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03/09/2017

et non pas des slogans vides de sens

D'abords lisez ça :

https://lesbrindherbes.org/2015/05/11/comment-les-lobbies...

une seule solution : sortir de l'UE !



02/09/2017

mi ne plu havas esperon de nova vivo

Mi perdis mian animon,

ĝi foriris dum la dormo,

kaj pro bru' de granda ŝtormo

mi ne aŭdis ĝiajn paŝojn.

 

Tamen mi daŭre vivadas,

kaj sentas al mia koro,

kiu malrapide sed kun forto

ĉe mia brusto batadas.

 

Mi perdis mian animon,

eble ĉar mi ne plu havas

esperon de nova vivo,

sed mi tute ne bedaŭras...,

 

ĉar sen animo la vivo

estas afero normala.

Mi havas plurajn amikojn,

kiuj tra la mond' vagadas

kun espero, sed kun timo

pro la minacoj konstantaj.

30/08/2017

comme un adieu au monde de l'homme qui se sait mortel .....

merveilleux Adagio d'Albinoni, l'oeuvre musicale la plus nihiliste et la plus triste qui aie jamais été composée, transcrit à la guitare par ces incontournables génies, ces "monstres sacrés" que furent Alexandre Lagoya et Ida Presti


(par contre comme c'est immonde d'en interdire le téléchargement, comme les investisseurs capitalistes qui ont racheté la boite qui a les "droits" de l'enregistrement, l'ont fait pour cette malheureuse vidéos !!)

22/08/2017

l'UPR c'est vraiment le parti des citoyens, les GENS, contre les "élites" autoproclamés qui s'en considèrent les propriétaires !

https://www.upr.fr/actualite/marche-vers-repression-de-restrictions-budgetaires-22-millions-deuros-preparer-gazage-manifestants
rejoignez l'UPR ! c'est la vraie opposition, adhérez.

18/08/2017

les intellos déssechés et merdeux de notre sinistre époque

 Les intellos-chics de maintenant sont bien empêtrés quand ils doivent parler d’art, ou décrire une musique. Comme leurs tabous actuels leur défendent d’utiliser des « images » (Or comment parler, dans la mesure où c’est possible ! de ce qu’il y a dans une musique sans évoquer des images, par sa (ĝia) nature même on ne peut la mettre en mots que comme ça ; or pour un intello-chic fin-de-(XXè)-siècle c’est du dernier mauvais goût, c’est une trahison, pire : un crime de lèse-majesté, pire : un interdit magico-social), et comme leurs préjugés leurs interdisent toute expression d’un sentiment quelconque, et des mots les désignant, comme étant un crime d’impudeur, de vulgarité ("populiste" sans doute ?), de mauvais goût, de « sentimentalisme dégoulinant », « gluant », « pathos », (que ce terme soit devenu péjoratif est un fait vraiment curieux a priori, intéressant a posteriori, et significatif ; comme dans un autre domaine ce qui est arrivé à d’autres termes jadis positifs ou neutres) il ne leur reste presque aucun moyen pour décrire ou exprimer quelque chose d’artistique. Il faut les entendre quand ils se débattent dans leur cage en essayant d’expliquer et ne trouvent rien à dire ! (remarquez, comme ils bégayent à qui mieux mieux, nouveau tic (coquetterie ? au départ, norme bientôt !) à la mode chez les intellos snobs quand ils parlent à la radio, ça leur permet de remplir le silence !

09/08/2017

kie estas la paseo ?

Kiu vokas min

de l'pasinteco?

Mi la vortojn

ne distingas,

embarasita mi estas

kun mia mens'

kortuŝita,

ĉar mi sidas

sur la kanapo de l'vivo

meditante

pri malĝojo

kaj feliĉo,

sed la voĉo

de l'pasinto

daŭre vokas

kun insisto

kaj petegas mian helpon.

Kion fari?

Kie estas la paseo?

Kie estas la mistero?

Mi tre solas

sur la kanapo de l'vivo,

mi deĵoras

kaj atendas la momenton,

retrovi la pasintecon

kaj rekuperi la vivon.

 

Arquillos februaro 2017

27/07/2017

7 juin 2009

6 « Tu ne tueras point »

A l’origine , chaque peuple entendait par là »tu ne tueras pas ceux de ta tribu, mais avec les autres tu peux y aller » ! Avec la mondialisation et les anciens empires coloniaux qui perdent les bataillent morales et les guerres locales, il faut redéfinir les amis et les ennemis. Les ennemis sont ceux qui veulent faire de nous des bêtes domestiquées, qui ne fassent de toute leur vie que deux choses : produire et /ou consommer. Comme dirait Sarko : « Travailler plus pour gagner plus ». Mais c’est absurde, nous ne sommes pas sur terre pour ça, nous sommes des êtres libres qui avons faim de vérité et soif de justice ! Nous n’avons pas de temps à perdre à ruiner notre santé pour produire de la merde acheter de la merde, consommer de la merde, jeter de la merde, recycler de la merde : NON !

Se battre pour la décroissance durable, c’est mettre un frein au saccage de la planète, et à la mise en esclavage de tous pour des profits absurdes. Actuellement, ne l’oublions pas, dans le calcul du PIB, on fait rentrer par exemple la production d’armement, et des accidents qui provoquent la production de plus de recherche médicale et pharmaceutique. Et le lobby de la santé (laboratoires et inventions expérimentales les plus folles) sait fabriquer la demande pour toujours plus de leurs produits, qui supposent toujours plus de dégâts. Conclusion : les pays à gros PIB sont donc les Pays Pires parmi les Brutes. A nous d’empêcher les fanatiques de la croissance de tuer, de ravager et de piller, pour ensuite vendre très cher aux populations cancérisées et stérilisées leurs « prothèses » délirantes. Cessons de faire leur jeu : produire et consommer ne sont pas des idéaux mais des leurres. La dernière trouvaille de Sarko, la prime à la casse, résume exactement le fond de la malfaisance du système : détruire tout ce qui peut être détruit, pour « relancer la consommation », une consommation de substituts qui tuent, pour remplacer ce qu la nature donne donne généreusement à condition qu’on l’écoute et qu’on la respecte.

A table, les vendus, crachez vos comptabilités tordues. Avouez que pour « produire plus », vous avez besoin de casser toujours plus. Il fallait tout casser à Gaza dans l’intérêt des promoteurs ; ici c’est pareil, casser l’emploi, cassez les syndicats casser les banques honnêtes, pour faire du fric sur les ruines de notre société. Nous allons donner l’exemple d’autre chose :
les finances doivent être au service de l’économie, pas le contraire ;
l’économie doit être au service de la politique, pas le contraire ;
la politique doit être au service de la culture, pas le contraire ;
la culture doit être au service de notre être profond,
pas au service de leurs calculs pervers.

Comme dirait Dieudo :

« Ça me paraît évident que la santé, l’éducation, l’énergie et les transports doivent rester des services publics ! Ces acquis sociaux étaient les fondements du progrès européen. La République doit pouvoir se protéger de ce libéralisme hystérique qui s’est emparé du monde occidental. »

 

21/07/2017

Isola Pisani

"L'homme a le sens inné des grandeurs qu'il ne vit pas"
                                                                                          (Isola Pisani)

oui, c'est tout à fait ça !  et la vie n'est faite que de ça !

 

07/07/2017

la plej belaj rakontoj pri hundoj - « Mia infanaĝo pluiĝis en mia adolesko, kaj la unua kaj la alia restis sigelitaj en mi dum mia tuta plenkreskaĝo, tiom bone, ke tute kaj trae mi restis tiu sama infano. »

Jen la enkonduko, kiun mi verkis por mia traduko de libro de Elian-J. Finbert (serĉu tiun nomon en miaj blogoj, mi konsilas ke vi informiĝu nacilingve ankaŭ pri SHELDRAKE, se vi ne jam konas liajn ideojn, kaj legi la poemojn de Norge, ktp, kaj amikiĝi kun skota ŝafhundo ! ), tiu libro publikigita de MAS jenas : http://www.retbutiko.net/ie/ero/pbrh

https://www.amazon.com/s/ref=dp_byline_sr_book_2?ie=UTF8&...

 

 

NOTO DE LA TRADUKINTO
Ĉar la libroj de Elian-J. Finbert estis verkataj en la jaroj 1950-aj kiam la stampo de la karteziaj antaŭjuĝoj pri bestoj kaj dogmo de esenca muro inter tiuj ĉi kaj homoj estis ankoraŭ forta, kaj rekoni al la bestoj formon de inteligento - eĉ kapablo « mensogi » kaj ruzi -, konsciencon de sia esto, sentojn, emociojn, aspektis kiel herezo, aŭ estis forfiigita kiel naivan sentimentalecon aŭ antropomorfismon (dum oni per tio forgesis ke tiel atribui al besto homajn sentojn « ne estas dono sed redono », kiel emis diri Jean Prieur : nu la homa specio kaj ties tuta psiĥologio estas nenio alia ol frukto de milionjara evoluo ja de bestoj !), Elian FINBERT en ĉi libroj tre malaplombe, preskaŭ pardonpete sugestis, ke la mirindaj elstare « homecaj » sintenoj, evidentigitaj en tiuj okazaĵoj rakontitaj ne estis klarigeblaj per la nura, tiam ideologie deviga vorto, « instinkto », dum tio aspektas tiom klare evidenta, se oni nur legas tiujn atestaĵojn.
Sed la aro de tiuj okazaĵoj, kvankam ne sciencaj eksperimentoj sed rakontoj trovitaj en gazetoj, raportitaj de atestantoj, ktp, konsistigas valoregan dokumentaron por la studo kaj por penso pri la kapabloj intelektaj aŭ la sentoj kaj diversaj emocioj evidenteblaj de bestoj.
Sed kiel diris Rupert SHELDRAKE "la sumaĵo da akiritaj konoj pri la besta konduto fare de la diversaj bestoposedantoj ĝenerale rigardatas kiel anekdotan, ĝi estas tial flankenlasita de formala scienco, kaj restas tial ne utiligita. »
sed kiel diras Elian finbert mem « ni bone scias ke, tio kion oni nomas « la ethistorio » estas tio, kio plej proksimas de la vero, provizora kaj onduma, ĉar ĝi konturas pli proksimece la realon de la estaĵoj kaj okazaĵoj. »

Lia « amhistorio » kun la bestoj datiĝas de lia infaneco en Egipto. li diris :

« Mia infanaĝo pluiĝis en mia adolesko, kaj la unua kaj la alia restis sigelitaj en mi laŭ mia tuta plenkreskaĝo, tiom bone, ke tute kaj trae mi restis tiun saman infanon. »

Unu inter liaj lastaj libroj estis pri lia dudekjara vivo dum lia egipta infanaĝo kun simiino, kies vivo kaj morto efektis lian vivon por ĉiam.
Legeblas rete en Esperanto :
emociigaj eltiraĵoj el liaj libroj = (http://r.platteau.free.fr/ElianFINBERT.html)

kiel « pluso » mi aldonos mian propraspertan plej « belan » rakonton pri hundoj :
Estas simple memoraĵo el mia ĉevalrajda migrado tra Bretonio (duoninsilo Crozon) en aprilo 1987 La 25-an de aprilo 1987 matene ni estis en la ĉevaletapejo de Coat Forest . Tie ,mi memoras, estis anasoj blekantaj per mirige obtuza kvako, bela pavino, ktp. Kaj tie estis du hundoj de la raso Colley , la skotaj ŝafhundoj. Il estis ligitaj, oni povus sin demandi kial, ĉar nenioma bezono estis pri tabulo « atentu, hundo agresema !», sed pli bone « atentu, hundo afabla !», kiel en humuraj desegnaĵoj. Se ili sturmas al nekonatoj, ne estas por mordi, sed por peti karesojn, kaj kovri ilin per langsvingoj. Fakte ili supozeble estas ege malfeliĉaj tiel ligitaj tute solaj la tutan diurnon ; al ili mankas koratento ; dum ili estas hundoj sentemaj, kun koro vasta kiel la tero. Kaj ili frandegas karesojn, kaj ili saltas al oni, kaj ili brakumas onin - tiel oni povas diri ! - per siaj antaŭaj piedoj ; neniam mi estis vidinta tion !!!
La plej granda (kaj plej purrasa), konstante staranta sur la tegmento de sia hundobudo - kiel Snoopy en la bildstrioj ! - ĝemas kiam ĝi ekvidas onin, aŭ kiam vi foriras de ĝi, nervoziĝas, saltas de la tegmento teron, kaj de tero tegmenton, lamentas kompatinde. La alia diras neniam ion ajn, kaj kiam oni lasas ĝin iras kuŝiĝi, kvazaŭ ne estus ian ajn problemon. Sed tio ne estas, mi opinias, la faro de karaktero flegmula, aŭ supraĵema ; ĉar fakte revenanta al ĝi post esti forlasinta ĝin por la alia, mi trovis ĝin mirige senreaga : ĝi estis paŭtanta pro ĵaluzo ! Finfine ne eltenanta pli longe, ĝi impetis freneze sur mian brakon, kiun ĝi ŝirkaŭbrakumis per pasiega gesto. Se ĝi kuŝiĝas senreage, tio estas per rezigneco, ĝi estas mi kredas, kiel la figuro en poemo de Géo Norge, tiu, kiu « kiam oni pridemandis lin, estis preninta la kutimon ne respondi
Kaj mienis simple kiel
Kokino ovon demetonta.
Kaj kiam oni akuzis lin,
Li estis preninta la kutimon ne defendi sin
Kaj mienis simple kiel
Iu sub kiu la tero estas fendiĝonta. »
Ĝi estis eĉ pli kortuŝa ol la alia

Nun pasis, kiom, da jaroj ? Ili certe mortis ambaŭ …
Kiom nekuracebla dramo iliaj vivoj.

20/06/2017

les gens de maintenant crêveront de ne plus se toucher !

.La peau, « ce qu’il y a de plus profond chez l’homme »,
écrivait Paul Valéry
dans « L’Idée fixe ».

La culture occidentale a codifié le toucher par des règles et interdits, et le monde moderne encore plus ! Pourtant, notre peau est une fenêtre sur le monde. C’est à travers elle que nous le découvrons.

Hervé Cochet est un professionnel du toucher. A double titre. Kinésithérapeute et aveugle depuis l’âge de 25 ans, il aime ce métier mettant en œuvre celui de ses sens qui, plus que les autres, lui permet d’être heureux. « On ne se trompe jamais sur un message envoyé par le toucher », assure-t-il. Ses mains sont devenues ses yeux ; sa peau, une fenêtre sur le monde

Lieu de toutes les sensations, réceptacle des caresses et de l’amour, vulnérable à la douleur, vectrice de la découverte du monde, la peau est l’organe du toucher, notre sens le plus affiné. D’ailleurs, les mots ne manquent pas : câliner, chatouiller, effleurer, presser, palper, frapper, frôler, frotter, tripoter, embrasser...

Aucun animal n’atteint la qualité et la précision perceptive de notre toucher. Lorsqu’il y a plus de deux millions d’années, l’homme s’est dressé sur ses deux jambes, il a libéré ses mains qui sont alors entrées en contact direct avec la matière. Aujourd’hui, évolution oblige, nos récepteurs sensoriels se concentrent 10 à 20 fois plus dans les mains que sur le reste du corps : on compte jusqu’à 2000 terminaisons nerveuses par millimètre carré au niveau de la pulpe des doigts.

« On touche avec les yeux ! » assène-t-on pourtant à nos enfants. Quelle frustration, alors que le toucher reste si longtemps notre principal mode d’accès au monde !

  « Un enfant qu’on ne touche pas suffisamment devient rapidement dépressif et ralentit son développement psychoaffectif, rappelle Michael Stora. Le bébé peut mourir de ne pas être assez touché. »

« Des expérimentateurs s’intéressant aux rats ont montré que les animaux caressés sont détendus, calmes, souples, confiants et même audacieux, leur apprentissage est meilleur, leur croissance plus rapide, leur résistance aux affections plus grande, leur cerveau plus lourd. Par contre, les rats recevant les soins minimaux dans la stricte indifférence sont tendus, agités, craintifs et agressifs. » (Dr Leleu)

« Hommes ou femmes, nous aimons être enlacés, embrassés par quelqu’un en qui nous avons confiance » (Dr Leleu) 

« Le besoin de contacts corporels est aussi irrépressible et fondamental que la faim, la soif et le sommeil. »

Le toucher est le premier de nos sens à se développer – la peau se forme avant la huitième semaine de gestation. Et le dernier à se retirer, ultime mode de communication lorsqu’une vie trop longue a usé tous les autres. Toucher, c’est découvrir, prendre de l’information, en donner. Toucher, c’est aimer et c’est apprendre.

« La peau est une source de sentiments. » (Dr Leleu)
« C’est par la peau principalement que nous sommes devenus des êtres aimants. »
( Harlow in The maternal affectional system of rhesus monkeys )

Un espace de vie qui ne ment pas. « Le monde des odeurs, des couleurs, des sons, est de simple apparence. Seul le toucher fournit la certitude d’une réalité. Prendre, c’est déjà comprendre », écrit le neurologue Guy Lazorthes dans son « Ouvrage des sens » (Flammarion, 1992). Ce qui est vrai pour la matière l’est aussi pour les sentiments que nous éprouvons. Véritable langage parallèle, cette voix du silence peut tout aussi bien traduire fidèlement notre monde intérieur que le trahir.

Eminemment culturel, le toucher du XXIe siècle est codifié par des règles, des interdits implicites, et se révèle toujours significatif. Et quand, par inadvertance, deux inconnus se frôlent dans une foule, il en résulte le plus sou-vent un immédiat mouvement de protection, voire d’agressivité : « Tout objet qui nous touche sans que nous l’ayons d’abord identifié est vécu comme une attaque », explique le kinésithérapeute Hervé Cochet, rappelant que « toutes les fonctions humaines sont dévouées avant tout à la survie de l’espèce ».

La France, de culture méditerranéenne, n’est pourtant pas la plus atteinte par cette désincarnation des rapports humains. Selon une étude, lorsque deux Parisiens prennent un café, ils se touchent en moyenne 110 fois, contre... zéro pour les Londoniens ! Quant à notre poignée de main innocente, elle se révélerait importune au Japon où tout contact physique est proscrit en public. Inversement, les hommes se tiennent couramment par la main dans les rues de Bombay ou de New Delhi et, en Afrique subsaharienne, les enfants restent en permanence sur le dos nu de leur mère jusqu’à leurs 2 ans révolus.

Aragon a bien compris, qui écrit dans « Le Tiers Chant », interprété par Jean Ferrat : « Suivre ton bras, toucher ta bouche ; être toi par où je te touche ; et tout le reste est des idées. » Les poètes ont toujours raison.

« C’est comme les petits ours : on n’existe que par les caresses qu’on vous fait. »

« Les mains sur la peau touchent l’âme à vif. » (Christian Bobin)

« Faites les gestes, et les sentiments entreront dans le cœur. » (Confucius)

«  La main qui caresse reçoit une autre caresse de l’être quelle caresse. » (Jean-Paul Sartre)

 

« Ah, comme elle est bonne à tenir, la main d’un vieil ami ! » (Longfellow)