01/06/2017
les snobismes passent les interêts de classe restent
) 3/5/2017 lu « Monsieur Blot », de Pierre Daninos, livre qui en son temps avait acquis un succès qu’on a mal à comprendre maintenant ,
en fait ce livre sur le snobisme de la haute bourgeoisie des années 60 ne devient intéressant que maintenant ! Quand on peut le considérer comme un document de compréhension de l’histoire, quand on peut le mettre en perspective avec Mai 68, l’investissement des partis de gauche par les bourgeois “bobos”, les “libéral-libertaires” que dénonce Soral, la chanson de Jacques Brel “les bourgeois”, la situation de maintenant avec le pouvoir totalitaire (à coup de projet INDECT, de médias Voix-de-Nos-Maîtres et de criminalisation “citoyenne” ) des Clinton, Macron, Union “Européenne” OTAN, antifa, la déliquescence actuelle de l’ “art” pour marché institutionnel à milliards, du monde de la télé des Jack Lang et des BHL !
26/05/2017
merci les documents secrets US déclassifiés !
et voilà, la "nouvelle gauche dont on nous a rebattu les oreilles depuis (en fait depuis Mai 68) les années 70, était en fait un sous-marin d'une réaction capitaliste cynique et rusée planifiée par les officines réactionnaires des USA.
https://histoireetsociete.wordpress.com/2017/05/02/bhl-lu...
BHL, lu et approuvé par la CIABernard-Henri Lévy dans la cour de l’Elysée, en 1978 ((Boccon-Gibod/Sipa))
http://bibliobs.nouvelobs.com/idees/20170428.OBS8716/bhl-...
par David Caviglioli (journaliste) Publié le 01 mai 2017 à 16h55
Grâce à une loi américaine sur la déclassification des dossiers de la CIA, (grâce à Gerald Ford 1074) on peut découvrir ces jours-ci un rapport intitulé «France: la défection des intellectuels de gauche», remis à l’Agence en décembre 1985. Avec ce mélange de finesse, de naïveté et de paranoïa qui caractérise la littérature des services secrets, il analyse le virage anti-marxiste pris dans les années 1970 et 1980 par les intellectuels français et ses conséquences sur l’atmosphère culturelle et politique du pays.
On y découvre que la CIA surveillait de près notre vie littéraire et intellectuelle. (On se demande si elle le fait toujours.) Les espions américains qui ont écrit ce rapport ont l’air d’avoir lu pas mal de livres, passé pas mal de vendredis soirs devant «Apostrophes» et traîné leurs imperméables dans les couloirs des universités – notamment Nanterre, «où le marxisme chic était la règle suprême jusqu’au milieu des années 1970».
L’espionnage des intellectuels français est en réalité une vieille habitude des services secrets américains. Dès 1945-1946, et jusque dans les années 1970, le FBI a surveillé Sartre, allant jusqu’à dérober des carnets de brouillon. Camus aussi a fait l’objet de rapports. (Dans les premiers, il était nommé «Albert Canus».) En 2013, le chercheur anglais Andy Martin avait pu consulter les dossiers de ces herméneutes de l’ombre qui se grattaient la tête devant «l’Etre et le Néant» ou «le Mythe de Sisyphe», cherchant à savoir «si l’existentialisme et l’absurdisme étaient des masques du communisme».
La CIA était évidemment inquiète de voir que, en Europe comme aux Etats-Unis, la bourgeoisie intellectuelle de gauche était massivement rendue au marxisme. La France était selon elle le lieu matriciel du gauchisme mondial. Dans le rapport de 1985, il est dit que, «dans la période de l’après-guerre, les intellectuels français ont significativement contribué à fabriquer une hostilité internationale à la politique américaine, en Europe comme dans le Tiers-Monde. De Beyrouth à Lisbonne et Mexico, les élites intellectuelles ont écouté et reproduit la pensée et les préconceptions en vogue chez les café savants comme Régis Debray».
Pendant les années 1950 et 1960, la CIA a financé en sous-main le Congrès pour la Liberté de la Culture, un organisme basé à Paris, qui soutenait des revues intellectuelles et des magazines (dont la « Paris Review»). «Conspiration libérale», selon l’expression de l’écrivain australien Peter Coleman, le Congrès reposait sur l’idée que la défaite culturelle du marxisme passerait par la création d’une nouvelle gauche plutôt que par un soutien à la droite.
La thèse principale du rapport de 1985 est que la bataille française a été gagnée. Un «nouveau climat intellectuel» parisien, marqué par l’anti-totalitarisme et incarné par Bernard Henri-Lévy, va désormais œuvrer sans le savoir pour les Etats-Unis.
« Personnalités médiatiques à sensation »
La CIA se félicite que «l’intellocratie gauchiste» qui régnait sur Paris soit morte, «abandonnée à des mandarins vieillissants» et au souvenir des Sartre, Barthes, Lacan et Althusser, désignés comme «la dernière clique des savants communistes». C’est «un secret très mal gardé dans les cercles du PCF» que «tous les intellectuels communistes importants sont morts ou ont quitté le parti».
Les espions américains en accordent le mérite à une «coterie de jeunes agitateurs qui, pendant plus d’une décennie, ont converti à grand bruit dans les cercles militants, en attaquant la gauche française, vue comme dangereuse et intrinsèquement totalitaire»: les Nouveaux Philosophes.
Décrits comme d’anciens communistes ayant abjuré «les sophismes staliniens enseignés à l’Ecole Normale Supérieure», emmenés par Bernard-Henri Lévy et André Glucksmann, ils sont populaires et «ont compensé leur prose abstruse en devenant des personnalités médiatiques à sensation», grâce aux «émissions de télévision et de radio à teneur intellectuelle dont les Français raffolent». La CIA semble déplorer qu’ils «n’acceptent le capitalisme que comme un moindre mal».
Une raison de se réjouir : «Lévy est devenu directeur de collection chez Grasset – une des plus grandes maisons d’édition de France – d’où il a pu s’assurer que les opinions des Nouveaux philosophes trouvent un accès facile au public». Leur essor a selon l’Agence été rendu possible par «un déclin général de la vie intellectuelle en France qui a sapé l’influence politique des penseurs de gauche».
Bonne éducation
Cette «nouvelle gauche» devrait, selon la CIA, accomplir plusieurs œuvres: «Ils soutiendront les socialistes modérés qui peinent à créer une large alliance de centre-gauche», et ils «s’opposeront à tout effort des socialistes extrémistes de ressusciter ‘’l’union des gauches’’ avec le PC». Surtout, elle «devrait aggraver les différends entre les partis de gauche et à l’intérieur du PS, ce qui accentuera probablement la défection des électeurs socialistes et communistes». En clair, la CIA prophétise l’avènement des gauches irréconciliables et de la «non-révolution permanente» – expression attribuée à un étudiant français interrogé.
Mais le grand apport des Nouveaux philosophes est culturel: «En France, l’anti-américanisme jadis considéré dans les cercles huppés comme une preuve indirecte de bonne éducation n’est plus en vogue. La dénonciation automatique des Etats-Unis – que les intellectuels de la Nouvelle Gauche nomment "anti-américanisme primaire" (et les chasseurs de "théorie de la conspiration", concept concocté par les spécialistes de guerre psychologique de la CIA vers 1964, c'est une chose qu'il faut bien avoir à l'esprit !) – (…) est vue comme de la grossièreté (grossièreté de "populistes" n'ayant pas de diplômes universitaires je suppose ! donc des "sous-hommes" n'est-ce pas ?). L’anti-américanisme passait pour un signe extérieur de richesse intellectuelle, distinguant les penseurs des gens du commun (suspectés d’avoir une bonne opinion des Etats-Unis, même pendant la guerre du Vietnam.) Maintenant, l’inverse est vrai : trouver des vertus à l’Amérique – et même identifier de bonnes choses dans les politiques du gouvernement US – est perçu comme la marque d’un esprit clairvoyant.»
Ainsi, ce «climat» va «rendre difficile la mobilisation d’une opposition significative aux actions américaines en Amérique centrale». (Le rapport évoque ici le soutien des juntes anti-communistes au Nicaragua.) La partie culturelle est même tellement jouée, l’antimarxisme est devenu une part si importante de «l’orthodoxie intellectuelle française» que, selon les mystérieux rapporteurs, «les Nouveaux philosophes semblent de plus rien avoir à dire».
Le retour de la droite
Il est frappant de lire ce document au moment où ce chapitre de notre histoire intellectuelle se termine, où la gauche se re-gauchise et où l’hégémonie du «socialisme modéré» s’écroule. La CIA, ravie de voir BHL remplacer Sartre, n’a pas vu que la gauche «hard line» n’avait pas disparu.(récoutez-là son bon sens, le 25 mars à La villette ! http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2017/04/20/ds-... et bien sûr Bernard Friot, incontournable, ça vous ravigote les neurones !) Elle n’a pas vu venir la gloire de Pierre Bourdieu, les grèves de 1995, les mouvements altermondialistes et écologistes.
En revanche, elle a bien senti que la droite n’allait pas tarder à se réveiller. Après la guerre 40-44, explique-t-elle, «le conservatisme français» s’était trouvé «discrédité par son nationalisme xénophobe, son anti-égalitarisme et sa proximité avec le fascisme». Le rapport voit poindre sa «renaissance intellectuelle».
Il signale que le GRECE et le Club de l’Horloge ont beaucoup recruté chez les «jeunes diplômés de l’ENA». Que «le Figaro Magazine» de Louis Pauwels est devenu la plateforme d’expression des militants de l’identité comme Alain De Benoist, d’écrivains attachés aux racines chrétiennes -voire pré-chrétiennes – du pays, en «demande de renouveau culturel», persuadés que «la culture française a été corrodée par les influences extérieures». C’était il y a trente-deux ans.
25/04/2017
J'ai fait ce que j'ai pu
phrase qui restera historique
16/04/2017
annonces matrimoniales en Janvier 1949
Remarquez aussi la fréquence du termes "espérances" (parfois même "grosses" !), ça voulait dire que les futurs mariés pouvaient espérer que leurs parents MEURENT pour toucher un important héritage.....
c'est ce que les français-moyens et les freudiens appellent être réaliste !
Et bien entendu, encore une fois, on aimerais bien savoir quels ont été les destins, après, de ces gens, ces personnes, frémissants de vie, morts maintenant.
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13/04/2017
en 1960
en 1960 toutes les femmes portaient des fichus, qu’on n’appelait pas « voiles islamiques » mais « carrés de chez Hermés », (ni "signes religieux ostentatoires", seuls les fichus rouges des "pionnières" étaient des signes communistes ostentatoires), et s’habillaient exclusivement de belles couleurs florales, souvent vives ; jamais de noir ! À part les veuves ou les vieilles bigotes.
Même les hommes, même vêtus de couleurs ternes, ne s’habillaient en noir que les pédants hyper-sérieux et imbus de leur personne les agents de la Gestapo et les croques-morts.
et partout on fumait on buvait de l'alcool et on roulait, librement, en 2CV
et on chantait des chanson loufoques
et nulle part il n'y avait de caméras de vidéo-surveillance.
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02/04/2017
on ne nous apprend pas l'histoire
ça jamais dans les livres d'histoire on ne vous en parlait ! tout juste qu'il y avait eu une terrible guerre de tous ses voisins contre le Paraguay, qui l'avait réduit de vaste pays à l'état de petit pays, et causé des millions de morts. Mais on ne nous a jamais dit ce qu'il y avait DERRIERE !
Et on ne nous apprenait pas l'état de prospérité du Paraguay et de justice sociale que connaissait la Paraguay avant ! ni pourquoi !
Or :
http://www.monde-diplomatique.fr/communiques/141016.html
remarquez le rôle des banques !
ça rappelle la haine de l'OTAN envers la Yougoslavie en 89 ! la Yougoslavie ne se joignait pas au démantèlement du socialisme d'après Gorbatchev, il fallait la faire disparaître !
pareil pour la Syrie.
et pour la Lybie, qui en plus voulait aider l'Afrique à prendre son indépendance économique.
etc
Et le Paraguay découvrit le libre-échange
Quand il trouve porte close, le libre-échange sait s’imposer par les armes. Adepte d’un protectionnisme rigoureux, le Paraguay en a fait la douloureuse expérience entre 1865 et 1870, lors de la guerre de la Triple Alliance qui l’opposa au Brésil, à l’Uruguay et à l’Argentine. Financés par les milieux d’affaires londoniens, ces trois pays sont parvenus à le soumettre à l’économie-monde britannique.
A la fin du XIXe siècle, la plupart des Etats d’Amérique latine dépendent presque entièrement du Royaume-Uni, la première puissance mondiale : ils se consacrent à la production des matières premières dont Londres a besoin et offrent aux industriels britanniques de nouveaux marchés pour écouler leurs marchandises. Reposant sur l’idéologie dominante du libre-échange – selon laquelle chaque pays doit renforcer ses « avantages comparatifs » –, un tel mode d’insertion dans l’économie-monde présente de nombreux problèmes : il entrave l’industrialisation des pays du Sud, concentre la richesse dans ceux du Nord et favorise les comportements parasitaires des oligarchies nationales. Bref, il condamne les pays de la périphérie au sous-développement.
Dans ce montage, le Paraguay fait figure d’exception.
Lorsqu’il prend le pouvoir, en 1814, le dirigeant paraguayen José Gaspar Rodríguez de Francia met en place un régime autoritaire. Pas dans l’optique d’opprimer la population, mais pour écraser l’oligarchie : s’appuyant sur la paysannerie, il exproprie les grands propriétaires. Alors que la plupart des pays comptent sur l’essor d’une bourgeoisie nationale pour piloter la création de richesses, Francia jette les bases d’un Etat fort et dirigiste. Veillant à se prémunir des flux internationaux de marchandises qui pourraient fragiliser sa propre production, le Paraguay instaure ainsi un protectionnisme rigoureux. Après la mort de Francia, en 1840, ses successeurs (Carlos Antonio López puis son fils Francisco Solano López) poursuivent sa politique. https://en.wikipedia.org/wiki/Paraguay#Lopez_family Vingt ans plus tard, les résultats sont considérables. La persécution des grandes fortunes a conduit à leur disparition : la redistribution des richesses atteint de tels niveaux que de nombreux voyageurs étrangers rapportent que le pays ne connaît ni la mendicité, ni la faim, ni les conflits. La terre a été répartie sur des bases qui rappellent les projets les plus avancés de réforme agraire du XXe siècle.
Asunción figure parmi les premières capitales latino-américaines à inaugurer un réseau de chemins de fer. Disposant d’une ligne de télégraphe, de fabriques de matériaux de construction, de textile, de papier, de vaisselle, de poudre à canon, le pays parvient à se doter d’une sidérurgie ainsi que d’une flotte marchande composée de navires construits dans des chantiers nationaux. Sa balance commerciale excédentaire indique qu’il ignore tout du problème de l’endettement (comme la Lybie sous Kadhafi ...) et peut se permettre d’envoyer certains de ses citoyens se former dans les meilleures universités européennes. (idem)
Population décimée
Londres voit d’un mauvais œil cette expérience unique de développement économique autonome d’un pays de la périphérie : Asunción échappe au libre-échange ! Très rapidement, la Couronne intervient dans un conflit frontalier entre le Brésil et le Paraguay et parraine la signature du traité grâce auquel l’Argentine, le Brésil et l’Uruguay unissent leurs forces pour terrasser leur voisin : le traité de la Triple Alliance, qui donnera son nom au conflit qui éclate en 1865. Les trois alliés bénéficient du soutien financier de la Banque de Londres, de la Baring Brothers et de la banque Rothschild.
Cinq ans plus tard, le Paraguay est défait. Il a perdu 60 % de sa population et neuf hommes sur dix sont morts. Ceux que les combats n’ont pas fauchés ont succombé à la faim (toutes les forces productives ayant été accaparées par la guerre). A mesure que les soldats tombent, on enrôle les enfants, auxquels on fait porter de fausses barbes et qu’on équipe de morceaux de bois peints de façon à ressembler à des fusils lorsque les armes manquent. Au bout de quelques années, certains Paraguayens n’ont plus d’uniforme. Ils combattent nus.
Lors de la reddition de Solano López, en 1870, la plupart des infrastructures ont été détruites. Le Paraguay s’insère finalement dans le système économique mondial....
Sur la Wikipedia : le docteur Francia, celui-ci, après avoir patiemment éliminé ses rivaux et tissé un réseau dans le pays, deviendra « dictateur » élu pour 5 ans le 3 octobre 1814. Il le restera jusqu'à sa mort survenue le 20 septembre 1840. Très controversé, son « règne », isolant presque complètement le pays du monde extérieur, a permis d'épargner au Paraguay les troubles constants qui ont agité les autres ex-colonies espagnoles et l'alphabétisation de la quasi-totalité de la population, même si l'enseignement était interdit, sauf exception, au-delà de ce que nous appellerions l'école primaire. La paix a permis à la population de jouir d'un relatif bien-être. Remplacé après sa mort par Carlos Antonio López, personnage aussi étrange, mais conscient que le pays ne pourrait demeurer éternellement fermé, celui-ci réitéra la proclamation de l'indépendance en 1842 afin de mettre un terme aux prétentions périodiques de Buenos Aires sur l'ancienne province. Il ouvrit précautionneusement les frontières, important des savoir-faire et des équipements modernes (chemin de fer, chantiers navals, etc.) et donna au pays une puissance économique sans comparaison avec celle de ses voisins. Le Congrès l'autorisa en 1856 à désigner un successeur intérimaire par pli scellé. Il décéda le 10 septembre 1862 et le successeur en question était l'un de ses fils, Francisco Solano Lopez, qu'il avait nommé à la tête de l'armée et qu'il avait envoyé conduire diverses ambassades auprès des puissances de l'époque. Il convoqua un Congrès pour le 12 octobre 1862 qui le « choisit » comme président. Fort des moyens économiques laissés par son père, il se prépara à la guerre qui devait éclater en 1865, le poids du Paraguay et son refus de plier devant les exigences du libre commerce[3] prôné par la Grande-Bretagne, relayée par l'Argentine et le Brésil, le grignotage par le Brésil des territoires à la frontière indéfinie du Nord-Est, la volonté de l'Argentine d'en finir avec les prétentions paraguayennes sur son actuelle province de Misiones, semblaient en effet conduire à une confrontation inéluctable, que Francisco Solano Lopez a en fait accélérée en prenant l'initiative militaire, décision compréhensible mais qui répondait aussi à ses rêves de gloire que la diplomatie, qui n'était pas de son goût, ne lui apporterait pas. Le Paraguay s'engagea dans la « Guerre de la Triple Alliance » contre ses trois ennemis coalisés, l'Argentine, le Brésil et l'Uruguay (1865-1870), dont les buts de guerre inscrits dans le Traité de 1865 comprenaient l'attribution au Brésil et à l'Argentine des territoires qu'ils revendiquaient et l'imposition de la clause de la nation le plus favorisée, en finissant avec le protectionnisme qui avait permis le développement relatif du pays. Conduite imprudemment sur le plan stratégique dès le début de la guerre, quatre années ne furent que celles d'un lent repli avant la quasi-extermination de son peuple. Défait, l'acharnement principalement des armées brésiliennes et la résistance obstinée de Francisco Solano Lopez aboutit à sa mort au combat et à la dévastation complète de la partie peuplée du pays, les enfants d'environ quatorze ans étant enrôlés, à la réduction de sa population à une fraction de ce qu'elle était auparavant (probablement entre un tiers et la moitié), causant un déséquilibre démographique inouï entre les sexes (un homme pour deux à quatre femmes).
Je rappelle que ce drame fut le second que connu le Paraguey, avant l'avidité capitaliste-impérialiste-raciste avait déjà frappé, quand les monarchies portuguaises et espagnoles eurent obtenu l'expulsion des jésuites, détruisirent toute leur oeuvre et réduirent le peuple guarani en esclavage : http://www.moscati.com/Francais2/Fr_Rid_Paraguay2.html
http://www.google.fr/url?q=http://www.moscati.com/Francai...
13/03/2017
tiens tiens ces maneuvres de césar durant la guerre des Gaules ça ne rappelle pas des choses, contemporaines ?
des choses et des tactiques qui se sont déroulées en France, du temps de Jules César, et ailleurs, à notre époque ?
et il y a là des psychologies et des comportements hélas bien connu, non ?
ah ah ! les jeunes cadres sup' anglomanes aux dents longues !
les "young leaders" par exemple ...
remarquez au passage, (une fois de plus "le détail qui tue" le détail que personne ne remarque et qui est lour d'enseignement ! http://miiraslimake.hautetfort.com/apps/search/?s=le+d%C3... http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2015/05/15/le-... http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2014/06/15/la-...) chose qu'on apprend rarement - en fait jamais ! Tiens au fait, pourquoi ? - le temps de nous préciser dans les livres d'histoire, Vercingetorix rassemblait "les gens mourant de faim (tiens ? il y en avait ? à cause de quoi ? de qui ?) et les misérables"
hélas il est trop tard pour en retrouver les documents, mais une histoire de la luttes des classe en Gaule serait donc nécessaire ?
bon, et maintenant écoutez cette vidéo :
11/03/2017
on est en URSS !
Rappelez-vous !
la propagande (et les petits marqueurs subliminaux disséminés dans des présentations apparemment objectives, c'est encore plus vicieux) des journaputes contre François Asselineau ça fait penser à la propagande de la presse soviétique contre ceux qui avaient le malheur de critiquer le système : rappelez-vous, les dissidents c'étaient tous des agents payés par la CIA, des houligans ivrognes, des malades mentaux !
mais le peuple soviétique avait pris l'habitude de ne plus croire leurs médias. Pareil les français.
16/02/2017
La lutte des classes toujours
Espagne 1873,la première république, il y avait deux tendances les "unitaires" et les "fédéralistes" mais sous les discours institutionnels ils représentaient deux public de classe différent :
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05/02/2017
une citation de Wolinski
une citation que je place souvent maintenant, comme dit Wolinski « avant d’ouvrir une porte il faut l’entrouvrir », et même qu'avant de l’entrouvrir il faut d’abord mettre la main sur la clinche ! (ça c’est le programme de François Asselineau), et même encore avant il faut que quelqu’un aie le courage de dire (cf « le roi est tout nu ») : « on étouffe ici ! Il faudrait que quelqu’un ouvre une porte ! » Ça c’est Viviane Forrester, elle est non seulement humaine (et literaturément talentueuse), mais « historique », la parution de l’Horreur économique devra un jour être commémoré par un monument, ou au moins un titre de paragraphe dans les livres d’histoire.