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09/07/2016

on en revient toujours là

Il faut bien sûr en revenir à Ali Bhutto (et même plus loin : jusqu’à Spurius Cassius ! vous savez ce qu’on lui a fait à Spurius Cassius ?)

“Her father was probably the most popular politician in Pakistan, pledging massive social reforms. - Comme Robert Kennedy ! et, comme Robert Kennedy, il a été éliminé; ou comme Tiberius Gracchus (et Caius Gracchus) toujours la même histoire – il faut toujours en revenir à Marx je regrette ! - ou à La Fontaine si vous préférez, la lucidité quoi.

Zulfikar Ali Bhutto, who had been elected in the 1970 elections, had won a large majority in the country that we now know as Pakistan and had been elected on a very radical platform. He came to power.He implemented some of his reforms, not all, became extremely autocratic, clashed with the United States on a number of issues, including Pakistan’s right to have nuclear weapons. Henry Kissinger warned him in private that if you do not desist on the nuclear issue, we will make a terrible example out of you. That’s what Bhutto wrote from his death cell. The United States organized a military coup d’etat. General Zia-ul-Haq took power in 1977, organized a trial against Bhutto, charging him with an absurd charge of murdering someone. The judges were pressured, and they found him guilty, and Bhutto was hanged in April 1979. It could not have happened without US support and approval, because Zia was a nobody, and Washington clearly green-lighted the murder. And Bhutto, from his death cell, wrote a very moving document called “If I Am Assassinated,” in which he said there are two hegemonies—these are his words. He said, “There are two hegemonies that dominate our country. One is an internal hegemony, and the other is an external hegemony. And unless we challenge the external hegemony, we will never be able to deal with the internal one,” meaning Washington is the external hegemony and the army is the internal one.”

07/07/2016

maintenant on a une preuve

Que le cancer de Chavez a été provoqué par les "services" US, déjà en 2006 il y avait eu une tentative :

"Il y a eu un autre attentat, moins connu, qui fut découvert dans la ville de New York, pendant sa visite à l’Assemblée Générale des Nations Unies en septembre 2006. Selon les informations fournies par les services de sécurité, pendant les identifications de sécurité standard d’un événement au cours duquel Chávez s’adresserait au public états-unien dans une université locale, on a détecté de hauts niveaux de radiations sur la chaise sur laquelle il devait s’asseoir. Les radiations ont été découvertes par un compteur Geiger, un dispositif de détection des radiations aux mains de la sécurité du président utilisé pour s’assurer que le président n’était pas en danger d’être exposé aux rayons radio-actifs. Dans ce cas, la chaise a été retirée et les preuves démontrèrent ensuite qu’il émanait des quantités inhabituelles de radiations qui auraient pu causer des dommages importants à Chávez si elles n’avaient pas été découvertes. Selon la sécurité du président, une personne états-unienne qui avait été impliquée dans le soutien logistique de cet événement et avait fourni la chaise de Chávez appartenait au Renseignement des Etats-Unis."

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Il faut se souvenir de Chavez et de son message

et ne pas oublier non plus la question :

La NSA a-t-elle assassiné Hugo Chavez ? (Matrizur)

une confirmation : http://newsoftomorrow.org/ufologie/ombre/dr-barrie-trower...

La totalité de l'article http://bolivarinfos.over-blog.com/2016/04/venezuela-les-c... d'où ces informations sont extraites :

 

Qui pourrait être impliqué dans l’assassinat de Chávez ?

Mike Whitney- Croyez-vous qu’Hugo Chávez a été assassiné et si oui, qui croyez-vous qui ait pu y être impliqué?

Eva Golinger- Je crois qu’il y a de fortes possibilités pour que le président Chávez ait été assassiné. Il y a des tentatives notoires et documentées d’assassinat contre lui pendant toute sa présidence. La plus connue est celle du 11 avril, le coup d’Etat de 2002 pendant lequel Chávez a été enlevé et allait être assassiné s’il n’y avait pas eu le soulèvement sans précédent du peuple vénézuélien et des forces militaires loyales qui l’ont sauvé et l’ont ramené au pouvoir 48 heures plus tard.

Moi-même, j’ai cherché des preuves irréfutables en utilisant la Loi d’Accès à l’Information aux Etats-Unis, que la CIA et d’autres agences états-uniennes étaient derrière ce coup d’Etat et ont soutenu économiquement, militairement et politiquement les putschistes. Ensuite, il y a eu d’autres attentats contre Chávez et son Gouvernement comme en 2004 quand des dizaines de paramilitaires colombiens ont été capturés dans une plantation dans les environs de Caracas qui appartenait à un activiste anti-chaviste, Robert Alonso, quelques jours avant qu’ils aillent attaquer le palais présidentiel et tuer Chávez.

Il y a eu un autre attentat, moins connu, qui fut découvert dans la ville de New York, pendant sa visite à l’Assemblée Générale des Nations Unies en septembre 2006. Selon les informations fournies par les services de sécurité, pendant les identifications de sécurité standard d’un événement au cours duquel Chávez s’adresserait au public états-unien dans une université locale, on a détecté de hauts niveaux de radiations sur la chaise sur laquelle il devait s’asseoir. Les radiations ont été découvertes par un compteur Geiger, un dispositif de détection des radiations aux mains de la sécurité du président utilisé pour s’assurer que le président n’était pas en danger d’être exposé aux rayons radio-actifs. Dans ce cas, la chaise a été retirée et les preuves démontrèrent ensuite qu’il émanait des quantités inhabituelles de radiations qui auraient pu causer des dommages importants à Chávez si elles n’avaient pas été découvertes. Selon la sécurité du président, une personne états-unienne qui avait été impliquée dans le soutien logistique de cet événement et avait fourni la chaise de Chávez appartenait au Renseignement des Etats-Unis.

Il y eut beaucoup d’autres attentats contre sa vie qui ont échoué à cause des services de Renseignement vénézuéliens et surtout, à cause de l’unité de contre-renseignement de la Garde Présidentielle qui se chargeait de découvrir et d’empêcher cette sorte de menace. Une autre tentative connue est survenue en juillet 2010 quand Francisco Chávez Abarca (sans rapport), un terroriste qui travaillait avec le terroriste d’origine cubaine Luis Posada Carriles, responsable d’avoir mis une bombe dans un avion cubain en 1976 et d’avoir tué les 73 passagers à bord, fut arrêté en entrant au Venezuela et ensuite avoua qu’il avait été envoyé pour assassiner Chávez. Seulement 5 mois auparavant, en février 2010, quand le président Chávez se trouvait à une manifestation près de la frontière avec la Colombie, sa sécurité a découvert un franc-tireur à un peu plus de 2 km qui fut neutralisé ensuite.

Même si ces histoires peuvent passer pour des fictions, elles sont largement documentées et sont très réelles. Hugo Chávez défiait les intérêts les plus puissants et a refusé de s’agenouiller. En tant que chef d’État de la nation possédant les plus grandes réserves de pétrole de la planète, et en tant que quelqu’un qui défiait ouvertement et directement les États-Unis et la domination occidentale, Chávez fut considéré comme un ennemi de Washington et de ses alliés.

Alors, qui pourrait être impliqué dans l’assassinat de Chávez s’il a été assassiné ? Certainement, il n’est pas difficile d’imaginer que le Gouvernement états-unien serait impliqué dans l’assassinat politique d’un ennemi qu’eux, clairement – et ouvertement – voulaient voir disparaître. En 2006, le Gouvernement des États-Unis a créé une mission clandestine spéciale de Renseignement pour le Venezuela et Cuba sous la Direction Nationale du Renseignement. Cette unité d’élite du Renseignement était chargée d’étendre les opérations secrètes contre Chávez et de diriger des missions clandestines à partir d’un centre de fusion du Renseignement (CIA-DEA-DIA) en Colombie. Certaines des pièces clefs de cette histoire comprennent la découverte de plusieurs collaborateurs proches de Chávez qui avaient un accès privé à sa personne, sans obstacles, qui ont fui le pays après sa mort et collaborent activement avec le Gouvernement des Etats-Unis. S’il avait été assassiné par un certain type d’exposition à de hauts niveaux de radiations ou par inoculation ou infection d’un virus qui causera le cancer d’une autre façon, cela aurait été fait par quelqu’un qui avait la possibilité de l’approcher et en qui il avait confiance.

M-W- Qui est Leamsy Salazar et comment est-il en relation avec les agences de Renseignement des Etats-Unis ?

E-G- Leamsy Salazar a été l’un des collaborateurs les plus proches de Chávez pendant presque 7 ans. C’était un Capitaine de Corvette de la Marine du Venezuela et il s’est fait connaître pendant le coup d’État contre Chávez en avril 2002 quand il hissa le drapeau du Venezuela sur le toit du régiment de la Garde Présidentielle au palais présidentiel de Miraflores quand le sauvetage de Chávez était en marche. Il devint un symbole des forces armées loyales qui ont aidé à renverser le coup d’État et Chávez l’a récompensé en faisant de lui l’une de ses aides les plus proches.

Salazar était à la fois un aide de camp et un assistant de Chávez qui, à certains moments, lui amenait son café et son repas, était à ses côtés, voyageait avec lui dans le monde entier et était chargé de le protéger pendant les manifestations publiques. Et je l’ai rencontré plusieurs fois dans les années où j’étais avec Chávez. C’était l’un des visages connus qui protégeaient Chávez depuis plusieurs années. C’était un membre clef du premier cercle de sécurité de Chávez, avec un accès privé à Chávez et une connaissance privilégiée et hautement confidentielle de ses aventures, de ses habitudes et de ses activités privées.

Après la mort Chávez en mars 2013, Leamsy fut transféré à l’équipe de sécurité de Diosdado Cabello qui était alors président de l’Assemblée Nationale du Venezuela et considéré comme une des figures politiques et militaires les plus puissantes du pays. Cabello fut l’un des alliés les plus proches de Chávez. Il faut signaler que Leamsy a été auprès de Chávez pendant la majeure partie de sa maladie et jusqu’à sa mort et qu’il avait un accès privilégié accordé à très peu de gens même dans son équipe de sécurité.

Étonnamment, en décembre 2014, des rapports de presse ont révélé que Leamsy avait été transporté secrètement aux États-Unis d’Espagne où il était, semble-t-il, en vacances avec sa famille. L’avion qui le transporta, on dit qu’il était de la DEA. Il fut inclus dans le programme de protection des témoins du gouvernement états-unien et la presse a prétendu qu’il fournissait des informations au gouvernement des États-Unis sur de soi-disant fonctionnaires vénézuéliens impliqués dans un réseau de haut niveau de trafic de drogues. Jusqu’à présent, aucune accusation de cette sorte n’a pu être vérifiée et prouvée de façon indépendante.

Une autre explication de son entrée dans le programme de protection des témoins des Etats-Unis pourrait être sa participation à l’assassinat de Chávez, probablement dans le cadre d’une opération clandestine (‘black op’) de la CIA ou peut-être même réalisé sous les auspices de la CIA mais exécutée par des agents corrompus ou achetés du gouvernement vénézuélien. Par exemple, les « Papiers de Panama » ont révélé des informations sur une autre ex adjudant de Chávez, le capitaine de l’Armée Adrián Velásquez qui était en charge de la sécurité du fils d’Hugo Chávez. La femme du capitaine Velásquez, ex officier de Marine, Claudia Patricia Díaz Guillén, a été l’infirmière de Chávez depuis plusieurs années et avait un accès privé à sa personne sans contrôle. D’autre part, Claudia administrait les médicaments, les vaccins, et d’autres services de santé et d’aliments à Chávez pendant plusieurs années. Juste un mois avant que sa maladie ne soit découverte en 2011, Chávez nomma Claudia Trésorière du Venezuela, mettant sous son contrôle l’argent du pays. Elle fut séparée de cette charge justement après la mort de Chávez.

Le capitaine Velásquez et Claudia apparaissent dans les « Papiers de Panamá » en tant que propriétaires d’une entreprise fantôme avec des millions de dollars. Ils ont aussi des propriétés dans une zone très couteuse de la République Dominicaine, Punta Cana, où les maisons coûtent des millions de dollars. Soi-disant, il s’est installé là depuis au moins juin 2015. Les documents montrent que juste après la mort de Chávez, quand Nicolás Maduro a été élu président en avril 2013, le capitaine Velásquez a ouvert une compagnie ‘offshore’ le 18 avril 2013 avec la firme panaméenne Mossack Fonseca, intitulée Bleckner Associates Limited. Une firme suisse d’investissement financiers V3 Capital Partners LLC, affirmé qu’elle gérait les fonds de millions de dollars du capitaine Velásquez. Il est impossible qu’un capitaine de l’Armée du Venezuela ait gagné autant d’argent par son travail légitime. Ni lui ni sa femme, Claudia, ne sont rentrés au Venezuela depuis 2015. Le capitaine Velásquez était très proche de Leamsy Salazar, de plus amis et collègues de travail.

M-W- Pouvez-vous expliquer les circonstances suspectes dans lesquelles Salazar fut transporté d’Espagne par la sécurité des Etats-Unis dans un avion appartenant à la Drug Enforcement Administration (DEA)?

E-G- Évidemment, il est très suspect que Salazar ait été transporté d’Espagne où semble-t-il, il était en vacances avec sa famille et amené aux États-Unis dans un avion de la DEA. Il n’y a aucun doute qu’il collaborait avec le gouvernement des États-Unis et trahi son pays. Ce qui reste à voir, c’est son rôle exact. A-t-il administré le venin assassin à Chávez, ou l’a-t-il fait en collaboration avec ses associés, la capitaine Velásquez et l’infirmière-trésorière Claudia?
Même si tout cela peut sembler une théorie de la conspiration, ce sont des faits qui peuvent être vérifiés de façon indépendante. Il est également certain, selon des documents déclassifiés des États-Unis que, depuis 1948, l’Armée des États-Unis développait une arme de radiation injectable à utiliser dans des assassinats politiques contre leurs ennemis. Lors des audiences de la Commission Church sur l’assassinat de Kennedy, a aussi été révélée l’existence d’une arme d’assassinat développées par la CIA pour provoquer des attaques cardiaques et un cancer des tissus. Chávez est mort d’un cancer agressif des tissus.

Au moment où il a été détecté, il était déjà trop tard. Il y a une autre information documentée sur le développement d’un « virus du cancer » qui était en préparation dans les années 60 pour soi-disant, l’utiliser contre Fidel Castro. Cela peut sembler de la science fiction mais il suffit de chercher et de voir que c’est sûr. En tant qu’avocate et journaliste d’investigation, je cherche toujours des preuves convaincantes et de multiples sources vérifiables. Même si nous regardons seulement le document officiel de l’Armée des États-Unis rédigé en 1948, c’est un fait que le Gouvernement des États-Unis était en train de développer une arme de radiation pour l’assassinat politique. Plus de 60 ans plus tard, nous ne pouvons qu’imaginer les capacités technologiques existantes.

M-W- Sur le plan personnel, pourriez-vous nous dire ce que la perte d’Hugo Chávez a signifié pour vous et quel impact sa mort a eu sur le peuple du Venezuela?

E-G- La perte d’Hugo Chávez a été écrasante et dévastatrice. C’était mon ami et j’ai été sa conseillère pendant presque 10 ans. Le vide qu’il a laissé est impossible à remplir. Il avait un énorme cœur et réellement, il se consacrait à construire un pays meilleur pour son peuple et un monde meilleur pour l’humanité. Il se préoccupait beaucoup de tout le monde mais, en particulier, des pauvres, des abandonnés, des marginalisés. Il y a une photo de Chávez prise par quelqu’un, ce n’était pas une photo officielle, après une manifestation dans le centre de Caracas après laquelle il avait marché sur une grande place qui avait été déplacée pour cause de sécurité.

Tout à coup, Chávez a vu un homme jeune, décoiffé et apparemment drogué, à peine capable de rester debout, vêtu de vêtements sales. Au grand dam de sa sécurité, Chávez s’est approché du jeune affectueusement, l’a embrassé et lui a offert une tasse de café. Il ne l’a pas jugé, ne lui ai pas fit de reproches. Lui, il l’a traité comme un être humain qui méritait d’être traité avec dignité. Il est resté là, avec lui, un moment, simplement racontant des histoires et plaisantant comme de vieux amis. Quand il a dû s’en aller, Chávez l’a indiqué à un de ses gardes pour qu’on lui apporte toute l’aide dont ce jeune avait besoin.

Il n’y avait pas de caméras là, ni la télévision, ni le public. Cela n’a pas été un truc publicitaire. Il réagissait affectueusement et avec une inquiétude sincère et vraie face à un être humain nécessiteux. Bien qu’il soit président et un puissant chef d’Etat, Chávez s’est toujours vu comme égal à tous.

Sa mort inattendue a eu un impact tragique au Venezuela. Malheureusement, le pays passe par des moments extrêmement difficiles. Une combinaison de corruption intérieure et de sabotage extérieur par les forces d’opposition (avec le soutien de l’étranger), ainsi que la forte chute des prix du pétrole ont paralysé l’économie.

Les agences des Etats-Unis et leurs alliés au Venezuela ont profité de l’occasion pour déstabiliser encore plus et détruire les restes du chavisme. Maintenant, il s’agit de ruiner et d’effacer l’héritage de Chávez mais je crois que c’est impossible. La mémoire de Chávez vit dans les millions de personnes sur lesquelles il a eu un impact en améliorant leur vie. Son impact sera capable de supporter la tourmente. Le « chavisme » est devenu une idéologie fondée sur les principes de justice sociale et sur la dignité humaine. Mais le regrettons-nous terriblement ? Oui.

Article original en anglais: The Strange Death of Hugo Chavez: an Interview with Eva Golinger, Counterpunch, 22 avril 2016.

Eva Golinger est journaliste et écrivaine spécialiste du Venezuela. Elle a écrit notamment le livre Code Chavez, CIA contre Venezuela (2006)

 
un précédent article :
Eva GOLINGER

En 2013, le Venezuela a connu un des moments les plus difficiles de son histoire avec le décès du Président Hugo Chavez, le 5 mars. Chavez, leader de grande envergure, fut victime d’un cancer agressif dont il mourut en moins de deux ans. Pendant ses quatorze années au pouvoir, ce Président charismatique (toujours élu démocratiquement et à la grande majorité) s’est confronté à de grands et puissants ennemis : coups d’état, sabotages économiques, interventions électorales, guerre psychologique, furent quelques unes des méthodes et des stratégies de déstabilisation auxquelles il dût faire face pendant son mandat.

Il était en tête de liste de la CIA comme cible principale de leurs agressions, cela fit que sa mort brutale et inattendue fit naître beaucoup de soupçons parmi ses partisans et tous ceux qui s’intéressaient à sa vision sociopolitique. Chavez défiait les intérêts des plus puissants et en même temps contrôlait les plus grandes réserves pétrolières de la planète.

La mort de Chavez peut-elle avoir été un assassinat politique ?

Il y a quelques années, cette question aurait fait sourire une grande partie des lecteurs, mais aujourd’hui, avec l’immense quantité de documents publiés par le lanceur d’alerte Wikileaks et l’ex agent de la NSA, Edward Snowden, le monde sait comment le gouvernement des États-Unis espionne ses amis, ses alliés, ses citoyens et ses ennemis ; personne n’échappe aux yeux et aux oreilles de Washington. On sait aujourd’hui que presque toutes les ambassades des États-Unis dans le monde sont des centres d’espionnage et d’opérations d’intelligence. On sait toutes les graves atteintes aux droits de l’homme qui ont été commises par les forces armées américaines en Irak et en Afghanistan, et on sait aussi comment le Gouvernement de Barak Obama a augmenté l’utilisation d’avions sans pilotes (drones) pour assassiner des innocents par télécommande.

On sait aujourd’hui la rage avec laquelle le Gouvernement du premier Afro-étasunien à la Présidence poursuit ceux qui dévoilent des vérités sur les abus de Washington, et plus encore quand ce sont des citoyens étasuniens comme Bradley (Chelsea) Manning, Edward Snowden et Jeremy Hammond. On sait que Washington a utilisé son pouvoir économique pour tenter de neutraliser Wikileaks et geler ses finances, bloquant son accès à Mastercard, Visa et Paypal avec le seul objectif d’étouffer sa voix et d’empêcher sa publication continue de documents qui dévoilaient les basses actions de la Maison Blanche.

Toutes ces révélations ont rendu le public mondial moins sceptique et plus réaliste quand il s’agit de la capacité du Gouvernement américain à réduire ses ennemis au silence, cacher ses erreurs et utiliser tous les moyens possibles pour conserver sa domination.

Hugo Chavez a toujours été un caillou dans la chaussure impériale. Sous-estimé par les analystes et conseillers « d’esprit guerre froide » de Washington, Chavez mit fin à l’influence et à la domination des États-Unis en Amérique Latine en moins d’une décade. Il a repris le contrôle des ressources stratégiques, non seulement du Venezuela mais dans toute l’Amérique Latine, toujours sous le drapeau de la justice sociale.
Il a impulsé l’intégration régionale et la création d’organisations comme l’Union des Nations Sud-Américaines (UNASUR), l’Alliance Bolivarienne pour les Peuples de Notre Amérique (ALBA), la Communauté des États Latino-Américains et des Caraïbes (CLAC), entre autres. Sa main ferme face aux agressions des États-Unis fut un exemple et une inspiration pour des millions dans le monde, qui virent avec espoir la révolution au Venezuela et son expansion régionale.

Sans doute beaucoup d’intérêts puissants à Washington et ailleurs, désiraient la disparition physique de Hugo Chavez. Ils essayèrent d’y parvenir avec un coup d’État soutenu par Washington en avril 2002 qui échoua.

Quelques mois après, on essaya de le sortir du pouvoir par un très important sabotage économique qui faillit détruire l’industrie pétrolière du pays, mais cela aussi échoua.

Un an et demi après, des paramilitaires mercenaires furent envoyés de Colombie pour l’assassiner mais ils furent capturés par les autorités Vénézuéliennes et le complot fut neutralisé. Dans les années qui ont suivi, il y eut de multiples attentats contre sa personne et beaucoup de plans pour déstabiliser son gouvernement, mais aucun ne fonctionna.
Pendant ce temps, la popularité de Chavez ne cessait de grandir et son projet socialiste commençait à se consolider dans le pays.

En 2006 la Maison Blanche avait créé une mission spéciale d’intelligence pour le Venezuela, qui faisait ses rapports directement au directeur national d’intelligence sans passer par la CIA ni aucune des 15 autres agences d’intelligence des États-Unis.
Cette mission spéciale était complètement clandestine et disposait de grands moyens financiers et autres. Il existait seulement deux autres missions de ce style : pour l’Iran et la Corée du Nord. Associer le Venezuela à deux pays ennemis déclarés de Washington est un indicateur du niveau de menace qu’Hugo Chavez représentait pour le Gouvernement des États-Unis.

La maladie

Le cancer dont souffrit Hugo Chavez, et qui causa sa mort si subite était rare. Comme Nicolas Maduro l’a expliqué, son cancer fut inhabituel, sans nom et très agressif. Il n’était pas d’un organe en particulier. Il n’y a pas eu de cas de cancers dans la famille Chavez, il n’y avait aucune prédisposition génétique. Il fut détecté en Juin 2011 et malgré de très forts traitements il mourut en moins de deux ans.

Des documents déclassifiés de l’armée des États-Unis obtenus par Associated Press en 1995 grâce à la Loi d’Accès à l’Information (FOIA) mirent en évidence que depuis 1948, le Pentagone cherchait à mettre au point une arme de radiation pour les assassinats politiques.

Une autre étude des renseignements de l’armée étasunienne en 1969 confirma que l’utilisation clandestine de la radiation en tant qu’arme pouvait causer de graves maladies ou même la mort d’adversaires politiques. En d’autres termes, c’était une méthode d’assassinat qu’ils mettaient activement au point.

On peut facilement imaginer, si Washington faisait des essais de radiation comme arme d’assassinat politique depuis 1948 jusqu’où a pu parvenir cette technologie au 21e siècle.

Assassinat par le biais de l’espionnage

Un câble secret du Département d’État du 31 Janvier 1976 alertait sur les graves effets sur la santé causés par les micro-ondes radioactives utilisées par le KGB pour espionner l’ambassade États États-Unis à Moscou :

« Selon nos médecins experts l’exposition prolongée à des micro-ondes radioactives aux niveaux mesurés à l’ambassade des États-Unis constituent une menace pour la santé ».

Pourtant Washington développa des outils d’espionnage beaucoup plus puissants et avec de plus grandes fréquences de radiation.

Des documents de la NSA, filtrés par Edward Snowden et publiés récemment par le journal Allemand Der Spiegel se référent à un puissant équipement développé par l’agence Américaine, qui émet des radio-ondes continues et à haute fréquence contre une cible pour surveiller et capturer toutes ses communications. D’après un document ultra secret de la NSA, cet équipement, le CTX4000 est une « unité radar portable d’ondes continues (CW). Il peut être utilisé pour illuminer une cible afin de récupérer de l’information en dehors du réseau ».

Le CTX 4000 a la capacité de collecter des signaux qui ne pourraient l’être autrement, ou le seraient très difficilement ainsi que leur traitement. Le document détaille ses capacités : « Rang de fréquence :1-2 GHz ; bande large à 45MHz ; puissance de sortie :jusqu’à 2W, utilisant l’amplificateur interne ; amplificateur externe jusqu’à 1KW ».

Un kilowatt est une forte capacité et quantité d’ondes radioactives. Cette quantité projetée sur une personne pendant une période continue peut causer de graves dommages à sa santé. L’étude de l’Armée des États-Unis en 1969, (mentionnée antérieurement) sur les effets sur la santé de la radiation en tant qu’arme, souligne que l’impact (ou l’évènement désiré, en d’autres termes la mort de la cible) pourrait avoir lieu des années après l’exposition à l’agent radioactif.

Hugo Chavez fut la principale cible de la NSA pendant des années. La possibilité que leurs outils d’espionnage aient contribué, sinon causé sa maladie, ne parait plus autant science fiction que ça l’aurait paru en d’autres temps.

Eva Golinger
Traduit de l’espagnol par irisinda

 

eh oui ! comme disait Ahmadinedjad lors de leur rencontre https://www.youtube.com/watch?v=vfWRuEcrpG4 , "aujourd'hui des peuples sont sur le chemin de la lutte contre l'avarice des arrogants impérialistes, le système hégémonique et dominant est dans sa décadence, raison pour laquelle ils arborent maintenant un visage beaucoup plus agressif"


nous le voyons tous les jours en ce moment.

02/07/2016

"où s'en iront tes cheveux?"

Il y avait ses cheveux, qui étaient clairsemés et elle gueulait quand je les bougeais,
« où sont allé ses cheveux ? »– ah, oui, avec le reste ……...

à travers ses yeux il y avait un regard, quelqu’un qui me regardait, ce n’était pas des boules de matière froide - Je n’ai pas touché ses paupières. Si on les touchait il n’y aurait personne à regarder. Ses doigts étaient raides, et ses lèvres froides – pourtant, quand je les tenais au cinéma…

- « Je crois que je vais vomir » a-t-elle dit ……..

29/06/2016

mon petit chat noir se comporte comme une femme

2009 :

Envers mon chat blanc il se comporte comme les femmes actuelles se comportent envers les hommes. Quand il voit mon chat blanc il cherche à faire croire qu’il en a peur, qu’il est malheureux et traumatisé, et que celui-ci est dangereux, alors que c’est le contraire et qu’il se conduit en fait en dominant et le repousse, et voudrait bien le chasser carrément et de la maison et du jardin si il pouvait, et que c’est mon gros blanc qui a peur et cède le terrain. Dès qu’il le voit il (le petit noir) se met ostensiblement à pousser des cris déchirants, l’air de dire : « oh comme j’ai peur ! oh comme ce méchant chat blanc est dangereux ! » Et puis c’est lui qui prend sa place ou cherche à le faire, et mon « dangereux » blanc qui fout le camp aussitôt quand il voit l’autre s’attabler à sa gamelle.

 

Dans la société actuelle c’est pareil

27/06/2016

pri Esperanto 10

voici de nouvelles traductions utiles :

d'abords des termes de base poour les mathématiques, qu'il est donc important de connaître : inconnue -> nekonato
variable -> variablo
paramètre -> parametro

(là elles sont présentées comme espéranto -> français mais en réalité elles sont surtout utiles à utiliser dans le sens français -> espéranto)

aspekte

on dirait

 

 

AVI

TVA

 

 

babilaĵoj

balivernes

 

 

batilo (ekz : tenisa batilo)

raquette

 

 

benzoo

benjoin

 

 

bonakcepta

User-friendly; acceuillant

 

 

bonakcepto

 

 

 

bonvolu kiel ?

plaît-il ?

 

 

bova flano

bouse

 

 

brokantaĵoj

occasions (d’occasion)

 

 

brulaĵo

combustible

 

 

civitaĵoj

instruction civique

 

 

ĉea

adjacent , d’à côté

 la ĉehorizontaj nuboj
la ĉepromenaj vidaĵoj

 

ĉemani

être à disposition

ĉemane = sous la main

 

ĉesidi

assister

ĉetablaj kantoj

 

 

 

ĉeŝultre vatizita = ouatiné au niveau des épaules

 

ĉirkaŭaĵistaj asocioj

associations evironnementalistes

 

 

daŭripova disvolviĝo

développement durable

 

deadmoni

mettre en garde contre

 

deĵorloko

poste (colonies, etc)

 

demonstra

révélateur, significatif

 

depostuloj

revendications

 

detalo

 

unuopaĵo

dikmalalta

trapu

 

diec-rajtiĝanta
(Diec-rajtiĝinta reĝo)

de droit divin

 

disceleco

dispersion

 

diseriĝi

s’effriter, se désagréger

 

disfali

se disloquer, tomber en morceaux,

 

divole

Si Dieu le veut

 

dorno

attention ! il y a une différence entre "épine" et "aiguillon" en botanique (renseignez-vous ! révisez votre manuel de botanique):
épine = dorno
aiguillon = pikaĵo


dungomurdisto

tueur à gage

 

ekkonscio

 

 

ekvido (ĝenerala ekvido)

Une première vue, un aperçu

 

elĉerpe

de manière exhaustive

 

elfluegi

déborder

 

elmontri

démontrer, mettre en évidence

 

elstarigita

idéalisé

 

eltrovi

 

elpensi, inventi, malkovri, diveni

Eminentuloj

eminentiĝo

L'élite, les VIP, les personnalités

eminentiĝo de elektitoj

englutemulo

glouton

 

enhaveco

capacité

 

eni

se trouver, être dans

 

esploraresto

garde à vue

 

esploristaro (la)

le monde des chercheurs, de la recherche

 

ekoefiko

effets sur l’environnement

 

ekstremdekstrularo

l’extrème-droite

 

ekventoj

bourrasques

 

etaĉa

minable (comme l'esprit des cadres sup' d'Ipernity)

 

etiketo

Etiquette (regulo de eksteraj manieroj)

 

fakkonoj

compétences

 

familia kromsalajro

allocations familiales

 

fava

teigneux

 

fekbona !

vachement bien !

 

fekegalas

C’est d’la merde !

 

fidenuncistoj

cafards, délateurs

 

flamingoj

brûleurs

 

flano

galette

 

flanko

membre d'une équation, inégalité, etc

 

flugtuŝeti

effleurer

 

foraĉeto

accaparement

 

forflugemaj

 

 

forpafu vin !

foutez le camp !

 

forvendado

soldes, braderie

 

forvojogi

détourner (la conversation)

 

fragmito

roseau sc. Phragmites

 

frotosonoj

fricatives

 

fuŝvizaĝa

Au visage défait

 

25/06/2016

la logique du pouvoir capitaliste c'est ça

Si, comme des millions de Français, vous vous êtes déjà fait flasher alors que vous conduisiez normalement, cliquez vite ici.

Vous découvrirez comment le lobby des fabricants radars a pris le contrôle de la sécurité routière...

... et comment, ensemble, nous pouvons nous organiser pour leur faire barrage.


Bien à vous,
L'équipe de la Ligue de Défense des Conducteurs


23 avenue Jean Moulin, 75014 Paris 

 

Et dans tous les domaines c'est la société, ce sont les dérives, c'est la tyrannie de gangs de racketteurs, de mafiosi, de bandits de grands chemins à laquelle on va être de plus en plus soumis (tant que nous ne nous seront pas révoltés, ni n'aurons instauré d'autres rapports de force, une autre société, un autre régime). On le voit dans tous les domaines, santé, energie, normes, idées "à la mode", etc, etc.

23/06/2016

Appel au Rassemblement pour la démondialisation

Jacques Nikonoff :

Candidat à l'élection présidentielle, c’est aujourd’hui, le 18 juin 2016, que j'appelle au Rassemblement pour la démondialisation (RD). Cette date ne doit rien au hasard. Toutes proportions gardées, elle est un hommage à l’Appel du 18 juin 1940 lancé par le général de Gaulle. Ce dernier invitait les Français à refuser la défaite, à résister et à combattre. Dans les conditions extrêmement différentes de notre époque, le refus de la défaite, la résistance et le combat restent à l’ordre du jour.
 
L’ennemi n° 1 des peuples, aujourd’hui, c'est la mondialisation néolibérale !
 
La mondialisation néolibérale est un processus d’essence politique visant à éliminer la souveraineté des nations pour imposer des politiques conformes aux intérêts des puissants. Elle trouve ses fondements dans la nécessité pour les classes dominantes de trouver une parade efficace face aux conquêtes sociales du XXe siècle : New Deal aux États-Unis en 1933, Front populaire en France en 1936, régimes d’économie mixte en Europe de l’ouest de 1944 à 1948, conquis sociaux des années 1960 et 1970, luttes de libération nationale des pays colonisés…
 
Les politiques de mondialisation reposent sur trois piliers : le libre-échange, la libéralisation financière, les traités internationaux et les institutions multilatérales.
 
La démondialisation correspond à la sortie de l’ordre néolibéral mondial.
 
Aucun autre candidat à la présidentielle ni parti politique ne fait cette analyse et n’en tire les conséquences qui s’imposent. 

Si vous vous reconnaissez, alors rejoignez le
Rassemblement pour la démondialisation !

  • Comme les millions de citoyens – environ la moitié des électeurs – qui s’abstiennent désormais aux élections de façon permanente ou sélective selon les élections. Ils rejettent les politiques menées ces trente dernières années par des gouvernements se présentant de « gauche » ou de « droite » et qui, finalement, sont à peu près les mêmes. Avec les résultats catastrophiques que l’on connaît pour la population.
  • Comme les millions de citoyens qui, pour les mêmes raisons, votent blanc ou nul.
  • Comme les très nombreux électeurs qui votent Front national, croyant de toute bonne foi rendre service à leur pays alors que le FN fait semblant de défendre la France et ne veut pas sortir de l’ordre néolibéral mondial.
  • Comme la plupart des électeurs communistes et gaullistes qui partagent encore le magnifique souvenir du Conseil national de la Résistance et qui pensent que cette expérience, adaptée à notre époque, offre encore une voie d’avenir.
  • Comme les vrais écologistes qui ont compris que la protection de l’environnement était incompatible avec la mondialisation néolibérale, et qu’il était temps de démondialiser.

http://www.nikonoff2017.fr/

19/06/2016

Les soutanes noires sont partout !

Ils ont diminué les morceaux de sucre, qui ne sont plus que des demi morceaux de sucre. Remarquez, ils ont aussi tellement réduit la quantité de café dans la tasse !

par contre ils n’ont pas réduit le prix…. (curieux non ?)

ça fait d’autant plus de bénéf

Mais apparemment être avide de fric c’est sain. Et l’exploitation de l’homme par l’homme c’est « normal » …

Quand on vous disait que le pouvoir était à la Secte des Adorateurs de la Mort. C’est partout, et dans tous les domaines, même subliminaux (peut-être les plus dangereux)

Les « soutanes noires » sont partout.

18/06/2016

secte ?

moi-même, quoique prenant vigoureusement leur défense, n’appartiens à aucune « secte », même pas à celle des adorateurs du Général de Gaulle, ni à celle des adeptes de Karl Marx. Tout juste, puisqu’aux yeux de certains c’est une « secte », à celle des espérantistes, (mais ni à celle des finvenkistoj, ni à la fameuse Civito), et aussi à celle des amis des chats, tout en refusant toute collaboration avec ces deux branches, que je considère hérétiques ! que sont la SPA et le mouvement Brigitte Bardot, dont j’abhorre le jésuitisme, les tendances totalitaires et flicardes, et aussi cette autre branche dissidente celle des vieilles dames nunuches. Moi ce serait plutôt la bonne vieille tendance : enfants et adultes au cœur d’enfants adorant leurs frères et sœurs les chats, une secte dangereuse et très mal vue, inutile de le dire. Je me méfie trop des dérives « bobos » possibles pour adhérer à la secte LCR et à son « gourou » Besancenot, je préfère la secte Laguillier, et ai en horreur les adeptes (selon les termes de Marianne2, branche française de la secte Carlyle !), non pas de Thierry Meyssan, mais de la plus dangereuse des sectes actuelles : celle des adorateurs de Sar-Koszy de Nagy Bosca.

16/06/2016

pourquoi ce film est quasiment interdit ? très bonne question non ?

Vous pourriez m'expliquer - et surtout me justifier ! - comment ça se fait qu'un allemand (et même un non-allemand d'ailleurs)  peut critiquer l'Allemagne, dénoncer des tas de scandales sans problème et en tout cas sans qu'on l'accuse d'être un raciste "anti-germanique" ?  comment ça se fait que - heureusement ! - il y a plein de français qui tapent allègrement sur la France, la traînent même plus bas que terre, dénoncent les scandales, et on le les accusent pas d'être d'infâmes racistes anti-français ? pareil sur les scandales du MI5 britannique, les révélations sur les crimes coloniaux de l'empire britannique, renouvelés et systématiques, ont été dénoncés, et les historiens auteurs de ces livres ne se sont jamais retrouvés confronté à l'accusation d'éprouver du racisme anti-anglais ! Aux Etats-Unis il y a des millions de gens qui disent que l'effondrement des tours du World-Trade Center sont un cynique "inside Job", le gouvernement essaye de les déconsidérer mais jamais personne ne leur lance l'accusation "vous faites du racisme contre les état-suniens ! Pareil pour ce qui est des crimes du KGB ou le goulag, on ne les les soupçonne pas d'être des racistes anti-slaves, , même les gens qui ont pratiqués durant une décennie le boycott de l'Afrique du sud jamais le régime sud-africain n'a eu l'idée de les accuser d'être d'immondes racistes anti-hollandais, ni anti-calvinistes non plus d'ailleurs. Tandis que dès que vous dénoncez l'industrie de l'armement israelienne, et que leurs produits sont testés sur les palestiniens des territoires occupés, le film reportage ne peut pas paraître dans les salles européennes parce qu'on parle tout de suite (sur l'instigation de qui ? de quels réseaux ?) d'antisémitisme ?

hein ? c'est pas bizarre ça ? vous trouvez ça normal ?