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27/11/2017

1978 France Gall

cette chanson,, était sortie en 1978, je l'ai découverte l'année même, l'aimais et l'aime toujours beaucoup. C'est vraiment une chanson paradigmatique

 

* Viens je t'emmène

23/11/2017

Mes aphorismes - 1


* Je n’aime pas lire des biographies: ça finit toujours mal.

 

* Le rire, dans son usage social c'est , de même que la connerie, une drogue.

(Quand à la connerie, c'est de loin, la drogue la plus employée ! et souvent la plus efficace, quoi qu'elle n'est pas sans dangers ....)

 

* Dire que le capitalisme actuel est favorable à la libre-entreprise, c’est comme dire que l’autocratie tsariste est favorable aux droits de l’homme (eh oui : il elle était favorable aux droits de l’homme du tsar !)

 

* 33-45 n’était qu’un 1er essai, grossier et brutal il était voué à l’échec….

 

* Je regrette ! on ne peut pas enterrer comme ça des gens qu'on a embrassé sur la bouche.

11/11/2017

15 min "il faudra un jour que vous soyez tous jugés"


 

10/11/2017

je pense que nous sommes le fer de lance de la position la meilleure en matière de politique

L'UPR ne ressemble à rien d'autre, et l'UPR fait réfléchir tout le monde


03/11/2017

ni quoi que ce soit d'autre d'ailleurs

http://www.francetvinfo.fr/sante/doyens-de-l-humanite-qua...

un site titrait (voir plus haut, je sais la logique voudrait que cette phrase soit au début et le lien seulement après, mais Open Office est une vraie merde qui ne mérite en aucune manière le qualificatif de « traitement de texte » !) « quatre questions bêtes sur les records de longévité ».
Leurs questions sont nulles. Moi je mettrais ça

1° avoir été record de longévité, heu, est-ce que ça empêche de mourir ?

2° si la réponse à la première question est « non », étant donné l'adage « quand on est mort c'est pour longtemps », alors une fois qu'on est mort est-ce que ça fait que la durée pendant laquelle on est mort est moins longue ?

3° 4° bon, poser d'autres question je ne vois pas l'importance que ça peut avoir,
ni quoi que ce soit d'autre d'ailleurs

02/11/2017

la pauvre Noëlle

chaque fois que dans les mots-croisés (que je fais tous les matins pendant une ou deux heures en attendant d’émerger et d’être en état de mettre un pied devant l’autre) je rencontre le verbe « SEMER » (distancer un poursuivant), je repense à Noëlle …. aux séances de jogging qu’on faisait avec Claude et la pauvre Noëlle au Jardin du Gouverneur le midi. Comme lourde et avec de gros seins ("Tu as de bons flotteurs, tu as de bons flotteurs" disait Gavagnach) qu’elle était elle n’arrivait pas à nous suivre, je disais régulièrement « on a semé Noëlle » « il va en pousser partout ». eh oui ! Pauvre Noëlle, elle était con comme trois balais (et d'une jalousie maladive envers ses collègues) mais je la regrette, et quand elle est morte subitement ses collègues se sont peut-être dit que ses éternelles absences (« une employée épisodique » disait Gavagnach) n’étaient peut-être pas des maladies diplomatiques.

28/10/2017

un nouvel extrait de GAO Xingjian (pr. gao tchingdjian)

"Un homme chaussé de lunettes vient les regarder tirer la corde. Il observe attentivement à travers ses lunettes, les ôte et se met à nettoyer les verres, comme s'il n'y voyait pas clair. Puis il finit par les mettre carrément dans la poche de sa veste comme s'il y oyait encore mois avec. On ignore s'il a compris ce qui se passe ou si, en fait, il se fiche complètement de comprendre. et il se joint aux autres pour tirer la corde."

voilà

27/10/2017

tu as une âme toi ?

«.....
- Avec cet enfant aux pieds nus ?
- Avec cette âme toute nue.
- Tu as une âme toi ?
- J’espère, sinon je serais trop seul dans ce monde.
- Tu es seul ?
- Oui, je crois, dans ce monde.
- Dans quel monde ?
- Dans ce monde intérieur inconnu des autres.
- Tu as encore un monde intérieur ?
- J’espère, oui, ce n’est que dans ce monde que tu te sens libre. »

Gao Xingjian (pr. Gao Tching-djan)

(https://www.babelio.com/livres/Xingjian-Une-canne-a-peche...) 

25/10/2017

paradoxe de notre époque, symptome très clair de fascisation ....

paradoxe de notre sinistre époque : alors que les enseignants ni même les parents n’ont plus le droit de rien, même pas d’une banale gifle à leurs enfants/élèves sous peine d’être ….. poursuivi en justice, que le moindre petit geste un peu vif ou le moindre propos considéré comme injurieux est monté en épingle comme un scandale sans nom, les policiers ont le droit de commettre les pires brutalités ( https://www.obspol.be/
   http://copwatch.fr.over-blog.com/    http://atouteslesvictimes.samizdat.net/ ) et même de tuer les adultes et les enfants (lisez sur internet il y a des cas absolument épouvantables de choses arrivées à des enfants de 14, 12 voire moins, ans, de les menotter, les attacher au radiateur, les traumatiser à vie, etc, des enfants coupables d’avoir fait du bruit dans la rue ! ou d’avoir fait une « quenelle » (un bras d’honneur), sans parler des « gorilles » de supermarchés qui apparemment ont le droit de brutaliser, arrêter et traumatiser à vie des enfants simplement parce qu’ils étaient envoyés par leurs parents faire une course dans ces ignobles machins capitalistes qui ont fait disparaître les boutiques normales.

16/10/2017

la première citation de ma vie

"l'ennui naquit un jour de l'uniformité"

c'est la première citation que, enfant, j'ai choisie prônée et conservée; depuis j'ai collecté et copié plus d'un millier de citations ! (et j'ai commencé à les publier dans ce blog, mais il n'y a pas encore tout il faudra que je m'en occuppe).

L'auteur : Antoine de la Motte Houdar, je ne l'ai pas oublié depuis, et m'en suis toujours souvenu tout le long de ma vie. Voici une très intéressante présentation de ce Monsieur, en fait très original pour l'époque (et remarquez une chose : il a la tête de Joe Dassin !) : http://jeanjosephjulaud.fr/2013/11/antoine-houdar-de-la-m...

 

Et voici la fable où se trouve cette pensée :

 

Les Amis trop d’accord (fable XV)

Il était quatre amis qu’assortit la fortune ;
Gens de goût et d’esprit divers.
L’un était pour la blonde, et l’autre pour la brune ;
Un autre aimait la prose, et celui-là les vers.
L’un prenait-il l’endroit ? L’autre prenait l’envers.
Comme toujours quelque dispute
Assaisonnait leur entretien,
Un jour on s’échauffa si bien,
Que l’entretien devint presque une lutte.
Les poumons l’emportaient ; raison n’y faisait rien.
Messieurs, dit l’un d’eux, quand on s’aime,
Qu’il serait doux d’avoir même goût, mêmes yeux !
Si nous sentions, si nous pensions de même,
Nous nous aimons beaucoup, nous nous aimerions mieux.
Chacun étourdiment fut d’avis du problême,
Et l’on se proposa d’aller prier les dieux
De faire en eux ce changement extrême.
Ils vont au temple d’Apollon
Présenter leur humble requête ;
Et le dieu sur le champ, dit-on,
Des quatre ne fit qu’une tête :
C’est-à-dire, qu’il leur donna
Sentiments tout pareils et pareilles pensées ;
L’un comme l’autre raisonna.
Bon, dirent-ils, voilà les disputes chassées
Oui, mais aussi voilà tout charme évanoui ;
Plus d’entretien qui les amuse.
Si quelqu’un parle, ils répondent tous, oui.
C’est désormais entr’eux le seul mot dont on use.
L’ennui vint : l’amitié s’en sentit altérer.
Pour être trop d’accord nos gens se désunissent.
Ils cherchent enfin, n’y pouvant plus durer,
Des amis qui les contredissent.
C’est un grand agrément que la diversité.
Nous sommes bien comme nous sommes.
Donnez le même esprit aux hommes ;
Vous ôtez tout le sel de la société.
L’ennui naquit un jour de l’uniformité.


Antoine Houdar de la Motte – Fables nouvelles, 1719

 

je pense que a vaudrait le coup de l'apprendre par coeur,