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13/04/2017

en 1960

en 1960 toutes les femmes portaient des fichus, qu’on n’appelait pas « voiles islamiques » mais « carrés de chez Hermés », (ni "signes religieux ostentatoires", seuls les fichus rouges des "pionnières" étaient des signes communistes ostentatoires), et s’habillaient exclusivement de belles couleurs florales, souvent vives ; jamais de noir ! À part les veuves ou les vieilles bigotes.

Même les hommes, même vêtus de couleurs ternes, ne s’habillaient en noir que les pédants hyper-sérieux et imbus de leur personne les agents de la Gestapo et les croques-morts.

 

et partout on fumait on buvait de l'alcool et on roulait, librement, en 2CV

et on chantait des chanson loufoques

et nulle part il n'y avait de caméras de vidéo-surveillance.

31/03/2017

de tout temps

déjà en ce temps-là ceux qui disaient de choses embêtantes (par exemple qui risquaient de compromettre les positions de classe de certains, et leurs agréables profits ! l'analyse marxiste est et reste toujours un outil de compréhension lumineux et indispensable !) on disait tout de suite d'eux qu'ils étaient des fous, des "conspirationistes", des menteurs, ou (argument ad hominem toujours ! quand on n'a pas d'argument !) des "affreux" qu'on stigmatise ! Et maintenant c'est toujours ce qui arrive à ceux qui disent des vérités que les élites au pouvoir dans la société où ils le disent ne veulent pas qu'elles soient dites. Alors on se garde bien de répondre par des arguments rationnels (eh ! on n'en a pas qui vaille !) on cherche à les faire taire (par tous les moyens) ou à les déconsidérer aux yeux de la foule. regardez ce qui se passe de nos jours sur tel ou tel sujet (il y en a plusieurs, il y en a beaucoup même) et vous verrez les constantes à travers les siècles.

Au travail ! analysez l'actualité, vous verrez ! et vous comprendrez.

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26/03/2017

parmi les gens c'est comme ça

Catherine Baker « Balades dans les solitudes ordinaires » page 175

« Nous avons tous un si grand besoin de sécurité et d’amour que nous nous conformons inconsciemment au désir du plus grand nombre. Ironie de notre sort : par une espèce d’extraordinaire civilité, nous nous efforçons d’endiguer nos désirs pour que les autres n’aient pas à y répondre. Pour plaire il est tacitement convenu qu’on exigera des autres le moins possible. Faire comme tout le monde – eh oui – c’est manquer d’amour et se contenter de bien peu. Dans cette soumission aux aspirations de la foule, que de passions rentrées ! »

Oui, c’est effectivement ce que j’ai vécu

14/03/2017

"sexisme"

30/11/2016 depuis une dizaine d’année il y avait une firme de vente par catalogue « L’Homme Moderne », maintenant les firmes dans ce genre se multiplient tout à coup comme des champignons ! Ils ont tous vu qu’il avait un filon ! Mais d’abord, après « l’homme moderne » ils se sont crus obligé de faire « la femme moderne », et maintenant on nous sort « la famille moderne ». Je crois qu’ils ont eu peur des féministes !    - [et Dieu sait si maintenant les féministes ce sont des gens haineux (il n'y a qu'à les voir en vidéos ou lire leurs propos dans les revues), plein d’agressivité, d’intolérance et de totalitarisme] - Alors ils ont peur. Des fois qu’on les interdise au nom de la lutte contre les discriminations (sauf celles dues à l’argent  bien entendu  ).

10/03/2017

l'autonomie gratuite (comme quasiment tout le monde et dans quasiment tous les domaines dans les années 50) vous y avez pensé ?

*341.jpg*

autre sujet (quoi que ... pas si différent que ça ! .... ) le 10 mai 2017, journée historique ! date de l'officialisation des 500 parrainages et de la candidature de François Asselineau.
Près de 400 adhésions supplémentaires en 24 heures à l'UPR, c'est un vrai raz-de-marée !!! Les français reprennent espoir, ils voient qu'il est possible de lutter, ils se sentent des ailes !

08/03/2017

les filtres de police ne servent à rien si ce n'est à CONDITIONNER les gens à la peur, à les habituer à la soumission, à l'obéissance à la suspicion, à la tyrannie et à l'humiliation et à trouver ça normal

c'est à la 36ème minute de la vidéo.


05/03/2017

le vrai racisme c'est celui-là, la vraie "parité" qui manque c'est celle-là !

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20/12/2016

il fut un temps où une femme ne se sentait pas habillée si elle ne portait pas de gants

 

et ce n'était pas limité aux "classes chics"; avec les progrès républicains dans l'égalité sociale ces habitudes s'étaient largement répandues chez les petits-bourgeois, les agricultrices et les ouvrières.

 

18/12/2016

très juste cette pensée de Catherine Baker

cette pensée de Catherine Baker (balade dans les solitudes ordinaires page 175) réfléchissez y , c'est basique et évident, mais la société actuelle est devenue tellement flicarde et conformiste (sous son masque de "liberté " à géométrie variable, totalement hypocrite et novlangue-esque !) seule l'existence non diabolisée des voix solitaires garantit une société libre.

"Nous avons besoin de voix solitaires qui garantissent notre liberté"

 

06/12/2016

Un coeur en hiver

"Un coeur en hiver" (1992, eh oui ...) film que j'ai vu, par hasard,  au  studio Noroît, est resté pour moi comme le symbole, le paradigme de notre époque bourgeoise, d'un certain milieu, d'une certaine ambiance, d'un certain état de l'évolution des modes de pensée, des modes d'être, et des conventions, ce monde censuré, "bourge", glacé, pequeneux, feutré, dogmatique, parisien, intello sans coeur, politically correct, psychanalysé, de membres de la Secte des Adorateurs de la Mort, à trois mille lieux du peuple, mais surtout tellement typique de l'époque actuelle.

"en hiver" oui tout à fait, plus qu'ils ne pensent ! toute la bande, tout le milieu et toute l'idiosyncrasie, toute l'époque, et même en chambre froide, dans un immeuble sous air conditionné. La morgue.

Je crois que j'avais écrit dessus il y a des années, mais je n'arrive pas à retrouver le texte dans mon journal, je ne sais où il est passé.

 

 

et je crois que les milieux de la musique classique professionnelle sont extrêmement comme ça, extrêmement bourgeois - et pécqueneux ! - avec un mépris et un ostracisme de classe très fort (bien caché sous leurs voix policés et leur ton bien contrôlé).