NWO vu des USA (16/06/2015)
19/02/2015 Lettre de votre ami NWO
VOTRE RÉSISTANCE EST INUTILE
Lorsque l’un d’entre vous cherche à nous résister, nous avons les moyens de le tourner en dérision, comme nous l’avons fait avec votre mouvement des milices (en France ils ont fairt pareil avec les gilets jaunes). Nous avons été trop heureux d’utiliser ce mouvement pour montrer au monde combien toute résistance était vaine. Ils ont l’air si bête, ces miliciens, quand ils défilent en rond avec leurs fusils comme s’ils faisaient le poids face à notre armée !... Regardez ce que nous avons fait près de Waco1. Le maigre arsenal des Davidiens leur a-t-il été d’un quelconque secours ?
1/Widipédia : Le siège de Waco est une tragédie qui s'est déroulée du 28 février au 19 avril 1993 dans la résidence du groupe religieux des «Davidiens», près de la ville de Waco, au Texas, États-Unis. 82 personnes dont 21 enfants et le chef du groupe, David Koresh, périrent, principalement dans l'incendie qui mit un terme aux 51 jours du siège conduit par les forces de police. L'affaire est considérée comme un des événements les plus catastrophiques de l'histoire américaine moderne, comme l'action la plus meurtrière du gouvernement.
Nous vous avons généreusement imposés, et nous avons employé le produit de ces impôts à fabriquer des armes si perfectionnées que vous seriez bien en peine de nous tenir tête. Votre propre argent a servi à forger les chaînes dont nous vous chargeons, car nous avons la maîtrise de tout l’argent. Certains d’entre vous pensent pouvoir s’affranchir en achetant du terrain dans le pays et en cultivant un jardin. Permettez-moi de vous rappeler que vous nous payez toujours la redevance foncière ; bien sûr, vous pouvez l’appeler taxe foncière si vous voulez, mais elle n’en finit pas moins dans nos poches. Vous le savez bien : quoi que vous fassiez, vous avez besoin d’argent. Si vous ne nous réglez pas la redevance foncière, nous saisirons votre terrain et le vendrons à quelqu’un qui nous la paiera. Croyez-vous que nous ne le puissions pas ? Et avec le produit de votre redevance foncière, nous financerons l’endoctrinement de vos enfants dans les écoles publiques que nous avons construites. Nous voulons, en effet, qu’ils grandissent et se forment dans l’esprit du système conforme à nos vœux. Vos enfants apprendront ce que nous voulons qu’ils apprennent, quand nous voudrons qu’ils l’apprennent, et vous paierez cet enseignement avec votre redevance foncière. Ces crédits servent à financer aussi d’autres projets que nous avons en tête, et nos contractants sont grassement payés pour leur travail. Vous pouvez bien douter que nous soyons propriétaires de vos enfants ou que nous exercions un tel contrôle, mais vous découvrirez pourtant que c’est vrai. Nous pouvons proclamer que vous abusez de vos enfants quand vous leur donnez la fessée et, par conséquent, vous les retirer. S’ils ne se rendent pas à l’école pour y subir notre endoctrinement, nous pourrons vous accuser de négligence à leur égard, grâce à quoi il nous sera loisible aussi de vous les retirer. Vos enfants ne sont pas à vous. Ils sont à nous.Vous devez les faire vacciner, vous devez les conduire dans nos hôpitaux si nous le décrétons, faute de quoi nous vous les retirerons également. Vous le savez, et nous le savons.
Grâce à nos dispositifs électroniques, nous pouvons voir où vous êtes, ce que vous achetez et combien vous devez dépenser pour ces achats. D’où croyez-vous que nous tirions nos statistiques financières mensuelles ? Grâce à l’Internet et à d’autres sources, nous pouvons même savoir ce que vous pensez et ce que vous dites. Vos idées ne nous importent pas particulièrement pourvu que vous fassiez ce que nous voulons. Elles sont absurdes, de toutes façons. Mais si vous pensez que d’autres les suivent, et si nous avons le sentiment que vous pourriez être dangereux pour notre programme, nous avons les moyens de nous occuper de vous. Pour vous prendre au piège, nous disposons d’un vaste coffret de farces et attrapes. Nous pouvons vous traîner devant les tribunaux de telle sorte que vous n’en sortirez plus jamais. Nous pouvons facilement pomper tous vos biens sous un prétexte ou un autre. Nous pouvons compter sur d’inépuisables crédits pour rémunérer nos avocats, puisque c’est avec vos impôts que nous réglons leurs honoraires. Vous ne possédez évidemment pas de telles sommes, vous autres. Nous savons diviser pour régner. N’avons-nous pas fait trébucher des dirigeants de pays étrangers avec nos intrigues ? Pensez-vous que votre minuscule personne soit un adversaire à notre taille ?
VOS ORGANISATIONS SONT INUTILES
2Wikipédia : La NRA (National Rifle Association) est une association américain à but non lucratif, qui fait du lobbying en faveur des armes à feu et qui défend une interprétation non restrictive du deuxième amendement de la Constitution des États-Unis. 3NdT: Ce qui peut se traduire par «Nouveaux Agresseurs Extrémistes».
Si nous apprenons que vous possédez de l’or, nous vous le confisquerons purement et simplement et nous vous ferons jeter en prison pour infraction à la loi. Une fois emprisonnés, vous serez tenus de travailler dans l’un de nos ateliers pénitentiaires. Ces derniers temps, nous avons présenté les camps de travail pénitentiaires d’une manière telle que personne ne semble s’opposer à ce principe. Nous racontons aux citoyens que les meurtriers doivent financer eux-mêmes leur détention, mais nul n’a l’air de se rendre compte que nous avons le pouvoir d’y enfermer aussi des cultivateurs de tomates. Car nous pouvons promulguer des lois interdisant les potagers, puis décréter – en invoquant une raison scientifique quelconque – qu’il vous est interdit d’acheter des denrées alimentaires ailleurs qu’auprès de nos propres sources. Par conséquent, quelqu’un qui vous verrait en train de planter des tomates ne manquerait pas de nous le signaler, et vous seriez envoyé dans une de nos plantations pour y travailler à notre profit. O stupides nationalistes ! Vous n’avez aucune porte de sortie, parce que nous avons planifié votre capture longtemps avant que vous ne naissiez. Depuis des générations, vos professeurs et vos prêtres travaillent pour nous en formatant vos pensées. Vous n’avez absolument aucun moyen d’échapper à notre influence, si ce n’est par le suicide. Allez-y : suicidez-vous. Cela ne fera que nous aider à régler le problème du surpeuplement. (ça ou le vaccin ! de toutes les façons les parents à qui la DDASS aura enlevé les enfants parce qu'ils ne voulaient pas leur faire faire le salut "Heil Hitler !" pardon !! porter la slip sur le visage en bon covidistes soumis et déshumanisés, comme ils vont se suicider de douleur ça en fera autant de moins !) Vous ne pouvez ni nous nuire, ni nous débusquer, ni même imaginer nos projets. Je ne vous jette ces quelques miettes que pour vous décider à obéir et à suivre nos ordres si vous avez une once de bon sens.
VOTRE ESPRIT EST SOUS CONTRÔLE
C’est nous qui gérons Hollywood. Des films comme Terminator et Armageddon, entre autres nombreuses productions, n’ont été tournés que pour vous amener à penser selon nos directives. Il vous a été inoculé le goût pervers de la violence pour que lorsqu’on vous enverra tuer le «méchant» désigné à votre vindicte, vous y alliez sans un murmure. Nous avons installé partout des jeux d’arcade violents pour préparer vos jeunes esprits à l’art du combat. Nous vous avons amenés à considérer nos armées et notre police comme étant les éternels «bons», obtenant ainsi votre soumission à des choses qui étaient impensables il y a quelques décennies seulement. Nos émissions sont astucieusement conçues pour que vous vous soumettiez au Nouvel Ordre Mondial avec plus de facilité, et même pour que vous lui apportiez votre appui. Star Trek et d’autres productions de ce genre vous ont simplement appris à obéir aux ordres des nouveaux dirigeants internationaux. Pauvres débiles ! Vous pensiez qu’on vous divertissait, alors même qu’on vous éduquait. Irai-je jusqu’à employer les expressions «lavage de cerveau» ou «contrôle des esprits» ? A propos, avez-vous vu le nouvel épisode de Star Wars ? Quel chef-d’œuvre de manipulation mentale ! Les humains y confèrent avec des bêtes indéfinissables de toutes formes et de toutes tailles, et ils le font en anglais. Je me demande bien où ces bêtes de l’espace ont pu apprendre l’anglais... Oh, combien est faible l’esprit du citoyen lambda ! Il ne se rend jamais compte qu’il se fait promener dans des contes de fées.... Nous avons mis des publicités pour Star Wars presque partout où vous passez. Vous les verrez chez Wal-Mart, chez K-Mart, chez Taco Bellet et dans tous nos autres établissements de grande distribution. Ce film véhicule un message que nous voulons que vous reteniez... Ou peut-être vaudrait-il mieux dire qu’il y a dans les épisodes 4 à 6 des choses que nous ne voudrions pas que vous reteniez. Mais dans l’un et l’autre cas, l’opération nous aura apporté ce que nous en attendions. Bien entendu, pour que vous ne soyez pas sur vos gardes, nous avons engagé vos élus – qui sont nos employés – à faire mine de corriger cette violence hollywoodienne de mauvais aloi. Ainsi le Président Clinton critique-t-il actuellement la violence des films d’Hollywood. Cela ne résoudra pas le problème, mais fera croire aux gens que l’on s’y attaque. Le sexe et la violence sont de loin les meilleurs moyens dont nous disposions pour bétonner notre avantage. Comme chacun détesterait renoncer aux joies du sexe et de la violence, nous mettons ces derniers à portée de main. Ainsi occupons-nous les esprits pour qu’ils ne s’intéressent pas trop aux questions vraiment importantes, dont le traitement relève de notre monopole. Le Président Clinton nous a beaucoup aidés à cela. Nous connaissions son caractère avant de le propulser à la Maison Blanche. Le montrer ensuite tel qu’il est nous a beaucoup aidés à abaisser les critères moraux de la jeunesse, ce qui est un avantage pour nous. Encore plus agréables à nos yeux furent les vains efforts de ceux qui pensaient pouvoir le faire partir contre notre volonté. Il nous est utile là où il est, et personne ne l’en retirera tant que nous ne serons pas disposés à le voir s’en aller. Vous voudrez bien m’excuser si je donne l’impression de me moquer de vos croyances, mais elles sont plutôt dépassées. N’avez-vous pas d’yeux pour voir que vos vaines libertés et vos professions de vertu pontifiantes sont sans valeur pour nous ? Vous ne pouvez faire que ce que nous vous permettons de faire. Nous ne retirons quelqu’un de la Maison Blanche que lorsque nous y sommes disposés, et le personnage que nous mettons à sa place y reste jusqu’à ce que cela nous arrange de lui en substituer un autre. En temps utile, nous vous présentons notre poulain, et vous votez comme nous le souhaitons. Si nous vous accordons cet inutile droit de vote, c’est pour que vous ayez l’illusion d’avoir pris part à l’élection de votre Président. Nous nous servons des nations dans notre intérêt exclusif. Chacun sait qu’elles doivent se soumettre à nous ou périr. Toutefois, nous nous sommes heureusement heurtés à quelques résistants, tels Saddam Hussein et Slobodan Milosevic, qui nous ont bien aidés à montrer aux dirigeants du monde ce que nous leur ferons s’ils ne se soumettent pas. Il n’y a que de la gloire à se caler sur nos objectifs et à faire ce que nous disons. Si on ne le fait pas, le résultat ne peut être que tragique, et je souhaite sincèrement qu’une telle fin vous soit épargnée. Mais, là encore, si vous deviez la subir, cela n’aurait aucune conséquence pour nous, si ce n’est l’heureux résultat de contribuer à l’atténuation du surpeuplement.
VOTRE RÉVOLTE CONTRE NOTRE DOMINATION EST STUPIDE
Certains d’entre vous ont pensé pouvoir nous arrêter en posant parfois une bombe dans un de nos avortoirs ou un bâtiment officiel. Sombres crétins ! Comment cela pourrait-il nous atteindre ? Cela ne fait que nous fournir un argument supplémentaire pour instituer plus de contrôles et imposer davantage de servitudes à la population. Lorsque vous vous rebellez et que vous faites péter une bombe quelque part, nous adorons cela. En effet, vous nous fournissez ainsi une raison d’élaborer de nouvelles lois contre tout ce qui pourrait vous aider à secouer notre joug. Si personne ne faisait sauter quelque chose de temps à autre, nous ne trouverions aucun prétexte pour placer toujours plus de clôtures autour de vous. Ne voyez-vous donc pas combien il vous est impossible de nous résister ? Plus vous vous tortillez, plus nous serrons le garrot. Notre royaume, c’est celui de l’argent. Excusez-moi, mais je dois ajouter que nous gouvernons aussi le royaume du non-argent. Sans doute décelez-vous quelque humour dans cet aveu. Nous vous donnons un morceau de papier ou des numéros sur un écran d’ordinateur, et nous appelons ça de l’argent. Or, cet «argent» n’est gagé sur rien, n’est garanti par rien, si ce n’est ce que nous voulons bien en dire. Nous le créons ex nihilo, nous l’imprimons, nous le prêtons, nous lui attribuons sa valeur, nous la lui retirons. Tout ce qui est en rapport avec l’argent est entre nos mains. Songez-y un peu : que pouvez-vous faire contre nous sans argent ? Si vous tentez de résister, il nous est loisible d’annuler votre crédit ou de geler vos comptes. Vos espèces sont faciles à confisquer. Nous avons quadrillé juridiquement le domaine de la vie à un point tel que vous ne pouvez vivre sans argent. Si vous campez sur un terrain appartenant à l’État, vous avez quinze jours pour en déguerpir, et l’on n’a guère le temps de planter un potager en quinze jours... Beaucoup de nos sentiers naturels ne sont accessibles qu’avec un permis. Nous avons promulgué des lois qui vous interdisent de vivre en caravane plus d’un certain temps sans changer d’endroit. Ne trouvez-vous pas absurde que nous autorisions les gens à vivre à plein temps dans une boîte, mais que nous ne leur permettions pas de le faire dans un mobil home, à moins qu’ils n’acquittent une taxe de séjour en camping ?
NOS MYSTÈRES SONT IMPÉNÉTRABLES
Notre récente guerre en Serbie avait de multiples buts, mais nous ne parlons pas ouvertement de ces choses. Nous laissons les invités des «talk shows» consacrés à cette guerre débiter toutes sortes d’âneries, dont aucune ne touche au cœur de la question. Pour commencer, le Kossovo recèle un trésor de ressources naturelles dont nous devons nous assurer la possession intégrale. Son sol recèle, en effet, de grandes quantités d’uranium, métal fort précieux pour notre régime. Il nous importe également de garder tous ces gisements hors de portée de nos ennemis potentiels. Milosevic rechigne quelque peu à nous céder ces ressources, et nous lui compliquons donc la vie jusqu’à ce qu’il le fasse. La victoire sur la Yougoslavie est à présent imminente. Nous avons réduit cette fière nation au niveau d’humilité que nous exigeons de tous les peuples, et après la guerre, si M. Milosevic ne s’humilie pas encore assez, nous le traduirons devant le tribunal international chargé de juger les crimes de guerre. Nous avons inventé cette notion de toutes pièces : plutôt ingénieux, pas vrai ? Comme si l’on pouvait parler de «crimes de guerre» ! La guerre se caractérise justement par la suspension de toutes les règles, mais il est si amusant de voir les nations tenter de faire la guerre selon les lois que nous leur avons imposées ! Le seul crime de guerre qui existe vraiment, c’est d’être contre nous. Quiconque est contre nous viole nos lois. Ainsi que vous l’avez remarqué, lorsque quelqu’un est de notre côté, peu nous importe ce qu’il fait. Nelson Mandela n’a-t-il pas été un terroriste poseur de bombes qui a tué de nombreux ennemis ? Or, nous avons fait de lui un héros.
En matière de guerre, nous ne connaissons aucune loi. Nous faisons ce que nous voulons, quand nous voulons et où nous voulons. Nous pouvons affamer à mort une nation, en ruiner les habitants et nous livrer à toute autre horreur pour laquelle vous traduiriez nos ennemis en justice. Reprenons l’exemple de la Serbie : nous l’écrasons sous un tapis de bombes, nous bombardons le Kossovo au point d’en chasser les habitants de chez eux, nous empoisonnons leurs cours d’eau, nous leur coupons l’électricité, plongeant ainsi le pays dans une crise gigantesque, puis nous proclamons avec maestria que tout est de la faute de M. Milosevic et qu’il faut le traîner en justice pour cela. C’est ainsi que nous avons déjà réussi à mettre l’enfer de Waco sur le dos de M. Koresh. Il y a aussi notre grand méchant Saddam, avec toutes ses armes de destruction massive. Les méchants sont une engeance qui traîne à tous les coins de rue, et nous savons en sortir un de notre chapeau chaque fois que c’est bon pour nous. Tout ça est vraiment très drôle, quand on y regarde de près. En général, je ne suis pas très porté sur l’humour, mais je me surprends parfois à rire en pensant à l’absurdité des notions que nous vous mettons sous le nez comme un chiffon rouge et que vous acceptez si volontiers. Vous étonnez-vous que les dirigeants du monde nous craignent autant ? C’est qu’ils savent qu’ils n’ont aucun pouvoir, si ce n’est celui de céder. Nous ne craignons ni la Russie, ni la Chine, car nous avons déjà la maîtrise complète de tous leurs rouages. La Chine sait que d’un trait de plume, nous pouvons geler les activités des entreprises qu’elle possède en Amérique, de même que la totalité des capitaux qu’elle y détient. Nous vous voulons dans notre système. Quand vous achetez une maison, nous percevons non seulement l’impôt sur le revenu correspondant à la transaction, dont nous utilisons le produit à nos fins, mais aussi un coquet pourcentage sur l’intérêt du prêt qui vous a été consenti. C’est ainsi que le seul versement d’intérêts peut vous amener à payer votre maison deux ou trois fois en fin de compte. De plus, l’intérêt est imposé, et le produit de cet impôt va aux secteurs d’influence de notre choix. Vous êtes notre propriété. Nous ne vous permettrons d’acheter ou de vendre que si vous acceptez de recevoir la marque de notre autorité. Si vous nous faites un procès, nous nous arrangerons pour qu’il traîne en longueur, pour que vous vous y épuisiez, et pour qu’en fin de compte, vous perdiez. Si vous usez de violence, nous vous ferons interner dans un de nos camps de travail, baptisés ateliers pénitentiaires. Vous avez besoin de notre argent, de nos divertissements, de notre carburant et de nos services pour fonctionner, et si vous ne pouvez vous les procurer, vous vous sentez dépossédé. C’est pourquoi vous êtes contraints d’en passer pour où nous voulons.
Cordialement,
Votre ami capitaliste
eh oui ! de toutes façons quelqu’un je ne sais plus qui, peut-être Trotsky a dit que la montée vers le fascisme était la réaction du capitalisme quand il se sent menacé d’une grave crise sociale. Un autre, un certain Georges Beinstein a dit « La dictature, ce pouvoir d’un pays bourgeois en crise. ».
C’est ce qui s’est passé un peu partout en Europe dans les années 20 et 30. Maintenant le capitalisme est de nouveau en crise, alors il se tourne à nouveau vers des moyens fascistes. De nouvelle formes de fascisme bien sûr en fonction de l’esprit du temps chaque fois. Au nom de l’écologie, de l’hygiène et sécurité, la nouvelle religion, de l’euthanasie et tout le culte de la mort et refus de souffrir issu du freudisme. La chasse aux « droits de propriété intellectuelle » (des firmes capitalistes commerçantes !). Et toujours, ça c’est constant bien sûr, la culpabilisation, précarisation et la terrorisation constante des gens. Les système orwelliens, et toujours plus de cette tendance moderniste identifiée et dénoncée par Zygmunt Bauman dans « Modernité et holocauste » cette tendance à vouloir une maîtrise totale amorale et impavide sur le réel ! Regardez le site de Syti, la criminalisation du citoyen ordinaire par exemple, ce qu’on appelle le Libéral-Fascisme et le fameux New World Order.
KATAKANA (LA Pafklik ‘)
Ataku mi vian lingvon tiom,
Kiom vi kreu novan skriban manieron
Kaj eniru mi al via kulturo
Kaj enmetu dolĉe mian diktaturon
Mi zorgu bone pri via sekuro,
Do zorgu klopode pri mia ekonomio
Staros nur apud vi unu futuro,
Via destino ligita al mia ŝnuro
Ne batalu, jam de longe vi iĝis venkita
Via tuta hejmo jam iĝis fremdigita
Ŝanĝu viajn kutimojn, forlasu tradiciojn
Mi enas vian lingvon, mi enas vian vivon.
Katakana, truda kaj kontrolanta
Komprenigas ke popolo via iĝas varilo mia
Ja vi komprenu, daŭrigu obeemon
Studu kaj apogu mian sistemon
Ne plu da auntaŭjuĝo rikana
Car ja mia parolo rekta kaj ĉikana
Ŝiras agite kiel vek’ vulkana
Rompas socion kun atako uragana
Ĉu vi komprenas ne pri ĉi ĉio temas ?
Kaj maljunaj memoroj ja ŝimas
Kion ni lernu dum infana edukado ?
Ĉu gepatran scion, ĉu virtualan instruadon ?
Junecon pli facilas manipuli
Nure mono nun povas ilin stimuli
Oni ĉesu idioti kaj oni vidu
Ke nuntempaj kulturoj ekzistas ne plu
Ekzistas nur en la kapoj de la popoloj
Malaperis agoj, nur restas paroloj
Kaj amaso da varoj iĝas la konsoloj
La laŭdira socio trudas al ni rolojn
Nenion signifas la honoro
Inter homoj, kiuj robotas pro laboro
Nenian respekton havu kapitalismo
Certe ne kredu feliĉon el materialismo
Aŭ tuj anstataŭigos de katakanaj
Viaj revoj kaj spertoj akiraj
Al popolamasa pensa maniero,
Kiu daŭre staras sur iluzia fiero
Forgesu juĝon de la amaso groteska
Kaj lasu vian kritik-kapablon kreska
Antaŭvidi futuron, imagu naturon
Vi ne rajtas erari, kiel eblas ripari ?
Ne plu da antaŭjuĝo rikana
Ĉar ja mia parolo rekta kaj ĉikana
Antaŭvidu futuron, Imagu naturon
Vi ne rajtas erari, vi ne povas fuĝi.