26/02/2024
"crématorium" mot à la mode
« Crématorium » Il est assez curieux qu’ils aient créé un mot nouveau, plutôt que d’utiliser celui qui existait déjà : four crématoire. . . .
Et dire qu'on se révoltait devant les "inventions" des nazis comme d'une folie "immonde" tombée du ciel d'on ne sait où (ouais ! on ne voulais pas savoir d'où, on ne voulait pas reconnaître ce que Sven Lindqvist et Zygmunt Bauman, chacun dans leur secteur ont montré). En fait ces nazis n'étaient pas si exotiques, leur logique il suffit qu'on lui laisse la bride sur le cou et elle revient, TOUT revient, chez nous ! même ceci : http://panier-de-crabes.over-blog.com/article-bientot-des...
c'est ça la logique de la "modernité", si !
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24/02/2024
le problème de Dieu bien expliqué (par "la mite dans la caverne")
Aux antipodes de la foi (qui comme le sacré et contrairement aux idées reçues, n’est pas religieuse pas essence) il est évident, ne serait-ce que par la justification qu'elles ont toujours offertes aux fous mégalomanes et aux profiteurs sans âme, que les religions dogmatiques, notamment celles dites « du Livre », sont une des pires plaies qu'ait jamais connu l'humanité. Bien sûr, on peut leur reconnaître un rôle structurant, une capacité à préserver un temps certaines valeurs et certains repères de bon sens. On peut aussi objectivement constater que ces montagnes d'énormités accouchent de temps à autres de souris admirables comme l'abbé Pierre, même si la tentation est grande de procéder à leur basse récupération, post mortem ou non, en tant qu’icônes.
S’il s’agissait de l’exercice d’une liberté de choix, je n’aurais aucun problème à accepter cette propension qu'ont les gens à adhérer à des dogmes religieux envers lesquels pourtant, seule une lobotomie ou une insolation sévère pourrait m'aider à éprouver une once de sympathie : tant qu'on ne me les impose pas et qu'ils ne polluent pas mon environnement, je les tolère et je me garde de juger les gens qui y adhèrent pour des raisons qui leurs sont propres et qu'à défaut de partager, je respecte.
Mais la religion est malheureusement le plus souvent choisie par nos parents ou notre société. Elle nous est inculquée profondément sans préparation à un âge où nous ne disposons pas du bagage et de la maturité intellectuelle suffisante pour nous protéger de ce conditionnement. La preuve en est que, par exemple, même l’athéisme « post catholique » est imprégné de valeurs de tolérance « a priori » au nom d’une appartenance à la même humanité, qui ne sauraient s’expliquer autrement que par un glissement culturel.
Dans une société responsable, l’histoire des religions, leurs concepts et leur diversité devraient être enseignés, analysés et discutés à l’école, le baptême devrait être illégal jusqu’à la majorité et je ne parle même pas des circoncisions et autres mutilations, participant du même principe, et que les parents font subir à leur progéniture en toute bonhommie, victimes de leur propre conditionnement.
Tant que la situation sera ainsi, j’aurai cette propension à bouffer tous les jours du curé, du rabbin et du mollah avec en dessert un cake aux témoins de Jéhovah saupoudré de Dallai Lama fraichement réincarné, râpé en gingembre spirituel pour la touche d'exotisme qui relève si bien les plats un peu fades.
Il n’en demeure pas moins que le constat est là et qu'accepter des révélations abracadabrantes, souvent parce qu'on est tombé dedans quand on était petit, sans au moins une fois s'être demandé ce que pouvait ou ne pouvait pas être Dieu, ne semble pas poser de problème à la grande masse des croyants. On m'objectera que la foi consiste justement à croire en l'inexplicable, certes, mais que dire alors de toutes ces explications simplistes que les sectes religieuses dispensent à leurs ouailles pour attiser leur dévotion.
Le problème de toute réflexion, ce sont les postulats de départ. Non seulement ils sont tous faux de par les limites de la nature humaine, mais souvent la focalisation se fait sur un point de détail. Un point qui suppose l'adhésion à un empilement de postulats bancals préliminaires, emboités comme des poupées russes, et qui ne sont jamais remis en question.
C'est d'autant plus vrai sur les questions religieuses qui conduisent souvent à s'entre-tuer joyeusement au sujet du caractère sacré de la poussière émise par la fée clochette sans se sentir perturbé le moins du monde par l'admission implicite qui en découle de l'existence de Peter Pan et du pays imaginaire.
Il est des mots comme "amour", "bien", "mal " que tout le monde prononce à tour de langue sans vraiment y penser, sans réaliser qu'ils ont un sens différent pour chacun quand seulement ils en ont un. Des mots qu'il est impossible de définir si ce n'est par des exemples et des analogies qui au mieux couvrent une partie seulement de la définition.
Beaucoup de réponses ont été données à ce que l'on doit faire au nom de Dieu. Mais toutes ces règles et tous ces dogmes n'abordent au mieux que de façon parcellaire la définition de Dieu lui-même.
On tente d’ailleurs toujours, dans un réflexe d’autodéfense sectaire, de décourager l’analyse logique. Je crois que c’est Luther qui disait à ce sujet : « La logique est la putain du Diable ! »
Une des premières questions que l'on se pose quand on cherche à définir Dieu est de savoir s'il est infini ou, plus exactement, s'il est tout et en tout. En effet, de même qu'une droite est infinie et qu'il y a une infinité de droites, il pourrait y avoir une infinité de dieux infinis. Il faut donc que ce Dieu infini soit tous les infinis à la fois. S'il n'est qu'une partie - même si parlant d'infini on peut penser que la partie (infinie) est aussi grande que le tout (infini) - il n'est pas Dieu (unique) mais seulement dieu (potentiellement pluriel).
Si l'on croit en un dieu qui n'est pas infini et qui n'est pas tout et en tout:
1) il ne peut être considéré comme un dieu que dans la mesure où il est « supérieur » à l'homme, au même titre que les dieux grecs et romains ; un sous-dieu en quelque sorte,
2) cela n'exclut pas un Dieu infini qui « l'englobe » ni l'existence au-dessus de lui (le sous-dieu) d'une hiérarchie de dieux gigognes.
Donc, me direz-vous : « Dieu est infini ! Dieu est tout et en tout! Amen, problem solved!».
Oui, mais se pose alors immanquablement une autre question tout aussi fondamentale : « Dieu est-il conscient ? ».
Étymologiquement on ne peut être conscient qu'à l'intérieur d'une limite. Dieu n'a certes pas à répondre à des règles étymologiques qui ne sont qu'une louable tentative de transformer en mots manipulables des concepts qui échappent à l'entendement et à la perception du cerveau humain. On peut quand même admettre qu'il serait inquiétant de considérer qu'un Dieu infini et omniprésent pense comme un homme lequel est limité par ses capacités et sa vision partielle autant que temporelle de ce qu'il perçoit comme l'entourant. Dieu, ne pouvant avoir d'image ni de limite qui lui permettent de se définir (sans même parler de temps linéaire pour organiser une pensée), ne peut pas penser du tout ou, tout du moins, pas réfléchir. En tout cas, pas au sens ou nous l'entendons.
Tout ça pour dire que la croyance en un Dieu omniprésent, infini, conscient, parfait et bienveillant est un conglomérat d'oxymores cosmiques.
En outre, s'il est tout et en tout cela veut dire que nous faisons tous partie de lui, au même titre, non pas que les cellules, mais que les quarks des protons des atomes des cellules qui nous constituent. Autant dire que même si la notion de temporalité s'appliquait à ce Dieu infini pour lui permettre de donner une réalité à notre existence infiniment éphémère, il aurait probablement pour nous la même considération que celle que nous avons pour nos quarks. Ce n'est donc sûrement pas vers lui qu'il faut se tourner pour qu'il nous gratifie des bons numéros du loto en réponse à notre prière.
D'ailleurs, lorsqu'un individu se dilue dans quelque chose, on ne parle plus de conscient mais bien d'inconscient collectif.
Dieu ne peut donc être conscient et encore moins avoir des plans et une volonté au sens ou nous l'entendons.
Les dieux qui font l'objet de la plupart de nos dogmes religieux fondateurs, ne peuvent donc appartenir qu'à la seconde catégorie des sous-dieux, finis, imparfaits et conscients. Rendus à ce niveau, des extraterrestres feraient aussi bien l'affaire.
Une autre façon encore plus simple de poser le problème est de se demander si ce pléonasme qu’est un « Dieu parfait » pourrait avoir des besoins. La réponse est évidente. S'il a des besoins, notamment celui de créer, d'être vénéré et d'être aimé, il n'est pas parfait et ne peut être au mieux considéré que comme une entité supérieure (au sens de plus puissante).
On pourrait encore se creuser les méninges en déclinant la théorie du multivers et en s'interrogeant sur la notion de réalité, mais au delà d'un certain stade on tombe dans une forme de sodoku théologique qui ne peut conduire qu'à la prise de conscience de notre incompétence à trouver une réponse. La poursuite de la réflexion n'étant plus que de l'ordre du passe-temps plaisant, mais stérile.
Je ne dis donc pas qu'il n'y a rien, je dis simplement que les dogmes religieux, notamment dans leur version "grand public", sont à peu près aussi crédibles que le Père Noël ou la petite souris des dents. Ils nous font passer pour Dieu ce qui au mieux (c'est à dire si elle existe ou a existé) est une simple entité. Nos dieux sont trop à notre image (et non l'inverse) pour que nous ne les ayons créés.
Ces vastes entreprises d'escroquerie que sont à mon sens les religions, ne subsistent que parce qu'elles ont réussi à détourner à leur profit la foi et le sacré qui sont indispensables à la réalisation de l'Homme.
L'homme qui escalade la plus haute montagne, ne peut y parvenir que s'il a la foi. Et quand il regarde autour de lui perché sur le toit du Monde, il comprend ce qu'est le sacré (ah là certainement pas ! Quand il voit Giuseppe Belvedere oui !). Quand il voit naître son enfant, il comprend ce qu'est le sacré. Pas besoin de religion pour ça.
Pire, les religions, une fois le monopole acquis, se sont mises à sacraliser tout et n'importe quoi pour des raisons bassement intéressées : les rois, les reliques, les textes... [vous oubliez le - historiquement ! - plus important et manipulateur : la PROPRIETE ! Comme disait un journaliste bourgeois anglais de 1859 : « nos amis les savants veulent nous prouver qu’Adam et Eve n’ont jamais existé », s’ils y parviennent c’en sera fini de a religion, de la morale, et de la propriété"
on a compris ! les filoux ! et comme plus personne ne croit en Dieu maintenant ils nous refont le coup avec l’écologie » ! pauvre écologie!)
remplaçant le sacré ressenti (que l’on peut aussi éprouver je l'admets dans certains bâtiments religieux) par le sacré décrété qui plonge dans le doute, la rigidité et l'obscurantisme. Le sacré ressenti est universel et, de ce fait, est facteur de paix. Le sacré religieux décrété est relatif, subordonné à une foi et, de ce fait, facteur de guerre dès qu'il est confronté à un sacré différent.
Toutes les religions ont donc de fait en elles une potentialité de nuisance. Si l'on se limite à celles qui nous sont proches culturellement, on s’aperçoit que même si cette nocivité a pu évoluer selon les époques, elle reste entière encore aujourd’hui, sous une forme ou une autre.
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02/02/2024
rapprochement frappant
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14/01/2024
Eleonore est devenue grand' mère
cette présentation, qui était la seule belle vient d'être censurée par le totalitarisme capitaliste !
les liens ci-dessous je les donne, mais ce sont tous de la merde pure et simple, car il n'y a que le son et pas du tout la vidéo ! (qui était tellement belle, ceux qui l'ont peuvent-ils la remettre sur Odysee (avec un seul s et pas d'accent sur le é) ? là la merde capitaliste ne pourra pas la recensurer
https://www.youtube.com/watch?v=PmA3TjNod3Y
https://www.youtube.com/watch?v=-mlwEa2NcN8
https://www.youtube.com/watch?v=S5QZ8vvPvPM
https://www.youtube.com/watch?v=e-IISCx-P2k
des liens libres échappant au totalitarise capitaliste de Youtube :
https://kzclip.com/video/0fvVemCYLYc/les-amis-de-la-musique-remastered-2017.html
https://ytube.tv/watch?v=fXIPPwjmpIk
eh oui entre 1925 et 1960 la jeune Eléonore qui dansait le charleston est devenue grand mère, et maintenant BB qui là dans la vidéo que vous ne verrez pas est toute jeunette évoquant ce passé révolu est à son tour devenu grand-mère et a maintenant 83 ans ...
(mais elle est toujours ardente solidaire des souffrances des animaux et des gilets jaunes, avec son franc-parler elle est presque la seule de la corporation du show-biz à avoir la dignité et le courage de préférer la vérité à sa carrière)
(les gilets jaunes leur plus noble et inoubliable manifestation fut leur dernière, juste avant que la France tombe dans la geole du fascisme covidiste, à la barbe du virus, à la barbe de la police, à la barbe de la propagande de peur des manipulateurs à la Goering ! avec la determination et le courage de Don Quichotte et de Cyrano de Bergerac, "qu'importe ! je me bats ! je me bats ! je me bats !" un éternel salut à leur combat !
06/01/2024
Quand Valérie parle
La police et la justice écartent Valérie, témoin gênant de l’affaire Charlie
Panamza.com Jeudi 9 Janvier 2020
Affaire d'État. La dernière compagne de Charb, directeur assassiné de Charlie Hebdo, révèle des faits troublants : la juge et les policiers chargés de l'enquête l'ignorent délibérément tandis que la mouvance sioniste, Fourest en tête, la traite de "complotiste". Décryptage.
Dimanche 18 octobre, le site du Parisien publiait un entretien édifiant avec "Valérie M", seule compagne –reconnue comme telle par le fonds d'indemnisation des victimes- de Stéphane Charbonnier, alias Charb, directeur assassiné de l'hebdomadaire Charlie Hebdo.
Extraits suivis des commentaires de Panamza :
Que s'est-il passé le matin de l'attaque ?
Nous avons passé la nuit chez lui, dans le quartier Montorgueil. Après le réveil, Charb est parti chercher des croissants à la boulangerie. En revenant, il avait l'air soucieux : il m'a raconté avoir repéré en bas de son immeuble une voiture noire aux vitres teintées, de marque Peugeot ou Renault, je ne me rappelle plus précisément. Il n'était pas du genre à s'inquiéter pour rien, mais là, ça le perturbait. Il répétait : « C'est bizarre cette voiture. »
Qui était dans cette voiture ? Les frères Kouachi ? Des complices ? J'ai parlé de cet épisode aux policiers qui m'ont entendue, et j'ai écrit à la juge chargée du dossier cet été pour lui rappeler cet élément, mais je n'ai aucun retour depuis.
Double rappel :
* la voiture censée avoir été conduite par les frères Kouachi était une Citroën C3. Et, selon le récit officiel des évènements, Saïd Kouachi était encore à Reims, ou dans le train Reims-Paris, au moment des faits rapportés par Valérie. C'est à 8h31 que Saïd Kouachi a débarqué à la gare de l'Est avant de rejoindre en métro le domicile de son frère Chérif, situé à Gennevilliers. La question reste ouverte : qui conduisait cette voiture noire au vitres teintées et garée devant l'immeuble de Charb?
* vers 7h30, ce matin-là, un témoin avait aperçu une voiture de police et une personne "suspecte" devant l'entrée de Charlie Hebdo.
et voici le plus important :
"Charb me disait qu'il devait trouver 200 000 € avant la fin de l'année pour ne pas fermer boutique en 2015. Les appels aux dons n'avaient pas suffi à redresser les comptes. Il s'est mis à chercher des fonds un peu partout, sans trop en parler à ses copains de Charlie parce qu'ils ne voulaient pas les inquiéter. Dans cette quête, il a été mis en relation avec beaucoup de personnes différentes, parmi lesquels des hommes d'affaires, notamment du Proche-Orient, avec qui il passait des soirées. Il n'a jamais voulu me dire qui était l'intermédiaire qui lui permettait de rencontrer ces personnes. Il le désignait simplement en disant «mon contact».
Un recoupement avec un récent portrait de Vanity Fair –consacré à l'ambigu Patrick Pelloux– permet d'identifier aisément ce "contact" financier de Charb : il s'agit probablement de Jeannette Bougrab. Lors de la promotion de son dernier ouvrage, celle qui prétend avoir été la compagne sentimentale de Charb se vantait elle-même, notamment sur des radios locales de France Bleu, d'avoir démarché des financiers -non identifiés- pour aider son "amoureux".
La veille de l'attentat, Charb m'a dit qu'il avait réussi à trouver l'argent manquant. Je lui ai demandé comment, il m'a répondu : « Mes soirées où je fais du charme à des riches dignitaires, eh bien ça a fini par payer ! » Je n'ai pas cherché à en savoir plus, mais je lui ai dit que cela pouvait être dangereux. Il a ajouté qu'il restait à se mettre d'accord avec les fournisseurs du journal pour régler les factures restantes. Aujourd'hui, je ne peux pas m'empêcher de trouver cette coïncidence troublante. Qui a payé ? Où se trouve cette somme et comment a-t-elle été réglée ? Peut-il y avoir un lien avec les événements du 7 janvier ? Les enquêteurs doivent s'y intéresser.
Pour creuser ce sujet -et l'identité exacte de ces "Proche-Orientaux" (arabes ou israéliens?), les enquêteurs devraient donc solliciter Jeannette Bougrab, récemment nommée par Manuel Valls à la direction de l'Institut français de Finlande.
Rappelons ici que Bougrab est également au coeur d'un épisode opaque -et totalement passé sous silence par la presse traditionnelle- de l'affaire Charlie : le "suicide" du commissaire Helric Fredou, survenu au moment de passer un coup de fil "urgent" à propos du débriefing des parents de Bougrab, le soir de l'attentat.
Vous avez également alerté les policiers sur un « mystérieux » cambriolage…
Le samedi qui a suivi le drame, je suis retournée avec le frère de Charb et quelques intimes dans son appartement. Nous avons découvert qu'il avait été visité, mis à sac, et des affaires emportées, parmi lesquelles des dessins et son ordinateur portable. Il me paraît indispensable de retrouver cet ordinateur portable qui contient sûrement des informations utiles à l'enquête. Or je m'étonne que les policiers qui ont recueilli mon témoignage n'aient pas eu l'air intéressés par cet élément. Un tel cambriolage, chez un défunt, quelques jours après le drame, ne mérite-t-il pas une enquête approfondie ?
De nouveau, l'ombre de Bougrab plane sur ce récit : le 8 juin, Panamza avait révélé que cette passionaria –ancrée dans la nébuleuse sioniste et islamophobe– de la "laïcité" avait exprimé une contre-vérité à propos de son prétendu non-accès à l'appartement de Charb.
La dernière phrase de l'entretien avec Valérie
Dès lors, que nul ne s'étonne de la bronca qui a fait suite à la publication de cette interview : dans les heures qui ont suivi, ce sont trois médias sous contrôle sioniste (Libération et L'Express, propriétés du milliardaire israélien Patrick Drahi, et L'Obs, journal pro-israélien co-détenu par le mécène de la mouvance sioniste Pierre Bergé) qui ont attaqué Valérie.
Avec quelle méthode? Celle usitée par les nouveaux censeurs et leurs idiots utiles : diaboliser l'adversaire en le qualifiant de "complotiste".
La palme d'or de la stigmatisation de Valérie revient, sans nul doute, à Caroline Fourest : dans une tribune publiée par le Huffington Post (site d'opinions de la communautariste Anne Sinclair), la "sérial-menteuse" -récemment célébrée par un ancien cadre du Mossad– a exprimé -carrément- sa "nausée" et n'a pas hésité à dédouaner…le Mossad -si, si- de toute implication dans les attentats de janvier. [qui se sent morveux il se mouche!]
Je suis sûre que l'un des clients de l'Hyper Casher a aussi croisé, sans doute, une fois dans sa vie, un mécène, peut-être même un mécène du "Proche Orient". L'une des victimes décédées a peut-être eu aussi un proche venu récupérer des affaires à son appartement sans le dire à d'autres…
De là à penser que l'hyper Casher est un complot financier impliquant des mécènes du "Proche Orient" (pourquoi pas un coup du Mossad tant qu'on y est ?)…
Ce type d'opération consistant à discréditer quiconque dévoile des faits embarrassants pour la version officielle de l'affaire Charlie dispose néanmoins d'un avantage : à trop en faire, les ennemis de la vérité divulguent, à leur insu, de nouveaux éléments troublants.
Prenez L'Express et son zèle étalé sur deux articles (publiés en 24 heures) contre la compagne de Charb : dans un papier rédigé par un certain Jérémie Pham-Lê et subtilement intitulé "Charlie Hebdo: que vaut la théorie du complot de "Valérie M."?", on peut découvrir le commentaire stupéfiant recueilli auprès d'une source judiciaire présentée comme "agacée" par le témoignage de Valérie.
Ce sont ses dires. C'est un témoignage personnel, pas une pièce du dossier. Mais ce qui sûr, c'est que tout est épluché.
Dédain pour la compagne d'une victime, assimilée à une potentielle affabulatrice. Et arrogance du pseudo-enquêteur, qui prétend avoir "tout épluché".
François Molins, procureur de la République de Paris et proche de la mouvance sioniste
Dans une investigation criminelle classique, le témoignage d'un proche fait précisément partie du dossier, a fortiori s'il contient des faits étranges. Dans l'affaire Charlie, l'inverse est permis : comme le rapporte Valérie au Parisien, les policiers "n'ont pas eu l'air intéressés" par ses éléments d'information et "la juge chargée du dossier" ne lui a adressé "aucun retour".
Une chose est certaine : depuis le dimanche 18 octobre -date de parution de l'article du Parisien-, la quasi-totalité de la presse audiovisuelle de l'Hexagone a respecté l'omerta pratiquée par la justice et la police au sujet des révélations de Valérie. Aucun reportage, aucune enquête pour approfondir la question.
Manuel Valls, Premier ministre sous lequel ces attentats se sont produits, n'a guère besoin de museler les journalistes qui se risqueraient à s'immerger dans les méandres de l'affaire Charlie : la plupart lui ont déjà rendu ce service.
HICHAM HAMZA http://www.panamza.com/231015-charlie-valerie/
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31/12/2023
pensée de Jean Rostand - vérité des choses
*
(le petit garçon de trois ans vous avez deviné, c'etait moi)
"L'espèce humaine passera, comme ont passé les Dinosaures et les Stégocéphales. Peu à peu, la petite étoile qui nous sert de soleil abandonnera sa force éclairante et chauffante... Toute vie alors aura cessé sur la Terre, qui, astre périmé, continuera de tourner sans fin dans les espaces sans bornes... Alors, de toute la civilisation humaine ou surhumaine - découvertes, philosophies, idéaux, religions -, rien ne subsistera. En ce minuscule coin d'univers sera annulée pour jamais l'aventure falote du protoplasma... Aventure qui déjà, peut-être, s'est achevée sur d'autres mondes... Aventure qui, en d'autres mondes peut-être, se renouvellera... Et partout soutenue par les mêmes illusions, créatrice des mêmes tourments, partout aussi absurde, aussi vaine, aussi nécessairement promise dès le principe à l'échec final et à la ténèbre infinie..."
(Jean Rostand)
30/12/2023
"fronting the dead wall" - Bartleby, l'homme qui "would prefer not to be a little reasonable"
l'interprétation de Bartleby est je trouve facile à trouver, elle se trouve dans des rapprochements avec des personnages comme le Caligula de Camus, ou "Les chaises" de Ionesco, ou Beckett, La clé est bien entendu dans cette "sequel" présenté, avec une négligence voulue, comme tout à fait accessoire, par l'auteur, ces "dead letters" qui montrent la vanité totale de toute vie, même celle des "kings and counsellors", Bartleby à sa manière fait comme les personnages de Verlaine dans "En sourdine".
Comme l' "homme exigeant" de Jean Tardieu
"... pour ne pas céder
Alors les yeux grands ouverts
...
Il est mort."
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28/12/2023
éloge de la désobéissance
Quand on pense à Vincent Lambert, juillet 2019, aux ordres du médecin-chef Sanchez, et aux infirmières qui les ont appliqués, on ne peut s'empêcher de penser à ce cas : (paru sur la Midi Libre http://expressions.ecoutespirite.org/aux-frontieres-de-la...)
celui de M. Joseph Garcia de Lagamas né en 1930 dans l'hérault, à l'âge de 21 ans il s'est retrouvé suite à un accident plusieurs semaines dans le coma, il dit entre autre : "Je sais aussi que malgré le fait que j'étais dans le coma je me rappelle très bien (après 61 ans) du nom et du visage de l'infirmière en chef qui a désobéi au médecin pour continuer le bon traitement pour moi et qui 'm'a sauvé la vie. Comment j'ai pu connaître son nom ?"
NB d'autres de mes billets sur ce blog montrent le caractère noble et indispensable de la désobéissance : "faux papiers bénis des dieux" "les vieilles dames malaimées des petits Stalines municipaux" et celui qui parle de Giuseppe Belvedere. Et bien ŝur de Michel Terestchenko
"tous les grands hommes ont désobéi"
"Heureusement les gens sont désobéissants" : https://frontpopulaire.fr/o/Content/co38244/didier-raoult-heureusement-les-gens-sont-desobeissants
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27/12/2023
que deviennent les petits chats quand ils meurent ? voilà LA SEULE question vraiment importante, la plus importante et de loin !
oui, cette question ( et toutes celles similaires) est de loin la plus importante, la plus cruciale la plus poignante, la plus éternelle (la mort c'est éternel, vous avez oublié ?), la plus personnelle, existentielle.
tout le reste ne sont que des amusettes pour bourgeois (même la lutte des classes, même si c'est effectivement le principal facteur de l'histoire humaine, mais, relisez Jean Rostand, justement l'histoire humaine toute entière, et tout ce en quoi des consciences humaines mortelles auront découvert ou cru, n'est que "l'aventure falôte du protoplasma").
Si ne peut plus nourrir qu'une seule préoccupation qu'une question ce sera celle-là, et elle mérite de vous obséder en permanence.
26/12/2023
Leur cimetière est un lieu sans raison
« Leur cimetière est un lieu sans raison » (Paul ELUARD – à Saint-Alban)
Je regrette : Valéry a raison : les vers une fois écrits peuvent être interprétés par chaque lecteur comme il l’entend, le poète n’a plus de droit sur eux, et ne peut imposer sa vision, celle qui l’avait inspiré, le vers vit sa propre vie, et peut prendre plein de sens
Oui tout cimetière des hommes est un lieu sans raison, la Terre, la nature, que fait parler Vigny (dans La maison du Berger, relisez ce texte "incontournable") est un lieu sans raison.
« les inconnus sont morts dans la prison » pas seulement les asiles psychiatriques sont des prisons (et de nos jours de plus en plus la société toute entière ! c’est leur but) la vie, et la nature physique, en est une de prison ; le temps est une prison. La plus dure et fermée de toutes