01/11/2016
stranga epoko ĉu ne ?
à Stella-Plage : j’irai faire caca à 11 heures, pendant que les autres seront à la messe. On a la religion qu’on peut …. Bof c’est quand-même mieux que ce qui est à la mode actuellement de faire des spectacles où on plonge le crucifix dans de la pisse ! Et même que les ministres se déplacent exprès pour aller le voir, en disant que c’est un devoir pour un républicain d’aller voir ce truc, et que c’est la liberté d’expression qui veut ça. Et même que si jamais quelques catholiques se permettent d’en être choqués et de le suggérer timidement, tout le monde leur crie aussitôt dessus en disant que ce faisant ils se conduisent comme des fascistes, qu’une telle réaction c’est un scandale intolérable, et on les repousse avec mépris. Assez curieusement par contre personne n’a fait de spectacle où on plonge les rouleaux de la Thora dans de la pisse, et d’ailleurs si quelqu’un avait fait ça, là on n’aurait pas parlé de liberté d’expression bizarrement, là les ministres ne se seraient pas déplacé pour aller voir la pièce, non ; là et l’auteur, et les acteurs, et le metteur en scène, et le propriétaire de la salle, et les spectateurs auraient été aussitôt arrêtés par la police et envoyés en prison ! Vere stranga epoko ĉu ne ?
07/10/2016
capitalisme et société actuelles - comme les pères divorcés
Autrefois dans le petit commerce traditionnel la maxime était "le client est roi", et les propagandiste d'autrefois disaient que le commerce répand la sociabilité, la civilisation et la paix, ce qui était partiellement vrai (partiellement !).
Maintenant dans les grand commerces contemporains, grandes surfaces, la SNCF, les assurances, etc, etc, ce n'est plus du tout ça, on traite les clients comme du bétail, des terroristes ! des rats : on les traite comme on fait aux pères divorcés, c'est à dire :
« aboule le fric ! et casse-toi ! »
Publié dans le mondialisme est le stade ultime du capitalisme, morale, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
10/09/2016
remarque qu'on peut se faire de temps en temps
22/12/2004 : Tiens, Il a une gueule de bonne-femme ce gars-là : maigre comme un clou, glacé, inexpressif. Tout à fait comme une femme.
Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
27/08/2016
la différence entre les hommes et les femmes c'est ça
*
*
Publié dans la vraie vie, mi iras limake, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
21/08/2016
les nuages et le libéral-fascisme
Les nuages, ça doit mettre les européistes, les capitalistes, les nouveaux "calotins" et tous ce genre de gens en rage ! ils doivent très fort regretter de ne pouvoir les supprimer, ils vont certainement plancher là-dessus. Pensez ! les nuages se déplacent librement, et en plus ils prennent la forme qu’ils veulent ! scandaleux ! anti-hygiénique ! c’est une "violence" ça ! et puis ils ne sont pas brevetés : inadmissible ! insensé ! ils ne sont pas sous copyright ni l’objet de "propriété intellectuelle", c’est un scandale ! c’est du "terrorisme" ! c’est dommage de ne pas pouvoir les tazer. Et on n’a pas encore réussi à les privatiser et à en faire un marché : c’est une lacune insupportable et criminelle !
Et, donc ils ne sont pas soumis aux normes européennes ! et même, y échapperaient à chaque instant, inacceptable ! à proscrire, il y a même des gens qui les regardent, et avec plaisir en plus : une conduite « addictive » ! une « dépendance ». Au moins on va pouvoir les mettre en prison eux, « pour des raisons de sécurité » bien sûr. Je sens que faute de mieux ils vont bientôt voter une loi là-dessus , en commençant par les automobilistes …...
(et tout c'est n'est pas de la fiction ! dans la réalité il y a par exemple ça : https://sites.google.com/site/grandprixubu2009/ )
20/08/2016
dernière lettre
*voici la dernière lettre que j'ai reçue de mon oncle, en 2005 :
*remarquez que ça révèle la nature des hommes (= le sexe masculin - pas les femmes !) derrière des apparences souvent "ours", silencieuse, ou maladroites, et conforte le fait que ce sont eux qui sont sentimentaux et véritablement ouverts aux autres êtres.
*
09/08/2016
j'ai bien l'impression
que les investisseurs des "services" postaux ont prévu de remplacer les distributions chaque jour le matin, comme jusqu'à présent (et je rappelle qu'en 1900 c'était DEUX distributions par jour) par 1 distribution chaque SEMAINE (comme pour les relevés bancaires d'ailleurs, ils ont commencé comme ça c'était une fois de plus la stratégie du "maillon faible") en fin d'après-midi : ça leur permettra de réduire drastiquement le personnel, et d'ainsi augmenter "toujours plus" leur marge bénéficiaire, en la faisant financer par l'ASSEDIC.
Bien sûr ils ne l'annoncent pas officiellement, ils vont introduire ça en douce, comme tout !
et de rendre la vie des "mougeons" toujours plus impossible ça permet de les rendre toujours plus soumis.
les évènements de ces mois-ci (et le merdier, et les drames qui vont avec pour beaucoup , mais ça ils s'en foutent éperduement, sans même le moindre tentative de solution pour une durée non déterminés, et sans doute pour toujours) à Arras, sont sans doute un ballon d''essai. Ils disent bien dans l'article de journal que c'est un "nouveau modèle innovant" suivez mon regard, on a compris.
05/08/2016
les français moyens actuels
Pub pour des achats d'articles de sport « à ce prix-là on commence tout de suite » il ne faut pas se méprendre, conditionnement ! ça fait partie de leurs devoirs inculqués, ça ou autre chose. Ce n'est pas des loisirs et encore moins du temps libre, les ouvriers parisiens d'il y a un siècle en avaient beaucoup plus qu'eux, et encore plus les enfants justement. C'est comme les pelouses qu'ils se sentent tous obligés de mettre sur leur terrain très cher acheté (non ! emprunté, auprès des banques), 5cm de surface verte (une couche de macadam peint en vert serait plus commode) qu'ils se sentent obligés de soigneusement entretenir et tondre toutes les semaines (mais à des heures bien précises !! et les jours !!) ce qui leur permet de ne plus leur rester de loisir, et filer rentrer chez eux (derrières les volets roulants fermés, comme ça on ne voit pas la surface verte vide stérile et inutile) prendre leur douche rituelle et aller se coucher pour pouvoir repartir travailler le lendemain.
Publié dans la France s'enfonce dans le Libéral-Fascisme, libertés, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
15/07/2016
Tour de passe-passe ingénieux qui double les profits capitalistes
souvenons-nous: en 1907: la semaine de 48 heures, en 2007: la semaine de 70 heures! (oui: deux conjoints à 35 heures chacun! ...) allez vous étonner qu'il n'y ait plus de vie de famille.
Femmes au travail ! Vous êtes la plus grande victoire du capital !
(faut-il être grand clerc pour comprendre ce que veut dire ce slogan ?)
"Nous ne voyons pas que la guerre des sexes est voulue par une société marchande qui en tire profit .
Toutes les fonctions familiales ont maintenant été étatisées le couple n’existe plus que pour la bagatelle. Le dernier avatar féministe ― la théorie du genre ― est là pour dissoudre jusqu’au fondement même du couple, égalitariser chacun dans une fonction sociale choisie librement mais toujours au service de la société marchande.
Depuis l’égalitarisme des années 1970, on a poussé la femme à occuper tous les domaines de la vie professionnelle. Pourtant elle éprouve un malaise constant, croissant. Loin de s’arrêter après l’abolition de la discrimination sexiste, les médias ne cessent de rapporter une escalade de revendications. Même après avoir dépassé l’homme dans de nombreux domaines, notamment à l’université, l’insatisfaction est à son comble.
Ainsi donc, Soral, Bernays et Laborit nous aident à comprendre comment le féminisme est devenu un mouvement d’asservissement de la femme. L’histoire nous a maintes fois donné l’exemple d’une révolution qui se transforme en piège pour ses protagonistes"
deux textes parus sur unisavecBové mettent les pieds dans le plat:
l'une, une femme, dit:
"J’attends, surtout des intellectuels de gauche, qu’ils aient le courage de remettre en cause des concepts qui sur cette rive politique l’on ne peut aborder sans provoquer un tollé généralisé, un déni méprisant, une moue dévalorisante, voir une agressivité foudroyante.
Lequel d’entre vous aura le courage de défendre ma fonction maternelle comme digne d’intérêt, voir comme une condition essentielle à une évolution solidaire et fraternelle des générations à venir ?
Lequel d’entre-vous aura les c… d’affronter nos chiennes de garde qui pensent encore, et ce en dépit d’un XXème siècle où Jung, Bettelheim, Dolto, Janov, et tant d’autres ont fait la démonstration que le petit de l’Homme, (comme celui du Bonobo !) a besoin d’Amour, et qui persistent à réclamer des places de crèches supplémentaires ?
Qui mis à part nos divas ont le privilège de pouvoir s’occuper elles-mêmes de leur bébé, l’allaiter, jouer, recueillir son premier mot, accompagner son premier pas ? Pour elles, pas de complexe à revendiquer cette fonction comme essentielle, enrichissante, épanouissante.
Pour nous, simples mortelles, il nous faut encore croire qu’aller travailler et les laisser à 2 mois et demi n’est pas un problème, « il suffit de lui parler, lui expliquer que maman préfère son travail, son statut social, sa nouvelle voiture, et autres miroirs aux alouettes dont ce système machiste et capitaliste peut revendiquer comme sa plus éminente réussite !
J’ai travaillé, je travaillerai encore, mais permettez que je revendique et exige le droit de m’occuper de l’éducation de mes enfants comme une tâche essentielle, un travail à part entière qui mérite valorisation et reconnaissance, une remise en question incontournable pour une évolution solidaire et viable des générations-à-venir !
Permettez enfin que je précise que je suis depuis toujours une militante engagée dans la lutte pour ces vieux et impérissables idéaux de paix, de liberté, de solidarité, d’égalité et surtout de fraternité.
Une révolution est urgente et nécessaire, elle ne saurait ignorer plus longtemps la satisfaction des besoins essentiels de l’être humain, et redéfinir du même coup le sens de ce vocable usé et galvaudé jusqu’à la corde, si merveilleux et puissant en même temps.
cf la critique du travail salarié par Bob Black :
http://www.aredje.net/lecture.txt/black1.htm
l'autre , un homme, dit:
Nous — ma chère et tendre et moi — avons un petit bonhomme âgé de quatorze mois. Nous n’avons jamais songé à réclamer plus de places de parking pour l’y stocker aux heures de bureau. C’est moi qui le garde. Pourquoi diable être papa (ou bien maman) si c’est pour se débarrasser de son môme chaque fois cela nous arrange en le collant dans un service public de la petite enfance ?
Bon voilà, c’est juste mon sentiment de papa qui garde son petit bonhomme tous les jours pendant que sa maman travaille.
Je garde mon petit. Je l’emmène avec moi aux meetings de la campagne Bové, aux réunions de travail de l’asso que je préside, à mes rendez-vous, dans les villes où sa maman doit se rendre plusieurs jours pour son travail parce que Loup tient encore beaucoup à manger avec sa maman chaque jour. Bref, Loup va un peu partout. Loup me semble être très heureux de vivre ainsi entre son papa à plein temps et sa maman.
Je ne vois pas pourquoi ce serait ringard, ou réactionnaire, ou conservateur, ou je ne sais quoi, d’écrire comme Ines qu’un petit poussin a droit à une vie de petit avec un vrai papa et une vraie maman qui s’occupent de lui."
(et j'ajouterai: qui vivent à tisser avec lui des rapports de personnes, et de VIVRE! tout simplement, et non pas se réduire à un "rôle" comme une machine, à éduquer, soigner, et éjecter)
Et je me permets un petit grain de sel personnel : ma mère http://www.ipernity.com/doc/r.platteau/844544 qui a passé des heures à faire des tableaux, à cultiver ses fleurs, à broder plein de napperons de scènes diverses, à jouer à des jeux radiophoniques ou des mots croisés (et aux cartes avec moi) à discuter des heures avec les clientes des Galeries Lafayettes, etc, etc n'aurait jamais pu faire tout ça si elle avait du travailler pour un patron.
http://forums.france5.fr/lesmaternelles/Cotemere/femme-fo...
Les gens de la génération née avant 1950, qui ont eu la chance d'avoir une vraie enfance et de vrais parents, dans un foyer, une maison, font de nos jours (à coup de concepts et d'idéologie! encore une fois) bien bon marché pour la génération future de tout ce qui leur a permis d'être heureux .
et encore dans le même livre : "De même que la Révolution française avait permis de mettre les citoyens aux travaux forcés, en sabrant les bien inutiles cent ving jours chômés pour raison religieuse, de même le féminisme a régénéré notre économie."
Mais maintenant la fuite en avant de l'exploitation capitaliste continue, et même avec 2 salaires la classe moyenne US n'arrive même plus à vivre :
"1/ en augmentant l'invidualisme généralisé
2/ en créant une rivalité fantasmée entre homme et femme, qui, alliée au point 1, a eu pour effet l'explosion du célibat, donc l'explosion de la consommation (multipliée par 2 en gros). Sans parler de l'explosion du célibat comme explosion de la frustration, d'ou l'utilisation permanente de la femme comme objet de vente (d'ou une femme rabaissée, moins respectée qu'il y a 60 ans).
3/ en mettant les femmes au travail, en les sous payant. D'où une baisse des coûts et une augmentation des marges.
4/ cette rivalité fantasmée entre et femme est une fausse rivalité mise en place par ceux qui ont intéret a maintenir le systeme en place, qui vise en fait a gommer les différences sociales (classes) en les remplacant par des différence de genre."
29/06/2016
mon petit chat noir se comporte comme une femme
2009 :
Envers mon chat blanc il se comporte comme les femmes actuelles se comportent envers les hommes. Quand il voit mon chat blanc il cherche à faire croire qu’il en a peur, qu’il est malheureux et traumatisé, et que celui-ci est dangereux, alors que c’est le contraire et qu’il se conduit en fait en dominant et le repousse, et voudrait bien le chasser carrément et de la maison et du jardin si il pouvait, et que c’est mon gros blanc qui a peur et cède le terrain. Dès qu’il le voit il (le petit noir) se met ostensiblement à pousser des cris déchirants, l’air de dire : « oh comme j’ai peur ! oh comme ce méchant chat blanc est dangereux ! » Et puis c’est lui qui prend sa place ou cherche à le faire, et mon « dangereux » blanc qui fout le camp aussitôt quand il voit l’autre s’attabler à sa gamelle.
Dans la société actuelle c’est pareil
Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer