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25/09/2020

notre avenir est en jeu

Un n-ième plan (toujours plus c’est la logique du conatus nous apprend Spinoza, surtout celui des processus morbides) est lancé. Y'a-t-il des voix - autres que celles des buralistes et des fabricants de cigarettes - pour se dresser contre un programme de santé et d'économie publiques ? Les chiffres sont éloquents : 28% de la population « accro », 73 000 décès par an.

(Manipulation ! Avec de tels raccourcis c’est ouvrir la porte à tous les sophismes et à toutes les manipulations, on dirait le discours des nazis !)

Machiavélisme de nos ayatollahs

Désormais, comme en Australie, pays pilote en la matière, les paquets de cigarettes seront débarrassés des marques - ramenées aux proportions minimum - et afficheront ostensiblement les images choc de gangrène ou de mutilation. Fumer en voiture en présence d'enfants de moins de 12 ans ou dans les aires de jeux sera interdit, fumer dans les écoles, les espaces de travail et tous les lieux publics sera criminalisét. Le gouvernement veut suivre la voie de la Grande-Bretagne, qui est parvenue à ramener à 20 % la part de sa population fumeuse.

Si on veut interdire tout ce qui ligote et tout ce qui est machiavélique, il faut commencer par interdire le salariat capitaliste. (sans compter que la sommes des accidents de travail, maladies professionnelles, et suicides ça doit faire plus que le tabac) On y va ? voilà qui ne serait pas une mauvaise idée !

Idéologie du « bien »

Mais le périmètre de ce « presque » dépasse largement les irréductibles fumeurs attachés à exercer leur plaisir coûte que coûte,pareil que les amoureux, qui finissent des fois par en mourir, idem les drogués du jeu, du profit, du pouvoir, du sport, sans compter que normalement 100 % des hommes sont drogués à l’existence et ne peuvent s’en passer et ont peur de mourir – bien sûr nos ayatollahs font tout de nos jours pour faire disparaître cette addiction, et créer la secte des adorateurs de la mort …

parfois dans le mépris des non-fumeurs, de même que les automobilistes nous enfument dans le mépris des piétons, pour ne pas parler des usines !! et des agriculteurs avec les pesticides !!! En son sein sont réunis tous ceux qui sont viscéralement attachés à la liberté, y compris de prendre et d'assumer le risque de détruire leur santé, devenue le nouveau commandement de Dieu sacré et auquel il est interdit d’échapper sous peine du bûcher. Sauf que la théocratie catholique était plus logique, logique de prendre des mesures drastiques quand l’enjeu est une éternité de salut ou une éternité de perdition ! Par contre la fameuse « santé » au nom de laquelle nos ayatollahs sont prêts à nous pourrir totalement la vie, (et sans doute bientôt nous mettre en prison et nos la briser complètement), n’est en fait que la chance statistique (statistique ! Donc au niveau individuel il se peut que vous n’y gagniez rien du tout!) de vivre peut-être 5 ans de plus, avant de , de toutes façons, mourir quand-même, et pour toujours !! le gag !! il y aurait de quoi rigoler si ça n’était pas si triste !

nom du plaisir que suscite, plusieurs centaines de fois par jour, l'inhalation, même de particules hautement toxiques. Cette liberté d'arbitrer en toute connaissance de cause, cette liberté de défier l'imprimatur bien pensant, cette liberté dans le terreau de laquelle l'individu fertilise la réalisation de lui-même, sont en danger. Comme l'affirmait dans ces colonnes le sociologue Robert Castel (1933-2013), l'idéologie liberticide du « Bien », les ideologies du « Bien » ont toujours été liberticides, vous n’avez pas remarqué ? - qu'incarne la lutte contre le tabagisme, gagne régulièrement du terrain, au point de criminaliser ceux qui font le choix de s'en détourner.

Du risque à la peur

Le champ des régulations collectives comprime celui de la liberté individuelle, les délicats équilibres entre individualisme et solidarités collectives - garants de la santé de la société - sont malmenés, le risque n'est plus appréhendé dans sa substance essentielle - levier d'épanouissement, d'accomplissement, de responsabilisation - mais est considéré comme un danger, même un péril contre lesquels les représentants politiques ont le devoir de protéger les citoyens. Dégâts collatéraux du sacro-saint principe de précaution, la société des risques devient celle des peurs, évaluées sans discernement, endiguées indistinctement. Aujourd'hui la cigarette, et demain quoi d'autre ? - très bonne question !
qu’on ne se pose pas assez.
Et pourtant il n’y a pas d’exemple qu’une telle dérive commence et puis s’arrête, non ! Ça continue et encore et encore vers toujours plus d’aberration exacerbée. Toujours

Bientôt « Le vin tue » ? (bien sûr ! Ça commence déjà. Après on interdira les parfums féminins, les lits douillets, les viandes en sauce bien sûr y auront passé avant, les sucreries ! n’en parlons pas, et les pâtisseries, quoi d’autre ? La sexualité bien sûr ! trop dangereux)

Robert Castel redoute, dans le sillage symbolique de la tyrannie anti-tabac, l'apparition de nouvelles formes de totalitarisme, « portées par des technologies nouvelles terriblement efficaces qui permettront d'exercer un contrôle absolu sur les individus et de juguler toute intrusion d'éléments extérieurs aussitôt qualifiés de risques ». Brille alors le spectre de la standardisation, de l'uniformisation, du conformisme, rayonne le culte (t ne sais pas si bien dire …) de la « bonne santé », de la beauté, du corps, domine l'idéal d'une mort repoussée et sacralisée, bref toutes sortes de diktats dont les subversifs contempteurs prennent... le risque d'une marginalisation insidieuse, voire d'une stigmatisation au nom des mauvais arbitrages, des mauvaises décisions, des mauvaises attitudes exercés.

Simplement ils affichent une différence, à laquelle la doctrine omnipotente de la performance et de l'efficacité répugne (comme toute doctrine omnipotente). Certes, l'État a le devoir de porter la conscience des risques encourus auprès d'une population inégalement informée (ah oui ? c’est nouveau ça, ça n’a pas toujours été considéré comme évident, depuis le régime soviétique sans doute). Mais à quelles autres prohibitions la suprématie de l'« idéologie sanitaire complète » imposée par les « Ayatollahs de la santé » prépare-t-elle ? Pourquoi demain, au nom des 45 000 victimes de l'alcool, l'étiquette « Le vin tue » ne couvrirait-elle pas les bouteilles de Château Margaux ? - (bien sûr on y vient. Il y a 30 ans personne y compris les promoteurs de l’anti-tabac n’aurait imaginé qu’on en arriverait où on en est, provisoirement ...)

Logique de culpabilisation

Cette logique de la culpabilisation porte un autre germe, une autre manifestation totalitariste tout aussi mortifères pour la santé..., cette fois de la société : celui de désigner des cibles, (ça s’est beaucoup fait …), des groupes d'individus qui vont concentrer l'anathème d'une collectivité économiquement fragile, sous le joug d'une judiciarisation galopante - comme en témoignent les procès ubuesques intentés par les malades contre les manufacturiers -, et qui cherche puis traque des boucs-émissaires. Aujourd'hui les chômeurs, les pauvres, les fragiles, demain aussi ceux qui prendront le risque « irresponsable » et surtout coûteux non seulement de fumer et de boire, mais pourquoi pas de pratiquer les sports à sensation, (bien sûr!vous en faites pas ça viendra) de naviguer vers les pôles, de changer d'employeur... et même de vie. Bref, de combattre l'ennui, de lutter contre le fléau sécuritaire, de défier le dogme tentaculaire de la « modération », et de concevoir l'existence comme une aventure, ou tout bonnement un plaisir, idée qu’on a apparemment complètement perdu.

Coupable et comptable

Ce tableau innerve d'infinies ramifications, d'inquiétantes et insolubles interrogations : si l'individu est jugé « coupable » de transgresser ce que la société a estimé moralement, éthiquement, économiquement « bon » pour lui, appartient-il à ladite de société de financer les soins inhérents aux maladies ? Est-il de la responsabilité de la collectivité d'assumer les coûts des comportements individuels à risque ? « Le droit à la santé est une grande conquête sociale qui conditionne l'accès à la citoyenneté, - voilà ! Ce principe qui a toujours été ce lui de tous les régimes totalitaires, par exemple remplacez « droit à la santé » par « droit à la grâce divine qui nous apporte le salut », et vous avez les régimes sous lesquels l’Europe a vécu durant deux millénaires, si vous remplacez par « droit au socialisme » vous avez autre chose, etc, la patrie française (ou autre) la race aryenne, etc  ». rappelle robert Castel.

Surtout qu'après la cigarette, pourquoi là encore ne pas considérer les obèses coupables et donc comptables de leur état de santé, (c’est ce qu’on fait déjà!) les oisifs coupables et donc comptables de ne pas pratiquer de sport (ça c’est sûr ça nous pend au nez), les pauvres coupables et donc comptables de leur indigence, les chômeurs coupables et donc comptables de leur inactivité professionnelle ? Et last but not least – lisez la presse ! - les non diplômés de l’enseignement supérieur coupables et donc comptables de leur incapacité d’appartenir à l’élite universitaire de rigueur. Un jour peut-être, la liberté de choisir sa double manière de vivre et de mourir sera corsetée. Ce qui est d’autant plus ABSURDE que quelque soit la manière dont vous mourez le résultat est strictement le même ! Et comme votre vie est d’avance condamnée à mourir, donc à ce que vous vous retrouviez comme si vou n’éties jamais venus au monde (à moins de croire en une religion, mais ça aussi ça va bientôt ere interdit, ça commence déjà à l’être!) on revient à la phrase précédente, quelle que soit la manière, et la durée, dont vous avez vécu, le résultat est strictement le même ! Or, le droit de mourir au rythme des cigarettes consumées, (éventuellement à 97 ans comme Compay Segundo, ou 92 comme Bertrand Russel), des ascensions en haute montagne, ou des vols en parapente n'est-il pas inaliénable ?

 

dans ce domaine comme en d'autre Ras-le-bol de l'infantilisation et de l'instrumentalisation de la peur ! (comme dans "Knock", relisez cette pièce prophétique !)

pour une manifestation "ras-le bol", ici "je ne serai jamais seul, je travaillerai toujours avec d'autres" nous dit Florian, l'admirateur de Chavez et pourfendeur de l'Oligarchie capitaliste :  https://ru-clip.net/video/T3vG2Xw_s1s/florian-philippot-s... !

 

21/09/2020

Der Tod geht stolz

à Berlin le 21 septembre 2019 il y avait une manifestation de ceux qui refusent l'avortement - en avez-vous entendu parler ? censuré par les médias ! - ils ont manifesté sous les huées haineuses des partisans de la mort

la haine des membres de la secte des adorateurs le la mort contre ceux qui la refusent et manifestent contre l'avortement, et pour la tolérance de l'enfant  qui voudrait bien ne pas mourir, lesquels ne peuvent manifester à Berlin, que sous la protection de la police, (sinon on peut se demander ce qui leur arriverait !) fait penser à la formule de Joachim Ringelnatz : Der Tod geht stolz

 

 

https://ru-clip.net/video/kFiT4CizxhA/proteste-gegen-mars...
"des chrétiens ont manifesté" nous dit-on. Il n'est pas nécessaire  d'être chrétien pour ça !!
il suffit d'être athée et d'être conscient de ce que c'est que la mort pour l'avoir en horreur pour soi et pour les autres, et donc d'éprouver un refus épouvanté et une opposition inconditionnelle devant l'avortement !

13/09/2020

une vague de perversité déferle sur l'Europe

La pauvreté devient un crime en Europe

Qu'y a-t-il de plus pervers pour une société de taxer les misérables qu'elle a créé, en particulier par sa politique capitaliste et néo-libérale, comme c'est le cas en Hongrie, de criminels, et, comme si ça ne suffisait pas ! de poursuivre des gens déjà frappé par le destin et par la difficulté de simplement survivre par une persécution policière !!! et des amendes phénoménales (alors qu'ils n'ont même pas l'argent pour manger) ou des sanctions de criminels (alors que d'autres catégories de criminels, qui volent des millions, de dollars ne sont pas poursuivis, car ils ont de bons conseillers fiscaux !), taper sur ceux qui souffent déjà parce qu'ils souffrent justement, à l'inverse d'aider ceux qui souffrent, tout faire pour les enfoncer encore plus, voilà bien le comble de la perversité morale. Quelles décadence la société actuelle ! Quelle cynsisme cette Europe ploutocratique et fascisante !

La Suède veut pénaliser ses mendiants. Le pays scandinave succombe ainsi à un phénomène de mode européen. Des mesures pour restreindre la mendicité sont prises un peu partout, même dans les pays où cette pratique est autorisée par la loi.

"Sus aux mendiants venus d’ailleurs!" C’est le cri de guerre du parti d’extrême droite suédois, les Démocrates de Suède. Les membres du parti ont proposé cette semaine au Parlement suédois de :

Faire de la mendicité en Suède pour les étrangers un délit et assortir la peine d'une expulsion ou d'une interdiction d'entrée sur le territoire avec une interdiction de revenir plus longue."

Xénophobe jusque dans la mendicité, les Démocrates de Suède distinguent les miséreux suédois des étrangers. Ainsi, les premiers seraient à la rue du fait de problèmes liés à la toxicomanie ou à alcool. Les seconds eux, n’auraient qu’une idée en tête: détrousser les braves citoyens suédois.

Les populistes suédois n’ont pas eu à chercher bien loin pour trouver une idée pareille. Le voisin norvégien part également en croisade contre les plus démunis.
 
Le gouvernement de coalition, poussé par le Parti du progrès, veut donner les moyens aux municipalités d'interdire la mendicité. Selon la chef de file de ce parti populiste, Siv Jensen, pénaliser la mendicité permettrait de lutter contre la criminalité, mais surtout, contre les Roms. Quand on parle délinquance, les parias favoris de l'Europe ne sont jamais loin.

Si la mendicité est encore légale en Norvège, il pourrait en être autrement dans les prochaines années. Dans son programme, le Parti du Progrès souhaite l'interdire dans tout le pays.

La prison en Hongrie

Les pays profitent du vide juridique de l’Union européenne en matière de mendicité. Mise à part la loi sur la liberté de circulation des individus, rien n’empêche vraiment les Etats de l'interdire, si ce n'est les associations de lutte pour les droits de l'homme. La pénalisation peut aller de travaux d’intérêts généraux… à la peine de prison en cas de récidive.

C’est, sans surprise, le cas de la Hongrie, révèle l'ONG Human Rights Watch. Le pays compte près de 30 000 sans-abris. Depuis 2010, le gouvernement de Viktor Orban s’est lancé dans un grand plan de lutte contre la pauvreté visible.

Le "ministre-président" va jusqu’à modifier la constitution hongroise afin d’interdire aux personnes de dormir ou mendier dans les zones urbaines touristiques. Le texte de loi reste cependant évasif sur la définition de "zone urbaine touristique" et laisse cette appréciation aux forces de l’ordre. Dans sa grande mansuétude, le Parlement hongrois à toutefois autorisé les communes à créer des zones réservées aux sans-abris. Qui parle de ghettos ?

La mendicité en Espagne coûte cher

Les Espagnols, eux, préfèrent tout miser sur une amende élevée. Dès 2014, la municipalité de Madrid dressera des procès-verbaux à tous les sans-abris de 750 euros selon El Pais. Les amendes pourront atteindre les 1500 euros si le mendiant tente de nettoyer la vitre d’un automobiliste. Et 3000 euros s'il sollicite la générosité des passants accompagnés d’un enfant. Plusieurs municipalités espagnoles ont déjà été séduites, comme Valladolid. En Espagne, les régions sont libres de légiférer comme elles le souhaitent, concernant la mendicité.

Les villes françaises font de la surenchère

En France, la mendicité est légale et ce depuis les années 1990. Les maires disposent cependant de droits permettant de la contrôler dans leur commune. Des ordonnances peuvent être instaurées par les maires, mais sont limités dans le temps et l’espace.

Plusieurs villes françaises, comme Marseille, Bordeaux, ou Cannes, ont ainsi voté des arrêts "anti-mendicité agressive". Il est ainsi interdit de solliciter la générosité des passants si l'on est accompagné d'un "animal dangereux" ou "en réunion de manière agressive". Ces "dangereux" mendiants devront payer une amende de 38 euros. Et depuis 2011, les sans-abris d'origine étrangère, considérés comme "malveillants", sont directement renvoyés dans leur pays d'origine.

Récemment, la candidate UMP à la mairie de Paris, Nathalie Kosciusko Morizet a déclaré lors du talk Orange-Le Figaro (voir vidéo) qu'elle souhaitait réactiver des arrêts similaires dans la capitale. Ces arrêts ont été suspendus en juin 2012.

Les associations tentent de limiter ce type de dérives électoralistes. Emmaüs et la Fondation Abbé Pierre ont créé un site incitant les citoyens à rendre public les arrestations constatées sur la voie publique. Selon l’Insee, la France comptait, en 2012, près de 141 500 personnes sans domicile, dont 30 000 enfants.

Les Allemands misent sur la solidarité

La stratégie allemande diffère de ses voisins européens. Depuis le 1er avril 1976, les Landers sont chargés d’apporter un soutien aux personnes en grande difficulté sociale. A eux de mettre en place des structures capables d'accueillir les sans-abris. Il est cependant interdit de mendier dans les parcs ou d’inciter les mineurs à collaborer à tout acte de mendicité.

L'Etat encourage les actions menées par les associations. Quant aux églises, elles ont l'obligation d'utiliser une partie de l'impôt payé par les croyants pour aider les plus pauvres.

Charité italienne mal ordonnée

Le droit italien sur la mendicité est empreint de catholicisme. L’Etat n'interdit pas aux plus démunis de demander de l'argent, seulement ces derniers doivent le faire dans le cadre:

d'une revendication légitime de la solidarité humaine (…) afin de faire ressortir chez l'autre le sentiment d'amour (…) sans pour autant troubler l'ordre public."

Le mendiant doit également vivre dans une situation de pauvreté réelle et peut être interpellé par la police s’il se sert de l’argent récolté pour acheter de l’alcool, de la drogue ou n’importe quel autre bien qui ne serait pas nécessaire à sa survie physique....

Allez vous vous étonner dans une société devenue moralement aussi perverse et indigne, qu'on voit les clébards du pouvoir et un petit président arrogant et haïssant le peuple se conduire avec une aussi indigne abjection :
"ces clébards sans honneur peuvent compter sur le soutien de leur maître-chien en chef, j'ai nommé le très viril Macron !"
j'espère que vous avez enregistré dans votre ordinateur l'excellente vidéo de Dieudonné "Gilets Jaunes,l'escalade" !!

et régner une telle censure fasciste sur nos pays !!!

28/08/2020

je ne comprend pas pourquoi les responsables parmi l'élite au pouvoir ne sont toujours pas sur le banc des accusés, pour entre autres, crimes contre l'humanité.... Voilà la vrai question aujourd'hui


22/08/2020

tous uniques tous tragiques

Je garde toujours dans plusieurs poches de vêtements de ces silexs que je ramassais sur les chemins de terre du Ternois quand je m’y promenais avec Jacqueline…. , et dont les taches blanches sur fond noir évoquaient si bien des vues de galaxies (et de nuages intergalactiques) dans un ciel profond. Je ramassais souvent des silexs sur les chemins, et ayant plusieurs fois été fasciné par ça, je sélectionnais les plus beaux et les gardais dans ma poche pour les contempler quand je voudrais. Et je pensais, une fois de plus, à tous ces milliards d’étoiles, multipliés par ces milliers de galaxies, pourtant réduites à ces minuscules taches allongées dans les télescopes, qui représentent des abîmes de milliards d’années, de milliards de chances de vie animée, d’êtres pensants, de civilisations, de destins, tous uniques, tous tragiques, tous passionnants et passionnés qui se posent peut-être en ce moment les mêmes questions, enfin etc, etc, etc. Et le sentiment cosmique de « richesse » sans fin, mais aussi de vanité absolue et tragique de tout, de tous, dans « le silence éternel des espaces – et du néant éternel – infinis ». De quel côté est le fin mot de l’affaire ? Aimé Michel le sait peut-être maintenant – ou ne le sait PAS justement…..

Ces silexs dans mes poches sont tout ce qui me, nous…, reste de ces promenades éphémères et condamnées,
qui furent familières, « quotidiennes », ici et maintenant ....

 

Esperanta traduko :
Mi konstante plutenas en miajn vestopoŝoj iuj el tiuj silikoj, kiujn mi kolektis desur la padoj de l’Ternois, kiam mi promenis ene kun Jacqueline, kaj kies makuloj blankaj sur nigra fono tiom trafe similis vidojn de galaksioj (kaj interstelaj nuboj) en profundprofunda ĉielo. Mi ofte levis silikojn de sur la padoj, kaj estinte plurfoje fascinita per tio, mi selektis la plej belajn, kaj ilin konservis enpoŝe por ilin kontempli kiam plaĉos al mi. Kaj mi pensis, plian fojon, al ĉiuj tiuj miliardoj da steloj, obligitaj per tiuj miloj da galaksioj, tamen reduktitaj je etetaj longaformaj makuletoj en teleskopoj, kiujn nome konsistas el abismoj da miliardaj jaroj, miliardoj da ŝancoj ke estiĝu biologiaj vivoj, pensantaj estaĵoj, civilizoj, personaj destinoj, ĉiuj unikaj, ĉiu tragikaj, ĉiuj pasiindaj, kaj pasiitaj, kiuj demandas sin, eble, ĉimomente la egalajn demandojn, nu, vidu, ktp, ktp. Kaj la kosmeca sento pri riĉeco senlima, sed ankaŭ kunekun, pri vanteco, tuta vantecego, kaj tragikeco de ĉio, de ĉiuj, en « La https://ru-clip.net/video/0yy2cLJ5MPQ/dieudonn-eacute-l-ex-eacute-cution-d-al-baghdadi.htmleterna silento de la spacoj – kaj de eterna nenieco – senlimaj ». Kiuflanke estas la elvorto pri la afero ? Aimé Michel(en Vikipedio: http://eo.wikipedia.org/wiki/Aim%C3%A9_MICHEL) scias tion eble nun – aŭ NE scias, jen la tubero …
Tiuj silikoj en miaj poŝoj jen estas ĉio, kio restas pri mi, pri ni... ., el tiuj promenadoj forpasemaj, kaj deĉiam mortkondamnitaj, kiel ĉio, kiuj estis hejmecaj, « ĉiutagaĵaj », kaj nunantaj.
 

Un poème du grand poète etatsunien Edgar Lee Masters
est peut-être plus optimiste ? dans le genre Rupert Sheldrake ?
On lui pose la question à ce Monsieur ? elle est où sa pierre tombale ? …..

Alfonso Churchill

(source : poetry.rapgenius.com/Edgar-lee-masters-alfonso-churchill-... )

THEY laughed at me as "Prof. Moon,"
As a boy in Spoon River, born with the thirst
Of knowing about the stars.
They jeered when I spoke of the lunar mountains,
And the thrilling heat and cold,
And the ebon valleys by silver peaks,
And Spica quadrillions of miles away,
And the littleness of man.
But now that my grave is honored, friends,
Let it not be because I taught
The lore of the stars in Knox College,
But rather for this: that through the stars
I preached the greatness of man,
Who is none the less a part of the scheme of things
For the distance of Spica or the Spiral Nebulae;
Nor any the less a part of the question
Of what the drama means.

(oui sans doute, ça doit être le cas, il doit avoir raison là http://miiraslimake.unblog.fr/2016/01/23/mais-oui-mais-ce... )
*

13/08/2020

mi tre solas sur la kanapo de l'vivo

Kiu vokas min

de l'pasinteco?

Mi la vortojn

ne distingas,

embarasita mi estas

kun mia mens'

kortuŝita,

ĉar mi sidas

sur la kanapo de l'vivo

meditante

pri malĝojo

kaj feliĉo,

sed la voĉo

de l'pasinto

daŭre vokas

kun insisto

kaj petegas mian helpon.

Kion fari?

Kie estas la paseo?

Kie estas la mistero?

Mi tre solas

sur la kanapo de l'vivo

mi deĵoras

kaj atendas la momenton

retrovi la pasintecon

kaj rekuperi la vivon.

 

Arquillos februaro 2017

08/08/2020

vite ! vite ! vite! vite !

dépêchez vous de télécharger (en passant par ru-clip.net, copiez le titre ou bien par le site y2meta.com vous pouvez télécharger avec l'adresse youtube) cette très profonde et intelligente vidéo, une de ses meilleures , qui devra rester dans les anthologies qu'on fera plus tard de Dieudonné, quand il entrera dans les petits classiques, comme avant lui Béranger (qui lui aussi a fortement déplu à un puissant lobby de l'époque, et fut envoyé à deux reprises en prison, avant de devenir le symbole aimé de tous de la résistance du peuple français)


dépêchez-vous de la mettre à l'abris sur votre disque dur avant qu'elle ne soit effacée par les censeurs haineux

 

Dieudo fait penser

dans cette vidéo https://iamdieudo4.ru-clip.net/oWX3tTRj3xI/apr%C3%A8s-la-...

notre Béranger du XXIè siècle nous permet de comprendre au passage des choses. par exemple que la quenelle est en fait bien selon la formule de ses détracteurs "un salut nazi inversé"  eh oui ce geste est porteurs de l'exact inverse de ce que portait le salut nazi : et d'abord le salut nazi est un salut de respect de l'autorité ! tandis que la quenelle se moque de l'autorité et lui dit "vas-te-faire-enculer !" (et bien sûr le salut nazi est militariste, la quenelle est pacifiste, le salut nazi ne se prend pas pour de la merde, comme on dit, la quenelle ne se prend pas au sérieux, le salut nazi est conformiste et grégaire, la quenelle prône l'individualisme et l'esprit d'examen, le salut nazi est raciste, la quenelle est antiraciste, etc, etc), tandis que, il a raison Dieudo, les valeurs nazies sont très proches de celles des régimes actuels, tel celui de Macron, mais aussi celui de la Chine Continentale (plus , du tout communiste, mais capitaliste dur), et tous ces régimes de banquiers, de CRS, de mépris du peuple, de capitalisme totalitaire (et d'eugénisme ! on le voit de plus en plus repoindre son nez, et l' "euthanasie" des pas-conformes).

Par contre Dieudo a tort de vanter contre les médicaments, notre système immunitaire. Là il a perdu une bonne occasion de se taire ! parce que les gens qui meurent du coronavirus (et d'ailleurs ceux qui mouraient de la grippe espagnole c'était  le même problème) ils ne meurent pas du virus ! il meurent d'une réaction immunitaire excessive et délirante de leur corps ! Lisez les descriptifs médicaux. eh oui les réactions de défenses du corps ( mais aussi celles des société .... et celles de l'Etat ...) peuvent être inhttp://appropriées (au vrai sens de ce terme !)  et se tromper d'ennemi (cf. les allergies par exemple), ou excessives, et au lieu de tuer l'envahisseur tuer ou pourrir complètement le "corps" qu'elles voulaient défendre ! Et ce genre de phénomènes ça se produit aussi dans les sociétés ..... (messieurs les "identitaires" réfléchissez !) et les Etats, surtout les merdes totalitaires comme ceux qu'on a actuellement, le font souvent ! et maintenant justement ce qui fait peser sur nous et sur la civilisation les menaces les plus graves ce sont des réaction "excessives" et perverses des Etats,  on commence à le voir n'est-ce pas, et ça va aller en empirant ....

le dernier Dieudo plus gilets jaunes que jamais :

la grande insurrection des pauvres, de tous les pauvres, voilà le vent nouveau

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2020/05/25/ne-bougez-plus-et-bouclez-la-le-mot-dordre-mondialiste-cest-le-minimalisme/

"le temps est indifférent aux plus grandes souffrance" c'est effectivement ce dont tout le monde se rend compte......

comme a dit Jean Rostand, on tue un homme on est un assassin, on en tue des millions on est un conquérant (!...), en les tue TOUS, on est DIEU .....

Et en littérature de puis sans doute l'antiquité, et Chateaubriand à la fin d'Atala (lisez-là), et Miguel de Unamuno (relisez la citation que j'ai mise ici il y a qq jours), et Pierre Loti dans"fantômes d'Orient" relisez ce qu'il dit sur la deuxième mort ...

C'est la plus grande et déshumanisante des trahison, ça m'a inpiré mes commentaires sur la citation de Joachim Ringelnatz

Ewig rien bleibt nur die Träne/ Und das Wasser der Fontäne (en esperanto : Ĉiam puraj 'stas nur larmoj/Kaj la akvo de l'fontanoj) ce qui veut dire qu'à partir du moment où on n'a plus de larmes on est devenu impur.

La "pensée positive", le fameux "travail du deuil" des psychomachinchoses, c'est de la merde ! c'est non seulement absurde, mais immonde.

En tous cas discuter avec soi-même il ne faut jamais oublier de le faire, il y a trop de gens qui oublient l'enfant qu'ils ont été, ça aussi c'est une déshumanisation; moi je n'ai jamais perdu le contact avec celui que j'ai été

 

25/07/2020

tableau symbolique et définitif

à une date je ne sais plus laquelle dans un endroit sans doute de mon journal intime, je ne le retrouve plus j’ai fait un petit texte sur un célèbre tableau de Picasso période bleue, (je l’avais dans ma chambre meublée rue Frédéric Degeorges, même que je suis retourné exprès chez le riche Defransure qui la louait pour le lui acheter), et j’avais écrit quelque-chose dans ce genre :

la mère est désolée car elle sait comme Jim dans le roman de Ray Bradbury que « ça ne sert à rien de faire des hommes, ils meurent », que son enfant est dès le départ condamné à mort, l’enfant a un regard dur car lui aussi sait que son destin est scellé, qu’il n’a aucun avenir à part le néant final et éternel.

 

Comme je disais dans un autre extrait que j’ai, lui, retrouvé « c’est dans ces circonstances qu’on redevient conscient (lucide) de ce qu’on a qu’une vie, et que celle-ci est condamnée par la mort et qu’on est en sursis, et quand tout sera refermé sur vous qu’il n’y aura plus de souvenir ni rien. »

23/07/2020

La mort

ENCORE ET ENCORE – Francis Cabrel – 1985

D'abord vos corps qui se séparent
T'es seule dans la lumière des phares
Et t'entends à chaque fois que tu respires
Comme un bout de tissu qui se déchire
Et ça continue (encore et encore!)
C'est que le début (d'accord, d'accord!) voilà
L'instant d'après le vent se déchaîne
Les heures s'allongent comme des semaines
Et tu te retrouves seule assise par terre
À bondir à chaque bruit de portière, mais
Ça continue (encore et encore!)
C'est que le début (d'accord, d'accord!)
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C'est toujours le même film qui passe
T'es toute seule au fond de l'espace
T'as personne devant
La même nuit que la nuit d'avant
Les mêmes endroits deux fois trop grands
T'avances comme dans des couloirs
Tu t'arranges pour éviter les miroirs
Mais ça continue encore et encore
C'est que le début d'accord, d'accord
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C'est toujours le même film qui passe
T'es toute seule au fond de l'espace
T'as personne devant, personne
Faudrait que t'arrives à en parler au passé
Faudrait que t'arrives à ne plus penser à ça
Faudrait que tu l'oublies à longueur de journée
Dis-toi qu'il est de l'autre côté du pôle
Dis-toi surtout qu'il ne reviendra pas
Et ça te fait marrer les oiseaux qui s'envolent
Les oiseaux qui s'envolent
Les oiseaux qui s'envolent
Tu comptes les chances qu'il te reste
Un peu de son parfum sur ta veste
Tu avais dû confondre les lumières
D'une étoile et d'un réverbère
Ça continue (encore et encore!)
C'est que le début (d'accord, d'accord!)
Mais, ça continue (encore et encore!)
C'est que le début (d'accord, d'accord!)
D'accord, d'accord, d'accord, d'accord
Y a des couples qui se défont
Sur les lames de ton plafond
C'est toujours le même film qui passe
T'es toute seule au fond de l'espace
T'as personne devant
Personne
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C'est toujours le même film qui passe
T'es toute seule au fond de l'espace
T'as personne devant
Personne, personne, personne, personne, personne, personne
Personne!
Personne!

23/06/2020

citations à méditer

« pourquoi dire du mal d’une femme ? Ne suffit-il pas de dire que c’est une femme ?»
Carcinos, poète tragique grec
FEMMES

« Un oiseau né en cage pense que voler est une maladie ! »
SOCIETE

« Je n’ai jamais eu de chance avec les femmes . Il est toujours arrivé un moment où leur bêtise a dépassé mon amour »
Léautaud (Paul)
FEMMES

« On tue un homme on est un assassin, on tue des millions d'hommes on est un conquérant. On les tue tous on est Dieu »
Rostand (Jean)
POLITIQUE
METAPHYSIQUE
COSMOS