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17/05/2023

ce que sont devenus les centre-villes

Dans les centre-villes de maintenant il n’y a plus rien, RIEN !

Plus d’églises (toutes fermées en permanence), plus de bureaux, plus de services publics, plus d’écoles, ni de lycées, plus de magasins, (comment les gens iraient-ils faire leur courses dans le centre-ville où maintenant il est impossible de stationner et même de circuler ?! seulement dans les toute-petites villes de 3.000-5.000 habitants maxi c’est encore comme ça), plus de cafés (à part qq cafés chics très chers pour une clientèle « branchée »), plus de restaurants, plus de bancs publics, plus de badauds, seulement des flics, plus d’habitants, seulement des « résidences » de grand luxe, de mini-appartements très chers - sous digicode ! - où les « habitants » n’ont même pas le droit de planter un clou ni d’afficher quelque chose sur les murs ni de faire entrer un meuble (trop petits), de purs décors  pour l’ »industrie du tourisme » et du « patrimoine », des ghettos pour touristes en cars (pas pour touristes individuels puisqu’il n’est plus possible d’y circuler).

Et comme dit l'association   "Ligue de défense des conducteurs" :
"Les centres-villes où les voitures ont été bannies sont entrain de mourir à petit feu, avec 10 à 15% de vitrines vides en moyenne !"

Les marchands sur le marché de ***** ne vont plus pouvoir avoir aucun client, à part les quelques bourgeois des nouveaux appartements de grand luxe digicodés du centre-ville, les enseignants insociables et friqués qui vont à ATTAC parce qu'ils veulent se faire passer pour des socialistes et des anarchistes.      

 

encore pire !

du 24 au 27 octobre 2017 : Il a fallu 6 ans, six années pleine pour que la presse locale finisse par aborder le sujet des boutiques vides. Et encore, pas forcément sous l'angle auquel vous êtes habitués ici. Voici ce que nous apprend MaCommune.info sur la ville de Besançon:

"Les cellules vides" (notez bien l'usage du mot "cellule" et pas "boutiques",  "du centre-ville de Besançon vont bientôt se faire une beauté" (wouaa quelle bonne nouvelle...) "Le 27 octobre 2017, les vitrines vides seront habillées pour mieux se vendre lors de l’inauguration du "pôle" (sic !) dédié aux Industries culturelles et "créatives " ouvert au 52 rue Battant. C'est une idée collective qui est partie de la CCI du Doubs, de l'Union des commerçants, de l'Office du commerce, du Grand Besançon et de la ville afin de "redynamiser le centre-ville", nous précise-t-on. Les propriétaires de cellules commerciales vacantes habilleront ces dernières s'ils le souhaitent pour les rendre plus esthétiques. Une première série de 10 vitrines seront inaugurées le 27 octobre dans la rue Battant et sur la place Saint Pierre avec des visuels originaux déclinés sur deux principes : une valorisation de la vitrine en vue de la recommercialisation du local vacant, un visuel patrimonial ou de promotion commerciale ou touristique, si le local n’a pas vocation à être reloué rapidement pour cause de travaux par exemple".

Ci-dessous, Blois et Noisy merci à nos lecteurs qui ont fait ses clichés avec leur téléphone...

 

blois commerces vides

noisy commerces vides

remarquez l'invasion obsédante de la langue anglaise en FRANCE !!!!

Du côté de la ville de Pau, Mr Rohrbacher nous signale un article sur les "cellules" du centre ville dans le quotidien régional La République des Pyrénées avec des chiffres intéressants qui sont en CONTRADICTION TOTALE avec ce que vous avez pu lire dans le Figaro par exemple qui parlait de 10 ou 11%...

La réalité est bien plus cruelle: "où sur 1000 locaux, 300 sont vacants sur toute la ville, soit 30% !", lire ici la RdesP. Une évidence, la situation n'est pas prête de s'améliorer. Revue de Presse par Pierre Jovanovic

 

les vidéos sur ce sujet se multiplient partout !  regardez sur le côté :
https://www.youtube.com/watch?v=wnbpTeKvg90
partout les centre-villes meurent,
forcément !
avec les politiques actuelles il n'est plus possible d'y mettre les pieds alors les gens n'y vont plus, n'essaient même plus d'y aller, trop dur, et voilà. Moi non plus je ne mets plus les pieds en ville d'Arras maintenant. Et pour tout je commande et me fais livrer par la poste.
Et ce ne sont pas que magasins qui disparaissent, ils déménagent toutes les administrations, tous les établissements scolaires, ils ferment les églises, ils font fermer tous les cafés, qu'est-ce qui pourrai attirer les gens en ville ?! à part les touristes en car ! ou qui ont du temps à perdre, mais les touristes qui ont du temps à perdre aussi vont ailleurs, sauf quand ils sont en voyage organisé !

03/05/2023

Scarlatti

Les sonates de Scarlatti (Domenico) c'est un pur chef-d'œuvre en fait.

Comme un jardin de bonheur, un jardin où il y aurait des galets qui déboulent, des pompes à eau, comme autrefois, des enfants qui  courent ; des bals au clair du soir, des escaliers, des martinets (cipseloj en Espéranto) dans son ciel. Des chatons qui jouent au soleil, et qui marchent le dos en bosse. Des haches, et des cabanes à charbon, des coups de vents dans ses arbres ; des gouttes de pluie qui «font des bouteilles» ; des machines à coudre en route ; d'immenses moments de joie ; des baisers fous dans le cou. Des petits nuages de poussière emportés par le vent, Des nomades galopant dans la steppe Les feuilles mortes d'octobre tombant en rythme par dessus les douves Une diligence vue de loin dans la campagne Un petit chat qui joue sur des escalier en briques au soleil au milieu d'un jardin derrière une grande maison dans la Marche Combraille ou le Bourbonnais.
(Mais toutes les gens de cette maison sont morts, même les enfants. Il n y a plus aucun bonheur possible! jamais.) (sept2002)

21/04/2023

bruits de VIE qu'on n'entend plus dans nos immondes villes actuelles

*** les cris d'enfants !

entendre des cris d'enfants, partout, en tous cas partout en ville, était la banalité même , et faisait LA TRAME DE LA VIE, du temps où les villes étaient des villes, où la vie était la vie, où la société était une société, où les nazis actuels n'avaient pas encore étendu leur chape de plomb sur nos vies et sur les êtres !

C'était sain humain et vivant, tout à l'opposé du capitalisme totalitaire à crever actuel imposé par la mafieuse UE et son extension le "great reset" du nouvel Hitler: Klaus Schwab

***

petite fille sautant à la corde dans la rue Lester Talkington .jpg

***

16/04/2023

une citation de Chateaubriand

Châteaubriand dans ses Mémoires d'Outre-Tombe évoque les nuits qui

"s'achèvent le matin avec la première hirondelle"

souvenez-vous de cette belle évocation ! surtout que maintenant ça N'EXISTE PLUS ! il n'y a PLUS d'HIRONDELLES pour vous réveiller le matin; c'était la vie quotidienne autrefois, j'ai connu ça ....
yahoo-worried.png

05/04/2023

aimer acceuillir

Il va y avoir une espèce de justice immanente : les peuples occidentaux qui à force de puritanisme bien-pensant, de bourgeoisisme, d’égoïsme, (et https://blogs.mediapart.fr/patrick-cahez/blog/140520/et-e...) etc, ne se reproduiront plus  (sauf de manière commercialisée par PMA), et disparaîtront, tandis que resteront seuls les peuples qui ont encore gardé le goût de l’amour et de la famille.

 

à *****-********* on a transformé (c’est représentatif ! Comme dans une autre rue, sur *****, les locaux d’une entreprise qui a mis la clé sous la porte, qui vont servir à bâtir une  "résidence pour personnes âgées" !) les bâtiments de l’école en «annexe de la mairie » (comme si la mairie d'une si petite banlieue avait besoin d’une annexe  ) ça montre qu’il n’y a plus d’enfants en France. Comme j’ai dit il y a une justice immanente: seuls survivront les peuples qui ont gardé le sens de l’amour, de l’accueil, de la vie, et de la famille. Les peuples de « bourges » égoïstes, « politiquement corrects », soucieux de leurs carrières, et des normes sociales de la DDASS, disparaîtront.

 

et maintenant il y a un autre problème, question justice immanente : les sales collabos nazis, qui se font dûment vacciner car ils croient bien décemment en tout ce que dit "Notre Très Sainte Mère l'Eglise", non, pardon not' bon Fuehrer Herr Veran, seront incapables de se reproduire, et même si ils ont des enfants ce seront des être au sang plein d'oxyde de graphène et aux défenses naturelles affaiblies, etc, lisez les scientifiques qui nous alertent là-dessus ! et donc les prochaines générations seront faites de ceux engendrés par les NON-VACCINES ! Bon signe : génocide des crétins et des larves soumises et haineuses, et leur remplacement par des gens humains et qui n'ont pas de télé mais ont un cerveau !

Et les marchands ne s'y trompent pas : lisez-ça ! Dans les banques de sperme le prix du sperme de non-vacciné a monté en flèche, de 21.000% !

https://arnauddebrienne.wordpress.com/2021/09/10/21-000-daugmentation-de-prix-sur-le-sperme-des-non-vaccines/

Luc Montagnier a dit avant de mourir : "les non-vaccinés seront les gardiens de l'humanité"

23/03/2023

voilà comment devraient être les portes de toutes les églises

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Lodeve_portail_cathedrale.JPG

c'est à dire ouvertes !

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1.jpg

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01/03/2023

le vrai choc des civilisations

passage que Gilbert Ganne consacrait aux wagons de 3ème classe dans « Pour ou contre les valeurs bourgeoise » (écrit sans doute en 1967) les éditeurs de la collection avaient choisi paradoxalement Georges Hourdin (la Vie Catholique, hebdo de gauche) pour rédiger la partie  "pour les valeursbourgeoises" et Gilbert Ganne (l’Aurore journal de droite) la partie "contre les valeurs bourgeoise" !

Ce livre est devenu introuvable, mais il est  historiquement important sous plus d’un aspect.
je l'ai recopié cet après-midi, le fichier je l'ai classé dans « la vraie vie ».

In Gilbert Ganne (1919-2010) « Contre les valeurs bourgeoises » Berger-Levrault Nancy 1967, pages 9 et 10

Lorsque j’étais adolescent, il y avait trois classes dans les chemins de fer. Les secondes étaient par excellence, le domaine des bourgeois moyens ; on les reconnaissait facilement à leur mine constipée. Dans ces compartiments aux places louées, il régnait une atmosphère compassée et parfaitement ennuyeuse, bien différente de celle des troisièmes où la conversation s’engageait aussitôt entre compagnons de voyage Cela débutait par des sourires adressés aux enfants, par des réflexions sur le temps ou la longueur du trajet. A midi, on déballait joyeusement les provisions et, si quelqu’un se trouvait démuni, jamais l’on n’entamait le repas sans lui offrir quelque chose. Si bien que je négligeais toujours les vivres dont la mère voulait me charger, persuadé que j‘étais de trouver ce qu’il me faudrait dans le train. Ce n’était point de ma part, réflexe de malin mais souci de simplification ; j’avais déjà compris que les questions pratiques, pour lesquelles j’ai peu de goût, se résolvent d’elles-mêmes, par le plaisir que prennent les autres à les résoudre. Cette façon de partager, mon acceptation sans arrière-pensée, et d’autant plus franche que souvent les produits offerts venaient directement de la ferme ou avaient été amoureusement mijotés, les compliments que j’en faisais, rendaient mes vis-à-vis très heureux et contribuaient à faire régner, durant tout le parcours, un climat d’harmonie fraternelle.
Il est possible qu’aujourd’hui cette simplicité ait disparue en même temps que les troisièmes. Toujours par soucis de simplification, je vais maintenant au wagon-restaurant où les gens se regardent mastiquer sans s’adresser la parole. Engager la conversation, à plus forte raison offrir un verre, vous ferait passer pour un malotru. C’est décidément assez triste et, pour tout dire, c’est bourgeois. Sans doute peut-on constater encore une humeur différente dans les compartiments de congés-payés – mais pour combien de temps ?
……………..
mais plutôt de la générosité, qui n’existe vraiment que chez les pauvres ; cesser d’être pauvre, c’est aussi cesser d’aimer son prochain. L’époque actuelle nous montre que, plus les pays sont prospères, plus le geste gratuit y est rare.

voila ! le vrai choc des civilisations c'est celui-là

(les récents évènements montrent que les français sont tous devenus des bourgeois SOUMIS, délateurs, fascistes, et qui trouvent tout ça normal !! à vomir !!)

19/02/2023

Viroj kaj virinoj - la diferenco, jen la

TIKLEMUL’ KAJ GRUMBLULIN’

far GOTAINER

 


Plenridet’ kaj okulumad’
Ludhumur’ kaj ĉiam ŝercem’ :
Li la tiklemulo !

Paŭtanta pro ĉia ajn kaŭz’
Kritikemeca la humur’ :
Ŝi la grumblulino !

Tiklemul’ kaj Grumblulin’ !


Li bonule promenadis
Aŭ svingbrake aŭ man’ en poŝ’
Lia harpia karulin’
Sekvadis kun mallaŭda vip’.

Senripoze aŭdiĝis
Ŝia grumbl-argumentaĉad’
Li respondis per mokaĵoj
Li rebatis per ironi’.

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ fajfis,

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ furzis.

Laŭtempe li poetis,
Li babilis pri papili’;
Ts ! al ŝi estis kapdolor’.
Ts ! aŭskultu al l’televid’.

“ Mutu ja! ĉu vi frenezas ?
Infano vi estas ne plu !
Dum vi staras sidiĝu nu !
Piedviŝu, restu pura l’plank’ ! “

 

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ fajfis,

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ furzis.


Li fajfis „kristal-perloj“, dum
Pilolojn glutadis ŝi
« Vidu l’stelon ! », ekkriis li,
« Metu ŝalon » respondis ŝi.

Ŝi ne ŝvebis pli alte ol
Sia plejalta frizilo.
Dum li kuŝe sur sia dors’
Revis pri mil-unu noktoj.

Ĥĥĥĥ
Ĥgrrrrm !

Ŝi : la grumblulino !

Plenridet’ kaj okulumad’
Ludhumur’ kaj ĉiam ŝercem’ :
Li la tiklemulo !

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ fajfis,

Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ furzis.

(refoje)


27/01/2023

on est dans de beaux draps !

Maintenant les maisons, les logements, sont devenus tellement petits que le lit en est le centre, et de surcroît comme les murs maintenant sont systématiquement vides et blanc-clinique - et interdit de seulement y planter un clou sou peine d'expulsion ! - les meubles inexistants (plus d'argent pour en acheter, plus de place pour en mettre) et remplacés par des rayonnage en aggloméré de bois exotique, qu'on ne met plus de rideaux aux fenêtres, on n'a plus les moyens de mettre du décor, les gens ne brodent plus, ne peignent plus, ne lisent plus, n'ont plus de bibliothèque, la literie est devenue la seule tache de couleur, le seul élément qui peut donner une âme et une personnalité à une pièce, et vous réchauffer le cœur.
Alors les marchands de « couettes » rivalisent à créer constamment de nouveaux modèles de draps toujours plus beaux, pour toujours tenter les gens, même quand ils n'ont pas besoin de changer.

15/01/2023

été lumière

Aujourd’hui, je ne suis plus rien,
Même en la maison de mon père,
Qu’un vieil homme qui se souvient
D’avoir, enfant, été lumière.

(Maurice Carême)