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14/03/2017

"sexisme"

30/11/2016 depuis une dizaine d’année il y avait une firme de vente par catalogue « L’Homme Moderne », maintenant les firmes dans ce genre se multiplient tout à coup comme des champignons ! Ils ont tous vu qu’il avait un filon ! Mais d’abord, après « l’homme moderne » ils se sont crus obligé de faire « la femme moderne », et maintenant on nous sort « la famille moderne ». Je crois qu’ils ont eu peur des féministes !    - [et Dieu sait si maintenant les féministes ce sont des gens haineux (il n'y a qu'à les voir en vidéos ou lire leurs propos dans les revues), plein d’agressivité, d’intolérance et de totalitarisme] - Alors ils ont peur. Des fois qu’on les interdise au nom de la lutte contre les discriminations (sauf celles dues à l’argent  bien entendu  ).

10/03/2017

l'autonomie gratuite (comme quasiment tout le monde et dans quasiment tous les domaines dans les années 50) vous y avez pensé ?

*341.jpg*

autre sujet (quoi que ... pas si différent que ça ! .... ) le 10 mai 2017, journée historique ! date de l'officialisation des 500 parrainages et de la candidature de François Asselineau.
Près de 400 adhésions supplémentaires en 24 heures à l'UPR, c'est un vrai raz-de-marée !!! Les français reprennent espoir, ils voient qu'il est possible de lutter, ils se sentent des ailes !

08/03/2017

les filtres de police ne servent à rien si ce n'est à CONDITIONNER les gens à la peur, à les habituer à la soumission, à l'obéissance à la suspicion, à la tyrannie et à l'humiliation et à trouver ça normal

c'est à la 36ème minute de la vidéo.


05/03/2017

le vrai racisme c'est celui-là, la vraie "parité" qui manque c'est celle-là !

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25/12/2016

nos cloches sonneront-elles encore demain ?

Tiens ! des cloches ! les dernières cloches sans doute.
Bientôt, on n'admettra plus de tels "signes religieux ostentatoires", ça n'est pas "laïque", on n'admettra plus que puisse être audible sur la voie publique de la république des sons qui sont un signe religieux ostentatoire, on dira qu'il s'agit d'un acte de propagande et de pression psychologique inadmissible ! ceci ne concerne pas le bruit des voitures bien sûr !! ni la pub, c'est évident ! la pub c'est commercial, donc c'est bien. On ne va pas leur interdire quoi que ce soit, se serait une "entrave au commerce" ! Par contre la religion n'est pas un commerce, donc c'est mal, c'est du terrorisme. C'est de la concurrence déloyale pour les tranquillisants et les psychanalystes. Par contre les flics ça n'est pas du terrorisme bien sûr, même quand ils vous écrasent sous leurs bottes ou vous tuent.

une église qui sonne l’angélus. Etrange ! c’est encore autorisé?
Ça n’est pas encore interdit, ce signe-religieux-ostentatoire qui appelle à la prière par dessus les voies publiques de la République ?
Certainement bientôt, de toutes façons, ça va être interdit , pour "des raisons de sécurité" bien entendu ! on va dire que ce bruit peut éventuellement causer des troubles chez des gens à l’oreille sensible et que c’est un danger de santé publique .
Vraiment c’est bizarre qu’on n’aie pas encore créé sur Internet des forums de discussion où se déverseraient rien que des messages hargneux dénonçant l’égoïsme et le sans-gêne des curés qui obligent ainsi les athées à entendre un bruit dont ils n’ont que faire, etc, etc.

"cachez ce "chrétien" que je ne saurais voir !"
c'est devenu le sujet indécent, tabou, interdit, la religion : pouah ! à prohiber !
(au fait avez-vous remarqué que dans les pubs on ne vous présente sans cesse que des lapins de Pâques (totalement étranger à la culture français ! c'est dans la culture allemande et bien sûr !!! anglo-saxone) et plus jamais - verboten ! - de cloches. ça évoquerait la religion les cloches !)

cathédrale de toul :

lien libre de la vidéo ci-desus et avbsolument introuvable et incopiable en eaucune manieère meêm aprsè des heures et des journaess entière s de travoail mille foies refait :  https://ru-clip.net/video/ejRN5DofXMk/cath%C3%A9drale-de-...

cathédrale de Périgeux :

 

Nevecelles :

 

Un gallo solo no teje una mañana:
precisará siempre de otros gallos.
De uno que recoja el grito que él
y lo lance a otro; de otro gallo
que recoja el grito del gallo anterior
y lo lance a otro; y de otros gallos
que con otros muchos gallos se crucen
los hilos de sol de sus gritos de gallo,
para que la mañana, con una tela tenue,
vaya siendo tejida, entre todos los gallos.

   João Cabral de Melo Neto

 

Quant à la fête de Noël, elle est maintenant interdite, ou plus exactement son appellation. Ce n’était pas tolérable dans le cadre de l’athéisme obligatoire d’État régnant. On l’a remplacée par « fêtes de fin d’année ». Hop ! Comme ça Noël est gommé ! Disparu ! Plus de Noël, tout est noyé dans la vaste Saturnale capitaliste titytainment. Et puis dans "fin d'année" il y a "fin" ce qui ne peut que plaire à la Secte des Adorateurs de la Mort.

20/12/2016

il fut un temps où une femme ne se sentait pas habillée si elle ne portait pas de gants

 

et ce n'était pas limité aux "classes chics"; avec les progrès républicains dans l'égalité sociale ces habitudes s'étaient largement répandues chez les petits-bourgeois, les agricultrices et les ouvrières.

 

18/12/2016

très juste cette pensée de Catherine Baker

cette pensée de Catherine Baker (balade dans les solitudes ordinaires page 175) réfléchissez y , c'est basique et évident, mais la société actuelle est devenue tellement flicarde et conformiste (sous son masque de "liberté " à géométrie variable, totalement hypocrite et novlangue-esque !) seule l'existence non diabolisée des voix solitaires garantit une société libre.

"Nous avons besoin de voix solitaires qui garantissent notre liberté"

 

06/12/2016

Un coeur en hiver

"Un coeur en hiver" (1992, eh oui ...) film que j'ai vu, par hasard,  au  studio Noroît, est resté pour moi comme le symbole, le paradigme de notre époque bourgeoise, d'un certain milieu, d'une certaine ambiance, d'un certain état de l'évolution des modes de pensée, des modes d'être, et des conventions, ce monde censuré, "bourge", glacé, pequeneux, feutré, dogmatique, parisien, intello sans coeur, politically correct, psychanalysé, de membres de la Secte des Adorateurs de la Mort, à trois mille lieux du peuple, mais surtout tellement typique de l'époque actuelle.

"en hiver" oui tout à fait, plus qu'ils ne pensent ! toute la bande, tout le milieu et toute l'idiosyncrasie, toute l'époque, et même en chambre froide, dans un immeuble sous air conditionné. La morgue.

Je crois que j'avais écrit dessus il y a des années, mais je n'arrive pas à retrouver le texte dans mon journal, je ne sais où il est passé.

 

 

et je crois que les milieux de la musique classique professionnelle sont extrêmement comme ça, extrêmement bourgeois - et pécqueneux ! - avec un mépris et un ostracisme de classe très fort (bien caché sous leurs voix policés et leur ton bien contrôlé).

03/12/2016

Un de mes poèmes en prose


Je crois que je vais commencer de mettre ici mes poèmes. Pour commencer, un poème en prose, paru en 2005 dans l'anthologie de l'association "Flammes Vives".
mais avant voici un poème de l'incomprable   Edgar Lee Masters    


Webster Ford

Rappelle-toi, Apollon de Delphes
la rivière à l’heure du crépuscule où Mickey M’Grew
hurla :" IL Y A UN FANTÔME !
et moi "L'APOLLON DE DELPHES !"

Rappelle-toi, ô mémoire de l’air,
je ne suis plus rien qu’un petit tas de poussières
ma forme physique
mais je suis l’auteur de ce livre.

Quel est le poids d’un corps / face à un livre de voix mêlées ?

Un corps ne pèse rien / face à un tel livre de voix.

Seul le fantôme écrit
TU le sais
parce qu’écrire est cela : revenir
rappeler au jour
ce qui, de la nuit, est au plus noir.

Seul le fantôme écrit
SEUL LE FANTÔME ECRIT


Images



Une vieille lessiveuse avec une chatte qui a fait ses petits dedans

Une bulle de savon

Un reflet de lune sur l’eau

Un curé qui, dans les années 70, parle encore de vie éternelle dans un sermon, pendant le carême

Une enfant qu’on envoie devant un psychiatre parce qu’elle dit qu’elle veut entrer au Carmel

 

 

06/11/2016

la société capitaliste actuelle est plus totalitaire que tous les régimes communistes du passé, et même que la théocratie catholique d'autrefois

trouvé sur internet une dimension dont certains propagandistes ont l'air d'ignorer (intentionnellement ? car ils appartiennent au même clan!)

"On agite partout l’épouvantail du « totalitarisme » et son contre-modèle « les droits de l’homme » : mais qu’est-ce qui est totalitaire aujourd’hui sinon le fonctionnement des grands groupes capitalistes. Dans son ouvrage « Lénine, les paysans, Taylor », le sociologue Robert Linhart montre que l’organisation du travail est aussi et toujours un dispositif de domination.
Le capitalisme néolibéral pousse ce dispositif à son extrême limite. Depuis environ 2003, il a renforcé le pouvoir discrétionnaire de l’employeur par l’introduction de méthodes de gestion individualisée des performances.
Ces méthodes, couplées à l’enregistrement de l’activité (la traçabilité) et articulées à des menaces de licenciement, ont transformé en profondeur le monde social du travail. Le mesurage comparatif des performances entre les travailleurs n’a pas apporté de la « justice » dans le jugement et le traitement des salariés. Il a au contraire exalté la concurrence entre les individus et généré le chacun pour soi : un isolement individuel et une méfiance généralisée d’autant plus exacerbée qu’on monte dans la hiérarchie. Les fondements de la loyauté, de la confiance, de l’entente, sont sapés. La solitude et la peur sont entrées dans l’entreprise. Comme dans la société totalitaire le contrôle « policier » est partout. Sur le lieu du travail, organisé en « open space », chacun est à chaque instant au vu de tous les autres mais pourtant chacun s’enferme dans sa fonction et n’échange plus que des messages techniques. Chacun est tenu, souvent quotidiennement, de rendre compte de chacune de ses actions, que l’informatique enregistre par ailleurs à l’insu de ses utilisateurs. Les « reporting » se multiplient et les « procédures » sont de plus en plus contraignantes. La séparation de l’espace public et de l’espace privé est abolie : le travailleur (particulièrement le cadre) doit être joignable à tous moments. Il est sommé de se conformer à la « culture d’entreprise » et de manifester sa soumission à la fois dans ce qu’il fait mais aussi dans sa pensée et même sa manière d’être (sa motivation). Le monde du travail devient ainsi le lieu d’une servitude généralisée caractéristique de la société totalitaire. A tout cela s’ajoute souvent un culte de la personnalité du « dirigeant ». Chaque travailleur est informé de chacun des déplacements de ce dirigeant, sa parole est répétée, ses initiatives sont vantées par le service « communication ». Il est traité à l’égal d’un demi-dieu et reçoit en gratification des sommes démesurées comme s’il était destiné à vivre plusieurs vies.

Tous les ingrédients du totalitarisme sont présents : atomisation sociale, disparition de l’espace privé (société civile), contrainte et peur généralisée, propagande, culte de la personnalité, volonté de tout maîtriser. Le licenciement tient lieu de goulag et le contrôle de gestion de police politique. La propagande est organisée par la « communication interne ». Ce monde est si brutal qu’il conduit parfois à des suicides. Mais sa brutalité et son totalitarisme mêmes ôtent toute crédibilité à sa prétention de refuser toute remise en cause sous le prétexte d’un risque de « glisser dans le totalitarisme ». Ce qui est le plus contraire à la démocratie est ce qui la rend d’autant plus nécessaire et urgente. Il serait permis de rêver que ce soit la base d’un retour à la démocratie."