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02/09/2023

faites un essai d'une semaine - Ne faites rien et écoutez le silence

trouvé une excellente proposition d'un blogueur qui nous dit :

"je vous invite à faire un essai sans télé d'une semaine : Choisissez  un beau tissu que vous aurez plaisir à voir pendant une semaine et de le poser sur votre télé, qui va prendre une semaine de repos bien mérité.

Votre télé ainsi endormie va vous offrir la denrée la plus précieuse de l'univers : du temps !
Mais qu'allez vous bien pouvoir faire de cette denrée qui vous est offerte ainsi ? Je vous propose quelques idées pour employer les précieuses heures qui vous sont  ainsi offertes  

et voilà le programme ! comment retrouver UNE VRAIE VIE

- ressortez le jeu de petits chevaux ou de dames qui prend la poussière dans votre placard depuis si longtemps et faites une partie avec votre conjoint, vos enfants ou avec des amis. Les chevaux prendront l'air et vous aussi.

(Personnellement je conseillerais plutôt un jeu de cartes !)

- Prenez votre lampe de poche et partez faire une promenade nocturne dans la forêt ou dans la nature, seul ou avec vos proches. La nature est si différente la nuit.

 

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- Sortez vos vieux albums photo, ouvrez les et parlez de votre histoire avec les personnes qui partagent votre quotidien. Ca fait du bien de donner un sens aux choses.

- Aimez vous !

- Lisez tout haut quelques passages d'un livre que vous aimez beaucoup à votre conjoint

- Ne faites rien et écoutez le silence

 

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Enfin, faites ce qui vous passe par la tête, allez marcher dans la forêt pieds nus, ou montez en haut d'un arbre pour changer de perspective, mais faites quelque chose dont vous vous souviendrez et qui vous rendra heureux. 

par exemple

kamp' aŭtuna

Dans le si important (kaj trafa) poeme de Tamas Falu  « Kontraŭ Morto mi protestas/Kaj skribe mi apelacias »

dans son motivaro il finit par « kamp' aŭtuna »

Oui!! Il fut un temps où je pouvais, plus maintenant si Jacqueline n'est pas là, où même je rêvais comme pas un de me promener à travers champs, en automne, voire la nuit, c'était mon rêve.

Oui c'était un temps où on pouvait sans crainte et sans difficulté se trouver dans un train roulant le soir à travers la nuit. On pouvait être sûr alors, qu'on n'aurai aucun mal à l'arrivé de trouver un hôtel. Et un hôtel qui sera dans vos prix. Pas seulement des « chaînes » pour homme d'affaires libéral-fascistes. Et pour prendre un train, selon son humeur, on n'avait qu'à aller au guichet, et acheter un billet, et puis monter dans le train (sans se soucier de le poinçonner, il y avait des contrôleurs qui s'occuperaient de ça, on pouvait en être sûr, et ça n'était pas des flics haineux) la vie était beaucoup plus facile et sûre que maintenant.

c'était jadis ... ( comme dirait Oskar Milosz)

40 ans seulement 

quelle destruction de notre pays !!!!

 

la vraie vie versus la paranoïa aliénante :

notre monde actuel est en guerre :

En guerre contre les microbes. Guerre contre les insectes. Guerre contre les Palestiniens. Guerre contre les Syriens. Guerre contre les SDF. Guerre contre les drogués. Guerre contre la liberté. Guerre contre les chômeurs. Guerre contre les pauvres. Guerre contre les différences. Guerre contre la fête. Guerre contre le partage. Guerre contre le dialogue. Guerre contre la diversité. Guerre contre les traditions. Guerre contre les fumeurs. Guerre contre les intellectuels. Guerre contre l'intelligence. Guerre contre la diversité. Guerre contre la marginalité. Guerre contre la fraternité. Guerre contre la culture. Guerre contre le sexe libre. Guerre contre l'alcool. Guerre économique. Guerre contre le hasard. Guerre contre la lenteur. Guerre de l'information. Guerre contre les animaux. Guerre contre les plantes, concurrentes de Big Pharma qui ont l'impardonnable tort d'être gratuites."

 

01/09/2023

La raison tonne en son cratère

Debout les damnés de la terre !
Debout les forcats du vaccin ! (modif adaptée aux circonstances)
La Raison tonne en son cratère (écoutez les scientifiques comme Delepine, Montagnier, Henrion-Claude, Vernon Coleman, Geert Vandenbosch,etc, etc etc )

et la suite .... (apprenez la par cœur et chantez là tous les matins !)

mais le conseil constitutionnel est dirigé par Laurent Fabius de la crise du sang contaminé (laquelle avait déjà motré que le grand capital est prêt aux crime de masse pour préserver ses profits, ça aurait du nous servir d'alerte) et des égorgeurs qui "font du bon boulot" lui qui devrait être en prison à vie.

"Les non-vaccinés seront les gardiens de l'humanité" a dit le Pr Montagnier, qq semaines avant de mourir

 "les quelques hommes demeurés vraiment hommes flotteront par-dessus les remous de ce grand désastre collectif. Et c'est grâce à eux que la race humaine sera sauvée, comme elle l’a déjà été à plusieurs reprises au cours de l’histoire." Virgile Gheorghiu

31/08/2023

2 septembre 2023 à Arras, pour le Frexit sortie de l'OTAN, rétablissement des Services Publics nos libertés, la fin des mensonges ! du fascisme et des conflits d'interêts, pour le RIC !

et pour comprendre dans quel monde on nous fait vivre :

Dans la série Le système tue, trois films, trois témoignages

par Dominique Muselet

En plein soulèvement du pays contre le système oligarchique EU/US qui veut imposer aux Français, qui n’en peuvent déjà plus, de trimer deux ans de plus pour enrichir toujours plus cette oligarchie esclavagiste, le cinéma Mélies de Montreuil met à l’affiche trois excellents films qui, chacun à sa manière, lève le voile sur un aspect de l’oppression systémique dont nous sommes victimes. (voilà les VRAIS thèmes de gauche ! Et pas ceux qu’ont prétend être de gauche actuellement!!!)

Le premier que j’ai vu, About Kim Sohee s’inspire d’un fait divers survenu dans le petit village de Jeonju fin 2016 qui a eu des répercussions sur les lois du travail en Corée (pourquoi alors le titre est en ANGLAIS !!!? ) du Sud.

 Kim Sohée est une lycéenne pleine de vie, au caractère bien trempé. Obligée de faire un stage de fin d’étude, (en clair du travail gratuit), dans un centre d’appel de Korea Telecom (en amerloque dans le texte!) , elle découvre rapidement qu’il s’agit moins d’informer et d’aider les clients que de les manipuler pour les empêcher de résilier leur abonnement.

Kim Sohee se bat courageusement contre les exigences abusives de la direction, mais cela ne fait qu’augmenter la pression conjuguée de l’entreprise, de l’école et de sa famille. Ne voyant pas d’issue à son calvaire, elle se suicide quelques semaines après son chef. Là s’achève la première partie du film. Le film redémarre avec l’enquête de l’inspectrice Yoo-jin qui prend conscience, en même temps que les spectateurs, que Kim Sohee a été la victime d’un immense système d’exploitation dont toutes les parties sont à la fois complices et victimes, de l’école à la police, en passant par les organismes de contrôle et ses propres parents. Kim Sohee est morte parce qu’elle était en bout de chaîne.

Avant  d’aller plus loin, il convient de se pencher sur le terme système que j’ai utilisé dans le titre et qui apparaît dans pratiquement toutes les critiques que j’ai lues sur le film : Libération parle d’un « système de harcèlement entrepreneurial dont l’éducation nationale se rend directement complice » et pour Allociné, le film « met à jour tout un système vicié ». Il y a quelques années, lorsque je parlais du système, je me faisais réprimander par mes amis de la gauche propre sur elle. On comprend pourquoi lorsque, cherchant Système sur wikipedia, on est renvoyé à Antisystème, « un adjectif qualifiant des personnes, des groupes ou des partis politiques portant un discours critiquant les institutions politiques dominantes ». Ce n’est déjà pas bien de critiquer « les institutions politiques dominantes »  mais quand en plus l’expression est attribuée à l’extrême-droite, alors que c’est par essence d’extrême-gauche, l’extrême-droite c’est le respect du système) (alors elle est impure à tout jamais, (comme autrefois les sorcière, les hératiques, puis en URSS les « trotskystes », petits-bourgeois, en Amérique les « communistes », etc, toujours le truc des flics propagandistes et leurs collabos bien soumis!) alors même que tout le monde l’emploie désormais, même J.L. Mélenchon, et qu’elle décrit parfaitement la réalité. Nous sommes en effet confrontés à un système dont toutes les parties, toutes les institutions politiques dominantes, au lieu de jouer, comme elles le devraient, le rôle de contrepouvoir les unes par rapport aux autres, s’emboîtent aussi étroitement que des briques pour former un mur infranchissable à tout ce qui n’est pas la Caste.

C’est contre le mur de ce système que se fracassent tous ceux qui luttent pour une vie de travail décente combat de gauche essentiellement, et non ce que les journaputes présentent comme « de gôche »!) , c’est contre ce mur que s’est fracassée Kim Sohee, que se sont fracassés tous les ouvriers de l’usine Citroën du film Les Établis, que se sont fracassés les neuf inculpés de la fausse (comme le Covid comme le « déficit de la Sécu », etc toutes les propagandes des exploiteurs) affaire de Tarnac dont nous parle le documentaire La Relaxe, et que se fracassent les Français qui refusent de se laisser voler deux ans de plus de leur vie par un système oligarchique taillé sur mesure pour extraire le maximum de valeur ajoutée de chaque individu jusqu’à ce que mort s’ensuive. (voilà le résumé exact de ce que c’est!!)

À mesure que progressait le film About Kim Sohee l’accablement me gagnait, comme il gagnait la jeune étudiante, et, quand elle s’est suicidée, je n’ai même pas trouvé la force de m’indigner. Le faible espoir que justice soit rendue soulevé par le début de l’enquête, s’est éteint lentement à mesure que l’inspectrice rencontrait tous ceux, particuliers et institutions, qui auraient dû la protéger mais qui l’ont laissé mourir, parce qu’ils ne pouvaient pas faire autrement. Personne ne sera puni, puisque personne n’est responsable. La responsabilité se perd dans les sables mouvants d’un système inhumain, qui fait de chacun la victime de sa hiérarchie et le bourreau de ses subalternes.

Bref relisez Marx (et Zygmunt Bauman) refaites vous une CULTURE !

Les Établis – Sans unité, c’est l’échec assuré

Le film Les Établis nous fait (re)vivre un débrayage qui a eu lieu en février 1969 dans l’usine Citroën de Choisy qui fabrique des 2 CV. L’Établi, c’est le héros, Robert Linhart, un normalien militant de gauche, qui se fait embaucher pour partager la souffrance des ouvriers et préparer la révolution. La plus célèbre de ces Établis est certainement Simone Weil, la philosophe, qui, alors professeure agrégée, entre à l’usine à l’âge de 25 ans. Robert a beaucoup de mal à s’adapter au bruit infernal, aux odeurs suffocantes, à la chaîne, aux cadences. « Après le choc du début, l’engourdissement, la survie », confie-t-il à sa femme. Il a les mains en sang. Ses camarades l’appellent la momie à cause de ses bandages.

L’occasion d’engager la lutte se présente quand Citroën a l’idée diabolique de récupérer une partie des hausses de salaire que l’entreprise a dû consentir lors des Accords de Grenelle qui ont couronné les émeutes de mai 68, en exigeant des ouvriers 3 heures de travail supplémentaire gratuit par semaine.

Le mouvement s’organise avec difficulté sous l’égide de Robert. Nombre d’Africains, Berbères, Yougoslaves, Italiens ne comprennent pas le français. Il faut tout traduire. Les discussions sont houleuses. Jusqu’à la dernière minute, nul ne sait si le débrayage aura lieu. Finalement la majorité des ouvriers déposent leurs outils et le désordre s’installe dans l’usine. Le patron ordonne d’arrêter la chaîne. Les ouvriers ont gagné. Ils explosent de joie et de fierté.

Le second jour, le patron fait fermer l’usine à l’heure de la sortie et, même s’ils refusent de travailler les ouvriers, ne peuvent pas partir avant la fin des 45 mn supplémentaires. Le troisième jour, les choses s’enveniment. Les contremaîtres, des anciens de la coloniale, se déchaînent sur les ouvriers, les immigrés sont chassés de leur foyer, il y a des fuites, des querelles. Le quatrième jour,  le patron propose un vote. Robert et ses amis grévistes se méfient, mais ils ne peuvent pas s’opposer à un vote « démocratique ». À moment donné, Christian, un jeune que Robert avait pris sous son aile, craque et met le feu aux bulletins. C’est fini ! Les grévistes sont discrédités. Tout rentre dans l’ordre capitaliste et les esclaves reprennent le travail dans la résignation et le silence. Robert apprendra un peu plus tard que le vote et le feu ont été organisés par le patron avec la complicité de son protégé. Une révélation qui achève de l’achever.

On sait par son livre et celui de sa fille Virginie Linhart, Le jour où mon père s’est tu, que Robert Linhart ne s’est jamais remis de son séjour à l’usine Citroën.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Linhart

Les ouvriers, quant à eux, ont eu leur moment de gloire, ils se sont émancipé et ont retrouvé leur dignité un bref instant, mais ils l’ont payé très cher. Certains ont perdu leur emploi, d’autres, comme Boubaka et Robert ont perdu la raison et/ou la santé, et le sort de tous s’est encore dégradé.  Un triste bilan qui ne hantera pas seulement Robert.

La situation des travailleurs ne s’est pas améliorée depuis cette époque, comme le souligne un article de Frustration du 13 mai 2023, Comment la France est devenue championne de la souffrance au travail:

« Le 28 avril dernier, le journal l’Humanité sortait les statistiques d’Eurostat (l’INSEE de l’Union Européenne) sur la mortalité au travail : la France est largement en tête, avec une mortalité deux fois supérieure à la moyenne européenne. L’info n’a été que très peu reprise. La mort au travail et plus largement la souffrance au travail sont un véritable tabou médiatique : les accidents mortels surviennent en moyenne deux fois par jour. En moyenne, chaque jour, 90 personnes subissent un accident grave qui leur laisse des séquelles à vie. Qui se demande comment nous en sommes arrivés là ? Quasiment personne. Et pour cause, se demander pourquoi on meurt et on souffre autant au travail en France, c’est mettre en accusation les trois derniers gouvernements, sarkozyste, socialiste et macroniste, qui ont détricoté le droit à la santé au travail. C’est mettre en évidence la responsabilité du patronat dans ce triste record. Bref, c’est mettre en lumière le fait que la lutte des classes ne se joue pas seulement dans les manifestations de rue et leur répression, mais bien aussi dans la façon dont nos corps sont traités au travail, par la bourgeoisie et ses représentants ».

Le traitement des corps des travailleurs en système capitaliste a été mis au point dans les camps d’esclaves. Matthew Desmond montre dans un article fascinant du New York Times Magazine intitulé Pour comprendre le capitalisme, il faut commencer par les plantations que « les techniques de gestion utilisées par les entreprises du XIXe siècle ont été mises en place au cours du siècle précédent par les propriétaires de plantations (…)

« Les planteurs avaient « développé des hiérarchies complexes pour le travail combinant un bureau central, composé de propriétaires et d’avocats responsables de la répartition du capital et de la stratégie à long terme, et de plus petites unités responsables de différentes opérations, un degré de complexité égalé uniquement par de grandes structures gouvernementales comme la Royal Navy britannique (…) Ils ont également mis au point des méthodes pour calculer la dépréciation du capital, une innovation révolutionnaire en matière de méthode de gestion, en évaluant la valeur marchande des esclaves tout au long de leur vie. Leur valeur culminait généralement entre 20 et 40 ans, mais elle était ajustée individuellement à la hausse ou à la baisse en fonction du sexe, de la force et du tempérament : les personnes étaient réduites à de simples données (…)

« Ce niveau d’analyse a également permis aux planteurs d’anticiper la rébellion. Les outils étaient comptés régulièrement pour s’assurer qu’une grande quantité de haches ou d’autres armes potentielles ne disparaisse pas soudainement. “Ne laissez jamais un esclave verrouiller ou déverrouiller une porte”, conseillait un esclavagiste de Virginie en 1847. De cette façon, les nouvelles techniques comptables mises au point pour maximiser les rendements ont également contribué à garantir que la violence ne vienne que d’une seule direction, permettant à une minorité de Blancs de contrôler un groupe beaucoup plus important d’esclaves noirs (…)

« Les surveillants enregistraient le rendement de chaque esclave. Les données étaient recueillies non seulement après la tombée de la nuit, lorsque les paniers de coton étaient pesés, mais tout au long de la journée de travail. Selon les mots d’un planteur de Caroline du Nord, les esclaves devaient être “suivis du lever du jour à la tombée de la nuit”. Le fait d’avoir les esclaves alignés sur des rangées parfois plus longues que cinq terrains de football, permettait aux surveillants de repérer ceux qui traînaient (…)

« La quête intransigeante de quantification et la mise en place d’une comptabilité scientifique dans les plantations d’esclaves est antérieure à l’industrialisation. Les usines du Nord ne commenceront à adopter ces techniques que des décennies après l’émancipation. Les grands camps d’esclaves sont devenus de plus en plus efficaces et les esclaves noirs ont été les premiers travailleurs modernes de l’Amérique, leur productivité augmentant à un rythme stupéfiant. Au cours des 60 années qui ont précédé la guerre civile (guerre de Sécession, ndt)) la quantité quotidienne de coton récoltée par esclave a augmenté de 2,3 % par an. Cela signifie qu’en 1862, l’esclave moyen ne récoltait pas 25 ou 50 % de coton de plus que son homologue de 1801, mais 400 % de plus.

« Aujourd’hui, la technologie moderne facilite la surveillance permanente des lieux de travail, en particulier dans le secteur des services. Les entreprises ont mis au point des logiciels qui enregistrent les touches sur le clavier et les clics de souris des employés, et font des captures d’écran aléatoires plusieurs fois par jour. Les travailleurs d’aujourd’hui sont soumis à une grande variété de tactiques de surveillance, allant des tests de dépistage de drogues et de la vidéosurveillance en circuit fermé aux applications de suivi et même aux radars qui détectent la chaleur et le mouvement. Un sondage mené en 2006 a révélé que plus d’un tiers des entreprises comptant 1 000 employés ou plus avaient du personnel qui lisaient les courriels envoyés par les employés. La technologie qui accompagne cette surveillance des lieux de travail lui donne une allure futuriste. Mais il n’y a que la technologie qui est moderne. Derrière cette technologie, il y a la même volonté que celle des esclavagistes des plantations : contrôler totalement le corps de ses esclaves ».

La Relaxe – Unis pour vaincre le système

Le troisième film est un documentaire. Il se concentre sur Manon Glibert, une des « inculpés » de la « fausse affaire Tarnac » comme dit le Monde, après avoir probablement, comme tous les medias, traîné les inculpés dans la boue au moment de leur arrestation. Toute trace de ces éventuelles calomnies ont fort opportunément disparu de ses archives, l’article le plus ancien date du 13 décembre 2008, plus d’un mois après les arrestations.

On suit Manon à son travail au magasin général qu’elle et quelques autres ont ouvert à Tarnac et à leur ferme. On la voit chez elle avec sa fille et avec le groupe qui l’aide à préparer sa défense pour le procès du 12 avril 2018, qui, après 10 ans de persécutions judiciaires, doit décider de son sort : prison ou relaxe. Une femme simple et chaleureuse qui mène une vie simple et tournée vers les autres.

Le film ne fait qu’allusion aux circonstances qui ont présidé à son arrestation et celle de huit autres jeunes gens, le 11 novembre 2008, par la police antiterroriste, dans le cadre de l’enquête sur le sabotage de lignes de TGV, à sa garde à vue et à sa mise en examen sous l’accusation d’association de malfaiteurs en vue de préparer des actes de terrorisme. Le documentaire préfère s’attarder sur l’innocence de la victime plutôt que sur la corruption du système, en l’occurrence la collusion entre les renseignements (DCRI) et la justice au service des ambitions présidentielles de la ministre  de la Défense de l’époque, Michèle Alliot-Marie. Me Marie Dosé, l’avocate de Yildune Lévy dénonce son arrivisme, son cynisme et sa lâcheté dans sa dernière plaidoirie : « Elle s’est servie d’eux [les prévenus]. Tarnac, ce n’est pas un dossier qu’on politise, c’est une politique qu’on judiciarise. Et aujourd’hui, citée comme témoin, elle écrit au tribunal pour justifier son absence : “En tant que ministre de l’intérieur, je n’ai eu qu’une connaissance sommaire du dossier.” Quel toupet ! Mais quel toupet ! »

La guerre contre le terrorisme déclenchée par Bush Jr dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001, en faisant 900 000 victimes au Moyen-Orient (le Devoir), a amené le terrorisme en Occident. Mais pas assez semble-t-il pour que les populations occidentales prennent vraiment la menace au sérieux, du point de vue des services de renseignement chez qui circule cette bonne blague : « Le terrorisme, il y a plus de gens qui en vivent que de gens qui en meurent », comme le raconte par David Dufresne dans son livre sur l’affaire, Tarnac magasin général.

Qu’à cela ne tienne en va en fabriquer, des terroristes, ainsi on terrorisera les populations et on démontrera l’efficacité de l’État ! Le FBI nous ayant montré la voie (Djihad : FBI, l’usine à fabriquer de «vrais-faux» terroristes), sans parler de Guantanamo, pourquoi se priver ? 

Il faut reconnaître que, comme dit le Monde : « Le scénario était bien ficelé : interpellation musclée, à l’aube, par des forces spéciales en cagoules et gilets noirs, façon ninjas, perquisition sous l’objectif des caméras, communiqué triomphal et conférence de presse de la ministre en personne. Relance, trois jours plus tard, par le procureur de Paris, qui parle de “lutte armée” et de “structure à vocation terroriste” – en admettant toutefois qu’on ne dispose pas “d’éléments solidifiés pour l’instant”. Bref, un remake des Brigades rouges, version France profonde.

Pourtant il n’a pas pris. Pourquoi ? Le lancement, le 11 novembre, a sans doute été trop précipité : une conférence de presse convoquée deux heures à peine après la tombée du communiqué, alors que les perquisitions sont encore en cours, éveille forcément le soupçon de mise en scène. Le casting laissait à désirer : quoi que l’enquête révèle ultérieurement, le profil des “neuf”, ne correspond guère à celui de “terroristes”, ni même de clandestins – certains habitent chez leurs parents ! La mobilisation du village de Tarnac en leur faveur a aggravé le malaise. » Sans compter, entre mille anomalies du dossier, que Yildune Lévy et Julien Coupat se trouvaient à Paris à l’heure où les policiers disent les avoir vus en Seine-et-Marne, comme l’indique un retrait bancaire à 2 h 44 à Pigalle, et que les sabotages ont été revendiqués par des antinucléaires allemands, qui avaient déjà utilisé cette technique par le passé.

L’affaire était clairement montée de toutes pièces mais, hélas pour ses victimes, quand le système se met en mouvement, rien ne peut l’arrêter. Manon a passé 14 jours en prison, Yildune Lévy, deux mois et Julien Coupat, six mois. Tous ont été assignés à résidence pendant un an avec interdiction de communiquer. Il a fallu 10 ans de luttes pour que le système lâche l’affaire. Enfin, le 12 avril 2018, au terme de trois semaines d’audience, Corinne Goetzmann, présidente de la 14e chambre du tribunal correctionnel de Paris a reconnu que le « “groupe de Tarnac” était une fiction » et relaxé les accusés.

Les inculpés de l’affaire Tarnac ont fini par retrouver leur liberté, mais quantités d’autres innocents sont toujours en prison ou persécutés par la police. L;mso-bidi-font-style:normal’>des milliers de petits Tarnac (on casse la porte d’abord, on réfléchit après… ou pas du tout) », selon un journaliste du Monde. Et les iniques lois antiterroristes de juillet 2016 ont entériné l’état d’urgence permanent, avec notamment l’article 421-1 du Code pénal qui stipule que « constituent des actes de terrorisme, lorsqu’elles sont intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur », ce qui permet d’arrêter à peu près n’importe qui. Comme le dit Laurent Borredon, « il suffit de dire qu’ils ont participé à des réunions préparant des manifestations violentes, qu’ils avaient de la littérature insurrectionnelle sur leurs étagères et qu’ils étaient à tel ou tel contre-sommet du G20 et de l’OTAN, et le tour est joué ».

Le système antiterroriste français répond à une logique de répression. Il accuse parce qu’il faut mater, intimider, terroriser, puis, sûr de son impunité, il ment pour justifier ses accusations, comme l’explique Julie Alix : « L’analyse de la criminalité terroriste met en lumière qu’en la matière, seule préside à la décision d’incrimination l’existence d’un besoin répressif. Le constat est donc celui d’une totale instrumentalisation de l’incrimination pénale au service de la politique criminelle antiterroriste. »

Comment alors, les 10 inculpés de l’affaire de Tarnac ont-ils réussi à échapper au rouleau compresseur du terrorisme d’État ? D’abord ils sont restés unis, la police et la justice n’ont pas réussi à les monter les uns contre les autres ; ensuite c’était des militants dotés d’une grand conscience politique, d’une belle faculté d’expression et d’une grande intelligence tactique. Ils ont toujours refusé de rentrer dans le jeu du système, même quand cela pouvait les desservir, par exemple, ils ont toujours refusé de proclamer leur innocence jugeant que l’affaire n’était qu’une suite de mensonges de faux d’agents assermentés, de manipulations de l’instruction et d’intrigues politiciennes et qu’elle n’avait rien à voir avec eux. Et ils ont réussi à « s’arroger le droit à une égalité de parole au tribunal, du jamais vu ! » pour contester pied à pied « le récit de MLP (Madame le président) qui a été écrit en écartant systématiquement tous les éléments qui viendraient le contredire », selon Lundi matin.

Conclusion

En mai 2015, Julien Coupat, désigné par les enquêteurs comme le « chef du groupe de Tarnac » a conclu une interview avec Aude Lancelin par ces mots :

 « Nous vivons dans un monde qui va dans le mur à tombeau ouvert, et qui le sait. Les faits en attestent tout autant que la production hollywoodienne. Ceux qui tiennent les rênes de la machine préfèrent qu’il en soit ainsi plutôt que de renoncer à la moindre miette de leur pouvoir. Ils s’attachent simplement à distiller dans la population le sommeil nécessaire, quitte à le peupler de cauchemars terroristes. 

« Nos infinies réserves de lâcheté veulent toujours croire que nous pourrions abandonner à quelque force autre que nous, à quelque leader le soin de nous sauver. Mais il n’y a plus rien. Nous allons devoir faire nos affaires nous-mêmes.

« Et y'a que nous Qui pouvons faire quelqu'chose pour nous «  (Gilbert bécaud)

https://ruclips.ru/watch/XvKHrbh0F_w/gilbert-b%C3%A9caud-...

Le vent se lève. Il faut tenter de vivre. »

Finalement ce qui fait la richesse du documentaire La Relaxe, c’est que simplement, tranquillement, joyeusement, il nous montre qu’il est possible de vivre, en marge du système, une vie pleine, féconde et fraternelle. Il nous montre que rien, pas même l’État dans toute sa puissance maléfique, ne peut détourner de leur chemin de vie ceux qui savent ce qu’ils veulent. Les neuf de Tarnac ont réussi là où Kim Sohee, Robert Linhart et tant d’autres ont échoué, parce qu’ils ont pris la tangente, ils ont refusé de jouer le jeu, de se laisser embrigader. Le système les a rattrapés parce qu’il ne supporte pas qu’on lui échappe, voyez l’acharnement contre les non vaccinés pendant la démence covidiste, mais ils l’ont vaincu.

Malgré leur échec, le sacrifice de Kim Sohee et de Robert Linhart n’a pas été vain, car c’est en s’appuyant sur l’expérience de leurs prédécesseurs, en montant en quelque sorte sur leurs épaules, que les neuf de Tarnac ont pu voir plus loin, plus grand, autrement… 

30/08/2023

il faut revenir au CONCRET !! - et y a-t-il rien de plus concret que d'exister ? ou pas ....

donc dans la vidéo ci-dessous le commentateur dit que la vision catholique de la vie humaine est une vision où celle-ci est améliorée glorifiée, etc et tous les commentaires qui suivent sont de la même eau, il oublie de dire l'essentiel : pour une vision religieuse (et pas seulement catholique, toutes les religions, à part le Yahvisme antique) la vie humaine (et normalement toutes vie consciente, c'est une grave lacune mais c'est un autre sujet, laissons) est ETERNELLE. En fait on sent très bien que ce qui embête les traditionalistes (et par le même mouvement leurs ennemis aussi forcément) c'est un débat sur une question de "valeurs" au sein de cette vie temporaire et mortelle, mais à cela MONTAIGNE a apporté une réponse radicale et de bon sens :

"Vivre plus ou moins longtemps c'est tout un au regard de la mort, car le plus et le moins ne s'appliquent pas à quelque chose qui n'est plus".

et le plus grand historien anglais du XIXè siècle HT Buckle :

"Si la vie éternelle n'existe pas, alors il importe peu que quoi que ce soit d'autre soit vrai ou faux" .

la vie humaine, toutes les vies humaines et toutes leurs réalisations, leurs "vérités éternelles" qui n'existent que dans leur cerveaux, tant qu'ils sont conscients, ne sont rien que "l'aventure falôte du protoplasma" dont parle Jean Rostand "promises dès le départ à l'échec final et à la ténèbre infinie".

"tout doit être ramené à l'aune de la raison" mais justement la raison, le bon sens le plus drastique (Montaigne en témoigne bien) nous dit que et la vie humaine et l'économie et la Civilisation et tout le tintouin, une fois morts, c'est à dire dès la naissance puisque condamné à mourir ("elles accouchent à cheval sur une tombe ouverte" dit Samuel Beckett) ne sont que néant.
Alors les débats entre la maçonnerie et l'Eglise traditionnelle ou bien ils sont sur l'existence ou non de la vie éternelle ou bien ils ne sont rien ! Et tout autre débat n'est que des états d'âmes de bourgeois, comme je le dis à propos du "genrisme" "woke" qui bien entendu n'a rien à voir avec le conflit droite/gauche, mais ne sont que de ridicules amusettes internes à la bourgeoisie, (donc à la droite).

sur un autre sujet , dans la séquence qui suit minutes 24 et 25 il est vrai qu'une Eglise qui obéit religieusement aux autorités civiles est une hérésie, pas chrétienne (ni humaniste non plus d'ailleurs ! le sort de Giuseppe Belvedere le montre), des evèques, des papes sont MORTS ASSSASSINES ou EXECUTES (ou condamnés à de la prison dans des cas récents) pour avoir refusé de se plier sous les autorités civiles. Et une Eglise  qui se conforme aux principes du "monde moderne" n'est rien d'autre que NAZIE, car comme l'a montré le philosophe marxiste polono-anglais Zygmunt Bauman le nazisme est le fruit de "l'esprit de la modernité" "quand il n'y a rien pour l'arrêter".

 

https://ruclips.net/video/IgQnQhxmhH4/veillez-et-priez-mg... "les médias de masse c'est presque plus que des mensonges, c'est horrible !" là il a raison ! (le reste c'est une autre question !)

29/08/2023

Réveillez vous les amis !! Il n’y a que deux camps dans cette affaire : eux et nous la population

14/7/2021 je suis en train de lire « Uranus » de Marcel Aymé.

Donc je reprend une fois de plus ; je suis en train de lire « Uranus » de Marcel Aymé, ça fait un peu penser à Louis Fouché, celui qui veut réconcilier les résistants avec les fasciste covidistes, qui prêche la compréhension, dans "la permaculture humaine". En bon médecin  qu'il est il veut faire naître l'apaisement et le courage, prêche le vivre ensemble, la compréhension, l’amour et la positivité

(il a raison, mais je ne saurais pas le suivre, pour moi c’est "ni oubli ni pardon"   Et les porteurs du masque, les vaccinés, ceux qui croient bouche bée à « not’ bon mait’ » les décérébrés, ceux qui ont des principes et des réflexes fascistes, et tous les commerçants et autres qui ont appliqué l'ordonnance du 8 juillet 1942 (que celui qui a des oreilles entende) bref je le crains 95 % des français, sont des MERDES à vomir. Si un jour il y a une grande épuration de ces gens comme à la Libération, et qu’on les fusille en masse je ne les plaindrai pas.)

pas bête du tout ce que dit Icke : https://odysee.com/@Gay%C3%B6AwWw2:0/DAVID-ICKE-en-Fran%C3%A7ais-DISSIDENCE-et-CONSCIENCE-VOSTFR:1?

REVUE DE PRESSE DE PIERRE JOVANOVIC
LA DESTRUCTION DES Distributeurs Automatiques de Billets EN CORRELATION AVEC L’OBLIGATION DES VACCINS

Dans la suite logique de l’article précédent, notre lecteur Mr Mogiel a vu que les 4 grandes banques d’Australie ont décidé de retirer des villes des milliers de DABS SOUS PRETEXTE DU COVID:
« Australia’s big four banks remove thousands of ATMs and shut down hundremiids of branches as the coronavirus crisis pushes nation closer to a cashless society. ANZ, Commonwealth, NAB and Westpac – also shut up a combined 175 branches in the last 12 months while at least 2150 ATMs have been removed in recent months … as the coronavirus crisis pushes nation closer to a cashless society ».
Le nombre de DABs en Australie est passé de plus de 32.000 à 25.720 selon Australian Payments Network.
https://www.dailymail.co.uk/news/article-8633457/Australi...
Et je parle même pas des limites de retraits comme en France par exemple.
https://www.moneyvox.fr/banque/actualites/73937/la-banque...
https://www.moneyvox.fr/banque/actualites/78392/la-banque...
NOTRE LECTEUR TOR QUI VIT EN RUSSIE NOUS DIT :
« A Moscou, on peut tirer 2.200€ par jour au DAB avec la carte Gold et 12.000 par mois.
Il y a 10 ans 4.500/ jour. 24.000/mois.
Ça se resserre partout ». (relisez Zygmunt Bauman, la modernité ! et bien sûr Karl Marx ; la maximisation du profit, et la volonté des exploiteurs de rétablir l'esclavage)
Vous voyez que ce n’est pas seulement une vue étroite de mon esprit car on le constate même chez Poutine, citoyen d’honneur de la City.
Et ça je l’avais déjà lu que depuis l’arrivée du Covid qu’en Russie comme en Occident on essaie d’imposer les paiements uniquement numériques mais les Russes qui sont très attachés à l’argent liquide sont très réticents.
Réveillez vous les amis !!!! Il n’y a que deux camps dans cette affaire : eux et nous la population
car on constate que les mêmes politiques sont mises partout peu à peu en place.

NOUS SOMMES EN GUERRE ...... CONTRE LE GRAND CAPITAL (et la censure !!!)

 

Ce médecin a un courage incroyable, c'est une GRANDE DAME :

Et la CENSURE VA BON TRAIN, SI VOUS N'Y Croyez pas c'est que vous n'avez ni yeux ni cervelle

 

quand on pense qu’il suffirait que l’armée de terrain avec les colonels se mettent a défendre le peuple dans les manifs, mais aussi encercler toutes les institutions jusqu’à création de tribunaux militaire pour que ce cauchemar de 3 ans cesse en qq jours.

 

26/08/2023

c'est fou !

« Il me semble que la christianophobie est libérée et ouverte chez le peuple, beaucoup plus que ne l’est l’islamophobie, plus discrète. Anti-racisme oblige. Ainsi, on se permet de dire sur le pape ce qu’on ose pas dire sur un imam. »

D’un autre côté, le christianisme étant vaincu en France depuis suffisamment longtemps

La religion, enfin le christianisme, est archi morte, les "curés" sont les premiers à être athées et psychanalystes de nos jours ! et que les anticléricaux rituels ne sont que des fanatiques obsessionnels qui se croient malins de donner le coup de pied de l'âne à un cadavre refroidit et enterré dans des cercueils plombés (essayez seulement d'entrer dans une église! ...)

tout cette exploitation n'est pas naturelle, c'est monté en épingle et exploité par certains milieux, il y a une volonté délibérée de "casser du chrétien" par tous les moyens (pareil les Pussy Riot les Femen, les Piss Christ, on conditionne les gens à ne plus penser au christianisme qu'avec haine et mépris, et à ne plus évoquer les prêtres que comme des pédophiles (bref le même truc que les antisémites faisaient autrefois avec les juifs, qu'on n'imaginait que sous l'image d'un banquier). 

un de ces jours on va nous faire le coup d'interdire le son des cloches, "pour des raisons de sécurité" bien entendu !

et, n'oublions pas : BOYCOTTONS TOUS ! C'est VITAL ! C'est la GUERRE, comme en 40-44
https://ruclip.com/video/udllTbKqGNs/r%C3%A9v%C3%A9lation...

et il va falloir apprendre comme les dissidents en URSS à se passer les adresses :des personnes que le grand capital fasciste s'ingénie à censurer !

c'est la chaîne de Maxime Nicolle le GILET JAUNE

https://rnf126.ruclip.com/

notez-là bien ! faites circuler ! informez-en vos amis !

ci-dessous quelque-unes de ses vidéos

Interrogé sur le fait d’être qualifié d’« ennemi public », l’archevêque Vigano a répondu ce qui suit :

“Comme je l’ai noté précédemment, il est typique de tout régime totalitaire >de chercher à délégitimer toute forme de dissidence, d’abord en ridiculisant l’adversaire, en faisant de lui l’objet de dérision pour le discréditer aux yeux de l’opinion publique. Puis, après avoir délégitimé la personne comme pathologique, ou ayant besoin de soins psychiatriques, suggérer que l’adversaire est mentalement instable qui devrait être hospitalisé dans un établissement psychiatrique. Enfin, ce processus aboutit à la criminalisation complète de tous les dissidents. Le régime crée ainsi les prémisses nécessaires pour séparer tous ses adversaires de la société civile.

Interrogé sur les espions présents dans les masses de prêtres qui avertissent leurs congrégations des dangers des vaccins COVID, l’archevêque a répondu :

Je pense que tout prêtre a le droit, ou plutôt le devoir, d’avertir ses fidèles du danger réel – pas seulement hypothétique – que représente l’inoculation de ce produit médical expérimental. C’est particulièrement le cas lorsque toute la farce psycho-pandémique vise clairement à conduire à l’instauration d’une dictature, dont le but est de contrôler les citoyens par une violation de leurs droits constitutionnels et naturels sous couvert d’urgence sanitaire.

À un autre moment, l’archevêque a mis en garde contre la préparation qui a eu lieu avant la pandémie :
  Cette opération a nécessité une préparation minutieuse et a nécessité la participation d’une grande partie des institutions publiques et des secteurs privés, y compris la complicité de la magistrature, des forces de l’ordre et des médias. Ces efforts conjugués constituent un véritable  coucrêve ignoble pourriture !!! p d’État  et la pandémie n’est qu’un prétexte – le profasis  – à travers lequel s’introduit l’apparente inévitabilité de la violation des droits fondamentaux et l’instauration conséquente du régime totalitaire
 de l’Ordre Nouveau. Dans ce Nouvel Ordre règne la superstition pandémique, avec ses magiciens, ses temples vaccinaux, ses rituels irrationnels et ses excommunications de pécheurs  vitandi (« à éviter » ou « à fuir ») — ceux qui n’acceptent pas de renoncer à leur raison avant même d’apostasier de leur Foi pour embrasser cette folie idéologique insensée.

En réponse au Nouvel Ordre Mondial (NWO) :
  Le Nouvel Ordre Mondial n’est ni Nouveau ni Ordre : il représente la folle ambition de l'hubris Dans ce désordre, le mensonge remplace la Vérité, l’injustice et l’abus de pouvoir remplacent la justice, la fantaisie au lieu de l’obéissance à la loi de Dieu, la mort au lieu de la vie, la maladie au lieu de la santé, la légitimation du Mal et la condamnation du Bien, la persécution des bonnes personnes et la louange des méchants, l’ignorance au lieu de la culture et de la sagesse, la laideur et l’horreur au lieu de la beauté, la division et la haine au lieu de l’harmonie et de l’amour. un « Ordre Nouveau » obtenu au moyen d’un coup d’état global  imposée sous le couvert d’une situation d’urgence planifiée.

La campagne vaccinale, dépourvue de toute validité scientifique, sert d’abord d’apparente légitimation à la mise en place d’un suivi et de contrôles globaux, aujourd’hui sous prétexte de limiter la propagation du COVID (prétexte qui est faux, car, entre autres raisons, les vaccinés peuvent encore devenir infecté et contagieux). Mais demain, cette campagne vise à étendre sa portée, en étendant le « Green Pass » pour inclure des informations utilisées dans un « système de crédit social » pour faire face à une « urgence verte », qui sera également fausse et spécieuse. Le « Pass Vert » est conçu comme quelque chose comme la Marque de la Bête mentionnée dans l’Apocalypse de Saint-Jean pour permettre ou interdire aux gens d’acheter, de vendre, de voyager, de dépenser, de manger et de vivre.

Deuxièmement, l’inoculation à des personnes d’un sérum génique expérimental qui provoque un affaiblissement de notre système immunitaire naturel représente un crime très grave, car elle transforme des personnes ordinaires en bonne santé en personnes malades chroniques, et par conséquent en clients des entreprises de soins de santé et des soins privés. Cette situation gonfle énormément les profits de l’élite mondialiste et entraîne un appauvrissement général de la population.

bref ce "curé" ne prononce pas le mot, mais on est bien dans un schéma de LUTTE DES CLASSES typique, en plein, Marx a raison, toute l'histoire se ramène constamment à ça

24/08/2023

Roberto Ardigo, Armand Salacrou - il règne sur ce sujet un tabou, j'te dis pas!!

Roberto Ardigo

Roberto Ardigo, philosophe positiviste italien, qui a fini par se suicider :

« par suite du refroidissement progressif de la terre notre monde doit mourir, lui aussi, avec tous les êtres auxquels il donne vie ; et si c’est là le sort extrême de tous les mondes disséminés dans l’univers, à quoi sert donc l’élévation progressive de l’humanité ? à A quoi bon le culte de l’art, du Beau, du Bon ? La fièvre de savoir, de se consacrer à un idéal ? à quoi sert la vie ? A quoi servent tant de douleurs matérielles et morales, souffertes par les êtres auxquels a été accordé, sans qu’ils l’aient demandé, le don sadique de la vie ? »

Quelle immense déception pour une âme élevée telle que celle de Roberto Ardigo (ou celle de Miguel de Unamuno aussi, lisez le ! il est incontournable, et combien ça change des conneries sophistiques égoïstes et nécrophiles qu’on entend de nos jours) ! Il ne pouvait s’empêcher de contempler, épouvanté, l’abîme de la vanité infinie de tout. Il ne pouvait s’empêcher de se révolter en présence de cette ironie tragique du sort. Il valait donc mieux défier fortement la destinée de la seule façon permise à un vivant : se libérer, par le suicide, du supplice moral de contempler, impuissant, la tragédie de l’être, et sa propre prochaine disparition éternelle. Robert Ardigo a été conséquent avec lui-même. Les philosophes qui partagent ses convictions matérialistes, et qui, malgré cela, ne finissent pas comme lui par le suicide, sont heureusement inconséquents.

PEGUY 

" .. sauver de l’Absence éternelle
Les âmes des damnés s’affolant de l’Absence,"

 

On ne lit plus assez SALACROU

« Alors, là nous sommes tous en plein cauchemar depuis l’instant où nous avons compris que nous étions vivants. Vous souvenez-vous, Monsieur Lenoir, de l’instant précis où, tout à coup, petit garçon, vous avez eu cette révélation : « Je suis un vivant, j’aurais pu ne pas exister, et je vais mourir. » Non ? moi, si. Et je me suis évanoui. C’était une charge intolérable sur les épaules de ce petit enfant» (Armand SALACROU, in « L’archipel Lenoir »)

oui, j'ai toujours été ébahi, n'ai jamais compris comment se fait-il qu'il n'y ai pas plein d'enfants qui se suicident à l'age de raison (disons 12 ans)

comment peut-on vivre encore étant adulte, où théoriquement c'est pire, et toutes les autres sujets de douleurs métaphysiques, personnelles, sentimentales, et sociales qui vous tombent dessus ? et quand on est vieux ?

Ben, il y a un détail auquel je n'avais pas encore prêté attention, mais Simone de Beauvoir si !
il y a dans les mémoires de Simone de Beauvoir une remarque très importante et dont je prend maintenant conscience de la justesse, c'est quand elle dit « Quand je me jetais dans le malheur, c'était avec toute la violence de ma jeunesse, de ma santé, et la douleur morale pouvait me ravager avec autant de sauvagerie » etc
eh oui ! C'est comme ça que ça se passe; et aussi comme quand on est enfant on est plus conscient, plus sensible, plus intelligent, plus en contact avec la réalité que les adultes, et ça va constamment en se dégradant quand on devient adulte, puis en vieillissant. Il y a aussi comme une fainéantise de la conscience, et de la douleur qui ravage tout. Et on souffre dans la même mesure qu'on est vivant en fait et qu'on en a la santé ! La santé. Même le désespoir et l'abattement demandent de la santé, quand on est trop engourdi on ne sait même plus être désespéré, que dis-je même plus être abattu.

n'empêche que
c'est effarant à quel point comme disait Camus les gens font "comme s'ils ne savaient pas". Il règne sur ce sujet un tabou, j'te dis pas !!

on n'a aucune raison d'être pris en otages par ces flibustiers, qu'ils remboursent !

Les commerces qui vous vendent du vin, ou de la bière, ou des jus de fruits, en bouteille, ou des plats "BIO écolo traditionnel" (sic ) en bocaŭ, sont des ennemis du peuple, leur vente est une agression, ils vous agressent, comme des preneurs d'otages, on devrait les interdire, ou plutôt - d'abord ! - exiger de Saint-Gobain-BSN (pour ceŭ qui ne comprennent pas, un rappel de l'histoire récente et de leur arnaque capitalisto-administrative) et toutes les entreprises basées sur le même secteur, qu'ils remboursent à la collectivité le montant pharamineux du surcroît de chiffre d'affaire qu'ils ont fait depuis 1967 date où ils ont imposé les bouteilles non consignés, en disant c'est bien ! maintenant ça coute "rien" on peut les jeter ! - un problème ? quel problème ? Jusqu'à ce qu'ils, ou plutôt leurs copains en poste aux manettes de l'Etat , s'perçoivent que, heu oui, il ya un problème, "ç'est pas grave, VOUS allez travailler ! gratis bien entendu ! vous ne pensez quand même pas qu'on va vous payer pour le dérangement le temps et les efforts perdus ! NOUS dès qu'on fait quelque chose on se fait payer, mais le PEUPLE fi ! ils sont là pour subir notre merde et travailler gratis, d'ailleurs vous êtes coupaaaables ! vous êtes des péééécheurs ! vous ne voyez pas toutes ces ordures que nous produisons, c'est VOUS les coupables, vous êtes mé-chants ! c'est caca!! il va falloir NOUS obéir, sinon pan-pan culcul ! ça va chier !! Aussi l'Etat, "intendant du Grand Capital", c'est à dire justement copain des bandits de grands chemins susnommés, s'est mis à criminaliser ses "citoyens" (comprenez déportés enfermés dans leur camp) rendus responsables du gras chiffre d'affaire que les Saint-Gobain-BSN se sont fait sur leurs dos.

Bref comme toujours les profits en plus c'est pour nous le travail en plus c'est pour vous !

Pas question de payer pour BSN !

Donc

1° se faire rembourser du fric qu'ils se sont fait sur notre dos

2° revenir au système, autrement plus pratique, sain, logique, etc, des bouteilles consignées.

Sinon leurs bouteilles on va leur fourguer dans le bureau du supermarchés et qu'ils se démerdent avec! (et qu'ils nous les remboursent !!! et nous payent nos frais de trajets supplémentaire qu'ils nous ont imposés et la perte de temps.


bref C'est troublant comme dés qu'il s'agit d'imposer une contrainte supplémentaire aux peuples européens, la Commission "Européenne", et les gouvernements ne se gênent pas, par contre, empêcher les grosses industries de nous tuer à petit feu, là, il n'y a plus personne...


"en utilisant la population comme un personnel corvéable à merci, en contraignant chaque citoyen à accomplir lui-même le travail d'éboueur et en présentant cette contrainte comme un progrès " Benoît Duteurtre - Chemins de Fer

"Dans les décharges ou les usines les déchets étaient triés par les chiffonniers et les ferailleurs Tout ce qu'on nous demande aujourd'hui s'accomplissait déjà, à la seule différence que, désormais, chacun doit procéder à ce tri lui-même (et payer autant en plus) ... en phase avec une société dans laquelle il faut travailler davantage por gagner moins .... pour le seul bénéfice de l'entreprise de ramassage qui récupéraient les métaŭx et objets "

"J'ai découvert par exemple que, faute de temps et de main-d'oeuvre, une bonne partie des ordures récupérées dans les containers séléctifs est fréquemment remélangée après récupération. Beaucoup d'entreprises n'ont pas l'organisation nécesaire pour assurer le recyclage, et les déchets sont finalement détruits. . Dans ces conditions, l'effort des citoyens qui trient leurs ordures ne constitue qu'une opération d'asservissement , un geste factice recouvrant une brutale réalité réalité économique: la réduction du personnel de l'entreprise de ramassage (et l'augmentation de ses agréables PROFITS) la réduction du personnel municipal, l'abandon par les communes des services réellemment utiles, au profit de quantités d'investissements pompeŭx : ..Ainsi vont la "modernisation" (sic) et le progrès social dans un système économique dont la santé exige de chacun une contribution accrue, un travail plus intense et une solitude plus résignée" (Benoît duteurtre - Chemins de Fer)

http://lesmoutonsenrages.fr/2012/10/20/vers-un-plan-contr...

COMMENTAIRES :

"Dans mon village de 2500 habitants, on a un maire .....

Réformes apportées par le changement de prestataire : une tournée de ramassage au lieu de deux par semaine. Parce que deux tournées, "cela coûtait trop cher". En fait, les gens doivent trier eux-mêmes leurs déchets recyclables et les porter aux conteneurs (qui sont souvent déjà pleins).
Cela fait qu'en effet la deuxième tournée n'est plus nécessaire puisque les gens transportent eux-mêmes leurs ordures. Aucun emballage, aucun récipient de tri n'est fourni.
Quant aux déchets encombrants, la tournée pour les ramasser a été aussi supprimée : les gens doivent les transporter eux-mêmes jusqu'à la déchetterie dont la construction a coûté trop cher pour qu'on envisage une aide pour ceux qui n'ont pas de camionnette. Les vieilles dames sans véhicule se débrouillent déjà comme elles peuvent avec leurs bouteilles. On compte sur la solidarité et Proglio gagne 1,6 millions d'euros par an.
Certains commencent à ne plus trier. Je pense qu'une grève du tri s'imposerait.
Ceterum ego censeo Sarkozym esse delendum. -

merci de ce témoignage. Très important, car tout à fait typique de la logique de ces gens et de l'évolution de "notre" société

 

22/08/2023

en faisant des mots-croisés 3

"BÉENT",  oui comme les portes d'une église, autrefois, quand il y avait des églises

21/08/2023

Quand la Lybie était heureuse

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