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23/06/2016

Appel au Rassemblement pour la démondialisation

Jacques Nikonoff :

Candidat à l'élection présidentielle, c’est aujourd’hui, le 18 juin 2016, que j'appelle au Rassemblement pour la démondialisation (RD). Cette date ne doit rien au hasard. Toutes proportions gardées, elle est un hommage à l’Appel du 18 juin 1940 lancé par le général de Gaulle. Ce dernier invitait les Français à refuser la défaite, à résister et à combattre. Dans les conditions extrêmement différentes de notre époque, le refus de la défaite, la résistance et le combat restent à l’ordre du jour.
 
L’ennemi n° 1 des peuples, aujourd’hui, c'est la mondialisation néolibérale !
 
La mondialisation néolibérale est un processus d’essence politique visant à éliminer la souveraineté des nations pour imposer des politiques conformes aux intérêts des puissants. Elle trouve ses fondements dans la nécessité pour les classes dominantes de trouver une parade efficace face aux conquêtes sociales du XXe siècle : New Deal aux États-Unis en 1933, Front populaire en France en 1936, régimes d’économie mixte en Europe de l’ouest de 1944 à 1948, conquis sociaux des années 1960 et 1970, luttes de libération nationale des pays colonisés…
 
Les politiques de mondialisation reposent sur trois piliers : le libre-échange, la libéralisation financière, les traités internationaux et les institutions multilatérales.
 
La démondialisation correspond à la sortie de l’ordre néolibéral mondial.
 
Aucun autre candidat à la présidentielle ni parti politique ne fait cette analyse et n’en tire les conséquences qui s’imposent. 

Si vous vous reconnaissez, alors rejoignez le
Rassemblement pour la démondialisation !

  • Comme les millions de citoyens – environ la moitié des électeurs – qui s’abstiennent désormais aux élections de façon permanente ou sélective selon les élections. Ils rejettent les politiques menées ces trente dernières années par des gouvernements se présentant de « gauche » ou de « droite » et qui, finalement, sont à peu près les mêmes. Avec les résultats catastrophiques que l’on connaît pour la population.
  • Comme les millions de citoyens qui, pour les mêmes raisons, votent blanc ou nul.
  • Comme les très nombreux électeurs qui votent Front national, croyant de toute bonne foi rendre service à leur pays alors que le FN fait semblant de défendre la France et ne veut pas sortir de l’ordre néolibéral mondial.
  • Comme la plupart des électeurs communistes et gaullistes qui partagent encore le magnifique souvenir du Conseil national de la Résistance et qui pensent que cette expérience, adaptée à notre époque, offre encore une voie d’avenir.
  • Comme les vrais écologistes qui ont compris que la protection de l’environnement était incompatible avec la mondialisation néolibérale, et qu’il était temps de démondialiser.

http://www.nikonoff2017.fr/

30/05/2016

la démocratie ça veut dire : le peuple au pouvoir

AmbroiseCroizat.jpg

23/05/2016

Il est de plus en plus clair que c'est Gattaz, c’est-à-dire le patronat, qui gouverne la France

Ce gouvernement, dont les ministres osent encore se dire de gauche, prend ses idées dans les corbeilles à papier du parti lepéniste.

La moindre mesure, comme la moindre revendication qui pourraient égratigner très légèrement les profits patronaux, sont sans état d'âmes rejetées.

Ce gouvernement est en fait totalement inféodé au grand capital international comme celui de Pétain et la plupart  des gouvernants qui se succèdent dans ce pays.

Ces pieds nickelés de la politique bourgeoise du secrétaire d’état le plus inconnu au 1er ministre et au président, n’ont qu’une obsession : ne pas déplaire aux patrons.

Il est manifestement grand temps de les renvoyer dans le seul endroit qui leur convienne : les poubelles de l’Histoire.

 

Pour connaître les détails sur les magouilles et les profits de ces "grands patrons" visitez le site Dans la cuisine des patrons:

 
 
Dans la cuisine des patrons
 

RADIALL, Groupe GATTAZ 2015

Le Groupe Radiall est dirigé par Pierre Gattaz, président du MEDEF. Son discours est bien connu, car très médiatisé :...

Lire la suite

24/04/2016

les Zimmerwald les Kiental de notre époque c'est là que ça se passe

on n'est jamais à la hauteur de son époque, jamais ! en 1915 les gens qui se réunissaient à Zimmerwald, et plus tard les conférences décolonisatrices rassemblées à Moscou, étaient vues comme des ramassis d'extrémistes peu recomandables, seuls les historiens après des générations ont conscience objective des choses et des idées.

Personne en notre époque hyper-censurée, et hypercriminalisarice - vous vous en rendez compte quand-même ? - pas un ne se rend compte en quels lieux sont les pensées progressistes et d'avenir. Par exemple

http://en.mehrnews.com/news/111421/Third-New-Horizon-Conf...

12/04/2016

c'est en agissant qu'on apprend


beaucoup d'enseignements dans cette vidéo, dans la bouche sereine et sage de ce vieil érudit,

entre autre ça : c'est en agissant qu'on apprend (et c'est valable aussi pour la pratique de l'Espéranto   )

et n'oubliez pas à la fin une excellente idée ! et on ne peut plus humaniste

(et soit dit en passant il est vraiment mignon ce vieux monsieur, il a toutes les qualités, et il est amical, charnel, intelligent, humour léger, etc, on voudrait l'avoir comme grand-père, comme voisin, comme ami, etc.)

08/04/2016

regardez les méthodes (et les motifs ! non dits) de désinformation !!

http://www.lapresse.ca/international/dossiers/maison-blan...

Les motifs je les ai montrés, ce ne sont pas en réalité, du tout, les opinions conservatrices de Trump, ni la brutalité de ses propos, son challenger, que les médias (et donc leurs maitres !) souhaitent donc voir gagner à sa place Ted Cruz est encore bien plus conservateur !! Non si les « médias » , et donc leurs maîtres ! (car les journaleux ne sont comme l’a fait remarqué Soral que des putes ou des chômeurs) ont une répulsion phénoménale envers Trump c’est parce qu’il est contre les accords de libre échange et la « mondialisation » si rentable pour les spéculateurs ! et qu’il veut cesser l’interventionisme militariste des USA à travers le monde !
Aussi il FAUT absolument le diaboliser au maximum auprès de l’opinion du «troupeau»
donc ils font feu de tout bois et sortent ça.
Quelques commentaires sur le texte (outre son caractère partial et propagandiste, et n’oublions pas son titre, seule phrase que liront les deux tiers des surfeurs !)
un aveu ! « Les adversaires de Trump sont aussi peu appréciés » ce qui DONC fout par terre instantanément toute la thèse implicite de l’article ! s’en rendent-ils compte ? aux chiottes l’article ! inutile !
« 59% des électeurs ont en effet une opinion défavorable du sénateur texan Ted Cruz, qui tente de rattraper M. Trump dans la course républicaine, alors que 55% d'entre eux ont une vision négative de la favorite de la course démocrate, Hillary Clinton »
Autre remarque, à vomir, ils font bien remarquer que le groupe auprès duquel Trump a le moins d’opinion négatives ce son les « Blancs sans formation universitaire » (bacheliers, et autres, tenez le vous pour dit : si vous n’avez pas de formation universitaire vous n’êtes que des ploucs ! des « êtres inférieurs »).
Quel racisme social ! de la part de tous ces hommes d’affaires et leurs larbins bourgeois !

"Donald Trump inspire un dédain profond à un grand nombre d'Américains, tout sexe, origine, appartenance politique et lieu de résidence confondus, une impopularité sans précédent qui risque de miner les efforts du candidat à l'investiture républicaine pour surmonter ses récents revers.
Sept Américains sur dix, incluant près de la moitié des électeurs républicains, ont une opinion défavorable de l'homme d'affaires, selon un nouveau sondage Associated Press-GfK rendu public jeudi.
Cette opinion est partagée par une majorité de femmes et d'hommes, de jeunes et de vieux, de conservateurs, modérés et progressistes, de Blancs, d'Afro-Américains et de Latino-Américains, ce qui constitue une vaste condamnation de M. Trump.
Même dans le sud des États-Unis, une région où le milliardaire a remporté plusieurs primaires, près de 70% des personnes interrogées ont une opinion défavorable de lui. Du côté des Blancs sans formation universitaire, l'un des groupes d'électeurs les plus fidèles à Donald Trump, 55% des sondés avaient une vision négative du candidat.
Cela n'empêche pas M. Trump d'être en tête de la course quant au nombre de délégués et de compter sur de multiples partisans au sein de l'électorat des primaires républicaines. Mais l'ampleur de son impopularité soulève d'importantes questions sur sa capacité à rallier suffisamment d'appuis durant les élections générales pour accéder à la Maison-Blanche.
Elle met aussi en lumière les obstacles auxquels il pourrait être confronté durant le reste de la course à l'investiture républicaine, qui semble se diriger vers une convention houleuse durant laquelle les dirigeants du parti auront leur mot à dire au sujet du candidat qui sera choisi pour représenter la formation politique au scrutin de novembre.
« Il risque de se voir refuser la nomination parce que les militants de la base craignent que le fait qu'il soit si universellement détesté rende impossible sa victoire », a expliqué Ari Fleischer, un ancien conseiller du président George W. Bush.
Les adversaires de Trump sont aussi peu appréciés
Il faut cependant souligner que l'électorat n'est pas vraiment plus tendre envers les adversaires de Donald Trump. Environ 59% des électeurs ont en effet une opinion défavorable du sénateur texan Ted Cruz, qui tente de rattraper M. Trump dans la course républicaine, alors que 55% d'entre eux ont une vision négative de la favorite de la course démocrate, Hillary Clinton.
Le sondage Associated Press-GfK a été réalisé en ligne auprès de 1076 adultes entre le 31 mars et le 4 avril à partir d'un échantillon issu du KnowledgePanel de GfK, qui a été conçu pour représenter la population américaine. La marge d'erreur pour tous les répondants est de plus ou moins 3,3 points de pourcentage."

 

 

 

16/03/2016

le peuple est si loin

"Je me suis livré à un petit calcul au résultat éloquent : au  
cours des cinq dernières années, le Parlement européen s'est  
ainsi prononcé deux cent cinquante fois sur des textes liés à  
l'orientation sexuelle et à  «  identité de genre », adoptant  
plus de cent rapports positifs sur la question. C'est dire que  
l'hémicycle est ainsi maintenu sous pression et qu'il se passionne  
pour la théorie du genre.  
Je revois les visages défaits de mes collègues démocrates-  
chrétiens votant, comme des idiots utiles, la « feuille de route de  
l'Union européenne contre l'homophobie ». Sous le drapeau  
de la couronne mariale, c'est la peur qui rôde dans les travées.  
Ce mécanisme de chantage a été inspiré par l'International  
Lesbian and Gay Association. Ce lobby d'une puissance  
insoupçonnée, dont le siège est à Bruxelles, reçoit lui aussi  
des subventions de la Commission européenne, du financier  
George Soros et du département d'État américain. Tout ce petit  
monde sert un projet de société ou plutôt de dissociété. En  
toute tranquillité. Le peuple est si loin..."
(Philippe de Villiers)

 

"La machine bruxelloise tourne à l'abri des médias. Dans  
un consensus admirable où les trois grands groupes votent  
comme un seul homme 95 % des textes, où les souverainistes  
sont tenus en lisière. Frappés d'interdit moral, houspillés,  
insultés, traités de fascistes —"

 

Mais alors qui sont les maîtres ? les bien vus ?
lisons plus : "berlines noires à vitres teintées et plaques « CD »  corps  
diplomatique — qui s'arrêtent devant l'entrée du « Paul-Henri  
Spaak building ». En quelques minutes, des dizaines de noeuds  
papillons s'agglutinent sur le tapis rouge : des Européens, des  
Américains, des Japonais, quelques figures des pays du Golfe.  
Les congratulations sont bruyantes, chaleureuses, toutes en  
anglais ; il est clair que ce sont des amis qui se retrouvent, ils  
parlent la même langue et le même langage "

mettre en garde, ..... les peuples  
récalcitrants contre leurs pulsions : « Nous voulons sauver  
l'Europe de la  tyrannie des référendums. »(sic) Oui, vous avez bien  
lu. Ces élites sont en révolte contre ce qu'elles appellent « le  
caprice des peuples ».   ......

"Dans ce  dominium mundi, cet empire mou du management,  
ceux qui commandent se montrent rarement. Personne  
mi maîtrise plus rien. Nous assistons à une reféodalisation  
planétaire,  (et anglophone ... ) les puissances publiques s'éclipsent, s'évanouissent ... Ils  
veulent les individus et le monde, rien d'autre. "

15/03/2016

arithmétique simple - et cynisme puant des voleurs capitalistes qui nous gouvernent

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c'est quand qu'on renverse la table ?

12/03/2016

le programme du PC russe

Le 23 Février à Moscou ont été organisés une manifestation et un rassemblement en l’honneur du 98e anniversaire de l’armée et de la marine soviétiques. Devant les manifestants, le président du Comité central du Parti communiste, le chef de Forces patriotiques et populaire de Russie, Guennadi  Ziouganov a prononcé un discours.

23/02/2016

http://kprf.ru/party-live/cknews/152123.html

– Chers amis, chers camarades, je ne me lasse pas de répéter que dans le monde il y a près de 200 pays aujourd’hui. Mais seulement une douzaine d’entre eux ont une histoire millénaire, comme notre patrie bien-aimée. Vous pouvez compter sur les doigts d’une main le nombre de pays qui dans leur histoire ont su maîtriser tous les domaines de créativité scientifique, technique et artistique. Il y a seulement deux pays dans le monde qui, dans les 500 dernières années, n’ont jamais perdu leur souveraineté – le nôtre, et le Royaume-Uni. Un seul pays dans le monde qui en 1000 ans d’histoire a été contraint de passer 700 ans dans des batailles et des campagnes, pour défendre son indépendance, sa terre, sa vérité, sa culture et sa foi.

Notre parti et le Mouvement patriotique du peuple se félicite de l’accord sur la solution pacifique du problème syrien. Je suis convaincu que la contribution de nos forces armées, qui en quelques mois ont prouvé et démontré qu’il était possible de vaincre les bandits qui se sont emparés d’Etats entiers au Moyen-Orient, a été décisive. Mais le train blindé doit toujours se tenir sur la voie d’évitement et la poudre doit être gardée sèche.

Je tiens à vous rappeler que l’Armée rouge légendaire des ouvriers et des paysans est née lorsque 14 pays de l’Entente sont venus se partager les dépouilles de l’Empire russe décomposé et étouffer la jeune république soviétique. Seul le génie de Lénine, la sagesse de Staline et la volonté de notre peuple ont permis de rejeter les occupants de tous les ports et les villes et assurer notre sécurité. Ainsi est née l’Armée légendaire des ouvriers et paysans qui a tenu tête à l’Entente.

La deuxième campagne d’une nouvelle Entente sous la direction de Hitler a elle aussi échoué. Elle a été taillée en pièces à Moscou, puis à Stalingrad et au saillant de Koursk. Ce sont les hauts faits de l’Armée rouge et du Parti bolchevik. Notre peuple soviétique a prouvé qu’il était le peuple-vainqueur, qui ne plie devant personne. Bien que Hitler sous ses bannières ait rassemblé toutes les nations de l’Europe.

Mais aujourd’hui, une troisième Entente s’est formée sous la direction des mondialistes américains et des chefs de l’OTAN. Ils ont déjà plus d’un millier de chars stationnés dans les pays baltes, ils ont mis le feu à l’Ukraine fraternelle, ils ont ouvert la voie à ces gangsters et ces nazis, qui sont prêts à une nouvelle campagne contre notre nation.

Mais tout en renforçant notre armée,  il est nécessaire de rappeler que peu importe le talent des ministres des Affaires étrangères ou de la Défense, les capacités de nos ouvriers et paysans, enseignants, médecins, ingénieurs, scientifiques, si nous continuons sur la voie de l’américanisation, aucune force armée ne résoudra les problèmes actuels. Cette année marque 25 ans depuis l’arrivée au pouvoir de Boris Eltsine. Il a commencé par la trahison de notre Victoire, de la cause d’Octobre, et de la sécurité du pays. Les Gorbatchev et Eltsine, Gaïdar et Tchoubaïs, et le gouvernement actuel de Medvedev continuent la même voie libérale oligarchique. Nous n’avons été vaincus ni par Batou-Khan [petit-fils de Gengis Khan], ni par Napoléon, ni par Hitler, mais la grande puissance soviétique a été mise à bas par trois nouvelles armes: l’antisoviétisme, la russophobie et l’économie libérale américanisée du soi-disant marché libre, en fait, le pillage libre de tous les citoyens et la destruction des principales productions. (c'est ce qu'on a en France aussi maintenant !)

Afin de regarder l’avenir avec confiance et penser à l’avenir, nous devons déclarer clairement : la politique financière et économique mis en œuvre dans le pays, initiée par les traîtres à la Révolution d’Octobre et à notre Victoire, malheureusement, se poursuit. Elle a conduit à la fusillade du Parlement en 93 et la destruction du régime soviétique. Il a conduit au défaut [de paiement = faillite de l’Etat] en 98 et la destruction de 80.000 entreprises. Elle a conduit à la crise de 2008 et à l’effondrement de la finance et de l’économie l’an dernier. C’est une politique de trahison bien sûr, et elle est rejetée par l’ensemble de la population de notre pays.

Le Parti communiste au forum Orel a récemment proposé un programme de 10 points pour sortir notre pays de la crise. La première et la principale question – est de faire revivre l’indépendance économique et la souveraineté financière. Le rouble est arrimé au dollar, les prix du pétrole et du gaz sont déterminés à Londres et New York. L’an dernier a été vendu de vos matières premières – pétrole, gaz, or, diamants, métaux, bois – pour 20 milliards de roubles, mais seulement 8 milliards ont été versés  au budget. Quand nous étions sous le joug de la Horde [la Horde d’Or, les Mongols], une dîme était prélevée sur chaque foyer, mais ici deux tiers tombent dans les poches des oligarques et leurs serviteurs. Ce système doit être rejeté par tous les secteurs de la société, sinon il n’y aura pas d’armée forte, ni d’avenir pour la jeune génération. Donc, le premier point de notre programme, c’est la nationalisation des ressources minérales de base du pays. Elles doivent être au service de chaque citoyen.

La deuxième condition,  le secteur public de l’économie doit être fort. Si on a l’intention d’entrer en concurrence avec quiconque, l’État doit réglementer les prix des produits de base et, surtout, des produits essentiels et de l’énergie. Nous devons parfaitement comprendre que si l’énergie, le pétrole et le gaz, les chemins de fer, les systèmes de communication ne sont pas contrôlés par l’Etat, dans notre pays aussi vaste et froid, nous ne pourrons être en concurrence avec qui que ce soit. Par conséquent, nous insistons sur la nationalisation des industries de base et le soutien aux producteurs nationaux, la restauration de tous les collectifs de travail et des fermes collectives.

 

Très bientôt,  le 5 Mars, dans la meilleure exploitation de la région de Moscou –la Ferme d’Etat Lénine, Groudinine réunira en conseil tous les collectifs de travail du pays. Il réunira les représentants des 200 plus grandes entreprises nationales. Ils se rencontreront pour examiner la mise en œuvre de notre programme.

Nous pensons  que les moyens financiers (près de 58 milliards), qui se promènent à droite à gauche, ou sont dans les poches de ceux qui ne les ont pas gagnés, doivent être utilisés en premier lieu pour les besoins des travailleurs. Le pays ne peut réussir et prospérer que si les représentants des sept professions principales se sentent bien. Ce sont les ouvriers et les paysans, les enseignants et les médecins, les ingénieurs, les scientifiques et les militaires. Leurs salaires, leur bien-être doivent déterminer le succès de tous les autres.

Nous pensons  que le revenu minimum, qui maintenant, après la dévaluation du rouble a été divisé par deux, devrait être de 20-25 mille roubles. Sinon, il est impossible de joindre les deux bouts. Mais dans le pays plus de la moitié de la population vit avec 15.000 roubles ou moins, et les « enfants de la guerre » touchent généralement de 10 à 12.000.

Notre programme inclut le soutien à l’enseignement gratuit et la garantie du premier emploi. Le Prix ​​Nobel, l’académicien Jaurès Alferov, le premier vice-président de la Douma, Ivan Melnikov (l’un des professionnels les plus qualifiés dans le domaine de l’éducation), Oleg Smoline, et moi avons fait une nouvelle loi  « l’éducation pour tous », qui permet à chaque jeune d’obtenir une éducation gratuite de la plus haute qualité. Je suis sûr que cette loi, nous allons la faire passer avec votre soutien.

Donc, nous avons un programme pour le développement de notre pays, nous avons l’Union des forces patriotiques du peuple, réunissant tous les gens talentueux, un véritable état-major des actions de protestation et la volonté des citoyens de défendre leurs intérêts. Nous avons la possibilité dans un avenir proche de montrer notre détermination et nos choix : le 1er mai, Journée internationale des travailleurs et le Jour de la Victoire. Nous devons nous préparer activement pour notre congrès qui aura lieu en Juin, et être prêts pour les élections qui se tiendront en septembre.

Nous devons tout faire pour amener tout le monde aux urnes en septembre et soutenir nos listes. Nous avons préparé une équipe solide, avec un programme clair et la volonté de faire revivre le pouvoir du peuple soviétique. Rétablir l’État fédéral démantelé et fournir une vie décente à tous les citoyens de notre pays. Bonne fête, bonne Journée de l’Armée soviétique et de la Marine! Vive tous les défenseurs du pays, qui pendant des siècles ont forgé la Victoire : depuis Alexandre Nevsky jusqu’à Joseph Staline.

Titre original : Г.А. Зюганов: Порох должен быть сухим!

Traduction : Marianne Dunlop pour histoireetsociete

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10/03/2016

de Villiers a tout compris

"on a tué les métiers indépendant" eh oui il ne faut plus que la toute-puissance des féodalités financières, et le reste esclaves salariés ou chômeurs dépendants du bon-vouloir des commissions de la DDASS.
Des gens autonomes voilà ce qu'ils ne supportaient pas, c'est pourquoi toutes les activités qui en 1960 se faisaient encore de manière autonome chez soi, on les a fait disparaître pour les commercialiser (dans les mains des grandes féodalités en plus), reste la reproduction, les bébés, c'est pourquoi on va la faire disparaître elle aussi pour l'avoir sous contrôle, technocratique (le goupillon actuel) et capitalistique (le sabre).
https://www.youtube.com/watch?v=l8b0HhvNfrk

sauf que quand il appelle ça "l'individualisme absolu" je ne crois pas qu'il ai raison, car les individus, normalisés, sommés de se conformer à la pensée et aux modes de vie de rigueur, et tous pareils, réduit à être un facteur de production géré et soumis,
"courbé sous la férule  d'un capitalisme sans entrailles"
ça n'est pas très individualiste ça !
d'ailleurs ça se confirme plus loin quand on voit ceux qui prétendent défendre "le droit à la différence" et qui en fait l'interdisent strictement  et font la chasse à ceux qui n'ont pas non seulement les idées mais la voix réglementaire ! 
et dans un sens il a raison de dire

Depuis que SOS Racisme a vu le jour, la haine raciale ne s'est  
jamais aussi bien portée et n'a jamais été aussi violente.

(d'ailleurs on s'aperçoit de plus en plus que au fond le racisme est toujours en fait et dans le fond un RACISME SOCIAL, ainsi les ouvriers français voilà de nouvelles victimes du racisme de nos maîtres ! et si  les roms n'ont pas bénéficiés de l'anti-racisme actuel, c'est bien sûr que contrairement aux hommes d'affaires noirs, et aux ministresses "beur", ils ne pas riches !!  (et que eux ils sont réellement différents, donc le "droit à la différence" dont les officiels font semblant de se gargariser c'est 100% de l'hypocrisie))

le gag de Mamadou Camara face à Harlem Désir est hilarant.
sur l'accusation de pitrerie, Mamadou Camara a perdu l'occasion de lui répliquer : "est-ce que vous me prenez pour un nez rouge ! est-ce vous vous rendez compte que l'accusation de pitrerie à M. de Villiers du fait qu'il m'ait fait venir est une insulte à mon égard ?!"

Avec le recul du temps, la portée du traité de Maastricht  
m'apparaît plus clairement : ce fut un changement de  régime.  
Le passage de la démocratie à l'oligarchie. La fin du grand  
cycle,
Appelons les  choses par leur nom : ce fut un complot des élites contre le  
peuple.

ouaou ! là il a compris ! c'est juste, en effet, c'est ça l' "Europe"

et cette "élite", cette hyperclasse comme dit Asselineau : "Croyant à la Fable des abeilles  du triste  
docteur Mandeville — « les vices privés feront le bien public »  
elle tente d'imposer un « ordre » mondial — en réalité un  
désordre total — fondé sur la cupidité, l'égoïsme narcissique et  
l'instrumentalisation de l'autre. " (eh oui de Villiers est un homme de gauche au fond de lui ! un vrai !)

"Pas étonnant qu'avec de telles références,  
les élites du « capitalisme sauvage » aient été comparées aux  
esprits mafieux (et Jean Ziegler a fort justement fait remarquer que "le crime organisé est le stade ultime du capitalisme") par le grand sociologue Thorstein Veblen, le  
théoricien de la « classe de loisir » : « L'homme de finance idéal
ressemble au délinquant idéal, écrit-il, en ce qu'il convertit sans  
scrupule hommes et biens à ses propres fins, qu'il considère  
avec un mépris endurci les sentiments et les aspirations d'autrui  
et qu'il se soucie fort peu du résultat éloigné de ses actes'. »

très important, comme François Asselineau il a compris Jean Monnet :

L'âme du complot, ce fut Jean Monnet, un Français  
d'Amérique, ancien cadre supérieur de la Banque Lazard  
de New York, inspirateur de la Commission trilatérale. Il  
voulait abolir les souverainetés nationales, mais en tenant les  
peuples d'Europe dans l' ignorance de ce qui allait se passer
. Il  

lui paraissait nécessaire d'avancer furtivement, par petits pas  
successifs, chacun d'eux appelant le suivant au nom de l'urgence  
économique ; on a appelé cela le « système de l'engrenage » ou  
du cliquet. Il n'y a pas de marche arrière possible. C'est une  
machine à crans. La méthode n'est connue que du petit cercle  
de ses initiateurs. Mais on ne peut empêcher les gaffeurs de  
parler.

et

Ainsi Claude Cheysson, qui fut ministre des Affaires  
étrangères et membre de la Commission européenne, en fit-  
il l'aveu plus tard devant moi : « Dès les origines, nous nous  
sommes placés dans l'a-démocratie. On a toujours mieux avancé  
hors du contrôle démocratique. » Depuis 1945, nos élites  
démocrates-chrétiennes et socialistes ont peur de la démocratie  
qu'elles ont rétablie. L'affaire de Maastricht et de la monnaie  
unique était trop compliquée pour les populations. On leur  
dirait, plus tard, que c'était pour leur bien.

aveu révélateur

le rédacteur du fameux rapport de 1975 à la Trilatérale

un nouvel âge raisonnable,  
« postnational et postdémocratique ».

tout est dit

c'est ce que d'autres appellent le New World Order.

Avec Maastricht, on est passé du gouvernement de tous à la  
gouvernance d'un aréopage de commissaires, de prétoriens, de  
banquiers, en mal de contrôle planétaire.
 le libéralisme de marché et le despotisme légal

bien résumé !

 

Les lobbies, les vrais maîtres à Bruxelles :

Ils dictent 75% des cent soixante-quinze mille pages de normes  
européennes,

or ces lobbies :

Pas une PME. Elle n'aurait pas les moyens de démarcher les députés. Non, une grosse,  
une très grosse firme transnationale qui a pignon sur rue et le  
porte-monnaie ouvert.

aussi on comprend à quoi servent les fameuses "normes européennes" !.....

Un jour de session, j'ai assisté à une scène éclairante,  
hilarante. Un vent de panique soufflait dans les travées', des  
députés couraient dans tous les sens : des journalistes du Sunday  
Times  s'étaient fait passer pour des lobbyistes. Certains collègues  
avaient accepté de l'argent en échange du dépôt d'amendements  
législatifs. Plusieurs eurodéputés, notamment un Roumain et  
un Slovène, anciens ministres, durent démissionner, pris la  
main dans le sac. Beaucoup d'autres cédaient à l'affolement.  
L'hémicycle était blême. Les visages, défaits. L'épouvante était  
palpable sur tous les bancs.