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23/12/2014

quelques dessins pour Noël

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*voilà ce qu'est devenu le monde d'aujourd'hui; l'esprit de Noël, comme on disait autrefois, est bien mort, et sans doute interdit par la loi en qualité de "signe religieux ostentatoire" !

kaj nun kristnaska fabelo, sed moderna, mi bedaŭras !

 

 

KRISTNASKA FABELO MODERNA

 

Nuntempe Jesuo-Kristo estus rigardata kiel frenezulon; oni enfermus lin, kaj plenŝtopus lin per neŭroleptikoj.

Fakte unue li ne estus naskiĝinta : la virgulino Mario estus sin abortigita. Nu, pensu ! je tioma aĝo oni nepre ne konsentus ke ŝi naskus infanon; la socia premo estintus tro forta.

Kaj, se li estus naskita, senŝirmaj kiel ili estis, nuntempe ili neniam trovintus ian ajn stalon por ŝirmiĝi ; aŭ oni venigus al ili la policon ! Li estus naskiĝinta sur trotuaro. Ne, la patrinon oni enhospitaligus en akuŝejon ( Jozefo, li, eksteren ! al la strato. Ne ! en malliberejon : konsiderinte la aĝon de Mario, oni kondamnus lin pro pedofilio !), kaj oni forprenus disde ŝi la infanon tuj post la nasko, por formeti lin en establon de la « Socia Helpo » ; kaj nenia fuĝo en Egipton eblus ! Ĉiamaniere nuntempe la fuĝo en Egipton ne estus ebla : la landlimoj estas nun tro bone kontrolataj kaj hermetikaj ; kaj senlegitimaĵaj ili estus arestitaj kaj retroirigitaj en ilian landon, kaj transdonitaj al la polico de Herodo !

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24/11/2014

le Poulet

La dinde qui était une viande de luxe est maintenant avec les élevages type Auschwuitz pour carnivores consuméristes, est devenue une viande industrielle de pauvres. Ce qui a aussi arrivé au poulet, autrefois viande de riches, maintenant type même de l'horreur du consumérisme et du cynisme moderne (l'esprit de la modernité comme dirait Zygmunt Bauman) :

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Avant  d'écrire ces livres de réflexion sur la biologie ou le pacifisme qui l'ont rendu célèbre, le jeune Jean Rostand, qui était né dans une famille riche et cultivée (Edmond Rostand était son père, Rosemonde Gérard sa mère), et qui connaisait bien pour l'avoir fréquenté le monde de la haute bourgeoisie, a écrit quelques ouvrages critiques sur ce milieux. L'un d'entre eux « Les Familiotes et autres essais de mystique bourgeoise », paru en 1925, est un petit bijou d'esprit mordant mais pince sans rire, à la manière de Voltaire, de Flaubert ou de La Bruyère. Un chef d'oeuvre malheureusement pas réédité, et trouvable seulement chez les brocanteurs (puisque de nos jours, n'est-ce pas? les bibliothèques municipales n'ont plus pour but de permettre que plus de gens aient un accès plus facile à plus de livres mais que moins de gens aient avec plus de mal accès à moins de livres)

 

Il faudrait donc que quelqu'un nous le scanne et le mette sur Gallica.

 

Et dans ce livre le texte le plus remarquable est "Le Poulet"

 

Outre sa verve et son jubilatoire don pince sans rire de mettre à nu le racisme social et le cynisme de la bourgeoisie, c'est un document historique qui permet de nous rendre compte que la viande de poulet qui est devenu de par les Auschwitz animaliers que sont devenus les élevages industriels de poulets aux hormones, une viande de pauvres, était jusqu'en 1920 un met de riches, et que quand les pauvres se sont mis à en consommer ce fut comme une révolution !

 

(remarquez, peut-être que laisseriez passer ce détail, mais les théatres d'alors étaient accessibles à TOUS, simplement les pauvres étaient dans les galeries, et les riches au parterre, mais tous y trouvaient place; tandis que maintenant  pour les non-riches c'est purement et simplement DEHORS ! il n'y a plus de place pour eux)

 

 

LE POULET

 

Aux jours d’alors c’était pour eux un sujet de scandale et de désolation que la manière dont le Pauvre, ce profiteur, dissipait inconsidérément d’iniques salaires. Tandis qu’eux-mêmes, inspirés par le plus pur souci de l’intérêt général et de l’économie domestique, admettaient que les jambes fines de leurs femmes se vêtissent de coton et imposaient à leurs estomacs délicats des viandes grossières, le Pauvre, lui, mangeait du poulet avec ostentation et faisait porter à son épouse des bas de soie.

 

Leur fureur affectait de trouver que la situation, par son excès même, atteignait au comique. Et ils mettaient une façon de point d’honneur à se résigner. Ils abdiquaient avec hauteur. Ne voulant pas engager avec la Pauvre une lutte somptuaire, ils lui abandonnaient provisoirement, puisqu’aussi bien le monde était renversé, les élégances et les nourritures coûteuses, dont il devenait en somme honorable de se priver depuis qu’il fallait les partager avec des indignes. Ils exagéraient volontiers leur dénuement et se rationnaient avec un ascétisme rageur, préférant  d’accentuer le paradoxe plutôt que de chercher à l’atténuer. Dans leur amertume, ils se faisaient gloire de leurs restrictions alimentaires et vestimentaires.

 

« Eh bien, soit ! Que des ouvriers, que des balayeuses, que des gens de rien s’habillent et mangent comme nous ne pouvons plus manger et nous habiller ; qu’il nous faille nous arranger de menus et de costumes dont ne voudraient pas nos domestiques : acceptons courageusement l’offense du sort, et sachons accompagner d’un coup d’œil ironique la femme du peuple trop bien mise qui relève sa jupe sur des attaches que la soie fait paraître plus épaisses, comme par la vengeance du tissu déshonoré. »

* *

 

Stoïcisme de surface. Ils avaient beau se commander de sourire, c’était pour eux une souffrance incoercible que le Pauvre débutât dans le luxe, et surtout qu’il ingurgitât des poulets. A l’indignation que leur causait une vue si étrange leur ventre frustré mêlait une rancune physiologique : dépit de l’estomac, le plus fielleux qui soit. Ils évoquaient, ainsi que dans un cauchemar, toute l’odyssée du poulet, depuis son départ de la basse-cour natale jusqu’à son égorgement et jusqu’à ses métamorphoses ultimes. Et ils sentaient avec une vivacité criante la discordance de cette chair animale, si pâlement aristocratique, avec la chair humaine, rougeaude, et grenue, en quoi elle allait se convertir.

 

« Ah ! songeaient-ils, ce poulet, que les destins de sa race désignaient pour une honnête table bourgeoise, qui eut dû être préparé, assaisonné, rôti par ne cuisinière experte, artistiquement découpé par un maître d’hôtel aux favoris majestueux,  servi dans la pesante argenterie de famille aux chiffres entrelacés, ce poulet, ô déchéance ! après s’être dégradé au contact de la triste vaisselle graillonneuse, après s’être vu gauchement morcelé, autant dire assassiné, par des doigts noueux aux ongles sales, après avoir livré à une gueule profane sa consistance fondante et sapide, ce poulet s’en ira finir assimilé au fond d’entrailles prolétaires !

 

« Sans parti pris, est-ce du poulet qu’il leur faut ? Est-ce bien l’aliment convenable à des gens qui peinent et se dépensent ? Ce dont ils ont besoin, c’est de grosses viandes massives, garnissantes, et non pas de cette chair de luxe, neigeuse, aérienne, impondérable, inapte à rassasier. Le poulet revient de droit aux convalescents et aux oisifs.

 

« Ce poulet, le Pauvre n’y prend même pas de plaisir. Pour apprécier sainement un poulet, il faut des papilles instruites, formées à la longue par la pratique de mets fins et variés. Quand le Pauvre mange du poulet, c’est désir d’imitation ou esprit de taquinerie. Par goût naturel, il s’en tiendrait au fromage de cochon, au boudin à l’ail. Ce poulet, c’est un défi qu’il nous lance, c’est une gageure. Il vaut nous prouver qu’il peut faire comme nous, du moins comme nous faisions autrefois et ne pouvons plus faire.

 

« Si jamais, par une juste revanche des lois économiques, les salaires redescendent à un taux raisonnable, alors il se repentira de ses anciennes splendeurs culinaires ! Et s’il vient se plaindre à nous, ne serons-nous pas, en vérité, autorisés de l’accueillir par ce reproche laconique, mais péremptoire : « Et vos poulets ? » Ah ! qu’aux heures de privations et de chômage ces poulets lui soient un remords ; que la troupe de leurs spectres accusateurs défile dans ses rêves faméliques !

* *

 

« Et qui paye, au bout du compte, ces poulets ? Qui paye, en définitive, toutes les dépenses incongrues du Pauvre ? ses toilettes, ses alcools, son cinéma ? son théâtre où, désertant les galeries supérieures, il trône maintenant à l’orchestre ? D’où tire-t-il l’argent nécessaire ? De nous, n’est-ce pas ? Il faut bien, toujours, que l’argent de ceux qui n’en n’ont pas provienne de ceux qui en ont. C’est parce que le Pauvre mange des poulets que nous n’en mangeons plus. Le Pauvre nous ôte le poulet de la bouche !

 

« On oublie vraiment un peu trop qu’à cause du nombre des Pauvres leurs moindres dépenses finissent par représenter pour nous des sommes effroyables. Que nous occupions seulement deux cent ouvriers dans une usine, et que chacun de ces ouvriers mange un poulet, un de ces petits poulets dont chacun n’a l’air de rien, eh bien ! c’est tout de suite deux cent poulets qu’il nous en coûte. Car, bon gré mal gré, nous entretenons le Pauvre. Nous pourvoyons à sa ripaille. Son poulet nous dépouille, nous détrousse. Quel contre-coup il a sur notre vie familiale ! C’est la dot de ma fille écornée, c’est mon appauvrissement, car on s’appauvrit dès qu’on cesse de s’enrichir selon une progression constante. J’avais droit cette année à ma soixante-dix chevaux, et il faut que j’en reste à ma cinquante. Il faut que pour un délai illimité je me refuse mon hôtel à Paris. Il faut que ma femme accepte encore d’être toisée par des porteuses de colliers plus gros que le sien. Il faut que tous les deux nous endurions encore la honte de piétiner à la porte de tel salon où ne donne accès qu’une certaine fortune. Il faut que jusqu’à nouvel ordre je continue de me sentir déférent devant des amis mieux rentés. On se figure qu’il n’y a que les Pauvres qui soient humiliés ; mais nous le sommes, nous aussi, et combien plus durement ! Étant donné mon point de départ et la courbe de mon ascension, je devrais être aujourd’hui sinon le plus riche, au moins un des plus riches de ma ville. Le poulet de pauvre, c’est l’écroulement de mes espoirs, l’anéantissement de mes rêves les plus légitimes, l’obligation, à mon âge, de marquer le pas, la condamnation à une patience dont j’ignore si je serai encore capable. Ce poulet, pour moi, c’est le coup de grâce !

 

« Peut-être mes fils auront-ils la chance de vivre en des temps meilleurs ; peut-être leur sera-t-il donné de reprendre et de parfaire l’œuvre de ma fortune, que je n’ai pu qu’ébaucher au milieu des circonstances adverses. Mais j’en doute. Ce blanc poulet me fait voir tout en noir. Plus on ira, et plus le Pauvre mangera du poulet !

 

« Que ce poulet, pour tous ceux qu’il vise et qu’il lèse, devienne un signe de ralliement ! Qu’on s’accorde à lui prêter l’attention qu’il mérite ! Petits rentiers, fonctionnaires, professeurs, intellectuels, tous ceux qui sont obligés de se restreindre, de combiner des menus économiques, de réchauffer les restes de la veille, qu’ils se joignent à nous pour regarder d’un œil d’envie le plantureux poulet qui fume sur la table du  Pauvre ! Et qu’à cette vue ils conçoivent une haine digne de leur appétit contrarié !

* *

 

« L’époque où le poulet commença de figurer à l’ordinaire du Pauvre inaugure une ère nouvelle, disons mieux, un changement de régime. L’âge du poulet marquera, dans l’histoire sociale de l’humanité, autant que dans la préhistoire celui du mammouth ou du renne. Aucune partie du territoire national n’échappe aujourd’hui à la contagion funeste. Ce n’est pas seulement, hélas ! dans la région parisienne que sévit le poulet, c’est jusque dans les plus lointaines provinces, jusqu’au fond des campagnes. Sans cesse on signale de nouveaux cas de poulets mangés par des Pauvres. Un ami m’écrit de Bayonne que sa femme de ménage en a, elle seule, mangé deux dans la semaine ! De tous les points de la France, le même cri d’alarme s’élève. L’ingestion du poulet s’étend, gagne de proche en proche, se généralise. ? Notre cheptel gallinacé est en voie de disparition. Que ne doit-on pas redouter de ceux qui s’adonnent ainsi au poulet ? Bientôt ils se croiront tout permis. Ce poulet, pour eux, c’est n programme, un symbole. Dans ce poulet, il y a toutes les révolutions futures. Tenons-nous prêts aux pires éventualités. Ne nous hâtons pas de renvoyer en Afrique nos troupes noires ! Que nos sergents de ville apprennent le maniement des mitrailleuses ! Comme l’augure antique dans les entrailles des volatiles sacrés, apprenons à lire dans ce poulet fatidique le présage de l’imminente catastrophe ! »

 

J. Rostand – 1925

17/11/2014

il ne faut jamais s'abstenir de réfléchir

13/6/1997 Un professeur alcoolique a été dénoncé comme tel par un médecin de santé scolaire (et le secret médical ?! et le serment d'Hippocrate ?!); on va faire une enquête sur son compte, et les employées de l'** s'activent là-dessus pour essayer de le localiser et le "pincer", et etc, comme l'auraient fait avec autant de sérieux, de zèle et de conviction, et sans états d'âme, que les fonctionnaires des années 40-45 le faisaient sur les cas des juifs à repérer et à chasser de la fonction publique, et etc

Il ne faut jamais s'abstenir de réfléchir sur ce qui se passe.

22/10/2014

la société où on vit actuellement

On est dans une société profondément anxiogène et anti-humaine, et anormale, car c'est de plus en plus une société où tout ce qui devrait inspirer de la confiance n'en mérite pas ! et tout ce qui normalement - et de manière payante en plus ! - devrait apporter de la sécurité n'en apporte pas, mais au contraire une insécurité supplémentaire !
La société actuelle est une une société parfaitement insécurisante (par sa fixation fasciste sur la « sécurité » même, d'ailleurs) où on n'est rien ni personne, ni on n'en a plus le droit d'ailleurs, où on est à peine toléré.

17/10/2014

femmes au travail vous êtes la plus grande victoire du capital !

 

http://miiraslimake.over-blog.com/article-6121429.html...

 

04/10/2014

bon sens contre les sommets d'insanité du totalitarisme détraqué

Serge Rivron ( écrivain français) :

Je l‘avais allumé vers 18h, une fois le vent tombé, sur le goudron de mon parking. Un petit 80 centimètres de diamètre, alimenté des branchages touffus d’un cèdre que j’ai abattu récemment – un gros, 17 mètres de hauteur, débité main en buches et buchettes de 50 cm pour la cheminée cet hiver, et puis ces branchages pour le feu dehors, deux bons mètres cube.
Évidemment un feu, ça fume. Bien blanc, pas du tout comme les pneus et autres plastiques que brûlent régulièrement et en plein jour les artisans du secteur dans leur cour, ou leur jardin. Belle fumée naturelle, épaisse que le vent faible disséminait sur les prés alentour. Ma maison est à plus de cent mètres de la route, et largement au-dessus. Je dis ça, parce que ça a son importance, on va voir.
21 ans que j‘habite ici, j’ai dû faire environ 120 feux de broussailles ou de branches, brûler comme ça 200 mètres cube. La fumée des végétaux est totalement neutre en termes d’émission de CO2, puisque les végétaux s’en sont eux-mêmes servi pour grandir et alimenter l’air en indispensable oxygène. Les cendres nourrissent ensuite la terre.
J’en étais là de mes réflexions quand j’ai vu débarouler deux gendarmes en voiture. Sans doute alertés par la fumée, je me suis dit, c’est plutôt prévenant de leur part de venir voir ce qui se passe, même si c’est dans une propriété privée. J’étais à ce moment dans le champ au-dessus de mon parking, en train de couper le reste des branchages à brûler. Quand ils verront que c’est juste un feu bien entretenu, rien qui risque de prendre autour, un robinet pas loin, je me suis dit, ils vont repartir. Mais non.
Les voilà qui se dirigent pour sonner à la porte, du coup je les interpelle : “bonjour messieurs, c’est pour quoi ?”
Il paraît qu’il ne faut pas faire du feu de végétaux, surtout qu’on a la déchetterie pour ça, il y a un arrêté permanent d’interdiction. Première nouvelle, je leur dis, et puis je trouve ça profondément idiot. Je brûle un arbre qui faisait 17 mètres, je me vois pas porter ça à la déchetterie. C’est mieux de brûler des pneus que des végétaux ?
Oui, mais vous faites une sacrée fumée, ça va sur la route !
Donc il vaut mieux que je loue un semi-remorque pour emmener mon arbre à la déchetterie ? La déchetterie a donc vocation a être encombrée de tailles, de gazon qu’il faut qu’on porte là-bas en voiture ou camion, que d’autres camions vont emporter ailleurs, au mépris du fabuleux minerai de compost naturel que ça ferait sur nos propriétés ? Et en plus, il faudrait aussi que je paie en impôts le traitement de tonnes d’herbe, de branchages ?
Il n’est hélas plus nouveau de constater le sommet d’insanité que représente la sottise des hommes de ce siècle qui croule sous les ordures qu’il produit autant que sous les lois et avantages ineptes qui les défendent.
Merde, on va pas arrêter de nous casser les couilles à nous rendre toujours plus serviles et toujours plus salissants ?
Le petit coin de reste de campagne que j’habite est empuanti depuis 7 ans par une usine qu’aucun édile, aucun service performant d’État, n’est capable de nommer. Le petit paradis que j’entretiens, comme nombre de mes voisins jardiniers ou agriculteurs, est emmerdé tout les soirs et tous les samedis, tous les dimanches, par des petits voyous qui roulent en moto sur le stade municipal. Pas un flic, pas un procès verbal, pas un semblant de manifestation de la loi pour arrêter les méfaits de ces salopeurs d’espace public ! Mais quand il s’agit d’emmerder sur sa propriété privée un citoyen qui entretient l’écosystème, qui plante des arbres et en coupent d’autres, les gendarmes rappliquent, et donnent des leçons d’inculture à la ronde !
À l’heure où je termine ce petit récit, il y a longtemps que la fumée de mon feu végétal s’est dissipée. La route, que j’ai si terriblement enténébrée, est libre. En revanche l’insupportable émanation gazeuse de C******** est bien là, tenace, immortelle. Totalement libre de ses divagations morbides. Les gendarmes n’y peuvent rien, les pauvres.
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Feu-de-cheminee-dan... (lire surtout les commentaires, il y a des gens qui ont bien compris ce qui se passe)

11/09/2014

comme était, en fait, TOUS les magasins il y a 60 ans !

http://www.ouest-france.fr/commerce-deux-rennais-creent-u...

 

un autre article : en Angleterre un magasin est en train de .... redécouvrir tout simplement les pratiques de bons sens qui avaient cours il y a un demi-siècle ! (avant le règne du libéral-fascisme, du capitalisme idéologique débridé et de son corollaire, comme autrefois le christianisme pour la monarchie, la religion parano et totalitaire et tournant à la névrose et à l'absurde de l' "hygiène et sécurité"

http://www.consoglobe.com/peoples-supermarket-cg

05/09/2014

les sculptures sur les cathédrales

La propagande religieuse du Moyen-age vous choque ? bin, C'est pas pire que la propagande capitaliste, Etats-Unio-OTANesque et européiste actuelle ! pas du tout ! (si vous ne vous en appercevez pas c'est que vous faites partie du problème).
Et c'est pas pire que la propagande hygiéno-sécuritaire (là c'est tout à fait pareil, c'est la même chose - http://miiraslimake.over-blog.com/article-1581090.html ) qui fait croire aux gens que les fumeurs sont d'affreux pécheurs à chasser comme des lépreux et les fait bien submetiĝeme(1) calculer les commandements et le nombre de fruits et légumes à respecter ou de poubelles à remplir.
(1)
c'est de l'espéranto, ceux qui le savent comprendront.

21/08/2014

ses malédictions

William Blake avait dit de son temps (1793 in « Mariage du ciel et de l'enfer ») que
« De même que la chenille pond ses œufs sur les plus belles feuilles, le prêtre a choisi nos plus belles joies pour y déposer ses malédictions. »

c'est toujours valable de nos jours avec nos nouvelle religions, qui remplacent l'ancienne, mais avec les mêmes mentalités, http://miiraslimake.over-blog.com/article-1581090.html l'écologisme par exemple, ou l'hygiénisme (et les psycho-machin-chose de ce que j'appelle la Secte des Adorateurs de la Mort).
http://miiraslimake.over-blog.com/article-639302.html
http://miiraslimake.over-blog.com/article-20122119.html
http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2013/05/19/les-nuages-et-le-liberal-fascisme.html
etc, etc

même topo !

18/08/2014

les Français, sont complètement dans le politiquement correct, c’est a dire dans l’auto-censure

qq dans un forum internet disait :

"Vivant en Irlande, et travaillant dans une multinationale - évidemment Américaine ! - j’ai paradoxalement, le grand privilège de travailler avec des ingénieurs électroniciens et informaticiens Russes, Polonais, Serbes, Est Allemands de très haut niveau. Ils ne se font aucune illusion sur le gouvernement Français, mais admirent la France et ne comprennent pas l’apathie actuelle de notre peuple. Tous sont Francophiles, les Allemands un peu moins, peut être, ils nous considèrent plus comme des rivaux. Le niveau de conscience politique et géopolitique est en moyenne bien plus élevée chez les Est européen que chez les occidentaux. Je pense que l’ère communiste n’est pas étrangère à cela, car l’accession du peuple a la compréhension politique était une nécessité pour le projet de société communiste russe et est-européen.
A l’Ouest par contre le niveau est lamentable, les Espagnols, les Français, sont complètement dans le politiquement correct, c’est a dire dans l’auto-censure et donc la double-pensée. (*)
La palme de la connerie revient, sans aucun doute, aux Anglais et aux Américains, qui ne pensent qu’au fric.
Les Irlandais aussi, dans leur grande majorité, hélas, ne comprennent rien et s’en foutent. Leurs classe politique est a l’image de la notre, corrompue, affairiste, démagogique, incompétente et propagandiste.
Après tout, ne dit on pas que les nations ont les gouvernements qu’elles méritent ? Si telle est le cas, ne soyons pas surpris de la grandeur d’un Poutine, de la bassesse d’un Hollande, de l’hypocrisie toute protestante d’un Obama ou d’un Cameron, du tribalisme d’un Netanyahu.

Oui C’est au peuple de changer. C’est évidemment un vœu pieux. Il ne changera pas de lui même. « Les Français sont des veaux » disait De Gaulle, il convient donc de le faire changer. C’est en cela que chaque effort d’explication, de compréhension, de persuasion est révolutionnaire."

 

le capitalisme nuit gravement à la santé, à la santé mentale aussi.