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13/02/2017

citation de Montherlant

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« … ce que, depuis plus de quarante ans, je ne cesse de répéter dans mes livres…. Que le grand événement de la vie est d’aimer (non pas d’être aimé) … toutes ces formes d’amour ont quelque chose en commun : l’attrait de l’être pour l’être, et c’est lui le grand événement de la condition humaine… Quand je me retourne je ne dis pas : - voici ce que j’ai fait … mais voici ceux que j’ai aimés, et voici ceux que j’aime encore. »
(Henri de Montherlant)

quoi que ça doit être bien agréable d'être aimé, aussi ...

11/02/2017

Souvenirs

« Nous savons tous que le souvenir des temps difficiles se trouve bien souvent purifié des souvenirs des souffrances et des misères vécues et tend à ne plus guère garder que l’empreinte des moments plaisants et réconfortants. Ces moments plus clairs ont été rares dans le tissus des circonstances ; mais ce sont eux qui brillent et qui illuminent la magie de notre mémoire …
… Alors même le souvenir des peines, des fatigues, des misères éprouvées, subit une transmutation, et se trouve comme affecté d’un coefficient d’agrément, de douceur, de tendresse ou de fierté. »
(Raymond Polin)
Quand je me souviens de certaines époques de ma vie et de certains évènements je constate souvent ces deux phénomènes.

10/02/2017

Dimitri Yani Natacha et moi - l'amitié c'est un peu comme le vin


la merveilleuse époque où on pouvait voyager en wagons-lits, disparue  ...

09/02/2017

l'UPR dénonce l'insolence d'une caste de dictateurs non élus

Communiqué : l’UPR dénonce l’insolence d’une caste de dictateurs non élus, acquise aux intérêts américains

Dans un entretien à l’International Herald Tribune lundi 17 juin 2013, José Manuel Barroso a qualifié de « réactionnaire » la volonté de la France d’exclure l’audiovisuel des négociations relatives à l’établissement d’un marché transatlantique.

Une semaine plus tard, lundi 24 juin 2013, il a indiqué à l’intention d’un ministre français, qui s’était ému de cette attaque, qu’« il faudrait que certains responsables politiques français abandonnent certaines ambiguïtés vis-à-vis de l'Europe et la défendent davantage vis-à-vis du nationalisme, du populisme, voire du chauvinisme ».

Cette violence verbale et ces propos haineux s’expliquent probablement par le souci de José Manuel Barroso de servir avec empressement, comme à son habitude, les intérêts stratégiques du pays qui a fait sa carrière : les États-Unis d’Amérique.

L'UPR rappelle en effet que cet individu, qui fut en 1974 le responsable des étudiants maoïstes, fut repéré et cornaqué par Frank Carlucci, ambassadeur américain au Portugal entre 1974 et 1977 et membre éminent de la CIA, dont il a été directeur général adjoint de 1978 à 1981.

Devenu ensuite Premier ministre du Portugal, en 2002, José Manuel Barroso avait alors totalement inféodé son pays aux États-Unis d'Amérique. Il avait notamment soutenu aveuglément le déclenchement de la guerre illégale en Irak. Il était même allé jusqu'à vouloir brader, par une vente de gré à gré en 2003, la société nationale portugaise de pétrole à Carlyle, fonds d’investissement des familles Bush et Ben Laden, dirigé par Frank Carlucci, renvoyant, de cette sorte, l’ascenseur à son mentor.

C'est suite à ce scandale que José Manuel Barroso quitta ses fonctions de chef de gouvernement portugais pour être nommé aux fonctions de Président de la Commission européenne, par simple cooptation et sous pression anglo-américaine.

Les injures proférées par ce collaborateur patenté « du nationalisme, du populisme, et du chauvinisme » atlantistes à l'encontre de responsables politiques français, témoignent de l’insolence croissante de la caste dirigeante européiste.

Non élue, vivant dans un luxe insolent et méprisant le malheur et la misère dans laquelle ses politiques plongent des dizaines de millions de personnes en Europe, cette toute petite classe d'apparatchiks se permet de défier avec mépris la démocratie et la souveraineté des peuples et de traîner dans la boue les responsables politiques nationaux qui lui résistent ou qui, tout du moins, font semblant.

L'Union Populaire Républicaine (UPR) rappelle qu'elle invite le peuple français à libérer la France de cette tyrannie de plus en plus visible, en faisant sortir la France de l'Union européenne, de l'euro et de l'OTAN.

07/02/2017

l'homme de génie est celui qui m'en donne !

PAUL VALERY ETAIT UN GARS TRES INTELLIGENT :

«L’homme de génie est celui qui m’en donne.»
Paul Valéry, Mauvaises pensées et autres, dans Œuvres II, Paris, Gallimard, «Bibliothèque de la Pléiade», 1960, page 881.

le précepte et l'exemple ! et voici la pratique et la preuve :


D'abord quelques citations sur la perception par exemple.

« Les mots sont les planches pourries qu’on jette sur l’abîme de la communication. Il faut passer vite desus. »

« Nous ne voyons pas ce que nous voyons. Nous voyons ce que la chose vue nous fait attendre à voir ….

"Nous ne percevons pas ce que nous percevons mais ce qu’il faut que nous percevions


« Tant que nous ne trouvons pas l’inarticulé, l’innominé, nous voyons en langage, et non en observation pure. »

« La vérité est un mot qui a plus de valeur que de sens. »

Et voici comme il résume toute la philosophie (en tout cas l'epistémologie):

"Le serpent se mord la queue. Au bout d'un certain temps de mastication, il reconnaît dans ce qu'il mange le goût du serpent. Il s'arrête alors.
Mais il s'y remet, n'ayant rien d'autre à se mettre sous la dent. A la longue il finit par avoir la tête dans sa gueule; il appelle ça une Théorie de la Connaissance."

Piero di Cosimo Simonetta Vespucci .jpg

Mais, il ne faut pas croire, ce n'était pas qu'un cerveau, comme la revue littéraire russe on peut dire de lui "Cerbe kaj kore", ce n'était pas qu'un philosophe mais aussi un poète.

«On ne sait jamais en quel point, et jusqu’à quel nœud de ses nerfs, quelqu’un est atteint par un mot, – j’entends : un signifiant. Atteint, – c’est-à-dire : changé. Un mot mûrit brusquement un enfant. Etc.»
– Paul Valéry, Tel quel [Choses tues], dans Œuvres II, Paris, Gallimard, «Bibliothèque de la Pléiade», 1960, page 495.

« Nos âmes peuvent se former, dans le sein même du temps, des sanctuaires … où elles se sentent créées par ce qu’elles aiment. »

« Mais si j’étais pour toi le compagnon des nuits, invisibles tous deux dans l’ombre au pied de l’arbre, réduits à nos deŭ voix, réduits à un seul être qu’écrase mêmement le fardeau de tant d’astres. »

«Variations sur Descartes.
Parfois je pense; et parfois, je suis
– Paul Valéry, Tel quel [Choses tues], dans Œuvres II, Paris, Gallimard, «Bibliothèque de la Pléiade», 1960, page 500.

ma vie indicible, ma vie
D’enfant qui ne veut rien savoir, sinon Espérer éternellement des choses vagues.
»



« L’homme n’est pas fait pour résoudre ses contradictions, mais pour les vivre.

05/02/2017

une citation de Wolinski

une citation que je place souvent maintenant, comme dit Wolinski « avant d’ouvrir une porte il faut l’entrouvrir », et même qu'avant de l’entrouvrir il faut d’abord mettre la main sur la clinche ! (ça c’est le programme de François Asselineau), et même encore avant il faut que quelqu’un aie le courage de dire (cf « le roi est tout nu ») : « on étouffe ici ! Il faudrait que quelqu’un ouvre une porte ! » Ça c’est Viviane Forrester, elle est non seulement humaine (et literaturément talentueuse), mais « historique », la parution de l’Horreur économique devra un jour être commémoré par un monument, ou au moins un titre de paragraphe dans les livres d’histoire.

24/01/2017

le choc des deux droites

22/1/2017 le magasine hyper-bourge « Le Point » titre « le choc des deux gauches » non ! c’est le choc des deux droites, je regrette !
Valls est un réactionnaire de droite c’est clair !
Et Hamon son programme c’est du Giscard de 74, relisez le ! et souvenez-vous de 74,(autre preuve un qui a bien vu ça :http://www.agoravox.tv/actualites/politique/article/benoi...) c’est un programme pour bourgeois bobos post 1968 giscardiens, quand le capital sentait qu’il fallait préparer une nouvelle époque pour le troupeau des travailleurs, et surfait sur les nouvelles idées à la mode, maintenant sanctuarisées et devenus la nouvelle religion (écologie, sécuritarisme, etc). Donc la droite libérale.
Quand au « revenu de base», depuis les projets de la Finlande, et les raisons de ce projet ! depuis le ralliement massif des forces de droite, depuis la critique qu'en a faite Bernard Friot, on sait que c’est une réforme de droite, un outil de lutte de classe patronale, « la roue de secours du capitalisme ».

22/01/2017

on parie que la presse aux ordres va caricaturer et diabolisers ces manifestants ?!

 Oui, on parie que les « médias » vont tous présenter cette manif comme quelque chose d’abominable, œuvre de méchants « extrème-droitistes », catholiques de surcroît (alors que a priori les athées devraient être beaucoup beaucoup plus spontanément et viscéralement CONTRE l'avortement ! quand-même pour eux c'est l'être ou le néant, alors que pour les croyants c'est moins grâve) hou le christianisme quelle horreur ! l'Evangile beurk ! c'est c'est mauvaîîîs !  le respect de l'êxistence quelle abomination !     ?

http://www.enmarchepourlavie.fr/

 

alors comme a dit un témoin anonyme, pas de phrases ! du concret, de l’existentiel, de l’individualiste  :
« les témoignages les plus simples sont souvent les plus intéressant donc j’en donne un : je suis le troisième d’une famille de quatre enfants. Ma mère était sans revenus, mère au foyer. Mon père a un temps travaillé aux hauts- fourneaux d’arcelor mittal à Charleroi en Belgique. Travail dangereux, précaire, difficile. Il est évidemment vite devenus chomeur,

Nous avons, tout les 6, mes 3 soeurs mes parents et moi vécus beaucoup de moments difficiles mais je suis bien évidemment heureux d’être en vie et de pouvoir en témoigner. Si cette histoire se déroulait maintenant, sous l’ère de l’apologie de l’avortement de confort à tout va, il y a de grandes chances que la majorité d’entre nous quatre, les enfants n’ai pas vu le jour. »

 

en 2015 ils l'avaient déjà fait,regardez les slogans "protéger les faible, ça c'est fort !"

http://cache1.citizenside.com/fr/photos/a-la-une/2015-01-...

un autre de leurs slogans disait "j'ai été embryon" oui rien de tel que le bon sens pour faire comprendre.

 

cette année :


20/01/2017

Evidence

 

La bonne santé d’une entreprise

se juge à ses profits.

C’est évident

comme est évidente

cette constatation :

la Terre est plate.


(Francis Combes in « Leçons de choses »)

Mardi 25 novembre 2008

19/01/2017

les idées justes finissent toujours pas se répandre

"L’euro interdit radicalement toute politique progressiste possible" Frédéric Lordon - INITIATIVE COMMUNISTE

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Nous sommes tous des grecs

d'abords, un rappel contre certains agents d'influence de l'OTAN déguisés en "antifas" : L'UPR est parti le plus démocrate et humaniste qui soit :

 

et puis on passe au morceau de résistance, une interview sur "Radio-Soleil"

*

 

* Et, comme je disais (voir les articles là-dessus en archive) il n'y a pas que l'UPR sur terre, et la prise de conscience gagne de plus en plus, en particulier à gauche, où des partis se rendent de plus en plus compte des tenants et aboutissants,

 

Mais voici aussi un mouvement, qui semble plutôt à droite, en tous cas se réfère à la "spiritualité", et qui arrive lui aussi pourtant aux mêmes conclusions qu'Asselineau : il faut sortir de l'UE, de l'Euro et de l'OTAN, et il met met aussi l'accent sur ce qu'il faut rendre enfin sa souveraineté économique à l'Afrique, victime du néo-colonialisme, et tendre la main à Poutine :

Pour revenir à la gauche, et même la gauche marxiste, voici que les 3 députés au Parlement européen du parti communiste portugais se prononcent pour la sortie de l'euro :

« Rompre avec la logique d'intégration capitaliste européenne » ou « réformer l'Union européenne » : l'alternative dans les partis communistes et la gauche d'alternative en Europe. Si les partis réformistes du PGE comme Die Linke, Syriza poussent à l'accomodement, le PC portugais choisit la rupture.

Ce 29 août, les trois députés européens du PCP ont mis les pieds dans le plat de la remise en question de l'intégration à une Europe « néo-libérale, militariste et anti-démocratique » incarnée par le nouveau président Donald Tusk, rejetée massivement par les peuples

Alors que nombreux sont les partis dans le groupe GUE (Gauche unitaire européenne) prêts à « défendre l'idée européenne », « sauver l'Euro », « réorienter la BCE », le PCP pose la question qui fâche :et si on envisageait de sortir de l'Euro ?

« Préparer la sortie de l'euro et renégocier la dette »

Au cours de cette conférence de presse, les trois députés du PCP – Joao Ferreira, Inés Zuber et le nouvel élu Miguel Viegas – ont fixé une ligne de conduite à porter dans l'enceinte du Parlement européen : « renégocier la dette et préparer la sortie du Portugal de l'euro ».

Le jeune député Joao Ferreira a livré un constat sans appel de l'intégration à la monnaie unique : « Cela fait longtemps que le Portugal souffre d'une intégration à une monnaiedécouplée des conditions réelles de la base productive du pays et de ses besoins sur le plan économique ».

Et la catastrophe de l'intégration à la monnaie unique enfonce le peuple portugais dans la crise, l'austérité insoutenable : « les contraintes identifiées à la soumission du Portugal à la monnaie unique non seulement persistent, mais elles tendent à s'aggraver ».

Pas d'amélioration pour le peuple portugais au sein de l'euro pour le PCP

Ce qui débouche sur une conclusion politique claire : « la question, le PCP se la pose depuis longtemps :existe-t-il une voie pour la reprise économique qui repose sur la défense des conditions de vie des portugais au sein de l'euro ? La réponse est négative ».

Pour les élus communistes, le débat doit donc s'ouvrir au Parlement pour : la dissolution de l'Union économique et monétaire, la fin du Pacte de Stabilité, une renégociation de la dette « devenues insoutenables et impayables » et des « compensations européennes pour les préjudices causés par une sortie négociée de la monnaie unique ».

Car pour Joao Ferreira,« cette exigence de la sortie de l'euro monte de plus en plus, elle doit se faire en lien avec la renégociation de la dette justement pour libérer le pays de cette contrainte ».

Pour le PCP, l' « Union européenne n'est pas réformable »

Cette prise de position publique, collective, révèle une radicalisation du discours du Parti communiste portugais ces derniers mois.

Certes, le PCP a toujours été un fervent critique de l'adhésion du Portugal à la CEE, au Traité de Maastricht, à l'adhésion du pays à la monnaie unique et plus tard au Traité de Lisbonne.

Il a toujours identité l'intégration européenne comme un processus d'asservissement du peuple portugais aux intérêts du capital national et européen, un moyen de casser les acquis sociaux et démocratiques, issus notamment de la Révolution de 1974.

Lors de son dernier congrès, en décembre 2012, le PCP a réaffirmé sa position :l’Union européenne n’est pas réformable, la crise de la zone Euro est la conséquence logique de l’Union économique et monétaire, et de la nature de classe de cette UE.

Le PCP se radicalise : « sortir de l'euro : nécessaire mais pas suffisant »

Toutefois, jusque-là, il s'était montré prudent sur la question du « sortie de l'euro », soulevant d'abord – non sans raisons – les dangers de cette manœuvre dans un pays très dépendant de l'extérieur, les risques d'une dégradation de la situation.

La situation a évolué depuis. La direction du PCP a organisé une grande rencontre le 19 mars 2013 à Lisbonne avec divers économistes du PCP, l'économiste longtemps proche du PS Joao Ferreira do Amaral favorable à la sortie de l'euro, qui a permis de révéler tantla nécessité de cette rupture, que lescomplexes conditions techniquesde sa réalisation.

La synthèse du secrétaire-général du PCP, Jeronimo de Sousa, a alors : (1) – fait le constat de l'incompatibilité entre « maintien dans l'euro » et « politique alternative, de gauche, patriotique, pour les travailleurs », critiquant l'hypocrisie du PS, du Bloc de gauche dans leur « fédéralisme européen outrancier » ; (2) – la déduction que la sortie de l'euro était « nécessaire mais pas suffisante » à cette rupture ; (3) – ce qui pose la question des mesures permettant la rupture avec l'intégration capitaliste, accompagnant cette sortie : re-négociation de la dette mais aussi nationalisation des secteurs stratégiques, dont les banques.

Depuis, le PCP a porté dans la campagne des élections européennes une critique radicale de trente ans d'intégration capitaliste européenne au Portugal, elle a pointé du doigt le rôle de la monnaie unique dans la casse de l'appareil productif national, des droits sociaux des travailleurs, indiqué les responsabilités de la classe dirigeante nationale, dont le Parti socialiste.

Une ligne qui paye face au Bloc de "gauche" pro-européen

Cette ligne de clarté a payé : le Parti communiste portugais dans la coalition de la CDU a obtenu 13 % des voix aux européennes, son meilleur score depuis 20 ans et gagné un troisième député

Dans le même temps, au Portugal le « Bloc de gauche » soutenu par le PGE (partenaire de SYRIZA, Die Linke, du Front de gauche …) a porté la « réforme de l'UE », du « maintien dans l'euro » : les électeurs ont tranché, le « Bloc » a obtenu 4,5 % des voix (contre 11 % en 2009) et perdu deux députés.

Fort heureusement, nos camarades portugais ne sont pas seuls en Europe. Au Parlement européen, les chypriotes d'AKEL posent la question de la sortie de l'Euro, le PTB belge, le KKE grec, le KSCM tchèque remettent en question l'intégration capitaliste européen. Hors du Parlement, les Partis communistes du Luxembourg, d'Irlande, d'Allemagne ou des Pays-bas partagent cette ligne.

Voilà un bel exemple de ce qui différencie les communistes porteurs d'une ligne de rupture avec le capitalisme et l'UE du Capital et la « gauche européenne » d'accompagnement.Que les « bouches s'ouvrent » en Europe notamment grâce aux communistes portugais !