27/02/2019
des complots il y en a toujours eu depuis la nuit des temps
*
*
01/02/2019
« Outrage à la morale publique » !
ou : Redécouvrir les détails des époques passées c'est vachement instructif
Relisons les détails des persécutions qui ont frappé l'église gallicane de France, dite église de Mgr François Chatel sous le règne de Louis-Philippe. A l'époque les principaux principes de droits et des libertés publiques actuelles étaient déjà officiellement reconnus. Aussi tous les errements ici décrits témoignent d'un toupet éhonté, d'un arbitraire illégal, et qui le sait, mais qui s'en fout car sait que toute plainte sera bloquée et qu'ils jouissent en fait de la bonne vieille loi du plus fort ! Sous un habillement légal bafoué, mais qu'importe ! Et donc comme c'est justement ce à quoi plein de dissidents et de victimes des brutalités policières, etc, font face dans la France (et la Belgique) actuelle. C'est fou comme ces actions éhontées des autorités de Louis-Philippe rappellent celles actuelles des autorités de sarko, de Hollande, Macron, de Elio di Rupo ou de Barroso ! ou la mauvaise foi clanique et censureuse du monde scientifique
Je vous laisse juge, partons pour une plongée de plus de 160 ans qui rappelle étrangement l'ambiance …. actuelle !
On appliqua la loi du 18 germinal an II, dont un article stipulait : "On ne peut ouvrir un lieu de culte nouveau, ni faire des réunions sans la permission du Gouvernement." Et aux demandes des prêtres de l’Eglise Française on refusait systématiquement, ou il n’y avait pas de réponse. (François Asselineau en sait quelque-chose aussi !) Les pétitions des fidèles subissaient le même sort.
.... adressèrent une pétition à la chambre des députés, forte de 180 signatures, représentant 550 membres. Ils protestaient au nom du principe de liberté religieuse et finissaient par ces mots : "On peut fermer nos temples, on ne nous arrachera pas notre foi."
….
Malgré la promesse du ministre des cultes de ne jamais se servir contre les réunions religieuses de la loi de 1834 sur les associations, les prêtres de Mgr Chatel furent souvent condamnés en vertu de cette loi.
….
Les distributions de brochures à caractère religieux sur la voie publique étaient formellement interdites. On établissait des contraventions pour "distribution illicite d’imprimés sur la voie publique".
…
Un soir de 1842 la police intervient et fait fermer l’église primatiale du Faubourg Saint Martin à Paris pour cause "d’outrage à la morale publique".
L’évêque catholique français dépose aussitôt un recours à la chambre des députés invoquant l’article cinq de la Charte votée par les députés lors de la Révolution de 1830 : "Chacun professe sa propre religion avec une égale liberté et obtient pour son culte la même protection." …. cette protestation est vaine !
…. célébration des offices. Mais le 23 avril 1843, trois commissaires se présentent chez lui, ils trouvent seize personnes assemblées et dressent contravention malgré les contestations.
Mgr Chatel proteste dans son journal contre cette violation de domicile au nom de l’article 76 de la loi constitutionnelle de l’an VIII proclamant tout domicile particulier inviolable.
Résultat ? hmm ? Respect de la loi ? Non !! saisie du journal en question !!!
finalement sous les systématiques persécutions l'église de France périclite et disparaît, son fondateur meurt dans la misère. Souhaitons aux esprits libres et clairvoyants de notre époque de ne pas connaître le même sort.
Publié dans histoire, journalistes = propagande d'Etat, Goebbels, morale, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
27/12/2018
"mon livre tire un signal d'alarme" - la stratégie du maillon faible vous connaissez ?
http://www.humanisme-ecologie-republique.fr/jean-marie-le...
Bernard FRAU Délégué général Humanisme-Ecologie-République :
« Depuis vingt ans je l’ai dit, je l’ai écrit et je l’ai combattu. Aujourd’hui, la quasi-totalité d’une population triée sur le critère de son génome imparfait a disparu. L’extinction de cette partie de l’humanité est le fait d’un eugénisme efficace vendu par des marchands, acheté par l’Etat et mis en œuvre par la médecine. Dans l’histoire, c’est un événement sans précédent. De guerre lasse, j’étais prêt à entendre ceux qui me conseillaient de déposer les armes ».
Des faits inattendus ont pourtant incité Jean-Marie Le Méné à reprendre la plume. La période s’y prête. Ne pas dénoncer aujourd’hui cette marchandisation du vivant aurait été une capitulation.
« Nous avons besoin d’une Politique, ou mieux encore d’un Régime politique qui – par principe – ne tient pas la vie humaine pour un hasardeux foisonnement du vivant, ne l’utilise pas comme banc d’essai pour la technoscience et ne l’asservit pas à des finalités lucratives ». Un livre décapant plus que jamais d’actualité Un signal d’alarme qui ne peut laisser personne indifférent. ! http://www.pgderoux.fr/fr/Livres-Parus/Les-Premieres-vict...
L’éditorial de Jean-Marie Le Méné, Président de la Fondation Jérôme Lejeune, paru dans la lettre de la Fondation de Janvier 2016 :
« Vous me demanderez peut-être : pourquoi encore un nouveau livre sur un sujet impossible – le transhumanisme ? Mais parce qu’a la Fondation Jérôme Lejeune nous avons parfois le sentiment d’être les conquérants de l’impossible, serais-je tenté de vous dire ! Nous ne sommes pas qu’une œuvre de bienfaisance qui s’occupe des handicapés pour soulager les familles ou se donner bonne conscience. Nous avons aussi à répondre à l’une des questions majeures de notre temps : quelle attitude avoir face à une technoscience, boostée par le culte du progrès et ses juteuses perspectives ? Lui ouvrir nos portes sans réfléchir, c’est nous condamner sans appel, avec ceux que nous prenons en charge et une bonne partie de l’humanité.
Car le transhumanisme consiste en la volonté de faire advenir un homme « augmenté » ce qui ne laisse pas grand espoir à cet homme « diminué » que nous sommes tous plus ou moins.
Or l’un des premiers outils pour augmenter l’homme, c’est l’eugénisme qui est censé nous débarrasser des êtres « imparfaits » avant la naissance. Et l’étalon-or de l’eugénisme c’est le dépistage anténatal, particulièrement celui de la trisomie 21, suivi de l’avortement dans la plupart des cas, qui crée une sorte de bio colonialisme présenté à la fois comme nécessaire et rentable. Il faut bien voir que la trisomie est devenue un marché, l’avortement une marchandise et le ventre des femmes un magasin sous surveillance. La privatisation du ventre des femmes sur toute la planète, c’est l’eldorado du XXIème siècle.
Pour résumer simplement les choses, nous ne pouvons pas demander aux donateurs de soutenir financièrement la Fondation Jérôme Lejeune et nous taire, alors qu’on chiffre à 1 milliard € l’achat que pourrait faire prochainement la France du nouveau dépistage des trisomiques, lesquels sont déjà éradiqués a 96 % !
J’ai donc décide d’écrire un livre sur les premières victimes du transhumanisme que sont les enfants trisomiques. Ce livre percera-t-il la chape de plomb qui a criminalisé toute pensée – et a fortiori toute expression – sur l’avortement quasi systématique des « anormaux » ? Je démontre avec des exemples a l’appui, en France, qu’il n’y a plus de « pourquoi ? » sur ce sujet. Le nouveau test de dépistage de la trisomie est réputé ne poser aucun problème moral. C’est là sa principale force. (hmm la technique du « maillon faible », comme j’ai déjà dit sur plusieurs sujets) Ainsi en ont décidé le comité d’éthique, les experts scientifiques, le corps médical, les associations de personnes handicapées, les autorités morales, les médias et pour finir les politiques, qui n’ont fait que suivre les autres. Ce nouveau racisme du gène a réussi à désarmer les plus réticents en se faisant passer pour une procédure économe de vies humaines, mais de vies humaines en bonne santé, c’est-à-dire en vendant le principe même de l’eugénisme a ceux qui auraient dû nous en prémunir. Ce qui aurait du être le plus difficile à admettre a été, en fait, le plus facile à installer.
Nous sommes non seulement devant un scandale moral et financier, mais surtout un système autonome, clos, verrouillé.
Voilà ce qui me fait dire que la Fondation Jérôme Lejeune et ses donateurs sont des conquérants de l’impossible.
Il s’agit pour nous d’accueillir des survivants du transhumanisme, de les soigner et de leur trouver des traitements dans un capitalisme mondialise qui a inventé une rente indexée sur un génocide continu. Mon livre tire un signal d’alarme et j’espère qu’il suscitera une prise de conscience chez mes lecteurs. Pour 2016 je vous invite, avec nous, à conquérir l’impossible. »
Jean-Marie Le Méné,
Président de la Fondation Jérôme Lejeune
3 février 2016
une recension du livre dit : "[...] En une centaine de pages d'enquête passionnante, le président de la Fondation Lejeune remonte une piste sordide, qui nous mène en Californie, où, dès 2008, l'entreprise Sequenom met au point une technique de dépistage révolutionnaire pour détecter la trisomie 21 dans le ventre des mères. La « ruée vers l'or des Mongols » peut commencer. Des millions sont en jeu. Sequenom fera une entrée en bourse. Le dépistage systématique de la trisomie 21 s'est répandu partout en Europe, et en particulier en France, qui, se reposant sur ses lauriers de patrie des droits de l'homme, ne perçoit pas le cheval de Troie de l'eugénisme qui campe sous ses fenêtres. [...]
Vous vous contrefichez du sort des plus petits d'entre vous, soit. Mais un jour, la mécanique à l'œuvre pourrait bien vous atteindre aussi. Il se pourrait bien que l'eugénisme couvert des atours moraux de la compassion, s'étende. « Les enfants trisomiques https://fr.sputniknews.com/societe/201603231023625133-enf... sont les souris de laboratoire, les sacrifiés de l'expérimentation, les cobayes du transhumanisme », écrit Le Méné. On peut hausser les épaules. Reste que quand ils ne seront plus là, quand le monde sera épuré de leur faiblesse, il faudra bien que l'idéologie transhumaniste en cherche d'autres. « Ceux qui décideront de rester humains et refuseront de s'améliorer auront un sérieux handicap. Ils constitueront une sous-espèce et formeront les chimpanzés du futur », prévenait déjà en 2002 le professeur de cybernétique Kevin Warwick, qui préconise à l'homme de fusionner avec la machine.
Dans ce court essai, écrit d'une plume fiévreuse et parfois coléreuse face à la puissance du scandale, Jean-Marie Le Méné joue les Cassandre et nous délivre un avertissement : devant l'homme augmenté promis par le transhumanisme, nous sommes tous des trisomiques. "
Lire l'intégralité de l'article.
http://deconstruire.babylone.over-blog.org/article-209332...
«Dans l’esprit des nazis, le génocide des Juifs et des Tziganes était indissociable de la stérilisation et de l’«euthanasie» des «dégénérés» (ils avaient commencé par l'Aktion T4, là aussi le maillon faible) ; il s’inscrivait dans un ensemble de mesures sanitaires destinées à préserver la race»
Autre maillons faible, l'euthanasie, c'est comme le livre de Binder et Hoche paru en Allemagne en 1922 (vous connaissez ? renseignez-vous ! son titre surtout est révélateur et laisse rêveur, surtout à la lumière du vocabulaire actuel) , on commence par les malades incurables, on étend aux enfants, puis aux "malades" mentaux, puis aux handicapés, et on retrouve l'Aktion T4, sauf que là on n'aura pas de 2ème guerre mondiale ni de soldats américains pour y mettre fin
Belgique : étude sur la pratique de l’euthanasie en Flandre
- « Fin de vie » (terme hypocrite pour faire passer l'euthanasie ! en allemand Gnadentod ...)
Ce 15 mars 2015, le New England Journal of Medicine a rendu publics les résultats d’une étude menée par deux universités belges sur les pratiques médicales en fin de vie, basée sur un questionnaire transmis à quelques 6188 médecins exerçant dans la partie néerlandophone de la Belgique et auquel plus de 3700 ont répondu.
Il en ressort une très nette augmentation des euthanasies pratiquées en Flandre entre 2007 et 2013, puisque le pourcentage des morts par euthanasie sur le total des décès en Flandre est passé de 2% à 4,6 %.
Les résultats montrent également une différence flagrante entre le nombre d’euthanasies rapportées à la commission de contrôle (1454 cas rapportés en Flandre en 2013) et le nombre d’euthanasies réellement pratiquées, qui tourne autour de 2800. Ce qui signifie que, dans la pratique, près d’une euthanasie sur deux échappe à tout contrôle.
Quant au pourcentage des décès ayant été volontairement hâtés sans consultation du patient, il reste stable à 1,7% en 2013.
Les responsables de l’étude identifient deux raisons à la hausse de la pratique de l’euthanasie. D’une part, de plus en plus de personnes demandent à être euthanasiées. D’autre part, il y a de plus en plus de médecins qui acceptent d’accéder à ces demandes, puisqu’en 2007, ils y accédaient dans 56% des cas, et qu’en 2013, c’est près de 77% des demandes d’euthanasies qui sont acceptées par les médecins, qui se sentiraient plus « aptes » à la pratiquer, révèle une étude parallèle.
Dans près de 74% des cas, les soignants d’un service de soins palliatifs ont été partie prenante, ce qui, selon les responsables de l’étude, prouve qu’« après 11 ans, l’euthanasie est de plus en plus considérée comme une réelle option de choix de mort ». L’euthanasie fait donc désormais partie des soins palliatifs, selon ce que certains appellent le modèle belge des soins palliatifs intégraux.
Si l’on compare l’évolution des chiffres avec ceux des Pays-Bas, certaines différences sont frappantes. Le professeur Deliens affirme que la Flandre est sans doute plus permissive, et que le fait d’intégrer l’euthanasie dans les services de soins palliatifs comme cela se passe en Belgique, a certainement un impact non négligeable sur l’évolution du nombre d’euthanasies,
“Les néerlandophones sont beaucoup plus enclins à exclure les personnes âgées de plus de 85 ans des soins plus onéreux.”
Source : The New England Journal of Medicine
Belgique : euthanasie toujours plus loin
A peine un an après la promulgation de la loi dépénalisant l’euthanasie des mineurs, s’exprime maintenant la volonté d’aller plus loin. Conférences, symposiums et articles de presse traduisent la volonté de certains médecins d’étendre le champ d’application de l’euthanasie aux personnes démentes (CF Allemagne nazie AKION T4), (lien vers VUB-Gent) mais aussi aux nouveau-nés prématurés et/ou porteurs d’un handicap (CF Allemagne nazie AKION T4), et pour lesquels l’équipe médicale jugerait que la « qualité de vie » (CF Allemagne nazie AKION T4) pose question (cf le livre de Binder et Hoche en Allemagne 1922). (Symposium International d'éthique clinique chez le nouveau-né et l'enfant)
Parallèlement à cela, le docteur Wim Distelmans souhaite voir encadrer la pratique de la sédation terminale, qui est selon lui, utilisée à des fins euthanasiques. « Le nombre de morts provoquées (intentionnellement) par sédation, est sept fois plus élevé que le nombre d’euthanasies », estime le docteur Distelmans. Il suggère dès lors, "par souci de transparence", que les sédations terminales bénéficient d’un cadre légal équivalent à celui de l’euthanasie : demande expresse du patient, déclaration écrite, commission d’évaluation…
Le docteur Distelmans ne mentionne pas la différence fondamentale entre une sédation qui donne intentionnellement la mort, et la sédation contrôlée, qui vise à placer pour un temps déterminé le patient dont les symptômes sont réfractaires à tout analgésique dans un état de conscience minimale. L’intention de la sédation qualifie la portée de l’acte. Une notion subtile et essentielle à comprendre pour apprécier la portée de la sédation en phase terminale mais non pas terminale, cette dernière pouvant à juste titre être considérée comme une euthanasie masquée.
et aux Pays-Bas : http://www.alterinfo.net/Ils-ont-le-vice-de-la-mort_a7247...
et n"oubliez pas :
"Un système qui a réussi à privatiser le ventre des femmes sur toute la planète et à le transformer en magasin sous surveillance a conquis l'eldorado du troisième millénaire."
eh oui ces dérives-là aussi sont éclairées par une analyse marxiste !
25/12/2018
ah bon ? les enfants sont en "vacances de fin d'année"
les pédagol patelins de l'Educ-Nat ont trouvé le truc, ce que tout le monde appelait les "Vacances de Noël", que l'intolérance de l'athéisme obligatoire d'Etat qu'on a maintenant instauré sur l'ex république français ne pouvait plus supporter, devait changer de nom. Vu l'esprit du temps, et de la Secte des Adorateurs de la Mort, il aurait été logique de remplacer Noël par Avortement ! les "Vacances de l'Avortement" ça aura fait très "propre en ordre" et politically correct non ?
Bon ils ont trouvé autre chose, "vacances de fin d'année"
Et les Vacances de Pâques ça va devenir quoi ? les vacances de l'Euthanasie ?
Publié dans histoire, les paranoïas ayatollesques, mort | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
05/12/2018
On voit que la Serbie maintenant n'a plus rien de socialiste
et qu'après les bombardements à l'uranium appauvri elle a complètement été récupérée par le grand capital et son idéologie.
Aussi il ne faut pas s'étonner qu'elle prenne le même genre de mesure que Macron, et que ça suscite la même révolte.
https://francais.rt.com/international/56280-serbie-belgiq...
courage frères serbes !
Publié dans histoire, libertés, Lutte des classes | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
28/11/2018
Zygmunt Bauman
après la présentation de la thèse centrale de Zygmunt Bauman dans son livre "Modernité et holocauste" (mais il en a écrit d'autres, par exemple sur la fameuse "mondialisation" et ses conséquences), ici : http://miiraslimake.over-blog.com/article-4937853.html, si vous ne n'avez pas encore lu ce billet en lien, lisez-le d'abord pour comprendre la suite.
Ce livre étant trop riche d'enseignements pour le réduire à une seule thèse, j'ai commencé à ramasser quelques citations remarquables, en commençant par le premier chapitre.
Voici donc sur le début
Zygmunt Bauman et l’Holocauste (et quelques autres choses encore…)
Découvert sur le tard (il a déjà 82 ans, (maintenant il est mort, note de 2018) mais après tout Bernard Charbonneau ne l’est que maintenant après sa mort !) Zygmunt Bauman, le digne successeur d’Hanna Arendt le principal moraliste actuel, un phare et surtout un révélateur pour notre temps, est à mettre à coté de Sven Lindqvist, Jean Ziegler et Catherine Baker, et bien sûr Bernard Charbonneau, parmi ceux qui auront enfin mis à jour l’impensé de la modernité et de notre monde actuel.
L’œuvre de Zygmunt Bauman est capitale, capitale mais dérangeante. Elle nous extrait d’une vision du monde confortable mais puérile (et ne pas comprendre ce qui s’est passé nous mets comme l’on sait en danger de le revivre …), d’un monde pour petits n'enfants naïfs où « les tueurs tuaient parce que fous et mauvais »
Sa thèse au contraire est « je propose de traiter l’holocauste comme un test exceptionnel mais significatif et fiable des possibilités cachées de la société moderne », de la société moderne.
En effet les recherches l’ont convaincu que « l’holocauste était une fenêtre plutôt qu’un tableau accroché au mur. En regardant par cette fenêtre, on jette un coup d’œil extraordinaire sur de nombreuses choses invisibles autrement. Et les choses que l’on voit sont de la plus grande importance … Ce que je vis par cette fenêtre ne me plut pas du tout. Mais plus le spectacle était déprimant, plus j’étais convaincu que celui qui refusait de regarder le faisait à ses risques et périls. »
« Je croyais (inconsidérément) que l’holocauste était une interruption du cours normal de l’histoire, une tumeur sur le corps d’une société civilisée, une folie passagère .... que nous présentent les travaux historiques sous une forme aseptisée et donc, en fin de compte, démobilisatrice et rassurante. » une « mythologie pour grand public, ils sont capables d'arracher celui-ci à son indifférence vis-à-vis de la tragédie humaine mais pas à sa satisfaction béate » envers la « civilisation » et le processus socialisé de civilisation. « plus « Ils » sont à blâmer, plus « nous » sommes en sécurité. Une fois que l’attribution de la culpabilité est supposée équivalente à la localisation des causes, nous n’avons plus à mettre en doute l’innocence ni la rectitude du mode de vie qui est le nôtre et dont nous sommes si fiers. »
« L'holocauste a vu le jour et a été mis au point dans une société moderne et rationnelle, la nôtre, parvenue à un haut degré de civilisation... c'est pourquoi c'est un problème de cette société, de cette civilisation »
Il a en effet découvert « Le message de l’holocauste sur la façon dont nous vivons aujourd’hui, sur la qualité des institutions auxquelles nous faisons confiance pour notre sécurité, sur la validité des critères dont nous nous servons pour mesurer la décence de notre conduite »
et que « l'holocauste fut le résultat d'une rencontre unique entre deux facteurs en eux-mêmes normaux et courants et … la possibilité d'une elle rencontre peut être attribuée en grande partie à l'émancipation de l'Etat politique de tout contrôle social grâce son monopole sur les moyens de coercition et à ses audacieuses ambition manipulatrices »
et donc que :
« l’holocauste était un phénomène typiquement moderne qui ne peut être compris en dehors du contexte des tendances culturelles et des réalisations techniques de la modernité »
or « Peu d'efforts ont été entrepris après l'holocauste pour sonder le terrible potentiel de ces facteurs et encore moins pour tenter de paralyser leurs effets virtuellement terrifiants. » (on peut même dire qu'ils règnent plus que jamais, on s'en aperçoit tous les jours)
Une facette cruciale et lourde de révélation, et condamnation « ad absurdum » des thèses générales chez les sociologues sur les rapports de la morale et de la société se trouve dans une étude de Nechama Tec sur les « sauveteurs », ceux qui restèrent moraux dans une situation immorale :
« Au mépris de ses propres attentes et de celles de ses lecteurs versés en sociologie, elle arriva à la seule conclusion possible : « ces sauveteurs avaient agi selon leur pente naturelle, par une rébellion spontanée contre les horreurs de leur époque … Ils venaient de tous les coins de la « structure sociale », tordant ainsi le cou à la théorie des déterminants sociaux » du comportement moral. …
Sans l’holocauste chacune de ces bonnes âmes auraient poursuivi son petit bonhomme de chemin menant des vies ordinaires et discrètes. C’étaient des héros en puissance, que rien, souvent ne distinguait de leurs voisins. »
Ici rappelons le capital (lui aussi) livre de Michel Terestchenko « Un si fragile vernis d’humanité »
« Si le pouvoir nazi s’était imposé, l’autorité habilitée à détermimer ce qui devait être aurait trouvé qu’aucune loi naturelle n’avait été violée [regardez ce qui se passe actuellement aux Etats-Unis dans leur byzantinisme ! ] et qu’aucun crime contre Dieu n'avait été commis pendant l’holocauste. Se serait cependant posé la question de savoir si les opérations de travail forcé devaient continuer, s’étendre ou cesser. Ces décisions auraient été prises sur des bases rationnelles » (John R. Roth, in « Holocaust Business » 1980)
Or en dépit de ce qui s’est passé :
« les leçons de l’holocauste ont laissé peu de traces sur la sagesse sociologique qui comprend, entre autres articles de foi, l’avantage de la raison sur les émotions, la supériorité du rationnel sur (évidemment) l’irrationnel ou l’affrontement endémique entre les exigence de l’efficacité et les tendances morales dont les « relations personnelles » sont si désespérément imprégnées. »
Or
au contraire les sociologues n’en tirent que la nécessité de dompter encore plus les tendances des hommes « au moyen d’une pression civilisatrice accrue et d’une nouvelle batterie de savantes techniques destinées à la résolution des problèmes . »
Ici prenons le temps d’un petit aparté :
La vraie morale se situe non pas dans la morale sociale (celle qui faisait de la chasse aux sorcières un devoir au 16èmesiècle, relisez Jean Bodin, ou de la chasse aux buveurs d’alcool à Chicago en 1920, de la chasse aux fumeurs à Paris en 2010 - mais pas de la chasse aux toxiques agricoles ! -, de la lapidation des ces "criminelles sexuelles" qu'étaient les femmes adultères en Judée vers l’an 33, ou les homosexuels en l’an 1633 - ou des "homophobes" en 2013 ! - de la dénonciation des mauvais communistes, des mauvais français - ceux qui cachent des juifs par exemple - de ceux qui parlent patois et par là « donnent des coups de pied à la France », ceux qui ne tuent pas les animaux en les vidant de leur sang, ceux qui font un sourire aux délinquants qu’on emmène en prison, etc, etc), mais dans les réactions de la conscience morale individuelle, et surtout lorsque celle-ci réagit à l’encontre des normes de la morale sociale. Les exemples sont légion. Et tous azimuts. La morale, de tous temps ne s'est retrouvé que dans des geste, accomplis sous le mépris général, par des individus isolés, ayant parfois eux-mêmes honte de leur attitude.
Et ce n'est pas pour rien que Michel Terestchenko (dans un autre livre capital : « un si fragile vernis d'humanité ») reconnaît les « justes » comme - paradoxalement ? - ceux qui, contrairement à Eichmann, sont foncièrement inéducables.
cf Lamartine et son chien (lien)
Cette sociolâtrie qui se croit du côté de la vérité et de la responsabilité se met en fait le doigt dans l’œil. Ce sont des lèches-bottes.
Le livre de Zygmunt Bauman est également un déni du poncif anthropolâtre et de la stigmatisation de la « bestialité » qui caricaturent les bêtes. (Lien vidéo l'empathie) ainsi que du mépris administratif de l’empathie individuelle : lien « les héroiques vieilles dames malaimées des petits stalines municipaux »
Notez au passage la phrase de Hannah Arendt disant que le problème le plus ardu rencontré par les instigateurs la Solution Finale ("solution") ce fut de surmonter la « pitié animale » que ressentent les individus normaux. Le terme doit être médité.
Maintenant voici ce qu’en dit Zygmunt Bauman :
« Comment ces allemands ordinaires devinrent-ils donc des meurtriers en série ? Selon Herbert C. Kelman, les inhibitions à l’égard des atrocités tendent à s’éroder lorsque trois conditions sont remplies, séparément ou simultanément:
quand la violence est autorisée par des ordres officiels,
quand les actions sont banalisées par des pratiques réglementaires,
quand les victimes sont déshumanisées par des définitions et endoctrinements » préalables
(au fait l'avortement des trisomiques ?)
« Nous examinerons la troisième. Quand aux deux premières elles nous sont parfaitement familières. Elles ont été maintes fois exposées dans les principes d’action rationnelle universellement appliquées par les institutions les plus représentatives de la société moderne . »
et last but not least, « L’augmentation de la distance physique et/ou psychique entre l’acte et ses conséquences fait plus que lever les inhibitions morales »
à suivre
et, au fait qq liens, ça se passe de nos jours :
http://www.resonance-mag.com/dossiers/dossiers.php?val=38...+
et :
Non, non, je ne délire pas, lisez bien cet article du Telegraph DE CE LUNDI "Hospitals letting patients die to save money. Hospitals may be depriving elderly patients of food and drink to hasten their deaths as part of cost-cutting measures to free up bed space, leading doctors warn",
autrement dit les patients en fin de parcours sont privés de nourriture pour accélérer leur "départ" vers l'au-delà. Et cela pour alléger le budget réduit par la crise... Cool... Chers Lecteurs, on vient de franchir un nouveau cap dans cette crise, et vous voyez que le pire se passe sous nos yeux... Et dire qu'en 2008 je recevais déjà des menaces de mort... Finalement, tout est relatif... Là on s'approche juste du livre et film "Soleil Vert" où on donne les morts comme nourriture aux vivants. Bon appétit... Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2012
Publié dans histoire, morale, Philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
04/11/2018
La France est devenue un sinistre et ignoble pays de merde !
Comme je disais ( http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2015/03/05/le-probleme-5556856.html ) le problème est que les jeunes dmaintenant n'ont même pas connu la LIBERTE, ni la CIVILISATION, n'ont jamais vécu dans un pays NORMAL, mais uniquement dans la société orwellienne précaire et méprisante actuelle, ils se savent même pas qu'un autre monde est possible, a été possible ! a éxisté !
Depuis quelques années, surtout à partir de l'infâme Sarkozy, mais il ne faut pas trop personnaliser, c'est la politique qu'on appelle du LIBERAL-FASCISME que les tenants du NWO, de l'EU, le grand capital orwellien, et ses dérives paranoïaques et totalitaires, Orwell et Aldous Huxley sont leurs inspirateurs, déjà dépassés !
Savez-vous que vous marchez partout maintenant dans nos centre-ville sous le muffle ignoble des CAMERAS DE VIDEO-SURVEILLANCE ? et peut-être même qu'on vous a dressé à trouver ça normal ?!!! alors qu'en 1960 jamais, au grand jamais personne n'aurait même seulement imaginé celà possible ! sauf sous Staline ! et on était prêts à faire la guerre pour ne pas tomber dans une telle société aberrante, pervertie, totalitaire et inhumaine !!! http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2013/06/05/mod...
Savez-vous que maintenant on en trouve même dans les églises !!!! http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2014/08/26/mod...
pensez un peu le blasphème ! Jésus se retournerait dans sa tombe !!!
et savez-vous que maintenant dans les cafés on met même des digicodes aux toilettes !!!!
et ...... des caméras de vidéo-surveillance dans les toiletes !!!!
quand on vous disait que même 1984 d'Orwell est dépassé
Etle plus "beau" est que les gens de maintenant ont l'air de trouver ça normal ! En 1830 le peuple de Paris s'est soulevé pour moins que ça. A quelle déchéance humaine on les a dressé !
28/10/2018
le test du canard
Vous connaissez ?
"si ça ressemble à un canard, si ça nage comme un canard, et si ça fait coin-coin comme un canard, ben ça a de grandes chances d'être un canard !"
maintenant appliquons-le aux Etats-Unis
* Les USA torturent leurs prisonniers de guerre (pas besoin de lien je suppose ! c'est assez connu)
* Les USA ont bombardé plusieurs pays (Serbie, Afghanistan, Irak, Lybie) avec des obus à l'uranium appauvri, ce qui a pour conséquence par les poussière qu'ils laissent dans l'environnement de cause - pour des générations ! - la naissances d'enfants malformés et des milliers de cancers
Et devant ça les femmes n'osent plus avoir des enfants. C'est à dire qu'ils sont entrain de soumettre ces pays à un génocide lent !
* Les USA pratiquent des guerres d'agression en les faisant passer pour des interventions humanitaires (comme par exemple quand Hitler a envahi la Pologne il disait que c'était pour protéger les minorités allemandes victimes des atrocités commises par les polonais http://www.swt.org/share/ancientciv.htm ) Souvenez-vous, toutes les interventions récentes et actuelles ont été basées sur des mensonges : souvenez-vous des bébés koweitiens, les faux camps de concentration serbes, des armes de destructions massives en Irak, de la fiole d'anthrax brandie à l'ONU, des faux massacres de Kadhafi (et des vrais crimes de guerre de l'OTAN: http://www.voltairenet.org/article170669.html des snipers ayant pour but de faire déraper les manifs au départ pacifiques en Syrie, puis l'introduction de mercenaires islamistes formés par le Qatar et les USA, la tentative de faire passer un mensonge (et avec des photos truquées, on le sait maintenant) sur les gaz de Bachar. Re-snipers en Ukraine, et re-alliance avec des groupes barbares (Banderistes néo-nazis)
* Les USA espionnent leur propre peuple et se dotent de loi liberticides sans contrôle (Patriot Act) et de prison hors-contrôle (Diégo-Garvcia, et d'autres plus connues)
* Les USA déstabilisent la planète entière et leurs interventions de plus en plus ambitieuses nous mènent à la guerre mondiale. Depuis une dizaine d'années on n'arrête pas de se demander avec angoisse "quel pays ils vont attaquer maintenant ?" ou "ils vont aller jusqu'où?",ça rappelle pas les questions que l'Europe se posait avec angoisse durant les années 1934-40 ?
Vous voyez vraiment beaucoup de différence avec Hitler ? le IIIème Reich de notre époque c'est eux.
Et ça continue : en ce moment lesUSA se conduisent en dépit du monde entier et de l'ONU envers le Venezuela (et envers plein d'autres pays !) comme Hitler durant les années 38 et 39
Publié dans histoire, Philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
30/09/2018
la famille
Jusqu’au XIXè siècle inclus (ici anecdote de l’écrivain à qui on demandait si, une fois adultes, il était possible de concevoir des sentiments d’amitié entre un père et un fils, avait dit NON pas possible, et remarque de ce que tous les héros de Jules Verne sont des orphelins; ça a commencé à évoluer à l’époque de Vigée-Lebrun, mais ça a pris plus d’un siècle) le FONDEMENT de la famille était (voir l’analyse marxiste de Engels) l’héritage de la propriété (et du NOM ! Chez les aristocrates), d’où le culte de la virginité, et le fait que les mariages étaient l’affaire des parents - seuls ! - et les relations entre parents et enfants (dont la moitié mouraient avant l’âge de 1 an de toutes façons, et étaient chez les riches élevés par des nourrices, qui étaient le seul moment de tendresse dans une vie - à oublier de rigueur car vile domestique !! ) étaient faites de terreur ! De soumission totale, d’obéissance ac cadaver, comme diraient les jésuites, et de respect inconditionnel et ostentatoire des enfants envers leurs parents, relisez les oeuvres littéraires de ces siècles !
Ce qui fait que certains discours de penseurs de ces siècles prétendant abolir la famille ne doivent pas être vus avec des yeux horrifiés de gens des années 1950. Il n’était pas du tout question à l’époque du modèle familial qui a régné, disons de 1850 à 2000 (oui, maintenant « on » est en train de le détruire ! À coups de criminalisation des parents, d'éducateurs professionnels, féminisme, LGBT, théorie du genre, etc, bref vous savez ce qui se passe !) et qui était basé sur des relations de chaleur familiale, d’amour, de tendresse, de solidarité décontractée et d’intimité, et qui a connu son summum dans les années 50, la famille comme celle de Mafalda ou de Boule et Bill.
Publié dans histoire, mi iras limake, Philosophie, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
24/08/2018
« Terroristes ! »
When have we heard these excuses lately ?
Par exemple il y a ça :
« By the most brutal methods of terrorism, a regime sought to maintain an existence that was condemned by the overwhelming majority of it people … I have tried to persuade the responsible authorities that it is ipossible for a great nation, because it is unworthy of it, to stand by and watch millions belongings to a great,an ancient civilized people be denied rights by their government … I haveendavoured to find some way to alleviate a tragic fate. One agreement was signed only to be broken. I then tried a second time to bring about an understanding. A few weeks later, we were forced to the conclusion that the government [of Austria] had no intention of carrying out this agreement in the spirit that had inspired it, but in order to create an excuse. I have determined, therefore, to place the help of our country at the service of these millions. Since this morning,our soldiers are on the march acrossall ofAustria’s frontiers. »
(Adolf Hitler, March12,1938, proclamation to the german Geople justifying the german invasion of Austria.)
« We have no interest in oppressing other people. We are not moved by hatred against any other nation. We bear no grudge. I know how grave a thing war is. I wanted to spare ourpeople suchan evil. It is nt so muchthe country [of Czechoslovakia ; it is rather its leader [Edward Benes]. He has led a reign of terror. He has hurled countless people into the profoundest misery. Through his continuous terrorism, he has succeded in reducing millions of his people to silence. The Czech maintenance of a tremendous military arsenal can only be regarded as a focus of danger. We have displayed a truly unexampled patience, but I am no longerwilling to remain inactive while this mad madman ill-treats millions of human beings . »
(AdolfHitler,April 14,1939, justifying the german invasion of Czechoslovakia. Speech at the Sportpalast in Berlin.)
« The wave of appalling terrorism against the [minorities] inhabitants of Poland, and the atrocities that have been taking place in that country are terrible for the victims,but intolerable for a Great Power which expected to remain a passive onlooker. We will not continue to tolerate the persecution of the minority, the killing of many, and their forcible removal under the most cruel conditions.. I see no way which I can induce the government of Poland to adopt a peaceful solution. But I should despair of any honourable tfuture for my people if we were not, in one way or anoter, to solve the question. »
(Adof Hitler, August 23, 1939, justifying the German invasion of Poland, in letter sent to the UK and French governments in response to their communications condemning the invasion of Poland.)
Hein ? C’est fou ce que ça rappelle très fort, jusque dans le détail des arguments et des formulations, des discours qu’on a entendus il y a pas longtemps, ou qu’on entend en ce moment même sur ces dernières « guerres abjectes » - comme dit François Asselineau – qui ont rempli nos médias !
Et puis remarquez déjà à cette époque on utilisait à profusion le terme « terroriste » pour diaboliser l’ennemi ! Le gag ! Vous voyez ce que ça vaut cette terminologie, hein ? j’espère qu’à l’avenir vous ne vous laisserez plus impressionner ni par cette terminologie (et « régime » ) ni par ces belles phrases apparemment si raisonnables dans la manière dont elles sont arrangées. Comparez-les avec la réalité matérielle des faits qu’elles ont servi à « justifier »...
Ne vous laissez plus berner (par les méthodes à Edward Bernays !)
Vous voyez ! Quand vous entendez un discours de « guerre humanitaire », de « devoir d’ingérence » d’ « aide fraternelle » dressez l’oreille ! Soyez tout de suite méfiants !
Une autre constatation, la propagande hitlérienne était très habile, beaucoup plus habile que ne le fut la propagande soviétique, qui était assez grossière et maladroite, presque aussi habile que la propagande OTANesque et libéral-fasciste actuelle.
Publié dans histoire, journalistes = propagande d'Etat, Goebbels, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer