions se soient gazéifiés (thèse défendue par le très « prestigieux » journal Le Monde), ajoutant de la sorte quelques règles nouvelles aux lois de la thermodynamique. Il ne lui viendrait jamais à l’esprit qu’un mensonge volontaire se cache peut-être derrière l’inexplicable. Dans le même ordre d’idée il en vient à voir, dans les guerres menées par les démocraties occidentales, des événements naturels que ne guident aucune pensée maléfique ni volonté humaine.
Pour résumer les avantages méthodologiques de son approche, on peut dire que le complotiste travaille plus que l’anti-complotiste, connaît mieux son sujet et les arguments des parties en présence, ne se repose pas sur des arguments d’autorité pour avancer ses idées et accumule les éléments de preuve pour justifier ses propos et donner du sens aux événements et aux faits qui se déroulent devant lui.

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Ce sont là des raisons qui expliquent que les anti-complotistes ne répondent presque jamais positivement aux offres de dialogue que leur font les complotistes : ils savent, en effet, qu’ils finiront généralement déboités par les arguments de leurs contradicteurs ! Pour justifier un tel refus, ils rangent volontiers leurs adversaires sous l’appellation générique et bien commode du « camp de la haine », mettant ainsi entre eux et les complotistes une sorte de cordon sanitaire émotionnel qu’il serait difficile et dangereux pour tout un chacun de rompre impunément. Cette technique de la rhétorique de disqualification utilisée à l’encontre du complotiste, à la quelle vient généralement s’ajouter des menaces et des injures, est le signe que, sur le terrain de la méthode, le complotiste vient bousculer son adversaire dans ses derniers retranchements, lorsque celui-ci est au bord de son propre gouffre intellectuel.

Bref on retrouve chez eux l'attitude de Henri Wallon, qui au milieu du XIXè siècle disait : "un "ROUGE" n'est pas un homme, c'est un "rouge ! ce n'est pas un être doué de raison comme vous et moi, mais un être dégénéré et déchu" ....

Oui ! oui ! anticomplotisme et anticommunisme même combat !


2.    Avantage Psychologique
Le complotiste n’a ni d’apriori ni de tabou. L’impensable est pour lui toujours pensable. Si le complotiste navigue ainsi volontiers, par méthode et par prudence, dans l’air du soupçon et ne prête sa confiance à quiconque, il traite tout le monde à la même enseigne, les puissants comme les faibles ; il les écoute avec le même degré d’attention, sans chercher à plaire ou à déplaire à leurs susceptibilités respectives. Il veut comprendre et non pas justifier.
De son côté, l’anti-complotiste est enfermé dans le dogme de l’infaillibilité démocratique, ce qui lui interdit automatiquement tout un champ des possibles. Il est psychologiquement incapable d’imaginer que nos dirigeants démocrates puissent faire le mal intentionnellement. C’est bien cet apriori qui, aux yeux des complotistes, rend les anti-complotistes aveugles à la compréhension d’une part importante de notre monde. Et pour le dire plus clairement, les anti-complotistes sont dans l’incapacité de comprendre la nature et les ressorts du pouvoir (nous y reviendrons). Ils ne voient pas que le pouvoir, ontologiquement, est une physique de la contrainte et une métaphysique de la domination.
L’anti-complotiste est tellement engoncé dans cette opinion, qui est pour lui une sorte d’article de foi, qu’il ne pourra jamais concevoir que nos dirigeants puissent, par exemple, en toute connaissance de cause : (1) empêcher l’utilisation d’un remède peu couteux et efficace contre un virus, cousin de celui de la grippe, afin de favoriser une solution imaginaire et hypothétique (le vaccin) lors d’une pandémie annoncée et voulue, pandémie qui n’est pas tant le résultat d’une incompétence généralisée de nos commis en charge des affaires de l’État, que d’un chaos organisé par ces derniers comme un jeu de rôle mondialiste planétaire ; (2) s’allier avec des mouvances terroristes islamistes pour faire tomber des régimes laïques en Libye et en Syrie en ayant recours à des actes de terrorisme à grande échelle et en organisant le massacre et le gazage de populations entières tout en accusant le camp adverse d’en être responsable. De telles conclusions, iraient au-delà de ses forces psychologiques et l’amèneraient, sans doute, au bord de la crise de nerf et de l’hystérie.
Ainsi, pour l’anti-complotiste, la démocratie occidentale ne peut commettre de crime puisqu’elle ne peut avoir de mauvaises intentions : elle ne tue que par dommages collatéraux, jamais volontairement. Par conséquent, on ne peut lui imputer des crimes de masse, seulement des erreurs circonstancielles et contextuelles qui ont eu de tragiques conséquences humaines inattendues. La culpabilité de la démocratie occidentale ne dépasse jamais celle de l’élève qui aurait pu mieux faire.
Les anti-complotistes ne voient et n’admettent de complots que chez les autres ! terroristes musulmans ou les Russes, les Iraniens ou les Chinois, quand cela arrange leurs affaires et conforte leurs représentations du monde binaire (« eux » contre « nous »). Là, en général, aucune preuve tangible n’est exigée ! il suffit à l’accusation de désigner les coupables pour emporter la conviction de la foule conformiste des bourgeois cultivés qui ne craignent rien tant que d’émettre des hypothèses et, encore plus, d’avancer des théories qui sortiraient de la vulgate publiée régulièrement dans les gazettes officielles (Le Monde, The Guardian ou le New York Times).
3.    Avantage Conceptuel
Le complotiste offre des outils intellectuels pour appréhender le monde. Il propose des termes (qu’il a ou non construits lui-même) pour désigner des événements, des phénomènes difficiles à cerner ou à concevoir : Mondialisme, Atlantisme, Empire, Opposition Contrôlée, État Profond, Satanisme, Nouvel Ordre Mondial, Injonctions Paradoxales, Dogme de l’Infaillibilité Démocratique, Crimes Médiatiques, Rhétorique de Disqualification, sont autant de concepts outils permettant de sortir de l’hébétude dans laquelle le complexe médiatico-industriel progressiste nous maintient, afin de mieux cerner et comprendre le monde dans lequel nous évoluons.
Le complotiste apprécie la clarté d’un concept là où l’anti-complotiste préfère la confusion, l’absence de sens et de signification, ou le sens inversé de l’absurde : non pas le mystère qui pourrait nous ouvrir la porte d’une transcendance porteuse d’espoir, mais le vide comme explication universelle. L’anti-complotiste ne nous laisse qu’un champ de bataille sémantique chaotique où le néant et l’ambiguïté sont maîtres du réel et de nos neurones.
Empêcher la compréhension du réel et l’émergence des concepts explicatifs est sans doute l’un des objectifs du pouvoir pour demeurer « le pouvoir » et persévérer dans son être. Son crédo est de rester insaisissable, « im-pensable » et impensé, pour n’être point combattu. Un totalitarisme dont on ignorerait l’oppression ne susciterait sans doute pas d’opposition autre que contrôlée. C’est tout le génie de la démocratie représentative, instrument privilégié de l’oligarchie occidentale, que de nous empêcher d’établir clairement des liens de causalité entre des décisions humaines de quelques-uns et la longue chaîne des malheurs des peuples.
4.    Avantage Moral
Le complotiste a un avantage moral immense par rapport à l’anti-complotiste parce qu’il doit montrer plus de courage et affronter les difficiles conséquences sociales de ses propos. Tandis que l’anti-complotiste, en bon conformiste adorateur de la normalité sociale, ne fait que relayer et répéter les paroles de l’évangile médiatico-politique qui lui est servi quotidiennement, le complotiste sait qu’il aura contre lui les puissants et la masse des bourgeois cultivés qui peuplent les cercles mondains des multiples socialités auxquelles la vie nous invite tous à participer.
Le complotiste prend constamment des risques dans sa vie professionnelle et privée pour simplement émettre des doutes et proposer des explications alternatives : on ne compte plus le nombre de complotistes débarqués de leur poste pour avoir avancé quelques hypothèses dérangeantes sur le 11 Septembre, l’implication des démocraties occidentales dans le terrorisme islamique ou la responsabilité du CO2 dans le réchauffement climatique anthropique. Si le courage ne donne pas raison, il a une valeur intrinsèque qui distingue nettement le complotiste du bourgeois cultivé conformiste (ou acheté ....)  qui fait office d’adversaire.
Le complotiste ose nommer le mal, il ose désigner les puissants et les puissances qui sont derrière ces manifestations humaines : il ne se contente pas, comme les professionnels de la révolte, d’attaquer des abstractions (par exemple, le capitalisme), il confronte des pouvoirs concrets (dont la somme des liens et des alliances fait et révèle le pouvoir dans toute sa puissance et ses nuisances) et nomme les responsables. Pour le 11 Septembre, il désignera volontiers le petit groupe de néoconservateurs comme responsables ou au moins complices des attentats ; il en fera le portrait détaillé en égrenant leur CV et leurs méfaits avérés. Concernant l’hystérie sanitaire mondialiste déclenchée au printemps 2020, il n’hésitera pas à pointer du doigt le rôle de Bill Gates et des dirigeants de l’OMS, de certaines firmes pharmaceutiques (comme Gilead)

(Maximisation du profit, lutte des classes, bref le B. A. ba du marxisme, c'est à dire du bon sens) ou de certains médias (comme BFMTV en France) dans le déclenchement de cette expérience orwellienne à l’échelle mondiale.
L’anti-complotiste, lorsqu’il dénonce, est plutôt dans la délation puisqu’il désigne à la vindicte médiatique et judiciaire, à la censure et aux poursuites pénales, les lanceurs d’alertes qui n’ont en général que leur plume pour se défendre. L’anti-complotiste utilise volontiers la menace et l’intimidation pour faire taire ceux qui s’aventurent hors des sentiers battus et rebattus : la rhétorique de disqualification et l’hystérie émotionnelle sont ses outils préférés.
Ainsi, tandis que le complotiste dénonce les puissants et se met volontairement dans leur ligne de mire, l’anti-complotiste établi des listes d’opposants isolés à exécuter en place publique sans leur donner la parole. Il y a du Cyrano de Bergerac chez le complotiste : s’il n’a, bien évidemment, pas toujours raison, il avance empanaché d’indépendance et de franchise et revendique le droit de se tromper.
Les complotistes sont à la fois une dissidence et une résistance. Peut-être même les seuls à s’opposer aux expériences orwelliennes que nos démocraties oligarchiques nous imposent de temps à autres pour éprouver leur puissance : hystérie sanitaire, hystérie réchauffiste, hystérie anti-Trump (qui n’est que le syndrome d’une hystérie contre les souverainistes et les partisans de la diversité des nations), etc. Comme nous le verrons en :

partie 2, l’anti-complotisme est une hystérie.

Ce qui frappe, quand on fait le bilan du complotisme sur les deux dernières décennies, c’est l’incroyable capacité de celui-ci à avoir raison, à prédire ce qui va advenir. En analysant avec sérieux et pertinence le présent et le passé récent, le complotisme est capable de mieux appréhender les grandes orientations qui se dessinent devant nous que tous les experts réunis en conclaves officiels.
Sur le 11 septembre, sur la guerre en Irak et en Syrie, sur le réchauffement climatique anthropique, sur le Russiagate et l’affaire ukrainienne aux États-Unis, sur le Covid-19 et sur tant d’autres sujets scientifiques ou géopolitiques, le complotisme engrange les victoires les unes après les autres. Plus le temps passe plus les faits s'accumulent plus on s'aperçoit que c'étaient les "complotistes"qui avaient raison !
La démonstration de la force prédictive de la pensée complotiste a été particulièrement spectaculaire lors de l’épisode de totalitarisme sanitaire et sécuritaire que nous avons tous vécus au printemps 2020. Aux modèles prédictifs délirants (souvent informatiques) invoqués par les comités « scientifiques » mis en place un peu partout en Occident lors de cette drôle de crise sanitaire qui prévoyaient l’apocalypse tous les matins du monde, les complotistes ont opposé le bon sens, l’analyse cartésienne, le raisonnement et le sang-froid, et ont ainsi pu identifier rapidement des solutions efficaces pourtant décriées par tous les médias dominants tombés volontairement dans une hystérie destinée à faire perdre l’entendement collectif. Le complotiste est parvenu à s’extraire du bruit et de la fureur de l’actualité brouillonne et a eu raison sur toute la ligne : de l’analyse du problème à la proposition d’un remède. N’ayant d’apriori à l’égard de personne, le complotiste a écouté toutes les parties en présence et à pu saisir au vol le réel avant qu’il ne soit confisqué et défiguré par les tortionnaires de l’information qui lui ont substitué la peur comme seul vecteur de la représentation du monde. Nous y reviendrons en détail dans la deuxième partie ou dans un article séparé.
Depuis le début du conflit en Syrie, seuls les complotistes savaient que le président Bachar el-Assad était soutenu par la grande majorité de son peuple et n’était pas au bord de la déroute, bien que tous les journaux ayant pignon sur rue en Occident annonçaient à longueur de colonnes la fin imminente du « régime sanguinaire ».  Concernant le réchauffement climatique, regardez les conférences de Istvan Marko ! scientifique de l'ULB, il a tous les faits et les graphiques c'est lumineux !
____________
Le complotisme est la grande aventure humaine, intellectuelle et politique de notre siècle. Si nous voulons que l’homme perdure dans ses fondamentaux humains, loin des promesses trans-humaniste et technicistes qu’on veut nous imposer sans débat, il est temps d’affirmer ce que nous sommes : un humanisme.

Marie-José MONEGER 
30 décembre 2020 9 h 50 min 
Le complotiste est un être cartésien dont la curiosité est insatiable, qui lit et observe beaucoup, qui réfléchit également beaucoup, qui n’hésite pas à se remettre en question et à avouer qu’il s’est trompé …!
Le complotiste a oublié d’être bête,
Le complotiste est un HUMANISTE … !!!
 
Martha 
30 décembre 2020 13 h 09 min 
Répondre à  Marie-José MONEGER 
C’est exactement cela. Quand il connait toute la réalité du Monde dans lequel il vit, tous ses rouages, toute l’horreur semée par les plus puissants, le complotiste devient beaucoup plus fort intérieurement et devient, par conséquence, plus humain.
C’est bien la raison pour laquelle, tout est fait pour le faire taire et cacher ses messages.

C’est aussi le B à BA de la philosophie; le doute , la réflexion , le refus du principe d’autorité , de la croyance irréfléchie et naïve. Bref de l’opinion non examinée ;
 
Duc1950 
30 décembre 2020 10 h 47 min 
Complotisme est un mot « inventé » par les comploteurs pour « discréditer » les gens qui dénoncent leurs magouilles !
 
Thierry Theller 
30 décembre 2020 12 h 41 min 
Tout à fait. À l’instar du régime soviétique qui, pour faire tenir à carreau ses détracteurs, leur a collé sur le dos le terme infamant de fasciste.
Les mondialistes, eux, notamment la CIA, en ont fait tout autant avec la qualification de :  » Complotiste « . Cette qualification, aujourd’hui cuite et recuite, se retrouve servie à la moindre contestation de l’illégitimité du régime totalitaire, imposé aux populations du monde.

daruma 
30 décembre 2020 17 h 03 min 
Excellent article. Je me permets d’apporter ma petite contribution.
Les anti-complotistes semblent ignorer tout de l’ingénierie sociale et de la fabrication du consentement, ces instruments de contrôle et de manipulation des masses. De manière générale, ils ont un problème avec la causalité : pour eux, une intention malveillante et concertée ne saurait expliquer la complexité du monde dans lequel nous vivons. C’est qu’ils s’imaginent que les comploteurs maîtrisent tous les effets qui résultent de leurs actions.  [ce qui évidemment est faux ! Innombrables sont les conspirations qui ont échouées o ot été détournées, exemple la Révolution de 1830, c’était un comlotd’étudiants des grandes écoles, qui voulaient remplacer Charles X par un régime républicain, et ont tout savamment préparé, mais unechse à l’aqeleles ils n’avaient pas pensé, c’est la grande peur des possédants devant la perspective d’une république, et les ambitions de Louis-Philippe d’Orléans fils de son père (comploteur lui aussi, mais qui n’avait pas réussi, puisqu’il finit guillotiné) qui à ramassé le mise, ce qui fait que la République des comploteurs leur est passé sous le nez!] 
Si vous discutez avec un anti-complotiste (ouvert à la discussion et sans animosité [ça existe?!] ), il finira par aboutir à cet argument qui consiste à dire que c’est trop incroyable pour être vrai. Tout brillant et intelligent qu’il puisse être, il part avec deux handicaps majeurs : il ignore sa propre idéologie et ses propres biais cognitifs, voyant la paille dans l’œil du complotiste mais ne sachant pas qu’il a une poutre dans le sien. Et surtout, il bute sur l’obstacle affectif qui lui fait considérer comme invraisemblable et inconcevable ce qu’il ne veut surtout pas voir ni concevoir.
Il y a aussi le fait d’essentialiser le complotisme : cela consiste à dire que puisqu’il y a eu par le passé des théories du complot qui se sont révélées fausses, cela veut dire que toutes les théories du complot sont fausses. Elles sont fausses par définition, par la magie d’une définition, la fausseté étant contenue dans la définition même du complotisme. Le complotiste est un suspect jugé d’emblée coupable d’avoir tort, il ne bénéficie d’aucune présomption d’innocence.
Il suffit ensuite d’étendre l’anathème « complotiste » à tous ceux qui cherchent la vérité qui se cache derrière les mensonges et les manipulations des entités détentrices de pouvoir. C’est bien pratique quand on veut faire taire ceux qui dérangent. C’est l’arnaque suprême des anti-complotistes,  laquelle consiste à ranger dans la rubrique « complotisme » toute tentative de remise en question des versions officielles, et donc à combattre toute pensée dissidente.

 Le complotiste est celui qui révèle la vérité des faits, qui met à jour le complot par l’analyse rationnelle des faits. Les complotistes sont ainsi qualifiés par les comploteurs pour faire croire qu’il n’y aucun complot. On pourrait même penser qu’il n’y a pas de complot, puisqu’ils ne se cachent même plus : ils dévoilent leur projet. Sans doute ne disent-ils pas tout, et qu’il y a bien d’autres surprises à découvrir.
https://charlesandrelegrand.over-blog.com/

 

15/11/2024

Ja estis peza vino, kiun ni trinkis kune

PEZA VINO

Ja estis peza vino,

Kiun ni trinkis kune.

Flamruĝa laŭ koloro,

Laŭ gust’ tre dolĉa, ĉu ne ?

Ni tostis … Du pokaloj

Ektintis pro la ĝojo…

Trinkite – ĝis la fundo.

Aĥ, je kioma fojo ?


Kaj pasas tag’ post tago

En vico senvaria

Kaj jen anstataŭ sobri

Mi estas plu ebria...

Ne volas trankviliĝi

La pulseganta sango.

Mi pezan vinon sentas

Ankoraŭ su la lango.



(Eli Urbanova 1922-2012)

11/11/2024

Devoir de mémoire ; Helric Fredou - le seul député heroïque, le seul policier héroïque ("suicidé"), et le seul journaliste héroïque

RElisez bien dans le détail les circonstances de ce qui s'est passé ce soir là au commissariat de Limoges avant la mort de Helric Frédou.

Un suicide est très invraisemblable, par contre une "élimination" par des agents très spéciaux est plus que probable. Surtout dans le contexte de l'enquête qu'il menait et sur laquelle il a eu visiblement un gros différent avec sa hiérarchie.

Et pour ceux qui croient que ça n'existe pas voici : Des policiers à qui on demande de "flinguer" un collègue au boulot et avec l'arme de service de celui-ci, ça existe ! Regardez cette vidéo, de quelqu'un qui a travaillé pour,  ce monde et dont des proches et des amis appartiennent à ce monde, donc il sait ce dont il parle :

https://hdclips.top/hd-videos/N-Lk8RHkDsc/le-faux-suicide...m

 

 

Le 9 septembre, Jeannette Bougrab, nouvelle directrice de l'Institut français de Finlande, nommée discrètement au cours de l'été, sans compétences particulières pour ce poste,  a du recevoir - en raison d'un évènement culturel- un personnage particulier : Christophe Premat, député PS en charge des Français d'Europe du nord

Le 5 février, Panamza avait contacté son assistante parlementaire. Le motif : Premat avait été le seul député à interpeller, une semaine auparavant et par écrit, le ministre de l'Intérieur à propos des "circonstances exactes du décès du policier Helric Fredou" » Affaire Charlie : le mépris de Bernard Cazeneuve pour la famille du policier « suicidé

question écrite, restée au mépris de toute légalité sans réponse, cette queqstion fut renouvellé à deux reprises, et toujours sans aucune réponse. ...

Retrouvé "suicidé" dans son bureau le 8 janvier, ce commissaire adjoint de police de Limoges était chargé, le soir de l'attentat contre Charlie Hebdo, de rédiger un rapport d'enquête relatif à la protection des parents de Jeannette Bougrab, prétendue compagne du directeur assassiné du journal. http://www.panamza.com/230715-bougrab-tombe-charb

Selon la collaboratrice de Premat, la réponse officielle devait être, "a priori", attendue "dans les trois mois, au maximum" (soit le 27 avril, au plus tard).
Aujourd'hui, vendredi 4 septembre, comme l'illustre une case restée blanche sur le site de l'Assemblée nationale, Bernard Cazeneuve n'a toujours pas apporté la moindre réponse (ça peut se faire en démocratie ??? c'est pas un peu anticonstitutionnel ça ?? à quoi ça sert qu'il y ait des lois ? à quoi ça sert qu'il y ait des élections ? à quoi ça a servi un siècle de lutte républicaine et de révolutions ?)

http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-73052QE.htm
Pour en savoir plus sur l'affaire Charlie, consultez le dossier de Panamza L’affaire Charlie Hebdo, revisitée et décryptée par Panamza ***SOUTENEZ L'INFO-PANAMZA Comment soutenir Panamza et puis pensez à

* les tentatives d’intimidation judiciaire intentées par Pierre Bergé et Caroline Fourest.

* les tentatives récurrentes de piratage informatique du site Panamza en provenance de la mouvance ultra-sioniste (Ulcan) et de hackers anonymes.

* l’hospitalisation -au printemps 2015, en service de réanimation médicale- de son rédacteur Hicham Hamza, suite à une brutale et inexpliquée dégradation de santé.

Il n'y a qu'en Espagne et aux USA qu'on se pose des questions et qu'on essaye de mettre les pièces du puzzle ensemble et voilà le résultat : http://www.hispantv.com/newsdetail/Terrorismo/36788/¿Aman...

Christophe Premat seul député héroïque http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-73052QE.htm

Question N° 73052
de M. Christophe Premat (Socialiste, républicain et citoyen - Français établis hors de France )
Question écrite
Ministère interrogé > Intérieur
Ministère attributaire > Intérieur

Rubrique > police

Tête d'analyse > commissaires

Analyse > suicide. enquête.

Question publiée au JO le : 27/01/2015 page : 512
Date de renouvellement: 02/06/2015
Date de renouvellement: 08/09/2015

Texte de la question

M. Christophe Premat attire l'attention de M. le ministre de l'intérieur sur les circonstances du décès du policier Helric Fredou dans la nuit du 7 au 8 janvier à Limoges. Helric Fredou était directeur adjoint du service régional de la police judiciaire de Limoges et était chargé de rédiger un rapport sur l'entourage familial de Charlie Hebdo. Ses funérailles se sont tenues dans la plus grande intimité. Les interrogations sur les conditions de son décès se multiplient dans la presse et notamment la presse internationale. Il aimerait savoir si un rapport plus détaillé sur les circonstances de son décès est envisagé.

 

REGARDEZ BIEN !!! cette question n'ayant, au mépris de toute légalité, reçu aucune réponse du ministre, a été renouvelé à deux reprises le 2 juin et le 8 septembre de la même année, et TOUJOURS SANS REPONSE .....
en tous cas remarquez une chose aussi :

1 seul député sur 500, Plus tard l'histoire retiendra ce nom. Peut-être un jour un monument lui sera élevé.

ne l'oubliez pas

 

le 4 juin, le magazine Closer révélait que Pelloux avait accusé – lors d’une déposition policière effectuée le 4 février – Bougrab d’avoir cambriolé son ami Charb dans les heures qui ont suivi l’attentat. Elle aurait obtenu la clé de l’appartement auprès des parents de Charb en se présentant comme sa compagne [http://panamza.com/11596]].
- le 8 juin, Panamza révélait que Bougrab avait affirmé – dans son livre paru en mai – n’avoir « jamais » eu cette clé en sa possession [2].

Reste désormais à décrypter le rôle exact – dans toute cette sombre histoire – de Bougrab, une amie de Manuel Valls et Gilles-William Goldnadel (intime de Mileikovsky, nom d'origine de Natanyahou) qui fut présentée comme la compagne de Charb – pour la première fois – par Caroline Fourest.

Sans oublier le sujet le plus tabou car totalement passé sous silence par la presse traditionnelle d’investigation : éclaircir les dernières heures du commissaire de police Helric Fredou, retrouvé « suicidé » – au soir de l’attentat – alors qu’il s’apprêtait à passer un coup de fil « urgent » et relatif au débriefing des parents de Bougrab [3].

en attendant, la suite de l'affaire FREDOU sur panamza : http://www.panamza.com/130315-charlie-fredou-cazeneuve

et sur Alterinfo : http://www.alterinfo.net/Affaire-Charlie-Hebdo-Bougrab-ac...

08/11/2024

si justes

« Combien d’aspirations hautes, nobles et lucides – oui vraiment hautes nobles et lucides – et peut-être réalisables, ne verront jamais la lumière du vrai soleil et ne trouveront aucune audience ! »
(Pessoa)

« Nous avons deux vies. La première, la vraie est celle que nous rêvons enfants, et que nous continuons parfois à rêver par intermittence dans un brouillard une fois adulte. La deuxième, la fausse, est la vie pratique, la vie utilitaire ; celle qui nous mène au cercueil. »
(Pessoa)

« J’ai rêvé plus que Napoléon n’a conquis
J’ai serré sur mon cœur hypothétique plus d’humanités que le Christ
J’ai conçu en secret des philosophies qu’aucun Kant n’a écrites. »
(Pessoa)

« Toute idée fait son œuvre par le rejet, la réfutation, le débat, l’interrogation ou la dénégation qu’elle suscite. »
(Michel Picard)

« Le grand banditisme mondain, on sait comment le traiter. C’est pas grave au fond. On est du même monde. J’arnaque, tu m’arnaques. Détournons-nous mes frères. Tout est dans l’ordre du pouvoir. C’est propre. C’est la loi du plus fort, en tout bien tout honneur évidemment. Mais la misère ça pue, ça souille les trottoirs. Qu’est-ce qu’on en a à foutre cher collègue ?
(P Piet)

“Une nouvelle vérité scientifique ne triomphe pas en convainquant ses adversaires et en réussissant à leur faire voir la réalité, mais seulement quand ceux-ci finalement meurent et sont remplacés par une nouvelle génération qui a grandi familiarisée avec elle.
(Max Plank)

« Une maison qui n’a pas ses fenêtres ouvertes n’est pas une vraie maison. »
(R.P.)

« Nulle part, de quelque côté qu’on tourne son esprit, dans la sphère intelligible comme dans la sphère sensible, il n’y a aucun réconfort ni aucun espoir, aucun sens, rien qui soit désirable, ni même supportable, ni même suportable. J’ai beau retourner le problème sous toutes ses faces, c’est le mur, et le vide. Mon cœur est glacé et la moelle de mes os. »
(R.P.)

« Je voudrais tellement pouvoir aimer quelque chose, ne fusse que moi-même, mais c’est impossible, il n’y a que mort, évanescence et vanité. »
(R.P.)

« C’est quand on cherche toujours à rendre utile la vie qu’on la détruit. »
(R.P.)

« « Ailleurs »  c’est bien joli, mais ou bien on n’y est pas, et ça n’existe pas, ou bien on y est, et ce n’est plus ailleurs. Une fois qu’on a bien compris ça il n’y a plus de bonheur possible. »
(R.P.)

« En fait ce sont les dépressifs qui détiennent seuls la vérité, les dépressifs les plus profonds. »
(R.P.)

« L’enfant a pénétré dans le verger du monde.

Comme l’on entre en un jardin clos
Comme l’on frôle une robe dégrafée. »
(R.P.)

« Toute personne refusant de s’adapter aux aspirations de la bourgeoisie et des journalistes bourgeois sera cataloguée « en retard » ».
(revue PLPL 2002)

« Se é culto é mais livre »
(Abel Prieto)

« Okazon kaptu ĉe l’kapo, ĉar la vosto estas glita. »
(L. Zamenhof)

Poderoso caballero es Don Dinero“
(Quevedo)

« c’est vrai au fait ! on ne voit plus jamais d’enfants portés à bras, encore un signe significatif de notre époque. Quand ils seront grands il leur manquera quelque chose, et c’est un signe sinistre pour notre société. »
(R.P.)

C’est comme les petits ours, on n’existe que par les caresses qu’on vous fait. »
(R.P.)

A-t-on le droit d’être heureux quand d’autres sont morts ?
(R.P.)

« On a besoin des citations comme on a besoin des étoiles. Comme on a besoin des chants d’oiseaux. Comme on a besoin de dormir avec l’air du jardin par la fenêtre. Pour avoir un lieu commun avec les hommes. Pour se constituer un lieu particulier à soi."
(R.P.)

 

« Je n’habite pas la société, j’habite le monde. »
(Atiq Rahimi)

« on ne comprend souvent vraiment bien un problème qu'après avoir implanté une première solution. La deuxième fois, on en sait parfois assez pour le résoudre correctement. Ainsi, si vous voulez faire du bon travail, soyez prêt à recommencer au moins une fois »

« Et pleurer de regret, d’attente et de détresse,
Et d’un obscur tourment que rien n’a consolé. »

(Henri de Regnier)

« La pluie filtre des arbres et je relève mon col. J’éprouve souvent maintenant un désir mélancolique de tendresse, de mots timides, d’émotions vibrantes et profondes. »
(Erich-Maria Remarque)

« Il suffit de regarder autour de soi pour trouver plus de beautés qu’une vie d’artiste ne pourrait en exprimer. »
(Rembrant)

« On pourrait crier
Personne n’entend
On pourrait pleurer
Personne en comprend.

(Reverdy)

« à quelle heure viendra-t-on changer
l’air de cette effroyable cellule ? »
(Reverdy)

« Deux âmes solitaires se rencontrent dans le monde. L’une de ces âmes fait entendre des plaintes et implore de l’étrangère une consolation. Et doucement l’étrangère se penche sur elle et murmure : « Pour moi aussi c’est la nuit » Cela n’est-il pas une consolation ? »
(Rainer-Maria Rilke)

N’est si granz eise, ce me semble,
Comme d’omme et de femme ensemble.„
(Robert de Boron)

« - Je sais bien qu’à la fin
vous me mettrez à bas ;
N’importe : je me bats ! je me bats ! je me bats !
(Cyrano de Bergerac de Edmond Rostand)

« L’homme n’est rien moins que l’œuvre d’une volonté lucide, il n’est même pas l’aboutissement d’un effort sourd et confus. Les processus aveugles et désordonnés qui l’ont conçu ne recherchaient rien, n’aspiraient à rien, ne tendaient vers rien, même le plus vaguement du monde. Il naquit sans raison et sans but, comme naquirent tous les êtres, n’importe comment. »
(Jean Rostand)

« Que sommes-nous ? Qu’est-ce que l’homme ? Que représente-t-il dans l’ensemble des choses ? Qu’est-ce qu’une vie humaine ?

je n’hésiterais pas à dire que, s’agissant de ces problèmes, j’aurai traversé l’existence dans un état d’incompréhension effarée. »
(Jean Rostand)

"lorsque vous prenez l'apparence du pouvoir, les gens vous le donnent bientôt."
(Rothschild)

« Mangeant son pain, mangeant ses larmes,
mangeant sa haine et son désir,
Sans y penser : pour se nourrir. »
(Jean Rousselot)

 

03/11/2024

l'optimisme

la différence entre se suicider et ne pas se suicider, LA SEULE DIFFERENCE, a été expliquée par Gabriel Matzneff :
* « Quoique j’en aie, il me faut admettre que le suicide est la solution de la facilité. Vivre est plus difficile que mourir, ne serait-ce que parce que ça dure plus longtemps. »

(et le résultat est le même, c'est pourquoi je dis la SEULE différence, et le seul argument rationnel contre le suicide c'est ça)

il a dit aussi :
* « L’optimisme est imbécile, criminel, obscène. »
(c'est tout à fait vrai quand on y pense honnêtement .... )

02/11/2024

le néant et l'enfant

Mémorables
poème en prose de René Daumal (1908-1944)

Souviens-toi de ta mère et de ton père, et de ton premier mensonge dont l’indiscrète odeur rampe dans ta mémoire.

Souviens-toi de ta première insulte, à ceux qui te firent : la graine de l’orgueil était semée, la cassure luisait, rompant la nuit une.

Souviens-toi des soirs de terreur où la pensée du néant te griffait au ventre, et revenait toujours te le ronger, comme un vautour ; et souviens-toi des matins de soleil dans la chambre.
(...)

 

 

eh oui ! le 3ème paragraphe c'est tout à fait moi

01/11/2024

la nuit des néants infinis

connaissez-vous Auguste Angellier ?

il fut un maintenant obscur universitaire nordiste, il a sa rue à Lille.
(rue où se trouvait cette Université Lille III où l'on pouvait, la France était alors un pays civilisé, entrer et se déplacer comme dans un moulin et que j'ai tant connue en automne 1973 .......)

Il écrivit des poèmes.

Il est mort en 1911

pour toujours

 

un poème qu'il a écrit :

Ainsi nous resterons séparés dans la vie,
Et nos cœurs et nos corps s'appelleront en vain
Sans se joindre jamais en un instant divin
D'humaine passion d'elle-même assouvie.

Puis, quand nous gagnera le suprême sommeil,
Ils t'enseveliront loin de mon cimetière ;
Nous serons exilés l'un de l'autre en la terre,
Après l'avoir été sous l'éclatant soleil ;

Des marbres différents porteront sur leur lame
Nos noms, nos tristes noms, à jamais désunis,
Et le puissant amour qui brûle dans notre âme,

Sans avoir allumé d'autre vie à sa flamme,
Et laissant moins de lui que le moindre des nids,
Tombera dans la nuit des néants infinis.