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13/06/2018

tiens ! cette maison

Tiens ! cette maison appartient certainement à quelqu’un de la génération des années 70-80. À cette époque, post 68, et post-hippies, les ex-révolutionnaires, ou les ex-hippies, bourgeois enrichis , avaient au moins conservé le goût du beau ! Et ils décoraient leurs maisons (dont les murs n’étaient pas blancs et vides ni les meubles disparus par manque de place et tout en gris anthracite ! et dont les fenêtres étaient encore en bois, et à vitrage normal) avec des bibelots originaux raffinés et de bon goût (et ils s’habillaient pareil, maintenant c’est fini les gens n’ont jamais été aussi uniformes, moches, noirs, et mal-fagotés que maintenant et la mode jamais aussi laide de toute l’histoire de France, y compris les gaulois et les paysans du temps de Louis XIV).
C'était le bon temps, libre et aimant la vie, de ce qu'on appelait la « post-modernité ».

04/06/2018

il faut être fier d'être "complotiste", car c'est refuser de prendre pour argent comptant la version officielle des faits

De tous temps et dans tous les pays la version officielle, celle des maîtres du moment, et de leurs intérêts, a été mensongère.


 

13/05/2018

"on s'fait une petite réunion" et après "on mange une pizz" ou mai 68

De mai 68 est sorti une nouvelle bourgeoisie qui sous ses airs désinvoltes est plus dure et cynique que l'ancienne, et une société précarisée, normalisée, et rongée par le racisme social !

En 1999, Daniel Cohn-Bendit AVOUE ! Et déclare être "libéral-libertaire" reprenant ainsi à son compte un concept créé en 1972 par le sociologue Michel Clouscard. A partir du plan Marshall, Clouscard nous enseigne que le capitalisme a besoin d'éviter une crise de surproduction. Le capitalisme a également intérêt à contenir la menace communiste. Quant à Charles de Gaulle, il semble acquis que sa résistance au diktat américain ne fut pas du goût de tout le monde. L'émergence d'une nouvelle industrie (légère) voit apparaître un nouveau mode de consommation. La société des gadgets est née. En conséquence de quoi le capitalisme peut user d'une nouvelle arme (la séduction). Cette stratégie vise à liquider la question sociale et tuer dans l'oeuf le socialisme. (d’où la création de l’Union Européenne, ce « puissant levier », pour l’exploitatio et « assurance-vie contre le socialismé ») Mais la consommation ce n'est pas pour toutes les strates de la population, remarque Michel Clouscard. La société libérale est répressive envers les producteurs (le prolétariat)

(par ailleurs moquée et déméprisée de plus en plus « l’axe du mal à elle toute seule » ! souvenez-vous du film dont on a rit naïvement sans se rendre compte du racisme social qu’il instillait « La vie est un long fleuve tranquille » ! par la suite on a créé « populisme » pour que les gens associent de manière indissoluble le peuple avec tout ce qui est « caca » !)

et elle est permissive envers les consommateurs (la bourgeoisie). Regardez les pubs et lisez les annonces matrimoniales qu’on trouve dans le « Nouvel Observateur » le magazine censé être « de gauche » ! il n’y a pas besoin de beaucoup de pensée marxiste pour comprendre tout de suite !!

Clouscard souligne ainsi l'importance de distinguer le mai 68 bourgeois et sociétal du mai 68 social des Accords de Grenelle. Il insiste sur le fait que contrairement aux apparences il y a des collusions d'intérêts entre les tenants du jouir sans entrave et les responsables de l'économie capitaliste. La consommation libidinale et ludique est réservée à une élite fortunée. En somme, la classe ouvrière doit, elle, se contenter de rêver. Cette nouvelle consommation qu'il faut dissocier des biens d'équipement (lave-linges, automobiles...) s'appuie sur une nouvelle morale qui fait que la liberté devient liberté d'entreprendre (liberté du patron). L’éthique, elle, en est réduite à la soumission « citoyenne » à tous les dogmes en vogue et imposés par les appartchiks du pouvoir . La quête du sublime devient une affaire de goût, décré comme « ringard » et « fasciste » ! Les termes “lutte des classes” ou encore “prolétariat” ne font plus partie du vocabulaire (et sont même interdits avec dégoût, « Staline ! » caca !) de ce qu'il convient d'appeler la « gauche » mondaine, une néo-gauche qui petit à petit a fait de la classe ouvrière la classe fantôme, même celle du tiers-monde celle pourtant qui maintenant produit - elle ! - et travaille pour nous, enfin pour les gras profits des "groupes" dont les cadres, si performants ! autoproclamés "créateurs de richesse" ! (sic!) et "dynamiques", se pavanent dans nos tours blindées sous air conditionné vigiles privés et digicodes.

Selon Clouscard, le capitalisme veut à l'évidence un comportement d'individualisation (oui mais à condition de rester bien dans les rails "citoyens" de l'uniformité de mode, et de l'obéissance stricte - sinon diabolisation à outrance - aux préjugés, comportements, abstinences imposées, normes de rigueur, et "opinions" édictées par les maîtres à penser autorisés par l'Etat !)

En substance, Michel Clouscard suggère qu'à la vue de l'émergence du socialisme, le libéralisme-libertaire est une contre-révolution parfaite. Premièrement, la néo-féodalité qui s’incarne de facto dans le grand capital et la rente foncière, a poursuivi son entreprise de pourrissement via ses courroies de transmission que sont les médias. Deuxièmement, la nouvelle bourgeoisie qui s’incarne dans l'élite intellectuelle, les diplomés de l’Universté, de nos jours de manière significative on dit « diplomés » ce qui sous-entend que tous les diplômes qui sont en-dessous ne sont pas des diplômes !!! ... d’ailleurs de nos jours pour la « basse-cour qui fait l’opinion » en-dessous de la maîtrise tu es un sous-homme !) l'élite entrepreneuriale (rebaptisée « la société civile »!) et le star-système, a généré des stratégies de diversion pour garantir ses privilèges.

La sphère des médias, du divertissement de style amerloque et de l'audiovisuel va s'avérer être une formidable structure de rayonnement de la propagande libérale-libertaire. En se présentant “plus à gauche que la gauche”, la pseudo rébellion libérale-libertaire va effacer des consciences l'idée même de lutte des classes. Le prolétariat n'est plus le sujet de l'histoire.

Dès l'après mai 68, Michel Clouscard attire notre attention sur le véritable rôle des nouveaux faiseurs d'opinion. Selon lui, ils sont les idéologues d'une doctrine contre-révolutionnaire qu'il qualifie de libérale-libertaire. Par son style libertaire et ses idées franchement libérales Daniel Cohn-Bendit est assurément la figure emblématique de la contre-révolution bourgeoise. Si l'indélicatesse est son principal attribut, un examen de ses états de service nous indique qu'il est inutile de rechercher chez lui une quelconque traîtrise. Daniel Cohn-Bendit est tout simplement devenu ce qu'il a toujours été : un bourgeois astucieux et élitiste soucieux de conserver ses privilèges. Quelle que soit la couleur de son maquillage, le mépris des classes populaires est une constante dans son parcours politique. Par conséquent, il n'a jamais supporté les structures politiques (syndicats et partis) qui à travers l'histoire des luttes sociales ont participé à l'émancipation de la classe ouvrière. Sa version des droits de l'homme n'est qu'un vulgaire détournement qui a pour objectif la justification des guerres que mène l'Occident pour des intérêts à la fois économiques et géostratégiques. Enfin, il est européiste car l'UE au demeurant atlantiste, est totalement assujettie aux puissances de l'argent. Une position qui lui a sans nul doute permis de contribuer à l'élection d’Emmanuel Macron en 2017, un nouveau Président qui illustre parfaitement le “mix” entre le libéralisme - libertaire et la nostalgie de l'ancien régime.

sources : Agoravox, et moi-même

01/05/2018

une chose qu'il faut savoir

En Serbie à l'automne 2000 Près de 700 000 entreprises restaient la propriété commune du peuple, et la majorité d’entre elles étaient au pouvoir des comités d’ouvriers et de cadres, le capital privé n’en possédait que 5%. Et on ne pouvait vendre l’entreprise qu’à la condition de donner 60% des actions aux ouvriers.

L’homme du département d’état, Zoran Djindjic, (l'homme du département d'Etat de Washington) ne déçut vraiment pas ses maîtres.
Il adopta un programme de « réformes économiques », dans la novlangue du nouvel ordre mondial, cela signifie brader les richesses nationales à des milliardaires occidentaux à des prix dérisoires.

Djindjic changea vite la loi et la grande braderie put commencer sans empêchements. Deux ans plus tard, quand des milliers d’entreprises sociales furent vendues (beaucoup d’entre elles çà des propriétaires venus des pays qui avaient bombardé le pays), les bilans de la Banque Mondiale ne tarissaient pas d'éloges pour le gouvernement de Djindjic et son « implication des banques internationales dans le processus de privatisation ».

La Serbie était la dernière société socialiste, et qui n'avait nullement envie de cesser de l'être, sur terre. Issue du socialisme autogestionnaire et coopérativiste de Tito. Aussi les USA, ses supplétifs : l'OTAN, et ses rastaqouères "kollaborateurs" et autres pantins, les européistes, etc, se sont hâtés de la faire disparaître ! Et, comme en URSS, ce fut un vol pur et simple. Et imposé par la force (en Russie n'oublions pas les évènements de 1993 et le bombardement du Parlement par Eltsine).

 

maintenant en Serbie le capitalisme sauvage et cynique pour plaire à l'OTAN et à l'UE ça continue :http://comite-pour-une-nouvelle-resistance.over-blog.com/...

 

Maintenant si on considère la Pologne. Les occidentaux - comme d'habitude ..... - sont très peu informés sur ce qui se passe en Europe Orientale, or, voici ce que nous apprend une polonaise commentant sur un site francophone :
C’est bien que l’auteur mentionne que ses interlocuteurs polonais font partie de l’élite polonaise – ils sont professeurs d’université. En effet c’est l’élite politique polonaise qui s’intoxique toute seule avec sa propagande. Si vous discutez avec un des centaines de milliers de travailleurs polonais qui sillonnent l’Europe dans les cars Eurolines pour rejoindre leur job précaire payé au contrat polonais dans touts les pays d’europe, ils vont hausser les épaules tellement la Russie est loin et ils ni ne regardent ni ne croient les médias. De même si vous discutez avec un des 100 000 salariés des Zones Economiques Spéciales polonaises dont les contrats précaires « poubelles » comportent des salaires de 250 Euros, ils vous diront qu’ils s’en foutent complètement de la Russie et de l’Ukraine; Ce qu’ils voudraient c’est des salaires décents, une assurance santé et la perspective d’avoir une retraite, des écoles publiques de qualité pour leur enfants. Toutes choses qui POUR Le PEUPLE polonais n’existent plus. La preuve – à chaque élections entre 60 et 80% de polonais ne votent pas…. Et cela devient aussi une forme de boycott politique. En juillet dernier j’ai vu l’autocollant suivant à Varsovie, sur une voiture: un dessin d’un journal – je ne lis pas, un dessin de télé – je ne regarde pas et enfin le dessin d’une urne – je ne vote pas. Tout est dit.

Maintenant des nouvelles de Bulgarie : les bulgares regrettent le communisme !

Les Bulgares ont globalement une bonne opinion du socialisme

 Traduction JC pour http://www.solidarite-internationale-pcf.fr/
Un quart de siècle après la chute du régime socialiste en Bulgarie, la majorité de la population (55 %) porte un jugement positif sur le gouvernement communiste mené par Todor Jivkov, contre seulement 25 % qui en ont une opinion négative.

Selon ce que révèle une étude réalisée par l’Institut Alpha Research, publiée le 9 novembre, il y a plus d’opinions positives sur le développement du pays sous le régime socialiste (43 %) que négatives (14 %).

 Les résultats obtenus ont surpris les auteurs de l’enquête, rappelant qu’en 1991, deux ans après la chute du régime, 76 % de la population réprouvait le régime, contre seulement 16 % qui étaient prêts à le défendre.

Boriana Dimitrova, présidente d’Alpha Research, citée par l’AFP, explique ce changement, notant que « la nostalgie du système de sécurité sociale occupe la première place ».

Toutefois, trouve-t-on encore dans l’étude, la majorité des Bulgares est déçue par la transition au capitalisme, principalement à cause de la corruption.

Ainsi, seuls 2 % des personnes interrogées estiment que la loi l’emporte dans le pays. La moitié considère que le développement capitaliste a été un échec, 10 % affirment que ce fut un succès, alors que 25 % disent qu’il y a eu des aspects négatifs comme positifs.

Pour les Bulgares, les grands bénéficiaires de la transition ont été les politiques (41 %) et les mafieux (27 %). Les grands perdants ont été les citoyens ordinaires (54 %).

Mécontents des résultats de leur propre étude, les auteurs regrettent que le système éducatif néglige « les leçons de l’histoire récente » et l’ « absence de débat public » sur le régime socialiste.

 

28/04/2018

Internet puissance de résistance, de scepticisme, de démocratie - révolution dont on commence seulement à voir les effets, tsunami qui finira par renverser le vieux monde des menteurs qui nous exploitent !

Avant l’ère d’INTERNET, il était très difficile d’échapper au formatage de la connaissance du fait de la quasi omnipotence des médias dominants. 

Puis il y a eu internet, là, ce fut un choc,  la découverte de l’ampleur de la catastrophe et du mensonge régnant.

Une chose est certaine, une fois passé de l’autre côté, il n’y a pas de retour possible, c’est pour cela que la panique est générale : ceux qui en sont sortis, ne reviennent jamais à la propagande du système, le problème est que ce n’est donné qu’à une petite minorité, il faut d’abord le vouloir, ensuite il faut le croire, mais avant tout il faut avoir beaucoup de temps pour lire et rechercher, et posséder déjà un esprit critique, (une denrée en voie d’extinction) ce qui sera de plus en plus retiré à la jeunesse, formaté dès le berceau et totalement esclave des technologies récréatives, réseaux sociaux et autres titytaintment.

Je ne suis pas optimiste, vous le constatez, d’autant qu’il est quasi impossible d’alerter ses congénères sans passer pour une demeurée bonne à enfermer, la plupart de mes compatriotes ayant le nez dans le guidon et comme seule perspective l’enrichissement et la consommation, j’avoue y avoir renoncé.
Le seul espoir est que malgré tout, grandisse le flux des informés jusqu’au basculement, mais vu le verrou majeur qui s’annonce pour s’y opposer, j’ai bien peur

La Démocratie mondiale est inéluctable

découvert le 5 mai sur Agoravox, un article très important, car il parle d'un phénomène très important, qui est en train de se dérouler sous nos yeux (il y en a déjà eu des effets le résultat au référendum de 2005, le boycott par résistance passive au vaccin H1N1 en 2009, Asselineau, la résistance au Linky, Dieudonné - qui a théorisé lui aussi très bien ça à plusieurs reprises), la puissance d'Internet sur la démocratie, le scepticisme face à la propagande et aux scandales et aux False Flags, les mouvements de résistance, la capacité de réflexion et la culture des gens, l'autonomie et la création de réseaux à côté du système, l'antidote à la solitarisation des gens par la société actuelle (par exemple que ferait mon pauvre vieux correspondant espérantiste allemand, s'il n'avait pas ses 20 correspondants dans le monde entier !).
Le pape paraît-il, dixit Dieudonné, a qualifié internet de   "don de Dieu".
"mais qui croit encore ces gens ?" eh oui !
grâce à Internet
ou Dieudonné : "avec la touche REPLAY ils ne vont plus pouvoir se foutre de notre gueule comme avant" eh oui !
grâce à Internet

"Nous vivons une époque clé de notre Histoire. Internet, qui est, selon moi, notre plus grande révolution intellectuelle, permet l'interconnexion en temps réel, la diffusion et la disponibilité immédiate des savoirs et l'explosion des interactions entre les individus. Il ouvre donc tout un champ de perception, comme une nouvelle habileté de l'Humanité, un nouveau sens collectif. Et étant donné que la situation est catastrophique sur bien des plans, et que les médias de masse, pour bien des raisons, échouent magistralement dans leur rôle de 4ème Pouvoir, cela pousse les peuples à se "réinformer". C'est à dire à utiliser l'outil providentiel qu'est Internet pour échanger les points de vue, débattre, essayer de comprendre la situation actuelle et trouver des solutions. En fait, Internet, couplé à un monde de merde, c'est la plus grande fabrique à citoyens de l'Histoire...

comme dit Eric Fiorile le "c'est vrai puisqu'ils l'ont dit à la télévision" commence à être remplacé par" on l'a dit à la télévision, mais il vaux mieux aller vérifier sur internet"  http://fdata.over-blog.com/pics/smiles/icon_lol.gif  

Et ce constat me semble évident à faire : regardez comment nos opinions ont évolué ces dernières années. Je pense que le basculement idéologique a vraiment été enclenché par les révélations de Snowden. C'était certes un secret de Polichinelle, mais pas n'importe quel secret non-plus, et c'est à partir de là, je crois, que les masses ont pu commencer à envisager que l'Empire, pour reprendre cette terminologie polémique, est prêt à tout pour accroitre son pouvoir et contrôler les peuples.

Aussi, ces dernières années, nous avons pu assister à une forte accélération des dérives de nos pouvoirs. Dérives qui avaient été anticipées par bien des gens, allant de certains auteurs SF dotés d'une clairvoyance certaine, à de nombreux intellectuels et citoyens qui ont tenté de nous mettre en garde sur les dangers de la direction qu'on a prise. Utilisation éhontée du 49.3, Orwellisation de nos médias (le Décodex et la réaction des journalistes mainstream qui, au lieu d'exprimer leur indignation, au risque de perdre leur job, saluent l'initiative et jouent le jeu)... Il y a, à vrai dire, tellement de dérives et de masques qui tombent qu'il est inutile de développer davantage l'idée dans cet article : des milliers d'autres le font en continu depuis des années.

Il y a donc un gigantesque mouvement qui s'opère, une révolution de fond dont l'inertie est plus forte que tout. Les peuples deviennent petit à petit des Citoyens, car ils sont dégoûtés de la tournure des évènements, cherchent à comprendre la situation et à s'investir pour défendre les causes qu'ils croient légitimes. Tout ça, en réaction face à la peur d'un lendemain dystopique. Alors, bien sûr, nous sommes plus divisés que jamais. Mais nous sommes aussi sur le point de comprendre pleinement que ces divisions ne sont pas le fruit du hasard.

En effet, les personnes au pouvoir ont de tous temps cherché à sécuriser leurs places, et pour cela, il faut... diviser pour mieux régner. Y a pas de secret, c'est vieux comme le monde. Le pire, c'est qu'on le sait tous, mais jusqu'à présent, on a continué de se prendre au jeu. A mon avis, c'est parce que nous sommes dans une Société du spectacle qui nous endoctrine notamment dans le culte de l'égo, et donc qu'on se sent exister en défendant nos opinions corps et âme. Et sans forcément prendre le temps d'écouter les autres, en particulier ceux qui pensent différemment.

De plus, on continue de tomber dans le piège sournois des médias dominants : ils mettent en avant les tranches de populations qui confortent l'idéologie qu'ils veulent propager, ils utilisent des sondages facilement orientables (merci le paradoxe de Simpson) qui visent à nous manipuler via le biais de confirmation. Alors bien sûr, en voyant tout ça, et en constatant que partout, en particulier sur Internet, les opinions partent dans tous les sens et que personne ne s'accorde, on a tendance à croire que "les gens sont des moutons". Mais si c'était vraiment le cas, il n'y aurait pas toute cette indignation populaire, pas d'abstention massive aux élections, pas autant de débats passionnés, etc... Alors certes, on continue de tomber dans certaines manipulations spécifiques, mais l'essentiel est là : les moutons en ont marre, ils s'informent (Salut Benji !). Le peuple Français sort petit à petit de sa torpeur, de sa condition de "peuple de veaux". De plus, malgré l'apparent acharnement des élites à vouloir instaurer le règne de l'Idiocratie, de plus en plus de personnes développent une critique forte et intelligente de nos dérives sociétales. Il y a ceux qui s'offusquent et ne comprennent pas le message, et il y a les autres, qui semblent bien plus nombreux et c'est rassurant. Et il y a Google, Facebook, etc. qui censurent. Ce qui conforte la dérive orwellienne de nos médias, y compris de ceux du net.

Il nous suffit maintenant d'un déclic pour l'union. Je pense qu'on peut faire de nombreuses analogies entre l'Humanité et l'Individu. Parfois, les personnes profitent d'un déclic pour évoluer radicalement, alors pourquoi il n'en serait pas de même pour l'Humanité ? La Théorie du 100ème Singe, par exemple, qu'elle soit scientifiquement valide ou pas, me semble très pertinente. Ou encore, c'est un peu comme si nous étions tous des flocons de neige qui, par des conditions météo particulières, s'agglutinent en formant une grosse corniche qui surplombe toujours plus le vide, jusqu'au jour où le flocon fatidique (le "100ème Singe"), vient se poser puis fait basculer cet ensemble, et provoque une avalanche. Nous sommes donc, je le ressens, et je ne suis clairement pas le seul, sur le point d'accueillir ce flocon fatidique...

L'avalanche, le déclic de l'Humanité, ça peut être le candidat surprise François Asselineau, qui, porté par ses militants de l'UPR, qui y ont cru depuis longtemps, va enfin voir les portes des grands médias s'ouvrir à lui. Il va enfin pouvoir débattre avec les autres candidats "mainstream", ce qu'il réclame depuis des années. Un grand nombre de Français va enfin le découvrir, et ils seront frappés par son intelligence, sa culture, sa bienveillance, son intégrité sans équivalant dans le paysage politique français, et surtout son désir ardent de rétablir la Démocratie (ou plutôt de l'établir ? Enfin, ce n'est pas le sujet). Ce sera la preuve concrète que notre Salut vient d'Internet, et ça rendra officiellement obsolète une bonne partie de la caste politico-médiatique actuelle.

Il va, au long de ses débats et temps de parole, redonner espoir aux Français, en leur montrant un nouveau visage de la politique, à mille lieues des scandales et des débats superficiels où la rhétorique et la calomnie règnent. Il va convaincre le peuple que la première chose à faire est de sortir de l'UE, en expliquant ce qu'elle est. Ca fait 10 ans qu'il y travaille, à travers ses nombreuses vidéos et conférences, et le moins que l'on puisse dire, c'est que ça porte ses fruits, puisque ses thématiques sont de plus en plus reprises par les autres candidats, et que l'UE semble vouée à disparaitre très prochainement. Alors autant que ce soit la France qui lui assène le coup de grâce avec un Frexit en bonne et due forme, en l'activant donc directement grâce au fameux Article 50 du traité sur l'Union Européenne, le seul moyen légal de sortir de ce bourbier.

Bien entendu, ses adversaires, ses contradicteurs ainsi que les journalistes totalement soumis au Système vont continuer à nous rabâcher que la sortie de l'UE, c'est le fascisme, l'isolationnisme, le retour au Moyen-Age, les heures les plus sombres, etc. Mais franchement, qui croit encore en ces gens ? Ils ont passé ces dernières années à se discréditer en continu, à provoquer l'indignation globale par leur mépris du peuple, et à appuyer les politiques intolérables de nos dirigeants ? Mais que fout encore BHL dans nos médias, sérieux ? Peut-être que si ces gens-là n'avaient pas porté à bras-le-corps cette idéologie atlantiste, ce nouvel ordre mondial de merde, le peuple Français aurait manifesté en masse son refus à ces "guerres humanitaires", et on aurait peut-être pu éviter des centaines de milliers de morts dans ces pays, et les quelque 250 dans le nôtre via le terrorisme. Au lieu de ça, on a continué à se diviser comme des cons sur des questions superficielles. Il y a eu une énorme ingénierie sociale, une machine jouant sur tous les tableaux, pour provoquer notre consentement à toutes ces horreurs. Internet nous permet de comprendre ce genre de manipulations. Alors à force de prendre les Français pour des cons, ils se rebiffent, et on va pouvoir le constater lors de ces prochaines semaines.

09/04/2018

les annexions indues qui sont à l'origine du problème qu'et l'Ukraine

Ukraine-Histoire.jpg

 

http://fracademic.com/dic.nsf/frwiki/1132974

les martyrs du Donbass

etc etc

19/02/2018

le délire puritain actuel comme le délire de la chasse aux sorciers au XVIème siècle

Par Israël Adam Shamir

Une moche baraquée, la cinquantaine ou plus, le cheveu mort, trois rangs de perles sous bajoues, racontant à gros sanglots une histoire d’attouchements non désirés, qui a peut-être eu lieu il y a des lustres, voilà qui constitue un spectacle pénible. Peut-être que Beverly Young Nelson a autrefois été jeune et belle, et capable de réveiller la passion au creux des reins d’un costaud, mais c’est loin, très loin. Et pourtant cette improbable créature a bel et bien empêché Roy Moore, le suspect, de gagner une élection en Alabama.

Si cette vieille chouette prétendait avoir prêté à Moore cent dollars trente ans plus tôt, et qu’elle les lui réclamait, intérêts et principal, le tribunal lui aurait ri au nez. Qu’est-ce qu’elle faisait donc, tout ce temps-là, où sont les preuves, lui dirait-on. Pourquoi personne ne lui pose la question aujourd’hui, alors que la carrière du bonhomme est fichue ? Comment se fait-il que des revendications aussi douteuses puissent anéantir un individu ?

D’autant plus que cette personne a un nom et un visage, même s’il n’est pas ragoûtant, alors que dans bien des cas, l’accusatrice reste anonyme, cachée derrière une lettre, tandis que l’accusé se retrouve nommé, montré du doigt, et en perd son boulot. Il n’y a que l’Inquisition qui ait agi de la sorte, à base de sources anonymes et de griefs opaques. Nous voilà aux prises avec la sexquisition.

Est-ce que c’est un phénomène purement américain ? La vengeance de Salem, où un spasme semblable de paranoïa massive avait amené une petite ville de la Nouvelle Angleterre à pendre une vingtaine de femmes accusées de sorcellerie ?

A Salem, les hommes faisaient la chasse aux sorcières ; trois cents ans plus tard, ce sont les sorcières qui pourchassent les hommes.

Et c’est une épidémie mondiale. Les US sont le modèle de tout l’espace de la Pax Americana, où l’on imite la musique et les films américains, et maintenant cet accès de démence. De tous les hommes, de tout âge, de toute confession, nul n’est à l’abri de poursuites.

En Israël, la petite âme sœur de l’Amérique, un rabbin a été inculpé pour une histoire de viol avec sodomisation sur une gamine il y a sept ans. C’est une policière féministe qui a géré l’affaire. Le rabbin a passé un mois en taule et presque une année en assignation à résidence ; il a perdu son travail, et son nom est maudit à jamais. Et puis on a découvert que la fille ne pouvait même pas se souvenir de ses propres mensonges et les répéter correctement. Le procureur a décrété l’annulation de la procédure  et le rabbin David Harrison a été remis en liberté. Qui lui rendra son année gâchée, sa réputation, son travail ? Est-ce que l’accusatrice et la policière vont le dédommager ? Eh bien non.

Et encore, il a eu de la chance. Le président israélien Mosché Katsav en a eu moins. Sa première accusatrice, cachée derrière la lettre A, s’est avérée être une menteuse, et ses griefs n’ont pas été entendus. Mais à mesure que son histoire circulait bien des femmes s’étaient  jointes à la chasse à courre, et Katsav s’était retrouvé derrière les barreaux. Maintenant, la plupart des juges sont des femmes, en Israël, et les hommes sont cuits.

L’Europe marche benoîtement dans les pas des US. Là, c’est un universitaire d’Oxford, né suisse et musulman, Tarik Ramadan, l’homme qui a fait tout ce qu’il pouvait pour que les musulmans d’Europe se sentent européens. Une colonne de bonnes femmes est arrivée pour dire qu’il les avait violées ou approchées avec des avances non sollicitées il y a quelques années. Il a été obligé de se mettre en congé à l’université.

Bref pas un chrétien, pas un juif, pas un musulman ne saurait échapper à une semblable accusation, à partir du moment où il a un nom, une position et quelque argent sur son compte en banque. Pour une raison mystérieuse, les trimeurs, les chauffeurs de taxi, les ascensoristes ou encore ouvriers sur les tapis d’assemblage  n’ont jamais fait partie des souvenirs des copines de Beverly Young Nelson au bout de vingt ans. Est-il plausible que les représentants de la classe ouvrière ne se montrent jamais entreprenants ? Il n’y aurait que les riches et célèbres qui aient la main leste ?

Cet assaut sur les hommes se produit au moment de la campagne Balance-ton-porc sur les réseaux sociaux. Bien des femmes ont été obligées de se joindre à la meute : si vous ne faites rien, c’est probablement que personne ne vous a jamais trouvée assez attrayante pour tenter le coup. Elles ont foncé, en masse. Les hommes aussi sont réceptifs à l’hystérie de masse, mais les femmes battent tous les records. Et les réseaux sociaux sont un riche terreau pour ces campagnes.

Et s’il y avait un noyau de vérité au fond de tout ce grabuge? Jusqu’à un certain point, oui, quand on crie au loup, il n’y a pas de fumée sans feu. Les actes les plus courants peuvent être évoqués en des termes extrêmement sensationnalistes. Au lieu de dire « il m’a serrée dans ses bras et il m’a embrassée » dites plutôt « il a introduit de force sa langue dans ma bouche tout en m’immobilisant, puis « il m’a clouée sur un lit sous son poids ». Le  sexe, il y a des gens pour vous en parler, des puritains, des viragos, du gibier de psy, de manière à ce que vous soyez prêt à réclamer la peine de mort pour le perpétrateur de la chose.

Le terme viol ne veut plus dire la même chose qu’à l’origine. Mon ami Julian Assange a passé des années sous les verrous, et son aventure parfaitement consentie avec deux de ses groupies a été qualifiée de viol pour de menus aspects techniques (une capote déchirée, un état de demi-sommeil ou d’éveil incomplet). Dans les deux cas, cela partait d’un remords d’acheteur, ces dames regrettaient, deux jours après l’évènement, leur enthousiasme passager parce qu’il ne les avait point rappelées. Une femme détestant les hommes de toutes ses forces, la procureuse, se proclamant lesbienne, avait insisté pour envoyer Julian en taule. De son point de vue, un homme est à sa place quand il est enfermé, même si la requête est sans fondement. Et même après cette déclaration parfaitement discriminatoire, elle n’a pas été destituée.

La Suède connaît une avalanche de plaintes pour viol, ces temps-ci.  Il y a tant de gestes courants qu’on appelle des viols en Suède maintenant, que le terme est complètement dévalué.

Tout peut être décrit de façon répugnante. Manger de la viande c’est du cannibalisme, un compliment c’est un viol. Et en même temps, des choses qui révulsent les gens normaux  peuvent être décrites comme la normalité, voire la norme. Les hommes normaux sont révoltés par la description ou la présentation qu’on fait des relations sexuelles entre hommes. Et  on les force à accepter tout cela tout en considérant les gestes habituels entre homme et femme comme quasi criminels.

Les Américains ont voté pour Donald Trump dans l’espoir qu’il en finirait avec la rage émasculatrice dans leur société. Cela peut encore se faire en appliquant deux règles simples qui étaient tenues pour des garanties de justice, jusqu’au jour où la Cour suprême des US les a déclarées nulles et non avenues.

Premièrement, on en finit avec les réminiscences. La Bible, grande source de sens commun, nous dit ce qui relève du viol et comment  le gérer. Si l’agression a lieu en ville, la fille devrait ameuter le quartier, hurler et pleurer. Si cela ne suffit pas, ou si l’agression a eu lieu hors les murs, elle devrait se précipiter à la gendarmerie. Pas au bout de vingt ans,  http://fdata.over-blog.com/pics/smiles/icon_lol.gif  .

Cette attitude règlerait la question de savoir si la femme veut dire oui ou non quand elle dit non. Si elle appelle au secours, c’est que c’est non.

Et c’est sera fini des mines dormantes prêtes à vous sauter à la figure à tout bout de champ.

Et pour le harcèlement, c’est le plus souvent une invention de la rancœur féminine. Cela ne devrait pas relever de la loi ni des tâches de la police. Si une dame est gênée par un regard insistant, qu’elle déclenche un procès, ou qu’elle appelle un policier si cela va plus loin. Les gendarmes savent ce qu’il faut faire avec ce genre de vice.

Les souvenirs tardifs de harcèlement ne sont pas valables, même s’ils sont vrais. Si la femme n’a pas réagi sur le moment, c’est trop tard.

Autrement, bientôt les US n’auront plus un politicien mâle, juste des femmes.

La Russie a connu sa campagne “Balance-ton-porc”   (en russe je dirais #янебоюсьсказать) l’année dernière. Et un tas de femmes ont récité ou inventé des histoires de harcèlement. Mais c’est resté au niveau de facebook, car la loi ne permet pas de porter plainte des années après les faits allégués.

Et surtout, les Russes considèrent le sexe entre homme et femme comme une chose normale. Ils ne sont pas horrifiés par une relation entre prof et élève, ou entre patron et assistante. Les reportages sur les châtiments sévères imposés par les juges américains dans le cas d’une professeuse couchant avec des jeunes gens rencontrent l’incrédulité et la stupéfaction.  Sur cinquante histoires récentes de ce genre, aucune n’aurait été sanctionnée en Russie. Je ne comprendrais pas d’ailleurs en quoi un gamin de 17 ans séduit par sa prof de 23 ans aurait subi un tort.

 On envierait plutôt le gosse, en tout cas. Mais c’est cette attitude traditionnelle en matière de sexe qui est la raison principale des attaques médiatiques contre la Russie, bien plus que les histoires de « hacqueurs russes ».

Pourquoi est-ce que les US se retrouvent frappés de cet étrange fléau? Je serais tenté de l’expliquer comme une réaction contre la révolution de 1968, y compris la révolution sexuelle qui en faisait partie. Pour nous, les gosses des Sixties’, vivre c’était facile, le sexe c’était un domaine de liberté et de plénitude, en Californie ou en Crimée comme sur la Côte d’Azur. Nous en avions à profusion, du sexe sans capote, souvent avec des étrangères. C’était ça, le communisme. Redouter l’amour libre et le sexe à la portée de chacun, c’est avoir peur du communisme.

 Les riches garçons et filles qui sont arrivés au pouvoir ensuite ont tout transformé en source de gains, et c’est avec ce schéma en tête qu’ils ont créé la pénurie, y compris la pénurie de sexe ; il s’agit d’une contre-révolution sexuelle. Les plaignantes pour harcèlement sont les petits soldats de la contre-révolution sexuelle, elles font monter les tarifs de leurs charmes en organisant la pénurie. C’est elles qui y perdront, les malheureuses ; espérons qu’elles n’auront pas dézingué la planète avant de s’en apercevoir.

Joindre l’auteur: adam@israelshamir.net

Traduction: Maria Poumier

04/02/2018

Deux militants communistes appellent à voter François Asselineau

c'est un moment historique,  les français réapprennent à appeler un chat un chat

24/01/2018

contrairement à ce que racontent les français-moyens

Je crois bien qu’il n’y a jamais eu si peu, de toute l’histoire, de cambriolages, et d’agressions; et le banditisme de grands chemins, autrefois important, a complètement disparu, de même que les attaques de banques, on en annonçait quasiment à chaque bulletin d'info dans les années 70 (par contre les attaques que commettent les banques contre la vie des citoyens se multiplient).

22/11/2017

la france dignement a offert un triomphe au panache et à laliberté, - un MAGNIFIQUE pied de nez à ses flics - Dieudonné est un révélateur chimique

 

comme j'ai déjà dit l'avénement d'INTERNET a sonné le glas des malhonnêtes propagandes d'Etat


c'est comme à la fin de l'URSS le peuple ne croit plus à la propagande qu'on décharge sur sa tête.

Dieudonné révélateur chimique !

pour être au courant de l'achat d'un théatre http://aupointdo.com/