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05/11/2023

Paix et Amour

et l’évolution de l’anarchie, devenue une coquetterie de bourgeois bobos qui veulent profiter de la vie regardez le clou ! la photo qui fait la couverture du numéro de mai-juin 2019 de Sennaciulo
http://www.satesperanto.org/IMG/arton4395.png
(un peu petit je m'excuse, ou alors il faudrait que je mette le pdf de toute la revue avec ses 36 pages !) Cette photo a été prise en 2019 à l'entrée d'un établissement anarchiste à Barcelone.
En bas du calicot une phrase en espéranto dit "Paix et Amour",
mon Dieu comme c'est bisounours !
sous le calicot est accroché une petite figurine humoristique représentant un anarchiste souriant qui s'apprête à déposer une bombe !
allusion à ce que faisaient les anarchistes d'il y a un siècle (quand c'étaient de vrais anarchistes et non des bourgeois friqués comme maintenant !...)
Heu mais des bombes ça tue, vous saviez pas ? c'est pas très "paix et amour" !
Bref nos bourgeois bobos se la jouent "anarchistes" pour faire joli, mais
 1° se foutent éperdument du sort de la classe laborieuse souffrant des conditions de travail et de la précarité imposée par le grand capital (qui fait grossir les fonds de pensions dont eux-mêmes, les bourgeois bobos, touchent les agréables profits !)
2° transforment une action violente, révolutionnaire, mais meurtrière, en gadget amusant - genre Disney !
quand-même ! comment prendre au sérieux des guignols (et des traîtres) pareils !)


Le point commun de tout ça est dans cette réplique révélatrice d’une héroïne néo-bourgeoise du roman de Didier Van Cauwelaert On dirait nous :
« Tout ça ce sont des symboles, mon chéri, sauf l’argent qui lui est bien réel »
de même le christianisme n’a plus rien du christianisme, l’anarchie n’a plus rien de l’anarchie.
La démocratie non plus.
C’est comme J-J Rousseau où les notions sont à force de sophismes changées en leur contraire. (ils sont d’ailleurs en train de nous faire le tour avec la notion de « citoyenneté » ! )
Oui ce Rousseau arrivait à dire que se soumettre à la « Volonté générale » c’est être libre, ce qui est plus exactement la devise du fascisme !

02/11/2023

Charles Vanel - Cherea

quelle rapport ?? eh bien voilà : le personnage joué par Charles Vanel (le vieux procureur) dans le film "Un roi sans divertissement" c'est un peu comme Cherea dans la pièce de théatre de Camus "Caligula".

J'en parle  dans  mon billet de ce blog "quelques films vus" :

*Janvier 2004   ) Vu « Un Roi sans divertissement » de Giono (le film) ; oui ça mérite d’être classé   parmi les classiques. Et c’est un chef d’œuvre filmé (par Giono même) de main de maître, tout y est  pensé savamment jusqu’aux moindres détails.

Le procureur, vers la fin il fait un peu CHEREA. « quatre sous de vie, il ne faut pas jouer avec » ouais !  bien sûr il a tort en fait et l’autre film, le film italien vu il y a quelques mois « Nos années »  (« i nostri anni »)

montre très bien que non seulement quatre sous de vie mais 80 ans de vie ce n’est RIEN  (n’est-ce pas Jacqueline ?), et pas seulement la vie, mais tout ce dont on la remplit, y compris les  valeurs et tout ce pour quoi on se passionne et est prêt à mourir et à  tuer. Rien du tout. Fini.

bon pour comprendre relisez "Caligula", attentivement, même si bien sûr c'est une pièce très triste, très tragique, très désespérante, et puis regardez le film "un roi sans divertissement" (ou joue le vieux Charles Vanel et dans le rôle principal Jacques Brel), on peut le trouver sur Internet.

01/11/2023

Halloween - pourquoi ?

Hallowen, fête anglo-saxonne, même si d'origine celtique, a été tout à coup imposée en France, très précisément par un essai à Nantes en octobre 1992, et l'année suivant 1993 comme ça a marché ça a été étendu à l'ensemble de la France, ce qui montre bien qu'il s'agissait d'une opération commerciale pensée organisée, massive et planifiée ! par qui ? ...... très bonne question non ?
déjà cherchons les motivations, il y en a qui sautent tout de suite aux yeux :


1° une raison impérialiste : américaniser le monde,


2° une raison marketing : créer un vaste marché de gadgets à vendre


3° une raison "psychologiquement correcte", des psycho-machin-chose de ce que j'appelle "la Secte des Adorateurs de la Mort" habituer les enfants à rire de la mort, des cadavres etc, à trouver ça "fun" marrant et pas tragique du tout, faire à l'avance son "travail du deuil" si chéri des psycho-machin-chose au pouvoir.


4° une raison anti-religieuse en général et anti-chrétienne (bref ce qu'ils appellent : "laïque" !) en particulier : faire disparaître de l'imaginaire du public l'association entre le 1er novembre et la fête chrétienne des morts, pour la remplacer par une association "fun" et anglo-saxonne qui fait vendre, et habitue les gens dès le plus jeune âge au satanisme et à l'atrait pour la mort, transformée en un truc "amusant" comme dans le roman d'Aldous Huxley "Le meilleur des mondes.



31/10/2023

Je ne pense jamais, je suis bien trop intelligent pour ça

Une des scènes les plus connues, et les plus profondes du théatre français, CALIGULA et HELICON :

 

HÉLICON, d’un bout de la scène à l’autre. — Bonjour, Caïus.

CALIGULA, avec naturel. — Bonjour, Hélicon. Silence.

HÉLICON. — Tu sembles fatigué ?

CALIGULA. — J’ai beaucoup marché.

HÉLICON. — Oui, ton absence a duré longtemps.

Silence.

CALIGULA. — C’était difficile à trouver.

HÉLICON. — Quoi donc ?

CALIGULA. — Ce que je voulais.

HÉLICON. — Et que voulais-tu ?

CALIGULA, toujours naturel. — La lune.

HÉLICON. — Quoi ?

CALIGULA. — Oui, je voulais la lune.

HÉLICON. — Ah ! (Silence. Hélicon se rapproche.) Et pour quoi faire ?

CALIGULA. — Eh bien !… C’est une des choses que je n’ai pas.

HÉLICON. — Bien sûr. Et maintenant, tout est arrangé ?

CALIGULA. — Non, je n’ai pas pu l’avoir.

HÉLICON. — C’est ennuyeux.

CALIGULA. — Oui, c’est pour cela que je suis fatigué. (Un temps.) Hélicon !

HÉLICON. — Oui, Caïus.

CALIGULA. — Tu penses que je suis fou.

HÉLICON. — Tu sais bien que je ne pense jamais. Je suis bien trop intelligent pour ça.

CALIGULA. — Oui. Enfin ! Mais je ne suis pas fou et même je n’ai jamais été aussi raisonnable. Simplement, je me suis senti tout d’un coup un besoin d’impossible. (Un temps.) Les choses, telles qu’elles sont, ne me semblent pas satisfaisantes.

HÉLICON. — C’est une opinion assez répandue.

CALIGULA. — Il est vrai. Mais je ne le savais pas auparavant. Maintenant, je sais. (Toujours naturel.) Ce monde, tel qu’il est fait, n’est pas supportable. J’ai donc besoin de la lune, ou du bonheur, ou de l’immortalité, de quelque chose qui soit dément peut-être, mais qui ne soit pas de ce monde.

HÉLICON. — C’est un raisonnement qui se tient. Mais, en général, on ne peut pas le tenir jusqu’au bout.

CALIGULA, se levant, mais avec la même simplicité. — Tu n’en sais rien. C’est parce qu’on ne le tient jamais jusqu’au bout que rien n’est obtenu. Mais il suffit peut-être de rester logique jusqu’à la fin. (Il regarde Hélicon.) Je sais aussi ce que tu penses. Que d’histoires pour la mort d’une femme ! Non, ce n’est pas cela. Je crois me souvenir, il est vrai, qu’il y a quelques jours, une femme que j’aimais est morte. Mais qu’est-ce que l’amour ? Peu de chose. Cette mort n’est rien, je te le jure ; elle est seulement le signe d’une vérité qui me rend la lune nécessaire. C’est une vérité toute simple et toute claire, un peu bête, mais difficile à découvrir et lourde à porter.

HÉLICON. — Et qu’est-ce donc que cette vérité, Caïus ?

CALIGULA, détourné, sur un ton neutre. — Les hommes meurent et ils ne sont pas heureux.

HÉLICON, après un temps. — Allons, Caïus, c’est une vérité dont on s’arrange très bien. Regarde autour de toi. Ce n’est pas cela qui les empêche de déjeuner.

CALIGULA, avec un éclat soudain. — Alors, c’est que tout, autour de moi, est mensonge, et moi, je veux qu’on vive dans la vérité ! Et justement, j’ai les moyens de les faire vivre dans la vérité. Car je sais ce qui leur manque, Hélicon. Ils sont privés de la connaissance et il leur manque un professeur qui sache ce dont il parle.

HÉLICON. — Ne t’offense pas, Caïus, de ce que je vais te dire. Mais tu devrais d’abord te reposer.

CALIGULA, s’asseyant et avec douceur. — Cela n’est pas possible, Hélicon, cela ne sera plus jamais possible.

HÉLICON. — Et pourquoi donc ?

CALIGULA. — Si je dors, qui me donnera la lune ?

HÉLICON, après un silence. — Cela est vrai.

Caligula se lève avec un effort visible.

CALIGULA. — Ecoute, Hélicon. J’entends des pas et des bruits de voix. Garde le silence et oublie que tu viens de me voir.

HÉLICON. — J’ai compris.

Caligula se dirige vers la sortie. Il se retourne. 

CALIGULA. — Et s’il te plaît, aide-moi désormais.

HÉLICON. — Je n’ai pas de raison de ne pas le faire, Caïus, mais je sais peu de choses, et peu de choses m’intéressent. En quoi donc puis-je t’aider ?

CALIGULA. — A l’impossible.

HÉLICON. — Je ferai pour le mieux.

24/10/2023

j'aime beaucoup cette citation de Susan George

« c'est le contraire du stoïcisme, parce que le premier principe du manuel d'Epictète consiste à ʺdistinguer ce qui dépend de moi et ce qui ne dépend pas de moiʺ. Or moi, j'agis comme si tout dépendait de moi, ou j'essaye »

D'abords moi non plus je n'apprécie guère le stoïcisme   (qui d'ailleurs ressemble fort à la pensée « psychologiquement correcte » actuelle et au freudisme), et puis « agir comme si tout dépendait de soi » c'est fondamental à la morale. (et puis c'est en d'autre termes exactement la première loi de la raison pratique selon Kant). Par exemple la bonne façon de voter c'est d'agir comme si le résultat de l'élection dépendait de soi (sinon on ne va pas voter !  et si tout le monde fait pareil, la démocratie est foutue - et les européistes sont bien contents, et le grand capital, c'est ce qu'ils souhaitent : que les pauvres ne votent plus!), pareil pour le choix du vote, trop de gens s'abstiennent de voter pour le vrai parti de leur choix, car ils se disent « personne d'autre ne fera pareil, ça ne servira à rien", mais le résultat c'est que c'est une prophétie auto-réalisatrice ça crée un cercle vicieux, tandis que ….
pareil pour tout.

Et en fait quand on y pense bien c'est un principe universalisable : le scientifique, le rationaliste, agit comme si tout dépendait de lui dans sa méthode de raisonnement, etc. Et aussi et surtout en métaphysique. Le Pari de Pascal c'est ça aussi ! En effet celui qui parie, il sait très bien (puisque c'est un pari !) que son choix ne déterminera pas ce qui sera finalement réel, (vous pouvez croire tant que vous voulez au père Noël, ça ne le fera pas exister davantage), mais en choisissant, en pariant, il fait au fond comme si tout dépendait de lui.

tiens ! Saint-Exuoéry en a parlé :

https://ru-clip.com/video/CUUCdGmew-c/philosophie-et-litt...

dans une conférence philo (en vidéo) par une très jolie prof. sur "Pilote de guerre" de Saint-Exupéry une citation de celui-ci
"Chacun est seul responsable de tous. Je comprends enfin un des dogmes de la religion ... Chacun porte tous les péchés de tous les hommes"

(elle parle ensuite de "pourquoi pour sauver UN être humain il faut que des centaines d'autres être humains risquent leur vie" eh  oui ! et ça montre le caractère particulièrement criminel et pervers des évènements récents, car là par le seul cacul d'un ministre on a plongé volontairement dans la mort par Rivotril des milliers de vieillards. Et il y a le thème de Vincent Lambert bien sûr. Pas étonnant que certains parlent ici de satanisme, mais de toutes façons pas besoin de croire en Satan pour ça, Albert Camus dans "La Peste" parvient aux mêmes conclusions)

« Quand la nature condamne, le rôle de la médecine n’est pas d’exécuter la sentence mais d’essayer de commuer la peine ! » disait le Pr. Lejeune.

17/10/2023

l'avenir : un monde totalitaire policier et étouffant, auprès duquel les totalitarismes du XXème siècle apparaîtront comme d'innocentes plaisanteries d'enfants de chœur...

MAINTENANT vous voyez que j'avais raison ! (depuis trois décennies) .....

https://reseauinternational.net/la-censure-de-masse-sabat...        lisez l'article du lien qui précède sur ce qui s'abat sur nous en 202 Comme le montre le présent billet, déja plusieurs fois republié, ça fait plus d'une décennie que je dis ça !!!

Chine : des caméras devinent qui sont les passants dans la rue

La fiction rejoint la réalité : la reconnaissance faciale dans la rue permet de suivre la trace de quiconque, dans un pays disposant de 170 millions de caméras de surveillance. L’UPR ne veut pas de ce modèle anxiogène et liberticide pour la France. Source : Le Monde (28 septembre)

"L'empire du Bien triomphe, il devient urgent de le saboter"   (LOUIS PAUWELS)

une chose à faire : "lister tous les efforts que depuis 40 ans on nous a demandé de faire, toutes les contraintes que l’on nous a imposées, comme si cela ne coûtait rien :"
très juste ! et important !! et justement il est extrèmement lamentable que les gens ont depuis 30 ans tout « avalé » successivement accepté sans réagir.


Et je reviens sur un truc, que je trouvais déjà louche à l’époque, mais dont le but apparaît aintenant clair comme de l’eau de roche avec le recul et le contexte : la matraquage anti-tabac, dont on nous a rebattu les oreilles et les yeux, et ave lequelq on a esclavagisé, réduit les fumeurs à l’état de juifs chassés de partout et dévisagés d’un air méprisant par les « aryens » : c’etait une psy-op, un test pour voir si en jouant sur la PEUR, et le matraquage en blouse blanche (expérience de Milgram …) on allait pouvoir soumettre les gens, créer un nouveau « sous-homme » dans leur regards, leur impreigner oa CULPABILITE, l’obeissance et la soumission, la hantise, et les forcer à renoncer à une de leur habitudes SOCIALES les plus importantes, et accepter les rites humiliants et l’apartheid. Eh bien ils ont vu que ça marchait, alors maintenant ils foncent !
(la preuve que ceux qui ont tombés dans le panneau font partie de ceux dont Graham Greene disait qu’ « ils pavent l’enfer »)

Mais comme le dit l’auteur c’est un fait général, et chacune des acceptations lâches et passives en fait partie (celles des cookies par exemple !!!) et selon moi ça a commencé en 1978 avec les bornes « contrôlez-vous vous-mêmes » dans les gares. Réfléchissez !

 

 
Philippot n'a strictement rien à voir avec Zemmour ! Et ce n’est pas une opposition contrôlée (Asselineau l’est devenu …. je crois qu’on le fait chanter, et que les psychologue professionnels des Services Secrets se sont pencés sur son cas, détecté son EGO surdimensionné, et s’en sont servis pour déstabiliser l’UPR, et transforme FA en fausse opposition et en diviseur, il devrait avoir honte!)
Et il se confirme que Philippot, contrairement à ce que croient le beubeus, et que veut faire croire la propagande des journaputes du Régime, est un homme de GAUCHE, pas d’extrème-droite, en dépit de son passage, qu’il a cru intelligent, au FN, Preuves concrètes : dans son programme il prévoie la NATIONALISATION DES BANQUES, des assurances et des industries stratégiques, c’était le programme des communistes en 1945. plus le RIC !
dans cette vidéo 
il dit « il y a une lutte des clases là-dedans , vous avez bien compris la lutte des classes dans le covidisme » (oui j’ai bien compris ! c’est même central, c’est la première chose qu’on voit dès le début ! comme dans le fascisme 1.0 des années 20 et 30)

Dans cette présidentielle Philippot sera le SEUL CANDIDAT REEELLEMENT DE GAUCHE ! "le PS, comme disait Asselineau, quands il était mordant (...) c’est le gouvernement le plus d’extrème-droite que la France ai connu depuis 1944", le PFC n’est plus qu’un ramassis de bobos européistes, Mélenchon est trouble et pas fiable. Philippot visiblement comprend les choses concrètement et selon le bon sens marxiste ! oui, marxiste ! outre son profond humanisme français et Résistant !

12/10/2023

poésie et civilisation

Dans le récit de plusieurs chinois contemporains, ayant subis les persécutions la période dite "Révolution Culturelle"  Jung Chang, dans son autobiographie « Les cygnes sauvages », et d’autres encore je crois, racontent que à certains moments de leur vie pour se donner du courage ils récitaient (ou composaient aussi) les chef-d’œuvres de la poésie chinoise.
Heureux peuple dont la culture est vivante et chez qui la poésie est un élément culturel de tous les jours !
comme elle devrait être, normalement, partout ! (1)

Misérable France ! où ce n’est pas le cas et dont la culture n’est plus qu’un cadavre mort et où les adultes de maintenant considèrent comme de choses tout juste bonnes pour les enfants (!) toutes les domaines les plus élevés :
*la tendresse,
*le savoir,
*la poésie,
ne se réservant, comme choses « sérieuses », « adultes », que tout ce qui est le plus vil et le plus vulgaire !

 

et comme si ça ne suffisait pas il y a maintenant cette culture du « Il faut arriver à gérer ses émotions », de la part des psy péteux dans leur monde illusoire en carton pâte, ou des "managers" ubuesques, ou d’un référent pédagogique style formateur, d’un penseur du dimanche… Bref, d’un ressortissant de cette armée de sous-chefs « cools » pour un dressage « cool » mais qui est un esclavage qui ne laisse aucun répit !… Une colonisation psychologique qui va mettre des barbelés jusqu’aux sentiments les plus primaires, les plus naturels, les plus innocents… afin de propulser l’être vers le néant, pour le réduire au néant matérialiste et robotisé…

(1) or Laurens van der Post nous dit : « Art poetry and music are matters of survival. They are guardians and makers of the unbroken chain of what’s oldest and first in the human spirit. »
Donc, la France est un pays foutu, une culture qui a choisi de mourir ! et les gens avec bien sûr,  relisez la citation

« La culture n’est pas un luxe, c’est une nécessité. » (GAO Xingjian)

08/10/2023

LE COMPLOTISME EST UN HUMANISME

et la base d'une pensée scientifique et rationnelle, l'anti-complotisme est une maladie mentale, et surtout un outil de manipulation, une "psy-op" des comploteurs !

(et d'abord il faut, comme pour toute chose, connaître les origines historiques de l'usage qui est fait de ce terme ! dans ce film https://dissidencetv.fr/13/12/2020/sante/covid-19/vaccina...  à partir de 1H 45m 45s vous avez l'origine et la véritable nature de ce terme de "complotisme" dont on nous rebat les oreilles ! écoutez-bien, il faut toujours connaître l'histoire ! on ne l'étudie pas assez.)

Et bien sûr encore ce TRUC de manipulation de la masse par nos maîtres : Avant, tout ce qui menaçait leurs intérêts pervers et cyniques était qualifié de "communiste" et on faisait la CHASSE AUX COMMUNISTES "grande cause nationale" , maintenant les mêmes choses on les qualifie de "complotisme" !

En fait c'est exactement le même phénomène. Donc VIVE LE COMMUNISME !  VIVE LE COMPLOTISME ! VIVE LE RATIONALISME (C'est d'ailleurs  la même chose !)

 


Le Génie du Complotisme
 Guillaume de Rouville.
Le complotisme présente cinq caractéristiques majeures qui le distinguent de l’anti-complotisme et qui résument tout son génie. Ses caractéristiques, que nous passerons rapidement en revue (partie 1), sont autant d’avantages sur l’anti-complotisme qui nous feront comprendre, par contraste, les limites épistémologiques de ce dernier, ses motivations profondes et ses soubassements idéologiques (partie 2).
Notre conclusion sera double :
1. Seul le complotisme permet d’appréhender la nature du pouvoir. L’anti-complotisme est une émanation du pouvoir dont la vocation est de le protéger et de lui permettre d’échapper à la compréhension de ceux sur lesquels ce pouvoir s’exerce. 
2. On ne dialogue pas avec le pouvoir : on s’y soumet ou on le combat. Il s’ensuit, naturellement, que les complotistes n’ont plus à chercher les faveurs des anti-complotistes ou de leurs maîtres, ni à s’excuser de penser hors des sentiers battus ou d’émettre des hypothèses de travail audacieuses. Il est temps pour les complotistes de se montrer offensifs et face à l’idéologie du chaos que le pouvoir incarne et projette sur le monde à travers ses relais médiatiques et institutionnels, de présenter le complotisme comme un remède aux pulsions mortifères de l’hydre mondialiste. Le complotisme est un humanisme. 
Partie 1
Les 5 avantages du complotisme
1.    Avantage Méthodologique
Tandis que l’anti-complotiste se contente la plupart du temps d’énoncer la thèse (officielle s’entend), le complotiste est contraint de travailler, d’approfondir à la fois la thèse et l’antithèse. Ainsi, le complotiste a une connaissance fine de la version officielle et des arguments de la version opposée. Cela le contraint à chercher et à ausculter plus profondément les faits, à les présenter dans un ordre cohérent et à les soumettre à un examen critique poussé.

Tandis que l’anti-complotiste n’a qu’à répéter la thèse officielle sans avoir besoin de la justifier, le complotiste est obligé de chercher des preuves solides à l’appui de ses propos et finit par acquérir une connaissance bien plus large que celle de l’anti-complotiste qui a borné son champ d’investigation parce qu’il lui suffit de citer une source « prestigieuse » pour gagner la bataille du pouvoir médiatique et la considération de ses pairs.
Que ce soit, par exemple, pour le 11 Septembre ou le réchauffement climatique anthropique, seuls les complotistes appliquent le principe du contradictoire, principe fondamental à la fois pour les journalistes, les historiens et les juges qui devraient examiner méthodiquement et en profondeur les thèses en présence avant de se prononcer sur le fond de l’affaire dont ils s’occupent. L’anti-complotiste ne voit pas l’absurdité de sa position qui consiste à penser que la version officielle est toujours la bonne (comme la raison du plus fort). Ce qui revient à interdire toute alternative, toute contradiction, toute possibilité de remettre en cause la version des faits une fois qu’elle a été estampillée par le sceau officiel et crachée sur les ondes des médias dominants.
L’anti-complotiste confine ainsi le réel dans une forme figée pour les siècles des siècles. Il se comporte comme le gardien d’une prison où les faits récalcitrants sont tenus en joug et passés à tabac, loin du regard des foules, tant que leur volonté d’indépendance et de franchise n’a pas été brisée. Il rééduque et torture les faits qui ne suivent pas ses mots d’ordre ou son catéchisme et ne les relâche dans l’arène publique qu’une fois qu’ils ont perdu leur prétention à dire leur part de vérité. Le complotiste libère les faits cadenassés qui retrouvent tout leur sens caché et leur autonomie, il les rend à l’air libre où se meuvent à leur aise la vérité et le réel.
Le complotiste n’ayant pas droit aux arguments d’autorité (par exemple, l’invocation d’un prétendu « consensus scientifique » des experts sur le réchauffement climatique anthropique) et étant soumis au feu permanent des critiques, il lui faut devenir un orfèvre dans son domaine pour pouvoir contrer un adversaire qui se contente de répéter un message univoque et balaie d’un revers de mains dédaigneux les arguments qu’on lui adresse.
Enfin, le complotiste cherche à donner du sens à ce qui, apparemment, n’en a pas toujours. Il ne se contente pas de laisser l’inexplicable inexpliqué. Si trois immeubles s’effondrent sur eux-mêmes alors que seulement deux ont été percutés par des avions, le complotiste essaie de comprendre ce phénomène étrange en convoquant des causes humaines et physiques qui sont dans l’ordre naturel des choses. Là où l’anti-complotiste, à court d’idée et d’arguments, finira pas se contenter de hausser les épaules, le complotiste, ira chercher des causes humaines (des volontés) si les causes physiques (mécanique des corps et mécanique des fluides) ne sont pas suffisantes.
De son côté, l’anti-complotiste, n’hésitera pas à réinventer les lois de la physique, juste pour l’occasion, afin de s’interdire de penser au-delà de la thèse officielle. Car, s’il devait s’aventurer sur le terrain glissant d’une hypothèse alternative, cela pourrait le conduire à devoir désigner un coupable inattendu, à découvrir un acte humain, voire une entente entre plusieurs personnes conscientes de leurs actes. Ainsi, pour expliquer l’absence de débris d’avion sur le Pentagone ou sur le site de Pennsylvanie en septembre 2001, l’anti-complotiste invoquera la possibilité que les avions se soient gazéifiés (thèse défendue par le très « prestigieux » journal Le Monde), ajoutant de la sorte quelques règles nouvelles aux lois de la thermodynamique. Il ne lui viendrait jamais à l’esprit qu’un mensonge volontaire se cache peut-être derrière l’inexplicable. Dans le même ordre d’idée il en vient à voir, dans les guerres menées par les démocraties occidentales, des événements naturels que ne guident aucune pensée maléfique ni volonté humaine.
Pour résumer les avantages méthodologiques de son approche, on peut dire que le complotiste travaille plus que l’anti-complotiste, connaît mieux son sujet et les arguments des parties en présence, ne se repose pas sur des arguments d’autorité pour avancer ses idées et accumule les éléments de preuve pour justifier ses propos et donner du sens aux événements et aux faits qui se déroulent devant lui.

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Ce sont là des raisons qui expliquent que les anti-complotistes ne répondent presque jamais positivement aux offres de dialogue que leur font les complotistes : ils savent, en effet, qu’ils finiront généralement déboités par les arguments de leurs contradicteurs ! Pour justifier un tel refus, ils rangent volontiers leurs adversaires sous l’appellation générique et bien commode du « camp de la haine », mettant ainsi entre eux et les complotistes une sorte de cordon sanitaire émotionnel qu’il serait difficile et dangereux pour tout un chacun de rompre impunément. Cette technique de la rhétorique de disqualification utilisée à l’encontre du complotiste, à la quelle vient généralement s’ajouter des menaces et des injures, est le signe que, sur le terrain de la méthode, le complotiste vient bousculer son adversaire dans ses derniers retranchements, lorsque celui-ci est au bord de son propre gouffre intellectuel.

Bref on retrouve chez eux l'attitude de Henri Wallon, qui au milieu du XIXè siècle disait : "un "ROUGE" n'est pas un homme, c'est un "rouge ! ce n'est pas un être doué de raison comme vous et moi, mais un être dégénéré et déchu" ....

Oui ! oui ! anticomplotisme et anticommunisme même combat !


2.    Avantage Psychologique
Le complotiste n’a ni d’apriori ni de tabou. L’impensable est pour lui toujours pensable. Si le complotiste navigue ainsi volontiers, par méthode et par prudence, dans l’air du soupçon et ne prête sa confiance à quiconque, il traite tout le monde à la même enseigne, les puissants comme les faibles ; il les écoute avec le même degré d’attention, sans chercher à plaire ou à déplaire à leurs susceptibilités respectives. Il veut comprendre et non pas justifier.
De son côté, l’anti-complotiste est enfermé dans le dogme de l’infaillibilité démocratique, ce qui lui interdit automatiquement tout un champ des possibles. Il est psychologiquement incapable d’imaginer que nos dirigeants démocrates puissent faire le mal intentionnellement. C’est bien cet apriori qui, aux yeux des complotistes, rend les anti-complotistes aveugles à la compréhension d’une part importante de notre monde. Et pour le dire plus clairement, les anti-complotistes sont dans l’incapacité de comprendre la nature et les ressorts du pouvoir (nous y reviendrons). Ils ne voient pas que le pouvoir, ontologiquement, est une physique de la contrainte et une métaphysique de la domination.
L’anti-complotiste est tellement engoncé dans cette opinion, qui est pour lui une sorte d’article de foi, qu’il ne pourra jamais concevoir que nos dirigeants puissent, par exemple, en toute connaissance de cause : (1) empêcher l’utilisation d’un remède peu couteux et efficace contre un virus, cousin de celui de la grippe, afin de favoriser une solution imaginaire et hypothétique (le vaccin) lors d’une pandémie annoncée et voulue, pandémie qui n’est pas tant le résultat d’une incompétence généralisée de nos commis en charge des affaires de l’État, que d’un chaos organisé par ces derniers comme un jeu de rôle mondialiste planétaire ; (2) s’allier avec des mouvances terroristes islamistes pour faire tomber des régimes laïques en Libye et en Syrie en ayant recours à des actes de terrorisme à grande échelle et en organisant le massacre et le gazage de populations entières tout en accusant le camp adverse d’en être responsable. De telles conclusions, iraient au-delà de ses forces psychologiques et l’amèneraient, sans doute, au bord de la crise de nerf et de l’hystérie.
Ainsi, pour l’anti-complotiste, la démocratie occidentale ne peut commettre de crime puisqu’elle ne peut avoir de mauvaises intentions : elle ne tue que par dommages collatéraux, jamais volontairement. Par conséquent, on ne peut lui imputer des crimes de masse, seulement des erreurs circonstancielles et contextuelles qui ont eu de tragiques conséquences humaines inattendues. La culpabilité de la démocratie occidentale ne dépasse jamais celle de l’élève qui aurait pu mieux faire.
Les anti-complotistes ne voient et n’admettent de complots que chez les autres ! terroristes musulmans ou les Russes, les Iraniens ou les Chinois, quand cela arrange leurs affaires et conforte leurs représentations du monde binaire (« eux » contre « nous »). Là, en général, aucune preuve tangible n’est exigée ! il suffit à l’accusation de désigner les coupables pour emporter la conviction de la foule conformiste des bourgeois cultivés qui ne craignent rien tant que d’émettre des hypothèses et, encore plus, d’avancer des théories qui sortiraient de la vulgate publiée régulièrement dans les gazettes officielles (Le Monde, The Guardian ou le New York Times).
3.    Avantage Conceptuel
Le complotiste offre des outils intellectuels pour appréhender le monde. Il propose des termes (qu’il a ou non construits lui-même) pour désigner des événements, des phénomènes difficiles à cerner ou à concevoir : Mondialisme, Atlantisme, Empire, Opposition Contrôlée, État Profond, Satanisme, Nouvel Ordre Mondial, Injonctions Paradoxales, Dogme de l’Infaillibilité Démocratique, Crimes Médiatiques, Rhétorique de Disqualification, sont autant de concepts outils permettant de sortir de l’hébétude dans laquelle le complexe médiatico-industriel progressiste nous maintient, afin de mieux cerner et comprendre le monde dans lequel nous évoluons.
Le complotiste apprécie la clarté d’un concept là où l’anti-complotiste préfère la confusion, l’absence de sens et de signification, ou le sens inversé de l’absurde : non pas le mystère qui pourrait nous ouvrir la porte d’une transcendance porteuse d’espoir, mais le vide comme explication universelle. L’anti-complotiste ne nous laisse qu’un champ de bataille sémantique chaotique où le néant et l’ambiguïté sont maîtres du réel et de nos neurones.
Empêcher la compréhension du réel et l’émergence des concepts explicatifs est sans doute l’un des objectifs du pouvoir pour demeurer « le pouvoir » et persévérer dans son être. Son crédo est de rester insaisissable, « im-pensable » et impensé, pour n’être point combattu. Un totalitarisme dont on ignorerait l’oppression ne susciterait sans doute pas d’opposition autre que contrôlée. C’est tout le génie de la démocratie représentative, instrument privilégié de l’oligarchie occidentale, que de nous empêcher d’établir clairement des liens de causalité entre des décisions humaines de quelques-uns et la longue chaîne des malheurs des peuples.
4.    Avantage Moral
Le complotiste a un avantage moral immense par rapport à l’anti-complotiste parce qu’il doit montrer plus de courage et affronter les difficiles conséquences sociales de ses propos. Tandis que l’anti-complotiste, en bon conformiste adorateur de la normalité sociale, ne fait que relayer et répéter les paroles de l’évangile médiatico-politique qui lui est servi quotidiennement, le complotiste sait qu’il aura contre lui les puissants et la masse des bourgeois cultivés qui peuplent les cercles mondains des multiples socialités auxquelles la vie nous invite tous à participer.
Le complotiste prend constamment des risques dans sa vie professionnelle et privée pour simplement émettre des doutes et proposer des explications alternatives : on ne compte plus le nombre de complotistes débarqués de leur poste pour avoir avancé quelques hypothèses dérangeantes sur le 11 Septembre, l’implication des démocraties occidentales dans le terrorisme islamique ou la responsabilité du CO2 dans le réchauffement climatique anthropique. Si le courage ne donne pas raison, il a une valeur intrinsèque qui distingue nettement le complotiste du bourgeois cultivé conformiste (ou acheté ....)  qui fait office d’adversaire.
Le complotiste ose nommer le mal, il ose désigner les puissants et les puissances qui sont derrière ces manifestations humaines : il ne se contente pas, comme les professionnels de la révolte, d’attaquer des abstractions (par exemple, le capitalisme), il confronte des pouvoirs concrets (dont la somme des liens et des alliances fait et révèle le pouvoir dans toute sa puissance et ses nuisances) et nomme les responsables. Pour le 11 Septembre, il désignera volontiers le petit groupe de néoconservateurs comme responsables ou au moins complices des attentats ; il en fera le portrait détaillé en égrenant leur CV et leurs méfaits avérés. Concernant l’hystérie sanitaire mondialiste déclenchée au printemps 2020, il n’hésitera pas à pointer du doigt le rôle de Bill Gates et des dirigeants de l’OMS, de certaines firmes pharmaceutiques (comme Gilead)

(Maximisation du profit, lutte des classes, bref le B. A. ba du marxisme, c'est à dire du bon sens) ou de certains médias (comme BFMTV en France) dans le déclenchement de cette expérience orwellienne à l’échelle mondiale.
L’anti-complotiste, lorsqu’il dénonce, est plutôt dans la délation puisqu’il désigne à la vindicte médiatique et judiciaire, à la censure et aux poursuites pénales, les lanceurs d’alertes qui n’ont en général que leur plume pour se défendre. L’anti-complotiste utilise volontiers la menace et l’intimidation pour faire taire ceux qui s’aventurent hors des sentiers battus et rebattus : la rhétorique de disqualification et l’hystérie émotionnelle sont ses outils préférés.
Ainsi, tandis que le complotiste dénonce les puissants et se met volontairement dans leur ligne de mire, l’anti-complotiste établi des listes d’opposants isolés à exécuter en place publique sans leur donner la parole. Il y a du Cyrano de Bergerac chez le complotiste : s’il n’a, bien évidemment, pas toujours raison, il avance empanaché d’indépendance et de franchise et revendique le droit de se tromper.
Les complotistes sont à la fois une dissidence et une résistance. Peut-être même les seuls à s’opposer aux expériences orwelliennes que nos démocraties oligarchiques nous imposent de temps à autres pour éprouver leur puissance : hystérie sanitaire, hystérie réchauffiste, hystérie anti-Trump (qui n’est que le syndrome d’une hystérie contre les souverainistes et les partisans de la diversité des nations), etc. Comme nous le verrons en :

partie 2, l’anti-complotisme est une hystérie.

Ce qui frappe, quand on fait le bilan du complotisme sur les deux dernières décennies, c’est l’incroyable capacité de celui-ci à avoir raison, à prédire ce qui va advenir. En analysant avec sérieux et pertinence le présent et le passé récent, le complotisme est capable de mieux appréhender les grandes orientations qui se dessinent devant nous que tous les experts réunis en conclaves officiels.
Sur le 11 septembre, sur la guerre en Irak et en Syrie, sur le réchauffement climatique anthropique, sur le Russiagate et l’affaire ukrainienne aux États-Unis, sur le Covid-19 et sur tant d’autres sujets scientifiques ou géopolitiques, le complotisme engrange les victoires les unes après les autres. Plus le temps passe plus les faits s'accumulent plus on s'aperçoit que c'étaient les "complotistes"qui avaient raison !
La démonstration de la force prédictive de la pensée complotiste a été particulièrement spectaculaire lors de l’épisode de totalitarisme sanitaire et sécuritaire que nous avons tous vécus au printemps 2020. Aux modèles prédictifs délirants (souvent informatiques) invoqués par les comités « scientifiques » mis en place un peu partout en Occident lors de cette drôle de crise sanitaire qui prévoyaient l’apocalypse tous les matins du monde, les complotistes ont opposé le bon sens, l’analyse cartésienne, le raisonnement et le sang-froid, et ont ainsi pu identifier rapidement des solutions efficaces pourtant décriées par tous les médias dominants tombés volontairement dans une hystérie destinée à faire perdre l’entendement collectif. Le complotiste est parvenu à s’extraire du bruit et de la fureur de l’actualité brouillonne et a eu raison sur toute la ligne : de l’analyse du problème à la proposition d’un remède. N’ayant d’apriori à l’égard de personne, le complotiste a écouté toutes les parties en présence et à pu saisir au vol le réel avant qu’il ne soit confisqué et défiguré par les tortionnaires de l’information qui lui ont substitué la peur comme seul vecteur de la représentation du monde. Nous y reviendrons en détail dans la deuxième partie ou dans un article séparé.
Depuis le début du conflit en Syrie, seuls les complotistes savaient que le président Bachar el-Assad était soutenu par la grande majorité de son peuple et n’était pas au bord de la déroute, bien que tous les journaux ayant pignon sur rue en Occident annonçaient à longueur de colonnes la fin imminente du « régime sanguinaire ».  Concernant le réchauffement climatique, regardez les conférences de Istvan Marko ! scientifique de l'ULB, il a tous les faits et les graphiques c'est lumineux !
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Le complotisme est la grande aventure humaine, intellectuelle et politique de notre siècle. Si nous voulons que l’homme perdure dans ses fondamentaux humains, loin des promesses trans-humaniste et technicistes qu’on veut nous imposer sans débat, il est temps d’affirmer ce que nous sommes : un humanisme.

Marie-José MONEGER 
30 décembre 2020 9 h 50 min 
Le complotiste est un être cartésien dont la curiosité est insatiable, qui lit et observe beaucoup, qui réfléchit également beaucoup, qui n’hésite pas à se remettre en question et à avouer qu’il s’est trompé …!
Le complotiste a oublié d’être bête,
Le complotiste est un HUMANISTE … !!!
 
Martha 
30 décembre 2020 13 h 09 min 
Répondre à  Marie-José MONEGER 
C’est exactement cela. Quand il connait toute la réalité du Monde dans lequel il vit, tous ses rouages, toute l’horreur semée par les plus puissants, le complotiste devient beaucoup plus fort intérieurement et devient, par conséquence, plus humain.
C’est bien la raison pour laquelle, tout est fait pour le faire taire et cacher ses messages.

C’est aussi le B à BA de la philosophie; le doute , la réflexion , le refus du principe d’autorité , de la croyance irréfléchie et naïve. Bref de l’opinion non examinée ;
 
Duc1950 
30 décembre 2020 10 h 47 min 
Complotisme est un mot « inventé » par les comploteurs pour « discréditer » les gens qui dénoncent leurs magouilles !
 
Thierry Theller 
30 décembre 2020 12 h 41 min 
Tout à fait. À l’instar du régime soviétique qui, pour faire tenir à carreau ses détracteurs, leur a collé sur le dos le terme infamant de fasciste.
Les mondialistes, eux, notamment la CIA, en ont fait tout autant avec la qualification de :  » Complotiste « . Cette qualification, aujourd’hui cuite et recuite, se retrouve servie à la moindre contestation de l’illégitimité du régime totalitaire, imposé aux populations du monde.

daruma 
30 décembre 2020 17 h 03 min 
Excellent article. Je me permets d’apporter ma petite contribution.
Les anti-complotistes semblent ignorer tout de l’ingénierie sociale et de la fabrication du consentement, ces instruments de contrôle et de manipulation des masses. De manière générale, ils ont un problème avec la causalité : pour eux, une intention malveillante et concertée ne saurait expliquer la complexité du monde dans lequel nous vivons. C’est qu’ils s’imaginent que les comploteurs maîtrisent tous les effets qui résultent de leurs actions.  [ce qui évidemment est faux ! Innombrables sont les conspirations qui ont échouées o ot été détournées, exemple la Révolution de 1830, c’était un comlotd’étudiants des grandes écoles, qui voulaient remplacer Charles X par un régime républicain, et ont tout savamment préparé, mais unechse à l’aqeleles ils n’avaient pas pensé, c’est la grande peur des possédants devant la perspective d’une république, et les ambitions de Louis-Philippe d’Orléans fils de son père (comploteur lui aussi, mais qui n’avait pas réussi, puisqu’il finit guillotiné) qui à ramassé le mise, ce qui fait que la République des comploteurs leur est passé sous le nez!] 
Si vous discutez avec un anti-complotiste (ouvert à la discussion et sans animosité [ça existe?!] ), il finira par aboutir à cet argument qui consiste à dire que c’est trop incroyable pour être vrai. Tout brillant et intelligent qu’il puisse être, il part avec deux handicaps majeurs : il ignore sa propre idéologie et ses propres biais cognitifs, voyant la paille dans l’œil du complotiste mais ne sachant pas qu’il a une poutre dans le sien. Et surtout, il bute sur l’obstacle affectif qui lui fait considérer comme invraisemblable et inconcevable ce qu’il ne veut surtout pas voir ni concevoir.
Il y a aussi le fait d’essentialiser le complotisme : cela consiste à dire que puisqu’il y a eu par le passé des théories du complot qui se sont révélées fausses, cela veut dire que toutes les théories du complot sont fausses. Elles sont fausses par définition, par la magie d’une définition, la fausseté étant contenue dans la définition même du complotisme. Le complotiste est un suspect jugé d’emblée coupable d’avoir tort, il ne bénéficie d’aucune présomption d’innocence.
Il suffit ensuite d’étendre l’anathème « complotiste » à tous ceux qui cherchent la vérité qui se cache derrière les mensonges et les manipulations des entités détentrices de pouvoir. C’est bien pratique quand on veut faire taire ceux qui dérangent. C’est l’arnaque suprême des anti-complotistes,  laquelle consiste à ranger dans la rubrique « complotisme » toute tentative de remise en question des versions officielles, et donc à combattre toute pensée dissidente.

 Le complotiste est celui qui révèle la vérité des faits, qui met à jour le complot par l’analyse rationnelle des faits. Les complotistes sont ainsi qualifiés par les comploteurs pour faire croire qu’il n’y aucun complot. On pourrait même penser qu’il n’y a pas de complot, puisqu’ils ne se cachent même plus : ils dévoilent leur projet. Sans doute ne disent-ils pas tout, et qu’il y a bien d’autres surprises à découvrir.
https://charlesandrelegrand.over-blog.com/

 

30/09/2023

Sartre : Le Diable et le Bon Dieu

Commentaires THEATRE (ancien, forcément, il n'y a plus de théatres maintenant, tout est interdit ... les gens ont été d'abords décérébrés et privés de culture, et de réflexion, puis réduits à l'esclavage total)

 

10/10/2001 (…) Vu au théatre d'Arras (qui existait alors, maintenant c'est fini)  Le Diable et le Bon Dieu de JP Sartre dans la mise en scène de Daniel Mesguich. C’est un pur chef d’œuvre du XXème siècle, et la mise en scène est excellente (sauf pour le 1ertableau) (1. ) Avec son immense densité et l’ambiguïté qui fait les chefs-d’œuvre, c’est vraiment à mettre dans les classiques, avec chaque réplique on pourrait fournir un sujet de dissertation !

C’est une pièce marxiste, et existentialiste, et psychanalytique. Il y a même des accents de la Jeanne d’Arc de Péguy. Et on pourrait dire aussi que c’est une pièce Janséniste.

On y voit même déjà le cynisme du stalinisme, avec l’ambigu et machiavélique Nasty, qui apparaît pourtant comme le porte-parole de Sartre.

Les personnages sont admirablement campés, etc.

Et la scène qui visuellement semble sortir de Jérome Bosch, et que Mesguich a fait traverser et retraverser par un personnage silencieux qui est en droite ligne le fameux « Colporteur » de Jérome Bosch.

Plus tard une réplique de Hilda « je suis du parti des hommes, je ne te quitte pas » avec tout ce qui y est en jeu m’a tout de suite rappelé d’autres choses ….., et fait naître cette phrase :

Je suis du parti d’Eliott  et ? ? (ne le trahirai pas à prier Dieu) c’est tout à fait ça.

  1. (1) et puis il y a le dernier tableau, que J-P Sartre a sans doute rajouté pour faire plaisir à ses copains du PC ! Là ce n’est plus que du Bertholt Brecht ! que du Réalisme Socialiste, qu’un receuil de textes choisis pour la ligue de l’Union Rationaliste !

(et d’ailleurs le scénario de cette fin semble calculée à la manière de celle d’un film américain [c’est tout dire !] La pièce aurait du finir avec la fin de l’avant-dernier tableau.)

18/09/2023

les chiffres sont trafiqués, les médecins et hopitaux sont payés pour inscrire "covid" comme cause de la mort, quand aux test PCR ... n'en parlons pas !

Et le but est fasciste (le fascisme est une tendance psychopathologique issue de l'"esprit de la modernité, quand il n'y a rien qui le bride" comme l'a découvert Zygmunt Bauman, et (comme l'était le Fascisme 1.0 des années 30 lui aussi) c'est l'appetit de profit du Grand Capital, leur "busines-plan" cynique et criminel. ils ont toujours été comme ça, lisez Marx ! ils ont d'abord réduit les forces travailleuse, le peuple, à l'ESCLAVAGE, plus tard au SERVAGE, plus tard encore (du temps de Marx lui-même) à l'état du PROLETARIAT (époque où ont commencé à se former les phantasmes fascistes dans l'organisation des ateliers, lisez les témoins de l'époque !), mais maintenant avec les nouvelles technique ce sera un nouvel esclavage, grâce au "smart-dusts" aux téléphones portables, aux caméras de vidéo-surveillance, au "passeport sanitaire", et ça n'aura pas de limite dans l'horreur !


(et pourquoi a-t-on mis Fiorile, ce héros, ce martyr, en prison ? - juste après qu'il ai diffusé cette vidéo. Si ce n'est parce qu'ils l'ont jugé dangereux, et pourquoi il est dangereux ? parce qu'il a dit la vérité !)

un autre qui a compris ! ea finance dérrière cette crise, bien sûr ! pareil que le fascisme 1.0 (relisez le prix Goncourt "l'Ordre du  Jour" !) et comme en 1988 le 1er mai est le jour où tout a baculé

https://ruclip.com/video/d-yUiDJ5hc0/1er-mai-le-jour-du-g...