31/12/2017
tout à fait
Ho, mi povus tutan mondon
per titana sku' detrui,
por ankoraŭ unufoje
ŝian sunan ridon ĝui.
tout à fait .... c'est exact .....
(Imre Baranyai - Mia patrino )
Publié dans mi iras limake, mort | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
27/12/2017
pauvre petit épouvanté
27/9/2016 c’est quoi ce chat noir ? Mon chat ? Ou l’autre ? Non la tache blanche est trop bien visible, et il n’a pas de collier anti-puces, ça doit être le peureux hystérique.
Quoi que en fait la peur, c’est ce qu’il y a de plus touchant et de plus humain, il n’y a rien qui soit plus humain que la peur et l’épouvante.
14/12/2017
pas facile
) 4/10/2017 « pour le gouvernement contrôler se communication n’est pas facile »
sa propagande ? Bien sûr que la contrôler, c’est à dire la vérifier a posteriori, c’est sans doute pas facile, et la maîtriser encore moins ! Par contre l’angliciser c’est apparemment très facile ! Et la maintenir en français est devenu très difficile.
09/12/2017
C’est comme ça que sont les femmes ! c’est comme ça que sont les divorces pour les hommes !
Mendiant à Reims (eh oui comme ceux avec qui j'ai une fois en 1977 passé la nuit….. mais celui-là il y a seulement 22 ans qu’il est là je ne l’ai donc jamais vu) :
"L’existence de Titi sur le bitume, elle, a commencé lorsque sa femme l’a quitté avec ses deux enfants. C’était il y a vingt-deux ans, à Reims. « Cette séparation fut pour moi le début de la descente aux enfers, lâche-t-il. Je me suis vraiment retrouvé dans la merde à partir de ce moment-là. » Il n’en dira pas plus. L’événement remonte à loin, beaucoup trop loin. Il reste surtout trop douloureux à ses yeux."
04/12/2017
citations de "Jean-Christophe" de Romain Rolland
"Que tout était peu de chose auprès de cette réalité, la seule réalité : la mort ! Etait-ce la peine de tant souffrir, désirer, s’agiter, pour en arriver là !… »
« Il le voyait vaincu par la vie
….
Il entendait cette lamentable prière, dont l’accent l’avait déchiré naguère :
« Christophe ! ne me méprise pas ! »
Et il était bouleversé de remords.
…
« Mon cher papa, je ne te méprise pas, je t’aime ! Pardonne-moi ! » »
Louisa, après la mort de son mari :
« l‘objet s’échappait de ses mains ; elle restait, des heures, les bras pendants, affaissée sur sa chaise et perdue dans une torpeur douloureuse. »
« Elle était lasse, somnolente, sa volonté était engourdie. »
« Sa langue se déliait un peu maintenant qu’elle sentait auprès d’elle un cœur aimant. »
plus loin J-Christophe avec sa mère :
« Et il prenait un plaisir mélancolique à ces petits bavardages sans interêt pour tout autre que pour lui, à ces souvenirs insignifiants d’une vie toujours médiocre et sans joie, mais qui semblaient à Louisa d’un prix infini »
« Accept the things to which the fate binds you, and love the people with whom fate brings you together, but do so with all your heart. » (Marc-Aurèle)
Publié dans mi iras limake | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
03/12/2017
quel titre on va donner ? bof, "Dialogue"
un enfant se blotti contre la poitrine de son père.
Le père lui explique que c’est parce qu’il est enfant qu’il fait ça et que quand il sera grand il ne le fera plus.
"- J’espère bien que si.
- Est-ce que moi avec ton grand-père on fait pareil ?
- Hmmouais, c'est vrai, C’est pas normal.
- .... Tu as peut-être raison.
- Bien sûr que j’ai raison !
le père l’embrasse et lui dit après un temps de réflexion :
- Je t’aime comme ça.
Tu seras un grand penseur."
Publié dans mes aphorismes, mi iras limake, Philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
30/11/2017
la vie
La vie n’est qu’un grand cauchemar, une longue agonie (rien d'autre), un film surréaliste.
Publié dans mi iras limake, Philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
27/11/2017
1978 France Gall
cette chanson,, était sortie en 1978, je l'ai découverte l'année même, l'aimais et l'aime toujours beaucoup. C'est vraiment une chanson paradigmatique
* Viens je t'emmène
Publié dans la vraie vie, mi iras limake | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
23/11/2017
Mes aphorismes - 1
* Je n’aime pas lire des biographies: ça finit toujours mal.
* Le rire, dans son usage social c'est , de même que la connerie, une drogue.
* Dire que le capitalisme actuel est favorable à la libre-entreprise, c’est comme dire que l’autocratie tsariste est favorable aux droits de l’homme (eh oui : il elle était favorable aux droits de l’homme du tsar !)
* 33-45 n’était qu’un 1er essai, grossier et brutal il était voué à l’échec….
* Je regrette ! on ne peut pas enterrer comme ça des gens qu'on a embrassé sur la bouche.
Publié dans mes aphorismes, mi iras limake | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
11/11/2017
15 min "il faudra un jour que vous soyez tous jugés"