16/07/2017
changements dans l'habillement
C’est la grande alternance ! Autrefois les femmes, à cause des jupes, allaient les jambes à l’air, tandis que les hommes portaient des pantalons.
Maintenant, on voit toutes les femmes engoncées dans des pantalons moule-fesses, noirs, étroits et collants, tandis que les hommes, du moins en été, prennent l’habitude d’être en bermudas, les jambes nues.
un autre bouleversement : autrefois pour un homme avoir "une barbe de 8 jours", ça voulait dire être un clochard ! Dans les années 80 Gainsbourg, qui se faisait ("les dessous chics") une coquetterie d'avoir l'air d'une "épave", faisait exprès de rester plusieurs jours sans se raser avant toute interview, pour avoir toujours une mine de décavé mal rasé.
Mais, mais voilà ce qui est arrivé, avoir une barbe comme ça est maintenant devenu chic ! la barbe clairsemée et à 3 millimètre, c'est devenu la mode "in" tout le monde en veut (même Jovanovic), je connais plein de gens qui s'y sont mis en vieillissant (moi aussi d'ailleurs, c'est vrai que c'est bien pour les paresseux), et tout les jeunes en raffolent !
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02/07/2017
petit cours de sociologie - 3
4/6/2017
C’est dimanche et tout le monde va à messe ! c’est plein de dévots qui font leurs exercices de piété, c’est à dire leur jogging matinal.
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23/06/2017
les espérantistes c'est comme les catholiques !
14/4/2017
Nous vous transmettons cet important message, aidez dans la possibilité de vos finances.
Amike,
** et ***
Bonjour à toutes et tous,
La réalisation de la statue "Brila Estonteco" (sic !)
(etc. , tout le reste est entièrement en français)
Ceci est un message envoyé par des espérantistes à des espérantistes.
autre exemple :
Saluton al ĉiuj,
Celle-ci aura lieu lundi prochain, soit le lundi 17 décembre.
Lieu : Office Culturel d'** - Pôle Culturel **
1er étage - salle **
A partir de 18h
L'ordre du jour :
- Mots des membres du Bureau
- Rapport d'activité
- Comptabilité et cotisations
Ghis la venontan lundon
Ceux-ci sont censés savoir la langue espéranto et s’en servir (déclaration de Boulogne 1905) et chercher à convaincre les gens de la facilité d’apprentissage et de la richesse de ladite langue. Or que constatez-vous ? Que « leur » langue ils ne la pratiquent pas et ne la SAVENT PAS, il se contentent de placer rituellement un ou deux mots que tout le monde sait (les seuls?) comme « saluton » ou « amike » histoire de se souvenir de la langue qu’ils sont censés connaître Pareil que les catholiques de maintenant, qui ne pratiquent en rien le christianisme, tel qu’on le voit dans l’évangile, ou encore moins dans les livres de piété des siècles passés, qui ne prient même pas, mais qui (quelques vieux seulement, les autres mêmes pas !) vont à messe, dans des églises fermées en permanence !!! et qu’on n’ouvre un court moment que le temps qu’il assistent à ces rites, et voilà ! Faisant ça ils se sentent « chrétiens » ça leur sert de gadget, d' "identité", histoire de se souvenir qu’ils sont censés être chrétiens, et puis ils continuent de vivre comme tout un chacun et exactement comme s’ils n’avaient pas le moindre soupçon de foi.
99 % des espérantistes c’est pareil !
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20/06/2017
les gens de maintenant crêveront de ne plus se toucher !
.La peau, « ce qu’il y a de plus profond chez l’homme »,
écrivait Paul Valéry dans « L’Idée fixe ».
La culture occidentale a codifié le toucher par des règles et interdits, et le monde moderne encore plus ! Pourtant, notre peau est une fenêtre sur le monde. C’est à travers elle que nous le découvrons.
Hervé Cochet est un professionnel du toucher. A double titre. Kinésithérapeute et aveugle depuis l’âge de 25 ans, il aime ce métier mettant en œuvre celui de ses sens qui, plus que les autres, lui permet d’être heureux. « On ne se trompe jamais sur un message envoyé par le toucher », assure-t-il. Ses mains sont devenues ses yeux ; sa peau, une fenêtre sur le monde
Lieu de toutes les sensations, réceptacle des caresses et de l’amour, vulnérable à la douleur, vectrice de la découverte du monde, la peau est l’organe du toucher, notre sens le plus affiné. D’ailleurs, les mots ne manquent pas : câliner, chatouiller, effleurer, presser, palper, frapper, frôler, frotter, tripoter, embrasser...
Aucun animal n’atteint la qualité et la précision perceptive de notre toucher. Lorsqu’il y a plus de deux millions d’années, l’homme s’est dressé sur ses deux jambes, il a libéré ses mains qui sont alors entrées en contact direct avec la matière. Aujourd’hui, évolution oblige, nos récepteurs sensoriels se concentrent 10 à 20 fois plus dans les mains que sur le reste du corps : on compte jusqu’à 2000 terminaisons nerveuses par millimètre carré au niveau de la pulpe des doigts.
« On touche avec les yeux ! » assène-t-on pourtant à nos enfants. Quelle frustration, alors que le toucher reste si longtemps notre principal mode d’accès au monde !
« Un enfant qu’on ne touche pas suffisamment devient rapidement dépressif et ralentit son développement psychoaffectif, rappelle Michael Stora. Le bébé peut mourir de ne pas être assez touché. »
« Des expérimentateurs s’intéressant aux rats ont montré que les animaux caressés sont détendus, calmes, souples, confiants et même audacieux, leur apprentissage est meilleur, leur croissance plus rapide, leur résistance aux affections plus grande, leur cerveau plus lourd. Par contre, les rats recevant les soins minimaux dans la stricte indifférence sont tendus, agités, craintifs et agressifs. » (Dr Leleu)
« Hommes ou femmes, nous aimons être enlacés, embrassés par quelqu’un en qui nous avons confiance » (Dr Leleu)
« Le besoin de contacts corporels est aussi irrépressible et fondamental que la faim, la soif et le sommeil. »
Le toucher est le premier de nos sens à se développer – la peau se forme avant la huitième semaine de gestation. Et le dernier à se retirer, ultime mode de communication lorsqu’une vie trop longue a usé tous les autres. Toucher, c’est découvrir, prendre de l’information, en donner. Toucher, c’est aimer et c’est apprendre.
« La peau est une source de sentiments. » (Dr Leleu)
« C’est par la peau principalement que nous sommes devenus des êtres aimants. »
( Harlow in The maternal affectional system of rhesus monkeys )
Un espace de vie qui ne ment pas. « Le monde des odeurs, des couleurs, des sons, est de simple apparence. Seul le toucher fournit la certitude d’une réalité. Prendre, c’est déjà comprendre », écrit le neurologue Guy Lazorthes dans son « Ouvrage des sens » (Flammarion, 1992). Ce qui est vrai pour la matière l’est aussi pour les sentiments que nous éprouvons. Véritable langage parallèle, cette voix du silence peut tout aussi bien traduire fidèlement notre monde intérieur que le trahir.
Eminemment culturel, le toucher du XXIe siècle est codifié par des règles, des interdits implicites, et se révèle toujours significatif. Et quand, par inadvertance, deux inconnus se frôlent dans une foule, il en résulte le plus sou-vent un immédiat mouvement de protection, voire d’agressivité : « Tout objet qui nous touche sans que nous l’ayons d’abord identifié est vécu comme une attaque », explique le kinésithérapeute Hervé Cochet, rappelant que « toutes les fonctions humaines sont dévouées avant tout à la survie de l’espèce ».
La France, de culture méditerranéenne, n’est pourtant pas la plus atteinte par cette désincarnation des rapports humains. Selon une étude, lorsque deux Parisiens prennent un café, ils se touchent en moyenne 110 fois, contre... zéro pour les Londoniens ! Quant à notre poignée de main innocente, elle se révélerait importune au Japon où tout contact physique est proscrit en public. Inversement, les hommes se tiennent couramment par la main dans les rues de Bombay ou de New Delhi et, en Afrique subsaharienne, les enfants restent en permanence sur le dos nu de leur mère jusqu’à leurs 2 ans révolus.
Aragon a bien compris, qui écrit dans « Le Tiers Chant », interprété par Jean Ferrat : « Suivre ton bras, toucher ta bouche ; être toi par où je te touche ; et tout le reste est des idées. » Les poètes ont toujours raison.
« C’est comme les petits ours : on n’existe que par les caresses qu’on vous fait. »
« Les mains sur la peau touchent l’âme à vif. » (Christian Bobin)
« Faites les gestes, et les sentiments entreront dans le cœur. » (Confucius)
« La main qui caresse reçoit une autre caresse de l’être quelle caresse. » (Jean-Paul Sartre)
« Ah, comme elle est bonne à tenir, la main d’un vieil ami ! » (Longfellow)
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31/05/2017
mode
avant on avait eu toutes sortes de modes, comme la mode sac, etc, mais maintenant pour les femmes partout c'est la mode tisonnier : filiformes et tout en noir, depuis les pieds jusqu'à la tête.
c'est d'autant plus remarquable que ça n'a jamais encore été comme ça, jusqu'à il y a pas longtemps; par exemple en 1960 toutes les femmes portaient des couleurs vives, seules étaient en noir les veuves et les vieilles bigotes, (et parmi les hommes les gens "sérieux" imbus de leur personne, les curés et les agents de la Gestapo).
dans le passé les poètes ont eu coutume de comparer les femmes à beaucoup de choses, c'est une habitude chez les poètes, mais maintenant aucune de leurs images n'est plus utilisable, la seule qui convient maintenant c'est celle d'un tisonnier, les femmes ressemblent à des tisonniers : filiformes, pointues, dures et tout en noir.
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25/05/2017
La culture des «contractions de texte » est faite pour bêtifier les gens, et faire baisser et le culture et le niveau intellectuel. Les résultats sont ravageurs
quand on regarde un de ces interviews - toujours "express" ! - de la campagne présidentielle. Ni le candidat ni la journaliste n'ont le temps, ni semble-t-il les moyens intellectuels, et en tous cs pas du tout le style de discours et ni de raisonnement ! d'exprimer les thèses et les raisons de manière même un peu compréhensible, et encore moins argumentée ! c'est affolant. Il y a comme disait je ne sais plus quel texte ou vidéo, que j'ai lu il y a peu de temps, une spectaculaire baisse du niveau des informations, on dresse tellement les journalistes à remplacer la véritable info par des slogans primaires et réducteurs, visant en fait à abaisser aussi le niveau de cerveau des "veaux" (là on pense au passage du discours de FA ou il dit "on m'avait dit : - vous n'y pensez pas ! donner le texte des articles du TFUE, les gens ne vont pas comprendre !") à un niveau primaire ultra bas !
Et moi je crois que le début de toute cette dérive perverse (à part les calculs visant sciemment à bêtifier les gens pour mieux mener le troupeau) est le fruit des fameux exercices de "réduction de texte". Ceux qui ont connu le système scolaire récent pourraient me le confirmer ou pas (?). Mais il me semble que maintenant les modes d'examens jusqu’aux grandes écoles inclus, se basent massivement sur ces deux méthodes bêtifiantes et abaissantes du niveau intellectuel que sont les réductions de texte et les "questionnaires à choix multiples" (comme dans les jeux-concours !!!! ce qui est dans un cadre scolaire une aberration totale).
J'avais commencé à découvrir ça dans les concours administratifs. Bon dans ce cadre-là ça pouvait se justifier, puis qu'on voulait entraîner les gens à pondre des note de synthèse pour leurs supérieurs.
Mais j'ai l'impression que maintenant on a introduit aussi dans l'enseignement scolaire ces méthodes formalistes (il faut compter le nombre de mots utilisés, sans le dépasser) et qui à force d'être obligé de réduire un texte complexe et nuancé en deux ou trois petite "idées-force" réductrices et simplistes qu'on puise rephraser avec le minimum de mots. "Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement" ça veut dire aussi que ce dont on réduit la formulation en quelques mots réducteur devient forcément une pensée simpliste et caricaturale !!!!!! C'est anti-éducatif, on leur apprend à fuir les nuances ! à ne plus raisonner, ni creuser les problèmes, concrètement, ni les objections, etc, et à réduire la complexité du réel et la richesse de la pensée à des "concepts" à la mode, comme les lamentables intellos qui écrivent sur Le Monde (que j'ai fini par ne plus lire tant j'ai été surpris de voir des gens censés être cultivés et intelligents réduire leur pensée à faire joujou avec quelques concepts à la mode (uniquement ceux qui sont à la mode ) comme des bébés jouant avec des cubes !!!
Forcément au bout de toute une génération formée comme ça, ça doit faire des ravages ! et produire des cerveaux débilisés et incapables d'aucune pensée un peu détaillée ! et un peu en phase avec la réalité, et le genre de "journalistes" comme ça.
ah ! p'tit cucube ! p'tit cu-cube... (de couleur vive bien primaire exclusivement bien-sûr, comme dans les "garderies" modernes), p'tit cucube à la momode (surtout à la momode ! c'est incontournable ! tout écart est sanctionné, d'une manière ou d'une autre) !
voilà ce que devient la pensée sous la plume des journalistes, mais aussi de tout ceux qui ont été formés à cette école, jusqu'aux sommets, grassement payés, de l'Université et des intellos professionnels.
18/05/2017
intervivula renkonto
intervivula renkonto Aprilo 2001
"et ton absence leur donne
la couleur de tes cheveux"
(Michel Legrand)
Que reste-t-il de Jacqueline qui vivait dans ce blouson ? RIEN, encore moins que de Poupounette. Elle n’est même pas pourrie, il ne reste même pas d’os. Une poignée de cendres. On l’a réduit en une poignée de cendres. Alles in Ordnung ! Propre en ordre ! Ça c’est hygiénique, et sécuritaire ça, éliminée, comme dans les psycho-machin-choseries.
Buvez ! éliminez ! Et on l’a mise dans une urne, et, le plus important : la facture ! la facture du crématorium, ça c’est sacré ! ça c’est politiquement correct, comme la psychanalyse. Comme à Auschwitz. Non, à Auschwitz ils n’avaient pas encore pensé à faire payer la facture à la famille ! comme font les chinois pour les condamnés à mort, mais les chinois ont fait des progrès dans l’éthique capitaliste !
"Elle était morte, ma compagne, ma femme, mon enfant, celle qui avait inventé pour moi tant de bonnes paroles, et de beaux regards."(Henri Barbusse)
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12/05/2017
pas seulement au Japon
Au Japon « la mort dans la solitude se répand » : chaque année, 30 000 personnes meurent « dans l’isolement, sans que personne s’en aperçoive » dans ce pays, dont 3000 à Tokyo. « Sans famille ni proche à son chevet ou en mesure de s’inquiéter au bout de plusieurs jours ». Une augmentation de 70% par rapport à 2005, et « la tendance va s’accélérer selon les experts ». Avec le vieillissement de la population (un japonais sur trois aura plus de 65 ans en 2035) combiné à la diminution du nombre de mariages et l’augmentation des divorces, les démographes prévoient que 7,5 millions de japonais vivront seuls en 2035. La banalisation de ce phénomène a entrainé la formation de « brigades de nettoyeurs ». Un concept « choquant » pour « un triste phénomène de société », la « façon la plus inhumaine de mourir ».
Dès l’âge de 40-50 ans, un grand nombre de personnes vivent seules et recluses. « Le réseau de voisinage s’effiloche, et des gens ont tendance à préférer passer du temps seul. C’est l’une de conséquences de la croissance économique du pays. Les valeurs liées aux relations humaines sont passées au second plan. ».
Source:
La Croix, Yuta Yagishita (6/03/2017)
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10/05/2017
L’idéologie individualiste actuelle est un mensonge et une foutaise
« Dans La Vie de Brian, le film des Monty Python, Brian (le héros) est furieux d'avoir été proclamé Messie et d'être suivi partout par une horde de disciples. Il tente désespérément de convaincre ses poursuivants d'arrêter de se comporter comme un troupeau de moutons et de se disperser. Le voilà qui leur crie « Vous êtes tous des individus ! »« Nous sommes tous des individus ! », répond à l'unisson le chœur des dévots. Seule une petite voix solitaire objecte : « Pas moi... »
Brian tente une autre stratégie : « Vous devez être différents ! », crie-t-il. « Oui, nous sommes
tous différents », acquiesce le chœur avec transport. A nouveau, une seule voix solitaire
objecte : « Pas moi... » En entendant cela, la foule en colère regarde autour d'elle, avide de lyncher le dissident. » (Zygmunt Bauman)
l’intégration aussi a une valeur (y compris celle à son aimé(e)), d’ailleurs ces hypocrites d’individualistes menteurs n’arrêtent pas de nous sommer de nous intégrer !!! (envers certaines personnes en tous cas , mais JUSTEMENT ! Comme disait rosa Luxembourg « la tolérance c’est toujours la tolérance envers ceux qui ne pensent pas [ou ne vivent pas] comme nous ! »).
La valeur de l’individualisme on la trouve dans cette phrase de Catherine Baker
« Nous avons besoin de voix solitaires, qui garantissent notre liberté »
comme l’avait fait remarqué Annie Lacroix-Riz lors d’une table-ronde à l’Université de l’UPR, mai 68 était censément être libertaire, mais il en est sorti un société plus dure et plus alignée que la précédente ….
nous avons besoin de voies solitaires.
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02/05/2017
une valeur de bon sens que notre époque de plus en plus intolérante a bien oublié !!!
en effet contrairement à ce qu'elle proclame tous les jours la société actuelle est depuis une vingtaine d'année devenus beaucoup beaucoup beaucoup plus intolérante (et normative, et uniforme et alignée, et répressive envers ceux qui ont l'audace de ne pas s'aligner, on appelle ça maintenant, oh perversion des concepts ! "avoir une conduite citoyenne" !) qu'elle ne l'était avant. Plein de gens y compris des célèbres s'en sont rendu compte ! et plein de monde au quotidien.
alors rappelons les chanteurs de l'époque précédente, déjà morts les pauvres, l'inoubliable pauvre Pierre Vassiliu, ce tendre et rigolard humaniste, (qui avait l'air d'Obelix ! je l'ai vu une fois sur scène à Arras) :
https://www.youtube.com/watch?v=QXbQP6LEjEM
et bien sûr le grand classique, la chanson qui est devenu comme un proverbe, Brasssens :
https://www.youtube.com/watch?v=HPux6uIksUc
(et là aussi LA SEULE occurrence parmi une bonne centaine, qu'il soit permis de télécharger !!!!!!!)