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02/06/2014

Martine est une "femme soumise"

si l'on en croit les maîtres à penser Educ.-Nat. et autres, Martine la fameuse héroïne des tant de livres, doit nécessairement être une "femme soumise" .              Si !  regardez comme elle est habillée :





Et les dynamiques petits détectives de la "Bande des Cinq" sont-ils des "terroristes islamiques" ? (ou ne serait-ils pas tout bonnement des français civilisés de notre enfance, du temps où on était libres et pas paranoïaques ?)

LeClubdesCinq.jpg

 

 

 

20/05/2014

28/4/2006 - impressions de voyage en Croatie

Les stewards et le hôtesses de l'air: on dirait que c’est des clones ! ils se ressemblent tous et ils ont touts exactement la même physionomie, on dirait qu’on les a clonés (d’ailleurs ça laisse rêveur sur le sort des 99% de gens qui se sont pas selon cet aspect, dans la société actuelle …..     )
Le printemps a 10 jours d’avance en Dalmatie sur le Pas-de-Calais : glycines et lilas en fleurs
+ iris + hirondelles.


potagers, linge qui sèche : vie normale, civilisée, libre, agréable, à visage humain.

Split : c’est un mur de béton (mais ce n’est pas la même genre de clapiers qu’en France, ça reste à visage humain même si entassé, ça ne s’est pas (pas encore !) transformé en ghetto où on entasse avec mépris et sans équipement les pauvres et les exclus ! … Et on sent la VIE, les gens, derrière ces balcons avec la trace de la vie-individuelle-vécue dans chaque appartement, le linge qui sèche par exemple. La Croatie n’est pas encore devenu un enfer totalitaire et les villes une façade de morgue comme c’est en France !!

L’Europe est vraiment surpeuplée On n’est plus en Croatie, on est aux Etats-Unis, quelle horreur ! C’est l’Europe politically correct flico-Bushiste maniaque et rampante du  Traitement de Choc Libéral
« Supetar Resorts » (sic) tout un programme, déjà le vocabulaire !
C’est tout du plastique! C’est tout du plastique et de l’amerloque. On n’est pas en Croatie, là; en Caroline du Sud peut-être. ?
Ce n’est pas un hotel normal, tenu par des particuliers (« libre- entreprise » qu’ils disaient !! ...) mais une espèce d’élèment d’un empire financier ! et le personnel est en uniforme ! comme dans les palaces.
Et tout est en anglais !

En fait j’ai découvert après que la plus grande partie de la clientèle est allemande, mais ils n’ont aucun texte en allemand ! tout en anglais ! charmant !
- Bob Black a raison quand il dit que la seule différence entre le travail et les loisirs organisés c’est que pour travailler au moins on ne paye pas en plus pour le faire !
Pas pratique et vraiment stressant (c’est pas des vacances !) les repas en libre-service éclaté, etc. Remarquez, comme j’ai été malade durant tout le séjour, rien n’a de goût, toute ingestion n’est qu’une infecte corvée. Tout le séjour est un enfer et une torture, et les nuits aussi. De toutes façons c’est un gros rhume ce que j'ai, exactement comme j’avais quand j’étais petit. Mais alors j’étais chez moi et j’étais soigné … Quand j’étais petit je disais que c’était agréable d’être malade, ou au moins d’être convalescent. Mais une fois qu’on est adulte il n’y a plus personne pour nous soigner, et la convalescence ça n’existe plus Les maladies ne sont plus que d’immenses malheurs. Et même quand on va mieux l’angoisse incessante de se demander : «est-ce que je suis encore assez malade pour justifier que je sois encore en congé ? est-ce que je ne risque pas de me le faire reprocher ?
» de telle sorte qu’on est presque content de voir que ça ne va toujours pas. Et le tout tout seul , dans la merde qui s’accumule, sans aucun espoir d’avoir un jour le temps et la force de remettre les choses en ordre, puisque quand ça ira mieux ça sera pour retourner travailler !
Aucune convalescence, aucune ! rien, rien que la souffrance et le désespoir, et l’impuissance.

petit-déjeuner: outre les œufs, lard et jus d’orange anglais, plus les fromages et sauces allemandes, il n'y a
apparemment  que les français qui ont un menu spécial à base de pain beurre et confiture, il y a en fait TOUTES les mêmes choses qu’on trouve dans les autres repas. Quel est donc ce pays (USA ?) où au petit déjeuner on mange exactement les mêmes choses qu’aux autres repas (comme en Egypte et en Inde)

Comme en témoignent 3 photos successives de la 1ère pellicule (le 22 avril), en Croatie
-il y a encore des hirondelle
-il y a encore des bancs public
-il y a encore des églises (des vraies, ouvertes !)
et il y a encore des bonnes-sœurs (avec leur « voile islamique » !
A chaque fois qu’on voyage penser absolument à emporter des morceaux de sucre. Ici aussi il 
n’y a pas de morceaux de sucre ! et un café sans morceau de sucre : beurk !


Croate : 10 = deset 20 dvadeset 50 pedese 100 = sto

11/05/2014

ignoble !

A VERONE COMME A PARIS… - La misère n’est pas choisie A VERONE COMME A PARIS… La misère n’est pas choisie

Vérone est une jolie ville italienne de 250 000 habitants. Belle destination touristique. Son centre-ville, comme tous les centres de grandes villes, connait une forte concentration de gens à la rue. Ils vivent de la charité publique : associations, particuliers. Ils picolent un peu trop. Ils donnent une « mauvaise image » de la ville. Les habitants du centre-ville, qui ne sont pas les plus pauvres de l’agglomération, se plaignent. Il y a sans doute des mesures à mettre en œuvre pour rendre les choses plus vivables. Mais la misère, l’errance n’est en général pas un problème simple, et si son spectacle n’est pas très agréable pour un nanti qui ne veut pas savoir, son vécu ne doit pas être tout le temps joyeux non plus !


Le maire, Flavio Tosi, est de la Ligue du Nord.  Il a imaginé une solution radicale : une amende de 25 à 500 € pour ceux qui donneraient à manger aux SDF. Il est demandé aux SDF de mettre le bordel chez les pauvres, pas dans les quartiers riches, place Dante ou place Viviani. En ligne de mire, il y a une association : Ronda della Carita. Son action : organiser des soupes populaires le soir.  Le maire de Vérone feint de croire que les gens qui vivent dans la rue l’ont choisi. « Il y a une multitude de structures d’accueil à Vérone ». Est-ce si simple ? Tout le monde, à Vérone ou à Paris, n’a pas envie de rejoindre des dortoirs caritatifs,de même qu'au temps de Dickens peu de pauvres avait envoe d'être enfermés dans les workhouses. Etre pauvre n’est pas excessivement drôle, s’il faut en plus ne plus être libre ! Le maire de Vérone semble oublier que ne donne aux SDF que celui qui veut. A fortiori, donner à manger est, plus encore que donner de l’argent, venir en aide à une détresse. On parle beaucoup des droits de l’homme à tout bout de champ. Pour le coup, s’il y a bien un droit de l’homme à respecter, c’est celui d’être généreux envers qui on le souhaite. Cela fait partie de la décence ordinaire, tout comme le devoir d’assistance envers une personne en danger. Il y a deux sociétés qui sont invivables : celles qui donnent plus de droits à celui qui vient d’arriver qu’aux concitoyens de longue date, et, à l’inverse, les sociétés qui ne laisseraient plus aucune place à un geste envers les autres, qu’ils soient SDF ou autres. Apparemment, la Ligue du Nord n’est pas encore à comprendre cela.

http://metamag.fr/metamag-2008-A-VERONE-COMME-A-PARIS%E2%...

31/03/2014

Oni ne pafas en Jamburg


Je crois qu’avec le temps on s’est aperçu et on s’aperçoit de plus en plus qu’il convient de, comment appeler ça ? banaliser le régime soviétique (et d’ailleurs également le nazisme comme l’ont bien montré les travaux de Sven Lindqvist et de Sygmunt Bauman) , c’est à dire : que les caractéristiques qu’on a vues comme propres à lui, monstrueuses, exceptionnelles, peuvent se retrouver partout, sont des tendances générales et universelles de la psychologie, de l’Etat, et de ses organes, tout cela mutatis mutandis, il suffit que les conditions de manifestation soient suffisamment remplies. (d’ailleurs on a bien vu ces dernières années comme des trucs, autrefois ardemment décriés, de l’URSS ont « déménagé » chez nous, tels que les Rideaux de fils de Fer barbelés aux frontières visant à empêcher des migrations économiques jugées indésirables par l’Etat, ou la surveillance des gens par des caméras !) Ainsi donc, par exemple, si on prend le type de discours, et de comportement, des agents du KGB (comme par exemple on les voit à l’œuvre dans le roman de Mikaelo Bronŝtejn « Oni ne pafas en Jamburg »), et toute leur sournoiserie puante, leurs tons bénins et cauteleux, leur hypocrisie venimeuse, n’a rien d’exceptionnel ni de propre à l’URSS, mais se retrouve dans tous les corps similaires, tels dans le monde actuel les flics et les flics sociaux, surtout ces derniers, car comme il s’agissait d’une Police de la Pensée, et du comportement, et d’une chasse à tout ce qui ne rentre pas dans les normes édictées par l’Etat, ça se retrouve beaucoup plus dans toute la flicaille sociale que dans la police judiciaire traditionnelle.

 

 

"La police n'a rien à voir avec la liberté. Sa raison d'être ? Saisir, courir, ruser,
terroriser, forcer. Ni l'origine, ni l'aboutissement ne la concernent. Un déclic met
l'appareil en marche, et il va prêt à broyer. [...] Le bon policier est celui qui ne se pose
pas de questions
(1) embarrassantes, le chien de chasse qui bondit après tout ce qui fuit." (Bernard Charbonneau, in "L'Etat" 1949)
(1) pensez à l'analyse de Zygmunt Bauman dans "Holocauste et modernité"

 

 

Se vi legis la romanon de Mikaelo Bronŝtejn "Oni ne pafas en Jamburg" vi scias kiamaniere kondutas kaj parolas la venene mildaj torduloj de la fikonata KGB: sed tio, pri kio pli kaj pli oni kun la jaroj konstatas kaj konsciiĝas, estas ke oni devas  "malproprecigi" l'ideon de la aĵoj kaj kondutoj stalinismaj (fakte la samon estas pri nazismo, kiel klare montris la librojn, leg-end-ajn, de Sven Lindqvist kaj Zygmunt Bauman) : t.e. la ecoj, kondutoj, ktp kiujn fie manifestiĝis en la soveta reĝimo kaj ŝtato, ne estas propraj al ĝi, sed povas retroviĝi, pli-malpli en ĉiuj tempoj kaj landoj, inkluzive la nunaj kaj ĉitieaj.
Ekzemple tiuj supreelvokitaj naŭzaj kondutoj de l'KGB tute ne estas "muzeaj" strangaĵoj propraj al Sovetio, sed povas ĉiam retroviĝi en ĉiuj la instancoj samtipaj (t.e. Penso-Polico, ĉasado de ĉio, kio ne estas plaĉa al la ŝtataj obsedoj, ktp), ĉi-tie kaj nun en niaj landoj, ne estas necesa cerbumadi longe!


Dans son très interessant blog Ouistiti, Pirouette et Saperlipopette , l'impression dominante d'une française qui a vécu aux USA (actuels):
"quand j’ai démenagé en 1996 pour la première fois  dans la baie de San Francisco, j’ai eu beaucoup de mal à me faire à ce pays, je me croyais chez les communistes tant je trouvais qu’ils étaient contrôlés et surveillés"

24/03/2014

erzatz d'hommes

 

les femmes maintenant ne sont plus que des ERZATZ D'HOMMES,
des imitations,
dont elles ne retiennent que le vêtement et un stéréotype de dureté et de cynisme, mais aucune âme individuelle, et surtout aucune de leurs vertus réelles, lesquelles ne sont pas du tout celles qui sont dans les stéréotypes. Des erzatz froides et vides.

 

07/03/2014

(résumé de la société contemporaine)

                                                                                                         
« - Et vos enfants ?

- Eh bien pour le garçon (car nous avons 1 garçon et 1 fille, bien entendu !) ça avait bien commencé : je lui avais décroché un bon emploi de cadre-sup. dans une grande entreprise, par piston, car j’avais des relations ; par la voie normale ç’aurait été totalement impossible bien sûr. Mais malheureusement il s’est marié. Et pire encore il a eu un enfant, qu’il aimait beaucoup, c’était le bonheur. Là-dessus, quelques années plus tard il a été viré lors d’un plan d’assainissement financier du groupe et de réduction des coûts salariaux. Et là il n’a pu rien trouver ; il est devenu dépressif, aigri ; sa femme s’est rebutée de lui, puis est tombée amoureuse de quelqu’un d’autre et a demandé le divorce. Un soir il a trouvé qu’elle avait fait changer les serrures et n’a plus pu rentrer, et elle a changé le n° de téléphone et s’est fait mettre sur liste rouge. Comme elle ne travaillait pas elle a demandé et obtenu la jouissance de la maison ; elle a eu la garde de l’enfant et une forte pension alimentaire, que de toutes façons il ne pouvait pas payer. Il a dû s’installer ailleurs tout seul. Un jour où il n’avait pu arriver à l’intérieur de la fourchette horaire édictée par le tribunal pour son droit de visite, elle n’a pas voulu qu’il emmène son enfant, disant que l’heure était passée, alors il s’est mis en colère, l’a emmené  quand même et ne l’a ramené qu’un jour après l’obligation légale. Entre-temps la mère avait porté plainte et appelé la police, qui l’a arrêtée pour séquestration d’enfant. Le tribunal lui a supprimé le droit de visite. Alors à sa sortie de prison il a sombré dans le désespoir et la dépression. Un médecin lui a prescrit des tranquillisants pour ne pas penser, et lui de son côté a noyé son chagrin dans l’alcool. Il n’a alors bien sûr plus rien trouvé comme stage ou petit boulot et a fini par être viré de sa chambre meublée.
Il est devenu clochard, il est disparu, je ne sais plus où il est.
il doit être mort de froid cet hiver.

- Et la fille ?

- Oh, elle a eu de la chance ! elle est à bac +8 maintenant vous savez. Elle a un doctorat en communication d’entreprise, et un DEA en psychologie appliquée au monde du travail ; et bien entendu elle avait fait, avant, deux licences et une Grande Ecole, on n’en parle pas ça, c’était des préalables. Alors comme ça maintenant elle a fini par trouver un stage auprès d’une association intercommunale, elle s’occupe de faire un plan de promotion touristique d’une petite vallée rurale . Elle est bien, avec ça elle est casée pour 3 mois; après on verra.

12/01/2014

ce qui nous attend (sous peu)

EXEMPLE DE CE QUI NOUS ATTEND

(sous peu)


Il sera interdit d’avoir des lacets à ses souliers, « pour des raisons de sécurité » bien entendu !! Ben, on peut tuer quelqu’un avec des lacets non ? Ah ! Voilà ! des lacets, on peut éventuellement oublier de les lacer, et alors ils traînent par terre, et dans ce cas il y a un risque non nul qu’on se prenne les pieds dedans et qu’on tombe. Donc, ce sera interdit d’avoir des lacets à ses souliers. A la place on sera obligé d’avoir un autre dispositif, qui coûtera très cher bien entendu, et il y aura des policiers qui vous contrôleront dans la rue (et des assistantes sociales qui viendront vérifier chez vous) et si jamais vous avez des lacets vous êtes passibles de 6 mois de prison pour comportement dangereux.

(et, bien  sûr, on vous "retirera" vos enfants ! pensez : si vous ne savez pas respecter les impératifs de sécurité vous êtes un danger pour leur intégrité physique !)

10/01/2014

vous avez dit "intégrés" ?

Je n'arrive pas à comprendre cette exigence lancinante qu'on n'arête pas de lancer aux immigrés comme quoi il faut absolument qu'ils soient "intégrés" !

Je comprends d'autant moins cette exigence, que moi-même, français depuis toujours, je ne me sent pas du tout "intégré" dans cette France ! (surtout telle qu'elle devient actuellement, mais même déjà avant je n'ai jamais regardé les bonnes femmes et autres français-moyens de bureau au milieu desquels je devais travailler autrement que comme des être éxotiques, à la mentalité étrange et étrangère)
Et Il y a plein de sortes de français, à laquelle faudrait-il être "intégré" ?? .
Et par ailleurs.
Si on fait la chasse à ceux qui manifestent un manque d'intégration à la culture française il faut la faire partout :

Par exemple, les informaticiens des boites privées qui font des programmes pour l'Etat (je le sais je m'en sert), est-ce qu'ils sont intégrés en France ?
NON ! car ils utilisent encore un point au lieu d'une virgule pour séparer les décimales (comme les Etats-Uniens), car, en dépit des immenses progrès de l'informatique qui se rie maintenant de ce genre de problème, ils font des programmes qui refusent d'utiliser d'autres lettres de l'alphabet que celles utilisée ..... encore une fois par les Etat-Uniens ! à savoir les lettres avec des accents. Le gag ! Savent-ils vraiment qu'ils sont en France ????  Voilà un exemple de gens pas du tout intégrés dans leur propre pays. 

07/01/2014

la vie dans la société contemporaine

 

L’informatique est à l’image de la société contemporaine :
Cachée, blindée, opaque, j’men-fout’iste, arbitraire, inébranlable, sans information, injoignable, sans fiabilité et créatrice d’insécurité à chaque instant.




23/12/2013

USA, Canada

ps : un témoignage du Canada :"je vis au canada. ce que décrit Alain Soral dans la France d’aujourd’hui est bien établit ici au Québec et dans les autres provinces et encore plus aux USA. Sociétés hyperfliquées et hyperjudiciarisées. Il s’agit de républiques "démocratiques" de la consommation et du sécuritarisme. Il n’y a presque plus de femme qui n’ a pas un vibromasseur sous la main... "