26/07/2024
définition de mots-croisés
RUE : "espace public"
Mais ! les rue ne sont plus des espaces publics ! ils n'appartiennent plus aux gens, ils appartiennent aux flics ! aux entreprises, etc.
Il n'y même plus d'enfants qui y jouent !!
Ni de chiens ni de chats, ni de promeneurs, ni de vieilles flamandes qui discutaillent à haute voix entre-elles des heures, ni de badauds qui regardent les ouvriers travailler !
Par contre il n'y a plus que les mufles des caméras de vidéo-surveillance.
24/07/2024
Keny Arkana la seule, la référence de l'humanisme
les gens
- J’en ai marre des mondanités et des civilités ininterrompues de milieux populaires, qui ne sont pas moins étouffantes, ni moins artificielles, ni moins rigides, que celles des milieux « chics ».
Et puis ne vivre que pour le travail (chez soi et, accessoirement un peu au bureau) et pour les mondanités, comme ils (elles surtout) font : quelle horreur ! sans une seconde pour vivre véritablement, même un petit peu, autant se flinguer !
Et ces conversations-pieuvres omni-envahissantes et prioritaires, tellement oiseuses et conventionnelles, et vides, et sans âme aucune, sans aucun intérêt dans leur contenu ni aucune communication entre les personnes ; le silence et la solitude valent bien mieux que ce bulldozer destructeur comme une chape de béton !
- Sur le grégarisme superficiel et conventionnel des gens et leur étouffement visqueux, le vide des relations humaines de ce type hyper-dominant et de ces conversations, je ne m’appesantirai pas.
Publié dans mes aphorismes, mi iras limake, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
23/07/2024
Caroline Galacteros - même dans les milieux contestataires et critiques
n'arbore plus son décolleté et se voile jusqu'au cou comme les nonnes
https://reseauinternational.net/caroline-galacteros-m-ten...
peut-être que quelqu'un lui a dit que ses décolletés plongeants ne faisaient pas "politiquement corrects" dans notre époque marquée par un puritanisme exacerbé, même dans les milieux contestataires et critiques ......
Publié dans la vraie vie, les paranoïas ayatollesques, libertés, mi iras limake, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
21/07/2024
Apologie de la lubricité
Il y a souvent plus de sagesse dans les corps que dans les âmes, et souvent plus de profondeur. Les gens ne se laissent pas assez guider par lui dans leurs rapports à autrui.
Quand on entre en contact avec le corps de quelqu’un on touche quelque chose de plus profond - et de plus spirituel ! – que quand on croit entrer en contact avec son esprit. (R.P.)
« Ces plaisirs qu'on nomme, à la légère, physiques... » (Colette)
"Kiu ne amas seksumi nescias pri la plej bela donaco de naturo. Seksĝuo estas kuracilo por ĉiuj da vivdoloroj." (Terezinha Souza AMENO)
"Niaj unuaj lecionoj de disdonado komencis per la seksumado . Tiu mirakla kuracilo estas enhavita en nia propra korpo por servi kaj esti disdonita al la aliaj. Tiu kuracilo ne apartenas al ni sed al niaj amantoj !" (Terezinha Souza AMENO)
On pourrait enchaîner sur une
Apologie de la LUBRICITE
De tous temps (même maintenant, peut-être encore plus même ! vu l'ambiance de plus en plus puritaine, paranoïaque, intolérante, agressive, de la pudibonderie politically-correct, en tous cas beaucoup plus maintenant que dans les années 50) on a condamné moralement la lubricité ; on nous dit : - la sexualité oui, mais pas ça, parce que alors on ramène une personne au rang d’objet, on s’en sert comme utilité et source de plaisir, etc., et que c’est ce qui justifie qu’on la condamne et qu’on juge (officiellement, et dans tous les écrits) cela sale et vil.
Mais c’est de la mauvaise foi caractérisée (en particulier de la part des tenants de l’ordre établi !) qui cache un sempiternel et irrationnel rejet pudibond. Car : 1°)
Dans le salariat et les relations patrons – employés, vous ne me direz pas que les employeurs ne considèrent pas leurs employés comme de simples moyens ( des « Ressources Humaines » !), comme des choses carrément ! Et qu’ils n’hésitent pas à envoyer à la rue, au désespoir, et parfois à la mort sans vergogne aucune, et ce me semble on ne (surtout ne nos jours …) les considère pas pour autant comme des êtres vils et sales (quoique, hein ! …) ni le salariat comme immoral (au contraire on incite les gens à « savoir se vendre » !).
Et même dans la vie quotidienne, les rapports humains pratiques sont plus chosifiés que dans la sexualité la plus matérialiste, et tout le monde, presque tout le temps utilise et considère les autres humains, marchands, (et clients !, et pas un peu !) guichetiers, etc., etc., comme des utilités, pour son plaisir et sans que personne n’en soit choqué (en tout cas surtout pas les plus fervents pourfendeurs du désir et de la lubricité !) et sans pour autant s’avilir les uns les autres, ni se considéré comme avili.(1)
Et 2°) Tandis que par contre dans le désir sexuel les pensées libidineuses, et la lubricité on ne considère pas, « quoi qu’on die », la personne comme une chose, il est même, contrairement à ce qu’on prétend, des plus importants, et essentiel pour le plaisir que ce soi un être humain, et un être humain qui éprouve le même genre de sentiments. Et la lubricité n’est pas incompatible avec l’amour profond et tendre ni avec la conception alibi de la relation-sexuelle-expression-et-sommet-de-l’amour (où on ne penserait même pas à ce qu’on fait !).
Que dis-je : « Un quart d’heure d’un commerce intime entre deux personnes d’un sexe différent, et qui ont, je ne dis pas de l’amour, mais du goût l’un pour l’autre, établit une confiance, un abandon, un tendre intérêt que la plus vive amitié ne fait pas «éprouver après dix ans de durée. » (Sénac de Meilhan)
En fait tout cela est d’une mauvaise foi évidente et sert de mauvaises raisons qu’on cherche pour justifier a posteriori une crispation viscérale.
En fait, par contre, si on réfléchit bien, et on compare, le désir sexuel, et même carrément la lubricité bien loin d’être des actes et des pensées condamnables, sont des choses dont on pourrait au contraire faire l’apologie, et des modes de partage, de complicité, et de communication humaine qui pourraient parmi les meilleurs et les plus chaleureux, tout en étant un des plus faciles, et donc des plus humains. (contrairement à bien d’autres …..)
(1) Vous vous sentiriez gêné(e) d’être regardé(e) d’un regard libidineux ? A plus forte raison alors devez-vous l’être bien davantage quand un patron considère votre curriculum vitae ou quand un vendeur ou un réceptionniste d’hôtel repère la grosseur de votre voiture et celle supposée de votre pouvoir d’achat ! Et par un regard raciste ! et par le regard d’un flic ! ou d’un vigile privé donc ! (ceux-là sont négatifs et inhumains ; le regard sexuel est humain et positif lui, sauf chez ceux qui sont, en plus et par ailleurs , cyniques ou tordus, mais ça on peut l’être dans tous les domaines).
Publié dans la vraie vie, mi iras limake | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
17/07/2024
de nombreux naïfs
"le gel des actifs russes, ce qui était également une étape sans précédent, " https://reseauinternational.net/les-avoirs-russes-geles-o...
Ce qui montre bien que la mondialisation n'est pas contrairement à ce que croient de nombreux naïfs quelque chose de bien, mais un mal et, de même que selon les époques, la création de l'Etat ou celle du fascisme, un danger, toujours soumis à l'éternelle "loi du plus fort" et à la lutte des classes, principal moteur de l'histoire. Un mal à proscrire.
15/07/2024
les chansons qu'on n'oublie pas ce sont celles qui disent la vérité
si la vidéo refuse encore de marcher il faudra 1° téléchager et installer le navigateur Opéra http://www.clubic.com/telecharger-fiche18773-opera.html 2° y ajouter le module https://addons.opera.com/fr/extensions/details/download-y... accéder à cette vidéo par ce navigateur, ou sur http://www.youtube.com/watch?v=KVvDNasH4No , alors vous disposerez d'un bouton descargar (en espagnol) sans doute "télécharger" en français, etc par leqel vous pouvez soit visionner la vidéo, soit l'enregistrer sur votre ordinateur, ce qui llà, vous rend enfin libre de la regardez quand et comme vous voulez.
écoutez la chanson
au moins une fois avant de mourir, pour toujours
14/07/2024
la force d'éprouver du chagrin est un privilège de la jeunesse
de Sophocle, dans Oedipe à Colonne : « Puis à la fin,tombe sur nous l'ennemi entre tous redoutable la vieillesse impuissante, insociable, privée d'amis, en qui viennent tous les maux se réunir. On n'a plus d'autres compagnons que le chagrin. »
- Même pas ! La force d'avoir du chagrin est un privilège de la jeunesse.
« Ewig rein bleibt nur die Träne »
je suis content d'avoir fait CE travail et d'avoir fait rire CE public
Dieuddo tout le monde t'aime. Ce sera comme pour les années 40 les putes seront oubliés et jetés dans les poubelles de l'histoire, et c'est toi qui restera la célébrté
NE SURTOUT PAS OUBLIER de METTRE cetteVIDEO AUSSI SUR MON BLOG D'EKLABLOG
Publié dans Littérature - une outre de sang et de fade infini, morale, rire | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
12/07/2024
cette "upper-class" qui crache sur le peuple
avez-vous remarqué que quand dans un titre journalistique on dit "les diplômés" ceci, "les diplômés" cela - on entend TOUJOURS par là en fait les seuls diplômés du supérieur ! Alors, l'ami Socrate, réfléchissons un peu : alors comme ça le BEPC, le CAP, le BEP, le bac, ça n'est pas "des diplômes" !!? ceux qui ont le BEPC, le bac, ou un CAP, ça ne sont pas des diplômés ?! .....
revoilà l'infect racisme de classe (tout racisme d'ailleurs quand on gratte un petit peu, se révèle être un racisme de classe ! un racisme anti-pauvres, réflechissez un peu vous verrez) le racisme universitaire, de la classe des journaputes et leurs commanditaires les cadres-sup' du secteur privé (oui, les ceusses qui ne produisent RIEN, ni bien ni service, mais gagnent (très copieusement) leur vie à spéculer sur l'art de se faire du fric autour de la vente de biens ou de services produits par d'autres (très mal-payés eux), bref ceux que Bernard Friot rappelle (à leur grande colère, eh eh ! ) qu'ils sont des parasites.
Bref la classe qui vote pour le PS ou pour Macron, ou bien sûr pour la droite traditionnelle, et tout ça, bref "la volaille qui fait l'opinion" dans les beaux salons modernes éclairés à l'halogène. Des gens formés à coup de "réductions de texte" à bien penser dans les rails en manipulant rien que des petits cucubes conceptuels à la momode.
Eh oui "l'émancipation des travailleurs ne pourra être l'œuvre que des travailleurs eux-mêmes" (MARX). Maintenant voyons cette très intelligente vidéo https://ruclip.com/video/at_Ml0Zutfk/l-insurrection-est-e... et puisque sur ruclip on peut les lire lisez les commentaires ! le plus intéressant est celui qui dit :
"Je crois surtout que les "intellos" sont bien emmerdés, car ce sont les patrons des gilets jaunes : combien parmi eux emploient des femmes de ménage, des nounous et autres domestiques (très très bonne remarque ! On revient aux principes d’analyse marxiste, les conditions matérielles de vie ! Fondamental !) (avec ristourne de l'État qui subventionne donc ce patronat-là aussi), tout en se félicitant de "donner du travail à des pauvres gens" ? Combien parmi ces intellos traitent le personnel administratif du CNRS et de l'Université comme de la merde ? Combien pensent en leur for intérieur quand ils ne le disent pas carrément que tous ces gens qui n'ont pas fait normale sup ne devraient pas être autorisés à voter ?"
Voilà qui apporte de l'eau au moulin de la remarque qui ouvre ce billet hein ?!
regardez cette vidéo, au milieu du débat (à partir de 54 min ?) il y a une très intéressante conversation sur le RACISME DE CLASSE des bourges "diplômés de l'université" envers le peuple, super ! :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=ZZxhCGEMMdE[/youtube]
"C’est assez amusant, si l’on peut dire, de discuter en ce moment avec des gens de la "gauche" bourgeoise intello qui, se sentant en tant que "du Parti du Bien" ! donc de la gôche obligés à une certaine solidarité (purement verbale !) avec la "France d’en bas" (dont ils font rarement partie), défendent le principe de donner davantage la parole au peuple, mais deviennent d’un coup très timorés dès qu’on entre dans le concret et qu’ils se rendent compte de ce que ça impliquerait... On perçoit très vite les limites de leur conception de la démocratie. On touche là à l’un des savoureux paradoxes de ceux qui se prévalent de parler au nom du peuple..."
(oui ce peuple qui pour eux est par définition stupide, voilà le nœud idéologique et viscéral de ces racistes de classe, par ailleurs dépourvus de toute trace de sens moral 4min20 : https://hdclips.top/hd-videos/ghEkDQcu5Yo/dieudonn%C3%A9-... )
mais il peut y avoir un retour de bâton ("l'éternel retour du concret" disait Lénine), écoutez ici JJ Crèvecœur :
https://odysee.com/@Contreverse:7/210621-CDL93-HR:6
" parce que justement vous ne vous sentez pas du côté des privilégiés, vous avez davantage prêté attention à des discours qui n'allaient pas dans le sens du discours des privilégiés"
aussi n'ayez pas honte d'être "conspirationniste" car c'est ça justement qui est l'esprit scientifique rationnel ! comme en 1995, le peuple en n'écoutant pas la propagande "obligée" des gens qui se croient par droit divin du côté du vrai du beau et du bien, vous aurez accès à plus d'esprit critique, et d'information !! et peut-être c'est ainsi que le petit peuple fera renaître la France !
un article de Nicolas Bonnal :
« cette haine pathologique envers le peuple »
Les Nouveaux Chiens de Garde et le « pass » (en amerloque dans le texte) sanitairepar Nicolas Bonnal.
La presse française, qui appartient à quelques oligarques (dont Bernard LVMH, qui pèse aujourd’hui MILLE milliards…de francs) et est subventionnée à hauteur de 500 millions d’euros tant elle dégoûte les Français, aura été crasse et ignoble depuis le début de cette histoire : affolement, confinements, masques, vaccins, meurtres de masse, passes sanitaires, chantage et menaces, elle nous aura tout imposé. Malheureusement il n’y a rien de nouveau le sommeil : depuis les années Mitterrand et le passage du col Mao au Rotary (Hocquenghem) nous sommes dans un présent permanent d’omerta (Coignard), d’abjection et de désinformation. Nous sommes là pour enrichir les riches et pour empoisonner les Français, disent les gardiens de camp médiatique et électronique.
C’est que les gens dont nous parlons sont des chiens de garde. Et quels dobermans ! Et quels roquets ! Revenons-en alors au maître-livre de Serge Halimi, trublion du Monde diplomatique, qui rappelait dans son très documenté pamphlet que le journaliste est avant tout un enthousiaste :
« La censure est cependant plus efficace quand elle n’a pas besoin de se dire, quand les intérêts du patron miraculeusement coïncident avec ceux de « l’information ». Le journaliste est alors prodigieusement libre. Et il est heureux. On lui octroie en prime le droit de se croire puissant. Fêtard sur la brèche d’un mur de Berlin qui s’ouvre à la liberté et au marché, petit soldat ébloui par l’armada de l’OTAN héliportant au Kosovo la guerre « chirurgicale » et les croisés de l’Occident, avocat quotidien de l’Europe libérale au moment du référendum constitutionnel : reporters et commentateurs eurent alors carte blanche pour exprimer leur enthousiasme. Le monde avait basculé dans la « société de l’information », avec ses hiérarchies « en réseau », ses blogs et ses nouveaux seigneurs ».
La presse fut chargée d’encenser Davos :
« Le capitalisme a ses charités, ses philanthropes dont la mission est d’enjoliver un système peu amène envers ceux qu’il ne comble pas de ses bienfaits. La presse trône au premier plan de ces campagnes de blanchiment. Ainsi, Davos, autrefois conclave des « global leaders » soucieux de « créer de la valeur » pour leurs actionnaires, serait presque devenu un lieu de virée pour patrons copains et citoyens ».
Halimi tacle au passage l’effarant Joffrin :
« N’accablons pas Laurent Joffrin. Lui qui, pendant les années Reagan, célébra les États-Unis et le libéralisme (l’émission « Vive la crise ! » fut en partie son œuvre) n’a fait que traduire à sa modeste échelle ce que, sous la double pression de la concentration capitaliste et d’une concurrence commerciale favorisant le conformisme et la bêtise, le journalisme est devenu presque partout : creux et révérencieux ».
La géographie ça sert d’abord à faire la guerre, disait Yves Lacoste. La presse encore plus, surtout dans une puissance belligène et coloniale :
« Pendant les guerres, la presse se soucie moins de consensus, de pédagogie, de complexité, et davantage de réchauffer l’ardeur des combattants. Presque tout a été dit sur l’effondrement de l’esprit critique lors de la guerre du Golfe où, mis à part L’Humanité et La Croix (par intermittence), chacun des directeurs de quotidien se plaça au service de nos soldats. Quasiment unanimes, les hebdos, radios et télévisions firent chorus, se transformant en classe de recyclage pour officier au rancart vaincu en Algérie trente ans plus tôt et soucieux de prendre, dans les médias, sa revanche sur les Arabes ».
Halimi souligne cette haine pathologique du peuple. On la sentit venir en 1992 au moment de Maastricht. Juste là confinée au nationaliste pauvre (raciste, fasciste, nazi, antisémite, etc.), cette haine se communiqua à tout le peuple de gauche, du centre ou d’ailleurs :
« En 1992, la campagne du référendum sur le traité de Maastricht répéta les « dérives » observées pendant la guerre du Golfe. Là encore, beaucoup de choses se conjuguèrent : la volonté d’encourager l’élite éclairée qui construit l’avenir (« l’Europe ») alors que le peuple ne sait qu’exhaler ses nostalgies, sa « xénophobie » et ses « peurs » ; la préférence instinctive pour les options du centre, surtout lorsqu’elles s’opposent aux extrêmes « populiste » et « nationaliste » ; enfin la place accordée aux avis des experts et des intellectuels, eux aussi particulièrement sensibles aux ressorts précédents. Intelligence contre irrationalité, ouverture contre repli, avenir contre passé, ordre contre meute : tous ces fragments d’un discours méprisant de caste et de classe resurgirent au moment du référendum de mai 2005 sur le traité constitutionnel européen ».
Et comme on continue de chercher la petite bête immonde ici et ailleurs, Halimi rappelle : « Il a fallu attendre la fin du second septennat de François Mitterrand pour « découvrir » que l’ancien président de la République avait, sciemment et longtemps après la guerre, continué à fréquenter un haut dignitaire de Vichy impliqué dans les basses œuvres de ce régime, qu’il avait envoyé à la guillotine des militants de l’indépendance algérienne…Tant d’enquêteurs et tant de journaux se prétendant concurrents pour arriver à ce résultat-là ! »
Ce qui est juif, disait Goebbels à Fritz Lang, nous en décidons. Ce qui est antisémite aussi.
Concluons philosophiquement comme l’andouille Ferry. La presse française est crevée depuis longtemps. Comme l’Église ou les partis, elle survit en hystérésis, grâce à nos subventions.