25/03/2025
tout finira pas arriver ...
vous avez compris
voilà LA SEULE occurence, parmi des dizaines, de "Clopin-clopant" par le pauvre Henri Salvador (qui a lui aussi fini par mourir) qui soit téléchargeable !!!! dans ce monde de firmes capitalos qui s'arrogent la propriétés des chansons. (Vivement que le Parti Pirate soit au pouvoir et réduise les copyright à 25 ans et uniquement aux profit des personnes physiques !)
Bon, comme je disais voici une des plus belles chansons d'Henri Salvador la plus profonde et "incontournable", un paradigme.
pour pouvoir les copier etc, voici les paroles:
Je suis né avec des yeux d'ange 
Et des fossettes au creux des joues 
J'ai perdu mes joues et mes langes 
Et j'ai cassé tous mes joujoux. 
Je m'suis regardé dans un' glace 
Et j'ai vu que j'avais rêvé 
Je m'suis dit : faudra bien qu'j'm'y fasse... 
Tout finira par arriver... 
(et effectivement d’ailleurs il a fini par mourir Henri Salvador)
Et je m'en vais clopin-clopant 
Dans le soleil et dans le vent, 
De temps en temps le coeur chancelle... 
Y a des souv'nirs qui s'amoncellent... 
Et je m'en vais clopin-clopant 
En promenant mon coeur d'enfant... 
Comme s'envole une hirondelle... 
La vie s'enfuit à tire-d'aile... 
Ça fait si mal au coeur d'enfant 
Qui s'en va seul, clopin-clopant... 
Tout l'amour que l'on a vu naître... 
Tes lèvres douces, parfum de miel... 
Nos deux fronts contre la fenêtre... 
Nos regards perdus dans le ciel... 
Le train noir hurlant dans la gare... 
Le monstrueux désert des rues... 
Tes mots d'adieu, tes mots bizarres... 
Depuis dix mois, tu n'écris plus... 
Et je m'en vais clopin-clopant 
Dans le soleil et dans le vent, 
De temps en temps le coeur chancelle... 
Y a des souv'nirs qui s'amoncellent... 
Et je m'en vais clopin-clopant 
En promenant mon coeur d'enfant... 
Comme s'envole une hirondelle... 
La vie s'enfuit à tire-d'aile... 
Ça fait si mal au coeur d'enfant 
Qui s'en va seul, clopin-clopant...
 
 

 Imprimer
Les commentaires sont fermés.