03/01/2013
1967 - au Japon les tous premiers distributeurs de billets
Savez-vous quand et dans quel pays on a commencé à mettre dans les rues des distributeurs automatiques de billets?
Et puis savez-vous en quels termes on a annoncé la nouvelle à l'époque?
Dans la rubrique relire les Reader's digest de 19** c'est instructif, voici le texte:
Octobre 1967
-----------------------
Il fallait y penser
Les japonais ont trouvé un système ingénieŭ pour venir en aide aŭ gens étourdis qui s'aperçoivent, au moment de faire leurs courses, qu'ils ont oublié d'emporter de l'argent. Avenue ginza, à Tokyo, on a installé un distributeur automatique dans lequel il suffit d'introduire une sorte de carte de crédit pour obtenir aussitôt deŭ billets de 10 000 yens (278 francs). Pour récupérer sa carte, l'emprunteur devra rembourser dans les trois mois la somme due, à laquelle s'joute, bien sûr , un interêt mensuel de 5,5%.
-----------------------------
(ce n'était qu'un timide début n'est-ce pas?)
Publié dans comme le temps passe ! | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
01/01/2013
un de mes poèmes en prose
après le poème en prose mis sur Ipernity le 20 janvier de cette année 2008, voici un second, d'un genre différend, au moins par la forme, car en vers.
PARAPHRASE DE PAO TCHAO( II )
Une eau versée nul ne saurait la retenir ;
Vois comme elle s’écoule.
Les jours, les heures aussi, le temps avec lui roule
Ma vie qui va finir !
Peut-on gémir à chaque pas ? Peut-on, peut-être,
Pleurer à chaque instant ?
Mao non ! Mon cœur de chair ne peut qu’être content
Pour un peu de bien-être.
Buvons plutôt ! Ce vin, vois-tu prête à rêver
De fiefs et de cerises ;
Et si tu veux ce soir … Mais non, ma voix se brise
Et je n’ose achever.
NB: ce Pao-Tchao vécu, il est mort (...), en 421-463 ap J-C. Son oeuvre majeur est justement "Les Peines du Voyage". Mon poème est en fait la paraphrase de sa 5ème strophe. Le poème en entier je l'ai en traduction française dans l'Anthologie de la poésie chinois éditée par l'UNESCO vv parisbeijing.over-blog.com/article-12850739.html vv Un jour peut-être je mettrai aussi la 1ère strophe.
Tiu jena poemo mia estas parafrazo de Pao Ĉao 421-463 P.K., pli precize de la kvina strofo de La malĝojoj del vojaĝ' . La plenan poemon mi havas francigita en antologio de la klasika ĉina poezio fare de Paul Demiéville (1962, mi estis 13 jaraĝa, kiam li faris ĝin do ...).
Publié dans mi iras limake | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
01/02/2012
oeillères
- février 1996 L’incompréhension et la fermeture des gens envers la métaphysique et le mysticisme est frappante (ce n’est même pas un rejet, car ils ne for même pas le geste de comprendre de quoi il s’agit vraiment) . En expliquant les religions, ils finissent par raccourcir leurs propos en disant et concluent « oui ! ce sont des œillères » alors qu’en l’occurrence ce sont eux qui font preuve d’œillères ! c’est même frappant !
Publié dans la vraie vie, Philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
27/01/2012
c'est ça l'amour
- 27/1/1996 Ma chatte persane « Pomponette » quand on plonge sa main dans ses poils soyeux tout chauds et tout flous, on dirait qu’on plonge sa main dans son être même, que c’est son être même qu’on pétrit. C’est une illusion (encore une ….) mais c’est métaphysique, c’est ça l’amour.
Publié dans la vraie vie, Philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
20/10/2011
je marche seul
Publié dans mi iras limake | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
06/07/2011
le pays du bonheur
ce que je pourrais dire si j'avais des somnifères chez moi (et que j'ai dit dans le dernier rêve que j'ai fait ce matin) :
J'en prendrais un, j'irais chercher mon petit chat avec moi, me recoucherait avec lui dans mon lit, et je partirais pour le pays du bonheur.
19/12/2010
comme disait Montherlant
19/12/2010 comme dirait Montherlant : Il y a toujours deux mondes impénétrables l'un pour l'autre. Le monde des prisonniers et le monde des hommes libres. Le monde des malades et le monde des bien-portants. Le monde des vainqueurs et le monde des vaincus. Le monde de ceux qui aiment et le monde de ceux qui n'aiment pas. Je suis du monde de ceux qui aiment, et je ne suis même que de ce monde-là. Les français-moyens ne sont pas de ce monde, et n'ont pas notion de ce qu'il est.
01/09/2010
peut-être le poème le plus important qu'a écrit Kalman Kalocsay
(pour les français: voici comment en 40 il parle de l'invasion de la France)
Aŭ eĉ en la tumulto de l’popol’,
Subite ne atakis vin la sento,
Ke estas vi en sol’, en surda sol’ ?
Ke via kor’, turmente pro senpovo
Frapadas sur la ŝton’ de via sin’
Kiel sub tero, post la katastrofo,
Ministoj en la enfalinta min’ ?
Kormilionoj sub la sama fato
Baraktas, signas per obtuza bat’ !
La am’, la am’, jen estas tia bato,
Kaj tia bato astas kompat’ !
Potencaj batoj sonas, ho, sed svene,
Senforte mortas sub la surda ter’,
Kaj tamen ĉiam sonas batoj pene,
Jen kun espero, kaj jen sen esper’.
Ho, se alvenus sopirata savo,
Kiu la korojn portus al la lum’ !
En ĝoj’ ebria, en eterna ravo
Nin en dancringon fandus fratbrakum’ !
Espero trompa ! Tiu savo ne venas,
Profunde kuŝas enfalinta min’.
La kor’ fermita malespere penas,
Inter la poemoj de Streĉita kordo (legeblaj ĉi-tie:
http://egalite.hu/kalocsay/strecxita.htm )
je vous conseille en particulier Maja Idilio :
http://egalite.hu/kalocsay/strecx/maja idilio.htm
Publié dans Esperanto, Philosophie | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
05/05/2010
l'explication du titre
Pour ceux qui se demandent d'où vient le titre de ce blog.
C'est en Espéranto.
C'est dans la traduction en E-o d'un poème portugais;
l'E-o c'est une langue comme une autre, contrairement à ce que s'imaginent certains!! ( tel le fameux Aillagon-piège-à-cons-! ):
Lumoj de ekmiroj
Mi iras limake,
sen destino,
verŝante mian ploron ,
rampante sur la grundo.
Mi forlasas miajn markojn,
mi ne scias ĉu neviŝeblajn,
en la lumo de la ekmiro,
kiu eklumas en la soleco.
Silverio da Costa (el la portugala : Geraldo Mattos)
les sept soleil verts:
http://r.platteau.free.fr/TradukitajPoemoj.htm#La_sep_sun...
25/03/2005
congrès espérantistes russes 1910
*
remarquez que tous les hommes sont tête nue, mais les deux femmes présentes portent un couvre-chef; car il ne faut pas oublier qu'à cette époque en Occident il était universellement considéré comme indécent pour une femme de se montrer tête nue en public, sauf que à l'époque on n'appellait pas ça un "voile islamique" mais tout simplement un chapeau !
*
Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer