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25/05/2023

mais qui n'est pas sans odeur

texte qui accompgnait une cèlèbre et impressionnante vidéo


:

"L’empathie, c’est une notion désignant l’aptitude à ressentir les sentiments et les émotions d’un autre être vivant, la faculté de s’identifier à quelqu’un et a ressentir ce qu’il ressent, prendre conscience de ses désirs, de ses joies, et en particulier de sa souffrance et de sa détresse.

Sentiment bien plus fort que les opinions et les différences, et permet d’entrer dans les perceptions de l’autres de sentir sa peur, de vivre sa vie et de s’y mouvoir avec délicatesse sans émettre de jugement, chercher les points communs avant les différences, et il y a toujours plus de points communs que de différences.

La chaleur humaine c’est quand on offre de soi sans rien attendre de l’autre, simplement pour ne pas gâcher une vie et venir en aide à ceŭ qui n’ont pas cette faculté, et malgré toutes les difficultés garder cette force, cette volonté, donner un coup de cœur à ceŭ qui ne l’ont pas volé ; juste un peu d’attention et donner à chacun le droit d’exister.

Sentiment supérieur à l’instinct et à la chaîne alimentaire, sentiment qui nous permet de prendre soin de l’autre et à partager le peu qu’on possède et s’aider à se tenir chaud, ou à se protéger, savoir partager le bonheur, la tendresse, la protection et la complicité.

On a tous besoin de chaleur humaine.

On a tous besoin d’affection, et de se reconnaître parmi des semblables, malgré les apparences, sans jamais se fier à l’habit, sans jamais se soucier du langage, puisque c’est quelque chose invisible à l’œil nu, mais qui n’est pas sans odeur."

 

(je profite de l'occasion pour rappeler  mon billet intitulé "Paul Guth, auteur apparemment léger" :

dans son livre de 1976 "Le Chat Beauté" on trouve cette citation de Paul Guth (1910-1997)

"Le jour du mariage, nous avions promis de ne plus former qu'une seule chair, un seul esprit, un seul coeur, une seule âme. La chair avait suivi le cours du temps. Les trois autres éléments du quadrige lui avaient résisté. Ils maintenaient en nous un corps glorieux, échappant à la dégradation du corps périssable. Mais si, la nuit, dans le lit unique des longues traversées, j'avais pu toucher le corps périssable de Germaine avec mon corps périssable, ne nous aurais-je mieux empêchés de périr?")
 
et j'en profite aussi pour faire la réclame de mon livre de traduction en ESPERANTO de poèmes du monde entier sous le titre "en la lumoj de la ekmiroj" paru chez libroj de MAS, achetable par plein de boites, cherchez seulement sur internet. Parmi ces poèmes il y en a un de julos Beaucarne, ça donne ça :

(Julos Beaucarne)

 

Voyez comme il est bon comme il est doux
D'habiter en frère, tous ensemble
C'est comme une huile de prix sur la tête
Qui descend sur la barbe, sur le col des vêtements,
C'est comme une rosée
Qui descend des montagnes.
là est la vie à jamais,
là est la vie à jamais.

Ses yeux restaient devant les miens,
Il ne voulaient pas s'en aller.
Je leurs disais "allez-vous en",
ils restaient là,
comme s'ils étaient plantés;
Alors,
je les ai chassé à coups de bâton,
à coups de pieds;
Mais il suffisait de les chasser
pour les voir arriver au grand galop,
pour les voir se replanter,
devant mes propres yeux,
devant mon propre nez.
Alors j'ai été chercher de l'ail,
j'ai pelé des oignons,
et je les ai fait pleurer.
Mais les yeux restaient,
ils avaient pris racine,
ils ne voulaient pas s'en aller.
Alors comme je voyais que
je ne pourrais pas les chasser,
je les ai laissé entrer chez moi,
ils ont mangé à ma table mon pain
et ont partagé tout ce que j'avais,
et surtout,
tout ce que je n'avais pas.
Alors,
ces yeux là sont devenu les miens,
et les miens sont devenus ceux-là.

Voyez comme il est bon comme il est doux
D'habiter en frère tous ensemble
C'est comme une huile de prix sur la tête
Qui descend sur la barbe, sur le col des vêtements,
C'est comme une rosée
Qui descend des montagnes.
là est la vie à jamais,
là est la vie à jamais.

 


Vidu, kiel dolĉe, kiel bone
estas ĉiuj kiel fratoj loĝi kune.
Estas kvazaŭ rara oleo sur kapo fluanta
malsupren sur barbon sur vestokolumojn.
Kvazaŭ roso
malsupreniĝanta el de la montoj.
Tie kuŝas viv' por ĉiam,
tie kuŝas viv' por ĉiam.

La okuloj restadis kontraŭ miaj,
Ili ne volis foriri.
Mi diradis al ili: « iru for! »,
ili restadis
fikse senmovaj.
Tial,
Mi pelis ilin per bastono,
per piedbatoj;
Sed kiam ilin oni forpeladis
oni vidis ilin tuj revenantaj galope,
kaj vidis ilin sin posteni
kontraŭ la proprajn okulojn,
kontraŭ la propran nazon mian.
Tial mi iris serĉi ajlon,
mi tranĉis cepojn,
kaj mi plorigis ilin !
Sed la okuloj restadis,
enradikiĝintaj kiel plantoj,
Ili nepre ne volis foriri.
Tial,
ĉar mi komprenis ke,
mi ne povos ilin forpeli,
mi lasis ilin eniri en mian domon.
Ili manĝis ĉe mia tablo mian panon,
kaj partigis ĉion, kion mi havis,
kaj ĉefe ĉion,
kion mi ne havis.
Tial,
tiuj okuloj iĝis miaj propraj,
kaj miaj propraj iĝis tiuj.


Vidu, kiel dolĉe, kiel bone
estas ĉiuj kiel fratoj loĝi kune.
Estas kvazaŭ rara oleo sur kapo fluanta
malsupren sur barbon sur vestokolumojn.
Kvazaŭ roso
malsupreniĝanta el de la montoj.
Tie kuŝas viv' por ĉiam,
tie kuŝas viv' por ĉiam.


Esperantigis Roland Platteau 5/3/2010


21/05/2023

comme dans "Rhinocéros" de Ionesco

18/8/2020 c’est incroyable ! On a l’impression de vivre un cauchemar.

c’est vrai que la nature aussi est un cauchemar, demandez aux oiseaux !

Mais on s’était habitué à vivre dans une société faite pour les humains, et une société humaine, un Etat de droit, où on avait des droits, qui étaient inscrits dans la citoyenneté, et on y croyait, et on étudiait en Droit Public en quoi ils consistaient, Et les autorités aussi y croyaient, et on était fiers de vivre dans le Monde Libre. Et on vivait dans un monde cultivé, où on apprenait le patrimoine culturel, et tout le savoir, et les gens le possédait. Et il y avait des magasins partout, des églises, des enfants, des mères, des gens qui se tenaient par la main, des cigarettes, des hirondelles, des cloches, des manifestations, des grèves, et on en avait le droit, c’était inscrit dans la Constitution, comme le secret de la correspondance, et la liberté d'expression, des restaurants, des cafés, des théatres, des hôtels, des trains, des services publics, tout était libre, civilisé, et sociable, à de rares exceptions près, un monde où on avait la possibilité de téléphoner à tous les services publics et commerciaux, et d’avoir un être humain qui vous réponde, où on n’avait pas peur d’adresser la parole à un policier, et où le mot « réforme » signifiait un changement vers un mieux, et non vers un pire, maintenant c’est devenu impensable. On a tout perdu tout ça les uns après les autres. Comme dans l’histoire de la grenouille qu’on cuit. Maintenant on est finis.

Et puis on votait, et on avait l’impression que ça avait une influence sur notre destin.

 

(interrogé sur le masque, le Pr. Toussaint, qui fut président des États généraux de la prévention organisés par le ministère de la santé en 2006, a rejoint l'analyse de Didier Raoult: "C'est du mimétisme social, [cf. "Rhinocéros" de Ionesco ! relisez cette pièce "prophétique" ! ]

(et David Icke dit (26/9/2020  sur Trafalgar Square) : "Le masque est là pour être un symbole de soumission .... c'est un exercice de déshumanisation mondiale de masse" ) on n’a absolument aucune démonstration du moindre intérêt scientifique, on est de plus en plus dans un monde de croyance, de moins en moins scientifique et de plus en plus irrationnel (comme dit un commentateur d'une vidéo de Florian Philippot : "Je l'ai remarqué aussi je n'ai jamais vu autant de psychopathes que aujourd'hui, ils sont en train de créer des générations entières de tarés, qui se posent plus de questions, ils obéissent sans réfléchir on a du soucis a se faire...")


Pour la rationalité contre l'irrationnel, pour le peuple contre le grand capital, pour la morale contre la criminalité (il faut appeler les choses par leur nom, comme à Nüremberg) écoutons le Pr Perronne (et Florian Philippot) https://ru-clip.net/video/ODISHwwsw9g/professeur-raoult-s...

VIVE RICHARD BOUTRY ! il est l'honneur de la France !

Vivent le Pr Perronne et le Dr Fouché !!

Vivent Olivier Probst et Florian Piana !!!

Vive Jean-Jacques Crèvecoeur et Fabrice Lalanne !!!!

Vive la Résistance Française ! Qui sera notre  De Gaulle  ? Philippot ? - en tous cas lisez "un si fragile vernis d'humanité" de Michel Terestchenko ! - et n'oubliez pas Giuseppe Belvedere !

rhino parmi les.jpg

A partager d'urgence. çà s'est passé mercredi 19/8/2020, et aucune chaine info n'en a parlé bien entendu, vu qu'aucun vrai journaliste ne travaille dedans. Nos forces de l'ordre n'ont plus rien à envier à la police chinoise https://ru-clip.net/video/Nb13F_EAdRc/vid%C3%A9o.html C'est le gouvernement de Vichy 2.0

et bien sûr que ceux qui ont comparé Macron à HITLER ont RAISON !!! c'est l'évidence même !!

 

(de toutes façons boycottez les supermarchés ! tous ! systématiquement ! lisez mon article là-dessus, qui paye commande, il y a des dizaines de raisons pour ça.)

 Vivons nous vraiment cette ruine politique, économique, sociale, culturelle "pour de vrai !" ? où s’agit-il d’un cauchemar ?! Pincez moi très fort, je veux absolument me réveiller

17/05/2023

ce que sont devenus les centre-villes

Dans les centre-villes de maintenant il n’y a plus rien, RIEN !

Plus d’églises (toutes fermées en permanence), plus de bureaux, plus de services publics, plus d’écoles, ni de lycées, plus de magasins, (comment les gens iraient-ils faire leur courses dans le centre-ville où maintenant il est impossible de stationner et même de circuler ?! seulement dans les toute-petites villes de 3.000-5.000 habitants maxi c’est encore comme ça), plus de cafés (à part qq cafés chics très chers pour une clientèle « branchée »), plus de restaurants, plus de bancs publics, plus de badauds, seulement des flics, plus d’habitants, seulement des « résidences » de grand luxe, de mini-appartements très chers - sous digicode ! - où les « habitants » n’ont même pas le droit de planter un clou ni d’afficher quelque chose sur les murs ni de faire entrer un meuble (trop petits), de purs décors  pour l’ »industrie du tourisme » et du « patrimoine », des ghettos pour touristes en cars (pas pour touristes individuels puisqu’il n’est plus possible d’y circuler).

Et comme dit l'association   "Ligue de défense des conducteurs" :
"Les centres-villes où les voitures ont été bannies sont entrain de mourir à petit feu, avec 10 à 15% de vitrines vides en moyenne !"

Les marchands sur le marché de ***** ne vont plus pouvoir avoir aucun client, à part les quelques bourgeois des nouveaux appartements de grand luxe digicodés du centre-ville, les enseignants insociables et friqués qui vont à ATTAC parce qu'ils veulent se faire passer pour des socialistes et des anarchistes.      

 

encore pire !

du 24 au 27 octobre 2017 : Il a fallu 6 ans, six années pleine pour que la presse locale finisse par aborder le sujet des boutiques vides. Et encore, pas forcément sous l'angle auquel vous êtes habitués ici. Voici ce que nous apprend MaCommune.info sur la ville de Besançon:

"Les cellules vides" (notez bien l'usage du mot "cellule" et pas "boutiques",  "du centre-ville de Besançon vont bientôt se faire une beauté" (wouaa quelle bonne nouvelle...) "Le 27 octobre 2017, les vitrines vides seront habillées pour mieux se vendre lors de l’inauguration du "pôle" (sic !) dédié aux Industries culturelles et "créatives " ouvert au 52 rue Battant. C'est une idée collective qui est partie de la CCI du Doubs, de l'Union des commerçants, de l'Office du commerce, du Grand Besançon et de la ville afin de "redynamiser le centre-ville", nous précise-t-on. Les propriétaires de cellules commerciales vacantes habilleront ces dernières s'ils le souhaitent pour les rendre plus esthétiques. Une première série de 10 vitrines seront inaugurées le 27 octobre dans la rue Battant et sur la place Saint Pierre avec des visuels originaux déclinés sur deux principes : une valorisation de la vitrine en vue de la recommercialisation du local vacant, un visuel patrimonial ou de promotion commerciale ou touristique, si le local n’a pas vocation à être reloué rapidement pour cause de travaux par exemple".

Ci-dessous, Blois et Noisy merci à nos lecteurs qui ont fait ses clichés avec leur téléphone...

 

blois commerces vides

noisy commerces vides

remarquez l'invasion obsédante de la langue anglaise en FRANCE !!!!

Du côté de la ville de Pau, Mr Rohrbacher nous signale un article sur les "cellules" du centre ville dans le quotidien régional La République des Pyrénées avec des chiffres intéressants qui sont en CONTRADICTION TOTALE avec ce que vous avez pu lire dans le Figaro par exemple qui parlait de 10 ou 11%...

La réalité est bien plus cruelle: "où sur 1000 locaux, 300 sont vacants sur toute la ville, soit 30% !", lire ici la RdesP. Une évidence, la situation n'est pas prête de s'améliorer. Revue de Presse par Pierre Jovanovic

 

les vidéos sur ce sujet se multiplient partout !  regardez sur le côté :
https://www.youtube.com/watch?v=wnbpTeKvg90
partout les centre-villes meurent,
forcément !
avec les politiques actuelles il n'est plus possible d'y mettre les pieds alors les gens n'y vont plus, n'essaient même plus d'y aller, trop dur, et voilà. Moi non plus je ne mets plus les pieds en ville d'Arras maintenant. Et pour tout je commande et me fais livrer par la poste.
Et ce ne sont pas que magasins qui disparaissent, ils déménagent toutes les administrations, tous les établissements scolaires, ils ferment les églises, ils font fermer tous les cafés, qu'est-ce qui pourrai attirer les gens en ville ?! à part les touristes en car ! ou qui ont du temps à perdre, mais les touristes qui ont du temps à perdre aussi vont ailleurs, sauf quand ils sont en voyage organisé !

03/05/2023

Scarlatti

Les sonates de Scarlatti (Domenico) c'est un pur chef-d'œuvre en fait.

Comme un jardin de bonheur, un jardin où il y aurait des galets qui déboulent, des pompes à eau, comme autrefois, des enfants qui  courent ; des bals au clair du soir, des escaliers, des martinets (cipseloj en Espéranto) dans son ciel. Des chatons qui jouent au soleil, et qui marchent le dos en bosse. Des haches, et des cabanes à charbon, des coups de vents dans ses arbres ; des gouttes de pluie qui «font des bouteilles» ; des machines à coudre en route ; d'immenses moments de joie ; des baisers fous dans le cou. Des petits nuages de poussière emportés par le vent, Des nomades galopant dans la steppe Les feuilles mortes d'octobre tombant en rythme par dessus les douves Une diligence vue de loin dans la campagne Un petit chat qui joue sur des escalier en briques au soleil au milieu d'un jardin derrière une grande maison dans la Marche Combraille ou le Bourbonnais.
(Mais toutes les gens de cette maison sont morts, même les enfants. Il n y a plus aucun bonheur possible! jamais.) (sept2002)

21/04/2023

bruits de VIE qu'on n'entend plus dans nos immondes villes actuelles

*** les cris d'enfants !

entendre des cris d'enfants, partout, en tous cas partout en ville, était la banalité même , et faisait LA TRAME DE LA VIE, du temps où les villes étaient des villes, où la vie était la vie, où la société était une société, où les nazis actuels n'avaient pas encore étendu leur chape de plomb sur nos vies et sur les êtres !

C'était sain humain et vivant, tout à l'opposé du capitalisme totalitaire à crever actuel imposé par la mafieuse UE et son extension le "great reset" du nouvel Hitler: Klaus Schwab

***

petite fille sautant à la corde dans la rue Lester Talkington .jpg

***

16/04/2023

une citation de Chateaubriand

Châteaubriand dans ses Mémoires d'Outre-Tombe évoque les nuits qui

"s'achèvent le matin avec la première hirondelle"

souvenez-vous de cette belle évocation ! surtout que maintenant ça N'EXISTE PLUS ! il n'y a PLUS d'HIRONDELLES pour vous réveiller le matin; c'était la vie quotidienne autrefois, j'ai connu ça ....
yahoo-worried.png

05/04/2023

aimer acceuillir

Il va y avoir une espèce de justice immanente : les peuples occidentaux qui à force de puritanisme bien-pensant, de bourgeoisisme, d’égoïsme, (et https://blogs.mediapart.fr/patrick-cahez/blog/140520/et-e...) etc, ne se reproduiront plus  (sauf de manière commercialisée par PMA), et disparaîtront, tandis que resteront seuls les peuples qui ont encore gardé le goût de l’amour et de la famille.

 

à *****-********* on a transformé (c’est représentatif ! Comme dans une autre rue, sur *****, les locaux d’une entreprise qui a mis la clé sous la porte, qui vont servir à bâtir une  "résidence pour personnes âgées" !) les bâtiments de l’école en «annexe de la mairie » (comme si la mairie d'une si petite banlieue avait besoin d’une annexe  ) ça montre qu’il n’y a plus d’enfants en France. Comme j’ai dit il y a une justice immanente: seuls survivront les peuples qui ont gardé le sens de l’amour, de l’accueil, de la vie, et de la famille. Les peuples de « bourges » égoïstes, « politiquement corrects », soucieux de leurs carrières, et des normes sociales de la DDASS, disparaîtront.

 

et maintenant il y a un autre problème, question justice immanente : les sales collabos nazis, qui se font dûment vacciner car ils croient bien décemment en tout ce que dit "Notre Très Sainte Mère l'Eglise", non, pardon not' bon Fuehrer Herr Veran, seront incapables de se reproduire, et même si ils ont des enfants ce seront des être au sang plein d'oxyde de graphène et aux défenses naturelles affaiblies, etc, lisez les scientifiques qui nous alertent là-dessus ! et donc les prochaines générations seront faites de ceux engendrés par les NON-VACCINES ! Bon signe : génocide des crétins et des larves soumises et haineuses, et leur remplacement par des gens humains et qui n'ont pas de télé mais ont un cerveau !

Et les marchands ne s'y trompent pas : lisez-ça ! Dans les banques de sperme le prix du sperme de non-vacciné a monté en flèche, de 21.000% !

https://arnauddebrienne.wordpress.com/2021/09/10/21-000-daugmentation-de-prix-sur-le-sperme-des-non-vaccines/

Luc Montagnier a dit avant de mourir : "les non-vaccinés seront les gardiens de l'humanité"

23/03/2023

voilà comment devraient être les portes de toutes les églises

*

Lodeve_portail_cathedrale.JPG

c'est à dire ouvertes !

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*

1.jpg

*

 

 

01/03/2023

le vrai choc des civilisations

passage que Gilbert Ganne consacrait aux wagons de 3ème classe dans « Pour ou contre les valeurs bourgeoise » (écrit sans doute en 1967) les éditeurs de la collection avaient choisi paradoxalement Georges Hourdin (la Vie Catholique, hebdo de gauche) pour rédiger la partie  "pour les valeursbourgeoises" et Gilbert Ganne (l’Aurore journal de droite) la partie "contre les valeurs bourgeoise" !

Ce livre est devenu introuvable, mais il est  historiquement important sous plus d’un aspect.
je l'ai recopié cet après-midi, le fichier je l'ai classé dans « la vraie vie ».

In Gilbert Ganne (1919-2010) « Contre les valeurs bourgeoises » Berger-Levrault Nancy 1967, pages 9 et 10

Lorsque j’étais adolescent, il y avait trois classes dans les chemins de fer. Les secondes étaient par excellence, le domaine des bourgeois moyens ; on les reconnaissait facilement à leur mine constipée. Dans ces compartiments aux places louées, il régnait une atmosphère compassée et parfaitement ennuyeuse, bien différente de celle des troisièmes où la conversation s’engageait aussitôt entre compagnons de voyage Cela débutait par des sourires adressés aux enfants, par des réflexions sur le temps ou la longueur du trajet. A midi, on déballait joyeusement les provisions et, si quelqu’un se trouvait démuni, jamais l’on n’entamait le repas sans lui offrir quelque chose. Si bien que je négligeais toujours les vivres dont la mère voulait me charger, persuadé que j‘étais de trouver ce qu’il me faudrait dans le train. Ce n’était point de ma part, réflexe de malin mais souci de simplification ; j’avais déjà compris que les questions pratiques, pour lesquelles j’ai peu de goût, se résolvent d’elles-mêmes, par le plaisir que prennent les autres à les résoudre. Cette façon de partager, mon acceptation sans arrière-pensée, et d’autant plus franche que souvent les produits offerts venaient directement de la ferme ou avaient été amoureusement mijotés, les compliments que j’en faisais, rendaient mes vis-à-vis très heureux et contribuaient à faire régner, durant tout le parcours, un climat d’harmonie fraternelle.
Il est possible qu’aujourd’hui cette simplicité ait disparue en même temps que les troisièmes. Toujours par soucis de simplification, je vais maintenant au wagon-restaurant où les gens se regardent mastiquer sans s’adresser la parole. Engager la conversation, à plus forte raison offrir un verre, vous ferait passer pour un malotru. C’est décidément assez triste et, pour tout dire, c’est bourgeois. Sans doute peut-on constater encore une humeur différente dans les compartiments de congés-payés – mais pour combien de temps ?
……………..
mais plutôt de la générosité, qui n’existe vraiment que chez les pauvres ; cesser d’être pauvre, c’est aussi cesser d’aimer son prochain. L’époque actuelle nous montre que, plus les pays sont prospères, plus le geste gratuit y est rare.

voila ! le vrai choc des civilisations c'est celui-là

(les récents évènements montrent que les français sont tous devenus des bourgeois SOUMIS, délateurs, fascistes, et qui trouvent tout ça normal !! à vomir !!)

19/02/2023

Viroj kaj virinoj - la diferenco, jen la

TIKLEMUL’ KAJ GRUMBLULIN’

far GOTAINER

 


Plenridet’ kaj okulumad’
Ludhumur’ kaj ĉiam ŝercem’ :
Li la tiklemulo !

Paŭtanta pro ĉia ajn kaŭz’
Kritikemeca la humur’ :
Ŝi la grumblulino !

Tiklemul’ kaj Grumblulin’ !


Li bonule promenadis
Aŭ svingbrake aŭ man’ en poŝ’
Lia harpia karulin’
Sekvadis kun mallaŭda vip’.

Senripoze aŭdiĝis
Ŝia grumbl-argumentaĉad’
Li respondis per mokaĵoj
Li rebatis per ironi’.

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ fajfis,

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ furzis.

Laŭtempe li poetis,
Li babilis pri papili’;
Ts ! al ŝi estis kapdolor’.
Ts ! aŭskultu al l’televid’.

“ Mutu ja! ĉu vi frenezas ?
Infano vi estas ne plu !
Dum vi staras sidiĝu nu !
Piedviŝu, restu pura l’plank’ ! “

 

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ fajfis,

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ furzis.


Li fajfis „kristal-perloj“, dum
Pilolojn glutadis ŝi
« Vidu l’stelon ! », ekkriis li,
« Metu ŝalon » respondis ŝi.

Ŝi ne ŝvebis pli alte ol
Sia plejalta frizilo.
Dum li kuŝe sur sia dors’
Revis pri mil-unu noktoj.

Ĥĥĥĥ
Ĥgrrrrm !

Ŝi : la grumblulino !

Plenridet’ kaj okulumad’
Ludhumur’ kaj ĉiam ŝercem’ :
Li la tiklemulo !

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ fajfis,

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ furzis.

(refoje)