01/09/2022
LGBT et civilisation occidentale actuelle - le POURQUOI
voilà l'explication :
le LGBT est devenu un "pilier" de la civilisation occidentale actuelle en ce sens : la civilisation occidentale a grandie fondée sur la notion de liberté, et de liberté individuelle.
Or les phantasmes administro-gouvernementaux (ne pas oublier la grande découverte de Zygmunt Bauman : le nazisme est causé par l'esprit de la modernité, une fois qu'il suit son développement sans que rien ne l'arrête) mènent à une hubris pathologique de totalitarisme (voyez Klaus Schwab, etc), et le capitalisme tout-puissant est incompatible avec la liberté des êtres humains ! alors, maintenant ils tournent le dos à toutes les libertés ! mais le culte de la liberté est la sève de leur culture, que faire ? il ne reste plus que la "liberté" sexuelle (elle-même très relative vu la chape de plomb et la paranoïa judiciaire, répressive et culpabilisatrice puritaine du féminisme !), de plus le LGBT permettra de faire chuter en flèche la natalité, et d'enfermer ce qu'il en restera dans un "marché" capitalistique juteux ! et la possibilité extrême de NORMALISER les êtres qui seront produits. C'est pourquoi dans son pourrissement anti-humaniste la civilisation occidentale fonce dans le LGBT.
Publié dans les paranoïas ayatollesques, libertés, Lutte des classes, morale, Philosophie, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
12/08/2022
ailleurs
ailleurs, c’est bien joli, mais une fois qu’on y est ça devient ici. C’est une bien triste vérité, et bien ennuyeuse ; une fois qu’on a l’a comprise, il ‘y a plus de bonheur possible
en fait c'est pire que ça :
Gibran dit : « La source secrète de votre âme doit jaillir et couler en chuchotant vers la mer »
et après ?
Saint-Exupéry a dit : « Seule compte la démarche. Car c'est elle qui dure et non le but qui n'est qu'illusion du voyageur »
ce qui est une bien triste vérité…
je ne sais pas si vous vous en rendez compte mais on en revient alors en fait au néant total de tout et de toute éternité.
et comme j’ai dit moi-même ; « ailleurs, c’est bien joli, mais une fois qu’on y est ça devient ici. C’est une bien triste vérité, et bien ennuyeuse ; une fois qu’on a l’a comprise, il ‘y a plus de bonheur possible »
Bon, autre problème, ce matin 13 août 2022 subitement le site internet "Page Gaulliste de réinformation" - Les médias nous manipulent et nous mentent, sachons trier le bon grain de l ivraie, qui depuis quelques semaines subissait une incroyable CENSURE de la part des Gafams, car tout à coup (ce n'était pas du tout le cas avant on le trouvait à chaque phrase présente comme tout autre site dans l'usage normal des moteur de recherche) il n'était plus possible de le trouver quand on le cherchait par google !!!
mais donc existait toujours, sur wordpress. a tout à coup en une seconde disparu !!!! Et remplacé par une page d'annonce en ANGLAIS (!!!!) disant que les auteurs du blog l'avaient effacé (alors que jusqu'à la soirée précédente la dame qui s'en occupe toute seule et s'appelle ANNE Schubert, 65 ans, le remplissait de billets, souvent véhéments et révoltés, on sentait, je venais JUSTEMENT de lui envoyer un commentaire où je disais qu'elle me faisait penser à la phrase du Christ dans le Sermon sur la Montagne "heureux ceux qui ont faim et soif de la justice" et plus encore à une citation de Ernesto Guevara, dit Che Guevara "si tu tremble d'indignation devant chaque injustice alors tu es mon camarade".
Et la veille elle avait dit que ses parents l'avaient prénommée Anne en hommage à la fille trisomique du Général De Gaulle, elle avait publié deux billets très critiques envers Macron et Brichel la prétendue "première dame" si différente de "Tante Yvonne" !! Je lui avais alors envoyé un commentaire où je parlais entre autres de la femme de mon oncle maternel, (née Marie-Louise Leveau) qui avait été résistante, torturée, décorée de la Légion d'Honneur, avait résidé un temps en Tunisie avec son mari militaire et deux fois évadé, et que là elle avait été employée pour s'occuper de Anne de Gaulle.
bref, son site et les innombrables billets tous plus dénonciateurs, interessants humanistes importants les uns que les autres ! et tous les commentaires qui y avaient été déposés (entre autres les miens !!!) ANEANTIS en une seconde !!!!.....
J'ai alors cherché sur internet et ai découvert qu'elle était un des auteurs intervenant sur le site (pas très ragoûtant à mes yeux, car raciste islamophobe et passablement fanatique, passons !) "Riposte Laïque, et plusieurs '(mais pas tous, loin de là !!!) de ses articles de sa "page gaulliste de réinformation" s'y retrouvaient.
Et CE soir, du Même jour donc ! je m'aperçois que le site "riposte laïque" a lui aussi disparu !!!
ça cache quoi tout ça ??????
Est-elle encore en vie ?? ou l'a-t-on "suicidé", s'est-elle tout a coup trouvée en moto face à un camion opportun !?
22/07/2022
qui se sent morveux il se mouche - dit la sagesse des nations
pourquoi un tel matraquage, qui tourne à l'obsession, de la part des médias des 9 milliardaires (un autre proverbe de bon sens dit "qui paye commande", tous ces médias ne sont en rien libres, ni honnêtes, leurs "collaborateurs" - terme NOVLANGUE pour désigner leurs salariés, bref ou bien putes ou bien chômeurs ! -
Pour conclure, on aurait envie de dire à la classe dirigeante : “laissez-les prescrire, laissez-les filmer, laissez-nous écrire, laissez-nous travailler, laissez-nous penser, laissez-nous ... tranquilles.”
"Il ne faut pas se rassurer en pensant que les barbares sont encore loin de nous ; car s'il y a des peuples qui se laissent arracher des mains la lumière, il y en a d'autres qui l'étouffent eux-mêmes sous leurs pieds." Alexis de Tocqueville
20/07/2022
honte à ceux qui ferment les portes des églises !
La petite chapelle
Encore quelques pas avant de l’apercevoir, diaprée par les derniers rayons du soleil couchant, tranquillement posée sur son tertre ; encore quelques pas car l’oeil attend ce petit clocher sans insolence, ces voûtes assombries par les années.
Encore un pas pour atteindre la porte massive, puis en pousser le premier battant, entrer, attendre un peu afin que les yeux s’apprivoisent, effleurer l’eau bénite. Marcher un peu, doucement, sur les dalles de pierre, écouter les bruits accentués qui résonnent, s’imprégner de la lumière juste suggérée, comme en sourdine.
Dans la chapelle, on ne va nulle part, est là ; on ne visite pas, on s’arrête sans cesse, c’est une forme de respect du lieu, c’est une manière d’essayer de s’impliquer dans la dévotion car il est impossible, ici, de ne pas ressentir. Le temps, l’histoire , et un chant de mystère sont mêlés, les statues ne sont pas parfaitement immobiles, les pensées viennent chercher l’esprit et le visiteur chemine devant le mur de ses insuffisances, à deux doigts parfois de franchir le seuil de la compréhension
Le silence est l’ombre, la clarté vacillante des bougies et des cierges sont des murmures, des serments ou des espérances. Toutes les mains qui ont allumé ces flammes ont éclairé toute la paix, et toute la souffrance du monde, les yeux qui les ont regardées y ont vu l’immensité, les coeurs qui les ont accompagnées ont prononcé tous les mots du monde. Au pied de cet autel aux mille flammes, on entre dans le creuset des jours mais on ne peut appréhender l’énergie – infinie – posée là, devant soi, cette petite part de l’incompréhensible restituée sans en avoir la conscience, par la ferveur et l’amour.
Le silence est l’ombre parce que les mots sont partout, tus ou chuchotés, ils ont été mais ils demeurent, ils sont posés sur la lumière, comme autant de fleurs sur le désespoir, autant d’offrandes sur la béatitude. Le coeur s’est livré, ici, sans artifices, avec magnificence ou, parfois, avec la naïveté d’une amertume coupable qui trahit la grandeur d’une prière.
Autour des statues ruissellent d’autres mots, il est difficile de rester insensible à leur omniprésence parfois douloureuse, parfois sereine. Les pensées qui sont nées ici sont un encens, le parfum de l’irréel se pose doucement sur vous, vous comprenez que tout est possible. Il y a des scintillements qui vous envahissent, des images fugitives et incomplètes accompagnées de quelques sons lointains, comme étouffés, convulsifs, des clameurs, des cris de haine ou de joie. Vous comprenez l’intemporalité, vous admettez l’émergence, mais vous ne saurez pas, car c’est cela qui est inutile.
Si vous êtes croyant, vous délivrerez vos mots selon les besoins ou l’inclination du moment. C’est parfois difficile, c’est parfois un soulagement, c’est toujours essentiel. Si vous ne faites pas partie des croyants, essayez de porter votre esprit au-delà de l’esthétique ou de la beauté, tentez d’identifier ce qui perturbe une apparente tranquillité, essayez de na pas être intelligent mais ouvert, réceptif.
La chapelle n’est pas un temple, c’est un havre ; on emporte en sortant ce que l’on y a apporté, mais transformé, parfois transfiguré. Ce n’est pas un lieu où l’on vient quémander, c’est un lieu où l’on vient témoigner, affirmer, douter. Ce n’est pas un lieu où l’on va, c’est un lieu où on revient en oubliant les questions, pour croiser le fer avec la raison – sinistre – pour se plonger dans l’univers du sacré, fondamental mais bâti sur le sable.
Ce sont les vitraux qui vous regardent, ce sont eux qui vous jugent. Ils ne façonnent pas la lumière pour vous éberluer, mais pour vous éblouir sans clamer, pour vous obliger à porter vos regards vers le ciel, à travers eux. Si votre regard – votre lumière – vous revient, vous ne serez plus jamais la même, vous ne serez plus jamais le même.
Il faudrait quitter la chapelle mais quelque chose vous retient, c’est cela qui constitue votre victoire sur le tangible et l’immédiat, c’est cela qui vous confère une forme de grandeur. Vous n’avez plus envie de savoir parce que vous percevez et l’esprit ne se préoccupe pas d’analyser, il s’émeut, il respire son propre parfum.
La nuit vient de tomber sur la petite chapelle et ombre sa silhouette sur le gris du ciel mais on voit danser des lumières, au travers des vitraux. Nos pas nous éloignent d’elle mais nous ne sommes plus tout à fait seuls, à présent.
La petite chapelle a entendu tant de mots qu’elle, - elle seule -, peut comprendre les vais secrets sans répondre ; elle seule constitue le territoire,l’asile e notre sincérité.
Claude PROUVOST (in "Bouts de chandelles" Ed. Flammes Vives) - quelqu'un sait-il ce qu'il est devenu ? et l'association Flammes Vives ?
04/07/2022
« L'âme n'est qu'un cri étouffé »
Citations de Henri Barbusse :
politique, histoire etc :
« L’idée de patrie n’est pas une idée fausse, mais c’est une idée petite et qui doit rester petite. »
« L'optimiste est le perpétuel complice de tous les malfaiteurs.»
et "laste sed ne balaste" une phrase dont il faut se souvenir systématiquement en notre époque où les médias, le grand capital et les politiques (qui ne font qu'un même parti, comme le disait bien le site PLPL) ne déverse qu'une vaste propagande de désinformation et de manipultation de l'opinion :
« Méfie-toi, et n'oublie jamais qu'il suffit que certaines affirmations soient émises par certaine bouches pour qu'il faille immédiatement en douter »
sur la vie, Dieu, la peur de la mort :
« L'âme n'est qu'un cri étouffé »
« Le bonheur n'a pas le temps de vivre; on n'a vraiment pas le temps de profiter de ce qu'on est. Le bonheur, cette chose qui n'est jamais – et qui pourtant un jour, n'est plus ! »
« Après la solennité d'un long silence, la figure de Marie prend une expression de défaite, et tout à coup, elle se met à pleurer. Les larmes qui la remplissent,car on pleure toujours tout entier, coulent sur ses genoux. Et à travers des sanglots tombent de ses lèvres mouillées des paroles presque informes, mais désespérées et sauvages comme un éclat de rire arraché. - Ah ! Tout est fini ! S'écrie-t-elle. »
« On reste là à respirer, à vivre un peu, à être tranquilles, grâce à cette faculté qu'on a de ne jamais voir le passé ni l'avenir. »
« On croit aux miracles. On fait de grand efforts pour se débattre, pour s'affoler. On voudrait montrer tout ce qu'on mérite. On s'imagine qu'on est une exception, et qu'il va arriver quelque chose de surnaturel. On souffre tant qu’on en a la force. Mais le prix de la vérité nous glace … »
« Dieu n’est pas Dieu, c’est le nom de tout ce qui nous manque. »
et puis :
« Il y a une voix basse et sans fin, qui aide ceux qui ne se voient pas et qui ne se verront pas, et fait qu’ils sont ensemble : les livres ; le livre qu’on choisit, le préféré, qu’on ouvre et qui attendait ! »
elles sont toutes extraites de son inoubliable roman "Clarté", paru en 1918.
25/06/2022
mon amour je t'associe
Mon amour, je t'associe à la senteur de l'herbe que l'on a coupée dans le pré.
Je te marie au chant du rossignol, à la splendeur des boutons d'or et des genêts
Mon amour, le corps universel que nous cherchons à travers nous deux, à tâtons
Est présent dans l'ombre des ombelles, dans le bleu têtu des chardons.
Mon amour, tenons bon la route, et la sente, et l'herbier des nuits.
Tout nous est donné, sans le doute qui ronge les cœurs et les dents.
Je parle d'astres, de survie. Par toi, je suis, de nouveau né.
Entends la flamme de l'été qui ronfle sur nos champs de vie
Et crois que l'accord est passé pour les cent mille ans du passé
Autant que pour l'éternité.
. Luc Bérimont
- Dimanche 29 Mai 1983
24/06/2022
évolution dans les conditions de déplacement - 1
Autrefois, au début du temps où j’ai eu une voiture, je faisais souvent des sorties dans la campagne, ou des excursions dans une ville proche, etc. Mais maintenant le moindre parcours, la moindre course obligée à L’INTERIEUR de l’agglomération d’*****, est déjà si longue !! si lente !! fait consommer tellement de temps, qu’on est complètement dégoutté de s’amuser à en faire de plus lointains, ni d’en faire davantage simplement pour se promener !
Maintenant on roule deux fois plus lentement que jusqu'à les années 90.
Jusque dans les années 90 la vitesse en zone urbaine était limitée à 60, ce qui était raisonnable, et les chauffards de français-moyens y roulaient à 80 et klaxonnant rageusement ceux qui respectaient le 60 (65, puisqu'on nous disait qu'on pouvait). Maintenant ils ont pour des raisons d' « image » (et de "conatus", comme le défini Spinoza, "toujours plus !", "pour justifier son existence L’être humain a tendance, en cas de difficulté, à faire toujours plus de la même chose") imposée par le régime Libéral-fasciste en vigueur, mis la limitation à 50, et par ailleurs la répression est devenue tellement hystérique, et la violence administrative telle qu'on ne peut surtout plus se permettre de seulement risquer de frôler le limite par inadvertance; donc il faut prendre une marge de sécurité et en pratique ça veut dire qu'on doit respecter le 45.
["toujours plus" qu'on vous disait, maintenant dans les villes il faut se traîner, en première, (pas possible de passer seulement la seconde ! ça serait trop dangereux) à 25 à l'heure partout !]
70 (c'est à dire donc 65) sur route (les tronçons où il est encore permis d'aller à 90 (c'est à dire 85) se font de plus en plus rares) alors que pareil jusque dans les années 90 on y roulait à 95, et on se faisait dépasser par tous les français-moyens qui y roulaient à 110 et vous klaxonnaient rageusement.
Il n'y a plus que sur les autoroute où on est censé être obligé de rouler à ? je ne sais plus combien, 120 ? de toutes façons comme on complètement perdu l'habitude de rouler vite on ne sait plus faire ça et on y devient dangereux
autre chose, vous verrez, de pire en pire : https://odysee.com/@Fifi:5/211004-CDL108-HR:8
04/06/2022
méthode socratique, comme on disait du temps où l'Educnat apprenait à se cultiver et à penser: voyons
un de nos grand journaux nationaux et propriété d'un des 9 milliardaires, a publié le 23/10/2021 un article intitulé « la Chine ouvre un centre de quarantaine ultramoderne pour se prémunir du covid » qui n’est fait que d'éloges sur la technicité des contrôles totalitaires mais où à aucun moment il n’est question de l’aspect moral de l’affaire ! (relisez la définition du nazisme par Zygmunt Bauman, dans son livre incontournable "Modernité et holocauste" ! c’est tout à fait ça). Bon on les voit bien titrer en 1942 par exemple
« Monsieur le Chancelier du Reich ouvre à Auschwitz un centre de confinement ultramoderne pour se prémunir du virus juif »
01/06/2022
petite leçon de politique (démocratique) et d'humanisme - il ne faut pas se laisser aller à ses "bons"sentiments de "bien"-pensant ! ils peuvent être la porte du MAL !
et n'oublions jamais la règle d'or de Goebbels
« C’est l’un des droits absolus de l’État de présider à la constitution de l’opinion publique » disait Joseph Goebbels, haut dignitaire nazi, de 1933 à 1945 au ministère de l’Éducation du peuple et de la Propagande.
conclusion : les Gouvernements qui font comme ça (suivez mon regard ....) ont les mêmes principes que les nazis.
Que ceux qui sont tentés de donner raison à ce principe (et il y en a beaucoup, surtout chez les centristes ! https://www.causeur.fr/centristes-democratie-extreme-popu... et les européistes), sont de la graine de nazis, il faut en prendre conscience, c'est très important !
(or le thème est d'actualité n'est-ce pas ? et de manière générale de plus en plus. ça aussi c'est ce que Zygmunt Bauman appelle "l'esprit de la modernité" ... d'ailleurs on voit bien que ce thème qui existait à peine dans la CEE des débuts est maintenant devenus obsessionnel chez les européistes !!.....)
vidéo : http://babelleir.be/pages/008-covid-19-analyse-de-david-i...
des résistants se lèvent partout, sauront-ils s'unir , être efficaces ?
https://ru-clip.net/video/F2q_QY2QpeA/vid%C3%A9o.html
Pas un politique, pas un intellectuel ne s'élève contre cette " dictature en marche"...... Florian Philippot est le seul à le faire !
Or, du fond de la nuit, nous témoignons encore
De la splendeur du jour et de tous ses présents.
Si nous ne dormons pas c’est pour guetter l’aurore
Qui prouvera qu’enfin nous vivons au présent.
Robert Desnos, 1942
Ils ont violé l'âme des français par les menaces de licenciement misère interdiction de vie (comme les juifs victimes de l'ordonnance du 8 juillet 1942 !), ils on VIOLE leurs corps par des injections mortelles d'oxyde de graphène ayant pour but de les tracer et maintenir en esclavage comme les colliers de fer des esclaves de l'antiquité. Ils on violé la science et l'intelligence en prétendant que les milliers de rapports et d'études qui se sont accumulées sont des "fake news" (en amerloque dans le texte!) et en cherchant à déconsidérer les plus éminents et compétents spécialistes de la science actuelle, et par une censure surréaliste, pire que Goebbels)
Ils ont violé toute les valeurs humaines morales, intellectuelles et de Civilisation, et jusque la plus élémentaire dignité. Ils méritent le même traitement que les nazis à Nüremberg
17/05/2022
" - Voilà le plus heureux moment du monde" Et peut-être était-ce vrai
un extrait de "treize à la douzaine" l'autobiographie de Ernestine et Frank Gilberth sur leur famille nombreuse.
"Souvent, quand nous roulions, nous chantions à trois ou quatre voix et Papa et Maman nous accompagnaient, elle en soprano, lui en basse-taille. Les vieux airs populaires se succédaient.
- Qu'est-ce que des enfants ne peuvent pas faire à eux tout seuls ! pensions-nous.
Papa se renversait sur le dossier du siège et mettait son chapeau de travers. Maman se blotissait contre lui comme si elle avait froid. Les bébés s'étaient endormis. Maman se tournait vers nous entre deux chansons, et nous disait :
- Voilà le plus heureux moment du monde.
Et peut-être était-ce vrai."
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