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la Paix ne pourra revenir qu'après la victoire définitive sur cette ploutocratie mondialiste criminelle et surtout la destruction de ce monstre absolu, cette pensée unique du capital qui est responsable des pires fascismes 1.0 et 2.0
il va falloir ajouter un nouveau slogan : Liberté pour les perruches à collier immigrées en France !
et pour les conures veuves immigrées à Bruxelles
l’approche existentielle est la base de la morale, comme l'a sans doute compris Elian-J Finbert (et Brigitte Bardot)
ils (les intégristes de l'écologie et les "scientifiques, aussi impavides que il y a un siècle les savants nazis...) sont tellement dans leurs concepts d’espèces et de biodiversité, qu’ils oublient que les individus, bien vivants et bien concrets, sont des êtres sensibles.
Giuseppe Belvedere la paradigme de la résistance au nazisme ( et relisez Michel Terestchenko) :
Les perruches à collier de France.
Pour retrouver leurs premières traces, il faut remonter au milieu des années 1970, affirment les spécialistes interrogés par franceinfo. "En 1976, une centaine d’individus se sont échappés de l'aéroport d'Orly", assure Rémy Delanoue, ornithologue et juge international lors de concours de beauté de psittacidés (comprenez perroquets, perruches et autres inséparables). La piste semble vraisemblable. A cette époque, l'oiseau, à la mode dans les animaleries, était importé en nombre par avion. "Leur cage s’est ouverte lors d’une manipulation par un Fenwick [un chariot de manutention] et une centaine de perruches ont ainsi pu s'envoler", croit-il savoir.L'autre foyer d'origine, plus récent, se situerait du côté de l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle (Val-d'Oise). Pas d'erreur de manutention cette fois : les soupçons se portent sur un grossiste qui ignorait sans doute la malice de l'animal et sa capacité à s'échapper de sa cage. "Elles sont de la famille des perroquets, l'un des oiseaux les plus intelligents qui soient", explique ****** ******,de l'antenne francilienne de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO). "Au début des années 1990, les contrôles des oiseaux étaient moins stricts et les fenêtres du bâtiment où elles étaient entreposées n'étaient pas grillagées. (comme Fleury-Mérogis !...) C'était facile pour elles de prendre le large", insiste R. D..Depuis un demi-siècle on a vu arriver les tourterelles turques, les roselins cramoisi pointent leurs nez, les merles ont envahi nos villes depuis le XIX siècle (autrefois ils ne sortaient pas des forêts), Autrefois les moineau, oiseaux des rochers, ont peuplé les villes, les alouettes les campagnes. À part les intégristes ecologistonazis qui s’en plaint ?la carte de leurs dortoirs(les lieux où elles passent la nuit) le confirme : ils n'ont quasiment pas bougé depuis quarante ans et se concentrent autour de Wissous (Essonne) et Roissy-en-France (Val-d'Oise). Contacté par franceinfo, le gestionnaire Aéroports de Paris explique avoir entendu parler de ces thèses, mais n'a retrouvé aucune trace des "évasions" supposées. Le responsable du pôle Espaces verts d'Orly penche plutôt pour des remises en liberté par des propriétaires lassés de ces oiseaux trop bruyants.
Environ 8 000 spécimens (non, êtres vivants ! Je dirais même mieux personnes vivantes, images de Dieu) en Ile-de-France
Quoi qu'il en soit, les perruches sont bien là... et se reproduisent. (comme les humains ! lisez « Un Nid » de Sully-prudhomme) ) Résultat, en Ile-de-France, la population s'est envolée : leur nombre est passé de quelques dizaines d'individus dans les années 1980, à 1 100 en 2008 puis 4 200 en 2015, selon une étude menée par des chercheurs du Muséum d'histoire naturelle de Paris. Avec deux à trois oisillons par an et par couple, la progression est très rapide. Désormais, en 2017,"on s'approche plus des 7 000 à 8 000 individus" dans la région, estime le spécialiste de la LPO.L'Ile-de-France n'est pas la seule concernée par le phénomène : d'autres foyers ont été signalés près de Marseille (Bouches-du-Rhône), Roubaix, Villeuneuve d'Ascq ou encore Toulouse. A l'étranger aussi, comme à Barcelone au-dessus des Ramblas ou en Grande-Bretagne, où elles seraient plus de 30 000. (+ la Rhénanie ! + Bruxelles ! )L'invasion fait le bonheur des passionnés. Cela fait vingt-trois ans que Bruno Lebrun, agent d'accueil du parc de Sceaux (Hauts-de-Seine) et détaché à la surveillance des oiseaux nicheurs, arpente les 180 hectares pensés par Le Nôtre. Depuis 2003 et l'arrivée du premier couple de perruches, pas un nid ne lui échappe. Chaque année, il est chargé de recenser les couples qui s'installent entre février et juin dans les creux des platanes centenaires, abri idéal pour décourager les écureuils roux, friands de leurs œufs et de leurs oisillons. Aujourd'hui, il en dénombre plus de 90 qui, chaque soir, s'envolent en nuées vers leurs dortoirs de Wissous et Massy, situés de l'autre côté de l'A86.
Ici, elles trouvent de tout, toute l'année. Au printemps, elles dévorent les bourgeons, l'été elles trouvent toutes sortes de fruits et de baies et à l'automne, ce sont les glands et les pommes.Bruno Lebrun, du parc de Sceaux.
"Elles sont magnifiques", glisse un promeneur
mais ces racistes anti-immigrés que sont les écologistes intégristes, n'es veulent pas : elles ne "sont pas d'cheu nous" !
Les perruches peuvent compter sur la générosité des promeneurs qui leur apportent des graines, malgré les panneaux d'interdiction. Au détour d'une allée longeant l'un des bassins du parc de Sceaux, Amadou témoigne. "J'adore les perruches. Elles sont magnifiques",
(LES IBIS SACRES AUSSI ETAIENT MAGNIFIQUES…...)
s'enthousiasme-t-il. Séduit, il en a même acheté plusieurs pour agrémenter son balcon... mais elles se sont échappées. Les fugueuses reviennent le voir régulièrement : "Même après les hivers les plus secs et rigoureux, elles sont toujours là."
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, la rigueur de nos hivers ne leur fait pas froid aux yeux. "A l'origine, elles vivent sur les contreforts de l'Himalaya, jusqu'à 1 500 mètres d'altitude", rappelle Frédéric Malher, président du Centre ornithologique Ile-de-France. Autant dire que les quelques épisodes de neige francilienne n'ont rien d'incroyable pour elles. "L'hiver, elles passent 50% de leur temps près des mangeoires ou des boules de graisse disposées dans les jardins par les particuliers", précise Olivier Païkine, de la LPO Ile-de-France. Même celles suspendues en hauteur et destinées aux petits oiseaux y passent. Avec leurs pattes, les perruches agrippent le fil, le remontent et se régalent. Elles se servent aussi chez les particuliers. Près du parc de la Vallée-aux-Loups, à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine), un voisin n'a pas pu savourer ses cerises cette année. "Les perruches ont découpé le filet de protection qu'il avait installé pour éloigner les oiseaux et elles se sont régalées", s'amuse Bruno Lebrun.
Peu de prédateurs et très envahissante
ouais , mais comme dit Christian Lévêque :
« Les écosystèmes ont des capacités d’adaptation importantes, aussi bien lorsqu’ils perdent des espèces que lorsqu’ils acquièrent de nouvelles espèces, comme l’a montré l’écologie rétrospective. »
Leur vie est à peine troublée par quelques prédateurs : la chouette hulotte. Des plumes de perruches ont été retrouvées dans le nid d'un rapace, dans le 15e arrondissement de Paris, rapporte la LPO. Et si les écureuils et les rats peuvent occasionnellement se délecter de leurs œufs, les perruches savent se défendre d'un coup de bec. Un écureuil en a déjà fait les frais dans un parc de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne).
Sans véritable prédateur et avec son chant, la perruche agace. Et inquiète aussi (les fonctionnaires du Commissariat général aux questions juives ) Car elle entre en compétition avec d’autres oiseaux, notamment pour les nids. Opportuniste, la perruche à collier ne creuse pas son propre nid. Dès février, elle élargit ceux des autres oiseaux (comme la sittelle torchepot, l'étourneau sansonnet et le pigeon colombin), bien avant que ces espèces ne s'y installent. Ce qui les oblige à trouver d'autres lieux de nidification.
Dans le parc de Sceaux, on a déjà remarqué une baisse du nombre d'étourneaux sansonnets. Bruno Lebrun à franceinfo.Pour certains spécialistes de la biodiversité, il est temps de « réguler » la population de perruches. La LPO demande d'ailleurs l'aide des Franciliens pour les "signaler" ! (ça s'est déjà fait autrefois pour localiser des personnes pourchassées) Pour le moment, "en Ile-de-France, elles ne vivent qu'en petite couronne, tempère Bruno Lebrun. Mais si elles s'attaquent aux cultures, comme elles le font en Inde par exemple, elles peuvent faire des ravages..." par exemple, jusqu'à 70% des récoltes de tournesol ont parfois été perdues. De quoi préoccuper certains maires franciliens. à Antony (Hauts-de-Seine), des perruches ont déjà creusé des nids dans les plaques isolantes de façades d'immeubles récemment ravalés. [tant mieux ! j'ai vécu les effets de l'isolation thermique de l'IA,c'est étouffant !]
La perruche à collier est-elle une menace pour « notre » [ça veut dire quoi ? Un écosystème par définition ça évolue constamment, ça veut dire quoi une « menace » ? Si on réfléchit bien, ça n’a pas de sens, et puis c’est quoi ce « notre » ? l’écosystème ne vous appartient pas], écosystème ? Aucun consensus ne s'est dégagé sur la question, estime l'ornithologue Philippe Clergeau, et la loi reste floue.. N'empêche, le sujet devient politique. En 2015, le sénateur des Hauts-de-Seine André Gattolin (ex-EELV, désormais LREM - tiens tiens ! je vois le genre .... ) avait interpellé le ministère de l'Ecologie pour inclure la perruche à collier parmi les espèces nuisibles et invasives. [et donc à exterminer, exactement comme Hitler avait mis les tziganes et les juifs dans la liste des espèces d’humains nuisibles et invasives…] "La législation actuelle permet à l'autorité administrative d'organiser la capture ou la destruction des immigrés. Mais, pour l'instant, aucune action de cet ordre n'a été entreprise à ma connaissance", explique-t-il à franceinfo.
Une population trop difficile à "contrôler" (en anglais ça se dit :"to control a disease" mais en français ça veut dire "se rendre maître de" voire "éradiquer", là ils sont en train d'éradiquer la langue française !)
Au cas où, plusieurs solutions existent pour réguler leur nombre : stériliser des couples ou secouer leurs œufs pour les empêcher d'éclore. Mais avec des nids situés à plus de 10 mètres de hauteur dans les arbres, "de telles opérations semblent irréalisables" à grande échelle, aux yeux de Bruno Lebrun. "En revanche, en lançant des filets sur les dortoirs des perruches, on pourrait en capturer un grand nombre d'un seul coup. Mais cela coûte très cher à réaliser." Aux Seychelles, dans l'océan Indien, la réponse au problème des perruches à collier (après le « problème juif » on nous bassine avec le « problème rom », et après ça va être le « problème perruches à colliers » ! mais les intéressés qu’est-ce qu’ils en pensaient ou qu’ils en pensent? Comment ils on vécu, ou vivront ça ?) a été radicale (une « solution finale » quoi ! Comme pour les Ibis Sacrés). Des opérations d'éradication ont été lancées dès 2013 etle dernier spécimen de perruche à collier aurait été tué début septembre, rapporte Seychelles News Agency. Mais pour Jean-Philippe Siblet, du Muséum d'histoire naturelle, il est déjà trop tard. "Sur une île, une espèce invasive peut être éradiquée, mais à l'échelle d'un continent comme l'Europe, c'est totalement impossible." En cage comme en liberté, les perruches à collier n'ont donc pas fini d'échapper au contrôle de l'homme.(les roms non plus)
un millier de Tadorne Casarca, beau canard roux originaire des déserts d'Asie centrale, s'est installé en Suisse (outre qq millions d'humains de toutes origines). L'office Suisse de "protection" des oiseaux commente
"Cette situation est problématique, car ses effectifs ne sont pas indigènes."
Et voilà ! C'est clair, comme motivation !(mais les celtes quand ils sont arrivés en Helvétie étaient-ils indigènes ? pas plus que les alouettes et les moineaux, bref tout ce qui n'était pas hommes de Néandertal et rhinocéros laineux ! )
alors comme ça sous prétexte qu'elles "ne sont pas d'cheu nous" et qu'elles en concurrencent d'autres il faudrait es exterminer ?
donc fallait-il au XIXè sièce exterminer les auvergnats qui ont concurrencé les bistrotiers parisiens "de souche" en ouvrant partout des commerces de "vins et Charbon" ? Heureusement qu'on n'a pas fait ça : on n'aurait pas eu les bals musettes !! ni cette musique qui pendant un demi-siècle est devenue le symbole même de la culture française populaire !
donc faut-il exterminer les jaïns de l'Inde qui à Anvers sont en trains de retirer le commerce des diamants des mains des juifs ?
donc Fallait-il exterminer les polonais du Pas-de-Calais qui ont pris le charbon des mains des mineurs autochtones ?
Etc donc selon les écologistes, et les préfets à leurs ordres, il faut raisonner comme ça ? ban en voilà des génocides en perspective ! Le Pen à côté c'est un ange ! Je sais , dans les années 30 il y a eu quelqu'un qui a raisonné comme ça, envers les juifs et les roms, mais je croyait qu'il en avait gardé une sinistre réputation ! Les écologistes vont-ils se mettre à son école ?
« Sans les rochers, on sait bien que les vagues ne monteraient jamais si haut. »
ah ! voilà une citation qu'elle est vachement juste !
Eh oui ! beaucoup ont finalement tiré parfois des épreuves qu'ils ont rencontrées (par exemple pensez à Cuba devenu la champion de l'agriculture BIO et le SEUL pays du monde à avoir un modèle de développement durable comme l'a reconnu l'ONU, et ce en fait sans le vouloir, à cause de ses malheurs durant les années 90 quand il s'est retrouvé tout seul après la disparition de l'URSS).
Dieudonné serait resté un vague comique comme les autres, mais voilà, il était "taquin", il "aime faire chier les cons" comme il a dit à la télé canadienne, https://www.youtube.com/watch?v=YZkffIOQkuk il a comme la femme de Barbe-Bleue, ouvert la porte qu'on lui interdisait d'ouvrir, résultat il s'est trouvé en butte à la campagne de diabolisation la plus haineuse, la plus implacable qu'on aie encore jamais vue dans l'histoire, une campagne qui à une autre époque l'aurait réduit lui et sa famille à finir comme un clochard, ou suicidé, et campagne relayée jusqu'aux sommets de l'Etat, c'est fou ! ils n'ont rien d'autre à faire ? ces larbins lèches-bottes !
Et comme il est "taquin, j'aime bien faire chier les cons", il n'a pas plié, il ne s'est pas agenouillé, n'a pas léché le sol bien humblement en demandant pardon, comme auraient fait d'autres, il s'est entêté, il s'est enferré, mais, grâce aux progrès techniques, Internet pour ne pas le nommer, il a quand-même gagné, (et Valls retourne à la niche tout péteux !). Et au cours de tout ce périple il a mûrit. Maintenant, au départ c'était sans doute par raillerie, encore un truc pour ridiculiser ses adversaires, mais, de même qu'il s'était retrouvé piégé par sa provocation, il s'est retrouvé piégé par son humanisme et l'approfondissement de sa réflexion, maintenant il est devenu un "vieux sage", et un militant de notre libération des forces du grand capital et de l'Establishment ! Ses dernières vidéos resteront des morceaux d'anthologie.
comme j'ai dit dans un autre billet, Dieudonné entrera dans les livres d'histoire, et de manière positive, il est une borne, une révolution; en même temps qu'une échappée victorieuse de la liberté dans un monde qui prétend l'annihiler.
son analyse de l'entreprise télévision (dans l'interview vidéo ci-dessus, déjà censuré et introuvable sur le net) est pénétrante et sans concession, et en tout, il est plus révolutionnaire que beaucoup !
En fait Dieudonné entrera dans l'histoire de France
et encore sur cet initiative en Corée du Nord une autre vidéo, qui donne à réfléchir sur certains milieux !
après Dieudo sérieux, voici Dieudo maître à penser pour toute la planète !
Dieudonné est à 50 % Camerounais, à 50% Français et à 100 % citoyen du monde. Il peut parler à tous ces titres ! Il joue sur tous les tableaux, parce qu’il joue justement, en comique professionnel qu'il est. Au fond, ce qui importe, chez Dieudonné, c’est l’accoucheur des consciences ...
(au fait pendant qu'on parle de la Corée du Nord : petit pays qui, cependant, possède dans son sol la plus grande réserve mondiale de lanthanides et de quelques autres métaux rares... Beaucoup de commentateurs se gardent bien de nous en informer et de nous expliquer que les entreprises minières occidentales aimeraient bien venir se servir, gratuitement, sous prétexte de création d’emplois (le concept "création d’emplois", traduit en langage clair = exploitation de travailleurs) et autre aides au développement (ça : ça veut dire mise sous contrôle du marché mondial)... Alors que ce pays refuse l'hégémonie US et le capitalisme sauvage c'est gênant pour ces messieurs les investisseurs aux dents longues, et leur bras armé ....)
Bon, alors qu'on aurait espéré voir son spectacle de Pyongyang retransmis en direct, ce n'est que 10 jours plus tard qu'on a un mini clip d'une minute !
En tous cas il y a donc un problème avec ce fameux spectacle que Dieudonné était censé être aller faire en Corée du Nord, et qu'il avait tellement clamé sur tous les toits, même qu'il avait cré un site spécial exprès pour ça !! (même que ce devait être dans un stade de 140.000 personnes). Visiblement il a tout juste fait une visite touristique là !! plus apparemment l'enregistrement d'un clip (qu'il est IMPOSSIBLE, IMPOSSIBLE DE CHEZ IMPOSSIBLE ! de trouver sur INTERNET tellement Dieudonné est censuré par le GRAND CAPITAL) !!! ) sur la paix. Et à part ça que s'est-il passé ???????? quels artistes ont (REELLEMENT !)répondu à son appel ???????? macache !!!! Que s'est-il passé là-bas ??????comment ça s'est déroulé ou pas déroulé ??????? mystère mystère mystère !
Pas de retransmission du censé spectacle annoncé ! pas d'enregistrement ! pas de vidéo !! pas de photos, de public !!!! rien !!! pas de propos de Dieudonné sur ce qui s'est passé !!!!!! silence radio TOTAL !!!
Visiblement ça ne s'est pas passé comme il l'avait prévu.
Mais comment et pourquoi ??? mystère et boule de gomme !
Là dans un pays NORMAL, les journalistes l'auraient asticoté, auraient sauté sur un tel scoop !!! lui auraient posé des questions, auraient cherché à savoir ce qu'il en retourne. Auraient FAIT LEUR BOULÔT QUOI !!
Mais ici, vu le niveau hallucinant de soumission dans lequel sont tombés les journaputes, qui ne sont plus des journalistes, en aucune manière, mais des agents de leurs maîtres, et comme ceux de l'URSS sous Brejnev ou de l'Allemagne sous Goebbels, sont réduits à obéir le petit doigt bien posé sur la couture du pantalon !!!! Et ils ont reçu de leurs maîtres les propriétaires des médias la consigne, non l'ORDRE, de ne pas dire un mot de Dieudonné (le Béranger de notre époque). Résultat ils n'ont rien fouillé, rien rapporté, motus ! Et comme Dieudo lui-même pour quelle raison, (on aimerait bien le savoir !!! ) ne veut rien dire !! on ne saura JAMAIS RIEN nous pauvre pékins de cette PAUVRE FRANCE réduite à l'état de pays totalitaire complètement OPAQUE et censuré !!!
En tous cas pendant ce temps-là l'hallucinante, la surréaliste chasse à l'homme continue ! - c'est plus délirant qu'en URSS envers Sakharov ou Plioutchtch -
c'est vrai que la France, le pays de Voltaire et de Béranger, est en train de perdre son histoire
en tous cas la méthode judo, c'est effectivement celle qu'a utilisé Dieudo
Que ça serve de leçon dans d'autres domaines, pour la lutte des classes par exemple, c'est un peu ce que fait Bernard Friot sur le contrat de travail.
pou ceux qui ont rété le début du film Grenoble, ça va saigner ! (judiciairement) les caisses de la commune de rnoble vont se vider, et il va aller jusqu'à la Cour Européenne des Droits de l'Homme
Comme dit Mme Bilheran : "Nous vivons des heures folles, une immersion de plus en plus insoutenable dans le système totalitaire, une situation grave à l’heure actuelle où des esprits ayant une haute conception de l’Humanité se dressent pour tenter de faire rempart au chaos, sous les railleries, les calomnies, les quolibets, les suspicions des inconscients ou des complices.
Oui, ils risquent leur vie, pour contribuer à informer, et à vous réveiller.
Ils ont désormais conscience que sans résistance l’Humanité périra.
et si nous résistons, nous avons une petite chance d’éviter le pire.
Et pour cela, chaque initiative individuelle œuvrant pour le Bien Commun compte.
sur le problème de la place de la conscience dans le cosmos
Sur le problème des rapports de la conscience, des êtres conscients, et en particuliers les humains – mais, justement, il n’y a pas qu’eux! et l’apparition, apparemment inévitable et programmée, d’un ordre des choses si incommensurablement différent des autres « réalités » au bout ( ?) de l’évolution de cet étrange, (et apparemment inscrit dans la nature des choses), phénomène, nommé « la vie » est un phénomène curieux – du statut (et du destin) des consciences dans le cosmos, et de la pertinence des valeurs, des modes d’exigence que celles-ci proposent dans leur compréhension du réel, on est depuis déjà un bon bout de temps arrivé à considérer que celle-ci n’est qu’un « épiphénomène » produit par un pur hasard, non-significatif par le reste, et que le subjectivisme des êtres conscients est à rejeter d’une pensée rigoureuse, et qu’ils sont à complètement invalider.
Oui…
Oui MAIS. Quand même, la conscience existe, dans le Réel. C’est là ! Elle est même la seule chose dont on puisse être sûr de l’existence ! Et n’oublions pas que la matière et tout le reste, et le monde lui-même, ne sont que des hypothèses !
De plus on constate que le Cosmos apparaît comme qq chose de très lié et très cohérent. Où ce qui y existe n’y est pas « par hasard » mais fait partie d’un système très interconnecté (même si la « théorie de tout » dont rêvent certains physiciens n’est pas encore atteignable). Or l’existence d’une ??? comment appeler ça ? une « substance » ?! un « phénomène » ?! un « concept » ?! (aucun terme ne convient !) aussi fondamentalement différente du reste (incommensurablement, regardez ! il est même impossible d’employer pour elle le vocabulaire mis au point pour les « choses » !), et quand même fondamentalement importante (ne fusse que c’est elle qui – accessoirement ! - perçoit et pense tout le reste, ne peut pas être considéré comme un détail contingent de la cosmogénèse à l’instar de, par exemple, les mantes religieuses, ou les Malachius bipustulatus.
Alors on en revient à se dire qu’il faut quand même trouver une place pour la conscience (et qui peut affirmer que ce ne doit pas être en fait la première ?) dans l’économie du Cosmos, et donc dans la nature du Cosmos. On tourne en rond, car de ce point de vue il n’y a rien de probant. (Et refuser purement l’entrée de la conscience, comme problème intéressant pour …. la conscience du savant ! est surtout une façon de se débarrasser de l’aporie, de faire comme si le problème n’existait pas)
Certaines intuitions d’il y a 2500 ans sont reprises par la science moderne (non seulement les atomes de matière des grecs, et, peut-être les cycles d’expansion et de destruction de l’univers, mais aussi les atomes de temps et d’espace des Jaïnistes !) quelles autres encore se révèleront être de bonnes pistes ?
Certains même là en viennent à la conclusion que « mind is a fundamental process in its own right, as widespread and deeply embedded in nature as light or elctricity ». Ce qui semble, quand on regarde le monde, qu’on prend le temps de faire une pause, et réfléchit, finalement le bon sens même !
« Dans la nature, les portes sont toujours cachées, déguisées en autre chose. On ne les trouve – c’est une règle – que là où depuis des lustres on nous jurait qu’il n’y avait rien. » (Aimé Michel)
Et la parapsychologie ?
En tous cas, représentons-nous ce drôle de truc, l’univers, tel qu’on le connaît jusqu’à présent, c’est quand même une drôle d’histoire ! quel drôle de machin !
on ne peut pas prendre cette étrangeté à la légère, « ça cache queuqu’chose ! »
et là il faut rappeler la grande figure d'Aimé Michel (grand penseur insondable, qu'on n'a pas finit de redécouvrir)
je ne parlerait pas de tous ses aspects ici un texte capital :
et une remarque
"j'aimerais avoir le temps de me livrer ici à un parallèle cruel. Il s'agirait de prendre telle revue de référence de l'intelligentsia de l'époque, Tel Quel par exemple, et de dresser, tout simplement, la liste des problèmes qui y furent traités, disons, entre 1958 et 1968 ; puis de se livrer à la même opération, et pour la même période, avec Planète. On découvrirait que la plupart des problèmes soulevés par Tel quel sont désormais des problèmes morts, et que souvent les questions agitées alors par Planète sont celles qui, aujourd'hui, travaillent le monde contemporain.
ah ! quand-même je voudrais faire découvrir une face d'Aimé Michel où il a particulièrement raison
il paraît qu’Aimé Michel Comme ses précurseurs Pierre Massuet et d’autres avait conscience du caractère inadmissible, aussi inadmisible qu’Auschwitz, de la souffrance animale et
"telle préface( refusée par les Editions du Cerf) où il s'en prend à la théologie catholique, avant garde teilhardienne comprise, coupable à ses yeux d' avoir fait l'impasse sur le problême de la souffrance animale...(8) Préface inédite à l'Animal, l'homme et Dieu, un beau livre de Michel Damien, paru aux éditions du Cerf.(1978) et : tel texte, par exemple, où il décrit un train de poulets en batterie promis à l'abattoir, qu'il observa par une nuit de gel intense, en gare de Dijon (7 texte inédit hélas communication personnelle de son ami) (en quelle année ? J’y ai vécu, n’est-ce pas - à Dijon, lors d’une certaine époque … et j’y ai passé plus d’une fois par cette gare, avec maman.)
quelques questions : quelle sentiments avez-vous envers
les femmes ? - beaucoup de méfiance
les policiers ? - le mépris et le dégoût
les bourgeois ? - un peu d’aversion (de plus en plus d'aversion)
les musulmans ? - aucune opinion générale ! Il y en a de toutes sortes.
Les banquiers ? - ce sont les ennemis, c’est clair.
Les publicitaires ? - beurk !
Les journalistes ? - ce sont des "putes", et les agents de désinformation et de manipulation du régime comme autrefois en URSS
Quelle valeur mettez-vous le plus haut ? - la tendresse
Les choses que vous aimez ? - les caresses, la poésie, la philosophie, l’espéranto, l’histoire, les chats, les roses, les galaxies, les sciences, le rire, l’amitié
qu’aimez-vous entendre ? - au hasard : un plénum de cloches, le chant d'une grive musicienne, la musique de Scarlatti ou Geeta Chisti, France Gall, etc, etc
Comment vous définissez-vous politiquement ? - lutte des classes ! république, services publics, Bernard Friot, Asselineau bien entendu ! Et puis aussi le Pardem, et Etienne Chouard; humanisme et résistance.
Croyez-vous en Dieu ? - si on ne peut répondre que par OUI ou NON, je dirais NON. Mais en fait c’est plus compliqué. Je ne sais pas. Je suis très intéressé par Rupert Sheldrake, les EMI, les témoignages de réincarnation, les apparitions de Zeitoun, etc, et comme Jean Rostand je suis éffaré et ne comprend pas.
Vous intéressez-vous à votre monde intérieur ? Pas du tout ! Le « monde intérieur » est de toutes façons toujours beaucoup moins intéressant que le monde extérieur. Lui, oui, est intéressant.
Etes-vous pour ou contre l’avortement ? - Contre. Je suis athée, donc je suis contre la mort. Je suis contre la mort donc je suis contre l’avortement. CQFD
Que pensez-vous du bouddhisme ? - J’ai horreur de ça ! Une façon de s’euthanasier déjà de son vivant. L’amour du Néant ! Sinistre, beaucoup plus que le Théatre de l’Absurde, les philosophes de l’Absurde eux ils refusent la mort de toutes leurs forces.
Votre plus grand espoir ? - non; aucun espoir.
Les scènes de films que j'ai le plus aimées et qui me hantent le plus (et qui me donnent les larmes aux yeux): * la scène finale de "Manhattan" , de Woody Allenhttps://www.youtube.com/watch?v=ylZgG5kC6cI
* la scène finale de "L"invitée de l'hiver", de Alan Rickman (bizarrement aucun descriptif de ce film ni critique n'en parle ! tout le monde se focalise sur le couple mère-fille, et rien sur ces enfants !!! (ni les chatons ... ) pourtant c'est selon moi la partie la plus tragique la plus profonde et la plus importante du film)
* "la voix du sang" de Magritte * (ce n'est pas un tableau au sens strict, c'est une tapisserie) : "Avant l'aube" de Manessier - 1967.
Mon sculpteur préféré: * Georges JEANCLOS * Sabine Cherki aussi, mais il n'est plus possible de voir ses œuvres sur internet, le féminisme est passé par là, de nos jours il n'est plus permis à aucun artiste, même si elle est elle-même une femme, de représenter une femme nue !
Les espèces d'oiseaux pour lesquels j'ai une attirance particulère: * le rougequeue noir (Phoenicurus ochruros)https://www.hautetfort.com/admin/posts/post.php * et, bien sûr, les grues * Le merle, le chant le plus beau, et le plus créatif, sans doute de la terre entière. * l'alouette, bien sûr * celui de la fauvette à tête noire! * le gazouilli des hirondelles (hirondelles de cheminée) entendu depuis chez soi perchées sur les fils électriques pour les rares qui ont encore cette chance (y en a-t-il encore seulement? ou est-ce totalement disparu? alors que pourtant ça devrait être le B-A ba dans toutes les villes !!! seuls les sales cons fascistes intolérants et ennemis de la vie qui grouillent dans la France profonde se réjouissent de leur disparition) * le chant des martinets : mais attention à condition que ce soit dans le ciel au-dessus de villes de France ! et que ce soient de vraies villes, de vraies villes avec des églises (ouvertes) des hôtels (au choix pour toutes les bourses), des rues (sans caméras de vidéo-surveillance), des magasins, des cafés, des bancs, des vraies villes quoi ! dans un vrai pays, qu'on peut sillonner toute la journée d'une ville à l'autre sans problème par de vrais trains, dont on peut ouvrir les fenêtres, des trains qu'on prend dans des gares qui sont de vraies gares: commodes, conviviales et à visage humain, tenus par une SNCF qui ne se foutrait pas du monde et ne serait pas stalinienne. Bref rien que des choses qui n'existent plus
Mes races de chiens préférés: * Les colleys !!! sans hésitation. Je ne peux pas un voir un sans me sentir fondre et m'écrier "oh ! un beau gros toutou tout velu !" les poètes français que j'aime le plus : * Apollinaire * Prévert * Francis Jammes * Norge * Saint-John Perse * Verlaine * Jules Laforgue * Jean Tardieu et plein d'autres les poètes étrangers: *Xu Zhimo *Tagore *Trakl *Yeats *Juan Ramon Jimenez *J Ringelnatz *et Morgenstern
en Espéranto: Marjorie Boulton et Angel Arquillos
les dramaturges :
* Jean Giraudoux
* Henry de Montherlant
les romans : (voir in "livres recommandés")
*Sed nur fragmento (Trevor Steele)
*La course au mouton sauvage (Haruki Murakami) *La femme des sables (Kobo Abe) *En gagnant mon pain (Maxim Gorki) *Le Château (Franz Kafka) *Le facteur humain (Graham Greene)
*les Chroniques martiennes (Ray Bradbury)
les autobiographies: *en n°1 ! : "Le bonheur d'être suisse" (Jean Ziegler) ensuite: *"Les mémoires d'outre-tombe" (Chateaubriand) *"Mémoires d'un enfant" (Jean Dutour)
tout le reste est maintenant censuré et interdit d'accès, partout il n'y a plus que le fascisme du grand capital et partout il n'y a plus moyen d'avoir aucune info sur ce qui se passe sur cette pauvre terre ravagée par leur projet d'esclavage 2.0
et il n'y a plus un seul site où règne la moindre liberté d'expression (qui était encore dans la années 70 la BA ba, la base même de l'enseignement dès le secondaire, le droit le plus sacré de toute civilisation hors des horreurs des régimes totalitaires, tel celui de la théocratie catholique ou du Mac-Carthysm
"Quand il était enfant, comme tout enfant, Vincent était joyeux, vif et d’une sensibilité déjà bien marquée. Nous habitions au fin fond de la campagne et pour limiter les va-et-vient de transport vers l’école, nous avions décidé de lui faire nous-mêmes le CP. Vincent était réceptif. Sa scolarité se déroule ensuite normalement. Il se passionne pour le chant et participe avec passion à une chorale.
Une anecdote d’environ trente ans reflète sa gentillesse, sa générosité, son regard tourné vers les autres. Un jour, sa sœur de deux ans sa cadette a eu un accident de bicyclette. Vincent, du haut de ses six ans, ne voulait plus la quitter, il était aux petits soins pour elle et souhaitait la veiller jusqu’à sa guérison.
En grandissant, son attention pour les personnes vulnérables s’est accrue de façon toute particulière. Cela nous a toujours impressionné. Sa délicatesse, sa diligence l’amènent, en tant qu’élève infirmier, à faire son mémoire sur la maltraitance des personnes âgées en maison de retraite.
Avant de quitter la maison familiale pour partir faire ses études, il nous confie un clochard avec qui il avait noué des relations et qu’il nourrissait discrètement depuis un certain temps.
Derrière un premier contact d’apparence assez distant se cache chez Vincent un trésor de qualité et d’humanité. Ses confidences, ses lettres si précieuses à ce jour, n’ont rien à voir avec le tableau très déplaisant que l’on a pu faire de lui.
Hélas, un accident de voiture, survenu il y a sept ans, l’a plongé dans une situation de grave handicap. Il est en état pauci-relationnel, ne pouvant plus communiquer verbalement, mais ayant des expressions très souvent surprenantes.
Les médias le traitent comme un légume, mais c’est absolument faux. Comme tout être humain, il s’endort le soir, se réveille le matin, il reconnaît nos voix, il nous suit du regard quand on lui parle, il va manifester un contentement ou un inconfort. Quand on lui met une musique qu’il aime, il cherche d’où elle vient en tournant la tête. Comme les 1.700 patients dans sa situation en France, il va réagir à des sollicitations simples mais pas systématiquement. Vincent est certes handicapé mais il est vivant. Il n’est ni un légume, ni totalement sans conscience.
Et pourtant, au prétexte qu’il ne peut plus avoir de relations, on veut le faire mourir. Faut-il donc également provoquer la mort des personnes démentes, de tous les handicapés mentaux, de toux ceux qui ne peuvent s’exprimer ?"
(c’est ce qu’ont fait les nazis en 1939)
"Mais surtout, il entre en relation avec ses proches ! Nous qui nous nous relayons auprès de lui 6 heures par jour, nous le savons.
Qui peut avoir assez peu de cœur pour prétendre que nous nous battrions par idéologie ? C’est juste par amour et parce que notre fils est bien vivant mais sans défense que nous défendons sa vie menacée par les bien-portants et les tout-puissants.
La vérité doit être dite sur l’état de Vincent. Nous lui devons au moins cela. Il est certes très handicapé mais il n’est ni atteint de maladie, ni en fin de vie. Il ne souffre pas et ne fait l’objet d’aucun acharnement thérapeutique, ni d’obstination déraisonnable pour être maintenu en vie puisqu’il a juste besoin de recevoir des aliments et de l’hydratation comme tout être humain. Il n’a pas laissé de directives anticipées alors qu’en tant qu’infirmier, il en connaissait l’existence. Il n’a pas désigné de personne de confiance conformément à la loi mais le CHU a décrété que cette personne de confiance était son épouse. C’est elle qui réclame sa mort qu’on a écoutée. Certes, la situation n’est pas facile pour une jeune femme, toute jeune mariée, nous le comprenons. Nous n’avons jamais voulu nous imposer par discrétion mais nous lui avons toujours dit : « Rachel, si tu n’en peux plus, nous prenons le relais ».
Depuis novembre 2012, le CHU refuse à Vincent les soins de base et notamment les séances de kiné, un fauteuil adapté pour lui permettre de sortir de son lit… Vincent est enfermé à clef dans sa chambre surveillée par une caméra. Nous ses parents, nous devons pour lui rendre visite nous soumettre à une pesante et ubuesque procédure de contrôle à l’entrée du service et montrer notre carte d’identité. Le temps est comme suspendu, et Vincent traité comme un mort en sursis….
L’hôpital n’a plus aucun projet de vie pour Vincent, mais nous en revanche, nous en avons ! Nous avons déjà quitté la Drôme pour nous installer à demeure à Reims où nous nous relayons auprès de Vincent 6 heures par jour. Nous nous battons pour transférer Vincent dans une maison d’accueil pour les patients comme Vincent. Ces maisons ont été spécialement créées en 2002 et plusieurs d’entre elles nous ont dit avoir réservé une place pour lui et l’attendre pour s’en occuper. Mais aussi incroyable que cela puisse paraitre, on nous refuse ce transfert et Vincent est pris en otage par le CHU de Reims qui se comporte comme son propriétaire et qui l’a enfermé dans sa chambre comme un condamné dans le couloir de la mort. Nous avons envie parfois de crier « Si vous ne voulez plus vous en occuper, rendez-nous Vincent mais ne le tuez pas ! »
Nous restons confiants et comptons sur la Cour européenne des droits de l’homme pour arrêter cette folie. Protéger Vincent, c’est aussi protéger toutes ces personnes vulnérables contre ceux qui veulent se débarrasser d’eux car ils les encombrent en décrétant qui est digne de vivre, en les rendant ainsi otages du combat pour l’euthanasie."
Pierre et Viviane Lambert, parents de Vincent.
"PS : Nous avons été très touchés en apprenant la création d’un Comité de soutien à Vincent. Cette démarche nous fait chaud au cœur et nous en avons besoin. Elle nous semble surtout utile et porteuse de fruits. Merci aux promoteurs de ce Comité et à tous ceux qui rejoindront cette belle initiative."
maintenant :
Professeur Xavier Ducrocq
Si nous entrions dans la chambre de Vincent Lambert, qui verrions-nous ?
Un homme de 38 ans allongé sur un lit. Il a les yeux ouverts, la tête tournée d’un côté ou de l’autre. A moins qu’il ne soit endormi. Il respire seul, par le nez, sans machine. De temps en temps vous le voyez déglutir sa salive. Il est tétraplégique, mais vous le verrez, par moments, agiter sa jambe gauche. C’est le signe qu’il se passe quelque chose. Mais quoi ? On n’en est jamais certain. En effet cet homme ne parle pas, il n’essaye pas de parler. Vous ne serez jamais certain qu’il vous entende ou qu’il vous voie. Il ne réagit pas de façon explicite à ce qui se passe autour de lui. Pourtant si on l’observe bien, en différentes circonstances, en présence de différentes personnes (connues et inconnues), il est possible de percevoir des modifications infimes de son comportement : mouvement de membre, rotation de la tête, amplification de la respiration, clignements des paupières, déglutition, « intensité » du regard, … Ce qui permet de dire que Vincent perçoit ce qui l’environne et qu’il y donne une réponse, à sa façon, bien éloignée de la nôtre, mais signe que sa conscience capte et réagit à certaines présences, comme à certaines manifestations internes (douleur, colique, inconfort, …). Vincent semble réagir plus aux sons qu’à la vue. Une musique qu’il apprécie peut ainsi le « changer ». C’est ce que l’on observe très habituellement chez les personnes en état pauci-relationnel. Il n’existe pas de possibilité, avec ces personnes, d’établir un code de communication fiable, permettant de traduire ce qu’elles ressentent. D’où le risque de méconnaitre certains problèmes ou, à l’inverse, de sur-interpréter leur comportement.
En cela Vincent Lambert ne diffère pas d’autres personnes en état pauci-relationnel (EPR). Leur niveau de conscience peut varier d’un jour à l’autre, ce qui explique qu’elles pourront sembler parfois plus proches de l’état végétatif chronique (EVC) – encore appelé état d’éveil sans réponse -. Dans la réalité, l’état végétatif est plutôt une étape transitoire entre le coma et l’état pauci-relationnel. Au quotidien les patients peuvent fluctuer de l’un à l’autre état. Même les meilleurs spécialistes s’y trompent quatre fois sur dix ! D’ailleurs des études réalisées par IRM fonctionnelle chez des personnes en EVC ou en EPR ont permis d’entrer en contact avec certaines d’entre elles, plus souvent en cas d’EPR que d’EVC.
De Vincent on peut dire qu’il n’est pas en coma, qu’il n’est pas branché. Il n’est pas malade, mais dans un état de handicap très sévère, privé de communication. Il n’est pas un légume. Il n’est pas en fin de vie ; des personnes peuvent vivre de nombreuses années en EPR. Cela est dû à des lésions cérébrales sévères et les chances d’amélioration sont pratiquement inexistantes.
Si Vincent ne communique pas, pour autant une relation est-elle strictement impossible ? Un échange, silencieux, mystérieux, indicible, ne se produit-il pas avec l’entourage et l’environnement ? Il suffit de regarder quelques photos pour s’en convaincre et se laisser troubler, au-delà des apparences.
Comment ceux qui soignent Vincent ont-ils pu dire aussi bien que « Vincent n’est pas quelqu’un de compliqué », mais aussi qu’il s’opposait à certains soins, se laissait tomber de son fauteuil, fauteuil dont on l’a alors définitivement privé, depuis 2 ans et demi ? Mais n’est-ce pas le meilleur témoignage de cet état de conscience de Vincent, même s’il est impossible de dire pourquoi tantôt il est facile, et tantôt opposant.
Vincent déglutit sa salive, depuis des mois. Il peut avaler quelques gouttes d’eau, quelques miettes de gâteau, alors qu’il n’a pas bénéficié d’une rééducation de la déglutition. Il est alimenté par une gastrostomie, pour des raisons de facilité par des préparations nutritives industrielles (des plats préparés adaptés !) et par de l’eau. Parce que sa paralysie ne lui permet pas de porter les aliments à la bouche et que sa déglutition est incertaine.
Mais nous n’entrerons pas dans la chambre de Vincent. Personne de vous n’y entrera. Pas plus qu’un kinésithérapeute, un orthophoniste, ou un ergothérapeute… il y a longtemps que Vincent est privé de ces soins. Il est enfermé à clé dans cette chambre. Pour le protéger du geste de folie d’un désespéré qui en voudrait à sa vie. Protégé par ceux-là même qui s’en sont pris à deux reprises à sa vie ! Si vous insistez, il faudra laisser vos papiers d’identité au personnel. Et ses parents qui le visitent quotidiennement depuis bientôt deux ans subissent, tous les jours, ce protocole humiliant. Vincent est bien incarcéré dans sa chambre, surveillée par une caméra, sous écoute au moyen d’un baby phone. Tel un détenu, dangereux, dans l’attente de la mort à laquelle on l’a condamné.
Pas la peine d’espérer rencontrer Vincent dans les couloirs, dans le jardin, en fauteuil devant la fenêtre. Les sorties lui sont interdites, comme le fauteuil. Il y a trop longtemps que Vincent est laissé à sa solitude. Maltraité car non traité. Trop longtemps que Vincent est abandonné par la communauté des siens qu’on a trompé sur ce qu’il est. Il est Vincent, il est vivant, il échange à sa façon, avec son environnement.
Bien sûr, il faudra qu’un jour Vincent quitte ce monde. Ses parents, mieux que quiconque le savent et s’y sont préparés. Mais ce n’est pas à nous, à aucun de nous, de le faire partir, de décider de son heure, arbitrairement.
Laissons les siens aimer Vincent et Vincent recevoir et rendre cet amour, cette affection dont il a besoin, comme nous tous, pour vivre, humainement. Vincent compte sur nous. Et avec Vincent tous ceux qu’un drame, un jour, a plongé dans le même état.
Pr Xavier Ducrocq
Conseil médical des parents Professeur de neurologie et d’éthique au CHU de Nancy
Oui au fait qu'en est-il des autres qui sont dans le même état, voici des témoignages, et ça commence très fort, l'une d'entre eux après avoir passé 10 dans cet état .... en est sortie
un commentateur anonyme sur un forum sur une éventuelle .... interdiction de fumer sur les plages, a bien résumé le problème, face à l'hallucinante propagande à laquelle nous sommes soumis, et qui a pénétré et conditionné maintenant l'esprit de la majorité du troupeau :
"Je crois que vous n’avez aucun sens de la réalité, y compris les fumeurs qui viennent de témoigner, continuez à dire « amen » à toutes les « énormités » pour ne pas être vulgaire, mais il faut peut-être arrêter de tout mettre sur le dos de la cigarette, c’est hallucinant ! moi je suis non fumeuse mais franchement chacun est libre encore pour l’instant de fumer s’il le souhaite, faudrait peut-être commencer par interdire aux agriculteurs d’utiliser des herbicides, des pesticides qui sont croyez moi bien plus dangereux qu’une fumée de cigarette en plein air. Ce sont les retombées radioactives de tous les essais nucléaires sans compter les accidents comme Fukushima et autres qui sont la cause principale des cancers du poumons, on peut aussi rajouter les particules du gasoil lorsque vous faites votre footing sur le bord des routes ( c’est à mourir de rire , vous courrez pour oxygéner vos poumons ha! ha!) sans compter les enfants dans leur poussette en ville, à la hauteur des pots d’échappements. Quand à la pollution des plages, faudrait peut-être commencer par empêcher les bateaux de dégazer en mer, aux yachts de vider leur ordures par dessus bord et toute cette pollution sans compter le lisier des élevages industriels et la pollution pharmaceutique qu’on retrouve dans l’eau des rivières et qui finit dans l’océan, alors il y a bien plus grave que d’empêcher un fumeur de fumer sur la plage.
La propagande télévisuelle vous a tous formaté c’est incroyable !!!
(ben, c'est fait pour ! et qui sont les propriétaires des médias de masse ? hein ? leurs noms est interessant, mais leur classe sociale et leurs interêts financiers encore plus !)
sachez qu’au début du 20ème siècle lors de l’épidémie de grippe espagnole qui a fait des milliers de morts en Espagne et ailleurs, tous les ouvriers qui travaillaient dans les fabriques de tabac n’ont pas été malades, le tabac a protégé ces personnes de l’épidémie.
Mais au lieu de croire tous ce qui se dit , faites vos propres recherches et vous verrez que le tabac n’est pas la source du problème, c’est la plus grosse arnaque gouvernementale."
maintenant lise l'article en lien ci-dessous : un article qui fera date, car ça ouvre enfin une reflexion sur la question, et par extension sur tous les mensonges dont on nous a conditionnés en haut lieu ... or dans ces milieux on ne fait rien sans que ça aie des bénéfices financiers .... (re-souvenez-vous de ré-étudier le marxisme, une compréhension du monde où vous vivez est impossible sans en faire une analyse marxiste !)
J’ajoute que la compagnie des autres fumeurs a toujours été bénéfique car leur humeur et leur plaisir à vivre rendant les rapports sociaux détendus et amènes. Les luttes moralisatrices et acariâtres contre le tabac m’ont toujours paru indigentes ; au lieu d’arguments rationnels on a mis en place des discoureurs semi curés qui menacent et écrasent de taxes et de malédictions . Des tristes sires qui n’aiment rien d’agréable dans la vie.
(eh oui ! il y a une permanence dans les psychologie, autrefois les calotins de l'Eglise, maintenant, d'autres calotins, mais avec la même mentalité. à quand une révolte des anticléricaux contre ces "corbeaux" ?)
une petite info: vous pouvez parfaitement faire pousser votre tabac pour votre propre usage. De même que vous pouvez acheter du tabac pur sous forme de feuilles et le couper vous même. Je l’ai fait 3 fois depuis l’automne dernier, dont une fois d’Allemagne.C’est même possible en bio. Le prix en kilos est très attractif, et laisse la possibilité de le hacher pour pipe, feuille à rouler ou tube. Donc oueps, c’est possible du fumer comme le faisaient les anciens, je le fais sur 70% de ma conso, parce que ça prend un peu de temps de manutention, et que ça me fait un mélange que j’aime bien. Après le kilo, c’est du genre 25/30 euros… et y a 10% de nervures à jeter. Et 5/6 tabacs de dispo pour faire ses mélanges à 100% avec.
comme j'ai dis plusieurs fois en commentaire sur alterinfo.net toutes les plantes ont des effets médicinaux, donc il n'y aurait rien d'étonnant que le tabac en aie de bonnes relativement au Covid. De plus avec tous les mensonges qu'on découvre maintenant, on devrait se dire que parmi toutes les propagandes gouvernementales,surtout celles qui nous ont été matraquées obsessionnellement (pourquoi un tel acharnement ? à qui profite le crime ?) il doit y avoir beaucoup de mensonges et de "psy-ops" !
(soit dit en passant rappelez-vous un peu tous les mensonges, propagandes, conditionnements pas innocents du tout, qui se sont abattus sur vous récemment, dans d'autres domaines - replongez-vous dans l'actualité ! - face à nos maîtres il serait temps que le public apprenne l'esprit critique ! dans ce domaine-ci aussi) voir aussi : http://www.decitre.fr/livres/une-cigarette-defense-lucide-d-une-passion-9782742766857.html
Avant de vous faire lire la discussion théorique et critique du problème, voici quelques exemples, tirés de cette Europe, dont TOUTES les espèces, arrivées après le dégel de la dernière GLACIATION (quand la banquise déscendait jusqu'à Dunkerque, et que chez nous à part des lichens et des rhinocéros laineux il n'y avait pas grand chose !
Les moineaux ainsi sont une “espèce invasive”, si vous êtes allés en Egypte vous aurez pu constater qu’on en entend partout dans les ruines antiques, les moineaux sont des oiseaux des déserts, qui vivent là où il y a des falaises rocheuses, où ils nichent dans les trous de rochers. Alors ! Forcément, lorsque les humains se sont mis à construire des villes, les maisons leur ont fourni des falaises artificielles, et les villes (sans arbres jusqu’à une époque récente) se sont peuplées de moineaux, au point qu’aux yeux des citadins coupés de la nature, “oiseaux” se réduisait à “moineaux”!
Pareil par exemple pour les cochevis huppés, ce sont aussi des oiseaux des déserts (Ouzbékistan par exemple je m’en souviens) et ils avaient trouvé dans nos routes de terre battue ou de pavés des déserts acceuillants ! Et se régalaient des crottins des chevaux. Maintenant les chevaux ont disparus, et d’ailleurs si jamais, à l’occasion d’une fête-investissement touristique, un cheval se permettait de laisser tomber un crottin, il est tout de suite ramassé, si on pouvait on mettrait un sac aux culs des chevaux, pour pas que les bourgeois anarchistes se mettent à pousser des cris et à porter plainte !
À PROPOS DES INTRODUCTIONS D’ESPÈCES - ÉCOLOGIE ET IDÉOLOGIES
on commence à réévaluer les "écolos" déjà Bernard Charbonneau qui avait toujours refusé de se réclamer de l"écologie" car il en voyait trop bien les potentialités totalitaires, et puis le PS a amplement montré comment la corruption peut rendre les partis l'exact INVERSE de ceux qu'ils sont censés être, (et puis le premier pays à prendre des mesures écologistes fut l'Allemagne nazie, il ne faut pas l'oublier, et les fascistes se réclamaient souvent des "lois de la nature" !)
Maintenant, il (Jadot) vient de réclamer que le vaccin potentiel contre la Covid-19 soit rendu OBLIGATOIRE pour tous les Français ! Peu importe ce qu’il y aura dans ce vaccin ! C’est cohérent : il est lui aussi probablement inféodé au puissant lobby des laboratoires pharmaceutiques. Sinon sur quel fondement se déclarerait-il en faveur d’une telle obligation ? Est-il spécialiste des maladies infectieuses ?
2010 Christian Lévêque, Jean-Claude Mounolou, Alain Pavé et Claudine Schmidt-Lainé
L’ÉCOLOGIE, EN TANT QUE SCIENCE, s’était fixé comme objectif de rechercher un ordre dans la nature. Ce qui suppose implicitement que la nature est ordonnée, tout au moins au sens où l’entendent les sciences physiques. Et si nous nous étions trompés de concept fondateur ? Le monde vivant n’est-il pas d’abord le domaine du hasard, du conjoncturel, de l’opportunité, de l’aléatoire ?
2En battant en brèche le déterminisme qui rend plus aisée l’élaboration de prédictions et de programmes, le hasard gêne les institutionnels et les institutions. Il fait même peur alors qu’il ouvre, au contraire, des espaces de liberté et de créativité. Dans ce contexte, la question des espèces « invasives » qui se développent de manière inopinée sans que l’on puisse en cerner les causes bouscule nos représentations d’une nature ordonnée, ouvre le champ de l’incertitude, et dérange sans aucun doute.
3Les scientifiques, à juste titre, dénoncent le créationnisme et le dessein intelligent. Ces idéologies ne sont, somme toute, que la persistance d’une idée bien ancrée dans les esprits aux XVIIe et XVIIIe siècles, selon laquelle la nature, créée par Dieu, est nécessairement harmonieuse et immuable (le fameux « balance of nature » des Anglo-Saxons).
4Lorsqu’on s’interroge sur les fondements historiques de l’écologie scientifique, on découvre que certains concepts, sous des formes nuancées, sont toujours porteurs de cette idéologie. Bien sûr, la science est affaire de société. Les connaissances construites l’ont été en réponse à des questions posées dans des contextes idéologiques évolutifs. Et les questions d’aujourd’hui, comme les démarches de recherche, sont nécessairement marquées du présent philosophique, social et économique. Néanmoins, l’idée d’une nature immuable, certes désacralisée, reste encore vivace. On continue à parler d’équilibre et de stabilité des écosystèmes ainsi que de climax avec, en contrepoint, l’idée que les perturbations d’origine anthropique créent des déséquilibres.
On rappelle en permanence la culpabilité de l’homme vis-à-vis de la nature, ce qui n’est pas sans évoquer le mythe du péché. Or, les recherches en écologie rétrospective nous ont appris, quant à elles, que les écosystèmes n’ont jamais cessé de se transformer et que la biodiversité est avant tout le produit du changement, non du statu quo [Lévêque 2008b].
6Les paradigmes évoluent. Mais les milieux médiatiques, politiques, associatifs et scientifiques ne se les approprient pas au même rythme. Et le terrain des introductions d’espèces est particulièrement propice aux débats et aux confrontations intellectuelles car la revendication de préserver la nature « en l’état » y est exprimée avec une certaine véhémence par certains groupes sociaux. C’est dans ce contexte que nous nous inscrivons, en réaction à cette attitude « conservatrice ».
7Les introductions d’espèces et leur prolifération ont en effet mauvaise réputation dans les milieux écologistes et conservationnistes. Que reproche-t-on à ces espèces « invasives » ?
[D’être] des espèces [... ] qui bouleversent l’équilibre des milieux naturels, entrent en compétition avec les espèces autochtones et, parfois, les dominent jusqu’à les faire disparaître.
8Selon le site web de l’ONF, les introductions d’espèces sont aujourd’hui considérées comme la deuxième cause mondiale de l’érosion de la biodiversité. De même peut-on lire sur le site « Plein Sud » de l’Université Paris-Sud 11 :
Les invasions biologiques sont considérées comme la seconde plus importante menace pesant sur la biodiversité, juste après la perturbation des habitats.
[je pense que Soral, Zemmour et Hitler seraient d’accord là-dessus!]
9Ces discours alarmistes sont repris de manière générale par presque toutes les ONG ou associations de conservation de la nature. Mais, depuis quelques années, plusieurs voix s’élèvent pour remettre en cause ce discours manichéen. Les travaux récents [Theodoropoulos 2003 ; Rémy et Beck 2008] montrent en effet que les représentations des scientifiques et du public dans le domaine de la biologie des invasions ne sont pas exemptes d’idéologie et reposent en partie sur des paradigmes écologiques discutables.
10Néanmoins, la mise en accusation de l’homme, considéré comme perturbateur de l’ordre naturel, reste un moyen privilégié de "communication" (nouveau terme créé pour remplacer "propagande") des ONG de protection de la nature, et le message est largement repris par les médias, à l’exemple du scénario de la sixième extinction. La peur comme moyen de culpabilisation, et donc de manipulation (eh eh ! outil très Goebbelsien, et encore utilisé actuellement n'est-ce pas !] , a longtemps été l’apanage des religions, du déluge aux péchés capitaux [Thomas 1985]. Mais, de nos jours, la peur trouve dans l’environnement un domaine profane à investir. La question des espèces invasives et celle des changements climatiques et de l’érosion de la biodiversité censés mettre en péril la survie de l’homme en sont quelques déclinaisons. Au demeurant, cette image de l’homme destructeur de la nature n’est pas dénuée de vérité – comme en témoignent la surexploitation des stocks de poissons marins [Cury et Miserey 2008] ou la destruction des forêts (et des sols ! voyez les conférences de Claude Bourguignon).
11Un peu de sémantique n’est jamais inutile. Car les définitions d’« invasions biologiques » ou d’« espèces invasives » sont nombreuses et peuvent différer les unes des autres. Celle de F. di Castri [1990] est assez généralement admise :
Une espèce envahissante est une espèce végétale, animale ou microbienne qui colonise un nouvel environnement et y prolifère loin de son aire d’origine après avoir, la plupart du temps, été transportée par l’homme, intentionnellement ou non. [bref, comme font les immigrés à La Goutte d’Or! Après les auvergnats de Paris, ou les flamands du Nord-Pas-de-Calais]
12Mais il y a souvent un léger glissement sémantique qui conduit à des confusions. Nous vivons en effet, en Europe, dans un environnement où les espèces introduites et naturalisées sont nombreuses. La plupart restent discrètes et se font oublier, ou contribuent à agrémenter notre vie. Seules quelques-unes – tels des parasites d’huîtres ou de poissons, des vecteurs de maladies (moustiques), des espèces végétales (comme la renouée du Japon, la jacinthe d’eau), sans oublier le rat introduit partout dans le monde – se révèlent gênantes dans la mesure où elles se mettent à proliférer, suscitant des nuisances économiques, écologiques et sanitaires. Ce sont ces quelques espèces « invasives » qui nous dérangent, à juste titre, parmi l’ensemble des espèces dites exotiques.
13Là où les choses se compliquent, c’est que le discours médiatique a tendance à confondre « prolifération d’espèces » et « espèces invasives » alors que ce phénomène n’est pas une spécificité des espèces exotiques. Il est largement partagé par les espèces autochtones qui peuvent être, elles aussi, des sources importantes de nuisance. On pense par exemple aux pullulations de criquets en Afrique sahélienne, à celles des petits campagnols ravageurs des cultures en Europe, ou encore aux pullulations de méduses qui se produisent régulièrement sur nos côtes et pour lesquelles les médias n’hésitent pas à parler, à tort, d’« invasion ». Une enquête sur les proliférations végétales dans les milieux aquatiques continentaux français a mis en évidence que les plantes les plus fréquemment citées sont aussi bien autochtones qu’allochtones. Ce qui renforce l’idée que « prolifération » ne rime pas nécessairement avec « exotique » [Peltre et al. 2008]. Il n’empêche que l’amalgame ainsi fait ne peut que renforcer les préventions contre les espèces exotiques. (tiens tiens ! pareil pour les "espèces" d'humains)
écoutez ce que nous disait Gilbet Bécaud en 1978, année encore civilisée, où la République existait encore et où la France était un pays libre et équipé, où les français jouissaient d'un niveau de vie et de droits qu'ils ont perdus depuis (ce serait trop long de les énumérer). "les gens" le plus beau mot de la langue française je trouve, le plus profond, intime, et existentiel.
Une chanson malicieusement rebelle et citoyenne, sa plus belle chanson peut-être, toujours à méditer, et...
et en ces jours que nous vivons depuis quatre ans (et avant ! les gilets jaunes, ces victimes), où il va falloir apprendre à se soulever, à désobéir, à résister, à boycotter, à reconstruire, d'abords à l'intérieur de nous et puis autour, à reconstituer toute notre anthropologie, et toute notre culture politique (autour d'Etienne Chouard, Bernard Friot, Jean-Jacques Crèvecoeur) il est important de se souvenir que " y'a que nous qui pouvons faire quelqu'chose pour nous "
et puis retenez le nom de celui qui a CONCRETEMENT pensé et écrit les paroles : Franck Thomas, très doué, et sachant trouver pour chaque interpète les mots qui sortiront tous accordés à son style. (lisez toutes ses chansons, tous ses interpètes, si différents, sur Wikipédia)
quand on entend les conversations des vieux de la France profonde, on ne s’étonne plus du tout de ce que dans les années 30 les “bons allemands” ont tous été unanimement enthousiastes des nazis, de l’ordre qu’il faisaient régner, et bien respectueux de leurs lois et haineux envers les, forcément ! , mauvais citoyens, juifs, communistes, Témoins de Jéhovah qui ne veulent pas apprendre à dire “Heil Hitler”à leurs enfants, vieux professeurs Klemperers qui se sont permis de laisser pousser des mauvaises herbes dans leurs jardins sans les arracher, etc, etc, tous ces gens forcément coupables puisqu’ils ont été arrêtés ! Et forcément à éliminer puisqu’ils en sont pas dans les règles.