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02/11/2017

la pauvre Noëlle

chaque fois que dans les mots-croisés (que je fais tous les matins pendant une ou deux heures en attendant d’émerger et d’être en état de mettre un pied devant l’autre) je rencontre le verbe « SEMER » (distancer un poursuivant), je repense à Noëlle …. aux séances de jogging qu’on faisait avec Claude et la pauvre Noëlle au Jardin du Gouverneur le midi. Comme lourde et avec de gros seins ("Tu as de bons flotteurs, tu as de bons flotteurs" disait Gavagnach) qu’elle était elle n’arrivait pas à nous suivre, je disais régulièrement « on a semé Noëlle » « il va en pousser partout ». eh oui ! Pauvre Noëlle, elle était con comme trois balais (et d'une jalousie maladive envers ses collègues) mais je la regrette, et quand elle est morte subitement ses collègues se sont peut-être dit que ses éternelles absences (« une employée épisodique » disait Gavagnach) n’étaient peut-être pas des maladies diplomatiques.

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