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17/07/2024

de nombreux naïfs

"le gel des actifs russes, ce qui était également une étape sans précédent, " https://reseauinternational.net/les-avoirs-russes-geles-o...

Ce qui montre bien que la mondialisation n'est pas contrairement à ce que croient de nombreux naïfs quelque chose de bien, mais un mal  et, de même que selon les époques, la création de l'Etat ou celle du fascisme, un danger, toujours soumis à l'éternelle "loi du plus fort" et à la lutte des classes, principal moteur de l'histoire. Un mal à proscrire.

 

12/07/2024

cette "upper-class" qui crache sur le peuple

avez-vous remarqué que quand dans un titre journalistique on dit "les diplômés" ceci, "les diplômés" cela - on entend TOUJOURS par là en fait les seuls diplômés du supérieur ! Alors, l'ami Socrate, réfléchissons un peu : alors comme ça le BEPC, le CAP, le BEP, le bac, ça n'est pas "des diplômes" !!? ceux qui ont le BEPC, le bac, ou un CAP, ça ne sont pas des diplômés ?! .....

revoilà l'infect racisme de classe (tout racisme d'ailleurs quand on gratte un petit peu, se révèle être un racisme de classe ! un racisme anti-pauvres, réflechissez un peu vous verrez) le racisme universitaire, de la classe des journaputes et leurs commanditaires les cadres-sup' du secteur privé (oui, les ceusses qui ne produisent RIEN, ni bien ni service, mais gagnent (très copieusement) leur vie à spéculer sur l'art de se faire du fric autour de la vente de biens ou de services produits par d'autres (très mal-payés eux), bref ceux que Bernard Friot rappelle (à leur grande colère, eh eh ! ) qu'ils sont des parasites.

Bref la classe qui vote pour le PS ou pour Macron, ou bien sûr pour la droite traditionnelle, et tout ça, bref "la volaille qui fait l'opinion" dans les beaux salons modernes éclairés à l'halogène. Des gens formés à coup de "réductions de texte" à bien penser dans les rails en manipulant rien que des petits cucubes conceptuels à la momode.

Eh oui "l'émancipation des travailleurs ne pourra être l'œuvre que des travailleurs eux-mêmes" (MARX). Maintenant voyons cette très intelligente vidéo  https://ruclip.com/video/at_Ml0Zutfk/l-insurrection-est-e... et puisque sur ruclip on peut les lire lisez les commentaires ! le plus intéressant est celui qui dit :

"Je crois surtout que les "intellos" sont bien emmerdés, car ce sont les patrons des gilets jaunes : combien parmi eux emploient des femmes de ménage, des nounous et autres domestiques (très très bonne remarque ! On revient aux principes d’analyse marxiste, les conditions matérielles de vie ! Fondamental !)  (avec ristourne de l'État qui subventionne donc ce patronat-là aussi), tout en se félicitant de "donner du travail à des pauvres gens" ? Combien parmi ces intellos traitent le personnel administratif du CNRS et de l'Université comme de la merde ? Combien pensent en leur for intérieur quand ils ne le disent pas carrément que tous ces gens qui n'ont pas fait normale sup ne devraient pas être autorisés à voter ?"

Voilà qui apporte de l'eau au moulin de la remarque qui ouvre ce billet hein ?!

regardez cette vidéo, au milieu du débat  (à partir de 54 min ?) il y a une très intéressante conversation sur le RACISME DE CLASSE des bourges "diplômés de l'université" envers le peuple, super ! :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=ZZxhCGEMMdE[/youtube]

 

"C’est assez amusant, si l’on peut dire, de discuter en ce moment avec des gens de la "gauche" bourgeoise  intello qui, se sentant en tant que "du Parti du Bien" ! donc de la gôche obligés à une certaine solidarité (purement verbale !) avec la "France d’en bas" (dont ils font rarement partie), défendent le principe de donner davantage la parole au peuple, mais deviennent d’un coup très timorés dès qu’on entre dans le concret et qu’ils se rendent compte de ce que ça impliquerait... On perçoit très vite les limites de leur conception de la démocratie. On touche là à l’un des savoureux paradoxes de ceux qui se prévalent de parler au nom du peuple..."

(oui ce peuple qui pour eux est par définition stupide, voilà le nœud idéologique et viscéral de ces racistes de classe, par ailleurs dépourvus de toute trace de sens moral 4min20 : https://hdclips.top/hd-videos/ghEkDQcu5Yo/dieudonn%C3%A9-... )

 

mais il peut y avoir un retour de bâton  ("l'éternel retour du concret" disait Lénine), écoutez ici JJ Crèvecœur :
https://odysee.com/@Contreverse:7/210621-CDL93-HR:6

" parce que justement vous ne vous sentez pas du côté des privilégiés, vous avez davantage prêté attention à des discours qui n'allaient pas dans le sens du discours des privilégiés"

aussi n'ayez pas honte d'être "conspirationniste" car c'est ça justement qui est l'esprit scientifique rationnel ! comme en 1995, le peuple en n'écoutant pas la propagande "obligée" des gens qui se croient par droit divin du côté du vrai du beau et du bien, vous aurez accès à plus d'esprit critique, et d'information !! et peut-être c'est ainsi que le petit peuple fera renaître la France !

un article de Nicolas Bonnal :

« cette haine pathologique envers le peuple »

Les Nouveaux Chiens de Garde et le « pass » (en amerloque dans le texte) sanitairepar Nicolas Bonnal.

La presse française, qui appartient à quelques oligarques (dont Bernard LVMH, qui pèse aujourd’hui MILLE milliards…de francs) et est subventionnée à hauteur de 500 millions d’euros tant elle dégoûte les Français, aura été crasse et ignoble depuis le début de cette histoire : affolement, confinements, masques, vaccins, meurtres de masse, passes sanitaires, chantage et menaces, elle nous aura tout imposé. Malheureusement il n’y a rien de nouveau le sommeil : depuis les années Mitterrand et le passage du col Mao au Rotary (Hocquenghem) nous sommes dans un présent permanent d’omerta (Coignard), d’abjection et de désinformation. Nous sommes là pour enrichir les riches et pour empoisonner les Français, disent les gardiens de camp médiatique et électronique.

C’est que les gens dont nous parlons sont des chiens de garde. Et quels dobermans ! Et quels roquets ! Revenons-en alors au maître-livre de Serge Halimi, trublion du Monde diplomatique, qui rappelait dans son très documenté pamphlet que le journaliste est avant tout un enthousiaste :

« La censure est cependant plus efficace quand elle n’a pas besoin de se dire, quand les intérêts du patron miraculeusement coïncident avec ceux de « l’information ». Le journaliste est alors prodigieusement libre. Et il est heureux. On lui octroie en prime le droit de se croire puissant. Fêtard sur la brèche d’un mur de Berlin qui s’ouvre à la liberté et au marché, petit soldat ébloui par l’armada de l’OTAN héliportant au Kosovo la guerre « chirurgicale » et les croisés de l’Occident, avocat quotidien de l’Europe libérale au moment du référendum constitutionnel : reporters et commentateurs eurent alors carte blanche pour exprimer leur enthousiasme. Le monde avait basculé dans la « société de l’information », avec ses hiérarchies « en réseau », ses blogs et ses nouveaux seigneurs ».

La presse fut chargée d’encenser Davos :

« Le capitalisme a ses charités, ses philanthropes dont la mission est d’enjoliver un système peu amène envers ceux qu’il ne comble pas de ses bienfaits. La presse trône au premier plan de ces campagnes de blanchiment. Ainsi, Davos, autrefois conclave des « global leaders » soucieux de « créer de la valeur » pour leurs actionnaires, serait presque devenu un lieu de virée pour patrons copains et citoyens ».

Halimi tacle au passage l’effarant Joffrin :

« N’accablons pas Laurent Joffrin. Lui qui, pendant les années Reagan, célébra les États-Unis et le libéralisme (l’émission « Vive la crise ! » fut en partie son œuvre) n’a fait que traduire à sa modeste échelle ce que, sous la double pression de la concentration capitaliste et d’une concurrence commerciale favorisant le conformisme et la bêtise, le journalisme est devenu presque partout : creux et révérencieux ».

La géographie ça sert d’abord à faire la guerre, disait Yves Lacoste. La presse encore plus, surtout dans une puissance belligène et coloniale :

« Pendant les guerres, la presse se soucie moins de consensus, de pédagogie, de complexité, et davantage de réchauffer l’ardeur des combattants. Presque tout a été dit sur l’effondrement de l’esprit critique lors de la guerre du Golfe où, mis à part L’Humanité et La Croix (par intermittence), chacun des directeurs de quotidien se plaça au service de nos soldats. Quasiment unanimes, les hebdos, radios et télévisions firent chorus, se transformant en classe de recyclage pour officier au rancart vaincu en Algérie trente ans plus tôt et soucieux de prendre, dans les médias, sa revanche sur les Arabes ».

Halimi souligne cette haine pathologique du peuple. On la sentit venir en 1992 au moment de Maastricht. Juste là confinée au nationaliste pauvre (raciste, fasciste, nazi, antisémite, etc.), cette haine se communiqua à tout le peuple de gauche, du centre ou d’ailleurs :

« En 1992, la campagne du référendum sur le traité de Maastricht répéta les « dérives » observées pendant la guerre du Golfe. Là encore, beaucoup de choses se conjuguèrent : la volonté d’encourager l’élite éclairée qui construit l’avenir (« l’Europe ») alors que le peuple ne sait qu’exhaler ses nostalgies, sa « xénophobie » et ses « peurs » ; la préférence instinctive pour les options du centre, surtout lorsqu’elles s’opposent aux extrêmes « populiste » et « nationaliste » ; enfin la place accordée aux avis des experts et des intellectuels, eux aussi particulièrement sensibles aux ressorts précédents. Intelligence contre irrationalité, ouverture contre repli, avenir contre passé, ordre contre meute : tous ces fragments d’un discours méprisant de caste et de classe resurgirent au moment du référendum de mai 2005 sur le traité constitutionnel européen ».

Et comme on continue de chercher la petite bête immonde ici et ailleurs, Halimi rappelle : « Il a fallu attendre la fin du second septennat de François Mitterrand pour « découvrir » que l’ancien président de la République avait, sciemment et longtemps après la guerre, continué à fréquenter un haut dignitaire de Vichy impliqué dans les basses œuvres de ce régime, qu’il avait envoyé à la guillotine des militants de l’indépendance algérienne…Tant d’enquêteurs et tant de journaux se prétendant concurrents pour arriver à ce résultat-là ! »

Ce qui est juif, disait Goebbels à Fritz Lang, nous en décidons. Ce qui est antisémite aussi.

Concluons philosophiquement comme l’andouille Ferry. La presse française est crevée depuis longtemps. Comme l’Église ou les partis, elle survit en hystérésis, grâce à nos subventions.

27/06/2024

il y a une évolution néo-fasciste - Juan Branco martyr

21/06/2024

Attention l'HORREUR commence toujours par les animaux !

et l'ignominie et l'esclavage et la mort (et l'euthanasie ça a commencé par eux aussi, maintenant en Flandre ont tue même les enfants)

défendez-les ! défendez vos pauvres bêtes (c'est vous défendre vous-mêmes)

Le monde du crédit social se rapproche

En Angleterre, il a été annoncé qu'à l'avenir les propriétaires de chats seront condamnés à une amende s'ils n'ont pas leur animal de compagnie micropucé.  cette mesure esclavagiste et totalitaire est "vendue" au public comme un moyen d'aider à trouver des chats perdus. (souvenez-vous on vous a fait le même tour en France dans les années 80, et on l'a bien vu c'était des inventions et de purs mensonges)

“Si vous croyez cela, alors vous devez avoir votre cerveau retiré et blanchi,” Dr. Vernon Coleman écrit. “Cat micropuce est fait pour nous préparer à être tous pucés.”

Par Dr. Vernon Coleman

Personne ne l'a remarqué, mais le monde du "crédit social" s'est beaucoup rapproché de l'annonce qu'en Angleterre, à l'avenir, les propriétaires de chats qui n'ont pas leur visage micropucé animal une amende de £500.

Le puca des chats est vendu comme un moyen d'aider à trouver des chats perdus parce que le gouvernement se soucie tellement, terriblement beaucoup des chats perdus.

Si vous croyez cela, alors vous devez avoir votre cerveau retiré et blanchi.

En réalité, il sera facile pour le gouvernement de recueillir les détails des propriétaires’ et de savoir où ils se trouvent. Et il sera facile pour le gouvernement de forcer les propriétaires de chats à faire vacciner leurs animaux.

Mais il y a beaucoup, beaucoup plus que cela.

La micro-puce de chat est en cours pour nous préparer tous à être nous-mêmes pucés.

(Oh, et je n'ai aucun doute que les vétérinaires, qui ont soutenu la proposition, ont gagné l'esprit de faire des masses de bénef de cette activité)

Ils vont bientôt nous forcer tous à nous faire implanter une micropuce.

Ils disent que l'implant leur permettra de retracer les bébés qui ont été enlevés ou les personnes démentes qui se sont égarés et se sont perdus.

Il y aura bientôt des nouvelles sur la disparition des enfants.

“Nous aurions pu les trouver s'ils’d been chipped.”

Et il y aura des histoires de personnes âgées errant loin de chez elles. “Nous aurions pu le trouver dans un instant si he’d be chipped.”

Et ils diront que les vacanciers ou les randonneurs qui se perdent auraient pu être trouvés.

Ainsi, par exemple, nous pourrions entendre: “We’d ont trouvé Michael Mosley en quelques minutes si he’d a été chipped.”

Si vous voulez savoir où cela nous mène, veuillez lire mon livre: 5Crédit Social: Nightmare on Your Street’. Il est plus effrayant que tout film d'horreur que vous avez jamais vu.

19/06/2024

"j'ai eu tous les outils pour comprendre ce qui était organisé d'une manière souterraine"

31/05/2024

Mohamed Tahiri et Michel Terestchenko - Richard Boutry et Giuseppe Belvedere en sont des exemples

Le comportement des convaincus qui se font piquouzer me laisse perplexe.

par Mohamed Tahiri

Au début j'ai pensé que seule une certaine catégorie de la population était atteinte par la covédie et que cette catégorie de personnes se précipite à la première piqouzerie comme on va chez le curé pour montrer qu'on est un "bon chrétien bien décent". Dès que le jus expérimental est injecté, ces citoyens se sentent anoblis, adoubés par quelques manipulateurs à la tête du pays. Ils se comportent comme des nantis, des modèles d'exemplarité (comme les premiers allemands qui ont obéis à l’arrêté du 13 juillet 1933 de Wilhelm Frick ministre de l’Intérieur du Reich) qui ont gagné... un pass. Pardon. Qui ont gagné "le droit de vivre librement"! Mais je me suis trompé. Ce comportement n'est pas réservé à quelques hurluberlus d'une couche sociale. Toutes les couches sont atteintes. Cette covédie touche autre chose. Ce n'est pas le degré de culture d'une personne qui est atteint. Ce n'est pas le niveau social qui est visé, ce n'est pas le quotient intellectuel. Non. C'est tout autre chose. Et cet autre chose n'a pas d'étiquette, car personne n'a mesuré le niveau de conscience de la population d'un pays. Le niveau de conscience semble être le facteur déterminant.  Il se moque de qui vous êtes, d'où vous venez, de ce que vous êtes, ... il se moque de tous les repères sociétaux. Il en est d'autant plus insaisissable. Difficile de lui coller une étiquette. Les médias n'ont pas trouvé mieux que : "pro ou contra vaccin". Ils n'ont pas trouvé le point commun entre tous les covidés pro-vaccin et le point commun entre tous les contra-vaccin. Ils ont bien vu que tous les profils sociétaux,  culturels,  professionnels, etc., sont soit dans l'un, soit dans l'autre groupe. Les médias n'ont pas parlé de niveau de conscience. Et pour cause. Cela va bien au-delà d'une étiquette de parti politique,  de couleur de peau, de religion,  de niveau économique,  de niveau d'études... C'est au-delà de tout. Ils ont bien essayé d'assimiler les anti-vaccins à des mouvements politiques. Mais chacun d'entre nous peut vérifier que ce n'est pas là la réalité.
Ils ne parlerons jamais de niveau de conscience. À vrai dire,  les médias et ceux qui font ces médias,  n'ont pas le niveau de conscience utile pour établir ce constat. Le pion, du pion, du pion du pion, on ne lui demande pas de réfléchir, mais d'exécuter. Alors c'est quoi le niveau de conscience ?
Difficile d'y répondre. Mais jamais nous n'avons à ce point compris qu'il existe et qu'il se fiche totalement de qui vous êtes et d'où vous venez. Il est transversal.
Le niveau de conscience peut être bas ou élevé. Voilà ce que nous constatons actuellement.
Autre constat : plus le niveau de conscience est élevé,  plus l'ouverture d'esprit est grande. En d'autres termes,  plus vous êtes à l'écoute, curieux, méfiants, plus vous êtes ouverts. Cette ouverture fait appel à un niveau de conscience. Un humain qui doute, réfléchi,  recherche, discute, est un être qui cultive son niveau de conscience.
Aujourd'hui cette aptitude porte le nom de complotiste ! C'est le terme convenu à présent pour désigner une personne qui réfléchi et qui doute. Curieux, mais pas tant que ça, puisque ce sont des humains avec peu ou pas de conscience qui ont créé cette étiquette.

Maintenant,  avez-vous remarqué dans votre entourage où va se nicher le niveau de conscience le plus élevé ? Il est là où on ne s'y attendait pas.

En effet ! Mon artisan a quitté l’école jeune sans aucun diplôme, mais il est conscient et critique, par contre plein de profs, persuadés d’avoir par leur diplôme et leur métier un adoubement de droit divin qui les met du côté « du Vrai du Beau et du Bien » et qui se croient par conséquent « de gôôche » par définition, sont outre d’infects social-traîtres réactionnaires, sont des collabos de première soumis à « not’ bon roi », et tellement fanatiques, qu’aucune discussion n’est possible avec ces gens. Etc.
Que de surprises ! On pensait qu'untel serait plus ouvert alors que c'est l'autre duquel on n'espérait rien qui fait preuve d'ouverture d'esprit. Bref. Cette fenêtre sur la conscience est surprenante. Mais c'est elle  qui nous pousse à nous révolter, à dire non,

[ah ! Ah ! Là on est en plein dans Michel Terestchenko et son incontournable livre «un si fragile vernis d’humanité »]
à remettre en question face aux gens de peu de conscience. Alors le niveau de conscience pourrait se mesurer à l'aune de l'intelligence de la Vie et du respect de celle-ci. [comme Giuseppe Belvedere] Car j'ai bel et bien constaté que ce qui me différencie réellement des humains qui ne doutent de rien en ce moment,  c'est mon empathie pour mon prochain et encore plus les valeurs que je porte. Car pour moi, la liberté ne s'achète pas à coup de piquouzes. Elle ne se mesure pas en points sur un carnet de vaccination. Elle ne s'exprime pas en QR code. [tout ça au contraire ne peut susciter que le dégoût le plus profond!] La liberté ne m'est pas donnée. La liberté est une loi universelle. Elle se fiche de ce que quelques-uns voudraient me faire croire. J'ai ma propre conscience et elle me dicte que je dois veiller à ce que mon intégrité soit respectée.

Ceci est bien entendu totalement saugrenu à l'époque que nous vivons.
Cette société s'est construite sur le manque de conscience. Qui n'a pas conscience de sa valeur et de la valeur de la Vie, ne peut voir et comprendre qu'il est en ce moment le pantin de quelques criminels bien rodés dans la manipulation psychologique. Avoir peur d'une coviderie n'est pas un signe de maturité. C'est un signe de faiblesse dû à un manque de conscience. Et la raison à déserté ces esprits. Le défi ? Prendre conscience de sa propre valeur pour ne plus tomber dans les pièges de la manipulation. Savoir qui on est, est une force. Savoir ce qui est acceptable pour soi et ce qui ne l'est pas, forge cette force.
N'est manipulable que celui qui n'a pas de conscience. 

 

les mecs qui réfléchissent, s'informent, et surtout qui ont une "Conscience" au sens de Mohamed Tahiri et de Michel Terestchenko (et de Giuseppe Belvedere) il étaient contre le fascisme 2.0 (deux point zéro, comme pour les programmes informatiques), maintenant en plus il sont pour Poutine et contre les nazis (du type 1.0 cette fois, quoi que la présence de centres de recherche secrets américains de guerre biologique en Ukraine offre peut-être un lien .....)

Et je me souviens de tous ces petits kapos

 

22/05/2024

d'abord chacun doit réveiller son voisin -

19/05/2024

l'honnêteté du peuple contre la malhonnêté intrinsèque des puissants

Que le peuple a plus de liberté d'esprit que les universitaires, ceux qui sont payés pour penser; fait non-intuitif que j'ai fini par devoir conclure en 1995, je me souviens bien, après des années d'étonnement et de malaise, et de constatations, et qui se sont confirmées par la suite, grace entre-autre aux principes d'analyse marxiste, ça se voit bien sûr en politique, etc, mais aussi en religion : deux cas où les pontes de l'Eglise, traumatisés par des siècles de critiques de la part des savants et des matérialistes sont son montrés athées et scientistes comme ils sont tous maintenant, et ont tout fait pour NIER la simplepossibilité de miracles, ce sont des humbles qui, le pompier qui a sauvé le Linceul de Turin, que les pontes avaient voulu faire brûler pour s'en débarrasser (car c'était un attentat, c'est sûr, d'ailleurs le fait qu'on n'aie pas mené d'enquête est en soi un AVEU ! - et lors du miracle aucharistique en direct à la télé le 7 novemvre1999, AUCUN ponte de l'Eglise ne s'est seulement explrimé à son sujet, mais le caméraman qui filmait, quand il a vu ça a fait un zoom sur l'hostie, car lui, honnêtement, contrairement aux autorités et à "ceux qui sont payés pour penser", se rendait compte qu'il se passait quelque chose d'extraordinaire et qu'il fallait filmer ça au mieux.

11/02/2024

Lorsque les identités numérisées sont comparées aux monnaies numériques des banques centrales, la partie est terminée pour la liberté de pensée, de mouvement, etc. Tous les comportements humains seront surveillés, évalués et notés 24 heures sur 24, 7 jour

Lorsque les identités numérisées sont comparées aux monnaies numériques des banques centrales, la partie est terminée pour la liberté de pensée, de mouvement, etc. Tous les comportements humains seront surveillés, évalués et notés 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

12/01/2024

Etienne Chouard et le Dr Louis Fouché, deux intelligences approndies pour réfléchir à comment faire

 dess pistes de réflexion par douzaines, très intelligent et très interessant