24/05/2017
En clair, les deux tours de l’élection présidentielle n’ont pas fait varier d’un iota la procédure, ni dans son calendrier ni dans son contenu.
En fait, tout le processus suit son cours et la Commission européenne agit très exactement comme si les élections n’existaient pas.
Il s’agit du reste d’un secret de Polichinelle : n’est-ce pas le président de la Commission européenne, M. Juncker, qui a osé déclarer : « il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens ». On ne saurait mieux dire que l’Union européenne est précisément ce que l’on appelle une dictature.
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