Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

08/06/2024

Ne vous y trompez pas

ne vous y trompez pas, écoutez David Icke - les fascistes c'est vous ! alors dites non !

31/05/2024

Mohamed Tahiri et Michel Terestchenko - Richard Boutry et Giuseppe Belvedere en sont des exemples

Le comportement des convaincus qui se font piquouzer me laisse perplexe.

par Mohamed Tahiri

Au début j'ai pensé que seule une certaine catégorie de la population était atteinte par la covédie et que cette catégorie de personnes se précipite à la première piqouzerie comme on va chez le curé pour montrer qu'on est un "bon chrétien bien décent". Dès que le jus expérimental est injecté, ces citoyens se sentent anoblis, adoubés par quelques manipulateurs à la tête du pays. Ils se comportent comme des nantis, des modèles d'exemplarité (comme les premiers allemands qui ont obéis à l’arrêté du 13 juillet 1933 de Wilhelm Frick ministre de l’Intérieur du Reich) qui ont gagné... un pass. Pardon. Qui ont gagné "le droit de vivre librement"! Mais je me suis trompé. Ce comportement n'est pas réservé à quelques hurluberlus d'une couche sociale. Toutes les couches sont atteintes. Cette covédie touche autre chose. Ce n'est pas le degré de culture d'une personne qui est atteint. Ce n'est pas le niveau social qui est visé, ce n'est pas le quotient intellectuel. Non. C'est tout autre chose. Et cet autre chose n'a pas d'étiquette, car personne n'a mesuré le niveau de conscience de la population d'un pays. Le niveau de conscience semble être le facteur déterminant.  Il se moque de qui vous êtes, d'où vous venez, de ce que vous êtes, ... il se moque de tous les repères sociétaux. Il en est d'autant plus insaisissable. Difficile de lui coller une étiquette. Les médias n'ont pas trouvé mieux que : "pro ou contra vaccin". Ils n'ont pas trouvé le point commun entre tous les covidés pro-vaccin et le point commun entre tous les contra-vaccin. Ils ont bien vu que tous les profils sociétaux,  culturels,  professionnels, etc., sont soit dans l'un, soit dans l'autre groupe. Les médias n'ont pas parlé de niveau de conscience. Et pour cause. Cela va bien au-delà d'une étiquette de parti politique,  de couleur de peau, de religion,  de niveau économique,  de niveau d'études... C'est au-delà de tout. Ils ont bien essayé d'assimiler les anti-vaccins à des mouvements politiques. Mais chacun d'entre nous peut vérifier que ce n'est pas là la réalité.
Ils ne parlerons jamais de niveau de conscience. À vrai dire,  les médias et ceux qui font ces médias,  n'ont pas le niveau de conscience utile pour établir ce constat. Le pion, du pion, du pion du pion, on ne lui demande pas de réfléchir, mais d'exécuter. Alors c'est quoi le niveau de conscience ?
Difficile d'y répondre. Mais jamais nous n'avons à ce point compris qu'il existe et qu'il se fiche totalement de qui vous êtes et d'où vous venez. Il est transversal.
Le niveau de conscience peut être bas ou élevé. Voilà ce que nous constatons actuellement.
Autre constat : plus le niveau de conscience est élevé,  plus l'ouverture d'esprit est grande. En d'autres termes,  plus vous êtes à l'écoute, curieux, méfiants, plus vous êtes ouverts. Cette ouverture fait appel à un niveau de conscience. Un humain qui doute, réfléchi,  recherche, discute, est un être qui cultive son niveau de conscience.
Aujourd'hui cette aptitude porte le nom de complotiste ! C'est le terme convenu à présent pour désigner une personne qui réfléchi et qui doute. Curieux, mais pas tant que ça, puisque ce sont des humains avec peu ou pas de conscience qui ont créé cette étiquette.

Maintenant,  avez-vous remarqué dans votre entourage où va se nicher le niveau de conscience le plus élevé ? Il est là où on ne s'y attendait pas.

En effet ! Mon artisan a quitté l’école jeune sans aucun diplôme, mais il est conscient et critique, par contre plein de profs, persuadés d’avoir par leur diplôme et leur métier un adoubement de droit divin qui les met du côté « du Vrai du Beau et du Bien » et qui se croient par conséquent « de gôôche » par définition, sont outre d’infects social-traîtres réactionnaires, sont des collabos de première soumis à « not’ bon roi », et tellement fanatiques, qu’aucune discussion n’est possible avec ces gens. Etc.
Que de surprises ! On pensait qu'untel serait plus ouvert alors que c'est l'autre duquel on n'espérait rien qui fait preuve d'ouverture d'esprit. Bref. Cette fenêtre sur la conscience est surprenante. Mais c'est elle  qui nous pousse à nous révolter, à dire non,

[ah ! Ah ! Là on est en plein dans Michel Terestchenko et son incontournable livre «un si fragile vernis d’humanité »]
à remettre en question face aux gens de peu de conscience. Alors le niveau de conscience pourrait se mesurer à l'aune de l'intelligence de la Vie et du respect de celle-ci. [comme Giuseppe Belvedere] Car j'ai bel et bien constaté que ce qui me différencie réellement des humains qui ne doutent de rien en ce moment,  c'est mon empathie pour mon prochain et encore plus les valeurs que je porte. Car pour moi, la liberté ne s'achète pas à coup de piquouzes. Elle ne se mesure pas en points sur un carnet de vaccination. Elle ne s'exprime pas en QR code. [tout ça au contraire ne peut susciter que le dégoût le plus profond!] La liberté ne m'est pas donnée. La liberté est une loi universelle. Elle se fiche de ce que quelques-uns voudraient me faire croire. J'ai ma propre conscience et elle me dicte que je dois veiller à ce que mon intégrité soit respectée.

Ceci est bien entendu totalement saugrenu à l'époque que nous vivons.
Cette société s'est construite sur le manque de conscience. Qui n'a pas conscience de sa valeur et de la valeur de la Vie, ne peut voir et comprendre qu'il est en ce moment le pantin de quelques criminels bien rodés dans la manipulation psychologique. Avoir peur d'une coviderie n'est pas un signe de maturité. C'est un signe de faiblesse dû à un manque de conscience. Et la raison à déserté ces esprits. Le défi ? Prendre conscience de sa propre valeur pour ne plus tomber dans les pièges de la manipulation. Savoir qui on est, est une force. Savoir ce qui est acceptable pour soi et ce qui ne l'est pas, forge cette force.
N'est manipulable que celui qui n'a pas de conscience. 

 

les mecs qui réfléchissent, s'informent, et surtout qui ont une "Conscience" au sens de Mohamed Tahiri et de Michel Terestchenko (et de Giuseppe Belvedere) il étaient contre le fascisme 2.0 (deux point zéro, comme pour les programmes informatiques), maintenant en plus il sont pour Poutine et contre les nazis (du type 1.0 cette fois, quoi que la présence de centres de recherche secrets américains de guerre biologique en Ukraine offre peut-être un lien .....)

Et je me souviens de tous ces petits kapos

 

28/05/2024

les leçons de l'histoire

24/5/2024 Tous les journalistes qui péroraient si fièrement et si sûrs de leur pouvoir absolu à la radio de Vichy ou dans la presse, sont maintenant totalement oubliés, versés dans la poubelle de l’histoire (quand ils n’ont pas été carrément fusillés) et ce sont les “Terroristes”, les bannis les diabolisé, les obscurs clandestins d’alors qui sont devenus célèbres et immortels.

Ça sera pareil pour l’époque actuelle, tous les journaputes du pouvoir de haine, du grand capital OTAN-esque, du NAZI-Covidisme, tous les soumis au lobby qu’on n’a pas le droit de nommer, les réchauffistes, etc, tous les rédacteurs qui se sont emparé de la wikipédia, tous les lâches pas chômeurs, les censeurs à la soviétique, toute cette merde de larbins aussi arrogants que rampants ou terrorisés, personne ne s’en souviendra, sinon comme parangons du fascisme vomitif, Laissant la place aux vraies “têtes” aux vrais grands humanistes de notre époque : Dieudonné, Brusa, Jovanovic, JJ Crévecoeur, Fourtillan, Lalanne, Perronne, Philippot, Asselineau, Etienne Chouard, Bernard Friot, Jean-Dominique Michel, Istvan Marko, Claire Séverac, le héros Christophe Dettinger, etc etc.

13/05/2024

Jules Laforgue le plus subtil poète français, mon poète préféré

Air de biniou

 

Non, non, ma pauvre cornemuse,
Ta complainte est pas si oiseuse ;
Et Tout est bien une méprise,
Et l’on peut la trouver mauvaise ;

Et la Nature est une épouse
Qui nous carambole d’extases,
Et puis, nous occit, peu courtoise,
Dès qu’on se permet une pause.

Eh bien ! qu’elle en prenne à son aise,
Et que tout fonctionne à sa guise !
Nous, nous entretiendrons les Muses.
Les neuf immortelles Glaneuses !

(Oh ! pourrions-nous pas, par nos phrases,
Si bien lui retourner les choses,
Que cette marâtre jalouse
N’ait plus sur nos rentes de prise?)



Jules Laforgue

 

éternelle prière à la Sully-Prudhomme !  .... éternel espoir des désespérés

21/04/2024

Cette crise fera se révéler des héros - des penseurs aussi, le docteur Louis Fouché sera un des plus grands, et que retiendra la plus la postérité.

le grand enseignement c'est ça, comme pour Jean Moulin, et tout autre

Mais combien de français sauront être des héros, des Résistants, de ceux!qui savent rester attachés à la rationalité, les! complotistes, car c'est ça le complotisme ! relisez les analyses que j'ai déjà indiquées à ce sujet,  des "derniers hommes", comme Béranger à la fin de "Rhinocéros" de Ionesco, des gardiens de "la lumière et le feu" comme dans le beau poème de Robert Desnos, écrit en 1942, combien ? Tant de gens qu'on voit qui ne suscitent que le dégoît et l'envie de vomir ! tant d'êtres "décents" "solidaires" "respectueux de la force publique", comme les bons allemands qui faisaient bien "Heil Hitler!", comme les bons français qui dénonçaient ceux qui écoutent Radio-Londres ! Il va y avoir des règlements de compte en septembre 44 ! .....

relisez l'incontournable livre de Michel Terestchenko "Un si fragile vernis d'humanité". Re gardez les vidéos sur Giuseppe Belvedere, un aussi qui "ne pouvait faire autrementt" et qui a d'un coeur léger sacrifié tout son confort gagné en 40 ans de travail pour aller sous les crachats des vieilles bourgeoises parisiennes du 4ème arrondissement  nourrir, trois fois par jour les pigeons du quartier Beaubourg.

interview :

Comment expliquez-vous que les scientifiques et médecins alarmistes ont été écoutés, tandis que les « rassuristes » ont été marginalisés, dénigrés, voire censurés ? N’est-ce pas la fonction première du médecin de rassurer ?

Dr Louis Fouché : Une des fonctions premières du médecin est d’accompagner le patient. D’être présent sur le terrain, de prendre soin, de poser un cadre de sécurité, d’écouter les peurs, les souffrances et, en les écoutant, d’être thérapeutique – c’est le principe de l’écoute empathique. Avant de dire quelque chose, prenons donc le temps d’é

Comment expliquez-vous que les scientifiques et médecins alarmistes ont été écoutés, tandis que les « rassuristes » ont été marginalisés, dénigrés, voire censurés ? N’est-ce pas la fonction première du médecin de rassurer ?

Dr Louis Fouché : Une des fonctions premières du médecin est d’accompagner le patient. D’être présent sur le terrain, de prendre soin, de poser un cadre de sécurité, d’écouter les peurs, les souffrances et, en les écoutant, d’être thérapeutique – c’est le principe de l’écoute empathique. Avant de dire quelque chose, prenons donc le temps d’écouter. Ensuite, de manière ciblée, il est important d’écouter les peurs de chacun : certains auront peur du virus, d’autres pour leurs parents, d’autres encore de Bill Gates, etc. Avec la crise actuelle, avant même de rassurer, il s’agit de mettre de la clarté, de l’intelligibilité sur ce qui se passe. Personnellement, je ne considère pas que j’ai rassuré ; je suis même plutôt alarmiste concernant le déferlement totalitaire et les conflits d’intérêt dans cette histoire. En revanche, j’essaie de mettre de la clarté. De rappeler aussi que la vie n’est pas confortable, mais que ça n’empêche pas de sourire ou d’être joyeux, au contraire ! Je veille aussi à porter un regard lucide sur la situation. Parce que si les médecins ne savent pas, qui saura ?! Beaucoup de médecins ont dit à propos de ce qui se passe : « Je ne me prononce pas, je ne sais pas. » Par exemple, sur l’hydroxychloroquine. Je leur disais : « Mais si toi, tu ne sais pas, qui saura ? C’est à toi de faire le travail, d’aller lire les études, de regarder ce qu’ont fait les généralistes ! » On a là typiquement un symptôme de la prolétarisation des médecins et des soignants : petit à petit, ils sont là pour faire respecter le protocole, mais ils n’ont plus aucune indépendance, plus aucune responsabilité.

Je reviens au début de la question : médiatiquement, on a beaucoup plus entendu ceux qui étaient là pour faire peur… Pourquoi, selon vous ?

Je crois qu’il y a des conflits d’intérêt très importants autour de cette épidémie. Il y a donc des « profiteurs de guerre ». Finalement, quand vous faites peur et que vous culpabilisez les gens, vous parvenez à prendre le pouvoir sur eux. [c’est le principe de Goering, exposé à Nüremberg, ma note] C’est d’ailleurs une des techniques des pervers narcissiques et des paranoïaques. Ce principe est aussi au cœur du terrorisme, où il s’agit de faire peur pour monopoliser l’attention sur un morceau de problématique extrêmement focal. Dans le cas de cette crise, les gens qui ont produit un message de peur sont soit ceux qui avaient peur eux-mêmes et ressentaient le besoin d’en parler (une grande partie, je crois), soit des pervers qui nous manipulent. Or, en général, on vous manipule pour deux raisons à travers l’histoire de l’humanité : le pouvoir ou l’argent. Comme disent les Américains, quand on ne comprend pas une situation : « Follow the money ! » [Karl Marx pourrait dire la même chose ! ma note]

En ce sens, vous dénoncez le rôle pervers des médias mainstream ?

Oui, parce que les médias servent d’intermédiation à la réalité. On leur a donné un pouvoir démesuré pour dire le réel à notre place, or ils ne disent pas le réel. Ces médias sont aux ordres de puissances d’argent. Chaque année, Le Monde Diplomatique publie à qui appartiennent les médias mainstream. En France, une quinzaine ou une vingtaine de familles, qui sont à la tête de multinationales, se partagent le gâteau des médias et s’en servent comme outil de « fabrication du consentement », dixit le linguiste Noam Chomsky (2). Nous sommes au cœur d’une fabrique du consentement extrêmement élaborée ; dans cette ingénierie sociale (3), elle-même au service du pouvoir politique, lui-même au service des pouvoirs économiques. [il a tout dit ! ma note] Ce n’est ni nouveau ni original ! Reportez-vous à La République de Platon : les esclaves sont enchaînés au fond de la grotte, tandis que les sophistes maintiennent des simulacres, des marionnettes devant le feu et font regarder des ombres sur le mur de la caverne aux esclaves. Chaque fois qu’un esclave veut tourner la tête vers la lumière et tenter de sortir, les sophistes mettent en place un nouveau petit théâtre d’ombre pour maintenir l’illusion. Pire, celui qui voudrait s’échapper et montrer la sortie serait aussitôt lapidé par ses congénères ! Parce que la vérité serait trop dangereuse ; elle viendrait sortir de ce confort-là. Dans cette crise sanitaire, on a donné la parole à ceux qui maintenaient dans l’illusion, dans la peur, le mensonge. Et, en effet, on a essayé de « lapider » ceux qui amenaient vers la vérité, parce que la vérité n’est pas confortable ! Elle vous fait voir toutes les noirceurs du système… qui sont aussi tous les petits arrangements avec le courage que chacun s’autorise. La paranoïa des grands de ce monde est la petite perversion et la paranoïa présentes à l’intérieur de nous. Toutes ces couardises, ces petites rétractations devant la responsabilité que nous avons laissé prospérer d’année en année, jusqu’à ce que le monstre soit tellement gros qu’il cherche à nous manger.

Comment développer une sagesse juste dans cette impasse-là ?

Le vrai sage, c’est celui qui a la mémoire ; il se souvient de ce qui s’est déjà passé dans l’histoire de l’humanité. L’Histoire ne se répète jamais mais elle bégaie toujours. La phase que nous traversons n’est qu’une phase. Et c’est ce qui peut rassurer vos lecteurs : ce déferlement totalitaire arrivera à son aporie, c’est-à-dire au bout de la discussion, quand celle-ci tourne en rond et n’arrive plus à produire quoi que ce soit. Donc, il s’auto-effondrera sur lui-même, car cet avenir techno-sanitariste mondialisé transhumaniste n’est pas désirable et n’est pas pérenne. Il correspond à une illusion.

Par rapport à la grippe classique, il semble que le covid s’accompagne plus souvent de micro-thromboses vasculaires et d’hypoxie heureuse. Pouvez-vous nous en dire plus ?

Il y a effectivement des spécificités dans cette infection, qui présente un tableau clinique particulier. Les gens qui pensent qu’il n’y aurait pas de virus se trompent. Il y a bien un virus et une maladie particulière liée à celui-ci : la covid-19. Elle se manifeste par une atteinte vasculaire, une sorte d’inflammation des capillaires, notamment au niveau pulmonaire. Ce qui aboutit à l’hypoxémie : une diminution de la quantité d’oxygène dans le sang ou des difficultés à faire passer l’oxygène depuis les poumons jusqu’au sang. Le gros de notre prise en charge est donc de donner de l’oxygène, beaucoup d’oxygène. Or, on pourrait l’administrer à la maison (en s’organisant avec la médecine de ville, les soins infirmiers à domicile), comme l’a d’ailleurs fait remarquer la Société de Pneumologie de Langue Française. Ce qui aurait freiné le remplissage des réanimations. On en vient à l’hypoxie heureuse ; c’est-à-dire que certains vont faire un premier épisode symptomatique, avec de la fièvre, éventuellement des courbatures et une anosmie (perte de l’odorat, du goût), puis pas grand-chose… Ils seront fatigués, et si on dosait l’oxygène dans leur sang, on trouverait qu’ils en ont très peu, mais on ne peut pas le voir cliniquement. Il faut utiliser une petite machine : un oxymètre de pouls ou un saturomètre qui permet, par une analyse infrarouge de la couleur du sang, de savoir s’il y a désaturation, baisse du taux d’oxygène dans le sang. Cet examen n’est pas compliqué, il ne coûte pas très cher et c’est ce qu’il faudrait proposer à ceux qui ont été symptomatiques, qui ont eu un test positif et présentent des facteurs de risque de développer des formes graves. En dessous d’un certain seuil (le chiffre va de 0 à 100 ; en-dessous de 95, ce n’est pas normal), il y aurait lieu d’aller à l’hôpital. Cela permettrait aux patients d’arriver au bon moment, avant d’atteindre une forme de gravité. Vous devez prendre soin des gens qui ont un diagnostic positif et des risques de faire des formes graves. Leur dire : « Rentrez chez vous, prenez du Doliprane, on se revoit quand vous serez mourant » est irresponsable ! Le traitement antiviral (hydroxychloroquine, Zithromax, Zinc) permet de diminuer la survenue de ces épisodes-là. Et dans la phase inflammatoire, une corticothérapie semble être une piste intéressante pour couper l’herbe sous le pied à l’orage cytokinique. Vous pouvez aussi mettre à disposition de l’oxygénothérapie à haut débit dans les EHPAD. Ce ne sont pas des techniques difficiles à mettre en place et elles sauvent des vies. Il a été démontré par l’IHU (l’Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuses de Marseille, dirigé par le Pr Raoult, ndlr) qu’en mettant en place de l’oxygénothérapie à haut débit dans des EHPAD, on diminuait de 30% la mortalité. Qui plus est sans avoir à passer par la réanimation. Bref, nous avons énormément de pistes efficaces, allopathiques ou qui travaillent sur l’immunité positive, les ressources intérieures ( NDLR : voir dossier sur ce thème dans le Néosanté de février prochain), qui permettent de faire que cette maladie soit relativement bénigne. Et qu’elle ressemble, effectivement, à une grippe, en terme de mortalité. Même si le tableau clinique, lui-même, ne ressemble pas à une grippe.

Vous avez cité ce terme que l’on a beaucoup entendu dernièrement : orage cytokinique. Qu’est-ce qu’il signifie ?

Le virus, c’est de l’information qui nous traverse. Et la réaction du corps à ce virus est ce fameux « orage cytokinique ». En d’autres termes, le dégoupillage de la grenade de l’inflammation qui était déjà là (notamment dans la graisse abdominale, pour ceux qui en ont). Il y a donc des gens qui sont dans un état pré-inflammatoire chronique : les hypertendus, obèses, diabétiques… Ou des gens qui prennent des médicaments qui inhibent leur réponse inflammatoire normale, favorisant ce « dégoupillage ». On sait aussi qu’il peut exister des phénomènes d’interactions virales. Qu’est-ce que ça veut dire ? On s’est posé la question de savoir pourquoi à Bergame, en Italie, lors de la première vague épidémique, il y avait eu tant de morts et davantage d’hyper-inflammation qu’ailleurs. Une hypothèse de plus en plus étudiée, même si elle n’est pas complètement avérée, est qu’ils auraient reçu une vaccination contre la méningite, puis une vaccination contre la grippe, puis là-dessus le SARS-CoV-2 est arrivé… Il semble que toutes ces informations contradictoires pour le système immunitaire aient déclenché cet orage cytokinique. C’est même une des lignes d’explication des quelques rares sujets jeunes qui ont fait des formes graves de covid, alors même qu’ils n’avaient aucun antécédent. Peut-être ont-ils eu des vaccinations ou des infections virales dans les semaines qui ont précédé leur infection à SARS-CoV-2 ? Ceci est un plaidoyer pour bien réfléchir à l’idée de vaccination antigrippale et anti Sars-CoV-2. Car elles pourraient provoquer un effet inverse à celui escompté…

On a entendu, à propos des personnes âgées, qu’on favorisait leur départ anticipé pour relâcher la pression hospitalière et faire de la place. Est-ce vrai ?

Il y a eu des directives dans ce sens faites dans les EHPAD, recommandant l’utilisation du Rivotril, une benzodiazépine anxiolytique qui, en même temps, est un dépresseur respiratoire – il induit de moins respirer, avec un deuxième effet qui est de faire arrêter de respirer. Donc, effectivement, c’est une molécule qu’on utilise en soins palliatifs pour une sédation terminale ou pour diminuer les souffrances d’un patient en détresse respiratoire. Ce qui est choquant, ce n’est pas tant l’utilisation de cette molécule (déjà utilisée), mais plutôt l’indication qui a été posée. C’est-à-dire que pour un patient âgé qui respire mal, on ne se soucie même pas de savoir ce qu’il a ; d’emblée, on lui administre du Rivotril. Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?!? Au contraire, ces gens doivent être soignés ; on peut donner de l’oxygène, de l’hydroxychloroquine, du Zithromax, du zinc, de la vitamine C, de la vitamine D, éventuellement du bleu de méthylène… Toutes les molécules proposées dans cette indication ne coûtent rien et ne sont pas compliquées. On peut aussi donner un antibiotique à large spectre qui couvre la plupart des difficultés respiratoires et des pneumonies qui surviennent chez les personnes âgées – c’est la norme en matière de traitement. Si c’est quelque chose qui est traitable, ça va marcher. En l’occurrence, ici, on a recommandé de ne rien faire… et pire que de ne rien faire, on a recommandé d’utiliser le Rivotril sans le consentement éclairé des patients, des familles. C’est extrêmement choquant ! Et ça correspond ni plus ni moins à des homicides qui seront passibles de procédures pénales quand le temps sera venu… Ceci a été réitéré lors de la deuxième épidémie, de manière encore plus choquante. À terme, il faudra regarder comment ont été instrumentalisés les soignants dans cette histoire. Ces derniers ont été en quelque sorte la main du bourreau, mais la décision du bourreau n’était pas la leur. Il faudra bien démêler l’écheveau des responsabilités, car certains soignants ont pensé bien faire. De même qu’on les met aujourd’hui dans cette clé de bras systémique, consistant à imposer la vaccination à des personnes âgées. Vaccination qui n’est ni avérée en matière d’efficacité ni renseignée en matière d’effets secondaires ! Vaccins dont les études de phase 3 ne sont même pas terminées. Avec un empressement coupable, on propose cette vaccination aux personnes âgées, avec un discours extrêmement cynique du pouvoir qui dit que, puisqu’elles sont âgées, cela servira de « ballon d’essai ». De cobayes. Ma recommandation à tous les gens qui peuvent lire cet entretien est d’aller voir directement les directeurs d’EHPAD où résident leurs (grands)parents, et de mettre un frein immédiat à ça. Vous devez refuser cette vaccination qui n’a aucun sens scientifique, aucun fondement épidémiologique et qui, pour le moment, est un dogme, ni plus ni moins, vendu par une propagande cynique et nauséabonde. Qui ne profitera qu’aux laboratoires pharmaceutiques.

En parlant de vaccin, plus largement sur la population planétaire, il semble que le virus mute ; par conséquent, la vaccination ne serait pas pérenne

En effet, et lorsque je soulève ce point, l’argument qui m’a été opposé, c’est que de toute façon on revaccinera tous les six mois. Est-ce que vous voulez vraiment vivre dans un monde où vous recevrez un vaccin tous les six mois ? Pour simplement avoir le droit de vivre, puisque c’est la clé de cette histoire de vaccination : au-delà de l’absence de preuves de bénéfices, au-delà de l’absence complète de preuves de l’innocuité (de toute évidence, ce ne sera pas sans effets secondaires ou indésirables), c’est la concaténation, la corrélation qui est faite entre le fait d’être vacciné et le fait d’avoir droit à l’accès aux droits sociaux. Il s’agit ni plus ni moins d’un hold-up, sous motif sanitaire, du contrat social. En l’occurrence, on vous enlèvera par exemple le droit d’aller skier, de prendre l’avion, d’aller à l’école… et on ne vous le redonnera que si vous êtes vacciné. Cela ne doit pas avoir lieu pour aucune vaccination que ce soit, et encore moins pour celle qui est proposée aujourd’hui ! Les libertés fondamentales ne sont pas respectées.

Comment résister dans ce climat délétère ?

La résistance, pour moi, c’est l’idée de se relier, de s’accrocher les uns aux autres, de se serrer les coudes pour tenir. Il ne s’agit même pas de renverser le pouvoir, mais simplement de s’accrocher à des éléments de bon sens, de bonnes grosses prises : la paix, la joie, la liberté, l’amour… L’image qui me porte, c’est celle d’une symphonie ou d’un opéra. Lors du final, il y a cette apothéose où les chœurs reprennent toutes les parties du morceau, alors que les cymbales battent à toute volée, quasi jusqu’à la cacophonie. Vous avez cette petite flûte traversière qui tient les sept notes fondamentales du morceau, alors même que vous ne l’entendez plus. Soudain, le chef d’orchestre lève les bras… l’apothéose retombe… laisse place au silence… et la flûte traversière reprend les sept notes une dernière fois. Pour moi, c’est ça la résistance ! Il s’agit de traverser l’effondrement, le déferlement totalitaire, d’être « poncé » au passage par ces vents forts, ces grêlons, qui viennent révéler notre quintessence, le meilleur de nous-même. Pour que le joyau puisse enfin apparaître dans sa plus belle brillance, la plus simple, la plus nue.

Quelle est alors votre vision de l’après-covid, et plus globalement de l’avenir ?

J’ai vraiment l’impression que le grand arbre est en train de s’effondrer une fois pour toutes. Nous sommes au bout de cette crise itérative. Cette fois, elle est tellement manifeste que si l’on ne veut pas la voir, c’est que l’on veut s’aveugler. Or, quand l’arbre s’effondre, il ouvre un chablis dans la forêt. Il y a alors de la lumière pour toutes les petites pousses qui étaient déjà là. En l’occurrence, la permaculture, l’éco-construction, l’habitat partagé, la monnaie libre, une autre vision de l’éducation centrée sur l’enfant (non pour en faire un rouage de la société), du travail et de l’artisanat, une relocalisation de l’économie, etc. Tout est déjà là, il faut juste attendre que le grand arbre s’effondre. Et il est en train de s’effondrer, donc tout va bien. Mais il y a encore du travail ! Il va (nous) falloir du courage. Et le courage, étymologiquement et concrètement, vient du cœur. Ces temps obscurs sont aussi une invitation à l’héroïsme. Ici, il est donné à tout le monde d’être un héros. Il n’y aura ni sauveur, ni messie. Il n’y a que le choix d’une vie héroïque qui s’attache à se mettre en lien avec les autres, reliés ensemble à des valeurs fondamentales, qui puisse être une voie de sortie, de survie, dans ce déferlement totalitaire.

Propos recueillis par Carine Anselme

 

 Fouché Président !

08/03/2024

si demain le peuple de tous ceux qui ne votent pas se met à voter, la face de la France va changer

alors, compris ?

(et comme dit Lalanne à la fin "faire que ces criminels se retrouvent derrière les barreaux")

28/02/2024

la culture de base

11/9/2020 je regrette mais dans les années 50 la culture de base ça comprenait toutes les choses que tout le monde entendait régulièrement à la radio, Non seulement Rhinocéros mais Turcaret ça faisait partie de la culture courante (pas du tout celle des amateurs de littérature ni des universitaires, celle de la vie commune !), Intermezzo, Ondine, le Docteur Knock, mais aussi Topaze, Volpone, Ciboulette, le théatre de Musset, La Reine Morte, tout Molière bien sûr ! et les meilleures pièces de Labiche ou de Courteline.

(et bien sûr, car on était modernes ! le tcha-tcha-tcha et "où sont passées mes pantoufles" ! et "elle était trop grosse pour son bikini, trop grosse")

30/01/2024

LE FASCISME EST IMPOSÉ PAR LA POPULATION QUI CONSENT AU FASCISME !

ça a aussi été le cas en Allemagne,souvenez-vous du vote du Centrum pour les pleins pouvoirs !)

à Trafalgar Square le 26 septembre 2020 :

ET L'ESPRIT DE CET ENDROIT DOIT BALAYER LE MONDE ENTIER !

"le respect de soi est ce qui a brisé toutes les tyrannies durant l'histoire de l'humanité" (cf le magnifique texte de Mohamed Tahiri, ici : http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2022/02/08/moh...)

PUISSANT DISCOURS DE DAVID ICKE
À BIRMINGHAM SAMEDI 31 OCTOBRE (la veille de la Toussaint, qui est la fête de la Communion des Saints je le rappelle) 2020 À 13 HEURES.
https://vol370.blogspot.com/2020/11/0211-puissant-dis..

4 heures avant l'annonce par Boris Johnson du second confinement en Angleterre:
https://brandnewtube.com/watch/david-icke-birmingham-..

« Abordons directement ce satané sujet !
La pandémie du virus sars cov 2 est une monumentale et gigantesque fausse alerte, arnaque et imposture ! Et nous devons arrêter de coopérer avec le fascisme qui est imposé en son nom !
Mais vous savez nous devons remercier ce virus pour une chose : et c'est le fait que chaque jour, de plus en plus d'êtres humains prennent conscience de la véritable nature de la vie sur Terre. Ils se rendent compte de ce que le monde est très différent de celui dans lequel ils croyaient vivre, et que les forces qui le dirigent sont très différentes de celles qu'ils croyaient être pouvoir ! Et ce que nous voyons, c'est l'émergence d'une nouvelle perception de cette réalité humaine qui a perduré pendant si longtemps sous le radar, générations après générations, mais une réalité qui, aujourd'hui, est entrée dans la pièce et que nous pouvons voir et dont nous pouvons enfin nous occuper réellement !
L'esprit humain se réveille dans le monde entier. Il se réveille de son sommeil profond ! En Angleterre, en Irlande, en Allemagne, en Espagne, Italie, et en Europe, au Canada, aux Etats-Unis, au Brésil et face au fascisme en Australie. Et nous envoyons notre amour et notre soutien de ce Victoria Square ici à Birmingham en Angleterre, à tous ceux qui ont dû vivre écrasés sous la botte dans la province de Victoria, en Australie. Nous sommes UN !
Ne soyez pas découragés mes amis car nous venons tout juste de commencer.
Il n'y a aucune raison d'être découragé malgré l'obscurité des jours que nous vivons.
Au lieu de cela nous devrions utiliser cette obscurité pour nous inspirer une plus grande détermination à la balayer complètement !
LES FASCISTES N'IMPOSENT PAS LE FASCISME, ILS NE SONT PAS ASSEZ NOMBREUX.
LE FASCISME EST IMPOSÉ PAR LA POPULATION QUI CONSENT AU FASCISME !
Et ce à quoi nous assistons c'est juste l'histoire qui se répète mais à une échelle mondiale.
Mais ici devant nous est LA mentalité, L'ESTIME DE SOI qui dans toute l'histoire a toujours mis fin à la tyrannie : l'estime de soi qui dit : « NON ! JE NE VAIS PAS OBÉIR NI COOPÉRER AVEC MA PROPRE MISE EN ESCLAVAGE ».
Et aussi sombres que ces jours puissent paraître, nous allons, finalement, avec cette mentalité, avec cette colonne vertébrale, avec cette estime de soi, nous allons voir disparaître, nous allons faire partir cette tyrannie actuelle, comme cette mentalité a fait disparaître toutes les tyrannies précédentes !
Et nous devons simplement comprendre, pour ceux qui découvrent ceci, et pour ceux qui regardent cela sur internet et qui ne sont pas là aujourd'hui, enfin, ceux qui pourront le voir jusqu'à ce que les algorithmes fascistes de Youtube et Facebook le fasse disparaître.
En tous cas, ceux qui découvrent ceci doivent prendre conscience de TROIS choses : le QUI, le POURQUOI et le COMMENT.

Le QUI : depuis 30 ans j'ai démasqué une secte mondiale de sociétés secrètes et de groupes capitalistes, qui ont un plan à long terme pour atteindre subrepticement l'asservissement de l'humanité. Cette secte opère dans tous les pays et c'est de cette façon que cette fausse pandémie a été mise en place dans le monde entier, où chaque pays, l'un après l'autre impose les MÊMES obligations et contrôles fascistes.

Le POURQUOI : j'ai dénoncé pendant des décennies ce que j'appelle la société des Hunger Games (NdT. : roman et film décrivant une dictature dirigée par le Président Coriolanus Snow (anagramme de coronavirus ?) où des jeux de survie chaque année permettent à 2 vainqueurs de devenir riches et adulés, donnant l'espoir aux autres...) et en connaissant cela, tout ce qui se passe aujourd'hui devient clair comme de l'eau de roche et simple à voir. La société des Hunger Games est une société pyramidale avec un tout petit nombre en haut qui est le noyau de la secte, qu'on appellera le 1%, et le bas de la pyramide est en gros tout le reste de l'humanité, dans la servitude, sous contrôle et dont la survie dépend du 1% en haut. Et entre les deux, un Etat sans pitié, pas seulement policier, mais militaro-policier, pour imposer la volonté du 1% sur la population et pour empêcher que le 1% soit remis en cause par la population.
Alors prenez cette structure et appliquez-la aux événements actuels. Quel est le résultat final absolu de la mise en place de cette dépendance de masse de la population vis-à-vis du 1% ? C'est pour détruire les moyens d'existence, les entreprises et les emplois indépendants de toute la population.
Et telle est la raison pour laquelle nous avons eu le confinement ! 
Pas de protéger la santé, mais pour détruire les moyens d'existence de la population.
Donc je dis aux entreprises, et à ceux qui travaillent avec eux au moment où il semble que nous allons faire face à un autre confinement. Ceci est fait, ce second confinement, pour détruire les petites entreprises indépendantes qui ont tenu jusqu'à présent. Si vous laissez faire cela, ils vont vous détruire. C'est le moment de dire ; « NON ! NOUS NE FERMONS PAS ! NOUS N'OBEIRONS PAS ! »

Et ensuite, il y a le COMMENT :
Eh bien, pour « le comment », à un niveau, vous avez ce réseau qui a créé l'Organisation Mondiale de la Santé et ses recommandations faites unilatéralement et ensuite imposées par les gouvernements dans le monde entier. Donc ça c'est comment c'est mis en place, à un niveau.

Mais connaissez-vous le plus gros « comment » de tous ?
J'entends les gens dire : « n'est-ce pas incroyable la rapidité avec laquelle cette société a été transformée entre ce qu'elle était en février et ce qu'elle est à présent ? »
Eh bien il y a quelque chose d'autre qui est arrivé très vite : quelque chose qui a été exactement à la même vitesse que la transformation de la société et c'est la vitesse du consentement humain aux obligations imposées par les psychopathes.
LA LIBERTE OU LE FASCISME EST UN CHOIX !
C'EST UN CHOIX QUE NOUS AVONS LE POUVOIR DE FAIRE.
ET NOUS CHOISISSONS LA LIBERTE.
(la foule scande LIBERTE...)
Et moi, je ne veux pas me dissimuler le cauchemar, l'horreur, que ces psychopathes, que ces pures expressions non diluées du mal, veulent imposer à l'humanité.
Le plan a toujours été de commencer cela au printemps 2020, et ensuite de le développer et de le rendre plus extrême pendant l'hiver 2020-2021 et de continuer cela en 2022 pour écraser la population humaine dans la soumission.
Et nous ne devons pas sous-estimer les conséquences. Les conséquences de cela, pour la famille humaine vont au-delà de toute description ! Et plus que tout je dis aux gens : « SI VOUS NE POUVEZ PAS AVOIR LE COURAGE DE VOUS LEVER POUR VOUS-MÊME, ALORS MON DIEU LEVONS-NOUS POUR LES GAMINS, LES ENFANTS ET LES JEUNES.
SI LES GENS TROUVENT QUE ÇA VA MAL AUJOURD'HUI, COMMENT CROYEZ-VOUS QUE ÇA VA ALLER POUR EUX ? »

Et voilà : nous sommes des milliards de personnes à rester à ne rien faire, pendant que le futur de nos enfants et de nos jeunes est volé et détruit par un noyau constitué d'une poignée de psychopathes.

Je crois que j'ai un moyen d'en sortir !
Et tellement d'enfants et de jeunes se sont suicidés par désespoir pendant ces mois de confinement et d'isolation.
Mais je dis à ces jeunes : « NE LAISSEZ PAS CES BATARDS VOUS DÉCOURAGER !
NE PRENEZ PAS VOTRE VIE ! ATTRAPEZ-LA, VIVEZ-LA ET REJOIGNEZ-NOUS DANS L'ELIMINATION DU CONTRÔLE DES PSYCHOPATHES POUR QUE VOUS PUISSIEZ AVOIR LE FUTUR QUE VOUS VOULEZ VOIR »
Nous ne voulons pas retourner à l'ancienne vie normale où les psychopathes avaient le pouvoir dans l'ombre !
Nous voulons NOTRE nouvelle vie normale ! (foule dit oui)
C'est à dire la disparition de la tyrannie des réseaux psychopathes une fois pour toutes !

Et je propose une façon simple de mettre fin à cette pandémie bidon immédiatement :

1/ ARRÊTEZ DE VOUS FAIRE TESTER POUR UN VIRUS AVEC UN TEST QUI NE TESTE PAS CE PRETENDU VIRUS ! Arrêtez de vous faire tester ! C'est un piège ! C'est un piège pour créer de faux cas par lesquels le fascisme peut ensuite être justifié de plus fort ! Un test dont l'inventeur a dit qu'il ne peut pas diagnostiquer des maladies infectieuses est utilisé pour diagnostiquer une maladie infectieuse.

Et 2/ et je dis cela pour les médecins et les professionnels de santé : ARRÊTEZ DE FAIRE DES FAUX CERTIFICATS DE DÉCÈS pour faire avoir des subvenitons à vos hopitaux ! Je connais les pressions que vous avez de la hiérarchie. Mais si vous faites de faux certificats de décès pour créer une situation où les gens ont l'air de mourir d'un virus alors qu'ils meurent d'autres causes,

https://covidinfos.net/covid19/on-les-comptabilise-comme-morts-du-covid-mais-ces-patients-ne-sont-pas-morts-du-covid-explique-le-docteur-laurent-montesino/2619/

VOUS vous rendez des COMPLICES du FASCISME et vous devez en prendre conscience !

3/ Et à présent nous voilà dans une situation où des milliards de personnes, tout d'un coup, des centaines de millions de personnes se promènent en portant une saleté de couche-culotte sur le visage ! Regardez-bien cette saleté ! Car c'est un symbole de soumission et d'oppression. Et cela a été utilisé dans ce but pendant toute l'histoire notamment pendant la traite des esclaves ! Mais cela (le masque) peut aussi être un symbole de liberté, lorsque nous, la population humaine, nous disons :
« C'EST TERMINE ! » (et il jette le masque ; la foule applaudit)
METTEZ L'OPPRESSION À LA POUBELLE ET ESSAYEZ LA LIBERTÉ !
(la foule crie Liberté)
Pour gagner, les psychopathes doivent diviser pour régner car ils n'ont pas le choix : ils ne sont pas assez nombreux. Et donc l'antidote à cela est de nous réunir tous ensemble : toutes races, couleurs, espèces, âges, sexualités, de nous réunir et de faire tomber les lignes de fracture de la division. NOUS RÉUNIR COMME UNE SEULE FAMILLE HUMAINE, UN SEUL CŒUR, UN SEUL BUT : LA LIBERTE !

Ceci n'est que le début ! Et nous serons là pour voir la fin !
Merci Birmingham ! Je vous aime ! »

"curfew = nazification"

il n'y a là aucune exagération, le mode de pensée nazie est bel et bien de retour, voire pire, écoutez ce qui se dit :

et là aussi, pour le plus grand profit de IG Farben,pardon de Pfitzer et ses actionnaires.

Comme je disais dans un précédent billet il faut bien être conscient qu'il y a depuis le milieu du XIXè siècle une tendance lourde au nazisme en Occident, ses accès majeurs ont été sur notre sol  dans les années 20 et 30, puis maintenant !

à force de baisser la garde la pensée humaniste, socialiste, de gauche, et de lutte de classe a laissé la place à son exact inverse, le satanisme immoral et inhumain et totalement pervers. Voilà où ça mène ! 

et si tous les bus français ne sont plus que des bétaillères et les français des gueules de Rhinocéros, comme dans IONESCO, qui se révèle avoir été un prophète (de même que Jules romains quand il a écrit le Dr Knock, et Orwell quand il a écrit 1984, et Churchill après la 2è guerre mondiale quand il a dit "ceux qui ne veulent pas tirer les leçons de l'histoire seront condamnés à la revivre" c'est parce que les français de maintenant ne SONT PLUS des Résistants, mais des collabos pétainistes ! A vomir ! - désormais  je les fuis comme la peste, et avec un mépris profond.

LA FAMILE ACKERMANN vous connaissez ?


on en est arrivé là ! c'est exact, il nous faut un De Gaulle, et des Jean Moulin,de des millions de résistants  par la bande, clandestins, qui feront de la résistance passive, de la clandestinité et de la solidarité dans leurs coins, qui feront semblant d'être cons, pour mieux tromper les SS (etne  pas oublier de faire le tri et de pratiquer le plus profond mépris  et  de boycotter les médecins qui n'en sont pas et auront fait la preuve de leur indignité !! pour tous ceux qui obéissent et se font ainsi les fourriers du fasicme - ceux qui acceptent les cookies par exemple !! et tout le quifait le TOTALITARISME CAPITALISTE !


Comme j'ai déjà dit et redit mille fois sur cette page même !!!!!!!! c'est "copié/collé sur le régime de Vichy"  c'est en mars que les français auraient du réagir et s'opposer  mais ils étaient tétanisés lissez Naomi  Klein la Stratégie du Choc, c'est une stratégie concoctée scientifiquement par nos maîtres, et étudiés savamment parles"diplômés de l'université !!!!

Et je croisque les Ackemann ont raison, la flicaille n'a aucune trace de morale, ni de dignité,  et n'en ont rien à foutre des gens, (comme en 40 ils le feront sans aucun état d'âme (voir vidéo ci-dessus à 13 minutes) et l'armée non plus, je sais bien que dans certains pays on a vu l'armée faire des coups d'Etat en faveur du peuple,mais pas en France, faut pas espérer : on n'est pas au Vénézuéla, ni en Lybie, ni En Egypte (Nasser) ni en Syrie, en France vous verrez plutôt  Pétain, Boulanger ou Gallifet !

et n'oubliez pas :


(en effet ! par exemple toujours l'imposition du salut "Heil Hitler !", si les allemands n'avaient pas obéi, Hitler serait resté comme deux ronds de flancs, ils n'auraient pas eu assez de SS pour en mettre un policier derrière chaque allemand ! Mais les allemands ont OBEI, et ils se sont surveillés les uns les autres et chacun a eu peur du regard des autres "oh ! qu'est-ce qu'il va penser, ? que je ne suis pas un bon "citoyen" ! que je ne suis pas solidaire ! il va me dénoncer !" Et voilà ! Pareil pour le masque à Macron qui transforme les français en Rhinocéros, dans tous les sens du terme !)

LE FASCISME EST IMPOSÉ PAR LA POPULATION QUI CONSENT AU FASCISME ! 

31/10/2023

Je ne pense jamais, je suis bien trop intelligent pour ça

Une des scènes les plus connues, et les plus profondes du théatre français, CALIGULA et HELICON :

 

HÉLICON, d’un bout de la scène à l’autre. — Bonjour, Caïus.

CALIGULA, avec naturel. — Bonjour, Hélicon. Silence.

HÉLICON. — Tu sembles fatigué ?

CALIGULA. — J’ai beaucoup marché.

HÉLICON. — Oui, ton absence a duré longtemps.

Silence.

CALIGULA. — C’était difficile à trouver.

HÉLICON. — Quoi donc ?

CALIGULA. — Ce que je voulais.

HÉLICON. — Et que voulais-tu ?

CALIGULA, toujours naturel. — La lune.

HÉLICON. — Quoi ?

CALIGULA. — Oui, je voulais la lune.

HÉLICON. — Ah ! (Silence. Hélicon se rapproche.) Et pour quoi faire ?

CALIGULA. — Eh bien !… C’est une des choses que je n’ai pas.

HÉLICON. — Bien sûr. Et maintenant, tout est arrangé ?

CALIGULA. — Non, je n’ai pas pu l’avoir.

HÉLICON. — C’est ennuyeux.

CALIGULA. — Oui, c’est pour cela que je suis fatigué. (Un temps.) Hélicon !

HÉLICON. — Oui, Caïus.

CALIGULA. — Tu penses que je suis fou.

HÉLICON. — Tu sais bien que je ne pense jamais. Je suis bien trop intelligent pour ça.

CALIGULA. — Oui. Enfin ! Mais je ne suis pas fou et même je n’ai jamais été aussi raisonnable. Simplement, je me suis senti tout d’un coup un besoin d’impossible. (Un temps.) Les choses, telles qu’elles sont, ne me semblent pas satisfaisantes.

HÉLICON. — C’est une opinion assez répandue.

CALIGULA. — Il est vrai. Mais je ne le savais pas auparavant. Maintenant, je sais. (Toujours naturel.) Ce monde, tel qu’il est fait, n’est pas supportable. J’ai donc besoin de la lune, ou du bonheur, ou de l’immortalité, de quelque chose qui soit dément peut-être, mais qui ne soit pas de ce monde.

HÉLICON. — C’est un raisonnement qui se tient. Mais, en général, on ne peut pas le tenir jusqu’au bout.

CALIGULA, se levant, mais avec la même simplicité. — Tu n’en sais rien. C’est parce qu’on ne le tient jamais jusqu’au bout que rien n’est obtenu. Mais il suffit peut-être de rester logique jusqu’à la fin. (Il regarde Hélicon.) Je sais aussi ce que tu penses. Que d’histoires pour la mort d’une femme ! Non, ce n’est pas cela. Je crois me souvenir, il est vrai, qu’il y a quelques jours, une femme que j’aimais est morte. Mais qu’est-ce que l’amour ? Peu de chose. Cette mort n’est rien, je te le jure ; elle est seulement le signe d’une vérité qui me rend la lune nécessaire. C’est une vérité toute simple et toute claire, un peu bête, mais difficile à découvrir et lourde à porter.

HÉLICON. — Et qu’est-ce donc que cette vérité, Caïus ?

CALIGULA, détourné, sur un ton neutre. — Les hommes meurent et ils ne sont pas heureux.

HÉLICON, après un temps. — Allons, Caïus, c’est une vérité dont on s’arrange très bien. Regarde autour de toi. Ce n’est pas cela qui les empêche de déjeuner.

CALIGULA, avec un éclat soudain. — Alors, c’est que tout, autour de moi, est mensonge, et moi, je veux qu’on vive dans la vérité ! Et justement, j’ai les moyens de les faire vivre dans la vérité. Car je sais ce qui leur manque, Hélicon. Ils sont privés de la connaissance et il leur manque un professeur qui sache ce dont il parle.

HÉLICON. — Ne t’offense pas, Caïus, de ce que je vais te dire. Mais tu devrais d’abord te reposer.

CALIGULA, s’asseyant et avec douceur. — Cela n’est pas possible, Hélicon, cela ne sera plus jamais possible.

HÉLICON. — Et pourquoi donc ?

CALIGULA. — Si je dors, qui me donnera la lune ?

HÉLICON, après un silence. — Cela est vrai.

Caligula se lève avec un effort visible.

CALIGULA. — Ecoute, Hélicon. J’entends des pas et des bruits de voix. Garde le silence et oublie que tu viens de me voir.

HÉLICON. — J’ai compris.

Caligula se dirige vers la sortie. Il se retourne. 

CALIGULA. — Et s’il te plaît, aide-moi désormais.

HÉLICON. — Je n’ai pas de raison de ne pas le faire, Caïus, mais je sais peu de choses, et peu de choses m’intéressent. En quoi donc puis-je t’aider ?

CALIGULA. — A l’impossible.

HÉLICON. — Je ferai pour le mieux.

02/10/2023

éjà sortir de l'OMS s'impose ! pour tous les Etats !!!

(C'est la condition sine qua non de la survie de la CIVILISATION, et de l'humanité)

https://reseauinternational.net/complot-americain-a-lonu-il-est-temps-pour-la-russie-et-la-chine-de-jouer-la-carte-de-la-securite/