10/12/2016
la fameuse "transition" ! le grand capital international se cherche toujours des rastaqouères pour se faire d fric sur le dos des peuples mis en esclavage !
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=...
oui, ce Saif-al-Islam ils le trouvent "modéré", et prêt à entamer une "transition" (leurs fameuses "transitions" ! on a compris ! ) vers la "démocratie" (on sait que chaque fois que la presse "La Voix de nos Maîtres" parle de "démocratie" elle ajoute aussitôt en bout de phrase (ou même si elle n'ajoute pas c'est bien à ça et uniquement à ça qu'elle pense) "le libre marché" comprenez le capitalisme et les investissements étrangers !
Et au cas ou on n'aurait pas compris dans la foulée on rappelle qu'il est diplomé de la "London School of Economics"
(je remarque au passage que les fabricants d'ordinateurs, de sites internets, et de moteurs de recherches, ont de plus en plus tendance à empêcher les GENS de voir l'adresse internet où ils sont, de la CACHER sous une vague appellation, qui n'est pas l'adresse et à laquelle l'ordinateur ne risque pas de répondre, gardant ainsi SOUS LEUR POUVOIR SECRET DISCRETIONNAIRE ET TOTALITAIRE la possibilité de s'y rendre, pour l'instant il y a encore des commandes qui permettent de FORCER LA VISUALISATION de l'adresse, mais parions, que comme la suppression de l'argent liquide ils ont planifié la disparition totale et l'impossibilité pour les GENS d'avoir accès aux adresse internet des pages où ils sont et où ils vont. Pour toujours plus de mise en esclavage et de tyrannie incontrôlable !!!!!)
et si Saif al Islam est "plus interessant" (pour les propriétaires des merdias, donc le grand capital) que ses frères et soeurs, c'est qu'il doit être moins intéressant pour le peuple lybien ! on parie ?
06/12/2016
Un coeur en hiver
"Un coeur en hiver" (1992, eh oui ...) film que j'ai vu, par hasard, au studio Noroît, est resté pour moi comme le symbole, le paradigme de notre époque bourgeoise, d'un certain milieu, d'une certaine ambiance, d'un certain état de l'évolution des modes de pensée, des modes d'être, et des conventions, ce monde censuré, "bourge", glacé, pequeneux, feutré, dogmatique, parisien, intello sans coeur, politically correct, psychanalysé, de membres de la Secte des Adorateurs de la Mort, à trois mille lieux du peuple, mais surtout tellement typique de l'époque actuelle.
"en hiver" oui tout à fait, plus qu'ils ne pensent ! toute la bande, tout le milieu et toute l'idiosyncrasie, toute l'époque, et même en chambre froide, dans un immeuble sous air conditionné. La morgue.
Je crois que j'avais écrit dessus il y a des années, mais je n'arrive pas à retrouver le texte dans mon journal, je ne sais où il est passé.
et je crois que les milieux de la musique classique professionnelle sont extrêmement comme ça, extrêmement bourgeois - et pécqueneux ! - avec un mépris et un ostracisme de classe très fort (bien caché sous leurs voix policés et leur ton bien contrôlé).
Publié dans Films, mi iras limake, Société | Lien permanent | Commentaires (1) | Imprimer
04/12/2016
comme dans les "Fêtes galantes" un Verlaine espérantiste
Banale nuda Faŭno ŝtonigita
Satane ridas al falanta stel’
Laŭ leĝo de jarcentoj mortigita.
Nenio daŭras ! … nek la viv’, nek bel’.
Silentas park’ . Nur sub piedo laca
Folioj flavaj flustras pri la mort’.
Nenio daŭras !… Faŭno dorme paca
Ridetas mute sen kompata vort’.
(Ludmila Jevsejeva)
03/12/2016
Un de mes poèmes en prose
Je crois que je vais commencer de mettre ici mes poèmes. Pour commencer, un poème en prose, paru en 2005 dans l'anthologie de l'association "Flammes Vives".
mais avant voici un poème de l'incomprable Edgar Lee Masters
Webster Ford
Rappelle-toi, Apollon de Delphes
la rivière à l’heure du crépuscule où Mickey M’Grew
hurla :" IL Y A UN FANTÔME !
et moi "L'APOLLON DE DELPHES !"
Rappelle-toi, ô mémoire de l’air,
je ne suis plus rien qu’un petit tas de poussières
ma forme physique
mais je suis l’auteur de ce livre.
Quel est le poids d’un corps / face à un livre de voix mêlées ?
Un corps ne pèse rien / face à un tel livre de voix.
Seul le fantôme écrit
TU le sais
parce qu’écrire est cela : revenir
rappeler au jour
ce qui, de la nuit, est au plus noir.
Seul le fantôme écrit
SEUL LE FANTÔME ECRIT
Images
Une vieille lessiveuse avec une chatte qui a fait ses petits dedans
Une bulle de savon
Un reflet de lune sur l’eau
Un curé qui, dans les années 70, parle encore de vie éternelle dans un sermon, pendant le carême
Une enfant qu’on envoie devant un psychiatre parce qu’elle dit qu’elle veut entrer au Carmel
22/11/2016
j'aime bien la maison de Paul Denais (en Norvège)
*
Publié dans la vraie vie, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
20/11/2016
la mort ...
Popov a joué ce sketch en 1972, il est mort en fait 42 ans plus tard cette année en 2016. 40ans pour méditer cette parabole....
et avez-vous vu le regard du couple de spectateurs à la fin ? il a du Giraudoux là-dedans.
Publié dans mi iras limake, mort, Philosophie, rire | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
18/11/2016
un très grand poète états-unien : Edgar Lee Masters
un très grand poète étatsunien : Edgar Lee Masters
parmi les poèmes qu'il a regroupé sous le titre "Spoon River Anthology" et qui sont les épitaphes imaginaires d'être humains d'une ville imaginaire, Spoon River, en voici un, qui est un vrai chef d'oeuvre de la poésie de tous les temps.
Benjamin Pantier
Ensemble dans ce trou gisent Benjamin Pantier, procureur,
et Nig, son chien, compagnon fidèle, consolation, ami.
Sur la route grise, les amis, les enfants, les hommes les femmes,
sortirent l’un après l’autre de ma vie, me laissèrent toujours seul
avec Nig comme partenaire, jusque dans le lit, jusque dans l’alcool.
Au matin de la vie, je connus les aspirations et vis la gloire.
Puis elle, qui m’a survécu, piégea mon âme
au collet, qui me saigna à mort,
au point que moi, qui avais une volonté de fer, je demeurais brisé, indifférent,
aux côté de Nig dans l’arrière salle d’un bureau minable.
Sous l’os de ma mâchoire se presse affectueusement l’os du museau de Nig
notre histoire se perd dans le silence. Tu peux bien continuer de tourner, monde débile !
14/11/2016
la VRAIE raison du programme Linky est .....
ça !
Les « justifications » du programme Linky ne sont en réalité que des prétextes qui ne tiennent absolument pas debout : aucune économie d'énergie (au contraire, des abonnements plus chers), aucun besoin pour les énergies renouvelables (l'Allemagne qui les développe bien plus que la France a annulé son programme de compteurs communicants), etc.
Mais alors, quelle est la véritable explication de la mise en place de ce programme ? Elle est illustrée de façon édifiante par une récente interview de Philippe Monloubou, le grand chef d’Enedis. Tout est pratiquement dit dès le titre, qui n’est autre qu’une citation de M. Monloubou :
Pour ce genre de personnages, la comptabilisation de nos consommations n’est plus qu’une activité parfaitement subalterne (qu’ils continueront bien sûr à assurer car elle leur rapporte pas mal d’argent : notre argent). Ce qui les fait vibrer, c’est tout autre chose, c’est la nouvelle guerre mondiale du numérique, celle des données : celle du Big data.
Il s’agit en particulier de créer de gigantesques bases de données dans lesquels nous (anciennement usagers, d’abord rabaissés au rang de clients, et désormais réduits au statut de produits) figurons tous, et qui contiennent d’innombrables données sur nos vie, nos habitudes, nos modes de consommation, nos capacités financières, etc.
Et, précisément, les compteurs communicants vont être les « parfaits » outils d’élaboration de ces bases de données. D’ailleurs, relisez bien la citation de M. Monloubou : est-ce que quelque chose ne vous choque pas ? Regardez bien, ce monsieur ne parle pas de compteurs mais de capteurs.
Tout est dit : pour Enedis, les 35 millions de Linky qui doivent nous êtres imposés (si nous nous laissons faire) ne sont plus des compteurs mais des capteurs : leur véritable justification est bel et bien de capter toutes les informations possibles et imaginables sur nous.
Dès 1948, dans son roman 1984, Orwell prévoyait une société totalitaire capable de surveiller les gens chez eux par l’intermédiaire d’un système vidéo présent dans tous les logements, avec un slogan en forme d’avertissement et de menace : « Big brother is watching you ».
Nous y voilà même si, contrairement à ce qui est prétendu dans une vidéo truquée, le compteur Linky ne possède pas de caméra : il n’en a en réalité pas besoin pour tout savoir sur nous. Orwell avait tout prévu, à un détail près : aujourd’hui, avec Linky, « BIG DATA is watching you ».
11/11/2016
"vous imaginez ce qu'ils penseraient de Moscou à Pékin et de Buenos-Aires à New-Delhi si c'était moi qui succédait à hollande ?!"
voilà quelle serait la politique étrangère de François Asselineau :
"redorer notre France en tous points sur la Terre" comme ils disent dans la chanson : https://www.youtube.com/watch?v=7Kq7gLVG3vU
10/11/2016
couleurs
30102016 J’ai acheté 12 mouchoirs (non 11 ! car l’un d’entre eux est tellement imprégné de tous les produits chimiques toxiques qu’ils mettent maintenant en masse dans les tissus qu’au lavage il est devenu tout gluant et puant !). Et les ai relavés et repassés. Quoique j’en ai déjà largement assez, je ne regrette pas car j’aime leurs couleurs.
Il y en a des rouge sombre, comme les maisons de vieilles briques du Nord et leur ambiance;
il y en a des marron, bistre et tout ça comme les feuilles mortes que je regardais sur le sol de mon jardin à l‘automne pur choisir la couleur dont je teindrai ma viole de gambe.
Et il y en a de ce bleu sombre profond, déjà rêvé sur d’autres mouchoirs, qui évoque la profondeur puissante insondable et mystique du cosmos de ce bleu de nuit tombante qui recèle derrière ses millions d’années-lumière tant d’étoiles.
Publié dans mi iras limake | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer