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la Paix ne pourra revenir qu'après la victoire définitive sur cette ploutocratie mondialiste criminelle et surtout la destruction de ce monstre absolu, cette pensée unique du capital qui est responsable des pires fascismes 1.0 et 2.0
Une expérience scientifique connue sous le nom de Les rats plongeurs: Six rats affamés dans une cage à une extrémité; à l'autre extrémité de délicieuses croquettes spécialement conçues pour les rats; au milieu un bassin rempli d'eau pouvant aussi être appelé "piscine".
Au départ, surtout lorsqu'ils n'ont encore jamais nagé, les rats n'aiment pas trop aller dans l'eau, surtout s'il s'agit de nager en apnée (un "plafond" en plastique transparent est posé à la surface de l'eau pour empêcher les rats de nager à la surface). Vont-ils tous aussitôt plonger dans la piscine pour aller chercher les graines de l'autre côté? Non, dans la Nature cela ne se passe pas forcément comme cela ! (ni dans la société ...)
Apparaissent alors, en effet, deux rats exploiteurs qui poussent à l'eau deux rats exploités qui vont chercher les croquettes pour, au retour, se les faire prendre par eux et ne peuvent eux-mêmes se rassasier que lorsque la voracité de leurs "maîtres" est assouvie...!
Et les deux autres? L'un d'entre eux est un rat couard; il ne va pas dans l'eau préfère rester de son côté, en essayant de récupérer quelques infimes miettes délaissées par les rats dominants, c'est la clochard , l' "outcast".
Et le sixième? C'est un rat autonome; il plonge, lui aussi, en apnée dans le bassin, va chercher les croquettes et s'en nourrit, sans se préoccuper des autres ni se laisser faire par eux.
Expérience des rats plongeurs
Cette étude universitaire, réalisée en 1994, a donc mis en évidence un facteur de différenciation sociale chez des rats de laboratoire: la peur. La création d'un stress aboutit à la création d'une hiérarchie sociale de type exploiteurs - exploités - opprimés - avec, quand même aussi des autonomes. En comparaison avec ce que font les rats l'être humain n'aura guère inventé que la persécution des autonomes...
Au départ il s'agissait seulement pour l'expérimentla peuateur, Didier Desor, chercheur au laboratoire de biologie comportementale de la faculté de Nancy, d'étudier leur aptitude à nager. Et comme souvent, l'on veut étudier une chose et l'on en découvre une autre! "La science est fille de l'étonnement" a dit Platon. Didier Desor a donc réuni six rats dans une cage dont l'unique issue débouche sur un bassin qu'il leur faut traverser pour atteindre une mangeoire distribuant de la nourriture. Rapidement, il constate que les six rats ne vont pas chercher leur nourriture en nageant ensemble. En fait, sur les six seulement trois passent de l'autre côté du bassin pour aller chercher la nourriture.
Et sur les trois qui plongent un seulement, dans un premier temps, peut "travailler" pour lui-même. Les autres sont contraints de travailler pour deux non-plongeurs, dans l'espoir, plusieurs fois vain, de pouvoir profiter du fruit de leur "pêche".
Des rôles sont donc apparus ainsi répartis: deux rats nageurs exploités, deux rats non nageurs exploiteurs, un rat nageur autonome et un rat non nageur souffre-douleur.
Les deux rats exploités dominés vont chercher la nourriture en nageant sous l'eau. Lorsqu'ils reviennent à la cage, les deux rats exploiteurs dominants les frappent et leur enfoncent la tête sous l'eau jusqu'à ce qu'ils lâchent leur butin. Ce n'est qu'après avoir nourri les deux exploiteurs que les deux exploités soumis peuvent se permettre de consommer leurs propres croquettes. Les rats exploiteurs ne nagent jamais, ils se contentent de tabasser les nageurs pour être nourris par eux! Le rat autonome est un nageur assez robuste pour ramener sa nourriture et passer le barrage des exploiteurs afin de se nourrir à partir de son propre labeur. Le souffre-douleur, enfin, est incapable de nager et incapable d'effrayer les exploités, alors il se contente de ramasser les miettes tombées lors des pugilats.
La même structure deux exploités, deux exploiteurs, un autonome et un souffre-douleur se retrouve dans les cent cages où l'expérience fut reconduite.
Expériences suivantes
Pour mieux comprendre ce mécanisme de hiérarchie, Didier Desor place ensuite six exploiteurs ensemble. Ils se battent toute la nuit. Au matin, Didier Desor voit qu'ils ont recréé les mêmes rôles: De nouveau, deux exploiteurs, deux exploités, un souffre douleur, un autonome. Et, chose encore plus extra-ordinaire, l'on a, à chaque fois, obtenu encore le même résultat en réunissant six exploités dans une même cage, puis six autonomes, puis six souffre-douleur.
Puis l'expérience a été reproduite avec une cage plus grande contenant deux cents individus. Les deux cents se battent toute la nuit.
Le lendemain il y avait trois rats crucifiés, écorchés vifs par les autres.
Bilan: Plus la société est nombreuse plus s'accroît la cruauté envers les souffre-douleur.Parallèlement, les exploiteurs de la cage des deux cents rats entretiennent une hiérarchie de "capos"afin de répercuter leur autorité sans même qu'ils aient besoin de se donner eux-mêmes le mal de terroriser les exploités.
C'est fou ce que tout ça ressemble à ce qui se passe dans les sociétés humaines !
En fait, dans 99% des expériences le même scénario se répète. L'on aurait donc pu croire que cela se passe toujours ainsi; ce n'est pourtant pas le cas: en effet, dans 1% des cas tous les rats du groupe expérimental sont plongeurs! Nous verrons plus loin quelle interprétation il est est éventuellement possible de tirer de cette observation.
Examen des cerveaux
Autre prolongation de cette recherche, les scientifiques de l'Université de Nancy ont ensuite ouvert les crânes et analysé les cerveaux des rats de l'expérience. Or, chose elle aussi étonnante, ils se sont alors aperçu que les plus stressés n'étaient ni les souffre-douleur, ni les exploités, mais les exploiteurs. Ils devaient affreusement avoir peur de perdre leur statut privilégié de dominants(d’où les réactions de cruauté féroce des classes dominantes lors des répressions de révolutions que nous montre l’histoire, exemple en août 1919 en Hongrie à la chute de Bela Kun, le massacre de la classe ouvrière finlandaise en avril 1918, les massacres après la chute des Gracques, après la chute d’Allende, de la Commune de Paris, de la République des Conseils de Münich, etc, etc) et donc d'être ensuite contraints de devoir eux-mêmes lutter pour leur nourriture.
A préciser aussi: la différence de comportement observée ne provient absolument pas d'une incompétence de tel ou tel rat à la nage; les expériences conduites pour vérifier ce point montrent que 100% des rats savent nager et transporter de la nourriture en nageant.
Des rats exploiteurs traités aux anxyolitiques (tranquillisants) deviennent exploités. Inversement des rats dominés non traités aux anxyolitiques deviennent dominants en présence d'autres rats traités, eux, aux anxyolitiques. Il apparaît cliarement que ce sont les rats les plus anxieux qui ne plongent pas. Il s'agit donc clairement une interaction sociale.
Didier Desort déclare: "Il n'y a pas de fatalité". "Le rôle que va prendre un rat dépend des autres." "C'est manifestement un phénomène de nature sociale, puisque, selon le groupe dans lequel un rat est situé, son statut peut varier".
et rappelons-nous de la très belle chanson de Gilbert Becaud, dont le refrain est "les gens, c'est nous, et il n'y a qu'nous qui pouvons faire quelqu'chose pour nous", et bien sûr de Karl Marx : "l'émancipatoin des travailleurs ne pourra être l'œuvre que des travailleurs eux-mêmes" Alors recréons des partis de gauche (il n'y en a plus un seul actuellement, ils se sont tous été trustés par des clans de bourgeois "bobos" réactionnaires).
On comprend pourquoi "ils" tiennent tellement à forcer la Grèce à vendre tous ses biens !! comme l'Allemagne de l'Est, le premier responsable de la privatisation, après la chute du mur et la "réunification" (en fait une annexion pure et simple de l'Est par l'Ouest) essayait au moins de faire que les usines ne ferment pas, et encourageait les ouvriers à se mettre en coopératives et reprendre leur usine - eh oui ! comme Fralib, qui va lancer la marque "1336" - ça n'a pas plu, il a été assassiné, par paraît-il un tireur d'extrème-gauche, on ne saura jamais bien, car celui-ci a depuis été abattu par la police, hmm pratique ! (...), surtout que on voit bien mieux les motifs que pouvaient avoir le grand capital international plutôt que l'extréme gauche à le tuer (toujours se poser la question basique de tout inspecteur de police : "à qui profite le crime ?") ... (Sa remplaçante, elle, a vendu à tout va le capital industriel du peuple est-allemand à des investisseurs US, c'est ce qu'ils voulaient) il s'appelait Detlev Rohwedder, peu de bloggeurs en parlent.
Lukatchenko, un qui a carrément décidé d'arrêter les fameuses privatisations imposées après la chute de l'URSS, président on n'a pas pu le tuer, mais à partir de ce moment l'Occident s'est mis à le diaboliser à qui mieux mieux ! https://ru-clip.com/video/9jKVOaXYkJc/loukachenko-l%E2%80...
tiens ! "on" a supprimé ru-clip, pourquoi ?
vendre, vendre, vendre, pour toujours plus enrichir les investisseurs, et appauvrir les nations !
C'est quand la révolution ?
*De toutes façons toutes les ventes (=privatisations) d'entreprises (ou de parts) et de biens nationaux (à quand Versailles ? comme dit Jovanovic) sont une aberration (et c'est bien pourquoi la classe des vautours capitalistes mondialistes nous y pousse ! ) , et , outre les autres raisons de critiquer ces pratiques, appauvrissent l'Etat, ne l'enrichissent pas (un peu d'argent liquide passager pour pouvoir "rembourser" ces "dettes", donc fourguer cet argent aux banques, et plus rien par après !!! c'est le traitement qu'on fait aux pauvres citoyens aussi maintenant : regardez toutes les affiches où on les presse de vendre tout ce qu'ils ont à des prix de misère, pour avoir un peu de liquide tout de suite pour rembourser les crédits ! Quel cynisme !!), mais l'appauvrissent sans cesse en le privant des bénéfices de ces entreprises, c'est une arnaque totale, et les politiciens qui font ça, si ce sont des naïfs incompétents ils sont bien manipulés, ou ce sont plutôt des traîtres. Le crime de haute-trahison on voit pourquoi ils l'ont enlevé de la Constitution ! Article sur l'appauvrissement de l'Etat pas ces fameuse privatisations :http://o-pied-humide.over-blog.com/article-l-appauvrissem...
23 milliards d'euros de moins dans les caisses de l'Etat (NOS caisses ! normalement .... ) rien que pour 2009.
et voilà ! le capitalisme vise à commercialiser et soumettre TOUS les actes de nos vies !! et c'est ce qu'ils ont fait au fur et à mesure (souvenez-vous les gens faisaient eux-même leur cuisine, les femmes cousaient elles-mêmes leurs vêtements et ceux de leurs enfants, les gens trouvaient leurs activités de loisirs gratis chez eux, en jouant aux cartes par exemple, les gens cultivaient leurs jardin, instruisaient eux-mêmes leurs enfants (école à la maison) s'ocupaient de leurs vieux au lieu de les remiser dans des maisons de retraite ! etc tout ça, est maintenant privatisé !!! il ne restait plus que de faire des enfants qui était resté naturel et non soumis à profit et à main-mise totalitaire du GRAND CAPITAL ! comme ça ça aussi ça va ouvrir un énorme et juteux MARCHE !!! (sans parler de la normalisation totalitaire qu'ils vont pouvoir mettre en place !
(au milieu du XIX siècle un journal satirique annonçait que le syndicat des marchands de chandelle portait plainte contre le soleil pour "concurrence déloyale" ! ben c'est ça l'hubris capitaliste, comme l'explique Michel Weber "rien n'est plus scandaleux pour un capitaliste que deux animaux en train de se reproduire dans un champ")
Voici déjà plusieurs jours que l'Assemblée nationale fait mine de "débattre" d'un sujet qui devrait précisément ne pas faire l'objet de débats: ce que l'on appelle par antiphrase la "bioéthique" (qui n'est évidemment pas "bio", puisque tout les traficotages artificiels de l'embryon que la science permet sont envisagés; et qui n'est pas davantage "éthique", puisqu'il est strictement interdit de s'interroger sur le bien de l'homme, le désir ou les pulsions justifient tout! [je dirais plutôt l’hubris du pouvoir normalisateur et l’appétit des spéculateurs, car il ne faut pas oublier que tout ça c’est du chiffre d’affaires pour les boites privées, et la commercialisation de la dernière activité humaine qui échappait aux féodalités du profit : la reproduction).
Nous avons déjà dit à plusieurs reprises à quel point cette discussion était ahurissante. Mais je dois avouer que je n'aurais pas pensé qu'elle le serait à ce point. D'une certaine façon, la cerise sur le gâteau de ce passage en force et en catimini est illustré par le fait que le premier soir, la quasi totalité de la majorité avait déserté l'hémicycle pour aller boire un coup à Matignon. Il paraît que les députés LREM étaient froissés de la présence de playmobil sur les tables du cocktail - eux qui n'apprécient pas beaucoup de se faire qualifier régulièrement de "députés playmobil". Mais je crois que c'est la firme des célèbres figurines en plastique qui devrait porter plainte: jamais un playmobil (à ma connaissance) n'a été siffler une flute de champagne pendant qu'en son nom, on votait des lois piétinant la nature humaine, en autorisant la traque aux trisomiques[retour de l’Aktion T4!] ou le peu ragoûtant mélange d'ADN de souris et d'ADN humain. On peut certes reprocher aux playmobils une certaine apathie, mais non cette inhumanité terrifiante qui caractérise les braves "humanistes" du groupe LREM!
Plus sérieusement, dans cette "discussion", il y a un côté fin du monde en musique qui est assez glaçant. [exact] Plus que jamais, il me semble nécessaire de prier pour que Dieu prenne Lui-même soin du sommet de sa Création [sommet ? qu’est-ce que t’en sais ? Et modeste avec ça!]
foulé aux pieds par les dirigeants politiques dont la mission est précisément de défendre l'être humain. Vous pouvez donc toujours rejoindre, à tout moment, la neuvaine du Salon beige en cliquant ici. (certainement pas ! Le salon Beige c’est un truc de droite)
J'ai publié ce matin un article pour faire connaître à nos amis du monde entier la réalité de cette loi monstrueuse. Mais, d'après les discussions que j'ai eues ces derniers jours à Paris – y compris au parlement –, je crois que l'immense majorité des Français ne sont pas beaucoup plus au courant. Donc n'hésitez pas à diffuser cet article – et de façon générale, plus nous pourrons faire connaître ce qu'il y a réellement dans le texte, plus nous aurons de chances d'éviter certaines des dérives gravissimes qu'il prévoit.
Mais je voudrais terminer cette lettre sur une note plus optimiste (même si l'optimisme béat n'est pas vraiment ma marque de fabrique!) Ça y est, la Pologne vient d'annoncer sa dénonciation prochaine de la convention d'Istanbul qui impose l'idéologie du genre aux Etats signataires (dont la France) – et cela perturbe beaucoup le conseil de l'Europe. Excellente occasion de remettre la question sur la table! Retour aux vrais débats! Décidément, l'automne sera chaud…
[ah si les gilets jaunes pouvaient remettre ça ! Moi j’ai toujours laissé un gilet jaune exposé sur le tableau de bord de ma voiture, depuis nov. 2018 il y est encore)
le cynisme des nazis dans les camps vous connaissez ? mais cette logique n'est pas morte le moins du monde, c'est l'âme du capitalisme, lisez ça !
Je doute que cette "émancipation" des femmes vis à vis de la procréation naturelle réponde à une aspiration communément rencontrée chez les femmes, d'autant plus que la majorité d'entre elles vivent la maternité, grossesse comprise, comme un accomplissement et non pas un fardeau. En réalité l'artificialisation de la procréation est avant tout la manifestation de la volonté de satisfaction des délires prométhéens (= le nazisme, « l’esprit de la modernité » comme dit Zygmunt Bauman, lisez-le) d'une frange de l'oligarchie et d'autre part une affaire de gros sous (la procréation doit devenir un service payant et non plus un acte naturel et gratuit.) - là lisez l’analyse Marxiste !
(Comme dit ici Etienne Chouard : https://ru-clip.net/video/bGzoAkmbxo4/entretien-avec-etie... "ils ont le pouvoir des médias, du commerce, de l'alimentation, de tout ce qui est vital pour nous" - il n'y avait plus que la procréation humaine qui était encore libre, et qui échappait à leur pouvoir totalitaire, c'est pourquoi ils tiennent à le mettre sous leur coupe maintenant !) Bien entendu les dingos qui veulent imposer ce mode de reproduction vont tout faire pour que les gens soient contraints de passer par là. Quand tout sera technologiquement prêt on aura droit à un matraquage médiatique permanent sur les dangers (pensez au fameux culte du « pour des raisons de sécurité » le grand dieu Moloch actuel !) de la grossesse naturelle...on aura droit à des films larmoyants sur des pauvres femmes mortes en couche...ayant raté une formidable carrière professionnelle à cause de la maternité...enfin bref les ficelles habituellespermettant de faire passer un truc ressenti par la majorité des gens comme "bizarre", "anormal", "malsain"… pour quelque chose de progressif et incontournable. Il y un précédent avec l'avortement… ("émanciper" les hommes et les femmes de devoir baiser avec un être humain! et d’autres choses encore, cherchez bien!) Ils nous préparent le même coup avec la sexualité "récréative" où le plan est de remplacer l'humain par des robots sexuels, c'est à dire "émanciper" les hommes et les femmes de devoir baiser avec un être humain! (souvenez-vous du titre du livre de Binder et Hoche « libéralisation du droit de … » (mettre fin à une vie) !). La propagande a d'ailleurs déjà commencé et on peut déjà trouver des malades mentaux qui préfèrent niquer une poupée en silicone qu'une vraie femme, et les médias( et oui, à QUI appartiennent les médias? hmm ?...) parlent de ce genre déviance comme si il s'agissait une modalité normale de la sexualité humaine…
un commentaire très perspicace on voit que la personne qui a écrit ça connaît bien le monde actuel, et l’a bien analysé dans ses fondements !
c'est ça le raisonnement, qu'on veut vous cacher, mais qui est vraiment présent partout
"La théorie du genre est un passe-temps byzantin qui n'intéresse que les championnes olympiques de la carrière universitaire, un sport cérébral tordu pour "colloqueurs" grassement payés, qui laisse le gros des mortels fort froid. On suppose que ces gens-gentes-là sont sérieusesx, qu'elles-ils "cherchent" des choses importantes, qu'ils-elles font des "sciences humaines", et que, quelque part, elles-ils doivent bien trouver quelque chose....
(ne fusse que leur plan de carrière ! et un gras salaire)
Mais on ne paierait pas les universitaires les plus inventifves s'il n'y avait pas un retour sur investissement à en escompter. Alors que dans tous les pays occidentaux, après les manœuvres pour imposer le mariage gay, s'instaurent sournoisement des décrets et règlements afin que la théorie du genre devienne un enseignement obligatoire depuis la maternelle, l'enjeu se clarifie: il s'agit de favoriser l'industrie de la procréation, laquelle ne peut s'implanter et s'étendre qu'en dévastant la procréation naturelle, et en modifiant profondément la conscience naturelle des gens en matière d'identité sexuée.
Une fois que l'on prend conscience de cette dimension économique, mercantile, prédatrice, visant un marché mondialisé, c'est à dire un nouveau sommet du projet capitaliste de marchandisation totale de l'être humain, tout à la fois réduit en esclavage en tant que producteur, contraint à la consommation sur un marché entièrement captif, et privé de toute liberté d'expression de sa volonté, l'analyse du phénomène du "gender" trouve son cadre bien réel, bien cruel, extrêmement vexant pour ceux qui se croyaient jusqu'à maintenant sujets faisant des "choix": ce n'est pas une vague idéologie fumeuse ni marginale: c'est une étape clé pour le développement de l'industrie de la procréation.
Le site http://www.planetoscope.com/natalite/1391-naissances-de-b... suffit pour constater l'essor fabuleux que peut prendre la chose en France et en Europe. Le frère du président Paul Bismuth en personne avait été mentionné dans l'affaire de l'Arche de Zoé, un vaste réseau de vol d'enfants tchadiens pour des "adoptions", voire transmutation en gibier à prostituer ou en stock d'organes sur pied, on ne le saura jamais. Les enquêtes entreprises par des chercheurs africains ont fait tout de suite l'objet de toutes les attentions des pouvoirs "publics": silence radio. Mais quand même, il en reste la trace sur certains sites: http://www.alterinfo.net/Arche-de-Zoe-Le-depute-Ngarlejy-..., http://www.voltairenet.org/article152777.html, et d'autres articles sur les mêmes sites.
Bref, allez, les jeunes, allez fouiller dans les bilans comptables de toutes les boîtes qui font du baby business, c'est le moment, on a besoin de dossiers étoffés pleins de chiffres et de courbes, tant sur ce qui se fait légalement que plus discrètement. Mais les conclusions, même sans chiffres, on les a déjà: la France fait incontestablement partie des pays de pointe pour l'exploitation d'un secteur de pointe: gpa, pma, transvasement de gosses de pays pauvres dans des familles riches de pays riches etc n'ont qu'un problème à régler: la demande n'augmente pas assez vite à leur goût.
Les eugénistes se frottent les mains
Halte-là, me dira-t-on! Qu'est-ce que vous racontez? A l'Onu, à l'Unesco, dans toutes les hautes sphères où on étudie des macro-choses, on se lamente: trop d'humains sur la planète, même Monsanto avec ses scientifiques projets de bouffe entièrement transgénique n'arrivera jamais à les nourrir tous; la seule solution: réduire la population, mais en douceur, dans le respect des droits de l'homme. Et les écolos d'en rajouter, dans leur sabir: il n'y a pas que les multinationales qui peuvent être nuisibles et doivent être encadrées, horreur, les affamés chez eux dévastent les réserves naturelles, et ces gouvernements d'incapables, en Afrique, en Amérique latine, qui sont infichus de mettre de l'ordre là-dedans. Là c'est la ligne Soros qui s'exprime: que des fondations sages s'emparent de tous ces territoires, par-dessus la souveraineté des États, car tout ce gâchis dépasse les frontières, la survie de la planète est en jeu.
Bref les eugénistes d'obédience diverse mais bien pensants poussent des cris d'orfraie, et ils sont inattaquables, car leur combat est indissociable de la lutte pour la santé des peuples, disent-ils. Si leur objectif était vraiment de réduire la population pour le bien de l'humanité, ne serait-il pas logique qu'ils protestent contre le bébé business? Or bien au contraire, on découvre que tous les organes supranationaux, composés d' industriels de la marchandise humaine, des commerciaux qui vont avec, et des prestigieux embrasseurs d'humanité, sont de mèche parce qu'ils ont une idée commune qui ne doit pas atteindre la conscience des peuples, sous aucun prétexte. Il s'agit de TOUT rationaliser, afin de contrôler la reproduction à l'échelle mondiale, et de faire avaler la pilule à ceux qui risqueraient de faire obstacle. L'invention de la pilule, dès le départ, s'inscrit dans le même schéma: limiter le nombre des indésirables, les pauvres du Tiers-Monde, mais en douceur, avec leur consentement, sous la bannière de la libération de la femme.
Les premiers résultats
Une génération plus tard, alors que ce sont les femmes des pays riches qui se sont ruées sur la pilule, nos autorités occultes cachent soigneusement ce qui constitue leur grand espoir, ce que chaque gouvernement interdit que l'on fasse savoir au peuple : au bout de 40 ans de pilule, d'innovations constantes dans le domaine de la contraception, et de libéralisation maximale de l'avortement, la stérilité progresse rapidement! Les hormones pissées par les dames du monde entier continuent d'agir en douce dans l'alimentation de tous. On est sur la bonne voie ! La fertilité baisse, et les magnats du bébé business tapotent fébrilement leurs calculettes: bientôt les hétéros n'arriveront plus du tout à se reproduire par la méthode ancestrale.
La déprime des hommes et des femmes, quand ils font les comptes de tous les avortements qu'ils ont favorisés, souhaités, encouragés, subis et exécutés dans la chair de leur chair, finit de les écraser. Pour s'en remettre, ils engraissent les psys et les labos de psychotropes. Pas de danger qu'ils relèvent la tête et entreprennent des révolutions, sourient nos Méphistos au pouvoir! Si vraiment ils y tiennent, au final, à faire des gosses, insinuent doucement les planificateurs de notre avenir, vers quarante ou cinquante ans, qu'à cela ne tienne, nos usines à bébés sur mesure sont là qui les attendent, parfait, on sait où les orienter, par ici la monnaie.
Jusqu'à l'entrée en scène de Farida Belghoul, tout allait bien dans le meilleur des mondes, celui d'Aldous Huxley, que nous concoctaient dans le plus grand cynisme nos inénarrables élites.
L'année dernière, la bataille contre le mariage gay mobilisait bien au-delà de la droite. Instinctivement, chacun rejetait ce projet qui nous tombait dessus, monstrueux et ridicule, comme disait Thierry Meyssan. Le choc de l'absurdité nous empêchait de comprendre. Cette année, l'offensive officielle sournoise sur le thème du "genre" a d'abord paru une bévue de ministres qui ne savaient pas ce qui se mijotait, et qui ont commencé par nier les faits. Il s'agit bien d'une campagne concertée, au niveau de l'enseignement obligatoire, à partir de l'école primaire, avec un gros investissement dans les labos de recherche du CNRS.. L'énormité du mensonge officiel réveille chacun. Voir tous les dossiers, très précis, sur http://www.civitas-institut.com/.
La bonne vieille logique coloniale
Le capitalisme ne peut prospérer qu'après avoir anéanti les modes de production et de consommation traditionnels. C'est la démarche typiquement coloniale mise en œuvre pour développer la culture de la canne à sucre afin d'alimenter les voitures en éthanol, pour prendre un exemple récent. Premièrement, ravager les cultures vivrières et les échanges normaux dans les sociétés traditionnelles, là où on veut s'implanter. Alimenter quelques guerres entre voisins pour faire fuir tous ceux qui le peuvent est une des méthodes meilleur marché pour ce faire, sans trop se faire remarquer. S'emparer des matières premières, du territoire, des villages désertés après avoir brûlé tout ce qui pouvait résister, rien de plus facile après cela. Et vendre au prix fort les denrées qu'on va produire avec de la main d'œuvre réduite en esclavage par la faim, de préférence importée d'autres régions pour s'assurer de sa docilité, c'est le moindre des profits escomptés. Cela a très bien marché dans les colonies, cela marche encore partout où les États sont à la merci des puissants corrupteurs étrangers et où les armes circulent.
On recule d'épouvante à l'idée que nos magnats, ceux-là mêmes qui nous permettent de vivre dans la surabondance de biens désirables, veulent maintenant étendre leur empire au domaine de la reproduction humaine, car on sait bien que leur appétit sera insatiable. On se rassure en se disant que ce n'est pas possible, qu'on est des citoyens conscients, qu'on est en démocratie. Effectivement, si le but à atteindre est bien toujours le même, l'expansion d'un marché au détriment de la nature, au prix de l'éradication sans états d'âme des traditions et des droits des habitants naturels de chaque pays, dans nos pays dits "développés", les moyens doivent être un peu plus sophistiqués.
Nos contremaîtres UMPS sont payés par les grosses pointures de la mafia du bébé-business, dont les ambassadeurs sont les groupuscules LGBT. La fonction de ceux-ci consiste à faire exploser les repères traditionnels en matière de filiation. C'est le but avoué de la théorie "queer", c'est le changement de civilisation imprudemment admis par Mme Taubira. Les néo-esclavagistes qui nous gèrent à une échelle complètement supranationale prétendent nous déposséder de notre nature, de notre sexe, de notre idéal en matière d'amour et de famille, de notre progéniture; que les bébés soient fabriqués par eux, en fonction des lois d'un marché qu'ils créeront et gèreront à leur profit.
L'argumentaire « religieux », tant chrétien, que bouddhiste, juif, musulman, animiste, agnostique ou dignement athée contre la théorie du genre, rencontre l'adhésion de chacun, au niveau de ses angoisses métaphysiques, de sa conscience, de ses intuitions, de ses hontes secrètes, de sa mauvaise conscience pour tous les ratages familiaux vécus, rarement assumés comme fautes personnelles, mais encaissés comme défaites toujours douloureuses.
On reste marxistes
Heureusement, Marx et Engels, toute la tradition révolutionnaire de gauche, et le féminisme qu'ils ont encouragé, puis Lénine, avec Rosa Luxembourg, avec Clara Zedkin, accourent à notre aide, avec leur langage clair, leurs raisonnements solides.
Avec la liquidation des partis communistes et l'évolution du monde du travail, la réduction du secteur primaire et secondaire dans le marché du travail, la dévitalisation de l'agriculture et de l'industrie, l'évaporation de la classe ouvrière, le patronat mondial a cru pouvoir proclamer la fin de la lutte des classes, du moins comme moteur de l'histoire dans les pays riches.
Pourtant, notre combat s'inscrit dans l'histoire des luttes de libération des opprimés. C'est bel et bien un patronat mondial qui, achetant les politiques, veut nous arracher l'âme, avec une propagande nous réduisant au statut de stupides bêtes de sexe, statut infiniment dégradant, tout en prétendant qu'il s'agit là de progrès, ou encore d'augmentation de notre éventail de plaisirs naturels, le tout faisant l'objet du consensus de toute population civilisée, ou plutôt, comme ils disent "développée", comme une tumeur se développe sans limites, jusqu'à ce que mort s'ensuive...
Nous nous réclamons de la tradition ouvrière, du combat pour notre dignité: non, nous ne sommes pas des esclaves de notre cul ou de leurs sophismes, pour leur plus grand profit! Et nous nous servons à nouveau de nos outils éprouvés: la grève, pour commencer. La Journée de retrait de l'école est une grève des parents. Comme toute grève, elle peut devenir très dangereuse pour le patronat qu'elle démasque. C'est cette logique qui explique la répression disproportionnée qui se met en place. En Allemagne, il y a des parents qui vont en prison pour avoir refusé l'enseignement déstructurant du "genre", en fait de l'encouragement à la pratique pornographique.
Et féministes
A Cologne, les résistants français, russes et allemands se sont retrouvés, le dimanche 22 mars, à l'ombre de la plus ancienne cathédrale d'Europe, pour lancer une campagne à l'échelle européenne contre la théorie du genre. C'est à Cologne que la philosophe Edith Stein choisissait d'entrer au Carmel en 1920. Avant cela, comme toute femme d'exception, elle s'était battue pour la promotion légitime des femmes. Son cheminement précéda de peu celui d'une Simone Weil ou de la socialiste espagnole Maria Zambrano: toutes trois, et avec elle bien d'autres femmes philosophes, universitaires, courageuses, révoltées et honnêtes, avaient embrassé la défense des humiliés, des pauvres, des prolétaires, et la cause des femmes bafouées; logiquement elles rejetaient tout despotisme cynique comme celui qu'incarnait à leur époque le nazisme hitlérien. Mais les savants hitlériens comme les savants juifs européens ont été recyclés aux USA dès la fin de la guerre, et maintenant le despotisme cynique se fait appeler "démocratie occidentale".
Nous nous réclamons des plus anciennes luttes pour les droits des femmes. Comme les femmes combattantes de toutes les époques, nous refusons que les enfants soient arrachés à leurs mères dévorées par la nécessité de gagner leur pain à la sueur de leur front. Comme les premières d'entre elles, nous refusons que les femmes soient traitées en bétail, en vagues couveuses: nous les femmes revendiquons notre facette maternelle vitale, même si elle n'est pas la seule, et notre devoir d'éduquer nous-mêmes nos enfants dans le respect de la maternité et de la paternité. De tout temps, les femmes ont réclamé le droit à l'instruction pour pouvoir éduquer correctement les enfants. C'est toujours de cette responsabilité qu'il s'agit.
Au temps de Flora Tristan, le respect des femmes passait par la reconnaissance de leurs droits en tant que personnes, et non pas seulement en tant que mammifères. Au XXI° siècle, avec la généralisation de la contraception, il n'y a plus lieu de protéger les femmes contre trop de maternités, dans nos pays; mais il est temps de les protéger contre les illusions répandues par les lobbys pharmaceutiques et médicaux: non, la contraception et l'avortement ne sont pas des pratiques anodines sans conséquences, leurs effets secondaires sont de graves pathologies individuelles et collectives, alors que la grossesse et l'enfantement ne sont pas des maladies, mais au contraire la plus rayonnante manifestation de la santé d'une femme! *
Et nous refusons la tyrannie d'une infime minorité, l'infâme lobby lgbt prétendant imposer ses sophismes à tout le peuple, et piétiner à son profit l'art de la perpétuation de l'espèce. Nous, féministes, continuons à penser qu'il faut se battre pour empêcher les hommes de céder à des pentes fatales: autrefois, c'était l'alcoolisme qui menaçait les ménages misérables et mettait les familles en danger. Désormais c'est l'irresponsabilité de l'hédonisme sans frein: les femmes comme les hommes, devraient, selon le "progrès", ne pas plus voir plus loin que leur plaisir, comme les hommes, et traiter les gosses comme des bagages qu'on peut laisser à la consigne.
Nous, les féministes qui en avons vu d'autres, et qui avons triomphé de bien d'autres mauvaises volontés, savons voir la puérilité de ces conduites addictives, incontrôlées; et comme nous savons apprendre aux enfants à maîtriser leurs caprices, nous allons apprendre aux adultes infantilisés à se reprendre en main, en leur montrant quels pouvoirs tyranniques et bien réels abusent de leur vacuité et de leur faiblesse.
Nous, féministes, sommes épouvantées par la trahison des soi-disant écologistes, incapables de se battre pour faire respecter le principe le plus universel de la nature, celui de la complémentarité des sexes, le degré zéro du bio. L'accès au pouvoir politique les a corrompus jusqu'à la moelle, ils ne sont plus capables de voir les menaces qui pèsent sur l'espèce humaine toute entière, si ses mystérieuses, ancestrales, animales parades amoureuses cessent de faire naître les enfants "au petit bonheur", comme des champignons, comme des dons merveilleux de la nature, au profit de fabricants cyniques et froids.
Nous, féministes, sommes solidaires des opprimés du monde entier. Olympe de Gouges se battait pour la libération des esclaves dans les colonies françaises. Nous nous battons pour le droit des peuples à résister à la colonisation forcée des esprits, contre l'intrusion de notre culture pornographique dans leurs univers spirituels propres. Nul ne nie que l'Occident répand chaque fois et partout sa propagande comme première étape de ses guerres de conquête, et la propagande soi-disant éducative du gender (en anglais ça fait plus sérieux) est une arme de destruction spirituelle massive. Le minimum du tiers-mondisme, du sens du respect dû aux les peuples non européens, consiste à les protéger de nos vices! Aucun héritier de la militance anti-impérialiste ne peut se voiler la face. C'est la guerre contre les pauvres qui atteint un nouveau degré de sophistication: tuer spirituellement des populations entières, les réduire en esclavage mental au nom de la combinaison des deux principes du monde occidental: la liberté pour le plaisir. Il faut parler de guerre, car la consommation des drogues de synthèse se veut obligatoire, elle veut s'imposer par l'école, les lois, les ONG, l'ONU...
L'ennemi, aujourd'hui comme hier, c'est le capital, qui veut vous voler votre force de reproduction physique et spirituelle, qui veut vous voler la maîtrise de vos engendrements et enfantements, et vos droits sur vos enfants, un capital avilissant qui s'avoue comme tel, avec l'ignoble projet de faire passer la pornographie au rang de matière scolaire obligatoire.
Reprenez confiance dans votre conscience, dans votre tradition spirituelle et familiale, dans votre intuition. Ce n'est pas parce qu'on ne trouve pas ses mots qu'on n'a pas de sentiments primordiaux. Il faut leur obéir, c'est notre santé mentale et morale qui est attaquée de toute part. Se sentir appartenir à la gauche, parce qu'on aime par dessus tout la liberté et qu'on a pour moteur la révolte contre l'injustice que les trop puissants imposent aux majorités, aux masses, aux multitudes, c'est sain, c'est le contrepoids nécessaire à la sensibilité de droite qui guide les responsables, les autorités, ceux qui ont du pouvoir, éventuellement légitime, bien entendu. Nos ennemis, ce sont les corrupteurs d'enfants qui veulent faire d'eux des larves, des larves face aux tentations qu'ils leur servent sur un plateau, à l'école même, apparemment pour rien. Il s'agit en fait de nous endetter à vie, sur plusieurs générations, car plus nous "maîtriserons notre fertilité", comme on dit, plus nous nous rendrons stériles, et eux sauront nous rendre dépendants jusqu'à la mort, de compensations misérables.
Lorsque Farida Belghoul s'est mise à ameuter les parents d'élèves au sujet de la fameuse théorie, les politiques tenants de la chose ont aussitôt battu en retraite, découvrant la nullité théorique de la chose, et le grand danger si le peuple découvrait qu'effectivement, le militantisme pour la chose relève avant tout du contrôle mental des peuples, par les politiciens les plus rusés et les plus rapaces, ceux qui veulent vraiment que leur empire s'étende à la planète entière, et atteigne les tréfonds de l'intimité. Ces aspirants à la domination mondiale travaillent de concert avec ceux qui veulent vendre toujours plus, toujours plus loin, et avec les médias qui ne vivent que de la publicité pour des nouveautés, pimentées de polémique et de cul.
Eh bien non, la pilule ne passe pas.
*Note: pourquoi êtes vous opposé aux « mères porteuses » ? a-t-on demandé à Jean-Luc Mélenchon. Réponse: « Parce que le corps des femmes n’est pas un instrument de production. Parce quand vous m’aurez montré une grande bourgeoise qui accepte contre rémunération de faire un enfant à une famille de pauvre, la discussion aura un sens ! Ça n’est pas vrai. Cela n’existe pas. Il ne peut pas être question d’accepter la marchandisation du corps humain. On ne me racontera pas d’histoire, c’est à ça qu’on arrive à la fin. Et si le corps d’une femme est un instrument de production, alors la question de sa propriété est reposée. » http://www.jean-luc-melenchon.fr/2011/07/01/interview-au-... "
"ils (le grand capital) ont mis la main sur la reproduction des plantes, et des animaux, alors maintenant ils veulent mettre la main sur la reproduction des humains", comme le marché de l'infertilité, pourtant en croissance explosive vu la pollution, ne leur suffit pas, il faut multiplier les couples non-reproductibles :
(par contre je ne suis pas du tout d'accord avec Pie XI : le communisme n'est pas intrinsèquement pervers ! au contraire ! par contre cette enquête-même montre que le capitalisme lui est intrinsèquement pervers. Dommage que cet Horovitz vienne en profiter pour tenir un discours intégriste, cependant il n'est pas aussi vieille baderne à la Pie IX qu'on pourrait croire, voir ici ce qu'il dit à côté de Farida Belghoul et où il donne de sains conseils de liberté et d'autonomie : https://www.youtube.com/watch?v=yYjJEm7y4O4 )
En Belgique :
NO MATERNITY TRAFFIC en première ligne le 3 mai à Bruxelles pour dénoncer une conférence de promotion de la GPA
Cette conférence, organisée par la société américaine Men having Babies autour d'agences commerciales essentiellement américaines (Extraordinary conceptions, Worldwide Surrogacy, etc.) présentait les différents moyens d'obtenir un enfant via une mère porteuse en contournant les lois nationales avec des prix allant jusqu'à 170 000 dollars. (on voit le public ! ...) La GPA est avant tout diffusée par des sociétés commerciales qui cherchent à faire du profit avec cette pratique en marchandisant des femmes et des enfants en toute impunité. Un basculement ?
La vigilance de No Maternity Traffic et la mobilisation de ses représentants belges qui ont manifesté à l'entrée de cette conférence, a suscité une vague de réactions médiatiques et politiques pour la défense des femmes et des enfants contre de telles pratiques.
C'est le premier coup d'arrêt donné à Men Having Babies qui fait la promotion de la GPA en Europe depuis plusieurs années, au mépris des lois existantes dans plusieurs pays européens, sans le moindre respect de la situation Belge en l'occurrence. Rajoutant à la confusion, cet évènement a eu lieu dans des salles louées dans les mêmes locaux que le gouvernement Bruxellois.
Ces manifestations ont lieu alors que la Belgique se pose la question d'encadrer la gestation pour autrui, actuellement tolérée mais pas légalisée. Pour les responsables de No Maternity Traffic : « On voit bien qu'il sera impossible d'"encadrer" la GPA. Le simple fait d'autoriser la GPA avec des conditions fait que des sociétés commerciales organiseront le contournement des lois mises en place pour procéder à la GPA à l'étranger et rapatrier ensuite le bébé dans le pays. C'est déjà ce qui se passe au Royaume Uni qui a "encadré" la GPA depuis 30 ans et où la très grande majorité des GPA se font à l'étranger sans le moindre respect des lois britanniques. La seule solution possible est donc l'abolition de la GPA au niveau mondial. »
No Maternity Traffic rappelle que la GPA fait des enfants l'objet de contrats en vue de leur conception et de leur abandon par leur mère et dénonce une nouvelle forme de traite d'êtres humains. La GPA viole le droit européen et international, en particulier les conventions sur les droits de l'enfant (1989), sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes (1979), en matière d'adoption (1967 et 1993), sur la lutte contre la traite des êtres humains (2005), sur les droits de l'homme et la biomédecine (1997).
Et c'est convergent avec un autre projet, celui de ceux qui veulent que l'humanité cesse de se reproduire et Ils que les humains meurent, mais pas eux, les autres…
Comme dit Mme Bilheran dans la préface du dernier livre d'Alexandre Jandrok : "Nous vivons des heures folles, une immersion de plus en plus insoutenable dans le système totalitaire, une situation grave à l’heure actuelle où des esprits ayant une haute conception de l’Humanité se dressent pour tenter de faire rempart au chaos, sous les railleries, les calomnies, les quolibets, les suspicions des inconscients ou des complices.
Oui, ils risquent leur vie, pour contribuer à informer, et à vous réveiller.
Ils ont désormais conscience que sans résistance l’Humanité périra.
et si nous résistons, nous avons une petite chance d’éviter le pire.
Et pour cela, chaque initiative individuelle œuvrant pour le Bien Commun compte.
L'humanisme ne risque pas de disparaître demain, il a déjà disparu aujourd'hui avec la chosification de l'embryon humain, la marchandisation du vivant et la police des ventres. Le transhumanisme est un créneau porteur qui agit comme une entreprise de démobilisation et de désarmement moral. Or, nous avons tous les moyens de ne pas devenir demain les robots du transhumanisme à condition de commencer par ne pas être les robots de la pensée dominante aujourd'hui. À propos de l'euthanasie.« L'avortement est d'abord le fait de tuer un enfant », Jean-Marie Le Méné, propos recueillis par Béatrice Piot, L'Homme nouveau (ISSN 0018 4322), nº 1581, 3 janvier 2015, p. 10
l'espèce humaine va être éliminée, pour être remplacée par une humanité transhumaniste programmée par les algorithmes de l'OLIGARCHIE seul et unique moyen de regarder la vidéo ci-desosu : cliquer sur le lien suivant : https://www.youtube.com/watch?v=h8F2cIQzDqU (vidéo essentielle à regarder, et regarder, et regarder, et enregisterer pour la mettre à l'abris, etc, etc, etc,) :
son adresse sur l'ignoble et totalitire et détraqué site de l'immonde totalitaire et capitaliste Youtube :
Le scénario est tellement connu que l'angélisme n'est pas raisonnable. Ce qui sera présenté comme l'exception deviendra la règle, puis la transgression finira par être brandie comme un "droit fondamental". puis par une OBLIGATION "citoyenne" contrôlée et sanctionnée par les flics sociaux de la DDASS. Les bouleversements que cette démarche systématique implique s'enchaînent comme des dominos et font tomber les uns après les autres les repères structurant de la société protecteurs des vies humaines fragiles.
le grand enseignement c'est ça, comme pour Jean Moulin, et tout autre
Mais combien de français sauront être des héros, des Résistants, de ceux!qui savent rester attachés à la rationalité, les! complotistes, car c'est ça le complotisme ! relisez les analyses que j'ai déjà indiquées à ce sujet, des "derniers hommes", comme Béranger à la fin de "Rhinocéros" de Ionesco, des gardiens de "la lumière et le feu" comme dans le beau poème de Robert Desnos, écrit en 1942, combien ? Tant de gens qu'on voit qui ne suscitent que le dégoît et l'envie de vomir ! tant d'êtres "décents" "solidaires" "respectueux de la force publique", comme les bons allemands qui faisaient bien "Heil Hitler!", comme les bons français qui dénonçaient ceux qui écoutent Radio-Londres ! Il va y avoir des règlements de compte en septembre 44 ! .....
relisez l'incontournable livre de Michel Terestchenko "Un si fragile vernis d'humanité". Re gardez les vidéos sur Giuseppe Belvedere, un aussi qui "ne pouvait faire autrementt" et qui a d'un coeur léger sacrifié tout son confort gagné en 40 ans de travail pour aller sous les crachats des vieilles bourgeoises parisiennes du 4ème arrondissement nourrir, trois fois par jour les pigeons du quartier Beaubourg.
interview :
Comment expliquez-vous que les scientifiques et médecins alarmistes ont été écoutés, tandis que les « rassuristes » ont été marginalisés, dénigrés, voire censurés ? N’est-ce pas la fonction première du médecin de rassurer ?
Dr Louis Fouché : Une des fonctions premières du médecin est d’accompagner le patient. D’être présent sur le terrain, de prendre soin, de poser un cadre de sécurité, d’écouter les peurs, les souffrances et, en les écoutant, d’être thérapeutique – c’est le principe de l’écoute empathique. Avant de dire quelque chose, prenons donc le temps d’é
Comment expliquez-vous que les scientifiques et médecins alarmistes ont été écoutés, tandis que les « rassuristes » ont été marginalisés, dénigrés, voire censurés ? N’est-ce pas la fonction première du médecin de rassurer ?
Dr Louis Fouché : Une des fonctions premières du médecin est d’accompagner le patient. D’être présent sur le terrain, de prendre soin, de poser un cadre de sécurité, d’écouter les peurs, les souffrances et, en les écoutant, d’être thérapeutique – c’est le principe de l’écoute empathique. Avant de dire quelque chose, prenons donc le temps d’écouter. Ensuite, de manière ciblée, il est important d’écouter les peurs de chacun : certains auront peur du virus, d’autres pour leurs parents, d’autres encore de Bill Gates, etc. Avec la crise actuelle, avant même de rassurer, il s’agit de mettre de la clarté, de l’intelligibilité sur ce qui se passe. Personnellement, je ne considère pas que j’ai rassuré ; je suis même plutôt alarmiste concernant le déferlement totalitaire et les conflits d’intérêt dans cette histoire. En revanche, j’essaie de mettre de la clarté. De rappeler aussi que la vie n’est pas confortable, mais que ça n’empêche pas de sourire ou d’être joyeux, au contraire ! Je veille aussi à porter un regard lucide sur la situation. Parce que si les médecins ne savent pas, qui saura ?! Beaucoup de médecins ont dit à propos de ce qui se passe : « Je ne me prononce pas, je ne sais pas. » Par exemple, sur l’hydroxychloroquine. Je leur disais : « Mais si toi, tu ne sais pas, qui saura ? C’est à toi de faire le travail, d’aller lire les études, de regarder ce qu’ont fait les généralistes ! » On a là typiquement un symptôme de la prolétarisation des médecins et des soignants : petit à petit, ils sont là pour faire respecter le protocole, mais ils n’ont plus aucune indépendance, plus aucune responsabilité.
Je reviens au début de la question : médiatiquement, on a beaucoup plus entendu ceux qui étaient là pour faire peur… Pourquoi, selon vous ?
Je crois qu’il y a des conflits d’intérêt très importants autour de cette épidémie. Il y a donc des « profiteurs de guerre ». Finalement, quand vous faites peur et que vous culpabilisez les gens, vous parvenez à prendre le pouvoir sur eux. [c’est le principe de Goering, exposé à Nüremberg, ma note] C’est d’ailleurs une des techniques des pervers narcissiques et des paranoïaques. Ce principe est aussi au cœur du terrorisme, où il s’agit de faire peur pour monopoliser l’attention sur un morceau de problématique extrêmement focal. Dans le cas de cette crise, les gens qui ont produit un message de peur sont soit ceux qui avaient peur eux-mêmes et ressentaient le besoin d’en parler (une grande partie, je crois), soit des pervers qui nous manipulent. Or, en général, on vous manipule pour deux raisons à travers l’histoire de l’humanité : le pouvoir ou l’argent.Comme disent les Américains, quand on ne comprend pas une situation : « Follow the money ! » [Karl Marx pourrait dire la même chose ! ma note]
En ce sens, vous dénoncez le rôle pervers des médias mainstream ?
Oui, parce que les médias servent d’intermédiation à la réalité. On leur a donné un pouvoir démesuré pour dire le réel à notre place, or ils ne disent pas le réel. Ces médias sont aux ordres de puissances d’argent. Chaque année, Le Monde Diplomatique publie à qui appartiennent les médias mainstream. En France, une quinzaine ou une vingtaine de familles, qui sont à la tête de multinationales, se partagent le gâteau des médias et s’en servent comme outil de « fabrication du consentement », dixit le linguiste Noam Chomsky (2). Nous sommes au cœur d’une fabrique du consentement extrêmement élaborée ; dans cette ingénierie sociale (3), elle-même au service du pouvoir politique, lui-même au service des pouvoirs économiques.[il a tout dit ! ma note] Ce n’est ni nouveau ni original ! Reportez-vous à La République de Platon : les esclaves sont enchaînés au fond de la grotte, tandis que les sophistes maintiennent des simulacres, des marionnettes devant le feu et font regarder des ombres sur le mur de la caverne aux esclaves. Chaque fois qu’un esclave veut tourner la tête vers la lumière et tenter de sortir, les sophistes mettent en place un nouveau petit théâtre d’ombre pour maintenir l’illusion. Pire, celui qui voudrait s’échapper et montrer la sortieserait aussitôt lapidé par ses congénères ! Parce que la vérité serait trop dangereuse ; elle viendrait sortir de ce confort-là. Dans cette crise sanitaire, on a donné la parole à ceux qui maintenaient dans l’illusion, dans la peur, le mensonge. Et, en effet, on a essayé de « lapider » ceux qui amenaient vers la vérité, parce que la vérité n’est pas confortable ! Elle vous fait voir toutes les noirceurs du système… qui sont aussi tous les petits arrangements avec le courage que chacun s’autorise. La paranoïa des grands de ce monde est la petite perversion et la paranoïa présentes à l’intérieur de nous. Toutes ces couardises, ces petites rétractations devant la responsabilité que nous avons laissé prospérer d’année en année, jusqu’à ce que le monstre soit tellement gros qu’il cherche à nous manger.
Comment développer une sagesse juste dans cette impasse-là ?
Le vrai sage, c’est celui qui a la mémoire ; il se souvient de ce qui s’est déjà passé dans l’histoire de l’humanité. L’Histoire ne se répète jamais mais elle bégaie toujours. La phase que nous traversons n’est qu’une phase. Et c’est ce qui peut rassurer vos lecteurs : cedéferlement totalitaire arrivera à son aporie, c’est-à-dire au bout de la discussion, quand celle-ci tourne en rond et n’arrive plus à produire quoi que ce soit. Donc, il s’auto-effondrera sur lui-même, car cet avenir techno-sanitariste mondialisé transhumaniste n’est pas désirable et n’est pas pérenne. Il correspond à une illusion.
Par rapport à la grippe classique, il semble que le covid s’accompagne plus souvent de micro-thromboses vasculaires et d’hypoxie heureuse. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Il y a effectivement des spécificités dans cette infection, qui présente un tableau clinique particulier. Les gens qui pensent qu’il n’y aurait pas de virus se trompent. Il y a bien un virus et une maladie particulière liée à celui-ci : la covid-19. Elle se manifeste par une atteinte vasculaire, une sorte d’inflammation des capillaires, notamment au niveau pulmonaire. Ce qui aboutit à l’hypoxémie : une diminution de la quantité d’oxygène dans le sang ou des difficultés à faire passer l’oxygène depuis les poumons jusqu’au sang. Le gros de notre prise en charge est donc de donner de l’oxygène, beaucoup d’oxygène. Or, on pourrait l’administrer à la maison (en s’organisant avec la médecine de ville, les soins infirmiers à domicile), comme l’a d’ailleurs fait remarquer la Société de Pneumologie de Langue Française. Ce qui aurait freiné le remplissage des réanimations. On en vient à l’hypoxie heureuse ; c’est-à-dire que certains vont faire un premier épisode symptomatique, avec de la fièvre, éventuellement des courbatures et une anosmie (perte de l’odorat, du goût), puis pas grand-chose… Ils seront fatigués, et si on dosait l’oxygène dans leur sang, on trouverait qu’ils en ont très peu, mais on ne peut pas le voir cliniquement. Il faut utiliser une petite machine : un oxymètre de pouls ou un saturomètre qui permet, par une analyse infrarouge de la couleur du sang, de savoir s’il y a désaturation, baisse du taux d’oxygène dans le sang. Cet examen n’est pas compliqué, il ne coûte pas très cher et c’est ce qu’il faudrait proposer à ceux qui ont été symptomatiques, qui ont eu un test positif et présentent des facteurs de risque de développer des formes graves. En dessous d’un certain seuil (le chiffre va de 0 à 100 ; en-dessous de 95, ce n’est pas normal), il y aurait lieu d’aller à l’hôpital. Cela permettrait aux patients d’arriver au bon moment, avant d’atteindre une forme de gravité. Vous devez prendre soin des gens qui ont un diagnostic positif et des risques de faire des formes graves. Leur dire : « Rentrez chez vous, prenez du Doliprane, on se revoit quand vous serez mourant » est irresponsable ! Le traitement antiviral (hydroxychloroquine, Zithromax, Zinc) permet de diminuer la survenue de ces épisodes-là. Et dans la phase inflammatoire, une corticothérapie semble être une piste intéressante pour couper l’herbe sous le pied à l’orage cytokinique. Vous pouvez aussi mettre à disposition de l’oxygénothérapie à haut débit dans les EHPAD. Ce ne sont pas des techniques difficiles à mettre en place et elles sauvent des vies. Il a été démontré par l’IHU (l’Institut hospitalo-universitaire en maladies infectieuses de Marseille, dirigé par le Pr Raoult, ndlr) qu’en mettant en place de l’oxygénothérapie à haut débit dans des EHPAD, on diminuait de 30% la mortalité. Qui plus est sans avoir à passer par la réanimation. Bref, nous avons énormément de pistes efficaces, allopathiques ou qui travaillent sur l’immunité positive, les ressources intérieures ( NDLR : voir dossier sur ce thème dans le Néosanté de février prochain), qui permettent de faire que cette maladie soit relativement bénigne. Et qu’elle ressemble, effectivement, à une grippe, en terme de mortalité. Même si le tableau clinique, lui-même, ne ressemble pas à une grippe.
Vous avez cité ce terme que l’on a beaucoup entendu dernièrement : orage cytokinique. Qu’est-ce qu’il signifie ?
Le virus, c’est de l’information qui nous traverse. Et la réaction du corps à ce virus est ce fameux « orage cytokinique ». En d’autres termes, le dégoupillage de la grenade de l’inflammation qui était déjà là (notamment dans la graisse abdominale, pour ceux qui en ont). Il y a donc des gens qui sont dans un état pré-inflammatoire chronique : les hypertendus, obèses, diabétiques… Ou des gens qui prennent des médicaments qui inhibent leur réponse inflammatoire normale, favorisant ce « dégoupillage ». On sait aussi qu’il peut exister des phénomènes d’interactions virales. Qu’est-ce que ça veut dire ? On s’est posé la question de savoir pourquoi à Bergame, en Italie, lors de la première vague épidémique, il y avait eu tant de morts et davantage d’hyper-inflammation qu’ailleurs. Une hypothèse de plus en plus étudiée, même si elle n’est pas complètement avérée, est qu’ils auraient reçu une vaccination contre la méningite, puis une vaccination contre la grippe, puis là-dessus le SARS-CoV-2 est arrivé… Il semble que toutes ces informations contradictoires pour le système immunitaire aient déclenché cet orage cytokinique. C’est même une des lignes d’explication des quelques rares sujets jeunes qui ont fait des formes graves de covid, alors même qu’ils n’avaient aucun antécédent. Peut-être ont-ils eu des vaccinations ou des infections virales dans les semaines qui ont précédé leur infection à SARS-CoV-2 ? Ceci est un plaidoyer pour bien réfléchir à l’idée de vaccination antigrippale et anti Sars-CoV-2. Car elles pourraient provoquer un effet inverse à celui escompté…
On a entendu, à propos des personnes âgées, qu’on favorisait leur départ anticipé pour relâcher la pression hospitalière et faire de la place. Est-ce vrai ?
Il y a eu des directives dans ce sens faites dans les EHPAD, recommandant l’utilisation du Rivotril, une benzodiazépine anxiolytique qui, en même temps, est un dépresseur respiratoire – il induit de moins respirer, avec un deuxième effet qui est de faire arrêter de respirer. Donc, effectivement, c’est une molécule qu’on utilise en soins palliatifs pour une sédation terminale ou pour diminuer les souffrances d’un patient en détresse respiratoire. Ce qui est choquant, ce n’est pas tant l’utilisation de cette molécule (déjà utilisée), mais plutôt l’indication qui a été posée. C’est-à-dire que pour un patient âgé qui respire mal, on ne se soucie même pas de savoir ce qu’il a ; d’emblée, on lui administre du Rivotril. Qu’est-ce que c’est que cette histoire ?!? Au contraire, ces gens doivent être soignés ; on peut donner de l’oxygène, de l’hydroxychloroquine, du Zithromax, du zinc, de la vitamine C, de la vitamine D, éventuellement du bleu de méthylène… Toutes les molécules proposées dans cette indication ne coûtent rien et ne sont pas compliquées. On peut aussi donner un antibiotique à large spectre qui couvre la plupart des difficultés respiratoires et des pneumonies qui surviennent chez les personnes âgées – c’est la norme en matière de traitement. Si c’est quelque chose qui est traitable, ça va marcher.En l’occurrence, ici, on a recommandé de ne rien faire… et pire que de ne rien faire, on a recommandé d’utiliser le Rivotril sans le consentement éclairé des patients, des familles. C’est extrêmement choquant ! Et ça correspond ni plus ni moins à des homicides qui seront passibles de procédures pénales quand le temps sera venu… Ceci a été réitéré lors de la deuxième épidémie, de manière encore plus choquante. À terme, il faudra regarder comment ont été instrumentalisés les soignants dans cette histoire. Ces derniers ont été en quelque sorte la main du bourreau, mais la décision du bourreau n’était pas la leur. Il faudra bien démêler l’écheveau des responsabilités, car certains soignants ont pensé bien faire. De même qu’on les met aujourd’hui dans cette clé de bras systémique, consistant à imposer la vaccination à des personnes âgées. Vaccination qui n’est ni avérée en matière d’efficacité ni renseignée en matière d’effets secondaires ! Vaccins dont les études de phase 3 ne sont même pas terminées. Avec un empressement coupable, on propose cette vaccination aux personnes âgées, avec un discours extrêmement cynique du pouvoir qui dit que, puisqu’elles sont âgées, cela servira de « ballon d’essai ». De cobayes. Ma recommandation à tous les gens qui peuvent lire cet entretien est d’aller voir directement les directeurs d’EHPAD où résident leurs (grands)parents, et de mettre un frein immédiat à ça. Vous devez refuser cette vaccination qui n’a aucun sens scientifique, aucun fondement épidémiologique et qui, pour le moment, est un dogme, ni plus ni moins, vendu parune propagande cynique et nauséabonde. Qui ne profitera qu’aux laboratoires pharmaceutiques.
En parlant de vaccin, plus largement sur la population planétaire, il semble que le virus mute ; par conséquent, la vaccination ne serait pas pérenne…
En effet, et lorsque je soulève ce point, l’argument qui m’a été opposé, c’est que de toute façon on revaccinera tous les six mois.Est-ce que vous voulez vraiment vivre dans un monde où vous recevrez un vaccin tous les six mois ? Pour simplement avoir le droit de vivre, puisque c’est la clé de cette histoire de vaccination : au-delà de l’absence de preuves de bénéfices, au-delà de l’absence complète de preuves de l’innocuité (de toute évidence, ce ne sera pas sans effets secondaires ou indésirables), c’est la concaténation,la corrélation qui est faite entre le fait d’être vacciné et le fait d’avoir droit à l’accès aux droits sociaux. Il s’agit ni plus ni moins d’un hold-up, sous motif sanitaire, du contrat social. En l’occurrence, on vous enlèvera par exemple le droit d’aller skier, de prendre l’avion, d’aller à l’école… et on ne vous le redonnera que si vous êtes vacciné. Cela ne doit pas avoir lieu pour aucune vaccination que ce soit, et encore moins pour celle qui est proposée aujourd’hui ! Les libertés fondamentales ne sont pas respectées.
Comment résister dans ce climat délétère ?
La résistance, pour moi, c’est l’idée de se relier, de s’accrocher les uns aux autres,de se serrer les coudes pour tenir. Il ne s’agit même pas de renverser le pouvoir, mais simplement de s’accrocher à des éléments de bon sens, de bonnes grosses prises : la paix, la joie, la liberté, l’amour… L’image qui me porte, c’est celle d’une symphonie ou d’un opéra. Lors du final, il y a cette apothéose où les chœurs reprennent toutes les parties du morceau, alors que les cymbales battent à toute volée, quasi jusqu’à la cacophonie. Vous avez cette petite flûte traversière qui tient les sept notes fondamentales du morceau, alors même que vous ne l’entendez plus. Soudain, le chef d’orchestre lève les bras… l’apothéose retombe… laisse place au silence… et la flûte traversière reprend les sept notes une dernière fois. Pour moi, c’est ça la résistance ! Il s’agit detraverser l’effondrement, le déferlement totalitaire, d’être « poncé » au passage par ces vents forts, ces grêlons, qui viennent révéler notre quintessence, le meilleur de nous-même. Pour que le joyau puisse enfin apparaître dans sa plus belle brillance, la plus simple, la plus nue.
Quelle est alors votre vision de l’après-covid, et plus globalement de l’avenir ?
J’ai vraiment l’impression que le grand arbre est en train de s’effondrer une fois pour toutes. Nous sommes au bout de cette crise itérative. Cette fois, elle est tellement manifeste que si l’on ne veut pas la voir, c’est que l’on veut s’aveugler. Or, quand l’arbre s’effondre, il ouvre un chablis dans la forêt. Il y a alors de la lumière pour toutes les petites pousses qui étaient déjà là. En l’occurrence, la permaculture, l’éco-construction, l’habitat partagé, la monnaie libre, une autre vision de l’éducation centrée sur l’enfant (non pour en faire un rouage de la société), du travail et de l’artisanat, une relocalisation de l’économie, etc. Tout est déjà là, il faut juste attendre que le grand arbre s’effondre. Et il est en train de s’effondrer, donc tout va bien. Mais il y a encore du travail ! Il va (nous) falloir du courage. Et le courage, étymologiquement et concrètement, vient du cœur. Ces temps obscurs sont aussi une invitation à l’héroïsme. Ici, il est donné à tout le monde d’être un héros. Il n’y aura ni sauveur, ni messie. Il n’y a que le choix d’une vie héroïque qui s’attache à se mettre en lien avec les autres, reliés ensemble à des valeurs fondamentales, qui puisse être une voie de sortie, de survie, dans ce déferlement totalitaire.
à A*****, partout, on ne construit plus que des clapiers de standing ! des Fleury-Mérogis de luxe.
("ils" appellent ça des "résidences") Mais les gens ordinaires, il vont habiter où ?
Et des maisons normales, à visage humain, ça ne va plus exister ?
les maisons normales qui existaient, elles sont toutes rachetées par des investisseurs qui les découpent, et UNE maison ancienne ils la transforment en PLUSIEURS mini-appartements, minuscules cagibis, tous digicodés et sous vidéo-surveillance, loué chacun à un prix aussi cher que celui auquel était louée avant la maison entière !
(et ce sera quoi le prochain stade ? des alvéoles individuelles de 2 m3 comme au Japon ?)
Andrés Manuel Lopez Obrador n’a pas été assassiné, ni mis en prison à vie, il n’a pas été victime d’une coup d‘Etat, les journaputes ne l’ont pas accusé de massacrer son propre peuple, l’OTAN ne l’a pas bombardé, il n’a pas attrapé un cancer fulgurant, ni une crise cardiaque dans une rue déserte, il ne s’est pas suicidé, on n’a pas retrouvé son cadavre au pied du building de la NHK, sa femme n’a pas porté plainte contre lui pour viol, on ne l’a même pas accusé d’antisémitisme ou d’homophobie, ce n’est donc pas un vrai président de gauche ! Ce n’est qu’un « social-traître » qui fait semblant d’être de gauche mais est « pragmatique » comme disent les journaputes du Monde, et est très complaisant envers le grand capital, dont il ne menace pas les intérêts ni les plans totalitaires.