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18/01/2016

typique des dérives actuelles

http://reinformation.tv/nadine-robot-humanoide-fonctions-...
Quel horreur  !
voilà ce qu'on nous présente comme "le progrès" ça cache quoi ?
Il paraît que le prétexte est une population active vieillissante       

1° ça tient pas debout leur argument, puisque dans le même temps on a de plus en lus de chômage et on nous dit que les trois quart des humains vont être superflus ! ça fait donc partie du refus de donner à des humains des emplois "cools", autre chose que des trucs stressants et exigeants une rentabilité maxi (et donc une sélection et une soumission maxi .....) tout en créant un chômage massif, et les problèmes qui vont avec (et en instillant dans les cerveaux l'idée qu'il est immoral de laisser exister des emplois "peu productifs", quoi que humains et sociaux, il doit y avoir un pervers projet de culpabilisation/soumission des humains, quelque chose de louche et en tous cas au départ contradictoire, donc il y a "un loup" à expliquer http://miiraslimake.over-blog.com/article-6993897.html

2° c'est possible car les bonne-femmes qui travaillent dans des rôles comme ça sont devenus de vrais robots !   donc c'est facile de ne pas faire la différence, par rapport aux comportement habituels. Les gens ne vont pas être dépaysés !
http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2013/11/23/une...
et c'est aussi le but de dresser les gens à être des "ressources humaines" des morceaux de viande bien obéissants, déshumanisés dans un monde déshumanisé, sachant ne se comporter que comme des machines soumises à un "protocole" !

11/01/2016

QUE ÇA !

Partout où il y a des femmes qui travaillent ensemble il n'y a que ça ! Partout où on entend, que ce soit par des amies, que ce soit parce qu'on est plongé dedans, que ce soit par des propos entre femmes entendues par rencontre, ce dont on les entend discuter et constamment se plaindre ce n'est QUE ÇA, des histoires d' « histoires », de clans, de médisances, favoritisme, défavoritismme, d'inimitiées, de maneuvres sournoises, de « tu as vu de quel ton elle l'a dit ?! », de jalousies, de piques, de psychodrames permanents (comme Mathon disait à propos de l'ONIC Lille), de montagnes faites avec des queues de cerises, de sous-entendus, de commentaires à n'en plus finir sur telle parole (ou absence de parole !) telle attitude de unetelle, etc.


Là bien sûr Simone de Beauvoir va dire (dans « Le deuxième sexe ») que si les femmes sont comme ça c'est à cause des conditions sociales de vie que leur ont fait les hommes. Mais la documentation sur laquelle s'est basé Simone de Beauvoir date du XIXè siècle et début du XXè. Or depuis un siècle la condition féminine a changé du tout au tout, tandis que ces comportements n'ont pas du tout disparus, au contraire (et par ailleurs il y a beaucoup plus de communauté de femmes dans le travail à notre époque qu'alors). Donc ça ne marche pas, on voit bien, que « c'est dans le sang ».

08/01/2016

Jacques Brel mis à jour

Toutes vétues de noir comme leurs parents !
Comme l'inspecteure de police et la conseillière pédagogique
L'assistante sociale qui prêche à la DDASS.


Les Françaises, les Françaises
Les Fran, les Fran, les Françaises.

24/12/2015

quand fuir, se planquer est impossible, et que le seul avenir est la mort

* "un avortement décompléxé" pour qui ?

avortement.jpg

regardez les méthodes : http://laissezlesvivre.free.fr/sosfm/avortement.htm

  * c'est comme dans les années 1880-1900 quand on parlait de la regrettable mais inévitable disparition des "races inférieures" devant l'avancée de la "civilisation", les gens ne savaient pas comment concrètement ça se passait; voir le livre de Sven Lindqvist.

Et derrière l'es avortement savez-vous ce qu'il y a (à part la mort de ceux qui auraient pu exister) ? Eh ! vous oubliez les principes (absolument incontournables) de l'analyse marxiste : derrière les avortements il y a un marché, il y a des interêts financiers, il y a du fric à se faire, et ça se passe comme ça :

Au lien ci-dessous, la troisième vidéo secrètement filmée et publiée ce matin (mardi 28 juillet 2015) par le Center for Medical Progress dans le cadre de son enquête de longue haleine visant à infiltrer le colosse américain Planned Parenthood (PP). Ce document comporte notamment l’enregistrement d’une conversation avec la vice-présidente et directrice médicale de PP dans la région des Rocheuses, le « docteur » Savita Ginde. Celle-ci, installée à Denver, supervise les opérations d’exterminations d’enfants in utero à travers les quatre États du Colorado, du Nevada, du Nouveau-Mexique et du Wyoming.

 Cette vidéo comporte encore le témoignage d’une technicienne de laboratoire, Mme Holly O’Donnell, formée par Stem Express (fournisseur américain d’organes de bébés avortés, en pointe de la recherche biomédicale mondiale) au tri de tissus d’enfants morcelés par avortement. Objectif : préserver les meilleures pièces anatomiques propres à la vente (cerveaux, cœurs, poumons, foies, pancréas, etc.) !

 On y voit également l’un des enquêteurs, se présentant comme un acquéreur de produits biologiques humains, se joindre au docteur Savita Ginde pour lui-même procéder à une opération de sélection de reins d’un bébé avorté et de ses tissus cérébraux sur une boîte de Petri (9 min, 41 sec).

 Une assistante médicale, amusée, s’écrit alors (9 min, 50 sec) : « Cinq étoiles ! »

 Mme Savita Ginde fait savoir qu’elle est intéressée et souhaite maximiser les recettes pour chaque pièce anatomique d’un enfant avorté : « Je pense qu’une approche par objet pièce fonctionne un peu mieux, parce que nous pouvons ainsi mieux mesurer ce qu’on peut en tirer. » L’enquêteur identifie plusieurs parties fœtales qui rapporteraient en effet 200 à 300 dollars pièce à PP.

O’Donnell explique (1 min, 05 sec) : « Je pensais que j’allais simplement prélever du sang, non pas des tissus de fœtus avortés. » Lors de sa première journée de travail en 2012 (7 min, 30 sec), elle se souvient avoir assisté au vidage d’une bouteille de sang dans une passoire, dont le contenu fut subséquemment déposé sur une boîte de Petri. La technicienne de laboratoire en charge d’instruire O’Donnell commença d’extraire diverses parties de corps de bébés avortés disloqués. Elle lui dit (8 min, 38 sec) : « OK, voici une tête. Voici un bras. Puis une jambe. »

La technicienne en chef lui demanda alors si elle pouvait elle-même identifier les parties du corps.

O’Donnell explique encore (8 min, 46 sec) : « […] je pris les pincettes, car je ne voulais pas perdre ce travail […] je les plaçais dans le plat [boîte de Petri]. Je me souviens alors saisir une jambe et de me dire : « c’est une jambe… » Et, au moment de se faire, d’éprouver comme si la mort et la douleur se propageaient à travers tout mon corps. En somme, je finis par m’évanouir. » O’Donnell dû en effet être réanimée.

Une collègue essaya de la rassurer, en disant (9 min, 13 sec) : « Ne t’inquiète pas. Cela arrive encore à nombre d’entre nous. Certaines ne s’en remettent même jamais. »

O’Donnell finit par remarquer que les propriétaires d’entreprises derrière Stem Express (3 min, 29 sec) « étaient tout simplement à la recherche de quelqu’un qui puisse [les aider à] générer autant d’argent, autant d’échantillons [que possible]. »

(7 min, 02 sec) : « Planned Parenthood a besoin d’indemnisations. »

 La recherche médicale est donc le dernier de leur souci (ce qui, de toute façon, ne justifierait en rien de telles pratiques infâmes). Plus grande est la récolte en tissus valables (cerveaux, cœurs), plus grande est la rançon de ces charognes humaines.

Dans son témoignage, O’Donnell souligne en effet (5 min, 27 sec) que l’infirmière principale à PP ne s’intéressait qu’au profit généré par les activités de prélèvement à Stem Express (5 min, 39) : « Elle voulait s’assurer que tout allait au mieux pour nous, auquel cas tout allait également au mieux pour eux [à PP]. »

https://www.youtube.com/watch?v=Xw2xi9mhmuo

source : http://jre2014.fr/il-faut-agir/

 

  •  

    La barbarie, aux Etats-Unis, va encore plus loin que je pouvais le croire. Life Site vient de diffuser une vidéo où l’on voit une directrice du Planning familial discuter tranquillement de la façon dont on doit découper les fœtus dans le ventre de leurs mères pour pouvoir avoir des morceaux en bon état afin qu’ils soient vendables. Le morceau se vend entre 30 et 100$. C’est le foie qui est le plus demandé, bien que « beaucoup veuillent des cœurs intacts en ce moment ». Elle reçoit des demandes pour des poumons, et aussi pour des « extrémités inférieures », et elle ne sait pas trop pourquoi, sans doute « pour les tissus musculaires ».

    Le seul problème est qu’il faut le faire de façon à qu’on ne dise pas « la clinique vend des tissus et se fait de l’argent avec cela ».

    Elle pratique elle-même des avortements à Los Angeles jusqu’à la 24e semaine. Elle explique qu’elle tient une petite réunion chaque matin pour déterminer quelles parties du corps sont demandées (les clients remplissent un formulaire) et quelles sont les « patientes » qui ce jour-là auront des bébés sur lesquels on pourra faire les prélèvements. Ainsi les avorteurs pourront adapter leurs gestes de façon à ne pas endommager les organes à vendre ce jour-là. « Pour cette raison, la plupart des fournisseurs – sic – se font guider par échographie, afin de déterminer où ils vont mettre les forceps. Ils se disent : “Je ne vais pas écraser cette partie, je vais écraser en dessous, et au-dessus, et je vais voir si je peux avoir ça intact.” Certains changent la façon dont le fœtus se présente, de sorte qu’il ne vienne pas par la tête, parce que vous ne pouvez pas obtenir la dilatation suffisante. Si vous le faites à partir de la présentation par le siège, par les jambes, alors vous pouvez finir par avoir le crâne intact. »

    La loi fédérale américaine interdit l’avortement par démembrement depuis George Bush, et la vente d’organes. Mais, dit Deborah Nucatola, « les lois sont sujettes à interprétation. Si je vous dis d’emblée que je n’ai pas l’intention de faire cela, ce qui arrive après n’a pas d’importance. »

    Il faut regarder cette vidéo, car on y voit Deborah Nucatola raconter cela comme elle raconterait ses vacances, sans l’ombre d’une hésitation, sans la moindre pudeur, entre une fourchetée de salade et une gorgée de vin… Il me semble que n’importe qui de normal ne peut que se demander comment c’est possible.

 

 

le bien-être du plus faible :

http://desiebenthal.blogspot.fr/2015/10/le-bien-etre-du-p...

18/12/2015

un troisième !

trois livres vitaux

Laurent Mauduit, "Les imposteurs de l'économie"

http://www.amazon.fr/Les-imposteurs-l%C3%A9conomie-Lauren...

une œuvre de salubrité publique :

http://www.leretourauxsources.com/index.php/histoire-secr...

 

« La vie privée en péril », le cri d'alarme d'Alex Turk

http://www.lavoixdunord.fr/France_Monde/actualite/Secteur...

 

 

 

la situation mondiale actuelle : l'aliénation - La leciono de la Pafklik'

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 KATAKANA (LA Pafklik ‘)

Ataku mi vian lingvon tiom,
Kiom vi kreu novan skriban manieron
Kaj eniru mi al via kulturo
Kaj enmetu dolĉe mian diktaturon
Mi zorgu bone pri via sekuro,
Do zorgu klopode pri mia ekonomio
Staros nur apud vi unu futuro,
Via destino ligita al mia ŝnuro
Ne batalu, jam de longe vi iĝis venkita
Via tuta hejmo jam iĝis fremdigita
Ŝanĝu viajn kutimojn, forlasu tradiciojn
Mi enas vian lingvon, mi enas vian vivon.
Katakana, truda kaj kontrolanta
Komprenigas ke popolo via iĝas varilo mia
Ja vi komprenu, daŭrigu obeemon
Studu kaj apogu mian sistemon

Ne plu da auntaŭjuĝo rikana
Car ja mia parolo rekta kaj ĉikana
Ŝiras agite kiel vek’ vulkana
Rompas socion kun atako uragana

Ĉu vi komprenas ne pri ĉi ĉio temas ?
Kaj maljunaj memoroj ja ŝimas
Kion ni lernu dum infana edukado ?
Ĉu gepatran scion, ĉu virtualan instruadon ?
Junecon pli facilas manipuli
Nure mono nun povas ilin stimuli
Oni ĉesu idioti kaj oni vidu
Ke nuntempaj kulturoj ekzistas ne plu
Ekzistas nur en la kapoj de la popoloj
Malaperis agoj, nur restas paroloj
Kaj amaso da varoj iĝas la konsoloj
La laŭdira socio trudas al ni rolojn
Nenion signifas la honoro
Inter homoj, kiuj robotas pro laboro
Nenian respekton havu kapitalismo
Certe ne kredu feliĉon el materialismo
Aŭ tuj anstataŭigos de katakanaj
Viaj revoj kaj spertoj akiraj
Al popolamasa pensa maniero,
Kiu daŭre staras sur iluzia fiero
Forgesu juĝon de la amaso groteska
Kaj lasu vian kritik-kapablon kreska
Antaŭvidi futuron, imagu naturon
Vi ne rajtas erari, kiel eblas ripari ?

Ne plu da antaŭjuĝo rikana
Ĉar ja mia parolo rekta kaj ĉikana
Antaŭvidu futuron, Imagu naturon
Vi ne rajtas erari, vi ne povas fuĝi.

(por aŭskulti ĝin kun la muziko, aĉetu la diskon, ne estas alia rimedo, ĝi ne estas sur la reto.)

pour les non espérantistes, voici un essai de traduction en français :

Allez ! je vais attaquer votre langue, tellement que vous allez devoir créer une nouvelle façon d’écrire, et je vais entrer dans votre culture pour introduire doucement ma dictature. Il faut que je veille bien à votre sécurité, alors décarcassez-vous bien pour mon économie. Il n’y aura devant vous plus qu’un seul avenir : votre destin lié à ma laisse. Ne luttez pas, ça fait longtemps que vous êtes déjà vaincus. Votre foyer tout entier est devenu étranger, changez vos coutumes, abandonnez vos traditions, je pénètre dans votre langue, je pénètre dans votre vie. Katakana s’impose et contrôle, fait comprendre que votre peuple est devenu ma marchandise. Oui il faut que vous compreniez, continuez à être bien soumis, étudiez et soutenez mon système.
Plus de préjugé, fini de ricaner. Car mon discours direct et mon harcèlement déchire et agite le peuple comme un volcan, détruit la société comme l’attaque d’un ouragan.
Comprenez-vous de quoi tout cela s’agit ? Et les vieux souvenirs sont tout moisis.
Que devons-nous apprendre durant notre enfance ? Le savoir de nos parents ou un enseignement virtuel ?
La jeunesse est plus facile de manipuler. Il n’y a que l’argent qui puisse les stimuler. Arrêtez d’être idiots et voyez que les cultures de maintenant n’existent plus, elles existent seulement dans les têtes des peuples, les actes ont disparus, il ne reste que des paroles, et une masse de marchandises deviennent la consolation. Cette prétendue société nous impose des rôles. L’honneur ne signifie plus rien entre les hommes, qui deviennent des robots à cause du travail. Le capitalisme ne mérite aucun respect. Ne croyez certainement pas obtenir le bonheur par le matérialisme, et vos rêves et l’expérience que vous avez acquise seront remplacés par la pensée de la masse, qui toujours se base sur une fierté illusoire. Oubliez le jugement de la masse grotesque, et laisser grandir votre esprit critique, prévoyez l’avenir, imaginez la nature, vous n’avez pas le droit à l’erreur, comment peut-on réparer ?
Plus de préjugés, fini d'ricaner.
Car mon discours direct et mon harcèlement doit prévoir l’avenir, doit imaginer la nature ; vous n’avez pas droit à l’erreur, vous ne pouvez pas vous enfuir.

17/12/2015

La Pafklik' ekskluzivece - Varsovia Vento


« Mi ne ŝatas ruliĝi kun vi ne ne ne
en la herbo ridante ne ne ne»

he ! De toutes façons de nos jours il n'y a plus personne qui se roule dans l'herbe ! Il y a 40 ans il y avait encore des enfants qui faisaient ça, dans les Vosges en pente  (de nos jours on le leur interdirait formellement – et on retirerait les enfants de la garde de leurs parents si ceux-ci leur laissaient un jour faire ça - « pour des raisons de sécurité ») Mais maintenant ça n'existe plus jamais, et des adultes encore moins. Le goût de la vie est bien mort et enterré chez les gens. Jamais au grand jamais il ne viendrait à l'idée de personne de faire ça, et quelqu'un à qui viendrait l'idée ne le ferait jamais, par peur.

14/10/2015

Ce temps est si sévère

En 1855 Théodore de Banville (un homme beaucoup plus sensible que le prétendent les manuels de littérature) semblait avoir déjà prévu quelle serait  l'ambiance de notre sinistre époque !

Ce temps est si sévère
           Qu’on n’ose pas
      Remplir deux fois son verre
           Dans un repas,

      Ni céder à l’ivresse
           De son désir,
      Ni chanter sa maîtresse
           Et le plaisir !

      On croit que, pour paraître
           Rempli d’orgueil,
      Il est distingué d’être
           Toujours en deuil !

      Les topazes, la soie,
           La pourpre et tout,
      Ne font pas une joie
           D’assez bon goût,   

Et les bourgeois que flatte
           Un speech verbeux,
      Ont peur de l’écarlate
           Comme les bœufs !

      O pauvres gens sans flamme,
           Qui, par devoir,
      Mettent, même à leur âme,
           Un habit noir !

      Qu’ils ne puissent plus boire
           Sans déroger,
      C’est bien fait pour leur gloire !
           Mais, cher Roger,

      Nous de qui le cœur aime
           Un doux regard,
      Admirons ce carême
           Comme objet d’art,

      Et restons à notre aise
           Dans le soleil
      Qu’a fait Paul Véronèse
           Aux Dieux pareil !

      Sa lèvre nous embrase !
           Que ces marchands
      Gardent pour eux l’emphase,
           Et nous les chants ! 

Tant que des gens moroses
           Le ciel épris
      Ne mettra pas aux roses
           Un habit gris,

      Tant qu’au dôme où scintillent
           Les firmaments,
      Parmi les saphirs brillent
           Des diamants,

      Tant qu’au bois, où m’accueille
           Un vert sentier,
      Naîtront le chèvrefeuille
           Et l’églantier,

      Tant que sous les dentelles
           Daignent encor
      Nous sourire les belles
           Aux cheveux d’or,

      Tant que le vin de France
           Et les raisins
      Porteront l’espérance
           A nos voisins,

      Gardons la jeune Grâce
           Pour échanson,
      Que jamais rien ne lasse
           Notre chanson      

Et vous que j’accompagne
           Jusqu’au mourir,
      Versez-nous le champagne !
           Laissons courir,

      Avec l’or et la lie
           De sa liqueur,
      L’inconstante folie
           Dans notre cœur.

      Buvons ce flot suave
           Et sans rival,
      Et nous prendrons l’air grave
           Au carnaval !


 (confirmation de l'évolution de notre sinistre époque : les études ont montré que les gens de nos jours rien dte 10 à 20 fois moins souvent qu'en 1930 https://sharknews.fr/2012/09/19/internet-le-refuge-du-rire/3705/

22/09/2015

prix de la main d'oeuvre ....

Le garage **** facture la main d'oeuvre à 60 euros de l'heure (hors TVA !). Imposture totale. Je pense que seule une toute petite partie de cette somme représente réellement le coût du travail !! à 150 h de travail par mois (35H par semaine) ça ferait 9.000,00 euros par mois ! Cet argent ne va pas dans la poche du mécanicien qui sert de prétexte ! S'il touche 2.000,00 par mois (ce qui m'étonnerais beaucoup par les temps qui courent !! j'ai entendu parler plutôt de 1.300,00 en fait Celui qui travaille chez un concessionnaire gagne environ 1 600 €.) ça ferait avec 35,6% de charges sociales (sans doute moins, les charges sociales des patrons n'ont pas arrêté d'être réduites depuis 20 ans ! Tous les ans on nous annonce de nouvelles et supplémentaires réductions des fameuses charges sur les entreprises !!) et même avec les impôts (en constante réduction eux aussi, il est loin le temps où l'impôt sur les bénéfices était de 50% !) ça n'atteint pas 3.000; donc les 8.000,00 euros restants vont dans la poche du patron (ou des actionnaires du "groupe") !!!
De même qu'on dit que ce qu'on met dans son réservoir c'est des taxes avec un petit peu d'essence dedans, la "main-d'oeuvre" des garagistes c'est du vol avec un petit peu de travail dedans.

21/09/2015

C’est le libre bonheur

je regrette le temps quand il y avait des familles, quand les gens s'aimaient, quand les gens pouvaient avoir confiance, quand les femmes faisaient à manger pour leurs maris et leurs enfants et les hommes travaillaient et gagnaient de l'argent qu'ils ne dépensaient pas, sans penser à se demander des comptes l'un à l'autre, et trouvaient ça normal, sans se quitter, sans être égoïstes ni être hargneux comme les gens de maintenant.

Un nid c’est la chaleur intime et le murmure,

La tendresse et l’espoir dans l’ombre palpitants,

             C'est le libre bonheur bercé par la ramure

     Bonheur bien enfoui, voisin du ciel pourtant.