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19/05/2023

pour Page Gaulliste de Réinformation - Anne

Lettre de Florian Philippot (le seul politicien de gauche qui reste actuellement : nationalisation du secteur bancaire, RIC, rétablissement de  l'Etat de Droit des Services Publics et des libertés publiques)

L’oligarchie et le peuple vivent dans deux mondes de plus en plus séparés. L’écart se creuse chaque jour ! Signe que nous approchons de ce moment salutaire où la rupture se fera avec l’ordre oligarchique qui nous opprime et nous barre l’horizon ! Voyez comme les médecins de plateau TV et les macronistes crachent leur venin contre les suspendus de retour au travail, sur toutes les ondes, matin, midi et soir. Au même moment, un sondage Ifop révèle que l’écrasante majorité des Français (79%) soutiennent, eux, la réintégration des suspendus ! Décalage incroyable !
(ce qui donne raison à Etienne Chouard, et montre bien que l'élection de "représentants" entre des candidats que les forces de la finance peut aider n'est pas démocratique. Si on avait une Assemblée tirée au sort, comme il le préconise, on aurait eu 79% de députés soutenant la réintégration, et opposée à la réforme des retraites, etc, etc, écoutez Chouard et rejoignez-le)

Même chose sur l’Ukraine : Macron a reçu Zelensky, lui a donné armes, chars et argent, alors qu’en face nous Français voulons la Paix, pas la guerre perpétuelle de l’OTAN, et avons des urgences, à commencer par notre survie et celle de nos enfants face à une inflation qui dévore tout !

Soyons convaincus que cette coupure complète avec le peuple et ses aspirations est le signe évident d’une fin de règne ! D’un régime mourant ! Son agonie l’amène à se raidir. Dimanche dernier fut un jour noir pour les libertés : le préfet de police a tenté d’interdire quasiment toutes les manifestations organisées à Paris, du jamais vu ! Heureusement, la justice a cassé bon nombre d’interdictions de manifester. Cette fuite en avant tyrannique, qui s’exerce aussi contre la liberté d’expression, montre que là-haut, ils perdent la tête et leur sang-froid ! Dans le même registre, les macronistes font tout pour empêcher le vote le 8 juin d’une proposition de loi du groupe LIOT visant à abroger la réforme des retraites. Leur objectif : imposer une réforme exigée par l’Union européenne !
En sortant de l’Union européenne et de toutes les instances mondialistes, nous mettrons à terre ce Système, et nous aurons les moyens de reprendre le contrôle, de choisir notre destin, le nôtre et celui des générations futures !

Forts et unis, on gagne ! Un grand bravo à ceux d’entre vous qui vont dès maintenant rejoindre Les Patriotes ou reprendre leur adhésion annuelle ou faire un don de soutien au mouvement (pour tout cela, voir les liens en fin de mail). Nous n’avons pas reçu un seul euro d’aide publique et les actions que nous organisons partout sont très coûteuses, surtout avec l’inflation ! Les adhésions, réadhésions et dons sont défiscalisés aux 2/3 : profitez-en ! Bravo pour vos soutiens vitaux pour la cause !

J’ai évoqué plus haut notre nécessaire libération ; celle-ci viendra de la vérité ! Et cette vérité, Les Patriotes veulent la voir éclater au sujet des effets secondaires des injections covid ! Alors que ce débat est vif dans d’autres pays, comme l’Allemagne, il y a une chape de plomb en France. Nous allons faire sauter cette omerta. Par 1000 actions. Par la rigueur de la vérité. Et parmi ces actions fortes, notez la première grande manif nationale dédiée aux effets secondaires le samedi 27 mai, rdv à Paris à 14h Port Royal. Des « pointures » seront là !

Nous vivons des moments historiques, chacun le sent. Le petit spectacle désolant des « oppositions » au Parlement ne doit pas nous déprimer. Nous savons que la Résistance se fait largement ailleurs, et qu’elle sera victorieuse si elle agit dans le rassemblement, l’intelligence, la ténacité, l’honnêteté, et plus que tout, sans faux-semblants : dans la vérité !
Le combat est dur mais il est si vital, si juste et si beau ! Bienvenue à tous ! 

 

Page Gaulliste de réinformation aurait du faire comme ce Monsieur plusieurs sites en miroir, et surtout pas chez Wordpress, qui visiblement fait partie des GAFAMS !!

dommage que réseau international soit un site de merde à fuir pour tout ordinateur !!!

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17/05/2023

ce que sont devenus les centre-villes

Dans les centre-villes de maintenant il n’y a plus rien, RIEN !

Plus d’églises (toutes fermées en permanence), plus de bureaux, plus de services publics, plus d’écoles, ni de lycées, plus de magasins, (comment les gens iraient-ils faire leur courses dans le centre-ville où maintenant il est impossible de stationner et même de circuler ?! seulement dans les toute-petites villes de 3.000-5.000 habitants maxi c’est encore comme ça), plus de cafés (à part qq cafés chics très chers pour une clientèle « branchée »), plus de restaurants, plus de bancs publics, plus de badauds, seulement des flics, plus d’habitants, seulement des « résidences » de grand luxe, de mini-appartements très chers - sous digicode ! - où les « habitants » n’ont même pas le droit de planter un clou ni d’afficher quelque chose sur les murs ni de faire entrer un meuble (trop petits), de purs décors  pour l’ »industrie du tourisme » et du « patrimoine », des ghettos pour touristes en cars (pas pour touristes individuels puisqu’il n’est plus possible d’y circuler).

Et comme dit l'association   "Ligue de défense des conducteurs" :
"Les centres-villes où les voitures ont été bannies sont entrain de mourir à petit feu, avec 10 à 15% de vitrines vides en moyenne !"

Les marchands sur le marché de ***** ne vont plus pouvoir avoir aucun client, à part les quelques bourgeois des nouveaux appartements de grand luxe digicodés du centre-ville, les enseignants insociables et friqués qui vont à ATTAC parce qu'ils veulent se faire passer pour des socialistes et des anarchistes.      

 

encore pire !

du 24 au 27 octobre 2017 : Il a fallu 6 ans, six années pleine pour que la presse locale finisse par aborder le sujet des boutiques vides. Et encore, pas forcément sous l'angle auquel vous êtes habitués ici. Voici ce que nous apprend MaCommune.info sur la ville de Besançon:

"Les cellules vides" (notez bien l'usage du mot "cellule" et pas "boutiques",  "du centre-ville de Besançon vont bientôt se faire une beauté" (wouaa quelle bonne nouvelle...) "Le 27 octobre 2017, les vitrines vides seront habillées pour mieux se vendre lors de l’inauguration du "pôle" (sic !) dédié aux Industries culturelles et "créatives " ouvert au 52 rue Battant. C'est une idée collective qui est partie de la CCI du Doubs, de l'Union des commerçants, de l'Office du commerce, du Grand Besançon et de la ville afin de "redynamiser le centre-ville", nous précise-t-on. Les propriétaires de cellules commerciales vacantes habilleront ces dernières s'ils le souhaitent pour les rendre plus esthétiques. Une première série de 10 vitrines seront inaugurées le 27 octobre dans la rue Battant et sur la place Saint Pierre avec des visuels originaux déclinés sur deux principes : une valorisation de la vitrine en vue de la recommercialisation du local vacant, un visuel patrimonial ou de promotion commerciale ou touristique, si le local n’a pas vocation à être reloué rapidement pour cause de travaux par exemple".

Ci-dessous, Blois et Noisy merci à nos lecteurs qui ont fait ses clichés avec leur téléphone...

 

blois commerces vides

noisy commerces vides

remarquez l'invasion obsédante de la langue anglaise en FRANCE !!!!

Du côté de la ville de Pau, Mr Rohrbacher nous signale un article sur les "cellules" du centre ville dans le quotidien régional La République des Pyrénées avec des chiffres intéressants qui sont en CONTRADICTION TOTALE avec ce que vous avez pu lire dans le Figaro par exemple qui parlait de 10 ou 11%...

La réalité est bien plus cruelle: "où sur 1000 locaux, 300 sont vacants sur toute la ville, soit 30% !", lire ici la RdesP. Une évidence, la situation n'est pas prête de s'améliorer. Revue de Presse par Pierre Jovanovic

 

les vidéos sur ce sujet se multiplient partout !  regardez sur le côté :
https://www.youtube.com/watch?v=wnbpTeKvg90
partout les centre-villes meurent,
forcément !
avec les politiques actuelles il n'est plus possible d'y mettre les pieds alors les gens n'y vont plus, n'essaient même plus d'y aller, trop dur, et voilà. Moi non plus je ne mets plus les pieds en ville d'Arras maintenant. Et pour tout je commande et me fais livrer par la poste.
Et ce ne sont pas que magasins qui disparaissent, ils déménagent toutes les administrations, tous les établissements scolaires, ils ferment les églises, ils font fermer tous les cafés, qu'est-ce qui pourrai attirer les gens en ville ?! à part les touristes en car ! ou qui ont du temps à perdre, mais les touristes qui ont du temps à perdre aussi vont ailleurs, sauf quand ils sont en voyage organisé !

16/05/2023

rappelez-moi:c'est quoi le B A ba de la MORALE et de la Civilisation ? C'est quoi la définition d'un meutre (le pire des crimes non ? celui qui ne mérite aucune indulgence !) c'est à quoi qu'on reconnaissait les SS ? et autres régimes criminels ? ?

Ps un dernier point à force de nous étouffer avec leurs contrôles routiers des millions de français n’ont plus le permis ainsi de la bouche même d’un gendarme ce sont 25 000 délits de fuite chaque année.
Il y a quelques mois une jeune femme de 38 ans qui voulait se « soustraire » à un contrôle routier et ne pas s’y « soumettre » (selon le terme de la source un média mainstream) a été tout simplement abattue dans le dos par un gendarme. Il a été relaxé et même félicité car cette jeune femme dans sa fuite aurait pu tuer quelqu’un. Ce flic au regard de son entourage à sauvé des vies en tuant cette femme en fuite dans le dos. ....
Amis internautes faites gaffe : si l’idée vous vient de vous défiler discrètement d’un contrôle routier aujourd’hui vous risquez d’en crever, abattu dans le dos par les flics.

et rappelez-moi c'est quoi le devoir d'un journaliste ? rapporter ce qui se passe ! or les médias des 9 milliardaires ont eu comme instruction de ne même pas annoncer ça ..... https://truthcomestolight.com/anti-lockdown-protesters-ta...

15/05/2023

rue Noël Trannin

Mercredi 15 mai 2013 me revoici dans cette maison (4, rue noël Trannin) qui fut la mienne, et où j'ai eu tant de souvenirs, que comme tous les autres souvenirs, je n'ai même plus le temps, la force, la capacité, quoi ? De me remémorer. Il s'en est passé des choses dans cette maison ! … C'était là que ce soir où Isabelle était restée avec moi l'après-midi, en faisant croire à ses parents qu'elle travaillait, attendait maintenant, vers les cinq heures, avec une impatience et une inquiétude non dissimulée que sa copine arrive pour la prendre. C'était devant cette porte où on a pris une photo avec Claude et Isa, une photo de papa, de laquelle je voyais arriver Denise dans sa vaste jupe-culotte, avec sa bouille ronde et un grand sourire, où aussi on était assis avec Claude durant le déménagement de 1989 qui disait « je la regretterai cette petite maison », et que j'ai répondu « moi aussi », surtout que je sentais déjà de l'étouffement avec Denise, n'est-ce pas. Et c'est dans cette pièce un soir que Denise a fait avouer à Claude qu'il avait le SIDA, et c'est là où un des premiers soirs ensemble que je lui avait montré le programme Eliza d'ordinateur simulant un psychanalyste, et qu'il avait fini par couper court, quand il s'est mis à parler d'une souffrance à propos de je ne savais pas encore pourquoi (les conséquences de son sida en fait), ou quand j'ai joué le prélude n° 15 de Chopin et qu'il a dit « tu joues avec passion » ou qq comme ça. Ou tous les soirs quand en rentrant chez moi, je m'installais devant le petit poste de télé, posé sur le buffet (il est toujours là le buffet à 1m de moi, et il était là au-milieu de notre salle à manger dans mon enfance, lorsque j'avais peur de la mort, et lorsque je regardait le caniche thermomètre, et bien d'autres choses) et regardais regardais sans rien faire d'autre, devenu accro à la télé. Ou quand on jouait aux piquet avec papa, et qu'il passait un temps fou à se demander à l'écart : « qu'est-ce que je lâche » (c'était bien lui ça !). Et c'est dans cette maison que j'ai reçu les dizaines de belles lettres que j'avais eu en réponse à mon annonce « matrimoniale » sur Libération (en 85 Libé n'était déjà plus un journal de gauche, mais n'avait pas encore tout perdu de ses origines), et que depuis ma chambre au second j'ai téléphoné à France ROBERT, dont le nom suscitait tant de jeux de mots, et que je suis allé voir dans la banlieue parisienne, et téléphoné à Marie-José bien sûr. C'était là au rez-de-chaussée qu'il y avait la desserte, et sur la desserte, trop tard, pas avant l'automne 84, qu'est arrivé mon premier téléphone, il avait encore la forme classique d'un téléphone, mais il n'avait plus de roue, seulement des touches, et il n'était pas gris mais beige clair. Et je ne m'en suis jamais servi pour téléphoner à papa, il était trop tard déjà, et c'est là que le soir du 4/12/84 j'entendais le curé m'appeler et me dire qu'il allait s'occuper de faire faire un cercueil tout simple pour papa.

C'est dans cette pièce où j'avais mis enfin ce fameux tapis persan (bakhtiari) que papa avait « récupéré » pour lui au « bouloir » (choses données par les paroissiens pour les « œuvres » de la paroisse) et dont il m'avait si souvent parlé quand on se promenait dans les rues de Dunkerque, et j'essayais de lui faire donner des détails, à quoi il ressemblait, ce qu'il était bien entendu pas capable de faire), et contre la fenêtre le canapé rouge brique, où se sont déroulées des scènes torrides ce soir de mai 88 quand j'ai ramené Denise avec moi. Et c'est quelque temps après dans la cuisine qu'elle m'a passé sa chaîne autour du cou, que j'ai si longtemps regardée comme une alliance matrimoniale, que je lui en ai acheté une au Puy en Velay (et je crois une autre pour moi quand la première a cassé). Et sur ce canapé je suis resté des journées entières (et la nuit ? Je pense que je ne pouvais pas monter et que j'ai du la passer dessus aussi) quand j'ai eu un si terrible tour de rein, que je ne pouvais pas bouger, j'avais téléphoné à Mme Delmotte (c'était en 87, je venait de quitter l'ONIC) et elle est venue m'apporter mes médicaments; ça doit être la même fois (ou une autre ?) que quand je l'ai attrapé après avoir rencontré Annie Lamblin à Arras, gâchis raté, et elle a du passer une nuit terrible dans un hôtel de la Grand' Place, et rentré chez moi je restais debout dans le salon sans bouger d'avancer un pied ça me faisait trop mal. C'est dans cette maison qu'est venu plusieurs fois Gérard (qui est mort maintenant le 8/6/2011 l'année de ma retraite, et m'a laissé un nombre incroyable de millions, il y en aura finalement pour plus de 300.000 « euros », soit 200 millions de francs anciens ! - et ça représente la moitié de ce qu'il avait amassé vu les taxes de 55% en droits de succession), dont une fois, il était encore presque jeune, à vélo, il se faisait tout fier de dire qu'il avait l'intention de participer un jour au Paris-Roubaix pour amateurs (il ne l'a pas fait). Et quand il m'a aidé à fixer l'armoire à outil au mur; Devochelle aussi était venu une fois pour m'aider, et m'avais prêté cette infecte ponceuse de parquets, qui a fait que des années encore après on ramassait encore des fils de cuivre dans les fentes de parquet.

Je m'y suis aussi soulé, au moins deux fois, le soir après la mort de mon père, où j'étais resté placide toute la journée, car ça faisait longtemps que je savais que ça allait arriver, même que je n'étais pas étonné quand le coup de téléphone me l'a annoncé. Et après le lettre finale de Marie-José (pas Connan ! Celle d'Annay-sous-Lens, dons je me demande si elles n'était pas leucémique, qui était petite et « sexy »), pourtant là aussi je me doutais que ça finirait comme ça, et que ça ne pouvait pas durer, et que j'acceptais la chose.
Et le soir où je suis resté figé devant le papier à lettre d'Annie Lamblin en (? 87 ?) qui représentait un couple enlacé devant un lac, pendant des heures, de voir que ça pouvait enfin arriver que quelqu'un m'envoie une lettre comme ça, j'étais tétanisé.
Bien sûr le mur de gauche du séjour était recouvert par un grand poster de coucher de soleil sur un lac de forêt, tout en teintes rouges, qui évoquait le fameux trio de Schubert qui était sur la musique de film de Barry Lyndon, et qui me fascinait tant.

Il y avait une reproduction de tableau de Rembrandt au fond au-dessus de buffet. Et j'ai encore la photo avec figaro le chat de Denise sur la table. (Il y avait aussi une belle lampe à l'ancienne avec un globe, que papa avait cassé, et que je l'avais alors engueulé, en disant que c'était la seule chose belle dans cette maison et il venait de la casser.

C'était là que papa était en colère et a presque pleuré parce que je refusais de ranger les livres dans les rayonnages de Bailleul, selon le plan original qu'il avait soigneusement noté …. Et c'est là aussi que quand il y a eu le second déménagement quand les gens de Bailleul ont amené chez moi tout ce qu'il avait gardé pour lui dans sa maison, maison que le curé voulait récupérer maintenant qu'il était à l'hospice, et qu'on savait bien, tous, qu'il ne sortirait plus de l'hopital vivant. Et que je passais des jours parmi les cartons entassés dans la pièce à essayer de ranger, et à découvrir des choses, et que je me faisais cette réflexion qui se trouve sur mon journal intime à cette date, comme ça passe vite une génération, et qu'il reste peu de chose de toute une vie, comment ne pas en avoir constamment le coeur tout morfondu ?

Et quand son piano s'est mit à prendre place devant ce poster sur le mur de gauche, parce que …
Et que je me suis mis à essayer d'en jouer.

14/05/2023

l'époque - maintenant disparue - où les gens ont su sentir aimer et décrire les choses

La deuxième moitié du XIXème siècle, début du XXème, est L’époque où on a pu parler, sentir, en fait, éprouver, chanter la nature, la campagne, et les campagnards, et, je suis persuadé que ça part du même processus, que c’est lié, l’époque des sentiments fins, inexprimables, du rêve, de la nuance (Jankélévitch). Et en musique, et en peinture, il ne faut oublier c’est l’époque de l’impressionnisme, aussi surtout des peintres paysagers réalistes et sensibles, et aussi l’époque de Vuillard. Et bien sûr d’abord en littérature, c’est là surtout que c’est le plus frappant et que ça été le plus développé et le plus irremplaçable. (et oublié je trouve) C’est l’époque de Verhaeren aussi. En effet avant, les sociétés, au niveau des milieux qui produisaient la culture classique, essentiellement aristocratiques, méprisaient la nature - regardez les réactions de Voltaire à Ferney, comment il décrit des types de paysages qui seront ressentis tout différemment par les romantiques et encore différemment par la génération dont je parle, celle de Déodat de Séverac etc. - étaient même totalement incapables d’en percevoir la beauté (ou alors à travers tout un monde de conventions). Quant à l’époque qui a suivi, ha ! bien, d’abord la nature, et la campagne ont disparus ! et la perception de la nature a à peu près disparue elle aussi, ce qui l’a remplacé, c’est une perception intellectuelle : l’écologie ! mais là ça n’a rien à voir avec la sensibilité « Fauré-Debussy », Francis Jammes, du XIXème siècle c’est en fait une Nature conceptualisée - on joue avec des concepts comme avec de jeux de cubes ! - ça n’a rien à voir, ce n’est pas la vie, sensuelle, concrète, existentielle, amoureuse, des auteurs de souvenirs régionalistes, des sensibilités à fleurs de peau type Colette ou Anna de Noailles, des symbolistes, des peintres paysagers (école d’Arras, etc.) de toute la musique et la poétique de la « magie » et de la « nuance » (Jankélévitch) .
Maintenant on n’aime plus la nature, on aime le rock and roll, le monde « urbain » c. à d. buildings artificiels, banlieues à l’américaine, plastiques, etc., et d’ailleurs les lieux où la découverte de la nature serait possible n’existent plus ou les gens n’y VIVENT plus, n’y passent plus leur enfance, ce n’est au plus que des lieux d’excursion touristisés, c’est à dire GADGETISÉS etc.,.

Il y a eu donc entre les deux une « fenêtre », où la rencontre ouverte, sensible, riche, émotionnelle, et aussi concrète, avec toutes les ressources perceptives, avec la nature, dans l’art a été possible. Et ce fut celle là.

 

C’est aussi l’époque socialement, la seule, où la vie des gens de la campagne et du peuple (exception faite du peuple de la génération suivante : les ouvriers, les « outcasts » du capitalisme industriel ou « libéral-fasciste » actuel, qui se retrouve plus tard dans l’époque suivante) a pu être dépeinte dans la littérature : Forcément : avant, ceux qui écrivaient appartenaient presque exclusivement à l’aristocratie, et éprouvaient un racisme social et une profonde indifférence pour la vie des gens d’en dessous. (sur les gitans d'Espagne et le flamenco on n'a commencé à en parler qu'avec la fin du XIXè siècle. Pareil en France avec le Compagnonnage !) A l’époque d’après là-aussi ils ont disparus ! plus de paysans, plus d’artisans, et tous les milieux de cette génération, les charbonniers par exemple, fini ! Par contre là le temps d’un passage, il s’est trouvé des bourgeois non seulement suffisamment proches de la vie réelle, et surtout pourvus d’une forte, et là aussi dionysiaque, empathie pour les gens du peuple, et qui l’ont dépeint sous toutes ses coutures, et surtout c’est l’époque où il s’est trouvé des gens nés dans le peuple qui ayant eu une enfance pauvre, paysanne, errante (Gorki), ouvrière (Marguerite Audoux) etc. qui ont pu arriver à une vie d’écrivain et rapporter leurs souvenirs. Maintenant qu’ils sont morts ce ne sera plus possible : la société qu’ils on vécus est morte, c’est fini.

12/05/2023

ils ont PEUR ! pour faire quelque chose de concret il n'y a plus personne !

voilà le maître mot de la France d'aujourd'hui, les gens ONT PEUR, on les tient par la PEUR

09/05/2023

Kemi Seba le prophète du monde libéré à venir - honneur à lui !

Kemi Seba se considère comme l'allié du prolétariat français contre les "élites" leurs maîtres et les maîtres du prolétariat en Afrique ("nous avons des dirigeants qui sont des PLAIES numéros unes")

"Mon problème ce sont les Elites" bref son combat est celui des peuples contres leurs exploiteurs, c'est le même que celui de Marx

Et puis il analyse et dénonce très bien l'attitude de Zemmour

* "De  l'exclusion d'un peuple par un autre nait la volonté du premier de constituer sa propre puissance" (Kemi Seba)

et pendant ce temps Dans le même temps, littéralement en début de semaine, l'Algérie a déposé une demande d'adhésion aux BRICS, ce qui, selon l'expert, est un signal extrêmement alarmant pour l'Union européenne. Le fait est que l'UE considérait ce pays comme l'un des fournisseurs alternatifs de ressources énergétiques dans le processus pervers et raciste d'élimination progressive des exportations russes (.....) . Maintenant, les Européens ont moins d'options.
 
Cependant, non moins «douloureuse», uniquement pour les États-Unis, est la perspective de rejoindre les BRICS de l'Arabie saoudite, qui était considérée par le gouvernement américaine comme le principal exportateur de pétrole et leur "pion" fidèle !!

et l'amerloquisation de la langue française dirige (et non controle) tout ! même la contestation !

et c'est l'amerloquisation de la langue française qui dirige et non crontrole tout.jpg

(et ils ne connaissent même plus les rudiments de la langue anglaise, et comment ça se traduit en français !)

08/05/2023

Mohamed Tahiri et Michel Terestchenko - Richard Boutry et Giuseppe Belvedere en sont des exemples

Le comportement des convaincus qui se font piquouzer me laisse perplexe.

par Mohamed Tahiri

Au début j'ai pensé que seule une certaine catégorie de la population était atteinte par la covédie et que cette catégorie de personnes se précipite à la première piqouzerie comme on va chez le curé pour montrer qu'on est un "bon chrétien bien décent". Dès que le jus expérimental est injecté, ces citoyens se sentent anoblis, adoubés par quelques manipulateurs à la tête du pays. Ils se comportent comme des nantis, des modèles d'exemplarité (comme les premiers allemands qui ont obéis à l’arrêté du 13 juillet 1933 de Wilhelm Frick ministre de l’Intérieur du Reich) qui ont gagné... un pass. Pardon. Qui ont gagné "le droit de vivre librement"! Mais je me suis trompé. Ce comportement n'est pas réservé à quelques hurluberlus d'une couche sociale. Toutes les couches sont atteintes. Cette covédie touche autre chose. Ce n'est pas le degré de culture d'une personne qui est atteint. Ce n'est pas le niveau social qui est visé, ce n'est pas le quotient intellectuel. Non. C'est tout autre chose. Et cet autre chose n'a pas d'étiquette, car personne n'a mesuré le niveau de conscience de la population d'un pays. Le niveau de conscience semble être le facteur déterminant.  Il se moque de qui vous êtes, d'où vous venez, de ce que vous êtes, ... il se moque de tous les repères sociétaux. Il en est d'autant plus insaisissable. Difficile de lui coller une étiquette. Les médias n'ont pas trouvé mieux que : "pro ou contra vaccin". Ils n'ont pas trouvé le point commun entre tous les covidés pro-vaccin et le point commun entre tous les contra-vaccin. Ils ont bien vu que tous les profils sociétaux,  culturels,  professionnels, etc., sont soit dans l'un, soit dans l'autre groupe. Les médias n'ont pas parlé de niveau de conscience. Et pour cause. Cela va bien au-delà d'une étiquette de parti politique,  de couleur de peau, de religion,  de niveau économique,  de niveau d'études... C'est au-delà de tout. Ils ont bien essayé d'assimiler les anti-vaccins à des mouvements politiques. Mais chacun d'entre nous peut vérifier que ce n'est pas là la réalité.
Ils ne parlerons jamais de niveau de conscience. À vrai dire,  les médias et ceux qui font ces médias,  n'ont pas le niveau de conscience utile pour établir ce constat. Le pion, du pion, du pion du pion, on ne lui demande pas de réfléchir, mais d'exécuter. Alors c'est quoi le niveau de conscience ?
Difficile d'y répondre. Mais jamais nous n'avons à ce point compris qu'il existe et qu'il se fiche totalement de qui vous êtes et d'où vous venez. Il est transversal.
Le niveau de conscience peut être bas ou élevé. Voilà ce que nous constatons actuellement.
Autre constat : plus le niveau de conscience est élevé,  plus l'ouverture d'esprit est grande. En d'autres termes,  plus vous êtes à l'écoute, curieux, méfiants, plus vous êtes ouverts. Cette ouverture fait appel à un niveau de conscience. Un humain qui doute, réfléchi,  recherche, discute, est un être qui cultive son niveau de conscience.
Aujourd'hui cette aptitude porte le nom de complotiste ! C'est le terme convenu à présent pour désigner une personne qui réfléchi et qui doute. Curieux, mais pas tant que ça, puisque ce sont des humains avec peu ou pas de conscience qui ont créé cette étiquette.

Maintenant,  avez-vous remarqué dans votre entourage où va se nicher le niveau de conscience le plus élevé ? Il est là où on ne s'y attendait pas.

En effet ! Mon artisan a quitté l’école jeune sans aucun diplôme, mais il est conscient et critique, par contre plein de profs, persuadés d’avoir par leur diplôme et leur métier un adoubement de droit divin qui les met du côté « du Vrai du Beau et du Bien » et qui se croient par conséquent « de gôôche » par définition, sont outre d’infects social-traîtres réactionnaires, sont des collabos de première soumis à « not’ bon roi », et tellement fanatiques, qu’aucune discussion n’est possible avec ces gens. Etc.
Que de surprises ! On pensait qu'untel serait plus ouvert alors que c'est l'autre duquel on n'espérait rien qui fait preuve d'ouverture d'esprit. Bref. Cette fenêtre sur la conscience est surprenante. Mais c'est elle  qui nous pousse à nous révolter, à dire non,

[ah ! Ah ! Là on est en plein dans Michel Terestchenko et son incontournable livre «un si fragile vernis d’humanité »]
à remettre en question face aux gens de peu de conscience. Alors le niveau de conscience pourrait se mesurer à l'aune de l'intelligence de la Vie et du respect de celle-ci. [comme Giuseppe Belvedere] Car j'ai bel et bien constaté que ce qui me différencie réellement des humains qui ne doutent de rien en ce moment,  c'est mon empathie pour mon prochain et encore plus les valeurs que je porte. Car pour moi, la liberté ne s'achète pas à coup de piquouzes. Elle ne se mesure pas en points sur un carnet de vaccination. Elle ne s'exprime pas en QR code. [tout ça au contraire ne peut susciter que le dégoût le plus profond!] La liberté ne m'est pas donnée. La liberté est une loi universelle. Elle se fiche de ce que quelques-uns voudraient me faire croire. J'ai ma propre conscience et elle me dicte que je dois veiller à ce que mon intégrité soit respectée.

Ceci est bien entendu totalement saugrenu à l'époque que nous vivons.
Cette société s'est construite sur le manque de conscience. Qui n'a pas conscience de sa valeur et de la valeur de la Vie, ne peut voir et comprendre qu'il est en ce moment le pantin de quelques criminels bien rodés dans la manipulation psychologique. Avoir peur d'une coviderie n'est pas un signe de maturité. C'est un signe de faiblesse dû à un manque de conscience. Et la raison à déserté ces esprits. Le défi ? Prendre conscience de sa propre valeur pour ne plus tomber dans les pièges de la manipulation. Savoir qui on est, est une force. Savoir ce qui est acceptable pour soi et ce qui ne l'est pas, forge cette force.
N'est manipulable que celui qui n'a pas de conscience. 

 

les mecs qui réfléchissent, s'informent, et surtout qui ont une "Conscience" au sens de Mohamed Tahiri et de Michel Terestchenko (et de Giuseppe Belvedere) il étaient contre le fascisme 2.0 (deux point zéro, comme pour les programmes informatiques), maintenant en plus il sont pour Poutine et contre les nazis (du type 1.0 cette fois, quoi que la présence de centres de recherche secrets américains de guerre biologique en Ukraine offre peut-être un lien .....)

05/05/2023

"Fratrie" ? que cache cette mode lexicale ? .....

La mode du terme fratrie - que cache cet engouement idéologique chez nos maîtres ?

Avez-vous remarqué cette bizarrerie terminologique ?
Avez-vous remarqué à quel point on ne vous parle plus à tout bout de champ que de « fratries », et plus jamais de « familles » ?
Regardez bien ! Feuilletez tout ce qui vous tombe sous la main vous verrez, c'est hallucinant d'unanimisme tout à coup depuis qq années à peine. Partout ! Que ce soit dans les plus banals articles biographiques de la wikipédia, n'importe quel article de journal, de revue, sur n'importe quel sujet, la guerre 14 par exemple, n'importe quoi, partout où le terme « famille » devrait venir tout naturellement et logiquement, il est comme boycotté et systématiquement remplacé par cette bizarrerie, dont on n'entendait jamais parler jusqu'à il y a seulement quelques années : la « fratrie » !

Ces enfants se sont-ils fait entre eux tout seuls ?          Se sont-ils éduqués tout seuls ? Se sont-ils nourris, logés en bande comme des enfants perdus de guerre civile ?

Pourquoi ?
Alors que signifie cette occultation VOLONTAIRE, c'est visible, des parents, et des relations, pourtant les plus fortes qui soient, de tout temps, (sauf peut-être chez les familles aristocratiques du XVIIIè siècle ! Mais dans ces familles les liens entre frères et ou soeurs n'étaient pas moins distants ! Quand ils ne se tiraient pas dans la pattes pour des raisons d'ambition sordides) ? C'est donc une politique voulue et systématique, depuis quelques années tous nos maîtres à penser et leurs « domestiques » obéissants y participent tout à coup d'un commun accord. Quels sont ses mobiles, cachés, car ce changement dans le vocabulaire ne s'est pas traduit par des discussions sur l'opportunité d'utiliser tel ou tel terme, comme ça se passe à chaque fois qu'on change le vocabulaire pour un changement avouable dans les idées qu'ils supportent.
Hmm ? Voyons que constate-t-on dans le même temps ? Un dynamitage en règle des relations parents-enfants (et pas seulement par le fameux « mariage pour tous », ni la location de ventre et tout ça, il n'y a pas de « fratrie » dans ces cas !) la multiplication des divorces, on est sans doute déjà plus près, la volonté de l'état de retirer les enfants de la garde de leurs parents, de détruire les liens que ceux-ci puissent éprouver pour leur parents, à coup de d' « aide à l'enfance » (et la Secte des Adorateurs de la Mort qui éduque les enfants comme ceux de "Brave New World") on est sans doute plus près. Mais visiblement il y a une offensive en règle et bien calculée ….

 

 
Monsieur X
2 août 2020 12 h 28 min
Résumons, pas de mère, pas de père, pas de famille, pas de patrie, pas d’origine, pas de race, pas de sexe, pas de tradition, pas d’histoire.
Reste la carte bleue et la carte vitale.
 
il a tout compris ce monsieur