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17/01/2021

communiqué du Comité des droits des personnes handicapées- Genève

Le Comité des droits des personnes handicapées des Nations unies a officiellement affirmé que l’avortement des enfants en raison d’un handicap chez le fœtus est contraire à la Convention relative aux droits des personnes handicapées.
 
Alors qu’une pression importante s’exerce pour imposer la légalisation de l’avortement eugénique, le Comité des droits des personnes handicapées des Nations unies vient de déclarer dans un document officiel que « Les lois qui autorisent explicitement l’avortement en raison d’un handicap violent la Convention des droits des personnes handicapées (Art. 4,5 et 8). » Ce Comité poursuit en expliquant que ce type d’avortement est souvent basé sur des diagnostics erronés, et que « Même s’ils ne sont pas faux, cette affirmation perpétue le préjugé selon lequel le handicap serait incompatible avec une vie heureuse. »

La déclaration du Comité des droits des personnes handicapées est d’une grande importance. Elle rappelle, une nouvelle fois, la nécessité de s’opposer fermement à la tentation eugéniste qui repose sur le mépris de la faiblesse. Déjà, en 1947, les rédacteurs de la Déclaration universelle des droits de l’homme durent s’opposer à la tentative visant à permettre la « prévention de la naissance d’enfants handicapés mentalement » et d’enfants « nés de parents souffrant de maladie mentale ». La similitude de ces propositions avec l’idéologie nazie fut alors dénoncée.
L’ECLJ se réjouit de cette déclaration qui va dans le sens de ses nombreuses interventions devant le Conseil des droits de l’homme. L’ECLJ continuera à dénoncer l’eugénisme prénatal ainsi que les avortements tardifs et à rappeler que les droits à la vie et aux soins doivent être garantis à toute personne.
Le Comité des droits des personnes handicapées a également pris position contre un prétendu « droit à l’euthanasie » car, selon lui « cela perpétue les idées reçues selon lesquelles les personnes gravement handicapées souffrent et seraient plus heureuses mortes» Comme les enfants à naître handicapés

 

Le Comité des droits de l’homme des Nations Unies est en passe d’imposer la légalisation universelle de l’avortement au nom même du droit à la vie.

Ce comité d’experts, chargé de veiller au respect du Pacte international sur les droits civils et politiques de 1966, s’est réuni à Genève, les 1er et 2 novembre, pour rédiger son interprétation officielle du droit à la vie. Cette interprétation, appelée Observation générale, détient une grande autorité sur les juridictions et les législateurs du monde entier car ce Comité dispose du pouvoir de juger les États quant à leur respect de ce traité.

Plusieurs de ses membres ont saisi l’occasion pour promouvoir un droit à l’avortement le plus étendu possible. C’est le cas en particulier du français Olivier de Frouville, de l’américaine Sarah Cleveland et du tunisien Yadh Ben Achour. Les autres sont restés largement silencieux. Seule l’experte allemande, Mme Anja Seibert-Fohr, a tenté, en vain, d’obtenir la reconnaissance de « l’intérêt légitime des États à protéger la vie du fœtus », pourtant établi par la Cour européenne. Les trois autres membres connus pour leurs réserves à l’égard de l’avortement étaient les seuls absents.
D’emblée, M. de Frouville recommanda d’éviter toute « considération philosophique ou théorique » et de se concentrer exclusivement sur les droits des femmes. À aucun moment le caractère moral de l’avortement ne fut questionné. De même, à aucun moment les droits des enfants ne furent évoqués. Moins encore, les membres du Comité ont veillé à ne jamais employer le mot « enfant ». Pour les membres du Comité, l’enfant n’existe pas avant sa naissance, donc il serait vain d’évoquer ses droits et intérêts.

«  Recourir à l’avortement pour éviter le handicap à titre préventif »
En fait, il fut question une seule fois, non pas des enfants, mais des « fœtus », pour recommander la légalisation de leur avortement eugénique. Le représentant tunisien a fortement insisté sur cette nécessité. Il a déclaré que, certes, il faut aider les personnes handicapées « après leur naissance », « mais ça, ça ne veut pas dire que nous devons accepter de laisser en vie un fœtus qui est atteint d’un handicap. » (tiens ça fait penser à l'Aktion T4, elle a commencé le 18 aoüt 1939, par l'extermination des enfants, dirigée par Philipp Bouhler, puis on s'est attaqué aux adultes - lisez les articles sur la wikipedia etc.Le programme d'euthanasie )

Il a ajouté : « nous pouvons éviter les handicaps et nous devons tout faire pour les éviter ». Sur ce, le Président du Comité intervint pour rappeler que les débats sont enregistrés.
Mais là encore, la référence au « fœtus » était trop explicite. Pour éviter d’être accusés d’eugénisme, des experts ont voulu alors remplacer ce mot par celui de « grossesse », moins choquant, comme si le changement de terme pouvait rendre plus acceptable la réalité de l’eugénisme.

L’avortement, c’est la vie
Quant au droit à l’avortement, on peut dire que les recommandations du Planning familial international ont été suivies à la lettre. Reprenant le slogan de cette organisation, les membres du Comité ont déclaré que l’avortement devrait être décriminalisé et rendu « safe, legal and affordable » (« sûr, légal et accessible/gratuit »), sans réelle condition ni limitation de délai. Ils ont aussi adopté son argumentation selon laquelle l’interdiction ou la difficulté d’accéder à l’avortement serait en soi une cause de violation du droit à la vie des femmes. Cela fit dire à M. de Frouville, de façon toute orwellienne, que la décriminalisation de l’avortement « est au cœur de la question du droit à la vie » !

Une régression morale
C’est là un complet renversement moral par rapport au sens du droit à la vie. Il résulte de la pensée matérialiste selon laquelle seuls les êtres capables d’intelligence et de volonté seraient véritablement humains et donc dignes de protection. Tant qu’ils n’ont pas atteint cette capacité, ils ne seraient que de la matière corporelle au pouvoir de ceux qui sont « humains », car capables d’intelligence et de volonté. Ainsi, ce n’est plus la « vie humaine » comme réalité biologique qui serait protégée en droit international, mais l’intelligence et la volonté, c’est-à-dire la force. Pas une seule fois, les membres du Comité n’ont rappelé l’engagement pris par les États de réduire le recours à l’avortement et d’aider les femmes enceintes. La faiblesse des enfants à naître et des femmes en détresse ne trouvent qu’une réponse : l’élimination. La loi du plus fort.
Or, c’est principalement contre l’eugénisme que l’universalité du droit à la vie a été réaffirmée après-guerre. Les rédacteurs de la Déclaration universelle des droits de l’homme refusèrent expressément de tolérer tout avortement eugénique, rappelant son usage par le régime nazi ; et ce n’est que sous la pression des pays soviétiques qu’ils renoncèrent en 1948 à protéger explicitement la vie humaine « dès la conception ». C’est parce que les régimes nazi et soviétique étaient matérialistes qu’ils ont promu l’avortement et l’eugénisme ; et c’est contre cette idéologie que les Nations unies ont été fondées sur la base de l’égale dignité de tout être humain.
Si le Comité tire un droit à la mort du droit à la vie, il renoue ainsi avec l’idéologie mortifère contre laquelle les Nations unies ont été fondées.
Contre cette « dérive rétrograde », un autre comité des Nations unies s’est élevé. Le Comité des droits des personnes handicapées a répliqué que « Les lois qui autorisent explicitement l’avortement en raison d’un handicap violent la Convention des droits des personnes handicapées ». Il a ajouté que de telles lois perpétuent « le préjugé selon lequel le handicap serait incompatible avec une vie heureuse. » Mais le Comité des droits de l’homme n’en a pas tenu compte, ses membres les plus actifs restant résolument attachés à leur objectif.
 
Grégor Puppinck,
Directeur

 

écoutez à la 16ème minute ce qui est arrivé à la vieille dame, ce genre de trucs a aussi été pratiqué en Allemagne dans le cadre de l'Aktion T4. Bref il y aune continuité. Et une parenté.
https://odysee.com/@MKWhiteRabbit:3/Eveill%C3%A9s-Commer%C3%A7ants-Artisans-Martial-Lanoir-(Pland%C3%A9mie-Version-Courte):3

 

 

08/01/2021

le film "vaccin covid19 le Crime parfait" par Olivier Probst peut être visionné !

https://dissidencetv.fr/13/12/2020/sante/covid-19/vaccina...

on peut aussi le télécharger si on utilise "media flashgot"

05/01/2021

conclusion

5/10/2020 Face à tout ce que je lis sur les EMI, les souvenirs de vies antérieures (Gwen McDonald etc), et sur le Linceul de Turin (et maintenant les autres linges du Christ qui viennent encore confirmer le cas), et divers autres sujet de ce genre, j’en suis venu à une situation inverse à ce qu’on rencontre souvent, c’est-à-dire que ma raison en est venue à me dire que tout ça, ça doit être vrai, les preuves et conséquences sont maintenant tellement solides et lourdes de conséquences (disparition du corps sans arrachement des fibres), mais, comme toute ma vie j’ai grandi dans l’athéisme et le matérialisme « pur et dur » et dans le désespoir nihiliste « chevillé au corps » que c’est mon « MOI » viscéral et irrationnel qui continue à refuser d’y croire vraiment !
(bref l'inverse de ce qui arrivait autrefois à certains croyants)

04/01/2021

je verse des larmes

upon ascending the parapet at youzhou
poème de chen zi-ang (661-702)      
张廷琛英译(以及国柱的汉语猜读)

 

before me, unseen are the ancients,

behind me, unseen those to come. 

thinking of this infinite universe  

alone, in my sorrow, i shed tears.

 

 在我之前的这些古人,已经看不到了。

在我之后,那些要来的人,也看不见。

想到无穷尽的宇宙,

 孤独,忧愁,我泪流满面。

30/12/2020

Quand on pense qu'elle est morte maintenant ! ......

* Simone de Beauvoir 


Un livre que je conseille vivement: "Mémoires d'une Jeune Fille rangée" de Simone de Beauvoir (née un 8 janvier) Très humain et intéressant, passionnant, et qui fait plus d'une fois réfléchir.
Et il y aurait plein de choses à citer.
Dès les premières pages ça commence très fort:
"je me promis, lorsque je serai grande, de ne pas oublier qu'on est à cinq ans un individu complet. Ce que niaient les adultes."
Qu'est-ce qu'elle a raison!

allez ! je ne résiste pas au plaisir d'encore une:
"Les noisetiers murmuraient et je comprenais leur oracle; j'étais atendue: par moi-même. Ruisselante de lumière, le monde couché à mes pieds comme un grand animal familier, je souriais à l'adolescente qui demain mourrait et ressusciterait dans ma gloire: aucune vie aucun instant d'aucune vie ne saurait tenir les promesses dont j'affolais mon coeur crédule".

So ist das Leben...

 

 

et bien sûr, bien sûr,
il y a :

"Je fis une autre découverte. Un après-midi à Paris, je réalisais que j'étais condamnée à mort. Il n'y avait personne d'autre que moi dans l'appartement et je ne refrénai pas mon désespoir; j'ai crié, j'ai griffé la moquette rouge. Et quand je me relevai, hébétée, je me demandai: "comment les autres gens font-ils? Comment ferai-je?" Il me semblait impossible de vivre toute ma vie le coeur tordu par l'horreur. Quand la déchéance s'approche, me disais-je, quand on a déjà trente ans, quarante ans et qu'on pense: "c'est pour demain", comment le supporte-t-on?"

29/12/2020

memoroj plurestantaj

24/12/2010 "en la kerno de memoroj plurestantaj restas indiko de sekvenda vojo" diras la kanzono.

au centre des souvenirs qui restent, traîne une indication sur la voie à suivre

est-ce qu'ils veulent dire que ce qu'il faut faire, que la voie à suivre c'est de se faire laver le visage par sa mère avec sa salive ? ce serait bien impossible, tout autant que de laver soi-même le visage de ses propres enfants avec sa salive, pour ça il faudrait en avoir, et pouvoir encore en avoir.

à quoi bon rechercher à parcourir les memoroj plurestantaj, puisqu'ils vont eux aussi disparaître à tout jamais avec le reste?

24/12/2020

commentaires sur l'avortement

"Lequel d’entre nous veut-il vivre dans une société où une femme qui ne veut pas garder son enfant n’a pas d’autre possibilité que le faire tuer ? La réponse à cette question va de soi...
Cette réponse s’impose avec tellement de force, qu’elle appelle une autre question : lequel d’entre nous veut-il vivre dans une société où il faut poser la première question ?"


"Il me semble bizarre d’en être arrivé à se dire « il faut trouver un moyen de tuer de façon civilisée et hygiénique. » Je comprends qu’il est horrible pour une femme de se faire avorter dans des conditions clandestines mais le pauvre fœtus n’y est pour rien, il me semble. Je me mets à la place de ce fœtus qui veut exister, il n’a pas envie qu’on passe une loi pour que sa mère puisse le tuer dans des conditions moins traumatisantes pour elle.
J’essaie de me mettre à la place de ce fœtus. Même si j’étais le fruit d’un viol, je voudrais accéder à la vie. Ce ne serait pas de ma faute à moi si la société s’est dégénérée au point d’avoir pervertie la sexualité humaine, moi je voudrais vivre, un point c’est tout. J’espère n’offenser personne, je ne suis pas un expert.
Vive la vie et le respect des autres."

15/12/2020

réponse laconique, le meilleur moyen d'aller au fond des choses

(poème chinois, traduction Vejdo)
Nuna vizito

je la antikva tombo.
Rememoroj... Do,
ĉu la homoj revis? Ĉu
ili amis kiel ni?...

 

-IS ....

 

et surtout lisez ce billet du 2 décembre dernier  :       http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2019/01/16/cha...

05/12/2020

ĝis ebriiĝo jen prefere

—laŭ melodio Minora sankta muziko

2.
La homa vivo daŭras efemere.
Ne lasu bonan tempon
kaj belan pejzaĝon forflugi ŝtele!
Malbona sorto nia estas destinita
jam en antaŭa vivo vere,
ne penu per plenforto vane.
Plibone kantu ĉagrenpele
kaj drinku ĝoje kun amikoj
ĝis ebriiĝo jen prefere.
Ignoru kiel lun’ kaj sun’ alternas
navede kaj libere.

Yuan Haowen (in poèmes de la dynastie Yuan, traduits par "Vejdo" publiés chez libroj de MAS,consulter la liste ds livres édités par MAS, il y en a 4 qui sont traduits par moi d'ailleurs, je dis ça je dis rien !)

 

 

lernu ĝin parkere !

(kaj ne estu kiel plenkreskuloj, kiuj "ĉiam survoje estas" (skribis Viko, hispana esperantisto) male "infanoj ankoraŭ sentas, ke ili meritas, ĝiu tion, kio nun okazas. Ili ankoraŭ ne lernis, ke ni, la plenkreskuloj, ĉiam estas survoje por atingi ion.  ..... Kiam ĝi surstratos, facile forgesos la celon,  kaj lasos sin ĝuante la pordojn de konstruaĵo, la ŝtonetojn  sur la trotuaro, la hundojn piedirantajn... Kaj diros vin - Rigardu ! kiom bela balkono !)

kaj ne forgesu : ĝis ebriiĝo jen prefere.

03/12/2020

Tiel estas la vivo


Tiel estas la vivo

Ŝi tiom laboris en la vivo,
ke ŝia korpo nun malfortiĝas,
ŝia vizaĝo paliĝas
kaj ŝiaj ostoj rompiĝas.
Tiel estos nia fino:
kelkaj solaj, sen amikoj
aliaj kun familio,
sed kun foresto de amo,
ĉar tiel estas la vivo.


Arquillos aprilo 2017