09/07/2016
on en revient toujours là
Il faut bien sûr en revenir à Ali Bhutto (et même plus loin : jusqu’à Spurius Cassius ! vous savez ce qu’on lui a fait à Spurius Cassius ?)
“Her father was probably the most popular politician in Pakistan, pledging massive social reforms. - Comme Robert Kennedy ! et, comme Robert Kennedy, il a été éliminé; ou comme Tiberius Gracchus (et Caius Gracchus) toujours la même histoire – il faut toujours en revenir à Marx je regrette ! - ou à La Fontaine si vous préférez, la lucidité quoi.
Zulfikar Ali Bhutto, who had been elected in the 1970 elections, had won a large majority in the country that we now know as Pakistan and had been elected on a very radical platform. He came to power.He implemented some of his reforms, not all, became extremely autocratic, clashed with the United States on a number of issues, including Pakistan’s right to have nuclear weapons. Henry Kissinger warned him in private that if you do not desist on the nuclear issue, we will make a terrible example out of you. That’s what Bhutto wrote from his death cell. The United States organized a military coup d’etat. General Zia-ul-Haq took power in 1977, organized a trial against Bhutto, charging him with an absurd charge of murdering someone. The judges were pressured, and they found him guilty, and Bhutto was hanged in April 1979. It could not have happened without US support and approval, because Zia was a nobody, and Washington clearly green-lighted the murder. And Bhutto, from his death cell, wrote a very moving document called “If I Am Assassinated,” in which he said there are two hegemonies—these are his words. He said, “There are two hegemonies that dominate our country. One is an internal hegemony, and the other is an external hegemony. And unless we challenge the external hegemony, we will never be able to deal with the internal one,” meaning Washington is the external hegemony and the army is the internal one.”
25/06/2016
la logique du pouvoir capitaliste c'est ça
Si, comme des millions de Français, vous vous êtes déjà fait flasher alors que vous conduisiez normalement, cliquez vite ici.
Vous découvrirez comment le lobby des fabricants radars a pris le contrôle de la sécurité routière...
... et comment, ensemble, nous pouvons nous organiser pour leur faire barrage.
Bien à vous,
L'équipe de la Ligue de Défense des Conducteurs
23 avenue Jean Moulin, 75014 Paris
Et dans tous les domaines c'est la société, ce sont les dérives, c'est la tyrannie de gangs de racketteurs, de mafiosi, de bandits de grands chemins à laquelle on va être de plus en plus soumis (tant que nous ne nous seront pas révoltés, ni n'aurons instauré d'autres rapports de force, une autre société, un autre régime). On le voit dans tous les domaines, santé, energie, normes, idées "à la mode", etc, etc.
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23/06/2016
Appel au Rassemblement pour la démondialisation
Jacques Nikonoff :
Candidat à l'élection présidentielle, c’est aujourd’hui, le 18 juin 2016, que j'appelle au Rassemblement pour la démondialisation (RD). Cette date ne doit rien au hasard. Toutes proportions gardées, elle est un hommage à l’Appel du 18 juin 1940 lancé par le général de Gaulle. Ce dernier invitait les Français à refuser la défaite, à résister et à combattre. Dans les conditions extrêmement différentes de notre époque, le refus de la défaite, la résistance et le combat restent à l’ordre du jour.
L’ennemi n° 1 des peuples, aujourd’hui, c'est la mondialisation néolibérale !
La mondialisation néolibérale est un processus d’essence politique visant à éliminer la souveraineté des nations pour imposer des politiques conformes aux intérêts des puissants. Elle trouve ses fondements dans la nécessité pour les classes dominantes de trouver une parade efficace face aux conquêtes sociales du XXe siècle : New Deal aux États-Unis en 1933, Front populaire en France en 1936, régimes d’économie mixte en Europe de l’ouest de 1944 à 1948, conquis sociaux des années 1960 et 1970, luttes de libération nationale des pays colonisés…
Les politiques de mondialisation reposent sur trois piliers : le libre-échange, la libéralisation financière, les traités internationaux et les institutions multilatérales.
La démondialisation correspond à la sortie de l’ordre néolibéral mondial.
Aucun autre candidat à la présidentielle ni parti politique ne fait cette analyse et n’en tire les conséquences qui s’imposent.
Si vous vous reconnaissez, alors rejoignez le
Rassemblement pour la démondialisation !
- Comme les millions de citoyens – environ la moitié des électeurs – qui s’abstiennent désormais aux élections de façon permanente ou sélective selon les élections. Ils rejettent les politiques menées ces trente dernières années par des gouvernements se présentant de « gauche » ou de « droite » et qui, finalement, sont à peu près les mêmes. Avec les résultats catastrophiques que l’on connaît pour la population.
- Comme les millions de citoyens qui, pour les mêmes raisons, votent blanc ou nul.
- Comme les très nombreux électeurs qui votent Front national, croyant de toute bonne foi rendre service à leur pays alors que le FN fait semblant de défendre la France et ne veut pas sortir de l’ordre néolibéral mondial.
- Comme la plupart des électeurs communistes et gaullistes qui partagent encore le magnifique souvenir du Conseil national de la Résistance et qui pensent que cette expérience, adaptée à notre époque, offre encore une voie d’avenir.
- Comme les vrais écologistes qui ont compris que la protection de l’environnement était incompatible avec la mondialisation néolibérale, et qu’il était temps de démondialiser.
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30/05/2016
la démocratie ça veut dire : le peuple au pouvoir
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23/05/2016
Il est de plus en plus clair que c'est Gattaz, c’est-à-dire le patronat, qui gouverne la France
Ce gouvernement, dont les ministres osent encore se dire de gauche, prend ses idées dans les corbeilles à papier du parti lepéniste.
La moindre mesure, comme la moindre revendication qui pourraient égratigner très légèrement les profits patronaux, sont sans état d'âmes rejetées.
Ce gouvernement est en fait totalement inféodé au grand capital international comme celui de Pétain et la plupart des gouvernants qui se succèdent dans ce pays.
Ces pieds nickelés de la politique bourgeoise du secrétaire d’état le plus inconnu au 1er ministre et au président, n’ont qu’une obsession : ne pas déplaire aux patrons.
Il est manifestement grand temps de les renvoyer dans le seul endroit qui leur convienne : les poubelles de l’Histoire.
Pour connaître les détails sur les magouilles et les profits de ces "grands patrons" visitez le site Dans la cuisine des patrons:
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24/04/2016
les Zimmerwald les Kiental de notre époque c'est là que ça se passe
on n'est jamais à la hauteur de son époque, jamais ! en 1915 les gens qui se réunissaient à Zimmerwald, et plus tard les conférences décolonisatrices rassemblées à Moscou, étaient vues comme des ramassis d'extrémistes peu recomandables, seuls les historiens après des générations ont conscience objective des choses et des idées.
Personne en notre époque hyper-censurée, et hypercriminalisarice - vous vous en rendez compte quand-même ? - pas un ne se rend compte en quels lieux sont les pensées progressistes et d'avenir. Par exemple
http://en.mehrnews.com/news/111421/Third-New-Horizon-Conf...
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12/04/2016
c'est en agissant qu'on apprend
beaucoup d'enseignements dans cette vidéo, dans la bouche sereine et sage de ce vieil érudit,
entre autre ça : c'est en agissant qu'on apprend (et c'est valable aussi pour la pratique de l'Espéranto )
et n'oubliez pas à la fin une excellente idée ! et on ne peut plus humaniste
(et soit dit en passant il est vraiment mignon ce vieux monsieur, il a toutes les qualités, et il est amical, charnel, intelligent, humour léger, etc, on voudrait l'avoir comme grand-père, comme voisin, comme ami, etc.)
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08/04/2016
regardez les méthodes (et les motifs ! non dits) de désinformation !!
http://www.lapresse.ca/international/dossiers/maison-blan...
Les motifs je les ai montrés, ce ne sont pas en réalité, du tout, les opinions conservatrices de Trump, ni la brutalité de ses propos, son challenger, que les médias (et donc leurs maitres !) souhaitent donc voir gagner à sa place Ted Cruz est encore bien plus conservateur !! Non si les « médias » , et donc leurs maîtres ! (car les journaleux ne sont comme l’a fait remarqué Soral que des putes ou des chômeurs) ont une répulsion phénoménale envers Trump c’est parce qu’il est contre les accords de libre échange et la « mondialisation » si rentable pour les spéculateurs ! et qu’il veut cesser l’interventionisme militariste des USA à travers le monde !
Aussi il FAUT absolument le diaboliser au maximum auprès de l’opinion du «troupeau»
donc ils font feu de tout bois et sortent ça.
Quelques commentaires sur le texte (outre son caractère partial et propagandiste, et n’oublions pas son titre, seule phrase que liront les deux tiers des surfeurs !)
un aveu ! « Les adversaires de Trump sont aussi peu appréciés » ce qui DONC fout par terre instantanément toute la thèse implicite de l’article ! s’en rendent-ils compte ? aux chiottes l’article ! inutile !
« 59% des électeurs ont en effet une opinion défavorable du sénateur texan Ted Cruz, qui tente de rattraper M. Trump dans la course républicaine, alors que 55% d'entre eux ont une vision négative de la favorite de la course démocrate, Hillary Clinton »
Autre remarque, à vomir, ils font bien remarquer que le groupe auprès duquel Trump a le moins d’opinion négatives ce son les « Blancs sans formation universitaire » (bacheliers, et autres, tenez le vous pour dit : si vous n’avez pas de formation universitaire vous n’êtes que des ploucs ! des « êtres inférieurs »).
Quel racisme social ! de la part de tous ces hommes d’affaires et leurs larbins bourgeois !
"Donald Trump inspire un dédain profond à un grand nombre d'Américains, tout sexe, origine, appartenance politique et lieu de résidence confondus, une impopularité sans précédent qui risque de miner les efforts du candidat à l'investiture républicaine pour surmonter ses récents revers.
Sept Américains sur dix, incluant près de la moitié des électeurs républicains, ont une opinion défavorable de l'homme d'affaires, selon un nouveau sondage Associated Press-GfK rendu public jeudi.
Cette opinion est partagée par une majorité de femmes et d'hommes, de jeunes et de vieux, de conservateurs, modérés et progressistes, de Blancs, d'Afro-Américains et de Latino-Américains, ce qui constitue une vaste condamnation de M. Trump.
Même dans le sud des États-Unis, une région où le milliardaire a remporté plusieurs primaires, près de 70% des personnes interrogées ont une opinion défavorable de lui. Du côté des Blancs sans formation universitaire, l'un des groupes d'électeurs les plus fidèles à Donald Trump, 55% des sondés avaient une vision négative du candidat.
Cela n'empêche pas M. Trump d'être en tête de la course quant au nombre de délégués et de compter sur de multiples partisans au sein de l'électorat des primaires républicaines. Mais l'ampleur de son impopularité soulève d'importantes questions sur sa capacité à rallier suffisamment d'appuis durant les élections générales pour accéder à la Maison-Blanche.
Elle met aussi en lumière les obstacles auxquels il pourrait être confronté durant le reste de la course à l'investiture républicaine, qui semble se diriger vers une convention houleuse durant laquelle les dirigeants du parti auront leur mot à dire au sujet du candidat qui sera choisi pour représenter la formation politique au scrutin de novembre.
« Il risque de se voir refuser la nomination parce que les militants de la base craignent que le fait qu'il soit si universellement détesté rende impossible sa victoire », a expliqué Ari Fleischer, un ancien conseiller du président George W. Bush.
Les adversaires de Trump sont aussi peu appréciés
Il faut cependant souligner que l'électorat n'est pas vraiment plus tendre envers les adversaires de Donald Trump. Environ 59% des électeurs ont en effet une opinion défavorable du sénateur texan Ted Cruz, qui tente de rattraper M. Trump dans la course républicaine, alors que 55% d'entre eux ont une vision négative de la favorite de la course démocrate, Hillary Clinton.
Le sondage Associated Press-GfK a été réalisé en ligne auprès de 1076 adultes entre le 31 mars et le 4 avril à partir d'un échantillon issu du KnowledgePanel de GfK, qui a été conçu pour représenter la population américaine. La marge d'erreur pour tous les répondants est de plus ou moins 3,3 points de pourcentage."
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16/03/2016
le peuple est si loin
"Je me suis livré à un petit calcul au résultat éloquent : au
cours des cinq dernières années, le Parlement européen s'est
ainsi prononcé deux cent cinquante fois sur des textes liés à
l'orientation sexuelle et à « identité de genre », adoptant
plus de cent rapports positifs sur la question. C'est dire que
l'hémicycle est ainsi maintenu sous pression et qu'il se passionne
pour la théorie du genre.
Je revois les visages défaits de mes collègues démocrates-
chrétiens votant, comme des idiots utiles, la « feuille de route de
l'Union européenne contre l'homophobie ». Sous le drapeau
de la couronne mariale, c'est la peur qui rôde dans les travées.
Ce mécanisme de chantage a été inspiré par l'International
Lesbian and Gay Association. Ce lobby d'une puissance
insoupçonnée, dont le siège est à Bruxelles, reçoit lui aussi
des subventions de la Commission européenne, du financier
George Soros et du département d'État américain. Tout ce petit
monde sert un projet de société ou plutôt de dissociété. En
toute tranquillité. Le peuple est si loin..."
(Philippe de Villiers)
"La machine bruxelloise tourne à l'abri des médias. Dans
un consensus admirable où les trois grands groupes votent
comme un seul homme 95 % des textes, où les souverainistes
sont tenus en lisière. Frappés d'interdit moral, houspillés,
insultés, traités de fascistes —"
Mais alors qui sont les maîtres ? les bien vus ?
lisons plus : "berlines noires à vitres teintées et plaques « CD » corps
diplomatique — qui s'arrêtent devant l'entrée du « Paul-Henri
Spaak building ». En quelques minutes, des dizaines de noeuds
papillons s'agglutinent sur le tapis rouge : des Européens, des
Américains, des Japonais, quelques figures des pays du Golfe.
Les congratulations sont bruyantes, chaleureuses, toutes en
anglais ; il est clair que ce sont des amis qui se retrouvent, ils
parlent la même langue et le même langage "
mettre en garde, ..... les peuples
récalcitrants contre leurs pulsions : « Nous voulons sauver
l'Europe de la tyrannie des référendums. »(sic) Oui, vous avez bien
lu. Ces élites sont en révolte contre ce qu'elles appellent « le
caprice des peuples ». ......
"Dans ce dominium mundi, cet empire mou du management,
ceux qui commandent se montrent rarement. Personne
mi maîtrise plus rien. Nous assistons à une reféodalisation
planétaire, (et anglophone ... ) les puissances publiques s'éclipsent, s'évanouissent ... Ils
veulent les individus et le monde, rien d'autre. "
15/03/2016
arithmétique simple - et cynisme puant des voleurs capitalistes qui nous gouvernent
c'est quand qu'on renverse la table ?