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07/09/2024

Maurice Carême (né à Wavre !)

Maurice Carême était-il hanté au fond de son âme par la peur de la mort comme moi ?
(comme Apollinaire aussi "Beaucoup de ces dieux ont péri/ C'est sur eux que pleurent les saules/ Le grand Pan l'amour Jésus-Christ/ Sont bien morts et les chats miaulent/ Dans la cour je pleure à Paris)
Lisez :

Dès qu’on t’abandonne à toi-même,
Tu redeviens cet enfant las
Qui pleurait dans le soir, tout bas,
En écoutant les sourds abois
D’une chienne rauque et lointaine.

Cette chienne elle est toujours là,
Mais c’est dans ta chair qu’elle aboie
. (L’heure de grâce, 1957)

06/09/2024

les députés qui ne voteront pas la destitution de Macron et ne censureront pas son gouvernement seront des traîtres à la nation

chers Patriotes,

Nous vivons un grand dévoilement ! Depuis la dissolution, Macron a voulu gagner un maximum de temps avant de nommer un gouvernement pour accroître le chaos, tout en rendant irréversible un budget d’ultra-austérité exigé par Bruxelles ! Piquer 110 milliards aux Français… Un vrai coup d’État, pour nous mettre sous tutelle de l’UE !
Moment de vérité aussi pour les « oppositions » forcées de dire si elles voteront ou pas la destitution de Macron (officiellement lancée depuis mardi !) et une motion de censure pour renverser le futur gouvernement. Les parlementaires qui refuseront de voter destitution et motion de censure seront des traîtres à la nation ! Le Système veut accélérer la soumission mondialiste de la France, avant la révolte. À nous, peuple français, de résister de toutes nos forces et de bâtir la seule alternative possible : celle d’un peuple debout dans un pays libre ! Nos Assises d’Arras le 14/09 visent à lancer le Bloc souverainiste et notre manif pour la destitution, samedi, a clairement posé les termes du combat !

Saluons un magnifique exemple de résistance populaire : celle des Brésiliens face à l’interdiction du réseau social X imposée dans leur pays par un juge tyrannique ! Une énorme manif pour les libertés est prévue dans quelques jours là-bas, des pétitions réunissent des millions de signatures, 150 députés lancent la destitution de ce juge, et les appels à la désobéissance émanent de personnalités courageuses, malgré les menaces. Quand le peuple balaie massivement une règle injuste, alors celle-ci n’existe plus, et c’est la liberté qui gagne ! Une telle fermeture des réseaux sociaux est possible chez nous : l’UE l’envisage ! Alors observons cette résistance brésilienne, prenons-en le meilleur et préparons-nous dès maintenant à nous battre. Remettons le goût de la liberté et de la liberté d’expression dans toutes les têtes ; luttons pour le Frexit, condition de notre libération nationale, contre les corrompus et les censeurs ! 

La résistance c’est l’action ! Immense bravo à ceux d’entre vous qui vont dès maintenant rejoindre Les Patriotes ou reprendre leur adhésion annuelle ou faire un don de soutien au mouvement (pour cela, voir les liens ci-dessous). Les actions que nous organisons partout sont si coûteuses, avec zéro euro d’aide publique ! On ne lâche rien. Les adhésions, réadhésions et dons sont défiscalisés aux 2/3 pour vous : profitez-en ! Bravo pour vos soutiens si utiles, si vitaux

05/09/2024

Définition

L’AFP, agence véreuse au service du mondialo-fascisme et de l’État profond US

04/09/2024

le pape Célestin V - lui aussi ! - a été caricaturé et sa vraie figure soigneusement oblitérée ....

« L’histoire humaine n’est rien d’autre que l’histoire de la lutte des classes » avait dit Marx. Et il avait raison. Y compris dans l’Église, regardez la mort de Célestin V, de Adrien VI, de Marcel II, de Jean-Paul 1er, la démission forcée de Benoît XVI.
Benoît XVI (qui avait prétendu être trop fatigué pour être pape, il était en pleine forme, bien plus que Jean-Paul II, qui resta pape jusqu’à son dernier souffle, il vit toujours !) Benoit XVI, son premier geste fut d’aller prier devant la tombe de ….. Jean-Paul 1er ! et quand il a démissionné il a déposé son pallium sur la tombe de Célestin V !! Benoît XVI ne masquait pas son admiration pour ce pape tiens tiens ! c’est clair ! ) Lisez mon compendium sur le dossier Célestin V, connaissant le contexte de l’époque, les  "hérétiques" protestataires du luxe du clergé, diabolisés et brûlés par l’inquisition, Joachim de Fiore, etc, le conflit de Philippe le Bel avec les Templiers, préteurs de l’époque ….
Et documentez-vous sur l’élection accidentelle, les projets et les conditions de la mort d’Adrien VI, et de Marcel II (pas sur Wikipédia bien sûr!) vous découvrirez des choses !

Selon l'histoire officielle (mais souvenons-nous que l'histoire est  toujours racontée par les vainqueurs .... or par des évènements et des cas récents nous avons appris grâce à internet à voir comment, à quel point et par quels artifices on peut déformer, caricaturer, censurer cacher  la réalité jusqu'à la rendre méconnaissable.) le pape Célestin V aurait démissionné (comme Benoît XVI mais Benoît XVI  on s'est tout de suite douté que ça cachait quelque chose), il se serait retiré dans un couvent, puis ........ enfui dudit couvent, de ville en ville pour échapper à ses poursuivants ...... et c'est alors qu'il cherchait à filer en Grèce qu'on l'a rattrapé et le pape qui lui a succédé l'a enfermé sous bonne garde dans son château d'Agnani, officiellement pour le protéger contre des gens qui pourraient l'enlever ! Euh, un petit détail : il est mort peu après ....

Bizarre tout ça, d'autant plus quand on apprend des détails sur le personnage :

Célestin V - 1.png

ça donne des pistes de réflexion, non ?

(eh oui ! au XIVè siècle il n'y avait pas internet ! il était plus facile de camoufler la vérité .... et après la routine des historiens fonctionne, voilà voilà)

 

Le dossier en plus détaillé :

D’ailleurs le pape Benoît XVI, qu’on a forcé à la démission en bloquant tous les contacts électronique bancaires du Vatican, qui furent aussitôt débloqués – sans explication ! - dès que fut annoncé sa démission ! Et qui visiblement avait le sens des gestes symboliques (quand il fut élu il alla prier sur la tombe de …. Jean-Paul 1er !  (……  ) et dans son premier discours il dit priez pour moi, que j’ai le courage de ne pas céder devant les loups ( …) visiblement il a cédé. Benoît XVI donc quand il a démissionné a déposé son pallium sur la tombe de CélestinV !! Benoît XVI ne masquait pas son admiration pour ce pape : « Huit cents ans se sont écoulés depuis la naissance de saint Pietro Celestino V, mais il reste présent dans l’histoire en raison des célèbres événements de son époque et de son pontificat et, surtout, de sa sainteté. En effet, la sainteté ne perd jamais sa force d’attraction, elle ne tombe pas dans l’oubli, elle ne passe jamais de mode, au contraire, avec le passage du temps elle resplendit d’une luminosité toujours plus grande, exprimant la tension éternelle de l’homme vers Dieu. Je voudrais alors tirer plusieurs enseignements de la vie de saint Pietro Celestino, valables également à notre époque ».

http://benoit-et-moi.fr/2013-II/benoit/ce-lien-etrange-entre-celestin-v-et-benoit-xvi.php
La figure de ce pape doux est resté écrasée par un enchevêtrement d'intérêts politiques: ceux de Charles II d'Anjou (1254-1309), d'une part et de l'autre ceux du cardinal Benedetto Caetani, ce dernier devenu pape sous le nom de Boniface VIII. C'est ainsi que Célestin V renonça au bout de quelques mois, indisponible à toute forme de corruption, à la charge pontificale. Il est mort le 19 mai 1296 après dix mois de captivité à Castel Fumone près d'Anagni, prisonnier justement de Boniface VIII qui, redoutant que ses adversaires puissent convaincre Célestin V de revenir au trône pontifical, le destituant ainsi, empêcha le saint moine de retourner à son ermitage.
Curieusement, Boniface VIII porta le deuil à la mort de Célestin V, seul cas dans l'histoire des papes, et fit célébrer une messe publique pour le repos de son âme, et c'est lui qui initia le processus de canonisation mené à son terme le pape Clément V en 1313 à l'instigation du roi de France, Philippe le Bel (1268-1314). (rapport de forces ! faux-semblants, takallouf, déjà !)

Plus tard, en 1630, Lelio Marini, Abbé Général de la Congrégation de Célestin, dénonça l'assassinat de Pietro da Morrone par ordre de Boniface VIII.

il fut élu pape, sans avoir jamais posé sa sa candidature, après un peu plus de deux ans de vacance du Siège Apostolique.
http://chiesa.espresso.repubblica.it/articolo/135084575af.html?fr=y "Les cardinaux avaient pour objectif d’élire, en sa personne, un candidat de compromis qui constituerait une solution de transition, un ermite dépourvu d’expérience, très avancé en âge (85 ans), qui promettait de devenir un pape pas trop sévère.

Ce n’est pas à Rome – ville dans laquelle Célestin V ne se rendit jamais – que Charles II organisa la cérémonie de couronnement du nouveau pape, mais à L'Aquila, ville qui faisait partie de ses domaines. Pierre y fit son entrée monté sur un âne, à l’exemple du Christ, ce qui fit naître dans le peuple l'idée que le pape angélique des prophéties était enfin arrivé. Puis il s’installa à Naples, la capitale du roi angevin Charles II, neveu du roi de France Louis IX et roi de Naples, où celui-ci l’entoura d’hommes à lui tout en comblant de privilèges royaux les monastères fondés par Pierre. Ce dernier ne refusa pas ces largesses, mais il continua personnellement à mener une vie austère, dans une cellule aménagée spécialement pour lui au Château Neuf de Naples.

Élu le 5 juillet 1294 avec l’appui du roi Charles II d’Anjou qui souhaitait un Pape apte à lui faire reconquérir la Sicile, Pietro Angelari da Murone était loin de se douter de ce qu’on allait faire de lui. Les cardinaux chargés de l’en informer eurent à escalader un sommet des Abruzzes par une sente à décourager un mulet ! Découvrir l’ermitage où Pietro vivait en solitaire depuis un demi-siècle ne signifiait pas encore forcer sa porte. Les messagers de Rome purent tout juste apercevoir, par un étroit grillage, une tête hirsute et entendre une voix affaiblie les prier de le laisser tranquille. Non, il n’ouvrirait pas ! Non, jamais on avait songé à élire Pape un bonhomme de quatre-vingts ans perdu depuis dix lustres dans des solitudes sauvages !
On lui rappela les services qu’il avait rendus à l’Eglise, la congrégation de solitaires bénédictins qu’il avait fondée ; on lui remit en mémoire une prophétie séculaire qui annonçait pour des temps apocalyptiques, un mystérieux Pape angélique… Or, ne s’appelait-il pas précisément « Angelari », et pouvait-on attendre époque encore plus apocalyptique ? C’était de toute évidence la volonté de Dieu qu’on était venu lui signifier. Pietro Angelari se laissa ébranler : il consentit enfin à ouvrir sa porte et descendit de sa montagne avec ces messagers de Dieu. Mais c’est monté sur un âne qu’il tint à se présenter à Aquila, le 29 août, pour son couronnement. Il prit ce jour-là le nom de Célestin V.
Charles II ne perdit pas de temps et convainquit le nouveau Pape de résider à Naples. Le Souverain Pontife ne devina pas qu’on le plaçait ainsi sous étroite surveillance. Il fut tout heureux de se trouver un autre ermitage et se mit à méditer sur ses nouveaux devoirs. Mais Charles II se chargea de lui dicter les réformes qu’il attendait de lui. Pour commencer, nommer douze cardinaux, tous clients du roi de Naples. Après cela, il fallait aussi de toute urgence nommer un nouvel évêque à Toulouse : Louis, le tout jeune fils de Charles II. Et ainsi de suite…
Célestin V était pieux, il était docile, mais il n’était pas encore complètement idiot. Il se rendit assez vite compte qu’il n’était pas taillé pour cette fonction. Le cardinal Caëtani d’ailleurs s’employa à dissiper ses derniers doutes : oui la « volonté de Dieu » demandait à Célestin de passer la main. Caëtani poussa le dévouement jusqu’à rédiger lui-même un texte que le bon Pape n’eut plus qu’à lire, le 13 décembre 1294, devant les cardinaux assemblés : un acte d’abdication, cinq mois seulement après son élection. Caëtani, sous le nom de Boniface VIII, succéda à celui qu’il avait si charitablement secondé.
Célestin crut pouvoir regagner son ermitage mais Boniface VIII en décida autrement : il mit son prédécesseur sous les verrous. Et c’est en prison que mourut l’infortuné Célestin V le 19 mai 1296.

 

Le 13 décembre 1294, Célestin V renonce au trône de Pierre devant le collège des cardinaux à Castel Nuovo. Le texte de son discours semble avoir été rédigé par Benedetto Caetani, l'un des canonistes qu'il avait consultés . Le 24 décembre, ce même Caetani est élu pape sous le nom de Boniface VIII  (!...) et fait placer l'ancien pontife sous surveillance au motif qu'il pourrait être enlevé par ceux qui contestent la licité de la renonciation. Pietro s'enfuit à Sant'Onofrio, puis à San Giovanni in Piano, avant de tenter de partir pour la Grèce. Il est arrêté en chemin et transféré à Anagni puis au château de Fumone en Campanie sur l'ordre de Boniface VIII. Là il mourra.
Mort naturelle ou assassinat ?


http://eucharistiemisericor.free.fr/index.php?page=2007101_vian Assurément, Pietro del Morrone ne fut pas la personne naïve et désarmée que beaucoup décrivent. Pour le démentir, il suffit de constater qu'à l'origine, il fut à la tête d'une congrégation d'ermites qui se diffusa et se ramifia, de son vivant, dans de multiples fondations, entre l'Italie centrale et du Sud, franchissant très vite les Alpes. Pour défendre sa création, Pietro eut la force et le courage de se rendre à Lyon vers la fin de 1274, à la Curie pontificale, où il obtint de Grégoire X un privilège solennel qui, incorporant sa congrégation dans la famille bénédictine, en confirmait les propriétés, alors déjà importantes. Il fut à la tête de plusieurs communautés, comme celle de Santa Maria di Faifoli à Montagano, dans le Molise, ou de San Giovanni in Piano, près de Lucera, dans les Pouilles, qu'il réforma et consolida, même économiquement. Frugoni a donc raison lorsqu'il voit en Célestin non pas "ce vieillard caché dans les silences de la montagne et dans la macération des pénitences", mais "l'âme ardente et volontaire qui avait pendant tant d'années guidé son groupe de moines, qui était devenu toujours plus grand grâce à lui. Vibrant d'une religiosité qui se nourrissait d'attentes eschatologiques et qui refusait certainement l'Eglise politique comme un péché. Et il aura considéré comme un péché cette expérience, riche de compromis et de calculs des hommes d'Eglise, si différente de son idéal passionné. D'où le sentiment d'être moins profondément menacé par l'appui des laïcs qui paraissaient lui offrir leur dévotion et leur aide, et en même temps le poussaient, complices des moines, ".
…..
A ce point, les insatisfaits du nouvel ordre bonifacien s'emparent de la figure de Célestin pour voiler et celle de son successeur, accusé d'être le responsable occulte d'une abdication illégitime extorquée par des moyens frauduleux, et même responsable d'une mort violente dans la forteresse de Fumone.
A l'Eglise entièrement politique et terrestre de Boniface est opposée la présumée Eglise spirituelle de Célestin. Et on applique à Célestin - ce que fait déjà le dominicain provençal Robert d'Uzès en 1295-1296 - les prophéties relatives à un Pape angélique. Celles-ci peuvent encore une fois être attribuées à des groupes de spirituels italiens protégés par Célestin, qui diffusèrent en Occident des prophéties grecques attribuées à l'empereur Léon le Sage qui, dans la traduction latine, appliquent à un Pape les caractéristiques d'un souverain des temps derniers, partisan du droit et de la justice. Le filon prophétique du Pape angélique trouve dans la figure de Célestin un point de départ qui se projette vers l'avenir, traverse le XIIIe siècle, influence Cola di Rienzo, qui en est venu à connaissance par les ermites de la Maiella, et en diffuse le contenu dans la Bohême de Charles IV, mais il apparaît encore chez Savonarole, arrive même à Nostradamus et, à la fin du XVI siècle, au pseudo Malachie. Si Dante, également pour des raisons personnelles, condamne la renonciation de Célestin comme un acte de lâcheté, Pétrarque, dans sa défense de la vie solitaire, l'exalte comme un geste de liberté évangélique suprême. Mais Célestin continue à être pendant tout le XIX siècle le symbole d'une Eglise différente, prophétique, non terrestre mais entièrement religieuse: des Lettere agli uomini di Papa Celestino VI (1946), où transparaît tout l'élan prophétique et apocalyptique du dernier Papini, à L'avventura di un povero cristiano (1968), le dernier livre d'Ignazio Silone, originaire des Abruzzes.

Dans sa vie d’ermite il avait acquis une grande renomée et plein de gens voulaient le voir, lui essayait de les fuir, sans succès :
http://books.openedition.org/pup/7041?lang=fr Pierre de Morrone jugeait cette situation peu compatible avec sa vie d’ermite. Il décide de se retirer à Saint-Barthélemy de Legio, dans un lieu plus isolé, avec quelques frères seulement19. Les visiteurs l’y poursuivent et Thomas de Sulmona note qu’ils sont encore plus nombreux20. Après y être resté quelques années, le saint ermite se rend dans une grotte de la vallée de l’Orfente encore plus inaccessible.  Si grande était la foule qui venait à lui de toute part, au moment où il recevait, que la montagne semblait presque pleine de gens et c’est à peine si quelqu’un pouvait avoir la faculté de lui parler.
Il s’agit cette fois d’une multitude et c’est la première fois que Thomas de Sulmona emploie ce terme dans sa biographie. …..
Le retour de Pierre de Morrone dans un ermitage à proximité de la plaine, non loin du monastère du Saint-Esprit est une décision mûrie.  Son installation est l’occasion d’une extraordinaire démonstration de ferveur populaire. Il y a une multitude d’hommes et de femmes qui encombrent tous les chemins, tous les sentiers et toutes les routes. C’est une véritable procession. Tous les habitants de la province sont là et certains sont venus de plus loin encore.

L’élection pontificale donne à la notoriété de l’ermite un caractère universel qu’elle ne perd plus par la suite. Pendant sa fuite il est partout reconnu. Dans les Pouilles, des enfants qui ne l’ont jamais vu l’identifient immédiatement. De son élévation au pontificat à sa mort, où qu’il aille, la rumeur publique le précède. Personnage vénéré, Pierre de Morrone est entouré, dès son vivant, par la dévotion populaire.

Que Pierre de Morrone ait effectivement donné un enseignement spirituel à ceux qui se pressaient auprès de lui est bien assuré par son biographe qui consacre quelques paragraphes à rapporter brièvement ses propos aux différentes catégories de visiteurs. Il exhortait les puissants à ne pas mettre leur espérance dans la gloire du monde et dans les biens périssables. Il les invitait à rendre à leurs vassaux et à leurs subordonnés l’honneur qu’ils méritaient. Aux riches, il rappelait le devoir d’aumône.
… Il fait un signe de croix sur une fillette et elle est guérie. C’est donc un miracle. Après son élection au pontificat, la bénédiction donnée à la fin de la messe a le même résultat.

Et puis, la question qui fait mal ! la question de l'inspecteur Colombo !!

POURQUOI PHILIPPE LE BEL A-T-IL DEMANDE QUE CELESTIN V SOIT RECONNU COMME MARTYR ? hein ? martyr de quelle cause, martyrisé par qui ?

En 1305-1306, Philippe le Bel demande au pape Clément V l'ouverture d'une enquête sur la vie et les miracles de Célestin V. Clément V, qui a refusé au roi l'ouverture d'un procès contre Boniface VIII, finit par accepter. L'enquête débute en 1306, mais n'aboutit qu'en 1313. Le 5 mai, Pietro de Morrone (et non sous le nom de Célestin V) est déclaré saint comme confesseur et non comme martyr comme le demandait Philippe le Bel.

03/09/2024

service militaire

Finalement la suppression du service militaire n’aura pas été un progrès ni une libération, car entre temps c’est la totalité de la vie qui est devenue un immense Service Militaire et toute la société une caserne, du berceau à la tombe, de la crèche au mouroir.

Et comme je l’ai déjà dit l’enseignement obligatoire sur 20 ans maintenant sans plus aucun profit culturel et le chômage au bout n’a comme but comme ils disent que d’habituer les « jeunes » à la « citoyenneté », comprenez « à obéir » , à s’habituer et à trouver normal de se trouver constamment sous le regard de caméras de vidéo-surveillance et sous la menace des bavures de la flicaille et des vigiles privés. Et a subir la pression du conformisme social, + l’obligation en plus réglementaire de porter un uniforme : jeans de marque, tee-shirt (le tout en « français » dans le texte !!) noir de rigueur, et pas le moindre choix personnel a part celui entre arborer ostentatoirement Mickey, GAP, REEBOCK, Adidas ou Naf-Naf. Et à n’avoir le droit de manger ou de passer d’un endroit à l’autre qu’en montrant « patte-blanche », ou plutôt empreinte manuelle, iris de l’œil, et bientôt micro-puce incorporée - plus moderne qu’à Ravensbrück ! et encore plus « sécurisé » !… - . Et à supporter de rester des heures et des heures assis à se faire chier dans un environnement laid au milieu d’une pression sociale à la connerie (comme dans une caserne) qu’ils s’habituent à intérioriser et à vivre naturellement obsédés par leur devoirs et leurs « responsabilités », et surtout plus par leurs droits, comme on s’y était habitués, et que ça avait fait la base de la culture républicaine durant deux siècles, de Jean-Jacques Rousseau à Jean Moulin.

 

"Bref le lycée ne sert absolument pas à s’instruire mais à formater les élèves afin qu’il deviennent une masse informe sous le plein contrôle de l’élite..."

(billet écrit déjà en 2015, même avant)

02/09/2024

mes aphorismes - deuxième partie

 

Les souvenirs il n’y a que ça de bien : les souvenirs communs, les souvenirs communs avec quelqu’un de vivant.

 

Les touristes, c’est les mouches des temps modernes, c’est les nouvelles mouches, qui volent et grouillent exactement pareil autour de tous les lieux attirants.

 

Les violences morales font beaucoup plus de mal que les violences physiques.

 

L’Europe n’est pas une expression géographique, c’est une idéologie. (celle du libéral-fascisme)

Son usage est d’ailleurs fortement marqué socialement.

 

Maintenant dans le commerce on traite les clients comme sont traités les pères divorcés, c'est à dire: « aboule le fric, et casse-toi! »

 

Ne critiquez pas les innovations du modernisme : elles deviendront si vite un passé révolu qu’on regrette !

 

Ne estas vivi krom brakumo

 

On a besoin des citations

comme on a besoin des étoiles.

Comme on a besoin des chants d’oiseaux. Comme on a besoin la nuit de dormir avec l’air du jardin par la fenêtre.

 

On a besoin des citations pour avoir un lieu commun avec les humains, une « meïdan » ; et pour se constituer un lieu particulier à soi.

 

On a eu tort de critiquer encore et toujours, en long et en large les turpitudes du régime soviétique : ce n’était qu’un exemple, banal, parmi plein d’autres, de la perversité intrinsèque des puissants.

On a tort de critiquer les drogues, puisque la vie humaine n’est possible que dans l’inconscience.

 

On empêche les garçons d’être câlins, à cause de préjugés ridicules et qui leur coûtent cher.

 

On est ce qu’on donne.

On ne peut être heureux que sans y penser, et sans le vouloir. Si on recherche le bonheur on ne peut être que déçu.

 

On n’est même pas des agonisants, mais d’ores et déjà des cadavres, et la vie et le monde entier est un cadavre. Où peuvent divaguer des bouts de cendre dans un cimetière ça n’a aucune importance.

 

On ne peut jouer aux cartes avec personne ; car cette personne va vieillir, enlaidir et mourir.

et pourrir à tout jamais

On ne vit que d’équivoques et de mensonges.

 

Politiquement correct.
Tu crois que la mer va respecter les Droits de l’Homme ? non. Et le sable ? encore moins .Et les années, et les minutes : elles ne respectent pas du tout les Droits de l’Homme.

 

Politiquement correct. Eh ! vous savez ? : « La tolérance, c’est toujours la tolérance envers ceux qui ne pensent pas comme vous. » Eh oui ! Si ! si ! Ça vous embête, hein !?

 

Quand on achète un vêtement on achète du profit spéculatif, avec un peu de textile dedans.

 

Quelle tristesse ! Quelle douleur, d’apercevoir un beau chemin de terre filant tout droit dans la campagne et de ne pas pouvoir l’emprunter.

 

Rien n’est plus indispensable à la vie que des souvenirs partagés.

 

Sa chatte devait être amputée d’une patte avant ; pour qu’elle ne soit pas malheureuse on l’a fait « piquer » : ils font avec les animaux comme ils font avec les humains . . .

 

Sans des mains sur son visage il n’est pas possible de vivre

Selon Kant, nous rappelle Unamuno, nous devons considérer nos proches, les autres hommes, non comme des moyens, mais comme des fins. Ce qui condamne le salariat. Mais pas l’érotisme.

 

Seul avec les animaux existent les vrais rapports humains, et l’universelle métaphysique.

 

Si l’amour que nous ressentons pour les animaux est souvent plus pur que celui qu’on porte à des humains c’est qu’il nous amène tout de suite à l’essentiel.

 

Si on veut pouvoir supporter la vie il faut ne rien en attendre.

 

Si, on ne sait pas rêver on ne vit pas.

 

Tous ceux qui sont sorti vivants de la guerre 14-18 sont morts à l’heure qu’il est.

 

Tous les japonais qui se sont extasiés devant la beauté du matin sont morts.

 

Tout le malheur de nos relations humaines vient de ce qu’on ne sait plus se donner.

 

Un être qui n’est pas caressé, n’existe pas.

 

Une maison qui n’a pas ses fenêtres ouvertes n’est pas une vrai maison.

 

Une ville où les églises ne sont pas ouvertes n’est pas une ville. Une maison dont les fenêtres ne sont pas ouvertes n’est pas une maison. Une route où on ne peut pas s’arrêter sur les bas-côtés n’est pas une route.

 

Maintenant une personne de 13 ans est considérée comme un enfant qui n’a pas le droit de faire l’amour, et qui n’est même pas considéré comme capable d’avoir un libre consentement, mais par contre il a parfaitement le droit d’être fiché par la police et d’être considéré comme un criminel ! (ficher « Edvige »). Il n’a pas le droit d’être caressé mais il peut recevoir des coups de matraques et de « taser », et être traumatisé à vie par les traitements dégradants de la police !

Ca laisse quand même rêveur. Il y a comme une inquiétante conception des valeurs, là.

 

Y’en a marre de ces bien-pensants qui « bétonnent », de ces gens heureux – mais à quel prix ? – qui s’estiment raisonnables, mais qui ne sont que médiocres et égoïstes !

 

 

33-45 n’était qu’un 1er essai, grossier et brutal il était voué à l’échec….

T

 

 

 

 

   

Les poèmes qui ne méritent pas d'être appris par coeur ne méritent pas d'être lus. (et corrélativement les poèmes que vous aimez il faut que vous les appreniez par coeur)

 

V

 

 

 

P

 

 

01/09/2024

cette "upper-class" qui crache sur le peuple

avez-vous remarqué que quand dans un titre journalistique on dit "les diplômés" ceci, "les diplômés" cela - on entend TOUJOURS par là en fait les seuls diplômés du supérieur ! Alors, l'ami Socrate, réfléchissons un peu : alors comme ça le BEPC, le CAP, le BEP, le bac, ça n'est pas "des diplômes" !!? ceux qui ont le BEPC, le bac, ou un CAP, ça ne sont pas des diplômés ?! .....

revoilà l'infect racisme de classe (tout racisme d'ailleurs quand on gratte un petit peu, se révèle être un racisme de classe ! un racisme anti-pauvres, réflechissez un peu vous verrez) le racisme universitaire, de la classe des journaputes et leurs commanditaires les cadres-sup' du secteur privé (oui, les ceusses qui ne produisent RIEN, ni bien ni service, mais gagnent (très copieusement) leur vie à spéculer sur l'art de se faire du fric autour de la vente de biens ou de services produits par d'autres (très mal-payés eux), bref ceux que Bernard Friot rappelle (à leur grande colère, eh eh ! ) qu'ils sont des parasites.

Bref la classe qui vote pour le PS ou pour Macron, ou bien sûr pour la droite traditionnelle, et tout ça, bref "la volaille qui fait l'opinion" dans les beaux salons modernes éclairés à l'halogène. Des gens formés à coup de "réductions de texte" à bien penser dans les rails en manipulant rien que des petits cucubes conceptuels à la momode.

Eh oui "l'émancipation des travailleurs ne pourra être l'œuvre que des travailleurs eux-mêmes" (MARX). Maintenant voyons cette très intelligente vidéo https://ruclips.net/video/at_Ml0Zutfk/l-insurrection-est-...    et puisque sur ruclip on peut les lire lisez les commentaires ! le plus intéressant est celui qui dit :

"Je crois surtout que les "intellos" sont bien emmerdés, car ce sont les patrons des gilets jaunes : combien parmi eux emploient des femmes de ménage, des nounous et autres

(très très bonne remarque ! On revient aux principes d’analyse marxiste, les conditions matérielles de vie ! Fondamental !)

[suite ] ]domestiques (avec ristourne de l'État qui subventionne donc ce patronat-là aussi), tout en se félicitant de "donner du travail à des pauvres gens" ? Combien parmi ces intellos traitent le personnel administratif du CNRS et de l'Université comme de la merde ? Combien pensent en leur for intérieur quand ils ne le disent pas carrément que tous ces gens qui n'ont pas fait normale sup ne devraient pas être autorisés à voter ?"

Voilà qui apporte de l'eau au moulin de la remarque qui ouvre ce billet hein ?!

regardez cette vidéo, au milieu du débat  (à partir de 54 min ?) il y a une très intéressante conversation sur le RACISME DE CLASSE des bourges "diplômés de l'université" envers le peuple, super ! :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=ZZxhCGEMMdE[/youtube]

 

"C’est assez amusant, si l’on peut dire, de discuter en ce moment avec des gens de la "gauche" bourgeoise  intello qui, se sentant en tant que "du Parti du Bien" ! donc de la gôche obligés à une certaine solidarité (purement verbale !) avec la "France d’en bas" (dont ils font rarement partie), défendent le principe de donner davantage la parole au peuple, mais deviennent d’un coup très timorés dès qu’on entre dans le concret et qu’ils se rendent compte de ce que ça impliquerait... On perçoit très vite les limites de leur conception de la démocratie. On touche là à l’un des savoureux paradoxes de ceux qui se prévalent de parler au nom du peuple..."

(oui ce peuple qui pour eux est par définition stupide, voilà le nœud idéologique et viscéral de ces racistes de classe, par ailleurs dépourvus de toute trace de sens moral 4min20 : https://hdclips.top/hd-videos/ghEkDQcu5Yo/dieudonn%C3%A9-... )

 

mais il peut y avoir un retour de bâton  ("l'éternel retour du concret" disait Lénine), écoutez ici JJ Crèvecœur :
https://odysee.com/@Contreverse:7/210621-CDL93-HR:6

" parce que justement vous ne vous sentez pas du côté des privilégiés, vous avez davantage prêté attention à des discours qui n'allaient pas dans le sens du discours des privilégiés"

aussi n'ayez pas honte d'être "conspirationniste" car c'est ça justement qui est l'esprit scientifique rationnel ! comme en 1995, le peuple en n'écoutant pas la propagande "obligée" des gens qui se croient par droit divin du côté du vrai du beau et du biâân, vous aurez accès à plus d'esprit critique, et d'information !! et peut-être c'est ainsi que le petit peuple fera renaître la France !

un article de Nicolas Bonnal :

« cette haine pathologique envers le peuple »

Les Nouveaux Chiens de Garde et le « pass » (en amerloque dans le texte) sanitairepar Nicolas Bonnal.

La presse française, qui appartient à quelques oligarques (dont Bernard LVMH, qui pèse aujourd’hui MILLE milliards…de francs) et est subventionnée à hauteur de 500 millions d’euros tant elle dégoûte les Français, aura été crasse et ignoble depuis le début de cette histoire : affolement, confinements, masques, vaccins, meurtres de masse, passes sanitaires, chantage et menaces, elle nous aura tout imposé. Malheureusement il n’y a rien de nouveau le sommeil : depuis les années Mitterrand et le passage du col Mao au Rotary (Hocquenghem) nous sommes dans un présent permanent d’omerta (Coignard), d’abjection et de désinformation. Nous sommes là pour enrichir les riches et pour empoisonner les Français, disent les gardiens de camp médiatique et électronique.

C’est que les gens dont nous parlons sont des chiens de garde. Et quels dobermans ! Et quels roquets ! Revenons-en alors au maître-livre de Serge Halimi, trublion du Monde diplomatique, qui rappelait dans son très documenté pamphlet que le journaliste est avant tout un enthousiaste :

« La censure est cependant plus efficace quand elle n’a pas besoin de se dire, quand les intérêts du patron miraculeusement coïncident avec ceux de « l’information ». Le journaliste est alors prodigieusement libre. Et il est heureux. On lui octroie en prime le droit de se croire puissant. Fêtard sur la brèche d’un mur de Berlin qui s’ouvre à la liberté et au marché, petit soldat ébloui par l’armada de l’OTAN héliportant au Kosovo la guerre « chirurgicale » et les croisés de l’Occident, avocat quotidien de l’Europe libérale au moment du référendum constitutionnel : reporters et commentateurs eurent alors carte blanche pour exprimer leur enthousiasme. Le monde avait basculé dans la « société de l’information », avec ses hiérarchies « en réseau », ses blogs et ses nouveaux seigneurs ».

La presse fut chargée d’encenser Davos :

« Le capitalisme a ses charités, ses philanthropes dont la mission est d’enjoliver un système peu amène envers ceux qu’il ne comble pas de ses bienfaits. La presse trône au premier plan de ces campagnes de blanchiment. Ainsi, Davos, autrefois conclave des « global leaders » soucieux de « créer de la valeur » pour leurs actionnaires, serait presque devenu un lieu de virée pour patrons copains et citoyens ».

Halimi tacle au passage l’effarant Joffrin :

« N’accablons pas Laurent Joffrin. Lui qui, pendant les années Reagan, célébra les États-Unis et le libéralisme (l’émission « Vive la crise ! » fut en partie son œuvre) n’a fait que traduire à sa modeste échelle ce que, sous la double pression de la concentration capitaliste et d’une concurrence commerciale favorisant le conformisme et la bêtise, le journalisme est devenu presque partout : creux et révérencieux ».

La géographie ça sert d’abord à faire la guerre, disait Yves Lacoste. La presse encore plus, surtout dans une puissance belligène et coloniale :

« Pendant les guerres, la presse se soucie moins de consensus, de pédagogie, de complexité, et davantage de réchauffer l’ardeur des combattants. Presque tout a été dit sur l’effondrement de l’esprit critique lors de la guerre du Golfe où, mis à part L’Humanité et La Croix (par intermittence), chacun des directeurs de quotidien se plaça au service de nos soldats. Quasiment unanimes, les hebdos, radios et télévisions firent chorus, se transformant en classe de recyclage pour officier au rancart vaincu en Algérie trente ans plus tôt et soucieux de prendre, dans les médias, sa revanche sur les Arabes ».

Halimi souligne cette haine pathologique du peuple. On la sentit venir en 1992 au moment de Maastricht. Juste là confinée au nationaliste pauvre (raciste, fasciste, nazi, antisémite, etc.), cette haine se communiqua à tout le peuple de gauche, du centre ou d’ailleurs :

« En 1992, la campagne du référendum sur le traité de Maastricht répéta les « dérives » observées pendant la guerre du Golfe. Là encore, beaucoup de choses se conjuguèrent : la volonté d’encourager l’élite éclairée qui construit l’avenir (« l’Europe ») alors que le peuple ne sait qu’exhaler ses nostalgies, sa « xénophobie » et ses « peurs » ; la préférence instinctive pour les options du centre, surtout lorsqu’elles s’opposent aux extrêmes « populiste » et « nationaliste » ; enfin la place accordée aux avis des experts et des intellectuels, eux aussi particulièrement sensibles aux ressorts précédents. Intelligence contre irrationalité, ouverture contre repli, avenir contre passé, ordre contre meute : tous ces fragments d’un discours méprisant de caste et de classe resurgirent au moment du référendum de mai 2005 sur le traité constitutionnel européen ».

Et comme on continue de chercher la petite bête immonde ici et ailleurs, Halimi rappelle : « Il a fallu attendre la fin du second septennat de François Mitterrand pour « découvrir » que l’ancien président de la République avait, sciemment et longtemps après la guerre, continué à fréquenter un haut dignitaire de Vichy impliqué dans les basses œuvres de ce régime, qu’il avait envoyé à la guillotine des militants de l’indépendance algérienne…Tant d’enquêteurs et tant de journaux se prétendant concurrents pour arriver à ce résultat-là ! »

Ce qui est juif, disait Goebbels à Fritz Lang, nous en décidons. Ce qui est antisémite aussi.

Concluons philosophiquement comme l’andouille Ferry. La presse française est crevée depuis longtemps. Comme l’Église ou les partis, elle survit en hystérésis, grâce à nos subventions.

31/08/2024

c'était une constante, on ne le comprend que maintenant - honte aux collabos qui se sont laissés transformer en meute de nazis !

Les dessous de la politique antitabac

L’immonde nazisme actuel qui réduit (pour le plus grand PROFIT du Grand Capital fabricant de « vaccins », qui en plus n’en sont pas vraiment, vous le savez j’espère ?) les non vaccinés, comme autrefois les non-aryens, au statut de sous-hommes (Untermensch) n’est pas nouveau, il avait été testé depuis trente ans, mais les veaux que sont nos concitoyens avaient refusé de le voir, et étaient entré dans le jeu de la « Kollaboration » et hurlé avec les loups. Vous comprenez maintenant que ce faisant vous avez construit votre propre cage ?

 

« Le fascisme n’est pas imposé par les fascistes, ils ne seraient pas assez nombreux, il est imposé par ceux qui acceptent d’obéir au fascisme » (D. Icke)

 

(un article de 2007)

Peut-être croyez-vous que l’interdiction de fumer sur les lieux de travail ou dans les restaurants a pour but de protéger les non-fumeurs ? Peut-être croyez-vous que la propagande antitabac a pour but de sauver la vie des fumeurs ? Peut-être répétez-vous que les fumeurs coûtent cher à la sécurité sociale ? Peut-être êtes-vous persuadé que le tabagisme passif est responsable de nombreux décès ? Si vous croyez tout cela et que vous le répétez à l’envi, vous êtes à votre insu un collabo de la nouvelle forme de pouvoir totalitaire nazi et sournois qui s’installe : la « démocrature ». Je ne vous demande pas de me croire. Ne croyez jamais personne mais réfléchissez et jugez par vous-même !

Protéger les non-fumeurs ?

S’il ne s’agissait que de protéger les non-fumeurs, aucune loi ne serait nécessaire. Notre système économique s’appuie sur la loi de l’offre et de la demande. Un restaurateur non-fumeur était déjà en droit d’interdire de fumer dans son établissement et d’y attirer un personnel et des clients non-fumeurs. Certains l’ont d’ailleurs fait bien avant la loi et c’était parfaitement leur droit.

Si l’Etat estimait qu’il n’y en avait pas assez, il lui suffisait d’inciter les restaurateurs à déclarer leur établissement non-fumeur par l’octroi d’une prime ou une réduction de la fiscalité. Ainsi chacun, restaurateur , client ou travailleur, fumeur ou non-fumeur, aurait pu effectuer un choix libre et, au lieu de se haïr, nos concitoyens auraient pu gérer leurs différences à l’amiable.

Trop simple, n’est-ce pas ? Trop logique pour des élus qui, en principe, devraient refléter les avis de toute la population !

C’est pourquoi toute personne intelligente comprendra que le but n’est pas de protéger les non-fumeurs mais de s’en servir à leur insu. Le véritable objectif est de restreindre les libertés individuelles et le droit à la propriété privée.

Car un restaurant, tout comme un lieu de travail, n’est pas un espace public. C’est une propriété privée, achetée à gros prix, dans laquelle l’entrepreneur a, de plus, investi beaucoup d’argent pour pouvoir y travailler et assurer son avenir. Il est donc normal qu’il soit seul responsable des décisions qui concernent son bien. S’il omettait de payer les cotisations sociales de ses employés, l’Etat serait d’ailleurs le premier à le sanctionner. Cette omission pourrait pourtant avoir pour cause la perte de clientèle orchestrée par les décisions irresponsables du gouvernement.

Nous verrons plus loin pourquoi nos dirigeants tiennent tant à restreindre la propriété privée et les libertés individuelles, mais poursuivons d’abord notre analyse.

Réduire le coût des soins de santé ?

Nombreux sont les citoyens qui croient dur comme fer qu’ils paient les soins de santé des fumeurs. C’est encore un des nombreux mensonges du gouvernement et un simple petit calcul peut vous permettre de vous en rendre compte.

Je l’ai fait pour la Belgique, puisque j’y vis, mais vous obtiendrez sans doute pour la France des résultats proportionnellement identiques. En 2004, le total des remboursements de frais médicaux pour l’ensemble du pays s’élevait à 3.790.030.000 € . Le ministre de la Santé insistait sur le fait que le tabac était la cause de 10% de ces coûts (ce qui n’est pas beaucoup quand on sait que les fumeurs constituent 30% de la population).

Sur un paquet de cigarettes à 5 €, le détaillant perçoit 0,40 €, le fabricant 0,581 € et l’Etat le reste, décomposé en "taxe de droit à la consommation" et en TVA. Le gouvernement touche donc plus de 4 € par paquet de cigarettes. Puisqu’il y a 3 millions de fumeurs en Belgique, pour une moyenne d’un paquet par jour, les recettes du tabac s’élèvent donc à 12 millions d’euros par jour, soit 4.380.000.000 par an, c’est à dire plus que le coût des soins de santé pour l’ensemble de la population. Et les fumeurs cotisent aussi à la mutuelle.

Si les recettes en provenance du tabac ne sont pas consacrées aux soins de santé, est-ce la faute des fumeurs ou bien celle des militants antitabac qui relaient sans aucun discernement les mensonges les plus grossiers ?

Les taxes sur les cigarettes et le tabac

Pratiquement chaque année, les gouvernements augmentent les accises sur le tabac. La dernière augmentation en Belgique date du premier janvier et elle est de 53 centimes.

"Bien fait pour eux" s’exclament les antitabac, s’imaginant avec une naîveté qui fait peine à voir qu’ils sont ainsi eux-mêmes épargnés.

Ce qui est faux car le tabac et les carburants ne sont pas repris dans l’indice des prix à la consommation et les taxes sur ces produits ne sont donc jamais compensées par des hausses de salaire qui pourraient bénéficier à tous les citoyens.

Pire, les 4 € par jour que chaque fumeur verse en taxes à l’Etat (et on a vu ce que ça faisait par an) échappent au chiffre d’affaires des commerçants qui ne cessent de souffrir de la baisse de pouvoir d’achat de la population. Si le commerce décline, les entreprises ferment et le chômage grossit. Et qui paie les allocations de chômage ? Seulement les fumeurs ?

Mais, me direz-vous, il faut bien que l’Etat prenne ses taxes quelque part. S’il ne les prenait pas aux fumeurs, il les prendrait ailleurs.

Sans doute, mais s’il les prenait sur des produits liés à l’indice des prix à la consommation, cette perte de pouvoir d’achat serait bientôt compensée par des augmentations de salaires, ce qui permettrait aux commerces de retrouver leur chiffre d’affaires et aux entreprises de continuer à produire de la richesse.

Pour le bien des fumeurs ?

Soyons sérieux ! S’il se souciait du bien des fumeurs, le ministre de la Santé n’aurait-il pas d’abord commandé une étude sur les risques inhérents aux comportements et produits de substitution que les fumeurs sont susceptibles d’adopter pour rééquilibrer leur vie en cas de sevrage ?

Nous vivons tous dans des conditions de stress et de frustrations accumulés : exigences de rentabilité, administration pesante, pertes d’emploi, baisse du pouvoir d’achat, multiplication des interdits et des obligations légales...

Chacun essaie de se rééquilibrer comme il peut. Les uns ne peuvent maîtriser des accès de violence qui tournent au vandalisme ou à l’agression, d’autres s’adonnent aux drogues dures, d’autres encore à l’alcoolisme, certains se suicident, d’autres enfin fument et ce ne sont pas les plus dangereux ni pour les autres ni pour eux-mêmes.

S’il se souciait du bien des fumeurs, le ministre de la Santé les désignerait-il à l’opprobre public ? Les contraindrait-il contre leur gré ?

Le tabagisme passif serait la cause de milliers de décès ?

Voilà encore une pseudovérité qui va bientôt apparaître au grand jour suite à une action en justice pour faire cesser les nuisances des campagnes antitabac. Je suis en train de contacter à cette fin un panel d’experts, professeurs d’université en médecine et en psychologie. Je les choisis de préférence parmi ceux qui sont déjà engagés dans la lutte contre le cancer ou pour le sevrage du tabac afin d’assurer la crédibilité de leur expertise.

Sans préjuger de celle-ci, nous sommes déjà cependant d’accord sur les points suivants :

1) Il existe effectivement un certain nombre de patients qui, sans avoir eux-mêmes fumé, présentent les mêmes symptômes que les fumeurs. Leur exposition à la fumée des autres est cependant difficilement quantifiable. Certains ont vécu dans l’entourage de gros fumeurs, d’autres n’y ont été exposés qu’épisodiquement. Par ailleurs, l’intervention d’autres facteurs que le tabac n’est pas à exclure. Ce sont les décès dans cette catégorie de patients que les militants antitabac annoncent comme victimes du tabagisme passif.

2) Tout médecin et tout psychologue connaît l’effet placebo et son correspondant négatif appelé "nocebo"... Je vous invite à taper "placebo" dans Google et à lire l’explication qu’en donne Wikipedia. Tous les experts sont d’accord sur le fait que les prédictions alarmistes en matière de santé ont tendance à produire le développement de la maladie. Tous les médecins et psychologues le savent mais peut-être pas le ministre de la Santé ?

3) Les études entreprises sur les méfaits supposés du tabagisme passif sont postérieures à la naissance de la propagande antitabac. Auparavant, il faut croire qu’on n’en ressentait pas le besoin.

4) Il existe une évolution dans le temps quant à la manière dont le public perçoit la fumée de pipe ou de cigarette. Dans les années 60, elle était rarement perçue comme dérangeante, de nombreux non-fumeurs la trouvaient même plutôt agréable. Aujourd’hui, elle provoque plus souvent la répulsion. Il s’agit là d’une manifestation psychosomatique qui tend à accréditer l’influence de la propagande sur le développement de maladies tant chez les fumeurs passifs que chez les fumeurs actifs.

5) Le nombre de fumeurs se tasse et le nombre de cancers augmente. Il faut donc incriminer un autre agent que la cigarette.

6) La nicotine et les additifs placés dans le tabac pour renforcer l’assuétude ne semblent pas provoquer la moindre dépendance chez le fumeur passif. Ceci démontre à tout le moins que les effets de la cigarette ne sont pas les mêmes pour les fumeurs passifs. Pourquoi alors développeraient-ils les mêmes symptômes ?

En conclusion, il est plus probable que les méfaits du tabagisme passif dénoncés par les propagandistes antitabac soient dus à la propagande elle-même plutôt qu’au tabac des fumeurs.
Relayer cette propagande est donc dangereux pour sa propre santé et pour celle d’autrui.

Pourquoi alors cette charge contre les fumeurs ?
Ils vont faire l’Europe. La Communauté européenne, c’est une population presque deux fois plus importante que celle des Etats-Unis et la plupart des nouveaux adhérents n’ont pas l’héritage culturel de la liberté que nous a apporté la Révolution française.

Pour gérer l’Europe, d’aucuns estiment qu’il faut un gouvernement fort et autoritaire.sans lequel les décisions supranationales ne seront jamais respectées dans les Etats membres.

Pour instaurer ce type de gouvernement, ils ont simplement pris exemple sur la dernière méthode efficace utilisée en Europe. Souvenez-vous qu’au cours des années 30, les nazis ont progressivement désignés les Juifs coupables de tous les maux, qu’ils les ont spolié de leurs biens , qu’ils ont petit à petit créé un climat d’intolérance à leur égard, les ont éloignés des lieux de travail, les ont rendus infréquentables aux yeux de la population qui, relayant le discours officiel, a collaboré à la mise en place d’un pouvoir dictatorial.

Aujourd’hui, les fumeurs sont présentés comme des pestiférés, comparés à des animaux, pris en photos assouvissant leur vice par un temps à ne pas mettre un chien dehors. Si l’interdiction sur les lieux de travail est absolue, même pour le fumeur qui occupe seul un bureau, c’est pour l’obliger à sortir et ternir son image, pour lui faire perdre plus rapidement son emploi aussi.

Chassés des lieux de détente, condamnés à vivre en exclus

(tiens tiens ! Ça me fait penser à quelque chose, de très récent, même totalement actuel ...)

et, sous la pression des taxes, à dégringoler d’une classe sociale, les fumeurs d’aujourd’hui sont dans la même situation que les Juifs des années 30.iVous croyez que leur sort est plus enviable parce qu’ils peuvent retrouver un statut normal en arrêtant de fumer ? Deux tiers ont essayé... sans succès.

Je ne veux pas d’une telle Europe, ni d’une telle Belgique, ni d’une telle France. L’Europe est une chance si elle reste démocratique et sait prendre ses distances avec le modèle anglo-saxon.

Hélas, ce ne semble pas être le cas. Les Chirac, de Villepin, Schroëder, Verhofstadt qui avaient osé s’opposer à Bush lors de la question irakienne (et on sait à présent combien ils avaient raison) ont disparu ou sont en perte de vitesse tandis que se profilent pour leur succéder un Sarkozy qui n’a jamais caché sa sympathie pour Bush et une Ségolène qui avoue son admiration pour Blair.

La seule réaction que nous pouvons avoir est d’offrir aux fumeurs et à tous les non-fumeurs qui souhaitent défendre leur liberté, l’occasion d’exprimer leur poids démocratique.

C’est pourquoi s’est créé en Belgique un parti politique qui prendra ouvertement la défense des fumeurs pour les législatives du 10 juin. Et je peux vous assurer, pour être en contact avec les gens lorsque je distribue mes affiches, que le vent de la contestation est fort. Si les médias nous relaient dans l’ensemble du pays, nous pouvons faire passer aux partis de pouvoir, et pour longtemps, le goût des lois liberticides.

 

Commentaire de : pierrarnard 29 janvier 2007 

Excellent article qui va a l’encontre de la bien pensance actuelle.C’est vrai que les fumeurs sont un bouc émissaire parfait presque autant que l’automobiliste. On les stigmatise mais c’est pour mieux les protéger mon enfants ! c’est pour leur bien...Les automobilistes tuent des qu’ils touchent un volant, les fumeurs tuent des qu’ils approchent un non fumeur, le bon citoyen est terrorisé. Mais heureusement l’état veille pour protéger le bon citoyen de tous ces méchants éléments subversifs. Et pendant ce temps on à dérogé pour utiliser l’amiante jusqu’en 1997 dans l’industrie. Manipulés, nous ????

 

30/08/2024

ce que sont en fait les anarchistes - Renée Dunan un exemple

La "gauche" actuelle est issue de ce que sont devenus les anarchistes : BOURGEOIS, TOTALITAIRES (si!), aimant le luxe et méprisant le peuple !

si ! c'est psychologique et sociologique (c'est à dire marxiste !). Exemple :

J’ai découvert par hasard une nouvelle d’un auteur, une femme, Renée Dunan, qui vécu de 1892 à 1936 (voir l’article de la wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9e_Dunan ), et qui est classée parmi les ANARCHISTES, et les féministes, (elle est même répertoriée dans le dictionnaire des anarchistes – cachet officiel donc !), ce fait est capital.
Cette nouvelle a pour titre « La culotte en jersey de soie » et on peut la lire et la télécharger sur Internet, ici : https://fr.wikisource.org/wiki/La_Culotte_en_jersey_de_so...
Le titre se justifiant à la fin de la nouvelle par ces mots
« ma frousse principale, c’est que j’avais des culottes en jersey de soie qui valaient dans les cinq louis. Alors, tu comprends, je craignais pour elles… »
cette phrase dit déjà tout ! Sur le goût du luxe et l’attachement à l’argent de ces bourgeois "anarchistes" !
Reprenons. Cette nouvelle, qui se présente comme le récit d’une étudiante en médecine (donc bourgeoise et «diplômée du Supérieur » !) qui fait un remplacement dans un bourg au fond de la campagne (dans les années 20). Le personnage du récit (à la première personne),  ,,,censé être anarchiste comme l’auteur je le rappelle, jouit avec un plaisir satisfait, du privilège de se retrouver avec deux domestiques à son service, (avec lesquels elle se sent incapable de discuter, car « Quant à s’intéresser réellement aux actes et à la vie de personnages incolores et amorphes dont le destin repose sur la mécanisation totale, sur l’habitude devenue l’existence même, cela, je ne le puis. » - attitude générale parmi ces gens « de gôche » autoproclamés -  « Au demeurant j’ai connu beaucoup de types qui s’affirmaient amis et frères de ce prolétariat domestique. J’ai constaté qu’ils pensaient au fond comme moi, mais ne l’avouaient point. ») un cabriolet avec cocher pour se déplacer, de bons repas, un logis luxueux et confortable, et le privilège d’être considéré et d’avoir tout à coup une AUTORITE sur ces villageois, travailleurs manuels rustres !   Elle jouit en esthète de la beauté du paysage, privilège qui laisse indifférent les pas-diplômés-de-l’université qui l’habitent. Et enfin, cette toute-puissance que lui confère la SCIENCE MEDICALE  lui donne tout à coup à elle - l’anarchiste ! - des velléités totalitaires (qui ne sont pas sans faire penser à celles qui se déploient de nos jours,,, ) :
« Décidément c’est une belle chose que l’autorité. Je me sentais pousser une âme Néronienne. Que ferais-je de vraiment neuf, de grandiose ? Allais-je diriger la santé du pays comme on fait faire aux soldats du maniement d’armes. Brûler les demeures insalubres, décréter la potabilité des eaux et charger les gendarmes de faire observer mes arrêts ; fermer l’atelier de la locomotive sous un prétexte d’hygiène transcendant ? »
Ces révolutionnaires censés être « bohèmes » (« BOurgeois-BOhèmes » dit l’appellation) ne négligent quand-même pas leur sécurité personnelle ! Et pas seulement financière : « Il y avait deux petits verrous en sus de la serrure. Je ne craignais donc rien. »
On voit là confirmation de ce que j’ai senti de plus en plus, un phénomène (décrit sous le nom de « libéral-libertaire » par Soral, qui n’a fait que le reprendre de Clouscard, en fait), qui visiblement fut en place dès les débuts de l’anarchisme (la nouvelle est de 1923, tiens ! La même année que « Knock »). Ces fameux anarchistes ne sont en fait que des BOURGEOIS, qui n’en ont rien à foutre du sort des travailleurs, dont ils n’ont jamais partagé les difficultés ni l’insécurité, et dont ils méprisent la culture, et le respect des valeurs humaines, et dont la lutte de classe leur paraît odieuse, qui veulent profiter de la vie, de leurs privilèges, de leur position sociale, sans se laisser emmerder par la morale des conservateurs, et qui se la jouent « anarchiste » comme d’une coquetterie, qui donne une étiquette « progressiste » à leur racisme de classe, qui est profond !
Voilà !

 

bref les anarchistes c'est comme selon l'expression de Dieudo "les putes du système"

28/08/2024

Correction : un poème d'actualité

Un poème sérieux de Maurice Carême, lui si simple a écrit une fois un poème grave.
Tellement grave que je me suis dit qu’il est d'actualité …..
si vous voyez ce que je veux dire. (2020-2023)

je l'ai donc "actualisé" (en 2021)
Le poème d’origine vous le trouverez en cherchant sur Internet (ça vous donnera l'occasion de découvrir ce poète si vous ne le connaissez pas, mais vous l'avez sûrement appris par cœur à l'école !) De toutes façons j'ai modifié très peu de choses, je vous l'ai dit c'est un poème d'actualité,  tellement d'actualité  qu'on n'y   aurait rien changé il aurait été aussi parlant si ce n'est plus que ma version actualisée :

A quoi servirait-il de fuir ?
Partout on vaccine, on incarcère.
Le monde est lassé à mourir
De tant de haines et de fascisme.

Et l’on a beau scruter le ciel,
Chercher derrière les nuages
Une lueur providentielle, Fouché ? Crévecœur ? Philippot ?
Rien que la nuit, que les orages.

Et l’on a beau vouloir parler
A cœur franc de ce qui nous hante.
La crainte nous serre le ventre,
Et personne n’ose parler.

Et l’on a beau vouloir crier
Qu’on a les pieds, les mains liés.
Comme personne ici ne crie,
On se tait par kollaborismé.
Ou par haine et dégoût

 

 DE PLUS LOIN QUE LE NAZISME 2.0



22/8/2024 : je viens de découvrir un autre poème de Maurice Carême, lui aussi « d’actualité » !

LA LIBERTE 

Je suis la liberté,
Répétait-il, la liberté
Avec tous les dangers
Que je vais vous valoir
Et, pour me faire taire,
Il faudra me tuer.

Mais on le laissait faire, 
On le laissait parler.
Il était bien trop solitaire
Pour amener l’homme à briser
Le cercle de fer et d’acier
Où l’injustice et la misère 
L’avaient peu à peu enfermé.

Je suis la liberté,
Répétait-il encor.
Regardez-vous. Vous êtes morts.
Mais, comme on avait à manger,
On le laissait crier.

(in DEFIER LE DESTIN)