04/06/2015
l'espoir d'un mode meilleur, qui était celui du Donbass
Ici chacun sait ce qu’il veut, ce qu’il fait quand il passe.
Ami, si tu tombes un ami sort de l’ombre à ta place.
Une preuve tangible de la société qu’il était en train de construire et que nous construirons.
Un communiste avec les idées claires, un grand cœur et le fusil sur l’épaule. C’était, est et sera pour toujours le commandant Mozgovoy.
De nouveaux bras, de nouveaux esprits, feront avancer ta lutte, pour notre combat, pour une société plus juste, pour une humanité socialiste. No pasaran !

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29/05/2015
nos marquis et leur repli identitaire
http://tousensemble-90.blogspirit.com/archive/2005/06/20/les_ouistes_restent_en_tete.html#more
lundi, 20 juin 2005
Deux jours après la grosse baffe du 29 mai, Christine Ockrent tenait salon sur France 3. Tout l’ancien régime y était réuni, rose et poudré comme à Versailles, continuant à déguster du Oui comme Marie-Antoinette de la brioche : un maître-sondeur (Stéphane Rozès), un expert aux cheveux oxygénés (Pascal Perrineau), un directeur d’opinion (Serge July), un socialiste (Pierre Moscovici) et quelques autres qui leur ressemblaient comme deux gouttes de verveine. L’un parlait du « front de la conservation sociale » forgé par les électeurs du Non, un autre postillonnait sur leur « xénophobie », un troisième s’affligeait de l’ère glaciaire qu’allait connaître l’Union européenne. Leur baratin déjà mille fois ressassé, mille fois réfuté, et que les urnes venaient de disqualifier pour de bon quarante-huit heures plus tôt, ils nous le resservaient comme au premier jour, vivifié par leur appartenance toute neuve à une minorité rebelle quoique archi-dominante. L’esprit pionnier de Lafayette...
Cependant, nos marquis se targuant de causer au nom de la démocratie, au point de se confondre totalement avec elle, ils s’avisèrent que le « camp du Non » avait bien droit à un tabouret au bout de la table, près du rince-doigts en faïence et du crachoir Louis XV. Non bien sûr qu’il faille accorder le moindre crédit à ce que peuvent dire les vilains, les hétéroclites, les « extrêmes qui se touchent », les trop-Français, les pas assez-Français. Mais quand même, malgré les maladies vénériennes dont ils sont porteurs, malgré la bouse qui leur colle aux semelles, malgré leur rigidité fruste, leurs acquis sociaux fétides, leur peur irrationnelle du changement, ces gens-là existent. Rappelle-moi, ils ont même gagné une élection, non ? Alors il faut faire avec. Un peu, pas trop, presque pas. Juste assez pour égayer le banquet. C’est là où la décadence aristocratique toucha au sublime. Car qui reçut des mains de la douairière Ockrent le titre d’ambassadeur de la France des 55 % ? Sur quel bouffon l’amicale des seigneurs allait-elle se venger de la fronde référendaire ? Coupons court au suspens : Jean-Claude Mailly ! [1]Oui, le patron de Force Ouvrière. Petite chose toute molle, sauf le respect. Bonne tête à claque, piètre orateur. Chaque fois qu’il hasardait un mot sur la « dimension sociale » du vote, la dinde Ockrent lui volait dans les plumes en caquetant : « ah ça, mais !... » Le Mailly en était tout ébahi. Pas moyen de finir une phrase. Dès qu’il gonflait les joues, l’autre lui claquait le bec. On ne l’a même pas vu partir.
Ce qu’on a vu par contre, et avec fascination, c’est l’application avec laquelle les poudrés entreprirent de ne pas « se couper » totalement du peuple. Le peuple avait ses raisons, après tout. Dont une que l’on pouvait à la rigueur tenir pour légitime : l’impopularité de Raffarin. À ce propos, Moscovici relaya le message déjà martelé par Hollande : ce vote a été un vote de contestation contre Chirac et son gouvernement. Point final. Tu changes de président et de gouvernement, et tout baigne comme avant. Sous la conduite éclairée du PS, le peuple serait à nouveau sous contrôle. Pas une seconde l’idée ne les effleura que c’était aussi à leurs têtes de cons qu’on en avait, à leur bilan au pouvoir, à leur célébration du travail, à leur culte de la laideur, et puis à leurs pauvres mots tout creux, vidés de leur sens comme on éviscère un ortolan.
Mais la pire entourloupe était encore à venir. À peine assurée son repli (identitaire) dans ces maisons de maître que sont les plateaux de télévision, la Restauration sonna le tocsin de la guerre civile. Dans Le Nouvel Observateur (02/06/05), Jacques Julliard constata en avalant une bouchée de brioche : « La fièvre. La fureur. La rage. Un parfum de guerre civile. Une envie de lynchage sans que l’on sache encore qui en sera la victime. Paradoxe : des Français littéralement hors d’eux ont décidé de se replier sur eux-mêmes... » Dis, Jacquot, faut aller beaucoup au cinéma et avoir un joy-stick à la place du cervelet pour se mettre dans des états pareils. Le droit de vote, que beaucoup ont trouvé la ressource d’exercer à nouveau, un lynchage ? Et tu te demandes qui en sera « la victime » ? Mais c’est nous, ducon ! Le dindon de la farce, c’est évidemment tous ceux qui espéraient ou faisaient semblant d’espérer que voter non à une Constitution digne du règlement intérieur d’un centre commercial permettrait sinon de bloquer les caisses, du moins de les chahuter un peu. D’accord, on se doutait bien que ce chahut serait sans effet durable. Et même on était assez affranchi pour admettre les hypothèses les plus baroques, y compris Sarkozy remplaçant Villepin qui remplace Raffarin, oui, pourquoi pas ? Ils mettent des policiers partout en bas, normal qu’ils mettent des ministres de l’Intérieur partout en haut. On ne se faisait pas d’illusions. Mais de là à...
De là à métamorphoser le Non à l’Europe libérale en un Oui au libéralisme tricolore, c’était plus dur à faire passer. Politiques et médias s’y attelèrent dans les jours qui suivirent. On vit soudain une nuée de ballons étoilés se lever dans les airs : « lutte contre le chômage », « cent jours pour la confiance », « modèle danois », « flex-sécurité », « assouplissement du droit du travail », « période d’essai de deux ans » et même « quotas de l’immigration »... Sur les ondes, dans la seigneurie d’Arlette Chabot ou les boudoirs de France Inter, les consanguins se trouvèrent à nouveau réunis, non plus pour bavasser sur le Non, la fureur et la guerre civile, mais pour dénoncer le chômage, ce « mal français » qu’il urgeait de guérir à la racine, c’est-à-dire par la médéfisation du travail et des frontières. Les gens réclament moins de concurrence ? On les exauce en leur en donnant plus. Les chômeurs ont massivement rejeté le traité de Giscard ? On leur administre un concentré de giscardisme. Les pauvres réclament de la solidarité ? On leur répond « quotas » et « flexibilité ». Le pont-levis est fermé, les châtelains bien à l’abri. Tout autour, il n’y a plus qu’à chercher les fourches, les échelles, les catapultes et les feux grégeois.
Olivier Cyran CQFD
18:50 Publié dans MÉDIAS ET PENSÉE UNIQUE | Lien permanent
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28/05/2015
Il n'y a pas que l'UPR au monde ! En Italie il y a la Coordination italienne de la Gauche contre l’Euro
http://www.m-pep.org/Une-nouvelle-forme-d-organisation-po...
et en Espagne le Frente Civico Somos Mayoria, qui a signé à Assise la déclaration pour la sortie de l'UE de l'Euro et de l'OTAN :
http://es.wikipedia.org/wiki/Frente_Cívico_Somos_Mayoría
http://frentecivicosomosmayoriavalencia.wordpress.com/201...
"la actual Unión Europea es capaz de destruir Europa y reeditar las páginas más negras de nuestra reciente historia."
Et il y a Teresa Forcades et son "Procés Constituent" (en catalan ! langue qui a une littérature depuis le XIIIè siècle, plus vieux que le français) qui est pour la sortie de l'EURO et de l'OTAN :
http://fdg-info13.com/2013/10/30/t-forcades-et-e-vivas-en...
http://es.wikipedia.org/wiki/Procés_Constituent_a_Catalun...
rappel, la coordination d'Athènes http://www.regards-citoyens.com/article-les-partisans-de-... :
Lors du week-end des 30 novembre et 1er décembre 2013, des mouvements populaires et des économistes de tous les pays d’Europe et d’autres nations, ont tenu une réunion qui a connu un grand succès. La réunion a été organisée à l’initiative du Front unitaire populaire de Grèce (EPAM) sur les thèmes suivants : la dette, la monnaie nationale et la démocratie. Dès le premier jour de la conférence, il était clair que tous les participants avaient des idées communes permettant de construire une coopération étroite sur les questions suivantes :
1.- La dette a été imposée par les banques à travers l’euro qui emprisonne les nations et asservit les peuples.
2.- Quitter l’euro et rétablir les monnaies nationales est une condition de base pour reconquérir l’indépendance et mener des politiques de plein-emploi.
3.- Il faut quitter l’Union européenne dans les conditions précisées par l’article 50 du traité sur l’Union européenne.
4.- La démocratie apparait comme un enjeu majeur dans un environnement politique européen où les gouvernements de l’eurozone – et avant tout les élites de ces pays – imposent des politiques menant l’Europe à un nouveau système féodal dirigé par les marchés contre les intérêts des peuples.
L’euro, comme les autres unions monétaires, s’effondrera tôt ou tard. Plus vite chaque pays quittera l’euro et mieux ce sera.
Le dilemme auquel font face les peuples d’Europe est le suivant : ou la dictature des marchés, ou la démocratie et une économie basée sur les besoins des peuples.
La réunion a conclu ses travaux sur des perspectives ambitieuses :
a)- L’importante réunion de deux jours qui s’est tenue à Athènes marque le début d’une coopération stable et active entre les mouvements qui y ont pris part, dans le cadre du respect mutuel de l’identité nationale de chacun.
b)- Cette réunion est le commencement de la libération des peuples d’Europe, qui ont le droit de bâtir leur propre démocratie et leur propre économie.
c)- Les participants, bien qu’ils représentent des mouvements démocratiques, subissent l’omerta de tous les grands médias. Cependant, ils observent dans chaque pays que les mêmes grands médias donnent une large place aux partis d’extrême droite, organisant ainsi la confusion chez les citoyens en associant la nécessité de sortir de l’euro avec l’idéologie d’extrême droite.
d)- Tous les participants à cette réunion internationale se sont engagés (y compris l'UPR) à intensifier leurs efforts et à accroître le nombre de mouvements – dans toute l’Europe et dans le monde – selon les étapes décrites lors de la réunion d’Athènes.
Déclaration sans aucune ambiguïté signée par :
1.- Alza Il Pugno /Eurotruffa (Soulevez votre poing/ Eurotruffa) – Italie.
2.- Asociación Democracia Real Ya (Association démocratie réelle maintenant) – Espagne.
3.- Campaign for an Independent Britain (Campagne pour une Grande-Bretagne indépendante) – Grande-Bretagne.
4.- Economia Per I Cittadini (EPIC – L’économie pour les citoyens) – Italie.
5.- EPAM (Front unitaire populaire) – Grèce.
6.- IPU (Parti de l’indépendance) – Finlande.
7.- Mouvement Politique d’Émancipation Populaire (MPEP) – France.
8.- National Platform (Plateforme nationale) – Irlande.
9.- Per Il Bene Comune (Pour le bien commun) – Italie.
10.- Union populaire républicaine (UPR) – France.
Traduction en français assurée par le M’PEP. Source : communiqué de presse
Sur Wikipédia .....Partis politiques proposant la sortie de l'UE[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Euroscepticisme.
En Autriche, la parti de gauche Euro-Austritt (Comité « Sortir de l’euro ») : Wilhelm Langthaler, Albert F. Reiterer.
En Espagne le Frente Cívico Somos Mayoría (FC – Front civique) de Manolo Monero Pérez.
En Finlande, le Parti de l'indépendance de Antti Pesonen souhaite le retrait.
En France, le Pole de renaissance communiste en France, le Mouvement politique d'émancipation populaire et l'Union populaire républicaine8 souhaitent la sortie de la France de l'euro et de l'Union européenne. Le Front national, à l'inverse, propose de renégocier les traités, à l'instar des partis européistes ou alter-européistes9. Ainsi que par le M'PEP, présent à Assise
En Grèce, le retrait est souhaité à gauche par l'EPAM (Front populaire uni) et le Parti communiste, à droite par Aube dorée.
En Italie, cette tendance est incarnée par le parti Pour le bien commun et la Coordinamento nationale sinistra contro l’euro (Coordination nationale contre l’euro) : Moreno Pasquinelli, qui s'est prononcé pour la sortie de l'UE lors de la rencontre d'Assisele 23 août 2014 (voir Déclaration d'Assise.
Au Royaume-Uni par le Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni.
Aux élections européennes 2014, en France l'UPR, en Grèce l'EPAM et en Finlande le parti d'Antti Pesonen présentent des listes de candidats sur la base de ce programme de retrait.
(attention ! je ne sais pas combien de temps encore l'UPR tolérera qu'on parle des autres partis pour une sortie de l'UE sur son site ! ... rien de pire que la jalousie et l'exclusivisme)
en tous cas le parti autrichien est à l'oeuvre ! http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/initi...
et en France des déçus de l'UPR (qui avait suscité un tel espoir, et qui déçoit maintenant beaucoup, au point qu'on se demande, sera-t-il sauvé, ça serait vraiment triste qu'il se casse la gueule pour de mesquines querelles d'ego et des réflexes d'autoritarisme pas vraiment congruents avec les valeurs de l'UPR ! le salut de la France et de nos libertés, et des principes de République, de services Publique, de démocratie réelle dépendent de son succès ceux qui auront été son fossoyeur, si c'est ce qui arrive, en seront tenu responsables devant l'histoire !) des déçus dont veulent créer un autre parti, qu'importe le flacon pourvu qu'on aie l'ivresse, qu'importe le leader pourvu que la France SORTE DE L'UE, de lEURO et de l'OTAN ! http://sylvain-baron.blogspot.fr/2015/05/un-nouveau-parti...
le prochain rassemblement sera de nouveau à Athènes et en juin prochain, les 28 et 29 juin 2015 http://www.antieu-forum.org/index.php
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12/05/2015
l'argent comme facteur coercitif universel
01/05/2015
"Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde." (Albert Camus)
En Roumanie le SEUL parti qui soit de gauche est le parti Partidul poporului
http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_populaire_-_Dan_Diacon...
c'est le seul à demander la hausse des retraites et des aides sociales, c'est également le seul à soutenir la collectivisation de l'agriculture, et la fondation d'entreprises publiques avec des dirigeants directement élus.
réaction de la "communauté internationale" ? à savoir la doxa de nos maîtres qui dicte la manière de rédiger la Wikipédia, le qualifier de "populiste" ( du latin populus, c'est à dire du grec démos, ce qui veut donc dire, etymologiquement, "démocrate" remarquez !) et de "nationaliste" (bof ! Chavez aussi est nationaliste, et De Gaulle à la tête du CNR
de 1944 aussi
)
Mais si on raisonne en termes clairs cartésiens (cf http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2015/02/19/une-analyse-magistrale-definitive-pour-comprendre-les-2-siec-5560676.html ) et de bon sens :
est de gauche un parti si, et seulement si, il défend les classes populaires contre les classes exploiteuses, et vise à l'instauration radicale ou réformiste, du socialisme (c. à d. je le rappelle, là aussi on appelle les choses par LEUR NOM, la propriété collective des moyens de production, et l'abolition de l'exploitation de l'homme par l'homme). Donc le parti Partidul Poporului est, et est le seul dans ce cas en Roumanie, un parti de gauche.
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30/04/2015
quand on y pense bien, et vu la situation actuelle (TAFTA, agression sur l'Ukraine, leur rôle dans l'UE, Snowden, etc) ça serait une bonne idée
https://plus.google.com/+michèlemisseminiNourry/posts/RDK...
oui ! je crois qu'il faut en venir là
on point où on en est c'est une réplique qui s'impose, et la seule défense efficace.
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14/04/2015
14 avril 2002
*
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07/04/2015
eh eh ! Varoufakis est conscient du vrai rôle de la dette !
Eh oui il l'a dit, le roi est tout nu, le but de la "dette", aussi bien celles qui étaient artificieusement mises sur les dos des peons du Mexique par leurs padrones (voir les romans de Traven (1), que celles qu'ont manigancées les banques et leurs bras armés, UE par exemple, est de rendre les hommes ou les pays esclaves et soumis à un pompage constant qui les plonge dans la misère, sans défense aucune :
"la dette elle-même, que notre dette est une « variable de contrôle », comme disent les mathématiciens, dans le contexte d'un exercice de « planification » dont l'objectif est de maximiser l'autorité politique sur les nations déficitaires."
http://fr.sputniknews.com/interviews/20150305/1015041455....
(1) en particulier Marŝo en la regnon de l' mahagono (PDF) et http://www.ipernity.com/doc/cezar/3920913
Ici Bernard CHALUMEAU montre qu'on ne peut être de gauche et pour l'Union "Européenne", car celle-ci soumet les Etats (c'est à dire la démocratie, car quelles sont les seules instances qui ont encore une constitution démocratique ? les gouvernements nationaux) aux BANQUES, au pouvoir des financiers et des spéculateurs, en d'autre termes le grand capital, le fameux New World Order,
03/04/2015
entre lui et ses ennemis quel contraste !
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30/03/2015
LE DROIT À L'EMPLOI : UN CONCEPT JURIDIQUE OU UNE REVENDICATION POLITIQUE ?
le droit à l'emploi était inscrit dans la Constitution française de la 4è république, or la constitution de la 5è SE REFERE au préambule de celle de la 4è. DONC le droit à travail est normalement garanti par la constitution ! Reste à le faire respecter. Juristes, au boulôt !
(Par le Mouvement politique d’émancipation populaire M’PEP) :
Le 12 mars 2015.
Habitant de l’Ille-et-Vilaine, père de deux enfants, cinquantenaire confronté au temps partiel subi et au chômage de longue durée, Jean-Claude Bouthemy partageait le sort devenu banal de nombreux Français. Pourtant, son parcours devint tout à fait singulier quand il se décida à interpeller les partis et syndicats sur son droit constitutionnel d'obtenir un emploi. Il ne trouva aucune oreille attentive et choisit finalement d'emprunter, en solitaire, la voie judiciaire.
(…)
- Pour lire la suite, cliquez ci-dessous :
http://www.m-pep.org/spip.php?article3935
Pour accéder au projet de droit opposable à l’emploi présenté par le M’PEP, cliquez ci-dessous :
http://www.m-pep.org/IMG/pdf/130216_Droit_opposable_emploi_complet.pdf
l'ultra-libéralisme, en réalité le néo-féodalisme