22/10/2025
les soignants acculés au suicide
Publié dans les collabos masqués me font vomir de dégoût, morale, mort | Lien permanent | Commentaires (0) |
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21/10/2025
se souvenir encore
Danser encore
(photo censurée Tours en . (en Indre-et-Loire mon gars!)
Danser encore est une chanson du chanteur HK (nom d'artiste de Kaddour Hadadi) sortie en décembre 2020.
La chanson est reprise en France et dans plusieurs autres pays lors de flash mobs, dans un contexte de mobilisation face aux mesures prises sous prétexte de « pandémie de Covid-19. «
Origine
Alors qu'il devait présenter un spectacle avec son groupe à Avignon, celui-ci est supprimé durant la « crise sanitaire » car jugé « non-essentiel »1. C'est alors que vient l'idée de créer une chanson.
HK, se souvient précisément du soir où il l'a composée : « C'était au moment de l'annonce du deuxième confinement, je répétais un spectacle à Avignon avec des amis et, de fait, notre spectacle a été annulé, car nous n'étions pas considérés comme essentiels. Nous, on pense au contraire qu'on est tous essentiels. C'est un message terrible qui nous est envoyé, comme si, en France, on ne pouvait que travailler (pour la gand capital) et consommer. Et c'est faux de dire qu'on ne peut pas faire autrement : il y a des pays européens, comme l'Espagne ou l'Allemagne, pendant un certain temps, qui ont fait autrement. » a-t-il déclaré.
La chanson est enregistrée en live le dans les rues d'Avignon, et publiée ce jour-là sur les réseaux sociaux, en guise de protestation face aux mesures sanitaires prises par le gouvernement durant la pandémie de Covid-191.
Interprètes
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Auteur – compositeur : Kaddour Hadadi (HK)
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Compositeurs, musiciens :
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Jacotte Recolin: violon, chœurs
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Mathilde Dupuch: accordéon, chœurs
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Martin Choquet: saxophone, chœurs
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Raphaël André: trombone, chœurs
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Saïd Zarouri: guitare, chœurs
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Thibault Delbart: guitare, chœurs
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Meddhy Ziouche: arrangement
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Manuel Paris
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Chanson militante
Le , HK offre la version studio de la chanson en téléchargement sur son site web.
Les paroles font allusion à Emmanuel Macron lorsqu'HK parle de « Monsieur le bon Roi ». La chanson dénonce des mesures autoritaires : « Chaque relent sécuritaire voit s’envoler notre confiance, ils font preuve de tant d’insistance pour confiner notre conscience »4 et fait appel à la désobéissance civile5.
Flashmobs
Ce titre a depuis été repris lors de flash mobs en 2021. Une a eu lieu en à la gare du Nord.
Une autre flash mob est lancée le à la gare de l'Est7. Ces rassemblements8 suscitent la polémique, d'un côté HK affirme ne pas vouloir passer un message contre les gestes barrières et n'être jamais à l'origine de cluster. De l'autre, les autorités sanitaires rappellent que les concerts et les rassemblements festifs du groupe, sans masque ni respect de la distanciation sociale, peuvent tout de même causer des contaminations9,10. En , HK a déposé un préavis de flashmob générale dans toute la France, chaque samedi à midi11.
Reprises de la chanson traduite en plusieurs langues
Le succès de la chanson a été tel que des musiciens chantant dans d'autres langues se la sont appropriés. (liste non exhaustive)
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Die Box: wir wollen tanzen (en allemand)
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Danser encore Berlin: Jetzt ist's Zeit (en allemand)
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Elena del Valle Reboul: Seguir Bailando (en espagnol)
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Lisa de Stephano / Mario C.Lunghi (en italien)
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Mathieu Touzot: Dansae core (en poitevin)
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Cezary Cesarz: TAŃCZMY ILE SIŁ (en polonais)
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Sopa da Pedra: dança l'amor (en portugais)
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Andor Boddeke: Wij, ja wij (en néerlandais)
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Jamie Schwartz: el nostre ball (en catalan)
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Arkadiy Kots band. Танцевать еще (en russe)
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Kitty Stewart: Let's keep on dancing (en anglais)
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Reprises et accusations de covidoscepticisme
En , la chanson est utilisée comme hymne lors des manifestations contre le passe sanitaire12. William Audureau du journal kollabo de nos maîtres l’Immonde alias Le Monde estime que le morceau est « un tube de la communauté covidosceptique »5.
15/10/2025
il faut être retraité pour ne plus avoir peur !
Les soutiens de Jean-Pierre PETIT
Cosignent ces lettres (sept 2025) : 01 - Duval M.F, Professeure retraité d'astronomie. Aix-Marseille.
02 - Debergh N. Mathématicienne, Mécanique Quantique. Belgique.
03 - Besnaiou C. Ingénieur de recherche émérite au CNRS
04 - Lepelletier 0. Ingénieur d'étude, université du Mans
05 - Le Fèvre A. senior scientist. Nuclear(astro)physicist, GSI Helmoltzzentrum, Darmstardt, Germany.
06 - Schromkaïev W. Physicien théoricien, CERN
07 - D'Agostini G Physicien théoricien
08 - Bobola P. Docteur es science. Physicien
09 - Touitou R. Ingénieur. Israël
10 - Azalbert X. Rédacteur en chef du journal France-Soir
11 - Margnat F. Physicien, Maitre de Conférence, Habilité à Diriger des Recherches, Université de Poitiers
12 - Juillet A. Président d'Honneur de l'Académie d'Intelligence Economique
13 - Fuch L. Ingénieur Télécom Strabourg
14 - Petel D. Ingénieur
15 - Roux S. Professeur de Mathématiques. Lycée de Besançon.
16 - Chaleon R. Ingénieur Lyon
17 - Racunia G. Professeur agrégé, maths. Nancy.
18 - Koiran P. Professeur à l'Ecole Normale Supérieure de Lyon
19 - Asselineau F. Président de l'Union Populaire Républicaine. Candidat à l'Election Présidentielle.
20 - Morin G. Physicien. Ancien maître de conférence à l'Université de Poitiers
21 - Remi A. Enseignant en physique. Lycée français de Lausanne, Suisse
22 - Dominique G. Ingénieur Marseille
23 - De Villeger M. Géologue, retraité. Russie
24 - Pernigotto O. Professeur certifié de physique-chimie, Metz
25 - Cando R. Enseignant-Chercheur, Université de Montpellier
26 - Pr.Bouchard C.V. séniore chercheuse en électrodynamique
27 - Buczko K. Ingénieur diplômé Ecole Polytechnique de Varsovie, Pologne.
28 - Michalski Q. PhD, Research Fellow, Royal Melbourne Institute of Technology, Australia
29 - Grandfils P. Ingénieur des Mines, retraité. Portugal.
30 - Joos E. Docteur-Ingénieur en spectrochimie, retraité
31 - Pasquien L. Ingénieur Physicien. Docteur ingénieur.38850 Bilieu
32 - Djahoui E. phd (Suisse)
33 - Hunsinger J. phd Physics and Astrophysics, Munich (Allemagne)
34 - Nicola S. Ingénieur, retraité.
35 - Jacob E. Ingénieur aéronautique, Bordeaux
36 - Resch L. phd (Suisse).
37 - Durif O. Docteur ès science, chercheur
39 - Roy G. Docteur ès science, ingénieur
40 - Brachet P. Ingénieur retraité, Toulouse
41 - De Graviloff P. Prof Physique, retraité
42 - Hoareau R. phd chemistery
43 - Puccini J.J. Professeur certifié en physique, retraité.
44 - Nicol L. Ingénieur de recherche, Rouen
45 - Mazeau J-L. Ingénieur SupElec, Master of Science Lausanne, Suisse
46 - Nicola S. Ingénieur, retraité
47 - Fournela F. Ingénieur.
48 - Berquer P. Professeur de mathématiques, Calais
49 - Trinquetaille S. Ingénieur.
(les retraités n’ont plus à avoir peur pour leur carrière ce qu leur donne enfin, un peu de liberté d'esprit ...)
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12/10/2025
rondeurs féminines - autrefois c'était un pléonasme
Un échange d'affection se réalise presque uniquement avec le corps. Les odeurs en constituent le déclencheur par leur effet paralysant, tandis que le corps provoque des émotions stimulantes dans l'affection. Le corps se subdivise en cinq caractéristiques; le poids, la forme, le volume, la consistance et la température.
C'est dans l'ensemble du corps que naissent nos émotions et qu'on capte celles des personnes qui nous entourent. Comme pour les odeurs, le corps de nos personnes chères nous procure des sensations qui modifient notre comportement et notre physiologie de manière prédéterminée génétiquement.
Un échange d'affection entraîne donc une série de réactions identiques d'une fois à l'autre. L'affection constitue alors un automatisme nous rendant démuni, et qui nous pousse à s'accrocher à l'autre pour se sécuriser. L'affectivité chevauche deux états émotifs, celui associé au sentiment d'être démuni et celui d'être sécurisé. L'abandon physique cause un sentiment d'insécurité au départ (d'où la pudeur) et nous procure par la suite des sensations qui produisent un sentiment de grande sécurité.
Tout constituant de notre corps a une réaction émotionnelle qui lui est propre et qui fait réagir notre "partenaire" (comme disent les sinistres modernes formés au cynisme commercial) différemment. Comme pour la loi de la physique décrétant qu'avec la matière, "rien ne se perd, rien ne se crée", toutes les émotions vécues sont présentes en nous depuis de notre naissance. Une émotion réapparaît instantanément lorsque les sensations qui y sont associées surviennent. Par exemple, une série d'émotions surgissent, toujours les mêmes, à chaque fois que l'on touche la peau de notre "partenaire". La sensation de la douceur et de la chaleur de sa peau nous sécurise, abaisse notre pression artérielle et la contraction involontaire de nos muscles, induisant ainsi une détente physique. Au point de vue psychique, ces sensations nous amènent à nous comporter de manière douce et attentionnée parce qu'elles nous font sécréter une hormone dont l'effet est calmant.
Les trois constituants principaux du corps sont les os, les muscles et les tissus adipeux. Au toucher, comme ils ont une consistance différente, ils nous procurent aussi des sensations variées. Comme on touche inévitablement les trois parties du corps de son aimée à la fois, cela nous fait vivre plusieurs émotions simultanément. Chez la femme, les tissus adipeux sont la partie de son corps qui joue un rôle primordial dans l'échange d'affection. Ils sont d'ailleurs responsables de son identité féminine.
C'est grâce à ses tissus adipeux que la femme a une libido. En effet, une femme mince ressent moins le besoin d'avoir une relation sexuelle car la sensibilité féminine prend sa source dans ceux-ci. Les rondeurs féminines, à la base du comportement affectueux, sont aussi à l'origine du plaisir en émettant et recevant les émotions. Les rondeurs féminines, en dirigeant inconsciemment notre comportement affectueux envers la personne aimée, rendent possible une communication émotive. Elles nous attirent sexuellement, elles nous rendent amoureux et elles stabilisent la relation de couple sexuel en permettant à notre "partenaire" de s'assurer de notre fidélité.
Les rondeurs féminines stabilisent notre métabolisme et font diminuer notre niveau de stress. Parce qu'elles sont source de plaisir, de bien-être et de bonheur, on ressent de l'attachement envers son épouse. Les tissus adipeux des femmes jouent un rôle primordial chez l'être humain. De la même manière, ils exercent une fonction sociale. La relation mère enfant s'établit par l'affection qui se transmet à partir de ses rondeurs. Elles forment un nid psychologique lui procurant un confort émotif. Par le fait que les rondeurs sont émotionnellement sécurisantes, elles favorisent la cohésion dans la société. Ainsi, elles incitent les gens au dialogue et au compromis afin d'éviter les conflits. En étant source de bien-être, les rondeurs influencent les personnes à s'entraider et à entretenir des relations amicales.
Comme les tissus adipeux de la femme sont au centre de la vie humaine, la survie de la race en dépend. Essentielles à toute les étapes de la vie, les rondeurs féminines attirent l'homme sexuellement pour la copulation, assurent la survie du foetus et du bébé durant la période de l'allaitement et finalement, par le bien-être de l'affection qu'elles procurent, elles tissent les lien sociaux.
Dans une relation amoureuse, les rondeurs de la femme constituent une protection pour son intégrité physique et psychologique en portant un message de douceur qui influence notre comportement envers elle. Ainsi, à la vue et au toucher, elles nous rendent doux, tendre, affectueux et attentionné et elles humanisent les rapports homme femme; sans elles, on s'accouplerait sans sentiments. Elles sont donc à l'origine de l'amour.
Dans l'affection, l'abandon émotionnel implique une absence de matrise sur soi, sur la situation et sur la personne aimée. Les comportements, les gestes et les pensées qu'ont les deux "partenaires" (d'affaires ? quel drôle de terminologie !) dans un échange d'affection leurs procurent du bien-être parce qu'ils correspondent exactement à ce qui est voulu par la "mère nature". Le mot "échange", quand on parle d'un échange d'affection, signifie que notre corps va puiser dans le corps de l'autre les éléments qui l'amèneront à vivre un moment de bien-être ultime et pareillement pour celui de notre "partenaire". L'abandon physique n'est pas un comportement de soumission parce qu'il est voulu consciemment et inconsciemment par les deux personnes. Le corps a le pouvoir de décider. Ainsi, on se sent indisposé lorsqu'il n'accorde pas son consentement à un contact physique. Notre corps sait comment réagir aux effets émotionnels des tissus adipeux pour obtenir du bien-être.
L'affection est un lien fusionnel où les émotions de chaque corps s'imbriquent parfaitement les unes aux autres pour vivre un moment de grande euphorie. Comme les rondeurs sont un conduit émotionnel, elles sont la principale source de plaisir que la femme retire de son corps et que l'homme retire du corps de son épouse. Ainsi, on capte les émotions enivrantes par ses rondeurs et on transmet notre réponse émotive à travers celles-ci.
Les rondeurs sont comme un océan d'émotions, notre corps comme un voilier, le plaisir comme le vent qui nous fait voguer vers un état de bien-être. Comme les tissus adipeux sont à la base de la vie, ils sont à l'origine du plaisir. Le plaisir de l'affection constitue un carburant fournissant de l'énergie psychologique pour progresser dans la vie. L'affection permet à l'enfant de grandir en santé psychologique et physique, de développer son intelligence et de tisser des liens sociaux solides avec son entourage. À l'âge adulte, l'affection nous permet d'obtenir une excellente qualité de vie. Comme la vie est une drogue, nous sommes tous dépendant de la sécrétion d'hormones responsables du plaisir qu'on retire de l'affection.
La consistance molle des tissus adipeux est significative émotivement. Étant associées à une partie tendre du corps de notre amoureuse, les rondeurs sont à l'origine de la tendresse: elles nous amènent spontanément à être tendre envers notre "partenaire" (quel terme sinistre ! typique de notre époque cynique et déshumanisée !!!). La chaleur qui s'en dégage nous pousse inconsciemment à être très chaleureux envers elle. Être tendre et chaleureux sont deux états d'esprit induits par les émotions produites par la sensation tactile des tissus adipeux.
La tendresse se vit autant dans les gestes que dans les pensées. Une pensée tendre, c'est voir sa "partenaire" belle, douce, fine et merveilleuse. À travers celle-ci, notre épouse nous apparaît encore beaucoup plus belle que d'habitude: elle resplendit de beauté. On la perçoit comme la plus belle femme au monde. Cette pensée constitue un état d'extase et d'admiration associé à toute l'importance qu'a notre aimée pour nous. Au moment d'un échange d'affection, elle est tout particulièrement la plus belle, la plus intelligente. la plus fine, la plus douce, la plus gentille pour soi. En d'autres mots, les pensées qui nous habitent sont très valorisantes pour elle.
Au cours d'un échange d'affection, des images positives concernant notre "partenaire" surgissent spontanément dans notre esprit. Cette imagerie continue à solliciter la programmation pour nous faire poser des gestes automatisés de douceur et de tendresse. La valorisation se fait ainsi spontanément quand on s'abandonne émotionnellement à son amoureuse.
Un geste tendre ne se définit pas par la manière dont on déplace ou on appose ses mains sur le corps de sa "partenaire" (sic), mais plutôt par ce qu'il dégage comme émotions. Par la tendresse, on transmet des émotions de bien-être en touchant son corps. Notre corps peut alors se comparer à un contenant rempli de nos émotions et nos mains, à des becs verseur d'où s'écoulent celles-ci. Nos mains, en plus de transmettre les émotions, captent celles de nos êtres aimés. Elles agissent comme des antennes émettrices et réceptrices. Comme avec les cordes vocales pour la communication verbale, on s'exprime émotivement avec les mains; et parce qu'elles ont une sensibilité plus grande que le reste du corps, elles peuvent détecter une plus grande variété de sensations sur un plus grand écart d'intensité.
Comme un geste tendre constitue un déversement de nos émotions vers le corps de notre "partenaire", il lui procure une dose de bien-être. De ce bien-être, elle réagit aussi par des gestes tendres et émotifs à notre égard, ce qui nous rend euphorique. Un geste tendre dégage une chaleur humaine. Celle-ci est une expression se référant à deux aspects, soit à la chaleur que dégage le corps et à une qualité que la communication émotionnelle peut avoir: un geste rude est plutôt froid alors qu'un geste tendre est chaud. Un geste froid transmet un message émotif d'insécurité et de malaise, ce qui implique un blocage nous empêchant de se livrer émotivement à l'autre alors qu'un geste chaud provoque un état de confort et de sécurité pour la personne qui le reçoit. C'est par notre chaleur humaine que notre femme ressent que nous nous abandonnons émotivement et par la suite, se sentant ainsi sécurisée, elle peut s'abandonner à son tour. On peut donc dire que la chaleur humaine est responsable de l'enclenchement d'un comportement affectueux.
Les femmes nous procurent une sensation de bien-être qu'elles seules peuvent nous faire vivre.
Maintenant il va falloir publier un texte à l'honneur du pelotage, si diabolisé par notre sinistre, névrosée, et insociable époque
il fut un temps où la communication entre les êtres on trouvait ça normal ; maintenant on trouve ça criminel !
08/10/2025
L'évolution perverse de la modernité
Christian Combaz l'a bien vue
et souvenez-vous de ce que nous dit Zygmunt Bauman sur la "modernité"
07/10/2025
"pacification", vous avez dit "pacification" ?
« pacification » comme on disait du temps des colonies, vous vous souvenez ?
Vanda
"L’idée que se font de la paix les occidentalistes a toujours été que les peuples se mettent à genoux et acceptent leur domination sans broncher . Bien entendu ça ne fonctionne qu’à la seule condition d’éliminer régulièrement les populations de chaque pays résistant .
Cela ne durera pas éternellement surtout lorsque les peuples occidentaux prendront conscience que le récit qui leur est proposé à coup de mensonges et de faux drapeau est faux de A àZ"
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06/10/2025
ce qui est capitaliste est toujours fliqué
https://reseauinternational.net/le-plan-de-trump-pour-gaz...
le projet de TRUMP pour Gaza : "avec des casino" oui ! comme la cour du Temple de Jérusalem du temps de Jésus.
Vous vous souvenez ? de ce lieu où on VENDAIT (avec grand profit, surtout pour les prêtres responsables du truc) des animaux destinés à être TUES en "sacrifice" à Yahvé, et où des changeurs changeaient (avec un encore plus grand profit !) l'argent "Laïc" des pélerins contre de l'argent "sacré", seul accepté par les prêtres en question, et Jésus-Christ est arrivé a prit un faisceau de corde en guise de fouet et a tout renversé et chassé tout ce beau monde (on imagine la scène sous les applaudissements du petit peuple qui commençait à l'adorer).
Ben oui un casino c'est pareil ; un lieu d'arnaque capitaliste (et fliqué, ce qui est capitaliste est toujours fliqué) , où de pauvres gogos vont dépenser leur argent (et enrichir les responsables du truc) dans l'espoir (vain bien sûr, dans les deux cas ...) de gagner (comme les pauvres croyants juifs de l'antiquité qui venaient faire des dons à Yahvé) leur rêve.
Ce rapprochement n'est pas sans signification je trouve ...
(je rappelle aussi que c'est suite à cet esclandre que le Sanderhim des prêtres du Yahvisme, s'est réuni, et qu'ils ont décidé qu'il représentait un danger mortel pour leurs agréables profits et qu'il fallait le faire disparaître, physiquement)
04/10/2025
vive l'école à la maison la liberté et l'humanisme !
https://zerhubarbeblog.net/2020/10/02/lenfance-ce-cavalie...
le gouvernement est en train de DETRUIRE VOS ENFANTS ! et ça ne vous fait même pas frémir ? https://reseauinternational.net/au-secours-mesdames/ vous ne réagissez pas ? vous ne résistez pas ? vous laissez faire cette ignominie qui va les détruire à vie ?
C'est la condition sine qua non de la civilisation et du refus du fascisme et du totalitarisme, et des valeurs républicaines !
ça commence par les cookies que certains sites internet injectent DANS Vos ordinateurs, et si les gens adceptent passivement (principiis obstat et finem respices) ça devient les smart dust, et les vaccins fascistes; ceux qui n'y croient pas, docile croyants de leurs maîtres le regretteront quand il sera trop tard !
Oui, c’est évident que l’école à la maison se situe hors cadre. Et cela est incompatible avec le programme de ce gouvernement mondial qui se met en place. Et les vaccinations obligatoires ne sont simplement que les premières pierres de ce programme d’asservissement des individus, mais aussi de réduction de l’humain (voir l’article de M.F. de Meuron « Voulons-nous vraiment être des humains réduits ?)
Il n’est pas question de laisser la moindre parcelle de de prairies fleuries et naturelles qui pourrait créer des individus qui pensent par eux-même et qui seraient déconnectés du conditionnement obligatoire du gouvernement mondial/national !
Et Macron est le fer de lance de ce mouvement en France. Mais il s’est bien entouré d’une équipe dévote et partisane.
L’éducation nationale est infiltrée au plus haut niveau et tous(tes) devront bientôt s’y soumettre, de la même manière que chacun doit se soumettre au masque et au vaccin comme autrefois les allemands à l'obligation du salut hitlérien ! ou à leur transformation en Rhinocéros, n'est-ce pas Monsieur Ionesco ?
Comme le montrera un reportage belge qui va suivre prochainement sur ce blog on va en arriver à ce qu'il va falloir rompre complètement avec la société et vivre dans des catacombes, la résistance passive ne suffit plus il faut entrer dans le maquis la guerilla ouverte !
tous se coient obligés d'ajouter "le couplet des écologistes" !
Sur les perruches à collier, après avoir loué leur beauté et la vie qu’ils apportent, chacun (quand ils sont interviewés et filmés) se sent obligé d’ajouter « le couplet des écologistes » (vous savez : les curés, les gens du pouvoir, ceux qui « disent le vrai » la "parole d’Evangile") « elles nichent dans des cavités, qui auraient pu servir à d’autres », donc ce sont des « invasives », donc il faut les exterminer, CQFD
Les juifs allemands aussi ils s’enrichissaient avec de l’argent qui aurait pu servir à enrichir des banquiers « aryens », ou quand ils étaient médecins ou commerçants, ils recevaient des clients qui auraient pu aller chez des professionnels allemands, donc les NAZIS en bons écologistes qu’ils étaient ont décidé de les exterminer, CQFD
méfiez-vous des « écologistes » …
c’est pas eux qui vont vous apprendre la morale ! (ni la raison en fait! lisez "la nature en débat" de Christian Lévêque ! https://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_texte... )
et donc devant la réaction humanistes du PEUPLE, des GENS, les écoloNAZIS sont "bien embêtés" !
exemple ce texte cauteleux et inénarrable !
Quand les espèces invasives s’intègrent à notre culture
Les invasions biologiques sont largement reconnues comme une menace sérieuse pour la biodiversité, les économies mondiales et la qualité de vie. Pourtant, elles ne sont pas universellement perçues comme une nuisance et gagnent parfois — souvent de manière inattendue — une acceptation culturelle au sein des communautés locales du monde entier. [pauvres choux d'écolo-NAZIS ! ça les embête hein !?] Les conséquences de cette acceptation ne sont pas négligeables pour la gestion des espèces invasives.
Une nouvelle étude menée par une vaste équipe internationale (donc anglophone...) de chercheurs révèle comment certaines espèces invasives peuvent être accueillies par les populations locales comme des éléments familiers, voire appréciés, de leur environnement local [ben oui ! comme l'ont été les moineaux ! (originaires des régions désertiques où ils nichaient dans les trous de rochers, avant de coloniser nos villes), les Alouettes (originaires des steppes d'Asie Centrale, avant que l'agriculture ne crée partout ces steppes artificielles, les champs) les merles ( oiseaux forestiers maintenant installés dans les villes) les tourterelles turques, les perruches à collier, les chats errants et les pigeons du 4è arrondissement], ce qui complique souvent leur "gestion". « Il s’agit d’un phénomène d’“intégration culturelle” — un processus par lequel les espèces envahissantes (sic, vocabulaire lepeniste !) s’intègrent aux traditions, aux identités et à la vie quotidienne locales »(comme les flamands, les bretons les auvergnats, créateurs des bals musette, les intellectuels "arabes" comme Idriss Aberkane, les Yeniches comme Christophe Dettinger, les curés du christianisme cette secte orientale !...), explique Ivan Jarić, chercheur à l’Université Paris-Saclay et à l’Académie tchèque des sciences, et auteur principal de l’étude. « Avec le temps, elles pourraient devenir de plus en plus familières et être finalement perçues comme des éléments indigènes de l’environnement, voire comme une partie intégrante de la culture locale. » (comme les polonais du Pas-de-Calais,ou les flamands du Nord)
Qu’il s’agisse d’une plante utilisée dans les recettes traditionnelles ou d’un animal célébré lors des fêtes locales, l’acceptation culturelle de ces espèces transforme le rapport à la nature. Par exemple, le figuier de Barbarie, originaire des Amériques, est désormais familier dans certaines régions d’Afrique, d’Asie et d’Europe. Dans de nombreuses zones rurales, les populations dépendent de lui pour leur subsistance : cueillette et vente de ses fruits, présents dans les plats et recettes locaux, et utilisation comme plante fourragère pendant les mois secs. Mais au fil du temps, il est devenu bien plus qu’une simple plante utile. Dans certains endroits, on a même oublié son origine. Elle est présente dans les contes populaires, l’art et l’artisanat, et a même pris le rôle de symbole local dans certaines régions.
Si cette intégration peut apporter certains avantages — notamment de nouvelles sources de nourriture, de loisirs ou de services écologiques — elle s’accompagne également de défis importants. Une fois qu’une espèce est culturellement acceptée, il devient beaucoup plus difficile pour les défenseurs de l’environnement de la contrôler ou de l’éliminer. La résistance du public peut freiner, voire bloquer, des interventions de gestion cruciales. « L’intégration culturelle des espèces envahissantes peut entraîner l’érosion des traditions locales liées aux espèces indigènes et aux savoirs locaux associés, une perte de diversité bioculturelle et des conflits », explique Susan Canavan de l’Université de Galway, autre auteure de l’étude. « Elle peut également modifier ou déplacer la présence et l’identité culturelles d’espèces indigènes vulnérables et modifier ce que les gens perçoivent comme un état environnemental “normal” ou souhaitable. »
Cependant, l’éradication de ces espèces envahissantes culturellement intégrées n’est pas toujours la meilleure solution. Dans certains cas, leur élimination peut provoquer des dommages inattendus aux écosystèmes—et perturber les cultures, les moyens de subsistance et les économies locales où ces espèces se sont implantées.
Pour "gérer" judicieusement les espèces envahissantes, la biologie ne suffit pas. Une approche plus complète et plus inclusive doit également s’appuyer sur les sciences sociales et humaines. « Les efforts de conservation doivent non seulement être scientifiquement fondés, mais aussi tenir compte des dimensions sociales et culturelles », suggère Jonathan Jeschke, de l’Institut Leibniz d’écologie des eaux douces et de la pêche continentale (IGB) et de la Freie Universität Berlin, également auteur de l’étude. Ivan Jarić ajoute : « Les décisions doivent s’appuyer sur des données scientifiques solides et tenir compte de la voix des communautés locales, des parties prenantes et des détenteurs de droits. Associer tout le monde dès le début—en particulier ceux qui disposent d’une connaissance directe—contribue à instaurer la confiance, à réduire les conflits et à trouver des solutions conciliant les besoins écologiques, culturels et économiques. »
on a tort d'idéaliser la Suisse
« Les Suisses ont une très grande confiance dans leurs autorités, beaucoup plus que les habitants d’autres pays ; ils suivent en général les instructions de leurs autorités. » Nos voisins sont devenus des paresseux politiques, c’est le constat que fait Slobodan Despot. Autrement dit, les Helvétiques se font, eux aussi, entourlouper par leurs élites et « la démocratie directe ne sert qu'à valider davantage et à légitimer encore plus des décisions iniques ». Les votations régulières donnent l’illusion d’un pouvoir populaire, alors que les citoyens, « désinformés ou mal informés, ne font que ratifier des projets préparés par des élites et leurs relais médiatiques ». C'est ce qu'il nomme la politique du kitsch, une société parallèle : « Un des éléments clés de cette pseudo-société, qui donc ne remplit pas ses obligations ni ses promesses, c'est le contrôle. Le contrôle est absolument indispensable. » L'exemple type est le vote sur l'identité numérique — passé à seulement 20 000 voix près (50,4 %) — dimanche dernier, aidé d'une belle promotion signée Swisscom (en anglais ! très représentatif et lourd de sens aussi ça !).
Telle une mise en garde lancé à tous ceux qui idéalisent la Suisse, derrière l’image soignée de sa démocratie, Slobodan Despot y voit un terrain d’essai où, sous couvert de consensus, se testent des dispositifs que l’on retrouvera demain ailleurs en Europe. « La Suisse est un pays très conservateur et, dans d'autres domaines, c'est un pays qui est toujours à l'avant-garde de l'innovation, notamment en matière de gestion humaine. » Pour lui donc, pas de quiproquo possible : « La Suisse est un laboratoire de tout ce que l'Occident intégré et globalisé veut faire passer. »
L’observation suisse de Slobodan Despot le conduit naturellement au modèle occidental dans sa généralité, et en particulier au cas français : « Quand les dirigeants n’ont plus de réponses sociales, ils brandissent la peur extérieure et la promesse de protection. » C’est ce que fait Emmanuel Macron, en brandissant notre dissuasion nucléaire — et son partage avec ses alliés européens — à tour de bras. Mais, comme le souligne Slobodan Despot, « Si la France commence à couvrir le jappement des Estoniens ou des Polonais avec sa force de dissuasion nucléaire, elle s’expose elle-même à être détruite. »
Il est donc plus que temps de se débarrasser de cette caste. Un seul remède existe pour cela : la connaissance, l’information, qui nous permettra de dire enfin et collectivement « plus jamais ça » en 2027 !
Au fait, savez-vous qu'en 1935, (tiens on n'en parle pas sur nos manuels d'histoire, bizarre ! vous avez dit bizarre ! ) il y a eu, comme ça se fait souvent, un référendum en Suisse sur la question de changer la Constitution suisse pour en faire un REGIME NAZI, eh oui ! la proposition a été refusée, mais il s'est quand-même trouvé 27% de suisses pour voter OUI. en 1935 Ceux qui ont voté pour ça savaient donc parfaitement pour quoi ils votaient, il avaient le modèle à côté de chez eux. Je rappelle que le plus haut score que les NAZIs ont reçu en Allemagne dans le cadre d'une élection libre ce fut 32% en octobre 1932, dans une Allemagne déboussolée, ravagée par le chômage la ruine économique, la violence, des gens qui ne savaient plus à quel saint se vouer.

