Les gilets jaunes, lors du 1er anniversaire du mouvement un élu du parti de Florian Philippot "les Patriotes" avait écrit :
Il y a un an, naissait le mouvement des Gilets Jaunes, mouvement populaire sans précédent, faisant fi des structures syndicales embourgeoisées et traîtresses, mouvement ô combien légitime, puisque d’un peuple ― travailleurs et retraités aux salaires et pensions de misère et subissant une fiscalité inique, précaires de toutes sortes, familles ou parents isolés dont les revenus ne permettent pas d’aller au bout du mois… ―, peuple accablé par les politiques eurolibérales servilement appliquées par ses gouvernants, Macron en premier lieu, et en demande criante d’Etat souverain, de nation protectrice et de justice sociale, bref de République !
(et après on nous fera croire que c'est un homme de droite ! il est plus à gauche que les partis de bourges escrocs et réactionnaires qui se prétendent tels ! au contraire il est le seul politicien authentiquement de gauche actuellement)
"Les vrais terroristes de notre monde ne se réunissent pas sur les quais à minuit, ni ne crient « Allahu Akbar » avant une action violente. Les vrais terroristes de notre monde portent des costumes à 5 000 dollars et occupent les plus hautes fonctions de la finance, du gouvernement et des affaires."
Eh oui je le rappelle les évènements au Chili ont bien montré que les gilets jaunes n'ont pas été trop violents, mais PAS ASSEZ violents ! Là ils n'auraient pas été injuriés, diabolisés, caricaturés par les journaputes, si le gouvernement avait eu peur il leur aurait parlé très gentiment ! et aurait cédé.
C'est comme à Dijon, comme dit Dieudo, notre Béranger, le bon sens et l'humanisme, la parole forte et vraie, là pas d'infirmières traînées par les cheveux ! pas d'yeux crevés, pas de flash-balls en pleine gueule sur de pacifiques passants sans défense. Tout à coup "beaucoup plus courtois les CRS ! Là ils se pissaient d'ssus"
« c’est le comble de la folie de prétendre que des hommes en possession depuis dix siècles de nous gourmander, de nous piller, de nous opprimer impunément se résoudront de bonne grâce à n’être que nos égaux. » (Jean-Paul Marat)
"Ce n’est pas le pacifisme qui a mis fin à l’apartheid en Afrique du Sud, ni la naïveté, ni l’amour comme j’entendais quelqu’un le dire l’autre jour à la radio, mais la force des armes. Sans cette force armée, l’apartheid sévirait encore aujourd’hui sans aucun doute. Aucune minorité possédante n’accepte de se faire dépouiller de ses privilèges si elle n’y est pas contrainte par une force plus déterminée. C’est le prix à payer si on veut vaincre et rester en vie. La Chine de Mao, le Vietnam d’Ho Chi Minh, Cuba avec Fidel Castro, le Nicaragua avec Ortega, la Résistance de 40-45, sont quelques exemples de ce combat à finir, où la force des armes a fait la différence.
Cela ne signifie pas qu’il ne faille jamais jouer le jeu démocratique là où les conditions s’y prêtent. Mais il ne faut jamais perdre de vue que la partie adverse réagira férocement."
une communiste observe l'actualité et réfléchit : "Faire remonter le black friday au jour où les esclaves aux Etats-Unis étaient vendus à bas prix est-il vrai ou faux, le fait est que cette référence s’est imposée parce qu’elle parle à la conscience de notre époque. Pouvoir acheter à bas prix, se battre pour un objet n’est’ce pas dire jusqu’où l’on ira quand ce sera l’eau qui viendra à manquer comme déjà en Inde où il est arrivé de se désalterer de l’eau de climatiseurs, ou ce qui est déjà à l’oeuvre sous nos yeux : à quel type de massacre d’indiens désarmés des oligarques alliés aux monopoles de l’empire sont prêts à pour s’approprier des mines de lithium ou les immenses ressources du vénezuela et de la forêt amazonienne ?
La nouvelle qui vient du Chili, la collaboration de la police française avec la police chilienne pour mater les manifestations dit ce qu’il en est de leur collusion, comme déjà quand la France expédiait ses tortionnaires de la guerre d’Algérie en Bolivie pour y seconder Klaus Barbie. . Il y a au même moment le vote de l’UE contre Cuba accusé de dictature, peut-être est-il temps de se relire Lénine dans impérialisme stade suprême du capitalisme en attribuant tout cela au seul Trump: « Si les capitalistes se partagent le monde, ce n’est pas en raison de leur scélératesse particulière, mais parce que le degré de concentration déjà atteint les oblige à s’engager dans cette voie afin de réaliser des bénéfices ». (c'est comme le problème de l'election comme l'explique Etienne Chouard) Oui mais voilà dans le temps où l’assassinat de ceux qui prétendent garder leurs ressources pour le développement intellectuel, physique de leur population et donc nationalisent les mines de lithium et sont alors accusés de dictature et poursuivis pour terrorisme [pareil pour les gens : quand ils se mettent à se rebeller et à penser, on les accuse de « populisme»,«conspirationnisme », « antisémitisme » « homosexualité » - non pardon ! Les normes ont changé à 180°! maintenant il faut dire "homophobie" !- « atteinte à la démocratie »]. Est-ce toujours pour nous assurer à nous peuples occidentaux le confort auquel nous sommes habitués? ou le racisme que l’on attise chez nous envers le peuple, les pauvres, les personnes de sexe masculin, les croyants et les pas diplômés de l’université, est-il déjà la peur de basculer nous petits blancs dans ce monde dévasté par les guerres, les famines, le pillage parce que notre confort n’est vraiment plus leur problème, ils sont « contraints » de s’engager dans cette voie-là.
Alors monte en Amérique latine l’idée de l’autopsie d’un coup d’Etat et quelque chose de l’ordre de (ouais ! Surtout de l’ordre de « l’héxagonal tel qu’on le parle »!)
la nécessité de la dictature du prolétariat… (sans doute pas faux)
Si là-bas en Amérique latine, ils redécouvrent la nécessité de la dictature du prolétariat après avoir pratiqué la transition pacifique et à la « démocratie », nous n’en sommes pas là , enfin pas tout à fait vue la déconsidération du politique, nous en sommes toujours en tant que communistes à la grande découverte de Kautsky sur « l’opposition foncière » des « méthodes démocratique et dictatoriale.».
Comme disait déjà Fidel Castro quand le PCF a renoncé à la dictature du prolétariat : s’ils peuvent s’en passer tant mieux pour eux. [Macron, Nunez et ses "clébards" ont bien montré que en France non plus] le fait est qu’en Bolivie, Evo Morales découvre qu’il devient de plus en plus impossible de s’en passer et fort heureusement la Chine, Cuba, Lula lui-même savent que la lutte à mort est là, parce que le capitalisme est ce qu’il est et qu’il ne peut pas être autrement, non pas parce que le capitaliste ne voudrait pas être un philanthrope mais parce que c’est sa nature impérialiste [mondialiste plus exactement, et totalitaire,ça va ensemble] . Et qu’un marxiste ne devrait pas confondre les conditions objectives avec les subjectives, ce n’est pas l’indignation dans ce que l’on peut ressentir face au fascisme qui se développe en Bolivie pas plus que celle éprouvée devant le fait que l’on abêtit des gens en transformant le citoyen -producteur en consommateur prêt à accepter l’esclavage de l’humanité pour le dernier produit à la mode (et anglophone). ce n’est pas parce que la démocratie est bafouée que l’ont doit s’indigner, du moins pas seulement, mais parce cette « démocratie » telle qu’elle est permet à cette violence de s’exercer contre eux et contre nous. [c’est pour ça qu’il faut écouter Etienne Chouard]
Kautsky comme ses disciples aujourd’hui évite de poser la question « où en est aujourd’hui la « démocratie » bourgeoise, à quel stade de tyrannie est-elle? » la démocratie bourgeoise est comme la démocratie israëlienne: la démocratie pour nous, la mort et les flashballs pour les « sous-hommes »(c’est-à-dire les pas diplômés de l’université, qui n’ont pas plein de fric et n’habitent pas dans les tours à vitres blindées) La dictature du prolétariat n’est pas une fantaisie de bolcheviques arriérés, elle est la nécessité de briser la machine d’Etat bourgeois, celle que Trump, la CIA, peut activer au Brésil, en Bolivie, parce que malgré toutes les réalisations elle demeure active dans l’oligarchie locale, son appareil répressif et même chez certaines couches moyennes. Elle est le fondement de l’OEA, ils agissent en concertation.
C’est pour cela que nous pensons cette référence vraie ou supposée au black Friday, parce que nous percevons qu’il est tenté d’asseoir l’hégémonie du capital et de l’impérialisme sur la machine répressive de la dictature bourgeoise présentée comme démocratie mais aussi sur la possibilité d’acheter des esclaves à bas prix (le N.A.I.R.U.!), eux symboles du retour à la marchandisation totale [PMA – GPA) de l’impérialisme du libre marché, un symbole de l’accumulation de marchandises destructrices des êtres humains et de la planète.
La dictature de la bourgeoisie abolit-elle la démocratie non c’est le contraire, elle l’exalte (euh, enfin elle exalte le mot!] mais c’est la démocratie limitée aux maîtres comme dans les sociétés esclavagistes. Mais le black friday est le temoignage que de l’esclavage et de la démocratie esclavagiste on est passé au capitalisme à savoir la marchandisation, la vente à bas prix des individus comme des marchandises, des peuples entiers puisque la conquête des territoires est devenue une nécessité de l’impérialisme, [d’où le culte de la « mondialisation »!] le petit peuple, la plèbe est invité à participer à la fête en se disputant les produits, il leur est refusé le droit de coalition en tant que producteurs mais est exalté l’individualisation concurrentie, même pas aux maîtres puisque les femmes en sont exclues et que les adolescents y ont accès par le don de leur esprit, aux dominants qui les éduque.lle de la consommation . [avant l’euthanasie dans le stade ultérieur, on nous y prépare déjà ! Le meurtre de Vincent Lambert était un test] Ceux qui tels Kautsky dénoncent la nécessité de la dictature, donc de briser la machine de l’état bourgeois le font le plus souvent comme lui en éliminant la lutte des classes, la violence du capital aurait disparu ce que l’on ne peut croire qu’en imagination. En effet, de nombreux peuples n’ont jamais pu l’oublier, d’autres sont en train de le redécouvrir, LES FRANÇAIS PAR EXEMPLE !) Et ils ne peuvent le faire qu’en niant toutes les expériences historiques du XXème voir même du XIX ème siècle pour remonter à l’orgine même de la démocratie bourgeoise, la philosophie des Lumières [Voltaire : « le peuple, cette canaille qui n’est point faite pour penser » "je veux que mon tailleur, mes valets, croient en dieu, pour en être moins volé"] et la bourgeoisie révolutionnaire proclamant les droits de l’homme et du citoyen. C’est particulièrement pernicieux en France où la dictature de la bourgeoisie se présente pour un temps celui de la terreur comme le résultat de l’intervention des masses. [oui mais Sièyés y met bon ordre, et depuis 200 ans nous a fait croire que la démocratie c’était l’élection, lisez plutôt Chouard!] Il a fallu pour cela effectivement déformer l’histoire et transformer la dictature d’une classe en pouvoir personnel d’un individu. Mais il faut voir aussi comment par la transmutation d’une classe en un homme la violence révolutionnaire d’une classe devient la domination sans partage d’un homme usurpateur. la Bolivie nous offre aujourd’hui un cas de figure exemplaire après le Brésil et l’enfermement de Lula par un trucage judiciaire… la forme même de gouvernement, la fiction imposée pour exercer la violence de l’oligarchie locale alliée à l’impérialisme, partie active de cet impérialisme avec l’appareil répressif resté en sommeil, [mais quand il se réveille on voit ce que c’est, dans la France de Macron par exemple!] n’est pas l’essence de cette dictature, elle peut se dire républicaine, elle reste une variété de l’Etat impérialiste, elle exerce la dictature de la bourgeoisie y compris sous des aspects électoraux comme au Brésil, en Bolivie et au Chili.
Pour Marx les caracteristiques de cette dictature de la bourgeoisie ne sont pas liées à des formes de gouvernement mais bien à la bureaucratie et la militarisation demeurées aux mains de la bourgeoisie.nous explique Lénine et il ajoute : « La dictature est un pouvoir qui s’appuie directement sur la violence et n’est lié par aucune loi. La dictature révolutionnaire du prolétariat est un pouvoir conquis et maintenu par la violence, que le prolétariat exerce sur la bourgeoisie, pouvoir qui n’est lié par aucune loi. » [mais si on supprime les lois morales on voit ce que ça donne ! Y compris de nos jours, et das les commissariats, et dans le CHU de Reims!]
En définissant la dictature comme une domination, en insistant sur le pouvoir personnel d’un individu, « Kautsky, nous dit lénine, s’est appliqué de toute son énergie à cacher au lecteur le trait dominant de ce concept, savoir : la violence révolutionnaire. C’est là que gît le lièvre. Subterfuges, sophismes, falsifications, Kautsky a besoin de tout cela pour esquiver la révolution violente, pour voiler son reniement, son passage du côté de la politique ouvrière libérale, c’est à dire du côté de la bourgeoisie.
L’impérialisme, lui, c’est-à dire le capitalisme de monopole, dont la maturité ne date que du XX° siècle, [et maintenant on a lea « Mondialisation »,le capitalisme mondialisé : OMC, FMI Bilderberg, OTN, Union Européenne, OMS, etc etc, les « traités internationaux » pour détruire la démocratie, comme le montre Amiel de Ménard, le monde selon Jean Monnet] se distingue, en raison de ses caractères économiques primordiaux, par le minimum de pacifisme et de libéralisme, par le développement maximum et le plus généralisé du militarisme [plus maintenant ! Maintenant ils ont trouvé mieux : les organisations internationales, et les traités, négociés en secret ! Le « secet des affaires », et qui s’imposent aux lois des pays]. « Ne pas remarquer » cela, quand on examine jusqu’à quel point la révolution pacifique ou la révolution violente est typique ou probable, c’est tomber au niveau du plus vulgaire laquais de la bourgeoisie. » Ce que dit Lénine sur kautsky transformant Marx en vulgaire libéral a pu paraître « dépassé » y compris par l’échec de l’URSS, mais le paradoxe de l’histoire telle que nous la vivons aujourd’hui est que c’est le triomphe sur l’URSS, l’absence de « régulation » imposée par son existence au capitalisme qui a encore aggravé la violence de l’impérialisme et nous a ramené à l’origine même de l’analyse de lénine sur impérialisme stade suprême du capitalisme. "
https://ru-clip.net/video/YxYlWB-8wto/esclavage-pour-dett...
tiens les spéculateurs boursiers on ne leur propose pas de réduire leurs revenus de 25%, les banques centrales les "aide" (avec notre argent), ben si on les "licenciait de leurs actions ? expropriation des actionnaires sans indemnisation, c'est ce que voulaient faire les socialistes, du temps où il y en avait ! en 1900, ça serait une bonne idée, moi je suis pour !
et comme chantait Chantal Goya :
Ce matin, un lapin, a tué un chasseur
explication :
C'était un lapin, qui avait un fusil
Après la chute du rideau de fer, les nazis et le grand capital (c'est lié) ont cru avoir reconquis ces années perdues.
Et ils nous font miroiter que pour ne pas revenir au nazisme, il faut voter pour eux qui avaient soutenu Hitler dès le départ !
Entre 45 et 48 comme les grands patrons français avaient tous collaboré, ils n'ont pas pu empêcher les communistes, ministres de De Gaulle, de mettre en place les mesures sociales comme la sécu, retraites, comité d'entreprises, MJC, TNP, etc etc. Et depuis, le capital n'a eu de cesse que de détruire ces acquis.
Ces affiches (comparant Macron à Hitler) sont légitimes car elles montrent la face du vrai capitalisme. Capable de tout !