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03/09/2017

De la popularité de François Asselineau et De la censure des médias (rappelez-moi à qui ils appartiennent ?)

Lisez l'article entier sur le site de l'UPR ! (et appréciez le tee-shirt, très pertinent dans le monde actuel, qui dit "un Marx et ça repart", oui ça repart !) et appréciez l'affluence de jeunes venus demander des "selfies" face aux standes désertés de , de , devinez ! allez regarder !!

donc :

Vers la fin de l’après-midi, le ministre Gérald Darmanin a fait une arrivée inopinée sur la place où se tenaient les stands des partis politiques. ( Ancien membre du parti Les Républicains, ancien maire de Tourcoing de 2014 à 2017 et ancien député LR de la 10e circonscription du Nord entre 2012 et 2016, Gérald Darmanin a trahi son camp en entrant au gouvernement d’Édouard Philippe en mai 2017 comme ministre de l’Action et des Comptes publics).

L’arrivée du ministre a suscité aussitôt une manifestation spontanée de syndicalistes de « Solidaires », de partisans de la France Insoumise et de militants de l’UPR Les membres de « Solidaires » et France Insoumise ont scandé : « Rendez-nous nos 5 € ! » (allusion à la réduction de 5 €, annoncée le 21 juillet, de l’APL (Aide personnalisée au logement) accordée à 6,5 millions d’allocataires).

Quant à eux, les militants de l’UPR ont scandé « Parlez-nous des GOPÉ ! », tout en brandissant des pancartes « Sortir de l’UE » et des banderoles « INFORMEZ-VOUS ! UPR.FR »

photo-12-ministre-Darmanin.jpg

Très gêné, Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics. a pu mesurer la présence massive de l’UPR et a rapidement rebroussé chemin.

« Omission » médiatique sur la présence de l’UPR

  • « Omission » sur La Voix du Nord

Le soir même, le site du journal « La Voix du Nord » a rapporté l’incident dans un article qui évoque un « Comité d’accueil bruyant pour le ministre Gérald Darmanin sur la Braderie de Lille » émanant de « militants opposés à la politique du gouvernement ».

Mais quels étaient ces militants ? Le "grand" quotidien du Nord cite « certains syndicats en colère et quelques militants de la France insoumise ». Mais il « oublie » de citer l’UPR.....

Parmi les centaines de photos prises par les reporters du journal sur place, la rédaction en chef de La Voix du Nord a par ailleurs fait preuve d’une autre « omission ».

Le cliché choisi pour illustrer la mésaventure survenue au ministre est en effet celui où notre grande banderole « INFORMEZ-VOUS ! UPR.FR » est à moitié cachée par la tête du ministre, à l’endroit précis où apparaît UPR.FR. :

L’art de « l’omission » médiatique dans la France de 2017 : parmi des centaines, la rédaction en chef de La Voix du Nord a « malencontreusement » choisi un  cliché où notre grande banderole « INFORMEZ-VOUS ! UPR.FR » est à moitié cachée par la tête du ministre, à l’endroit précis où apparaît UPR.FR. Les lecteurs pourront reconnaître en arrière-plan l’une de mes affiches, mais son format est tellement petit et flou qu’elle est impossible à reconnaître.

 

Le texte qui « oublie » de citer l’UPR et le choix d’illustration qui occulte le mot « UPR » sont d’autant plus surprenants que notre Délégué départemental avait expressément mentionné aux grands médias lillois ma présence à Lille ce samedi 2 septembre après-midi. Plusieurs médias – dont La Voix du Nord – avaient d’ailleurs envoyé un accusé de réception explicite pour nous confirmer qu’ils avaient bien eu l’information.

J’étais en outre le seul ancien candidat à l’élection présidentielle de 2017 à m’être rendu à la Braderie de Lille puisque Mme Le Pen et Jean-Luc Mélenchon, qu’une rumeur locale avait annoncé comme devant venir ce samedi, ne se sont en effet pas déplacés. C’eût été, normalement, une raison supplémentaire pour m’accorder un bref entretien, ou a minima pour signaler ma présence et celle d’un stand de l’UPR.

Il n’en a rien été. Mis à part le petit média jeune « Alter ego » mentionné supra, tous les autres médias semblent – du moins au moment où ces lignes écrites (03/09/2017 à 17h00) – avoir décidé de faire silence sur ma présence et sur le stand de l’UPR.

Pourtant, les journalistes de La Voix du Nord étaient sur place et ceux de la télévision locale « Grand Lille TV » aussi.

  • « Omission » sur Grand Lille TV

Les journalistes de Grand Lille TV étaient d’ailleurs à dix mètres de notre stand. Ils ont pris contact avec notre responsable pour lui indiquer qu’ils étaient prêts à m’interroger, mais qu’ils attendaient le feu vert de leur chef de rédaction.

Quelques minutes après, nous avons pu voir l’un des journalistes au téléphone puis le voir plier bagage avec ses collègues sans nous dire un mot. À l’évidence, il semble que la rédaction en chef de Grand Lille TV a émis un feu rouge au lieu d’un feu vert

——-

Comme ni le Front National ni Les Républicains ni le PS n’avaient de stand à la Grande Braderie  de Lille, et que les stands de En Marche, du Modem sont restés quasiment vides toute la journée, les grands médias locaux ont donc « oublié » d’informer leurs spectateurs et leurs lecteurs :

  • que j’ai été le seul ancien candidat à la présidentielle à m’être rendu ce samedi 2 septembre à la grande Braderie de Lille
  • et que l’UPR y a été le mouvement politique qui a attiré le plus de public, à peu près à égalité avec France Insoumise.

 

EXTRAITS DE LA CHARTE DES DEVOIRS ET DES DROITS DES JOURNALISTES (dite « Charte de Munich »)  (1971)

Déclaration des devoirs
Les devoirs essentiels du journaliste, dans la recherche, la rédaction et le commentaire des événements, sont :
1) respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître ;
2) défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique ;
3) publier seulement les informations dont l’origine est connue ou les accompagner, si c’est nécessaire, des réserves qui s’imposent ; ne pas supprimer les informations essentielles et ne pas altérer les textes et les documents ;
[…]
8) s’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation, les accusations sans fondement ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une information ;
9) ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs ;
10) refuser toute pression et n’accepter de directives rédactionnelles que des responsables de la rédaction.
Tout journaliste digne de ce nom se fait un devoir d’observer strictement les principes énoncés ci-dessus.

 

Une fin de journée chaleureuse avec les militants de l’UPRAu crépuscule, je rejoins à pied, par les rues de Lille, le petit restaurant où il a été convenu de dîner avec nos équipes militantes. Sur ce cliché, je m’entretiens avec Olivier Rasson, notre délégué UPR pour la Belgique et le Bénélux, qui avait aimablement fait le déplacement et qui m’a demandé de venir refaire prochainement une tournée de conférences en Belgique.

La journée – très réussie nonobstant la censure médiatique – s’est achevée de façon très conviviale et joyeuse, avec une vingtaine de nos militants, dans un petit restaurant de Lille, autour d’un plat de moules frites et d’une bière pression locale.

raderie-de-Lille-2017-FA au milieu des jeunes militants de l'UPR -20-restaurant.jpg

 

et non pas des slogans vides de sens

D'abords lisez ça :

https://lesbrindherbes.org/2015/05/11/comment-les-lobbies...

une seule solution : sortir de l'UE !



02/09/2017

mi ne plu havas esperon de nova vivo

Mi perdis mian animon,

ĝi foriris dum la dormo,

kaj pro bru' de granda ŝtormo

mi ne aŭdis ĝiajn paŝojn.

 

Tamen mi daŭre vivadas,

kaj sentas al mia koro,

kiu malrapide sed kun forto

ĉe mia brusto batadas.

 

Mi perdis mian animon,

eble ĉar mi ne plu havas

esperon de nova vivo,

sed mi tute ne bedaŭras...,

 

ĉar sen animo la vivo

estas afero normala.

Mi havas plurajn amikojn,

kiuj tra la mond' vagadas

kun espero, sed kun timo

pro la minacoj konstantaj.

30/08/2017

comme un adieu au monde de l'homme qui se sait mortel .....

merveilleux Adagio d'Albinoni, l'oeuvre musicale la plus nihiliste et la plus triste qui aie jamais été composée, transcrit à la guitare par ces incontournables génies, ces "monstres sacrés" que furent Alexandre Lagoya et Ida Presti


(par contre comme c'est immonde d'en interdire le téléchargement, comme les investisseurs capitalistes qui ont racheté la boite qui a les "droits" de l'enregistrement, l'ont fait pour cette malheureuse vidéos !!)

22/08/2017

l'UPR c'est vraiment le parti des citoyens, les GENS, contre les "élites" autoproclamés qui s'en considèrent les propriétaires !

https://www.upr.fr/actualite/marche-vers-repression-de-restrictions-budgetaires-22-millions-deuros-preparer-gazage-manifestants
rejoignez l'UPR ! c'est la vraie opposition, adhérez.

18/08/2017

les intellos déssechés et merdeux de notre sinistre époque

 Les intellos-chics de maintenant sont bien empêtrés quand ils doivent parler d’art, ou décrire une musique. Comme leurs tabous actuels leur défendent d’utiliser des « images » (Or comment parler, dans la mesure où c’est possible ! de ce qu’il y a dans une musique sans évoquer des images, par sa (ĝia) nature même on ne peut la mettre en mots que comme ça ; or pour un intello-chic fin-de-(XXè)-siècle c’est du dernier mauvais goût, c’est une trahison, pire : un crime de lèse-majesté, pire : un interdit magico-social), et comme leurs préjugés leurs interdisent toute expression d’un sentiment quelconque, et des mots les désignant, comme étant un crime d’impudeur, de vulgarité ("populiste" sans doute ?), de mauvais goût, de « sentimentalisme dégoulinant », « gluant », « pathos », (que ce terme soit devenu péjoratif est un fait vraiment curieux a priori, intéressant a posteriori, et significatif ; comme dans un autre domaine ce qui est arrivé à d’autres termes jadis positifs ou neutres) il ne leur reste presque aucun moyen pour décrire ou exprimer quelque chose d’artistique. Il faut les entendre quand ils se débattent dans leur cage en essayant d’expliquer et ne trouvent rien à dire ! (remarquez, comme ils bégayent à qui mieux mieux, nouveau tic (coquetterie ? au départ, norme bientôt !) à la mode chez les intellos snobs quand ils parlent à la radio, ça leur permet de remplir le silence !

09/08/2017

kie estas la paseo ?

Kiu vokas min

de l'pasinteco?

Mi la vortojn

ne distingas,

embarasita mi estas

kun mia mens'

kortuŝita,

ĉar mi sidas

sur la kanapo de l'vivo

meditante

pri malĝojo

kaj feliĉo,

sed la voĉo

de l'pasinto

daŭre vokas

kun insisto

kaj petegas mian helpon.

Kion fari?

Kie estas la paseo?

Kie estas la mistero?

Mi tre solas

sur la kanapo de l'vivo,

mi deĵoras

kaj atendas la momenton,

retrovi la pasintecon

kaj rekuperi la vivon.

 

Arquillos februaro 2017

27/07/2017

7 juin 2009

6 « Tu ne tueras point »

A l’origine , chaque peuple entendait par là »tu ne tueras pas ceux de ta tribu, mais avec les autres tu peux y aller » ! Avec la mondialisation et les anciens empires coloniaux qui perdent les bataillent morales et les guerres locales, il faut redéfinir les amis et les ennemis. Les ennemis sont ceux qui veulent faire de nous des bêtes domestiquées, qui ne fassent de toute leur vie que deux choses : produire et /ou consommer. Comme dirait Sarko : « Travailler plus pour gagner plus ». Mais c’est absurde, nous ne sommes pas sur terre pour ça, nous sommes des êtres libres qui avons faim de vérité et soif de justice ! Nous n’avons pas de temps à perdre à ruiner notre santé pour produire de la merde acheter de la merde, consommer de la merde, jeter de la merde, recycler de la merde : NON !

Se battre pour la décroissance durable, c’est mettre un frein au saccage de la planète, et à la mise en esclavage de tous pour des profits absurdes. Actuellement, ne l’oublions pas, dans le calcul du PIB, on fait rentrer par exemple la production d’armement, et des accidents qui provoquent la production de plus de recherche médicale et pharmaceutique. Et le lobby de la santé (laboratoires et inventions expérimentales les plus folles) sait fabriquer la demande pour toujours plus de leurs produits, qui supposent toujours plus de dégâts. Conclusion : les pays à gros PIB sont donc les Pays Pires parmi les Brutes. A nous d’empêcher les fanatiques de la croissance de tuer, de ravager et de piller, pour ensuite vendre très cher aux populations cancérisées et stérilisées leurs « prothèses » délirantes. Cessons de faire leur jeu : produire et consommer ne sont pas des idéaux mais des leurres. La dernière trouvaille de Sarko, la prime à la casse, résume exactement le fond de la malfaisance du système : détruire tout ce qui peut être détruit, pour « relancer la consommation », une consommation de substituts qui tuent, pour remplacer ce qu la nature donne donne généreusement à condition qu’on l’écoute et qu’on la respecte.

A table, les vendus, crachez vos comptabilités tordues. Avouez que pour « produire plus », vous avez besoin de casser toujours plus. Il fallait tout casser à Gaza dans l’intérêt des promoteurs ; ici c’est pareil, casser l’emploi, cassez les syndicats casser les banques honnêtes, pour faire du fric sur les ruines de notre société. Nous allons donner l’exemple d’autre chose :
les finances doivent être au service de l’économie, pas le contraire ;
l’économie doit être au service de la politique, pas le contraire ;
la politique doit être au service de la culture, pas le contraire ;
la culture doit être au service de notre être profond,
pas au service de leurs calculs pervers.

Comme dirait Dieudo :

« Ça me paraît évident que la santé, l’éducation, l’énergie et les transports doivent rester des services publics ! Ces acquis sociaux étaient les fondements du progrès européen. La République doit pouvoir se protéger de ce libéralisme hystérique qui s’est emparé du monde occidental. »

 

21/07/2017

Isola Pisani

"L'homme a le sens inné des grandeurs qu'il ne vit pas"
                                                                                          (Isola Pisani)

oui, c'est tout à fait ça !  et la vie n'est faite que de ça !

 

07/07/2017

la plej belaj rakontoj pri hundoj - « Mia infanaĝo pluiĝis en mia adolesko, kaj la unua kaj la alia restis sigelitaj en mi dum mia tuta plenkreskaĝo, tiom bone, ke tute kaj trae mi restis tiu sama infano. »

Jen la enkonduko, kiun mi verkis por mia traduko de libro de Elian-J. Finbert (serĉu tiun nomon en miaj blogoj, mi konsilas ke vi informiĝu nacilingve ankaŭ pri SHELDRAKE, se vi ne jam konas liajn ideojn, kaj legi la poemojn de Norge, ktp, kaj amikiĝi kun skota ŝafhundo ! ), tiu libro publikigita de MAS jenas : http://www.retbutiko.net/ie/ero/pbrh

https://www.amazon.com/s/ref=dp_byline_sr_book_2?ie=UTF8&...

 

 

NOTO DE LA TRADUKINTO
Ĉar la libroj de Elian-J. Finbert estis verkataj en la jaroj 1950-aj kiam la stampo de la karteziaj antaŭjuĝoj pri bestoj kaj dogmo de esenca muro inter tiuj ĉi kaj homoj estis ankoraŭ forta, kaj rekoni al la bestoj formon de inteligento - eĉ kapablo « mensogi » kaj ruzi -, konsciencon de sia esto, sentojn, emociojn, aspektis kiel herezo, aŭ estis forfiigita kiel naivan sentimentalecon aŭ antropomorfismon (dum oni per tio forgesis ke tiel atribui al besto homajn sentojn « ne estas dono sed redono », kiel emis diri Jean Prieur : nu la homa specio kaj ties tuta psiĥologio estas nenio alia ol frukto de milionjara evoluo ja de bestoj !), Elian FINBERT en ĉi libroj tre malaplombe, preskaŭ pardonpete sugestis, ke la mirindaj elstare « homecaj » sintenoj, evidentigitaj en tiuj okazaĵoj rakontitaj ne estis klarigeblaj per la nura, tiam ideologie deviga vorto, « instinkto », dum tio aspektas tiom klare evidenta, se oni nur legas tiujn atestaĵojn.
Sed la aro de tiuj okazaĵoj, kvankam ne sciencaj eksperimentoj sed rakontoj trovitaj en gazetoj, raportitaj de atestantoj, ktp, konsistigas valoregan dokumentaron por la studo kaj por penso pri la kapabloj intelektaj aŭ la sentoj kaj diversaj emocioj evidenteblaj de bestoj.
Sed kiel diris Rupert SHELDRAKE "la sumaĵo da akiritaj konoj pri la besta konduto fare de la diversaj bestoposedantoj ĝenerale rigardatas kiel anekdotan, ĝi estas tial flankenlasita de formala scienco, kaj restas tial ne utiligita. »
sed kiel diras Elian finbert mem « ni bone scias ke, tio kion oni nomas « la ethistorio » estas tio, kio plej proksimas de la vero, provizora kaj onduma, ĉar ĝi konturas pli proksimece la realon de la estaĵoj kaj okazaĵoj. »

Lia « amhistorio » kun la bestoj datiĝas de lia infaneco en Egipto. li diris :

« Mia infanaĝo pluiĝis en mia adolesko, kaj la unua kaj la alia restis sigelitaj en mi laŭ mia tuta plenkreskaĝo, tiom bone, ke tute kaj trae mi restis tiun saman infanon. »

Unu inter liaj lastaj libroj estis pri lia dudekjara vivo dum lia egipta infanaĝo kun simiino, kies vivo kaj morto efektis lian vivon por ĉiam.
Legeblas rete en Esperanto :
emociigaj eltiraĵoj el liaj libroj = (http://r.platteau.free.fr/ElianFINBERT.html)

kiel « pluso » mi aldonos mian propraspertan plej « belan » rakonton pri hundoj :
Estas simple memoraĵo el mia ĉevalrajda migrado tra Bretonio (duoninsilo Crozon) en aprilo 1987 La 25-an de aprilo 1987 matene ni estis en la ĉevaletapejo de Coat Forest . Tie ,mi memoras, estis anasoj blekantaj per mirige obtuza kvako, bela pavino, ktp. Kaj tie estis du hundoj de la raso Colley , la skotaj ŝafhundoj. Il estis ligitaj, oni povus sin demandi kial, ĉar nenioma bezono estis pri tabulo « atentu, hundo agresema !», sed pli bone « atentu, hundo afabla !», kiel en humuraj desegnaĵoj. Se ili sturmas al nekonatoj, ne estas por mordi, sed por peti karesojn, kaj kovri ilin per langsvingoj. Fakte ili supozeble estas ege malfeliĉaj tiel ligitaj tute solaj la tutan diurnon ; al ili mankas koratento ; dum ili estas hundoj sentemaj, kun koro vasta kiel la tero. Kaj ili frandegas karesojn, kaj ili saltas al oni, kaj ili brakumas onin - tiel oni povas diri ! - per siaj antaŭaj piedoj ; neniam mi estis vidinta tion !!!
La plej granda (kaj plej purrasa), konstante staranta sur la tegmento de sia hundobudo - kiel Snoopy en la bildstrioj ! - ĝemas kiam ĝi ekvidas onin, aŭ kiam vi foriras de ĝi, nervoziĝas, saltas de la tegmento teron, kaj de tero tegmenton, lamentas kompatinde. La alia diras neniam ion ajn, kaj kiam oni lasas ĝin iras kuŝiĝi, kvazaŭ ne estus ian ajn problemon. Sed tio ne estas, mi opinias, la faro de karaktero flegmula, aŭ supraĵema ; ĉar fakte revenanta al ĝi post esti forlasinta ĝin por la alia, mi trovis ĝin mirige senreaga : ĝi estis paŭtanta pro ĵaluzo ! Finfine ne eltenanta pli longe, ĝi impetis freneze sur mian brakon, kiun ĝi ŝirkaŭbrakumis per pasiega gesto. Se ĝi kuŝiĝas senreage, tio estas per rezigneco, ĝi estas mi kredas, kiel la figuro en poemo de Géo Norge, tiu, kiu « kiam oni pridemandis lin, estis preninta la kutimon ne respondi
Kaj mienis simple kiel
Kokino ovon demetonta.
Kaj kiam oni akuzis lin,
Li estis preninta la kutimon ne defendi sin
Kaj mienis simple kiel
Iu sub kiu la tero estas fendiĝonta. »
Ĝi estis eĉ pli kortuŝa ol la alia

Nun pasis, kiom, da jaroj ? Ili certe mortis ambaŭ …
Kiom nekuracebla dramo iliaj vivoj.