15/07/2016
Tour de passe-passe ingénieux qui double les profits capitalistes
souvenons-nous: en 1907: la semaine de 48 heures, en 2007: la semaine de 70 heures! (oui: deux conjoints à 35 heures chacun! ...) allez vous étonner qu'il n'y ait plus de vie de famille.
Femmes au travail ! Vous êtes la plus grande victoire du capital !
(faut-il être grand clerc pour comprendre ce que veut dire ce slogan ?)
"Nous ne voyons pas que la guerre des sexes est voulue par une société marchande qui en tire profit .
Toutes les fonctions familiales ont maintenant été étatisées le couple n’existe plus que pour la bagatelle. Le dernier avatar féministe ― la théorie du genre ― est là pour dissoudre jusqu’au fondement même du couple, égalitariser chacun dans une fonction sociale choisie librement mais toujours au service de la société marchande.
Depuis l’égalitarisme des années 1970, on a poussé la femme à occuper tous les domaines de la vie professionnelle. Pourtant elle éprouve un malaise constant, croissant. Loin de s’arrêter après l’abolition de la discrimination sexiste, les médias ne cessent de rapporter une escalade de revendications. Même après avoir dépassé l’homme dans de nombreux domaines, notamment à l’université, l’insatisfaction est à son comble.
Ainsi donc, Soral, Bernays et Laborit nous aident à comprendre comment le féminisme est devenu un mouvement d’asservissement de la femme. L’histoire nous a maintes fois donné l’exemple d’une révolution qui se transforme en piège pour ses protagonistes"
deux textes parus sur unisavecBové mettent les pieds dans le plat:
l'une, une femme, dit:
"J’attends, surtout des intellectuels de gauche, qu’ils aient le courage de remettre en cause des concepts qui sur cette rive politique l’on ne peut aborder sans provoquer un tollé généralisé, un déni méprisant, une moue dévalorisante, voir une agressivité foudroyante.
Lequel d’entre vous aura le courage de défendre ma fonction maternelle comme digne d’intérêt, voir comme une condition essentielle à une évolution solidaire et fraternelle des générations à venir ?
Lequel d’entre-vous aura les c… d’affronter nos chiennes de garde qui pensent encore, et ce en dépit d’un XXème siècle où Jung, Bettelheim, Dolto, Janov, et tant d’autres ont fait la démonstration que le petit de l’Homme, (comme celui du Bonobo !) a besoin d’Amour, et qui persistent à réclamer des places de crèches supplémentaires ?
Qui mis à part nos divas ont le privilège de pouvoir s’occuper elles-mêmes de leur bébé, l’allaiter, jouer, recueillir son premier mot, accompagner son premier pas ? Pour elles, pas de complexe à revendiquer cette fonction comme essentielle, enrichissante, épanouissante.
Pour nous, simples mortelles, il nous faut encore croire qu’aller travailler et les laisser à 2 mois et demi n’est pas un problème, « il suffit de lui parler, lui expliquer que maman préfère son travail, son statut social, sa nouvelle voiture, et autres miroirs aux alouettes dont ce système machiste et capitaliste peut revendiquer comme sa plus éminente réussite !
J’ai travaillé, je travaillerai encore, mais permettez que je revendique et exige le droit de m’occuper de l’éducation de mes enfants comme une tâche essentielle, un travail à part entière qui mérite valorisation et reconnaissance, une remise en question incontournable pour une évolution solidaire et viable des générations-à-venir !
Permettez enfin que je précise que je suis depuis toujours une militante engagée dans la lutte pour ces vieux et impérissables idéaux de paix, de liberté, de solidarité, d’égalité et surtout de fraternité.
Une révolution est urgente et nécessaire, elle ne saurait ignorer plus longtemps la satisfaction des besoins essentiels de l’être humain, et redéfinir du même coup le sens de ce vocable usé et galvaudé jusqu’à la corde, si merveilleux et puissant en même temps.
cf la critique du travail salarié par Bob Black :
http://www.aredje.net/lecture.txt/black1.htm
l'autre , un homme, dit:
Nous — ma chère et tendre et moi — avons un petit bonhomme âgé de quatorze mois. Nous n’avons jamais songé à réclamer plus de places de parking pour l’y stocker aux heures de bureau. C’est moi qui le garde. Pourquoi diable être papa (ou bien maman) si c’est pour se débarrasser de son môme chaque fois cela nous arrange en le collant dans un service public de la petite enfance ?
Bon voilà, c’est juste mon sentiment de papa qui garde son petit bonhomme tous les jours pendant que sa maman travaille.
Je garde mon petit. Je l’emmène avec moi aux meetings de la campagne Bové, aux réunions de travail de l’asso que je préside, à mes rendez-vous, dans les villes où sa maman doit se rendre plusieurs jours pour son travail parce que Loup tient encore beaucoup à manger avec sa maman chaque jour. Bref, Loup va un peu partout. Loup me semble être très heureux de vivre ainsi entre son papa à plein temps et sa maman.
Je ne vois pas pourquoi ce serait ringard, ou réactionnaire, ou conservateur, ou je ne sais quoi, d’écrire comme Ines qu’un petit poussin a droit à une vie de petit avec un vrai papa et une vraie maman qui s’occupent de lui."
(et j'ajouterai: qui vivent à tisser avec lui des rapports de personnes, et de VIVRE! tout simplement, et non pas se réduire à un "rôle" comme une machine, à éduquer, soigner, et éjecter)
Et je me permets un petit grain de sel personnel : ma mère http://www.ipernity.com/doc/r.platteau/844544 qui a passé des heures à faire des tableaux, à cultiver ses fleurs, à broder plein de napperons de scènes diverses, à jouer à des jeux radiophoniques ou des mots croisés (et aux cartes avec moi) à discuter des heures avec les clientes des Galeries Lafayettes, etc, etc n'aurait jamais pu faire tout ça si elle avait du travailler pour un patron.
http://forums.france5.fr/lesmaternelles/Cotemere/femme-fo...
Les gens de la génération née avant 1950, qui ont eu la chance d'avoir une vraie enfance et de vrais parents, dans un foyer, une maison, font de nos jours (à coup de concepts et d'idéologie! encore une fois) bien bon marché pour la génération future de tout ce qui leur a permis d'être heureux .
et encore dans le même livre : "De même que la Révolution française avait permis de mettre les citoyens aux travaux forcés, en sabrant les bien inutiles cent ving jours chômés pour raison religieuse, de même le féminisme a régénéré notre économie."
Mais maintenant la fuite en avant de l'exploitation capitaliste continue, et même avec 2 salaires la classe moyenne US n'arrive même plus à vivre :
"1/ en augmentant l'invidualisme généralisé
2/ en créant une rivalité fantasmée entre homme et femme, qui, alliée au point 1, a eu pour effet l'explosion du célibat, donc l'explosion de la consommation (multipliée par 2 en gros). Sans parler de l'explosion du célibat comme explosion de la frustration, d'ou l'utilisation permanente de la femme comme objet de vente (d'ou une femme rabaissée, moins respectée qu'il y a 60 ans).
3/ en mettant les femmes au travail, en les sous payant. D'où une baisse des coûts et une augmentation des marges.
4/ cette rivalité fantasmée entre et femme est une fausse rivalité mise en place par ceux qui ont intéret a maintenir le systeme en place, qui vise en fait a gommer les différences sociales (classes) en les remplacant par des différence de genre."
29/06/2016
mon petit chat noir se comporte comme une femme
2009 :
Envers mon chat blanc il se comporte comme les femmes actuelles se comportent envers les hommes. Quand il voit mon chat blanc il cherche à faire croire qu’il en a peur, qu’il est malheureux et traumatisé, et que celui-ci est dangereux, alors que c’est le contraire et qu’il se conduit en fait en dominant et le repousse, et voudrait bien le chasser carrément et de la maison et du jardin si il pouvait, et que c’est mon gros blanc qui a peur et cède le terrain. Dès qu’il le voit il (le petit noir) se met ostensiblement à pousser des cris déchirants, l’air de dire : « oh comme j’ai peur ! oh comme ce méchant chat blanc est dangereux ! » Et puis c’est lui qui prend sa place ou cherche à le faire, et mon « dangereux » blanc qui fout le camp aussitôt quand il voit l’autre s’attabler à sa gamelle.
Dans la société actuelle c’est pareil
Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
19/06/2016
Les soutanes noires sont partout !
Ils ont diminué les morceaux de sucre, qui ne sont plus que des demi morceaux de sucre. Remarquez, ils ont aussi tellement réduit la quantité de café dans la tasse !
par contre ils n’ont pas réduit le prix…. (curieux non ?)
ça fait d’autant plus de bénéf
Mais apparemment être avide de fric c’est sain. Et l’exploitation de l’homme par l’homme c’est « normal » …
Quand on vous disait que le pouvoir était à la Secte des Adorateurs de la Mort. C’est partout, et dans tous les domaines, même subliminaux (peut-être les plus dangereux)
Les « soutanes noires » sont partout.
27/04/2016
le vrai fossé entre civilisations c'est celui-là
24/2/2010 On dirait que la bourgeoisie dans tous les pays c’est partout pareil. Ca donne raison à Karl Marx : les mentalités de classe, et les conditions matérielles de vie (qui sont déterminées AUSSI par l’ambiance créée par une certaine civilisation et les modes de vies entraînés, comme le mode de vie bourgeois moderne actuel par exemple) déterminent les idées, les sentiments, les réactions, les discours même et les modes d’être et de pensée des gens.
Je viens de voir un film iranien – La fête du feu de Asghar Fahad - (Dieu sait si les ethnocentriques fanatisés par les médias et bornés occidentaux s’imaginent les iraniens différents !! ) qui se déroule parmi des bourgeois iraniens de Téhéran, qui vivent des déchirements « de couple » : c’est fou, non seulement à quel point comme me l’avait déjà dit la personne avec qui j’avais fait le voyage en Ouzbékistan, l’Iran c’est moderne, plein de bagnoles, tout le monde habillé à l’occidentale (à part le tchador que les femmes doivent enfiler pour sortir dans la rue, c’est la seule différence) les immeubles des buildings ultra-modernes, etc, (pas du tout comme l’Ouzbékistan qui est resté encore très traditionnel, lui), mais à quel point c’est exactement comme en France; à part quelques détails « iraniens », mais c’est marginal, pour 98% le décor, le mode de vie, le mode de réactions, tout est exactement comme chez les "bourges" français, et ils sont devenus (contrairement aux villageois ouzbeks ! ou aux villageois français, ou au peuple français, celui que Gilbert Ganne rencontrait dans les wagons de 3èmeclasse, le VRAI conflit de civilisation il est là ! le fossé c’est un fossé de CLASSE, et des mentalités entraînées par un certain niveau « technique » de vie, et les dégradations de rapports sociaux qu’ils entraînent,) paranos, claquemurés derrière des digicodes, des interphones, des immeubles d’appartements en copropriété, et ascenseurs, des parkings privés, qui comme à Malaga (Calle Amfora) ferment impitoyablement passé une certaine heure. Pas du tout le monde de Boule et Bill ! Et là on voit que comme en France la différence de mentalité elle est entre le petit peuple simple et décontracté et ces "bourges" (et non pas du tout entre les "bourges" iraniens et les "bourges" français qui sont complètement identiques) et comme tous les français qui habitent en appartement ils ne pensent qu’à porter plainte contre leurs voisins de copropriété tout à fait comme les membres français d’attac (c’est à dire ces enseignants pleins de fric, qui, comme tous les enseignants, sont des merdeux, intolérants et procéduriers,)
Publié dans Philosophie, Société, y'en a marre de l'américanisation | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
08/04/2016
regardez les méthodes (et les motifs ! non dits) de désinformation !!
http://www.lapresse.ca/international/dossiers/maison-blan...
Les motifs je les ai montrés, ce ne sont pas en réalité, du tout, les opinions conservatrices de Trump, ni la brutalité de ses propos, son challenger, que les médias (et donc leurs maitres !) souhaitent donc voir gagner à sa place Ted Cruz est encore bien plus conservateur !! Non si les « médias » , et donc leurs maîtres ! (car les journaleux ne sont comme l’a fait remarqué Soral que des putes ou des chômeurs) ont une répulsion phénoménale envers Trump c’est parce qu’il est contre les accords de libre échange et la « mondialisation » si rentable pour les spéculateurs ! et qu’il veut cesser l’interventionisme militariste des USA à travers le monde !
Aussi il FAUT absolument le diaboliser au maximum auprès de l’opinion du «troupeau»
donc ils font feu de tout bois et sortent ça.
Quelques commentaires sur le texte (outre son caractère partial et propagandiste, et n’oublions pas son titre, seule phrase que liront les deux tiers des surfeurs !)
un aveu ! « Les adversaires de Trump sont aussi peu appréciés » ce qui DONC fout par terre instantanément toute la thèse implicite de l’article ! s’en rendent-ils compte ? aux chiottes l’article ! inutile !
« 59% des électeurs ont en effet une opinion défavorable du sénateur texan Ted Cruz, qui tente de rattraper M. Trump dans la course républicaine, alors que 55% d'entre eux ont une vision négative de la favorite de la course démocrate, Hillary Clinton »
Autre remarque, à vomir, ils font bien remarquer que le groupe auprès duquel Trump a le moins d’opinion négatives ce son les « Blancs sans formation universitaire » (bacheliers, et autres, tenez le vous pour dit : si vous n’avez pas de formation universitaire vous n’êtes que des ploucs ! des « êtres inférieurs »).
Quel racisme social ! de la part de tous ces hommes d’affaires et leurs larbins bourgeois !
"Donald Trump inspire un dédain profond à un grand nombre d'Américains, tout sexe, origine, appartenance politique et lieu de résidence confondus, une impopularité sans précédent qui risque de miner les efforts du candidat à l'investiture républicaine pour surmonter ses récents revers.
Sept Américains sur dix, incluant près de la moitié des électeurs républicains, ont une opinion défavorable de l'homme d'affaires, selon un nouveau sondage Associated Press-GfK rendu public jeudi.
Cette opinion est partagée par une majorité de femmes et d'hommes, de jeunes et de vieux, de conservateurs, modérés et progressistes, de Blancs, d'Afro-Américains et de Latino-Américains, ce qui constitue une vaste condamnation de M. Trump.
Même dans le sud des États-Unis, une région où le milliardaire a remporté plusieurs primaires, près de 70% des personnes interrogées ont une opinion défavorable de lui. Du côté des Blancs sans formation universitaire, l'un des groupes d'électeurs les plus fidèles à Donald Trump, 55% des sondés avaient une vision négative du candidat.
Cela n'empêche pas M. Trump d'être en tête de la course quant au nombre de délégués et de compter sur de multiples partisans au sein de l'électorat des primaires républicaines. Mais l'ampleur de son impopularité soulève d'importantes questions sur sa capacité à rallier suffisamment d'appuis durant les élections générales pour accéder à la Maison-Blanche.
Elle met aussi en lumière les obstacles auxquels il pourrait être confronté durant le reste de la course à l'investiture républicaine, qui semble se diriger vers une convention houleuse durant laquelle les dirigeants du parti auront leur mot à dire au sujet du candidat qui sera choisi pour représenter la formation politique au scrutin de novembre.
« Il risque de se voir refuser la nomination parce que les militants de la base craignent que le fait qu'il soit si universellement détesté rende impossible sa victoire », a expliqué Ari Fleischer, un ancien conseiller du président George W. Bush.
Les adversaires de Trump sont aussi peu appréciés
Il faut cependant souligner que l'électorat n'est pas vraiment plus tendre envers les adversaires de Donald Trump. Environ 59% des électeurs ont en effet une opinion défavorable du sénateur texan Ted Cruz, qui tente de rattraper M. Trump dans la course républicaine, alors que 55% d'entre eux ont une vision négative de la favorite de la course démocrate, Hillary Clinton.
Le sondage Associated Press-GfK a été réalisé en ligne auprès de 1076 adultes entre le 31 mars et le 4 avril à partir d'un échantillon issu du KnowledgePanel de GfK, qui a été conçu pour représenter la population américaine. La marge d'erreur pour tous les répondants est de plus ou moins 3,3 points de pourcentage."
Publié dans Lutte des classes, morale, Philosophie, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
14/02/2016
hallucinant - installation du totalitarisme en France
Hallucinant ! horrifiant, glaçant, dans quelle société vivons-nous ?! lisez les termes de cette information journalistique :
"Fin de l'alerte enlèvement : M** et sa mère retrouvées saines et sauves
La fillette de 4 mois et demi et sa mère qui l'avait enlevée jeudi ont été retrouvées saines et sauves samedi vers 1 heure 15 à Ph*******, en Moselle.
avec AFP.
Publié le 19/04/2014 | 07:41, mis à jour le 19/04/2014 | 12:53"
l' « enlèvement » (un enfant avec sa mère !!!!! le choix de ce mot est hautement révèlateur, l'Etat est devenu le SEUL et UNIQUE PROPRIETAIRE des enfants, leurs parents n'existent plus, les familles, leur propre liberté: NEANT !
l'ETAT !!! l'ETAT !!! Dieu; PCUS totalitaire (représenté concrètement par des apparatchiks(-esses) et personnes physiques avec leurs réactions épidermiques et idéologiques)
"La mère, le père, le bébé, ainsi qu’un autre enfant du couple âgé de 15 ans ont été interpellés (!) alors qu’ils circulaient à bord d’un véhicule, samedi 19 avril 2014 vers 1 heure 15. Le bébé est manifestement en forme." (et pourquoi il ne le serait pas ? sales cons de "curés" à la mode de maintenant qui se croient les seuls êtres pensants de la terre !),
La Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) avait annoncé auparavant dans un communiqué que l’enfant avait été retrouvée saine et sauve (sic) et que l’alerte enlèvement (resic) avait été levée, sans plus de précision. "A priori, le véhicule redescendait vers Nancy. Ils ont été interceptés par un barrage routier. L’interpellation s’est déroulée de manière très tranquille", a expliqué le directeur du service régional de police judiciaire de Nancy, Alain Couic. La mère et le père, également déficient mental, ont été emmenés dans les locaux de la gendarmerie de Phalsbourg pour être entendus, a-t-il ajouté.
Mia retrouvée saine et sauve, ses parents arrêtés ( !!!!! ce qui veut dire qu'on lui a enlevé ses parents !)
La justice avait déclenché vendredi 18 avril en début d’après-midi une alerte enlèvement après la disparition de la fillette de 4 mois et demi, enlevée jeudi soir par sa mère dans un "centre maternel" de Nancy où elles résidaient toutes les deux. Les enquêteurs avaient fait part de "moyens très importants", d’un "dispositif très lourd" et de "recherches tous azimuts" pour retrouver la mère et son enfant, dont la santé est fragile.
La mère, une jeune femme de 36 ans prénommée B******, était montée avec son bébé dans une voiture vers 23 heures, jeudi, à la sortie du centre, et n’avait plus été revue. "Elle a pris la décision de partir dans la nuit, sans rien dire", (comme tout citoyen d’un pays libre) avait indiqué le procureur, alors que les enquêteurs s’interrogeaient sur le rôle joué par le père de l’enfant (le rôle d'un père peut-être tout bonnement ?).
Le nourrisson, né le 23 novembre, avait été placé quelques semaines plus tard sur la décision d’un juge des enfants de B**** (Meurthe-et-Moselle). "La mère n’en avait donc pas juridiquement la garde", avait souligné le procureur, en précisant que cette femme a quatre autres enfants, trois placés et un quatrième résidant chez un oncle.
Les services de la police judiciaire de Nancy, de la sécurité publique et de la sûreté départementale avaient été mobilisés dès que l’alerte avait été donnée par le centre maternel, jeudi vers 23 heures 45, ainsi que la direction centrale de la police judiciaire et l’office central de la répression des violences faites aux personnes, chargé de synthétiser les renseignements collectés grâce à l’alerte enlèvement.
Les polices judiciaires belge et luxembourgeoise avaient également été mobilisées, alors que les enquêteurs avaient fait part de leurs craintes la mère ne parte à l’étranger avec l’enfant.
Le Conseil général de Meurthe-et-Moselle, qui gère le centre maternel A***-L***** de Nancy où l’enlèvement (sic !) a eu lieu, a indiqué que cette structure permettait l’accueil
"permettre l'accueil" (sic!) pas l'acceuil l'enfermement, la preuve !!
des femmes enceintes et des mères isolées avec enfants de moins de 3 ans, "qui ont besoin d’un soutien matériel et psychologique, en chambre individuelle ou appartement".
"Il s’agit d’un dispositif d’accompagnement, sans restriction de sorties ou d’entrées", a-t-il précisé dans un communiqué. Bien que la mère n’ait plus la garde de son bébé, le juge des enfants qui avait pris cette décision avait estimé opportun de conserver le lien physique entre la maman et le bambin au sein de cette structure.
C’est la treizième fois que le plan "Alerte enlèvement" est déclenché en France. Ce dispositif d’alerte massive et immédiate déployé pour aider à la recherche d’un enfant présumé enlevé avait été déclenché pour la dernière fois en décembre 2012 quand un bébé de 2 jours, enlevé (vraiment enlevé ou parti en vacances avec ses parents ?) également à Nancy, avait été retrouvé moins de 24 heures plus tard"
(ceci dit envers les pères c'est encore pire - et l'égalité de tous devant la loi elle est ou ?! -un père qui part avec son enfant les jurnalopes appellent ça tout de suite "enlevé". Oui, c'est cela, c'est cela ....)
INSTALLATION DU TOTALITARISME EN FRANCE
"Il y a quatre ans les pouvoirs publics tentaient de désigner, dès la crèche et l’école maternelle, les bébés supposés devenir délinquants.
Aujourd’hui encore, face aux difficultés des enfants et des familles, les réponses stigmatisantes et coercitives sont privilégiées:
• Les mesures de contrôle et de surveillance des parents en difficulté sont renforcées.
• Le secret professionnel dans le cadre de la prise en charge des familles est mis à bas au titre de la loi de prévention de la délinquance de 2007.
• Les mineurs sont fichés : avec le fichier base-élèves, le parcours scolaire de tous les enfants sera conservé pendant 35 ans ; et dès 13 ans les mineurs qui seront a priori soupçonnés de vouloir commettre un acte répréhensible seront inscrits dans le nouveau fichier Edvige.
• La suppression du Défenseur des enfants est annoncée, au moment des célébrations du 20ème anniversaire de la Convention internationale des droits de l’enfant.
Cette volonté de contrôle de l’enfance se manifeste également dans la mise en place de certaines pratiques professionnelles. Le projecteur n’est plus braqué seulement sur le dépistage prédictif des jeunes enfants turbulents (bref être un enfant turbulent est devenu un crime !!). La focale s’est élargie à tous les enfants à travers des programmes dits de "promotion de la santé mentale" dès 24 mois."
Publié dans libertés, morale, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
24/01/2016
les fascismes des années 20 et 30 n'étaient qu'un premier essai, donc encore grossier et peu adroit .....
18/01/2016
typique des dérives actuelles
http://reinformation.tv/nadine-robot-humanoide-fonctions-...
Quel horreur !
voilà ce qu'on nous présente comme "le progrès" ça cache quoi ?
Il paraît que le prétexte est une population active vieillissante
1° ça tient pas debout leur argument, puisque dans le même temps on a de plus en lus de chômage et on nous dit que les trois quart des humains vont être superflus ! ça fait donc partie du refus de donner à des humains des emplois "cools", autre chose que des trucs stressants et exigeants une rentabilité maxi (et donc une sélection et une soumission maxi .....) tout en créant un chômage massif, et les problèmes qui vont avec (et en instillant dans les cerveaux l'idée qu'il est immoral de laisser exister des emplois "peu productifs", quoi que humains et sociaux, il doit y avoir un pervers projet de culpabilisation/soumission des humains, quelque chose de louche et en tous cas au départ contradictoire, donc il y a "un loup" à expliquer http://miiraslimake.over-blog.com/article-6993897.html
2° c'est possible car les bonne-femmes qui travaillent dans des rôles comme ça sont devenus de vrais robots ! donc c'est facile de ne pas faire la différence, par rapport aux comportement habituels. Les gens ne vont pas être dépaysés !
http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2013/11/23/une...
et c'est aussi le but de dresser les gens à être des "ressources humaines" des morceaux de viande bien obéissants, déshumanisés dans un monde déshumanisé, sachant ne se comporter que comme des machines soumises à un "protocole" !
11/01/2016
QUE ÇA !
Partout où il y a des femmes qui travaillent ensemble il n'y a que ça ! Partout où on entend, que ce soit par des amies, que ce soit parce qu'on est plongé dedans, que ce soit par des propos entre femmes entendues par rencontre, ce dont on les entend discuter et constamment se plaindre ce n'est QUE ÇA, des histoires d' « histoires », de clans, de médisances, favoritisme, défavoritismme, d'inimitiées, de maneuvres sournoises, de « tu as vu de quel ton elle l'a dit ?! », de jalousies, de piques, de psychodrames permanents (comme Mathon disait à propos de l'ONIC Lille), de montagnes faites avec des queues de cerises, de sous-entendus, de commentaires à n'en plus finir sur telle parole (ou absence de parole !) telle attitude de unetelle, etc.
Là bien sûr Simone de Beauvoir va dire (dans « Le deuxième sexe ») que si les femmes sont comme ça c'est à cause des conditions sociales de vie que leur ont fait les hommes. Mais la documentation sur laquelle s'est basé Simone de Beauvoir date du XIXè siècle et début du XXè. Or depuis un siècle la condition féminine a changé du tout au tout, tandis que ces comportements n'ont pas du tout disparus, au contraire (et par ailleurs il y a beaucoup plus de communauté de femmes dans le travail à notre époque qu'alors). Donc ça ne marche pas, on voit bien, que « c'est dans le sang ».
Publié dans mi iras limake, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
08/01/2016
Jacques Brel mis à jour
Toutes vétues de noir comme leurs parents !
Comme l'inspecteure de police et la conseillière pédagogique
L'assistante sociale qui prêche à la DDASS.
Les Françaises, les Françaises
Les Fran, les Fran, les Françaises.
Publié dans mi iras limake, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer