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17/05/2021

Le moment est venu de faire le point

Le moment étant venu de faire le point de la situation,

1) La mort de 100 millions de personnes (doublement de la famine dans le monde). plus les maladies qui ne sont plus soignés, les maladies plus détectées, les suicides, les gens devenus SDF et mort dans la rue, etc Les mesures thérapeutiques ayant donc tué 100 fois plus que la maladie elle-même.

2) Explosion de la haine de la peur, du mépris et de l'isolement parmi les êtres.

3) Séparation des personnes, y compris au sein des familles.

5) Ruine et destruction de centaines de millions de vies partout sur terre (pour des raisons économiques)

6) des millions de personnes âgées mourant toutes seules à l’hôpital sans pouvoir dire adieu à leurs enfants.
Et bien d'autres choses encore... (Suicides, divorces etc...)

Il me semble par ailleurs également essentiel de souligner les effets « collatéraux » destructeurs et déshumanisants de l’imposition du masque.

(et tout ça indépendamment des projets de mise en esclavage de toute la population de la terre qui est le projet final du grand capital Bill Gates et Claus Schwab)

Un jour les conséquences (et les causes, acteurs .... et motivations ..... ) seront évaluées, (un nouveau Tribunal de Nüremberg ?) c'est inévitable un jour quelqu'un le fera, et ce sera dramatique, l'Occident est en train de pourrir (pas seulement l'Occident, le totalitarisme est installé en Chine Aussi) et personne ne peut plus le cacher. "Tout ça pue, pue pue, au dernier degré" (à 1 h 55-56)

(Si nouveau Tribunal de Nüremberg il y a , il y aura un "grand reset" mais pas celui qu'ils voulaient nous imposer, un autre ....)

comme dirait l'expression populaire : il y a des potences qui se perdent. Mais le Tribunal de Nüremberg va peut-être les rattraper

18/04/2021

la fin du règne animal

 9/2/2004 Vu « LA FIN DU REGNE ANIMAL » c’est un film horrible. C’est un très beau film.

 C’est un film (de Joël Brisse) qui a tout pour devenir un film-culte, auprès de écologistes par exemple.

 C’est un film aussi horrible qu’un film qui raconterait Auschwitz.

 (Et c’est révèlateur de l’unité foncière du mal, croyez vous qu’il y ait une différence entre les
 gendarmes français (que faisaient-ils en 40-45 au fait ? ils ont obéis aux ordres) et les SS ? non,
 non, les SS aussi faisaient leur devoir sans état d’âme, c’est pareil, on leur avait dit sur les juifs la
 même chose que les autorités vétérinaires, et ils étaient aussi sans âme et impavide devant des
 êtres qu’ils ne reconnaissaient pas)

 Le titre de ce fim devrait être en fait « Le triomphe de la mort » et de tous ceux qui sont de sont côté, qui la
 propagent, l’imposent en font le culte, sont ses hommes de mains fanatiques et dévoués.

 A la fin il ( le héros du film, Noël) s’enferme avec tous les animaux restants du village et se fait bruler
 vif avec eux dans sa grange. Après ce qu’il a vu quelques heures avant, et ce qu’il a été amené à faire
 (la vieille brebis) ça se comprend. C’est logique.

 Ca n’a rien d’étonnant que cette France se met à voir rouge pour le moindre bout de tissu qui
 témoigne que quelqu’un croit en Dieu !

Eh oui on fait une chasse paranoïaque à tout ce qu’on soupçonne de faire même silencieusement de la propagande pour Chanel, non, pardon pour Adidas, non eux ils ont le droit, pardon ! pour la croyance en Dieu et toute autre idée religieuse, et en même temps par exemple l’institutrice du film « La fin du règne animal » quand elle tient à bien enfoncer dans le crâne de son élève que « ressusciter, ça n’est JAMAIS arrivé et ça n’arrivera JAMAIS » elle fait de la propagande antireligieuse très nette et pas neutre du tout, ça c’est autorisé, alors que quelqu’un, qui ne ferait même aucune propagande, mais qui simplement s’habillerait – en choisissant un vêtement traditionnellement occidental ! – de telle sorte qu’on pourrait en présumer qu’elle croit en Dieu, ça ils le considèrent comme une atteinte à la neutralité !!!!

Là ils jettent le masque ! et on voit bien ce dont il s’agit en fait……

 C’est bien l’alliance de Raffarin-Sarkozy-la-ligue-d’action-Laïque-les-nouveaux-calotins-de-l’Ordre,
 et la société décrite dans « Brave New World » qui est la notre aujourd’hui, la flicaille (la flicaille
 éternelle, le seul Internationale imperturbable) les ayatollahs du Freudisme et du culte de la mort.
 Les bonnes–femmes  de notre époque, ces Anges de la Mort,  qui ont d’ailleurs le physique de
 l’emploi : maigres, raides et glacées, toujours tendues, aussi blindées et fermées qu’une Entreprise
 moderne, elle ont le même look qu’un tiroir de morgue et contrairement aux chiens, (et même aux
 moutons, si l’on en croit le film) elles sont incapables d’aimer qui que ce soit, c’est tout à fait
 incompatible.

 Enfin, la morale est sauve ! (la morale de l’athéisme et du matérialisme !) puisque que tous les
 phénomènes bizarres du film ont en fait une explication naturelle !

 
Un film désespéré et désespérant.

 

Et plein de scènes inoubliables. (ne fusse que celle où les moutons se mettent à former un cercle autour de Noël pour le protéger.)

 

13/04/2021

il y a cent ans et plus ....

Les Tilleuls, les Lilas d’Espagne…

à Michel Puy

Les tilleuls, les lilas d’Espagne et les sureaux
Sous l’averse chaude d’avril
S’épanouissent… Quand le soleil brillera-t-il ?
Ah ! quand chanteront les oiseaux ?…


L’herbe envahit le jardin tout entier…
Le chat s’endort dans le grenier
J’entens grincer la pluie en haut du toit
La girouette
Tourne sur elle trente six fois
Et puis s’arrête…


Qui marche dans l’herbe mouillée,
Qui secoue l’arbre chargé d’eau,
Qui fait, sur ses vieux gonds rouillés,
Rouler la porte et qui touche au marteau ?..


Un volet bat. Du plâtre tombe dans les orties.
L’horloge sonne étourdiment,
Et, tout en écoutant le vent,
Je sens, contre les murs et les feuilles, la pluie
Continuer son rauque et doux crépitement…

 

Francis CARCO

 

26/03/2021

contrairement à ce que croient les racistes, les identitaires affolés et tout ça - et avec encore une vidéo en plus découvrez la chaîne maquis cévénol !

l'assimilation ça se fait ! sI  si !  y compris avec les gens d'origine "arabe"


(le lien : https://www.youtube.com/watch?v=w1ZNKEu_nFc ) autre lien libre, où on peut télécharger https://ru-clip.net/video/w1ZNKEu_nFc/gj-musulman-attenta...

Tous ensembles avec les gilets jaunes pour chassez la mafia exploiteuse au pouvoir et pour rendre sa démocratie et son humanisme à ce pays

Et d'ailleurs relisez les vieux journaux, livres d'histoire, études sociologique anciennes et tout ça : les belges (les belges !) quand à la fin du XIXè siècle ils sont arrivés dans les usines du Nord les journalistes, ont  dit que c'était des "barbares inassimilables", en 1900 on reprochait aux italiens de Marseille de refuser l'assimilation, de vivre entre-eux, d'être des terroristes (eh oui ! on venait d'assassiner plusieurs rois, impératrice, président de la république et même lancer une bombe dans la chambre des Députés, et à chaque fois c'était un anarchiste italien !), en 1930 on reprochaient aux polonais de se pas s'assimiler, ils venaient avec leurs curés, car ils étaient "trop religieux", et les polonaises ne sortaient pas de leurs corons et ne savaient même pas parler français,  on a reproché ça aussi, très officiellement - étude d'une équipe de sociologues ! - aux arméniens, etc, etc (on a reproché ça aux juifs aussi quand ils sont arrivés de Russie au début du siècle).

EN fait la plupart des gens d'origine musulmane etc, la plupart se considèrent comme français et  fiers d'être français, et raisonnent en français (de même  que les polonais qu'on traitait de ""polaks ou les arméniens du groupe Manouchian...). Et avec la tradition frondeuse des français, https://ru-clip.net/video/Wfa6VXuEBSQ/%F0%9F%9A%A8le-plan...

et sous une des dernières vidéos de Florian Philippot, un commentaire dit :

E Kml Il y a 34 minutes

Mr Philippot, je suis français d’origine marocaine, sachez que je vous écoute depuis pas mal de temps et que nous français avons absolument besoin de vous! J’aime mon pays, j’aime ma patrie et notre France doit être dirigé par une personne comme vous qui n’est pas nationaliste mais qui protège l’âme de notre France. Svp ne lâchez rien face à tout ces corrompus. Je vous soutiens et encourage mon entourage à en faire autant. Vive la France

il faut faire de la pub pour la chaîne de Florian et dans votre entourage : https://ru-clip.net/video/cpw-QxnCITw/esclavage-pour-dett...

26/02/2021

post lego de D-ro Jourdan

ĉu mi estas tiel nun ? ....
mi ne scias

 

Mi serĉas trankvilon

Tra vasta kaj senfina paradizo

plena de floroj diversaj

kun aromoj fantaziaj,

mi promenas

ĝis la fin' neimagebla,

kie la melankoli'

jam ne plu estas.

Konvinkita, sed kun timo

mi pretendas

renaskiĝi, mia Dio!

Eble mi pravas

aŭ bedaŭrinde,

kial ne?

mi tute eraras,

sed mi ne haltas,

ĉar aromoj de floroj diversaj

min akompanas

kaj antaŭsento de la fin' neimaginebla

proksime staras

kaj mia timo

kaj la malfido

kun nigra fumo malaperas

kaj pro tio,

tra ĉi vasta kaj senfina paradizo

mi ĝojoplenas.

 

Arquillos 29-08-14

22/02/2021

la première fois


    Je me souviens encore  la première fois quand enfant j'ai pleuré dans mon lit, de trop de douleur et  de chagrin de savoir que je n'étais venu au monde que pour mourir.

« Un silence tombe et à ma grande surprise, Mme Edmonde se met à pleurer. Sans lâcher le bras gauche de Robbie, elle pleure sans un sanglot, silencieusement, les larmes roulant sur ses joues et gâchant son maquillage. » (Robert Merle - Madrapour)

 Bien sûr ce n'était qu'un début, le désespoir et l'épouvante par la suite devinrent bien évidemment beaucoup plus grands encore, ce n'était plus des pleurs.

 

18/02/2021

Obligation du masque = nazisme Passeport vaccinal = nazisme

l'humanité (le fait d'être un être humain) n'existe plus, la citoyenneté et les principes généraux du droit sur lesquels s'est bâtie la Civilisation  ont été abolis.

Et les gens ne montent pas sur les barricades !!!! ne sortent pas "de la paille / les fusils, les grenades, la mitraille/" !!! ils ne méritent plus le nom d' êtres  humains et sont consentants. C'est la FIN DE TOUT

11/02/2021

quelques films vus

*1997 - « L'invitée de l'hiver » de Alan Rickman https://www.dailymotion.com/video/x4osocr  
Très beau film, et très prenant, qui se déroule dans un petit port d'Ecosse un jour de grand gel. Mais je remarque que c'est tout du long très "politiquement correct" - travail du deuil, idylle, psychologie de bonnes-femmes, "think positive"  et tout ça - jusqu'à ce que la scène finale avec les deux enfants (la vérité est sentie seulement par les enfants ! je m'en suis moi-même aperçu durant ma propre enfance), qui rompt cette bien-pensance "positive" et où la vérité de tout est finalement bien sentie, et dite, à mi-mots.

la scène finale de "L"invitée de l'hiver", de Alan Rickman (bizarrement aucun descriptif de ce film ni critique n'en parle ! tout le monde se focalise sur le couple mère-fille, et rien sur ces enfants !!! (ni les chatons ... ) pourtant c'est selon moi la partie la plus tragique la plus profonde et la plus importante du film)

 

*1987 - Un film « L’intendant Shansho » de Mizogushi (japonais) que j’ai vu hier
soir à la télévision. Très beau film. Drame humain, et sujet social sur l’esclavage dans le Japon
antique. Il se passe entre 950 et 1150 de notre ère à l’époque Heian, des régents Fujiwara,
avant que s’instaure la féodalité et le Moyen-Age japonais. Un gouverneur trop indulgent lors d’une  révolte de paysans est condamné à l’exil. Sur  la route avec sa femme et son fils et sa fille,
ils sont attaqués par des brigands, qui enlèvent le fils et la fille et les vendent comme esclaves.
Ils se retrouvent aux mains d’un intendant cruel et tyrannique. Avec l’aide de sa sœur le jeune
homme s’évade et se réfugie dans un monastère bouddhique. La sœur se noie pour ne pas à avoir
sous la torture à trahir son frère. Celui-ci idéaliste qui refuse de se contenter de prier le Bouddha,
part avec une lettre de recommandation de l’abbé pour Kyoto voir le Régent, qui lui apprend que son père est mort en exil, mais le réhabilite et le nomme gouverneur de la province où il a été
esclave. Il projette alors de faire libérer tous les esclaves de cette province, le Régent lui rappelle
qu’il n’a ce pouvoir que sur les terres de l’Etat (système des terres étatisées, inspiré de la Chine T’ang et extension des domaines alloués à des particuliers, échappant au lot commun, et  tendant à devenir plus  tard un système féodal) Le domaine où ils étaient esclaves est privé et hors de son
autorité. Il le fait pourtant, libère les esclaves, exile l’intendant et confisque ses biens, en dépit
 des menaces qu’il risque. Puis démissionne  et part chercher le village où il retrouve sa mère,
seule, misérable, aveugle, et au bord de la folie. Elle lui demande où sont son père et sa sœur.
Et il lui répond en la prenant dans ses bras « Il ne reste plus  que nous deux désormais ».

  (…)

 

 

*  22/4/1990 Vu « Crimes et Délits » de Woody Allen : Très Bien, et très  woody-allenien. Il y a beaucoup de choses là-dedans, et il y aurait beaucoup à dire. Une remarque, en comparaison avec ce qui se passe dans « Hanna et ses sœurs ». Dans Hanna et ses sœurs, le héros, après avoir été torturé par la peur de la mort et avoir essayé en vain toutes les religions fini par trouver la paix (cf. Camus in Le Mythe de Sysiphe « Cette paix empoisonnée » et ces « renoncements mortels » ) dans la sensation immédiate du bonheur ;
à comparer à ce qui arrive à l’ophtalmologiste de Crimes et Délits qui après avoir accepté de faire tuer la femme qui l’aime et risque de briser sa sécurité et sa puissance (est-il vraiment plus mauvais que les autres ? je ne pense pas, mais justement la puissance et la sécurité corrompent, il a plus à perdre, il lui est plus dur d’accepter les catastrophes et plus facile de disposer du sort des gens), a connu (« l’œil était dans la tombe et regardait Caïn ») les transes du remords ; et puis quelques mois plus tard, dans l’athmosphère du bonheur familial a retrouvé la paix, assis sur le cadavre de cette femme. C’est le même phénomène en fait, la  même paix gagnée à coups d’inconscience et d’engourdissement sous l’effet des petits bonheurs, que nos maîtres à penser appellent "travail de deuil", laquelle est tout aussi criminel ("dans son coeur" disait Jésus-Christ)
La comparaison mérite qu’on y réfléchisse par l’éclairage qu’elle ouvre.

 

*29/3/1992 Vu « Ombres et Brouillard de Woody Allen,
c’est un conte philosophique.Très beau, très complexe, marrant, émouvant. C’est Woody Allen, l’auteur, et l’acteur aussi, et son visage qu’évoque la critique. Le scénario est fait pour finir en tragédie, mais comme d’habitude il y échappe par une pirouette Ce cœur pur à l’air de minus en naphtaline et qui est sans doute l’être le plus inoffensif de sa ville, peut-être le seul, qui se veut trop honnête, trop ouvert à la vie, et à la raison, à l’honnêteté, donc à l’impuissance, qui a gâché sa vie par ses hésitations, piégé dans une machine infernale devrait finit pendu jugé et condamné comme étant le tueur psychopathe. Il se sauve en  acceptant, finalement (…..) de devenir l’assistant de l’illusionniste. c. à d. : dans cette machine infernale qu’est la vie le seul « salut » ce sont les illusions. Mais les choses ne sont pas ce qu’on croit qu’elles sont. « On a besoin de choses solides sur lesquelles on peut compter » dit-il (cf. la scène finale de « Manhattan ») Mais il s’aperçoit que sa fiancée n’est pas celle qu’il croyait. Ça arrive souvent dans la vie qu’on s’aperçoive que la femme qu’on aimait n’est pas, n’a jamais été, ce qu’on croyait, qu’on croyait à un être de lumière sur lequel on pourrait compter et tout s’effondre quand son vrai visage se révèle dans l’épreuve. N’est-ce pas ?

 

29/3/2002 Vu « Intervention Divine» film palestinien (le 3ème je pense, après
le merveilleux « Conte des Trois Diamants » de Michel Khleifi
)  de Elia Suleiman. Très beau,
très « konsilinda ». Si on le laisse travailler (…) et si les Israéliens ne le tuent pas, il deviendra un
des plus  grands réalisateurs du siècle (le 21ème) « un tableau tout à la fois burlesque et
désespéré ». Oui la critique évoque Jacques Tati et Buster Keaton, exact, j’y ajouterais la Provence  de Pagnol ; et par moment les images ou les scènes virent au surréaliste. E. Suleiman manie un humour tout à fait personnel.
https://www.youtube.com/watch?v=ICkLnlDnOIk

Et la scène des mains https://www.youtube.com/watch?v=9wgoJbfWGj8 au parking du check-point fout en l’air, à elle seule, le slogan absurde et anti-humaniste  « à chacun son corps »

 

*28/11/2002 vu « l’homme sans passé » de Aki Kaurismaki (un finlandais), primé à Cannes ;

 Quel monde sinistre et morbide comme c’est pas permis ! D’une totale déshumanisation et d’une profonde barbarie. L’inde (même les bidonvilles de l’Inde !) est un monde dix fois plus civilisé et dix fois plus humain que la Finlande !

 C’est bien un pays nordique, on sent  très fort qu’on est dans ces pays où on a stérilisé les femmes  qui se teignent les ongles de pieds en rouge et où on met en prison les clients des prostituées !  C’est l’image du monde orwellien et barbare que nous préparent le capitalisme + Sarkozy + la politically correctness. La « citée de la Joie » de Calcutta c’est un espace d’humanité (même le  parrain mafieux ! en comparaison ! même lui !!) de civilisation, de solidarité et de douceur, et de joie, c’est une vraie soirée dansante, en comparaison avec la Finlande de l'an 2.000 ! La femme (dans le film) du guichet de l’ »ANPE », on aurait envie de l’écraser sous son talon, tellement elle est odieuse  (et typique).  Ce film pue la mort. Et vous fait aussi comprendre, encore mieux que tout un site Internet d’antimondialistes ou d’anarchistes, à quel point on est enfermés sans espoir dans un bagne. Et que quand on a accepté dans les années 70 de se laisser « bancariser », on a signé notre arrêt de mort, et celui, très concret, de milliers d’êtres, et celui de la Civilisation. Il aurait fallu alors se révolter et brûler les carnets de chèques.

 Ces finlandais nous montrent un peuple profondément brutal, égoïste, et rustre. Les seuls êtres qui respirent l'humanité là-dedans ce sont les chiens.

 Ce film évoque à peu près autant la vie que le cadavre refroidi de Jacqueline sur son lit de décor mortuaire.

 

 *134) 12/3/2003 Vu « Monsieur Schmidt »

film d’Alexander Payne. TB. C’est très émouvant, les  acteurs très bons ; Ca fait fort penser à cet autre film américain « Mort d'un commis voyageur » ; ça évoque aussi par moments le Dictionnaire des Idées reçues de Flaubert, en beaucoup plus cruel.
 Ça se passe aux USA mais c’est non seulement une « devastating » (comme on dit en anglais) condamnation des américains-moyens mais tout aussi bien des français-moyens. Et pas seulement de ce qu’est devenu le christianisme aux USA mais tout autant de ce qu’il est devenu en France ! Ça décortique dur ! et ça met à jour bien des choses dans la psychologie sociale.

Et puis encore une fois, comme « La maîtresse du lieutenant français », « Le huitième jour », etc, tant de films, le spectacle et la dénonciation de ce que c’est que les femmes : profondément affligeant et répugnant. Et bien entendu une fois de plus cela montre que contrairement à de vieilles idées reçues ce sont les hommes qui sont sentimentaux, vulnérables et sensibles, qui sont de vrais êtres humains, et les femmes matérialistes, égoïstes, « positives », bouffées par les
conventions et sans cœur.

 

 * 6/10/2003 « A cinq heures de l’après-midi » ( l’heure de la mort chez Garcia Lorca ) : tu  vois, que ce soit chez Kiarostami ou Makhmalbaf (et le père aussi) il y a une école iranienne de  cinéma, on retrouve ce côté « contemplatif », cette sensualité lente et attentive des images, leur  splendeur, leur poids, etc, il faut le voir pour comprendre. Et cette attention aux êtres si forte,  attention  silencieuse, et pleine de respect.  
Makhmalbaf ne caricature pas du tout ses vieilles badernes « fanatiques », ils sont d’une profonde  humanité, et même parfois d’une grandeur « antique » , et c’était pareil dans le « voyage de  Kandahar » le vieux qui s’appliquait, comme un Saint François d’Assise, à rendre grâce à Dieu  pendant qu’il se faisait dépouiller par les voleurs.  
 En fait, contrairement à ce que vous font croire les journalistes, le thème « émancipation de la  femme », forcément d’actualité dans l’Afghanistan  post-Taliban, et qui fait saliver et se masturber  intellectuellement tous les politiquement corrects et les bien-pensants de notre occident, n’est pas le  seul thème du film. C’est un film très triste, à l’image de la condition des afghans, ça a aussi un côté  Beckett (Samuel).
Et puis c’est un film à montrer aux espérantistes pour les alerter sur l’hégémonie de l’anglais !!!! et le  besoin urgentissime de subventionner le projet « Zaban-e-Salam » de former des professeurs  d’Espéranto afghans !  
 En tous cas on voit qu’en Afghanistan c’est comme en France (en Occident, aux USA ou en Suède  c’est encore pire) : les hommes afghans se sont persuadés que de voir le visage d’une femme c’est  sexuel, et que ce qui est sexuel c’est mal et pervers, alors ils ont honte de les regarder, se tournent  contre le mur et demandent pardon aux autorités (en l’occurrence Dieu ; heureusement, lui,
 pardonne !! ……) en France maintenant c’est pareil: on a intégré aux hommes la honte du désir  sexuel et ils (et d’abord elles) sont persuadés que c’est mal, sale et pervers.

 * « Dirty pretty things » film de Stephen Frears. Excellent film. Grand film. Voilà l’image toute  crachée et précise du monde actuel.

Et pour une fois je crois que Jacqueline aurait aimé…..

Et le rôle principal (Akwe) est quelqu’un de bien. Mieux que la femme, bien sûr, comme toujours.

 

 

 * J’avais acheté le video-disque de « Le vent nous emportera » d’Abbas
Kiarostami (vraiment le cinéma iranien est un des meilleurs du monde en ce moment, avec également ce que j’appellerais le Néo-Réalisme anglais Ken Loach, Stephen Frears, Mike Leigh, etc)

Je l’ai regardé. Que de choses à dire ! que de thèmes à aborder ! Un voici un : contrairement aux  phantasmes que s’entretiennent complaisamment les occidentaux, dans la vie quotidienne de ce  village (en plus village ! donc traditionnel, pas des intellectuels ou des bourgeois occidentalisés) pas
 du tout d’ambiance « lourde » religieusement, pas de puritanisme (peut-être moins que dans la  France actuelle où tout est interdit par « politically correctness »), des sous-entendus grivois entre  hommes et femmes, une attitude sereine et pleine d’assurance chez ces dernières (et pas la  réserve et la peur paranoïaque qu’on constate maintenant en France de leur part !), une convivialité  libre et tranquille comme dans les villages français d’avant-guerre.
 
Et par ailleurs une qualité et une chaleur des rapports humains, une liberté d’aller et venir dans  l’espace public qu’on ne connaît plus en Europe aujourd’hui !

 

 *Janvier 2004   ) Vu « Un Roi sans divertissement » de Giono(le film) ; oui ça mérite d’être classé
 parmi les classiques. Et c’est un chef d’œuvre filmé (par Giono même) de main de maître, tout y est
 pensé savamment jusqu’aux moindres détails.

Le procureur, vers la fin il fait un peu CHEREA (personnage dans le "Caligula" de Camus). « quatre sous de vie, il ne faut pas jouer avec » - ouais !
 bien sûr il a tort. En fait et l’autre film,
le film italien vu il y a quelques mois « Nos années »
* (« i nostri anni ») montre très bien que non seulement quatre sous de vie mais 80 ans
de vie ce n’est RIEN  (n’est-ce pas Jacqueline ?), et pas seulement la vie, mais tout ce dont on
la remplit, y comprit les  valeurs et tout ce pour quoi on se passionne et est prêt à mourir et à
 tuer. Rien du tout. Fini.
 

 

*9/2/2004 Vu « LA FIN DU REGNE ANIMAL » c’est un film horrible. C’est un très beau film.

 C’est un film qui a tout pour devenir un film-culte, auprès de écologistes par exemple.  C’est un film aussi horrible qu’un film qui raconterait Auschwitz.  (Et c’est révèlateur de l’unité foncière du mal, croyez vous qu’il y ait une différence entre les
 gendarmes français (que faisaient ils en 40-45 au fait ? ils ont obéis aux ordres) et les SS ? non,  non, les SS aussi faisaient leur devoir sans état d’âme, c’est pareil, on leur avait dit sur les juifs la  même chose que les autorités vétérinaires, et ils étaient aussi sans âme et impavide devant des  êtres qu’ils ne reconnaissaient pas)

Son titre devrait être en fait « Le triomphe de la mort » et de tous ceux qui sont de sont côté, qui la  propagent, l’imposent en font le culte, sont ses hommes de mains fanatiques et dévoués.

A la fin il ( le héros du film, Noël) s’enferme avec tous les animaux restants du village et se fait bruler  vif avec eux dans sa grange. Après ce qu’il a vu quelques heures avant, et ce qu’il a été amené à faire  (la vieille brebis) ça se comprend. C’est logique.  

Ca n’a rien d’étonnant que cette France se met à voir rouge pour le moindre bout de tissus qui  témoigne que quelqu’un croit en Dieu !
C’est bien l’alliance de Raffarin-Sarkozy-la ligue- d’action- Laïque- les-nouveaux-calotins-de- l’Ordre,  et la société décrite dans « Brave New World » qui est la notre aujourd’hui, la flicaille (la flicaille  éternelle, le seul Internationale imperturbable) les ayatolllahs du Freudisme et du culte de la mort.
 Les bonnes–femmes  de notre époque, ces Anges de la Mort,  qui ont d’ailleurs le physique de  l’emploi: maigres, raides et glacées, toujours tendues , aussi blindées et fermées qu’une Entreprise  moderne, elle ont le même look qu’un tiroir de morgue et contrairement aux chiens, (et même aux  moutons, si l’on en croit le film) elles sont incapables d’aimer qui que ce soit, c’est tout à fait  incompatible.

Enfin, la morale est sauve !…. - la morale de l’athéisme et du matérialisme ! - puisque que tous les  phénomènes bizarres du films ont en fait une explication naturelle !  
Un film désespéré et désespérant.

 

* 26/5/2004 « Printemps, été, automne, hiver, et printemps », c’est un
exposé romanesque de la métaphysique bouddhiste en fait, le karma, le désir, etc. Très didactique en fait. Bref, si au lieu  du  Bouddhisme, si ç’avait été l’Islam que l’auteur aurait ainsi exposé, le film aurait été  "descendu en flammes" par tout le monde, et sa projection aurait été interdite en France, et si  jamais le réalisateur  aurait osé se pointer, il aurait été aussitôt arrêté par la police et expulsé.

 

 *4/5/2004 Baboussia

Ce film – Baboussia – est, je m’en doutais, tout un tableau de la Russie de l’après communisme.
Tout y est, ou beaucoup. Et l ' "éternelle Russie" des forêts et des clairières. Et la belle musique  russe. Et quel contraste entre  les russes modernes : maigres, dures, fermées, pequeneuses ( bref comme les françaises de  maintenant !!) et celles de deux générations avant, les vieilles paysannes, rondes épanouies
 rieuses, toujours des chansons aux lèvres, humaines, tendres et débordantes d’affection, palpable,  réelle («forta palpa kuneco » comme disait Claude Piron) et un cœur en or. La scène la plus sublime  est sans doute celle où lors de la soirée d’adieu dans le village la vieille ( le nom ?, celle qui se  casse la jambe, la mère de l’ivrogne, mais qui a un cœur et du respect pour sa mère et sa tante  quand il est sobre) se blottit contre Baboussia et la caresse tendrement, et le  regard que lui  rend  Baboussia. Et tu te souviens du moment où elle a faillit mourir prostrée sans manger parce que sa  fille était morte, voilà ! elle faisait simplement comme les animaux des histoires, si nombreux ! et pas  seulement des chiens, mais aussi le chat Kout d’Elian Finbert et des oiseaux, etc, qui se laissent  mourir de chagrin, refusent de jouer, bouger, manger, et meurent, c’est ça la façon normale, et
 logique, et lucide, de se comporter quand on est un être humain. Ceux qui survivent ne sont pas des  êtres humains, tout simplement. Et ceux qui trouvent ça bien sont des monstres pervertis. Et des  idéologues de la religion de la mort.

- Ce film, c’est (un peu manichéen ?  non, justifié  tout simplement) la condamnation du mode de vie  moderne et des mentalités qui vont avec. Et dans la Russie postcommuniste c’est encore aggravé  par ces fameux « Nouveaux russes », ceux qui ont compris le capitalisme ! … (et en sont les  victimes, sans s’en rendre compte), en contraste avec la vie au village, encore comme avant.
 

Oui j’ai encore eu la chance de vivre mon enfance à une époque où il y avait encore une France,  dans une vraie maison  un vrai foyer, où il y avait toujours quelqu’un à la maison. Une France  équipée et à visage humain, où il y avait, autour, une VILLE, une vraie, avec des magasins, des  bornes fontaines, tout ce dont on a besoin, mais par contre pas un seul digicode ni caméra de
 vidéo-surveillance
. Une société qui était encore civilisée, des églises où il y avait encore des  gens qui prient, et dont les portes étaient ouvertes !!! des églises avec des sacristains. Des  vitrines décorées pour Noël, et à Noël des chants de Noël à la radio et le reste de l’année PLEIN,  plein de choses de tous genres à la radio. Un pays moderne et encore à visage humain. Une  maison où tous les gens de la ville  venaient y passer leurs commandes aux Galeries Lafayette.
Bon, c'est parce qu’on ne le savait pas, mais en Algérie on commettait autant d’atrocités qu’en Tchétchènie.
 Sans doute il n’y a plus qu’en Inde qu’il y a encore de la civilisation. En Inde et en
Ouzbékistan. Et sans doute aussi en Amérique Latine (coté peuple !)
 
De toutes façons la petite fille « muette » n’a sans doute jamais été incapable de parler, c’était
certainement dans la tête, sans doute au moment du bombardement elle a promis à Dieu de ne plus 
jamais parler si elle s’en sortait vivante, ou bien elle était persuadée que si jamais elle reparlait ses  parents mourraient. Et seule la conscience que si elle ne disait rien Baboussia mourrait lui a donné  la force de sortir du cercle où elle s’était elle-même enfermée.

 

 * date  ? 2005 ? « Uzak » de Nuri Bilga Ceylan : Dans cette Turquie qui ressemble à fond de train à l’Europe occidentale (de maintenant !…) les ramiers et les chats sont les seuls êtres vivants.

Le héro du film aura tout tué. Il a tué la souris, il a tué l’amitié possible avec son compagnon du village, avec qui il n’a cessé de refuser tout rapport humain et qu’il a fait fuir, il a tué son enfant, en le faisant avorter, et dans la séquence la plus forte (non la plus forte c’est la tragédie de la malheureuse souris) du film : la dernière, 20 secondes, il commence à se rendre compte et à regretter.



* 3/07/2005 ULTRANOVA

 Vu « Ultranova » de Bouli Lanners, film belge de 2004. C’est un très bon film, Très artiste et pensé.

 Là aussi c’est encore une fois un sacré résumé de la société contemporaine ! de notre société  détraquée, pervertie et accessoirement déshumanisée par l’âme du Libéral-Fascisme actuel, on y  voit bien le contenu (et les symbolisations matérielles en locaux !) et la perversion, l’absurdité à la  Kafka et le cynisme grotesque à la Ubu, du monde à la W-Bush-Doustes-Blazy !! et le fascisme glacé
 de notre Civilisation de l’Assurance et tout ce qu’elle recèle de stalinisme. (et de déshumanisation  surréaliste, mais ça, malheureusement ça n’est encore que son aspect superficiel, au cœur c’est  encore plus pervers et plus anti-humaniste !
 
Jusqu’à ces immeubles avec leurs placrages de baies vitrées hermétiques en  place de fenêtres,  ces Fleury-Mérogis blindés et digicodés en lieu d’immeubles. Et last but not least ces enterrements  qui sont autant de petits Auschwitz de salon…Tout y pue la société actuelle
 
Et la mort du plus « puant » ( non, le plus puant c’est le capitalistoflic de la benne, et c’est lui aussi le  plus représentatif, à lui seul il résume toute l’idéologie du Régime actuel) de ces personnages est  une sacré trouvaille ! Et comme toujours la mort vient révéler l’absolu néant de toute cette  « civilisation », ces conceptions, ces « valeurs » (boursières ! Enfin, les autres ne durent pas  davantage…)

 Le désappointement final de l’obsédé des femmes enceintes (sans doute encore un, qui a été  largué comme un bout de papier gras par une ex-femme, qui a gardé les gosses, et lui réclame une  pension alimentaire, après lui avoir démoli la vie) a un goût nihiliste de Le Petit Prince de  Saint-Exupéry (bien sûr ! c’est un livre nihiliste Le Petit Prince, vous ne la saviez pas ?!! relisez-le)

 C’est frappant, je me souviens, dès la toute première scène où les deux filles parlent ensemble du  jeune homme, en disant « ah il est toujours seul, il paraît qu’il est orphelin, etc. » mon commentaire  a été immédiatement : elles aussi elles sont seules ! je crois voir de manière palpable une vitre de  verre blindée entre elles-deux, tout à fait. Et la suite n’a fait que confirmer mon impression. En fait les
 seuls personnages qui ne participent pas de ces mentalités délétères et perverties par les  habitudes de vie et d’être modernes ce sont, bien sûr, les deux vieux parents du jeune homme (qui  n’est pas du tout orphelin en réalité), on dirait des martiens débarqués d’une autre planète ! la  planète du monde d’il y a un demi-siècle, du temps où il y avait encore des pays, et une société, et  une vie, et des individus, dans ces pays. Tout ça a été remplacé par la mort, capitaliste et
 politiquement correcte. Moderne quoi…
 
Tu vois comme j’avais raison, et que ce n’était pas des paroles en l’air quand je résumais cette  société actuelle comme le règne de la mort, et de la Secte des Adorateurs de la Mort (ah oui ! il y a  aussi celle qui fait des « cours de psychopédagogie », tout y est !), et pas seulement pour ce qui est  de l’avortement et de l’euthanasie, de l’athéisme obligatoire d’état, et les guerres à W Bush et les
 arbres qu’on abat si compulsivement, et impavidement, avant que ça soit aussi les gens, mais  TOUTE la société actuelle, c’est presque palpable, est une société qui ne révère, ne tolère, et  n’engendre que la mort.

Et, la réalisation est très pensée et très fine jusqu’aux décors; le décors peut-être parle plus que  les gens ; Par exemple ces salles sinistres au possible (à l’image de la société, de ses  institutions, forces, rapports sociaux, idées) aux murs tout nus et tout blancs avec des casiers  (fermant à clé !) des portes à vitres blindées, on dirait une morgue. Pas étonnant que leurs âmes  se mettent à ressembler au lieux où ils vivent, normal ! Habiter dans des gourbis de torchis et de  chaume dans le tiers monde serait moins désagréable, moins inconfortable, et moins pénible !

 
*
début/10/2006 DES ROSES POUR LE PROCUREUR

Vu à la télévision le film allemand de 1959 « Des Roses pour le Procureur »

Ce film sur les anciens nazis avec son ton auquel on n’est pas habitué sur ce sujet, malgré son  ton presque guilleret de tragi-comédie et sa musique de cha-cha-cha 1960 est une excellente  dénonciation, qui porte loin, justement hors du mélo facile des films plus récents, mais par  contre les tenants et aboutissants psycho-culturels sont l’air de rien beaucoup mieux mis en  évidence. Et donc ce film sous sa légèreté frappe fort et juste et donne à réfléchir, beaucoup.

Il a raison de ne pas mettre en scène les habituelles grosses brutes fanatiques, mais cet espèce de vil Joseph Prud’homme. (d’autant plus qu’ils sont toujours très nombreux) Les  Joseph Prud’hommes sont beaucoup plus, le film le montre bien, liés aux plus impavides  atrocité, et de manière bien plus dangereuse, que bien d’autres types. La lecture du livre de Zygmunt Bauman - et de nombreux textes actuels .... - aussi permet de le comprendre. Attention ! derrière chaque Joseph Prudhomme se cache un Himmler


Pour le dernier je ne mettrai pas mes propres commentaires mais recopierai des commentaires trouvés sur Internet, ce film est
* BOMBON EL PERRO ( film argentin, filmé en Patagonie)

 

Le destin malheureux de cet homme que tout accable est tout a fait touchant et devant toutes ses rencontres imprévues l'embarrassement dont il fait preuve est poignant . Un très beau moment de cinéma !

Ce film que j'avais vu dans le cadre d'un festival il y a deux ans environ et qui n'était pas connu à l'époque est un véritable enchantement. Je me réjouis de le voir maintenant sorti dans les salles. Le jeu de l'acteur principal est un vrai bonheur ainsi que cette complicité avec Bombon le chien à qui on aimerait attribuer un prix .....

Un petit bonhomme attachant au sourire malicieux, un chien d'une beauté et un coach débrouillard. Un cocktail doux-amer pour une ballade sud américaine authentique.

Wahou ! Quel jeu d'acteur impressionnant ! Ces acteurs non-professionnels n'ont rien a envier aux meilleurs acteurs des super-productions. On se lie d'amitié tout de suite avec Juan, qui joue son rôle a merveille. Le scénario est magnifique, plein de tendresse et d'émotion. A ne pas rater.


C'est l'un des meilleurs films de l'année. Une claque humaniste qui filme avec tendresse l'amour d'un homme pour un chien.Un chien somptueux et qu'on voudrait absolument avoir à côté de soi. C'est un film simple interprété par des acteurs non professionnels...et supérieurs à ces derniers. Pas besoin de claquer des milliards pour faire un grand film. Bonbon el perro est vraiment le meilleur ami du spectateur....


Servi par un jeu d'acteur exceptionnel, tout dans la nuance et les expressions de visage, Bombon el Perro est un film savoureux. le message passe, les acteurs sont touchants et l'humour sur les conditions de vie en argentine n'est pas absent ! Dommage qu'il soit diffusé dans si peu de salles ! Un régal à aller voir d'urgence et à conseiller autour de vous...


Bombo el perro, avec les moyens du bord et des non-acteurs (Juan Villegas, gardien de parking de son état, joue Juan Villegas, employé d’une station service paumée), nous entraîne gaiement dans un véritable voyage philosophique. L’accueil de l’événement est à toute épreuve comme le sourire de Juan Villegas, dont le visage ne se ferme vraiment que devant la violence d’un soir de son associé. Un film en fragments, mais rien d’anecdotique ni de disparate. Plutôt une lente et patiente leçon de générosité teintée de sagesse indienne, souvent prise à tort pour passivité, et une critique sociale et politique discrète mais efficace et fine. Avec ses personnages vrais, à peine des personnages donc, et ses histoires de la vie ordinaire, Bombon el perro parle d’une réalité plus fabuleuse que nos fictions, c’est-à-dire du Monde, qui n’existe, lui aussi, qu’en fragments. Cela le grand cinéma italien, d’un Scola ou d’un Fellini, le cinéma populaire au sens fort du terme, l’avait bien compris

 

 
* 27/2/2005 La Chute

"La Chute". Eh bien l'attitude de Hitler dans les dernières semaines dans son bunker , et encore plus celle d'Eva Braun, est tout à fait comparable et similaire à ce que le catéchisme "psychologiquement correct" appelle la Pensée Positive.......

Eva Braun avant de se suicider, et que son cadavre soit brûlé, s'est mis du rouge à lèvre.

Remarquez, moi j'ai bien mis un bouquet de primevères de mon jardin sur Jacqueline avant qu'on l'emporte .....

05/02/2021

défendons l'humanité !

*Il n'est absolument pas ici question d'accouchement pour grossesse à risque, mais de prétendus "avortements" (en vérité "assassinats") pour une excuse bidon : "détresse psychosociale" .
Le terme " avortement " désignant une action pour empêcher un processus d'arriver à son terme, donc à 9 mois, on ne peut pas désigner cet acte comme un avortement.
Les pervers qui ont voté pour ce crime contre l'humanité parlent de "détresse psychosociale" , un prétexte bidon dans lequel on va faire entrer tout et n'importe quoi. Un petit tour de passe-passe de ces salauds, et leur excuse bidon, raccordée à un motif médical, leur permet de prononcer l'euthanasie arbitraire d'enfants viables.
Ils ont assassiné nos aînés à coup de refus de soins et de Rivotril,
(déjà en Allemagne du temps de l'Aktion T4 ils faisaient ça, un vieillard en très bonne santé recevait une convocation à une visite médicale en hopital, l'hopital déclarait qu'ils le gardait car il ne pouvait pas vivre seul, qq semaines plus tard la famille recevait un avis qu'il était mort, et une urne de cendres)
 bien ils ont refusé de soigner les cancéreux avec leur excuse de la covid.
Aujourd'hui, une autre partie de l'humanité passe à la trappe: les nourrissons viables des "sans-dents". Les grosses bourges soit ne font pas de gosses, soit optent pour les avortements de confort bien avant 9 mois et de nombreux dirigeant n'ont pas d'enfant.
Voilà où l'on en est rendu, grâce aux nazis eugénistes qui nous appliquent à la lettre les théories de 1933 visant le tri des humains, l'éradication des gens qu'ils jugent "socialement gênants" et la recherche de l'enfant parfait, terme nazi repris par ce Laurent Alexandre dans ses conférences à vomir.
Nous ne sommes plus du personnel, nous somme désormais désignés comme "ressource humaine", voire "recyclable" dans les campagnes de dons d'organes, un marché juteux là aussi.
Les Libéral-fascistes du NWO, sous le faux prétexte de promouvoir "la liberté de circuler des citoyens du monde désignés comme "migrants"" , orchestrent en fait des transferts de populations d'esclaves. Les stocks d'humains sont comptabilisés, évalués en fonction de leur impact sur la planète et le NAIRU (moyen d'assurer par le chômage une pression à la baisse des salaires et des conditions de travail !). Et voilà "kill bill gates" qui nous saoule avec ses 15% d'humains en trop sur terre: les non productifs (vieux, trop malades, puis les pas-diplômés-de-l'enseignement-supérieur) doivent être liquidés et les stocks de main d'oeuvre à venir doivent être puisés chez les esclaves importés.

(on est revenu en pleine idéologie nazie !)


Sortons des divisions politiques, religieuses : réapprenons la lutte des classes, car c'est un projet du grand capital, comme on vient de le voir, et DEFENDONS L'HUMANITE en tant qu'êtres humains.

car il y a aussi une dérive psychopathologique chez ces gens de l'hyperclasse et leurs larbins politiques, réécoutez la vidéo "vaccination Covid le crime parfait" à partir de 1 H 24 min, on peut la trouver sur le site Odysée.com (par exemple https://odysee.com/@marcelv74:1/Covid-19-Le-crime-parfait:5 ) et aussi un ou deux liens dans des blogs (par ex : https://gloria.tv/post/HXCVVmWeZYyA4FQgFR8DiEpPf ).

je regrette beaucoup de devoir dire ça, mais en effet entre ces deux types psychologiques de français il n'y a plus de dialogue possible, il n'y a plus que le mépris et la haine, comme en 40-44, si vous voyez ce que je veux dire.

17/01/2021

communiqué du Comité des droits des personnes handicapées- Genève

Le Comité des droits des personnes handicapées des Nations unies a officiellement affirmé que l’avortement des enfants en raison d’un handicap chez le fœtus est contraire à la Convention relative aux droits des personnes handicapées.
 
Alors qu’une pression importante s’exerce pour imposer la légalisation de l’avortement eugénique, le Comité des droits des personnes handicapées des Nations unies vient de déclarer dans un document officiel que « Les lois qui autorisent explicitement l’avortement en raison d’un handicap violent la Convention des droits des personnes handicapées (Art. 4,5 et 8). » Ce Comité poursuit en expliquant que ce type d’avortement est souvent basé sur des diagnostics erronés, et que « Même s’ils ne sont pas faux, cette affirmation perpétue le préjugé selon lequel le handicap serait incompatible avec une vie heureuse. »

La déclaration du Comité des droits des personnes handicapées est d’une grande importance. Elle rappelle, une nouvelle fois, la nécessité de s’opposer fermement à la tentation eugéniste qui repose sur le mépris de la faiblesse. Déjà, en 1947, les rédacteurs de la Déclaration universelle des droits de l’homme durent s’opposer à la tentative visant à permettre la « prévention de la naissance d’enfants handicapés mentalement » et d’enfants « nés de parents souffrant de maladie mentale ». La similitude de ces propositions avec l’idéologie nazie fut alors dénoncée.
L’ECLJ se réjouit de cette déclaration qui va dans le sens de ses nombreuses interventions devant le Conseil des droits de l’homme. L’ECLJ continuera à dénoncer l’eugénisme prénatal ainsi que les avortements tardifs et à rappeler que les droits à la vie et aux soins doivent être garantis à toute personne.
Le Comité des droits des personnes handicapées a également pris position contre un prétendu « droit à l’euthanasie » car, selon lui « cela perpétue les idées reçues selon lesquelles les personnes gravement handicapées souffrent et seraient plus heureuses mortes» Comme les enfants à naître handicapés

 

Le Comité des droits de l’homme des Nations Unies est en passe d’imposer la légalisation universelle de l’avortement au nom même du droit à la vie.

Ce comité d’experts, chargé de veiller au respect du Pacte international sur les droits civils et politiques de 1966, s’est réuni à Genève, les 1er et 2 novembre, pour rédiger son interprétation officielle du droit à la vie. Cette interprétation, appelée Observation générale, détient une grande autorité sur les juridictions et les législateurs du monde entier car ce Comité dispose du pouvoir de juger les États quant à leur respect de ce traité.

Plusieurs de ses membres ont saisi l’occasion pour promouvoir un droit à l’avortement le plus étendu possible. C’est le cas en particulier du français Olivier de Frouville, de l’américaine Sarah Cleveland et du tunisien Yadh Ben Achour. Les autres sont restés largement silencieux. Seule l’experte allemande, Mme Anja Seibert-Fohr, a tenté, en vain, d’obtenir la reconnaissance de « l’intérêt légitime des États à protéger la vie du fœtus », pourtant établi par la Cour européenne. Les trois autres membres connus pour leurs réserves à l’égard de l’avortement étaient les seuls absents.
D’emblée, M. de Frouville recommanda d’éviter toute « considération philosophique ou théorique » et de se concentrer exclusivement sur les droits des femmes. À aucun moment le caractère moral de l’avortement ne fut questionné. De même, à aucun moment les droits des enfants ne furent évoqués. Moins encore, les membres du Comité ont veillé à ne jamais employer le mot « enfant ». Pour les membres du Comité, l’enfant n’existe pas avant sa naissance, donc il serait vain d’évoquer ses droits et intérêts.

«  Recourir à l’avortement pour éviter le handicap à titre préventif »
En fait, il fut question une seule fois, non pas des enfants, mais des « fœtus », pour recommander la légalisation de leur avortement eugénique. Le représentant tunisien a fortement insisté sur cette nécessité. Il a déclaré que, certes, il faut aider les personnes handicapées « après leur naissance », « mais ça, ça ne veut pas dire que nous devons accepter de laisser en vie un fœtus qui est atteint d’un handicap. » (tiens ça fait penser à l'Aktion T4, elle a commencé le 18 aoüt 1939, par l'extermination des enfants, dirigée par Philipp Bouhler, puis on s'est attaqué aux adultes - lisez les articles sur la wikipedia etc.Le programme d'euthanasie )

Il a ajouté : « nous pouvons éviter les handicaps et nous devons tout faire pour les éviter ». Sur ce, le Président du Comité intervint pour rappeler que les débats sont enregistrés.
Mais là encore, la référence au « fœtus » était trop explicite. Pour éviter d’être accusés d’eugénisme, des experts ont voulu alors remplacer ce mot par celui de « grossesse », moins choquant, comme si le changement de terme pouvait rendre plus acceptable la réalité de l’eugénisme.

L’avortement, c’est la vie
Quant au droit à l’avortement, on peut dire que les recommandations du Planning familial international ont été suivies à la lettre. Reprenant le slogan de cette organisation, les membres du Comité ont déclaré que l’avortement devrait être décriminalisé et rendu « safe, legal and affordable » (« sûr, légal et accessible/gratuit »), sans réelle condition ni limitation de délai. Ils ont aussi adopté son argumentation selon laquelle l’interdiction ou la difficulté d’accéder à l’avortement serait en soi une cause de violation du droit à la vie des femmes. Cela fit dire à M. de Frouville, de façon toute orwellienne, que la décriminalisation de l’avortement « est au cœur de la question du droit à la vie » !

Une régression morale
C’est là un complet renversement moral par rapport au sens du droit à la vie. Il résulte de la pensée matérialiste selon laquelle seuls les êtres capables d’intelligence et de volonté seraient véritablement humains et donc dignes de protection. Tant qu’ils n’ont pas atteint cette capacité, ils ne seraient que de la matière corporelle au pouvoir de ceux qui sont « humains », car capables d’intelligence et de volonté. Ainsi, ce n’est plus la « vie humaine » comme réalité biologique qui serait protégée en droit international, mais l’intelligence et la volonté, c’est-à-dire la force. Pas une seule fois, les membres du Comité n’ont rappelé l’engagement pris par les États de réduire le recours à l’avortement et d’aider les femmes enceintes. La faiblesse des enfants à naître et des femmes en détresse ne trouvent qu’une réponse : l’élimination. La loi du plus fort.
Or, c’est principalement contre l’eugénisme que l’universalité du droit à la vie a été réaffirmée après-guerre. Les rédacteurs de la Déclaration universelle des droits de l’homme refusèrent expressément de tolérer tout avortement eugénique, rappelant son usage par le régime nazi ; et ce n’est que sous la pression des pays soviétiques qu’ils renoncèrent en 1948 à protéger explicitement la vie humaine « dès la conception ». C’est parce que les régimes nazi et soviétique étaient matérialistes qu’ils ont promu l’avortement et l’eugénisme ; et c’est contre cette idéologie que les Nations unies ont été fondées sur la base de l’égale dignité de tout être humain.
Si le Comité tire un droit à la mort du droit à la vie, il renoue ainsi avec l’idéologie mortifère contre laquelle les Nations unies ont été fondées.
Contre cette « dérive rétrograde », un autre comité des Nations unies s’est élevé. Le Comité des droits des personnes handicapées a répliqué que « Les lois qui autorisent explicitement l’avortement en raison d’un handicap violent la Convention des droits des personnes handicapées ». Il a ajouté que de telles lois perpétuent « le préjugé selon lequel le handicap serait incompatible avec une vie heureuse. » Mais le Comité des droits de l’homme n’en a pas tenu compte, ses membres les plus actifs restant résolument attachés à leur objectif.
 
Grégor Puppinck,
Directeur

 

écoutez à la 16ème minute ce qui est arrivé à la vieille dame, ce genre de trucs a aussi été pratiqué en Allemagne dans le cadre de l'Aktion T4. Bref il y aune continuité. Et une parenté.
https://odysee.com/@MKWhiteRabbit:3/Eveill%C3%A9s-Commer%C3%A7ants-Artisans-Martial-Lanoir-(Pland%C3%A9mie-Version-Courte):3