16/03/2023
sur un discours, et une constatation, qu'on entendait souvent du temps des colonies, mais il faut en avoir fait l'expérience pour la comprendre
Du temps des colonies, on entendait souvent les gens dire que les noirs, les péons, les coolies, étaient des êtres stupides. Mais ce n'est pas vrai, ils ne sont pas naturellement stupides (d'ailleurs on le voit bien maintenant !) mais c'est les conditions de vie qu'on leur faisaient qui les rendaient stupides (1)
C'était de vivre constamment dans la soumission, la peur, la terreur, l'impuissance, et savoir qu'il est impossible et vain de discuter,
qu'on aura toujours tort même si on a mille fois raison et que la moindre tentative de défense ou de justification vous plongera dans des malheurs encore pires, l'attente, les chicaneries, la mauvaise foi, les agressions, les insultes, les humiliations, les critiques et la déméprisation injustifiée et constante, qu'on fasse gris qu'on fasse vert, de fermer sa gueule, contracté dans l'angoisse perpétuelle, et l'impossibilité qu'il existât une attitude quelle qu'elle soit qui puisse vous sauver, de devoir toujours rester coi et en alerte de ce qui peut arriver, l'absence de tout droit pour vous, de n'avoir à attendre que l' "heure de la sortie" le moment où on pourra se détendre et se défiler, jusqu'à la prochaine alerte. Essayez par exemple en travaillant en qualité d'homme (personne de sexe masculin) dans certains bureaux de bonnes-femmes avec un femme comme chef, et un clan de "copines", ou bien, mais ça ça n'existe plus de nos jours je pense, comme "jeune", apprenti, garçon de bureau, laveur de vaisselle, dans un milieu de "vieux", de vivre des jours, des semaines, des mois dans ces conditions, vous verrez que vous deviendrez passifs, poussifs et stupides petit à petit. Effet garanti !
et totalement irresponsables, en effet vous savez que les domestiques aux Indes, aux colonies, etc, les coolies, les petits nègres, les domestiques partout où ils sont traités comme des chiens, obéissent à ce qu'on leur demande, bêtement (apparemment !) y compris quand ils savent que ça n'a aucun sens, même quand ils savent que c'est la chose à ne pas faire, et après quand leur maître s'en est aperçu il est encore plus furieux et persuadé qu'ils sont stupides ou qu'ils se foutent de lui, mais non, c'est toujours la même chose, ils obéissent, même quand ils savent que c'est absurde, inutile, contre-productif, de toutes façons ils savent qu'ils n'ont pas le droit à la parole, qu'ils doivent la fermer, qu'ils ne peuvent pas se permettre d'argumenter envers leur maître, la race supérieure, eux les sous-hommes, ils savent que si ils ouvrent la bouche ça sera pris comme un crime de lèse majesté, alors ils font ce qu'on leur dit de faire, même quand ça ne sert à rien, même quand ils savent que c'est absurde et que ça va créer des problèmes, même quand ils connaissent une meilleurs solution, ils se gardent bien de la dire ! ou seulement après. Et bien dans le genre de bureau dont je parle plus haut, par exemple, c'est comme ça qu'on devient.
D'ailleurs on ne sent plus aucune solidarité avec le boulot, on apprend à s'en foutre, à se dire "qu'ils (elles, en général !) se démerdent", on ne veut pas d'une méthode qui arrangerait le boulot, ça va aller encore plus à vau l'eau, et alors ? qu'ils crèvent ! La solution, les arguments, que de toutes façons on n'a pas intérêt à avancer, à l'ouvrir, ils s'en passeront, on apprend à s'en foutre éperdument du bon avancement du boulot.
(1) cf les expérimentations rapportées par Howard Bloom dans Le Principe de Lucifer sur deux groupes de rats, les uns qui peuvent agir sur leurs conditions de vie, les autres réduits à la souffrance impuissante "Il se blottit dans un coin, et ne bouge plus lorsque arrive la décharge. Si vous ouvrez la porte de la cage il n'essaye même pas de s'échapper" et "Leur perception se ferme, leurs pensées s'obscurcissent et ils ont plus de mal à trouver de nouvelles solutions à leurs problèmes. ... D'autres observations indiquent qu'il ne semble plus se concentrer sur ce qui l'entoure."
Voilà un fait psycho-sociologique fondamental et très important, que les sociologues, et les anti-racistes, et les historiens, (peut-être certains romanciers par contre ?) autant que je sache, ont tous jusqu'à présent laissé de côté sans en prendre conscience, et pour cause ! aucun ne vivait sa vie, même un moment, dans cette situation !
c'est ce que j'ai découvert durant ma dernière année de travail (2010-2011). Ce qu'il y a de bien c'est que ça m'aura fait découvrir cette vérité, que les sociologues, et les anti-racistes, et les psychologues, et les historiens, (peut-être certains romanciers par contre ?) autant que je sache, ont tous jusqu'à présent passé à côté sans en prendre conscience, et pour cause ! aucun ne vivait sa vie même un moment dans cette situation !
10/03/2023
c'est pourtant le bon sens ! mais on a fait des gens de tels esclaves décérébrés soumis et rampants !
Publié dans CITATIONS, les collabos masqués me font vomir de dégoît, libertés, Livres, Philosophie, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
01/03/2023
le vrai choc des civilisations
passage que Gilbert Ganne consacrait aux wagons de 3ème classe dans « Pour ou contre les valeurs bourgeoise » (écrit sans doute en 1967) les éditeurs de la collection avaient choisi paradoxalement Georges Hourdin (la Vie Catholique, hebdo de gauche) pour rédiger la partie "pour les valeursbourgeoises" et Gilbert Ganne (l’Aurore journal de droite) la partie "contre les valeurs bourgeoise" !
Ce livre est devenu introuvable, mais il est historiquement important sous plus d’un aspect.
je l'ai recopié cet après-midi, le fichier je l'ai classé dans « la vraie vie ».
In Gilbert Ganne (1919-2010) « Contre les valeurs bourgeoises » Berger-Levrault Nancy 1967, pages 9 et 10
Lorsque j’étais adolescent, il y avait trois classes dans les chemins de fer. Les secondes étaient par excellence, le domaine des bourgeois moyens ; on les reconnaissait facilement à leur mine constipée. Dans ces compartiments aux places louées, il régnait une atmosphère compassée et parfaitement ennuyeuse, bien différente de celle des troisièmes où la conversation s’engageait aussitôt entre compagnons de voyage Cela débutait par des sourires adressés aux enfants, par des réflexions sur le temps ou la longueur du trajet. A midi, on déballait joyeusement les provisions et, si quelqu’un se trouvait démuni, jamais l’on n’entamait le repas sans lui offrir quelque chose. Si bien que je négligeais toujours les vivres dont la mère voulait me charger, persuadé que j‘étais de trouver ce qu’il me faudrait dans le train. Ce n’était point de ma part, réflexe de malin mais souci de simplification ; j’avais déjà compris que les questions pratiques, pour lesquelles j’ai peu de goût, se résolvent d’elles-mêmes, par le plaisir que prennent les autres à les résoudre. Cette façon de partager, mon acceptation sans arrière-pensée, et d’autant plus franche que souvent les produits offerts venaient directement de la ferme ou avaient été amoureusement mijotés, les compliments que j’en faisais, rendaient mes vis-à-vis très heureux et contribuaient à faire régner, durant tout le parcours, un climat d’harmonie fraternelle.
Il est possible qu’aujourd’hui cette simplicité ait disparue en même temps que les troisièmes. Toujours par soucis de simplification, je vais maintenant au wagon-restaurant où les gens se regardent mastiquer sans s’adresser la parole. Engager la conversation, à plus forte raison offrir un verre, vous ferait passer pour un malotru. C’est décidément assez triste et, pour tout dire, c’est bourgeois. Sans doute peut-on constater encore une humeur différente dans les compartiments de congés-payés – mais pour combien de temps ?
……………..
mais plutôt de la générosité, qui n’existe vraiment que chez les pauvres ; cesser d’être pauvre, c’est aussi cesser d’aimer son prochain. L’époque actuelle nous montre que, plus les pays sont prospères, plus le geste gratuit y est rare.
voila ! le vrai choc des civilisations c'est celui-là
(les récents évènements montrent que les français sont tous devenus des bourgeois SOUMIS, délateurs, fascistes, et qui trouvent tout ça normal !! à vomir !!)
25/02/2023
société actuelle
- Je me souviens d’un jour devant une baraque à frites, il y avait une assez vieille dame, qui racontait ses histoires en prenant les gens à témoin ; ceux-ci faisaient semblant de ne pas entendre, ou répondaient le moins qu’ils pouvaient. Quand elle fut partie, une voix commenta, sur le ton de la plaisanterie : « ce que je préconise dans un cas comme ça c’est l’euthanasie ». Vachement révélatrice de l’évolution actuelle de la société, cette réaction ! Rarement si peu de mots ont dit tant de choses et contenu tant d’informations sur l’état d’esprit d’une société et d’une époque !! …..
Publié dans la France s'enfonce dans le Libéral-Fascisme, morale, Philosophie, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
19/02/2023
Viroj kaj virinoj - la diferenco, jen la
TIKLEMUL’ KAJ GRUMBLULIN’
far GOTAINER
Plenridet’ kaj okulumad’
Ludhumur’ kaj ĉiam ŝercem’ :
Li la tiklemulo !
Paŭtanta pro ĉia ajn kaŭz’
Kritikemeca la humur’ :
Ŝi la grumblulino !
Tiklemul’ kaj Grumblulin’ !
Li bonule promenadis
Aŭ svingbrake aŭ man’ en poŝ’
Lia harpia karulin’
Sekvadis kun mallaŭda vip’.
Senripoze aŭdiĝis
Ŝia grumbl-argumentaĉad’
Li respondis per mokaĵoj
Li rebatis per ironi’.
Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ fajfis,
Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ furzis.
Laŭtempe li poetis,
Li babilis pri papili’;
Ts ! al ŝi estis kapdolor’.
Ts ! aŭskultu al l’televid’.
“ Mutu ja! ĉu vi frenezas ?
Infano vi estas ne plu !
Dum vi staras sidiĝu nu !
Piedviŝu, restu pura l’plank’ ! “
Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ fajfis,
Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ furzis.
Li fajfis „kristal-perloj“, dum
Pilolojn glutadis ŝi
« Vidu l’stelon ! », ekkriis li,
« Metu ŝalon » respondis ŝi.
Ŝi ne ŝvebis pli alte ol
Sia plejalta frizilo.
Dum li kuŝe sur sia dors’
Revis pri mil-unu noktoj.
Ĥĥĥĥ
Ĥgrrrrm !
Ŝi : la grumblulino !
Plenridet’ kaj okulumad’
Ludhumur’ kaj ĉiam ŝercem’ :
Li la tiklemulo !
Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ fajfis,
Tiklemul’ incitetis
Kaj grumblis la grumblulin’
Grumblulin’ paŭtis, sed
Pri tio Tiklemul’ furzis.
(refoje)
Publié dans Esperanto, la vraie vie, mi iras limake, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
10/02/2023
pauvres Übermensch menacées !
Il y a quelque chose à quoi font penser les féministes de maintenant, leur éternelle complainte sur l’oppression de LA femme. C'est à celle que serinait à l'époque l’Allemagne de Hitler, qui se plaignait, pauvre Allemagne ! race supérieure, seule civilisée, porteuse des valeurs de l'humanité, d’être constamment menacée, dans son existence même, d’être persécutée par les méchants tchèques, les pervers polonais (c’est pour ça qu’il a envahit la Pologne, pour protéger les malheureuses minorités allemandes sans défense victimes des atrocités de ces vilains polonais !), opprimée et injustement rabaissée par les vilains juifs, ou ces horribles communistes ! L’Allemagne réduite à se battre pour sa survie, la survie de la race supérieure, la seule qui soit civilisée et non vile et grossière, la seule qui sait « maîtriser ses pulsions », menacée dans son existence même par les infâmes hommes inférieurs violents et vicieux. Les femmes, qui sont des Übermenschen, bien entendu ! personne n’oserait le contester de peur de se faire piétiner et jeter en prison ! sont de même sans cesse menacées d’oppression par ces infâmes êtres inférieurs : les hommes.
« C’est en tout cas ce que souhaitent les représentants du mouvement féministe. Parler de politique de genre, de quotas de genre [ et pourquoi pas de quotas d’origine sociale ???! ça porte pourtant bien plus à conséquence !] et d’égalité des chances »
déjà, de parler « des chances » c’est un discours de DROITE ! Typique Et c’est raciste, essentiellement, et basé sur des critères darwiniste ! Les féministes sont des bourgeoises carriéristes.
racisme misandre encore et de plus en plus - on devient les noirs du Sud Profond US
http://www.israelshamir.net/French/Unmanning-Fr.htm
ah oui ? les bonnes-femmes on va garder une "distance physique" face aux inconnus (de sexe masculins ! les inconnus de sexe féminin non ! ah bon ? ah mais oui c'est bien connu les hommes sont des être inférieurs, et pervers par nature - à exterminer ? - indigne de marcher sur l'ombre des ces Übermensch supérieurs que sont les femmes) Eh bien on va aussi garder une "distance physique" avec vous, n'essayez pas de demander l'heure ou un renseignement on va passer notre chemin loin de vous en pressant le pas, vous vous démerderez comme vous pourrez, et ne vous plaignez pas de vous retrouver dans la solitude, c'est vous qui l'avez voulu. Il n'y a pas de raison que ça soit toujours les mêmes qui trinquent, la justice et la réciprocité c'est la règle de la morale kantienne "que la maxime de ton action puisse être érigée en loi universelle", et n'oubliez pas la troisième "que l'humanité en toi comme dans les autres soit toujours un but et jamais un moyen" Il n'y a pas de raison que ce soit toujours les mêmes qui soient ravalés au rang de parias ! oeil pour oeil dent pour dent disait le livre d'une religion tribale du temps passé. Vous aussi on va vous traiter comme de dangereuses bestioles dont on s'éloigne en vitesse.
Si vous préférez les machines, et les flics, grand bien vous fasse. de toutes façons vous n'avez pas un gramme de conversation ni de culture, donc on ne perd pas grand chose.
Publié dans la France s'enfonce dans le Libéral-Fascisme, morale, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
09/02/2023
"Je préfère être condamné (…) plutôt que trahir ma conscience"
Le procès de Mgr Pican evêque de Bayeux, c'était en 2001
"Je vous félicite de n’avoir pas dénoncé un prêtre à l’administration civile. Vous avez bien agi, et je me réjouis d’avoir un tel confrère dans l’épiscopat, qui (…) aura préféré la prison plutôt que de dénoncer son fils prêtre." Ces mots, datés de 2001 et révélés jeudi par la revue catholique critique Golias, sont signés du cardinal Castrillon Hoyos. préfet de la Congrégation pour le clergé, chargé de tous les prêtres à travers le monde.
On lui (à Mgr Pican) a reproché d'être « psychorigide » et de refuser à se « remettre en cause », traduisez : à suivre les consignes du pouvoir, Jésus aussi a refusé de se remettre en cause, il a même été crucifié à cause de ça, et il a obstinément refusé de jeter la première pierre à la femme adultère (ce qui était dans la société où il vivait considéré comme une chose aussi criminelle que la pédophilie à l'époque actuelle), et il s'est attiré par là autant de désapprobation et de mépris que Mgr Pican.
le tribunal, le procureur, les journalistes unanimes (d'ailleurs si un journaliste aurait osé dire le contraire n'aurait-il pas été viré aussitôt ?) ont appelé à ce qu'il dénonce les agissements à lui avoués par l'abbé René Bissey, mais il n'y a pas que les enfants qui sont en danger de vivre un enfer, et la culture de la délation à tout prix c'est quand-même quelque chose qui a caractérisé ce type de société : http://tpe-staline.wifeo.com/terreur-et-delation.php et celui-ci : http://clio-cr.clionautes.org/la-delation-dans-la-france-... (à l'époque ce ne fut pas les prêtres mais plutôt les juges et juristes qui ont, massivement - l'obéissance à la légalité instituée c'est professionnel ! - su, eux ! "se remettre en cause" et approuver, par exemple, la délation des juifs).
Publié dans libertés, morale, Philosophie, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
03/02/2023
eh bien, vous ne le saviez pas sans doute, mais on nous bourre le mou !!
oui, il y a quelque jours, cherchant des articles sur comment on peut bien dresser les éléphants et leur faire faire les tours assez bluffants qu'on les voit faire dans les cirques (bon je savais déjà, par le livre d'Elian Finbert, que les éléphants sont parmi les animaux les plus intelligents, etc, et aussi très rancuniers !), je suis tombé sur des articles, que j'ai eu la "faiblesse" de lire jusqu'au bout ce que le lecteur moyen nous apprend-t-on ne fait pas ! se contentant de lire le titre
ce qui fait que j'ai découvert queque'chose .....
J’ai constaté (il y en a plusieurs occurrences sur internet) des articles sur Internet avec un titre effrayant et racoleur disant que pour dresser les éléphants c’est très cruel : on commence par les « briser » psychologiquement pour les dominer (donc tout de suite dans l’esprit du lecteur association d’idée avec les récits de tortures staliniennes ou autre où on « brise » la volonté du prisonnier jusqu’à ce qu’il fasse tout ce qu’on veut ), donc implication tout de suite dans l’esprit du mougeon de lecteur qui n’aura (comme nous l’apprennent les sondages!) lu que le titre et les premières phrases - mais pas l’article ! - les tours qu’on voit faire aux éléphants dans les cirques vous avez tort d’y prendre plaisir, c’est obtenu par des traitements cruels et dégradants, il faut aaaaboliiiir cette aaaaabomination que sont sont les cirques avec des animaux, CQFD ! Mais quand on lit l’article on vous raconte comment les mahouts en Inde au XIXè siècle brisaient la volonté des éléphants sauvages capturés pour s’en faire obéir. Mais là, on commence à tiquer : .... euh et le dressage des éléphants de cirque il est où ? Et d’ailleurs plus loin l’article avoue que ce n’est pas ce qu’on fait aux éléphants de cirques, car ceux-ci sont déjà nés en captivité, et que là on obtient leur obéissance en les mettent à côté d’un éléphant déjà soumis, et puis on dit carrément que pour le dressage des éléphants de cirque ce dont on a besoin surtout c’est de la psychologie et tout ça. Bref la vision apocalyptique et cruelle du premier paragraphe n’est pas du tout pertinente !!
Mais alors, si on a un minimum d’esprit d’examen, comme on nous apprenait à en avoir autrefois à l’école (au collège, bref tous ceux qui ont le bac doivent avoir appris ça!), de toutes façons les gens du peuple (en 1995 du moins) en ont spontanément sans qu’on ai à leur apprendre (par contre les intellos diplômés de l’université semblent l’avoir perdu!), donc un peu d'bon sens, comme l’inspecteur Bourrel par exemple, on se dit « mais alors cet article c’est de la désinformation ! De la manipulation mentale malhonnête ! » Dans quel but ?
(ça je ne sais pas, mais désinformation calculée, manipulation des gens, ça c’est sûr). Et pour ceux qui ont (comme nous ! Eh eh!) l’expérience des trucs utilisés par les journaputes pour diaboliser Trump, ou Chavez par exemple, c’est tout à fait le même procédé !! Exemple récent la Pologne. Le gouvernement actuel, eurosceptique, ne plaît pas à nos maître, alors les « journalistes » sortent un grand titre disant que « les polonais » manifestent contre leur (méchant ! méchant ! - comme Kadhafi quoi...) gouvernement. Bon au sein de l’article ils sont quand-même obligés de reconnaître que le dit parti au pouvoir, est très populaire auprès des polonais, et que sa côte loin de baisser reste allégrement élevée ! (bon, seuls les articles les plus copieux finissent par glisser, en passant, dans une toute petite phrase au fin fond de l'article, que si il est si bien vu c’est qu’il a allongé la durée des congés maternité (que le gouvernement libéral, « moderne », « démocratique », « réformateur » qui avait orchestré la tant vantée transition de la Pologne à la modernité capitaliste européenne et tout ça, avait raccourci ! Je me souviens quand Barbara Pierzak l’avait annoncé, sans aucune critique), et qu’il a doublé le montant des allocations familiales ! (ben, si Macron faisait ça en France sa côte cesserait d’être catastrophique) Mais comme (des études scientifiques viennent de nous l’annoncer, et les propagandistes doivent le savoir depuis longtemps eux) la majorité des gens ne lisent QUE LE TITRE des articles d’actualités, sans lire ce contenu, l’effet obtenu est ? Vous avez compris !
Donc ceux qui ont l'expérience de ces "trucs", les reconnaissent tout de suite ! et donc :
voilà une manipulation du même type sur le dressage des éléphants !
Ce qui par ricochet DECONSIDERE complètement l’ensemble des articles et propos qu’on nous entonne (c’est vrai au fait ! c’est très « tendance », d’autres diraient orchestré ….) sur les animaux des cirques malheureuuuuux, traités cruuueeeelement, et tout ça.
La seule chose qui me manque c’est pourquoi ? « à qui profite le crime ? », quand il y a des intérêts capitalistes à la clé, on comprend tout de suite (les vaccins par exemple …. bon j’dis ça, j’ai rien dit, mais hein ?), ou des intérêts géostratégiques, et tout ça. Mais là ? C’est quoi les intérêts qui essayent de nous « bourrer le mou » ?
Je sais pas.
La passion idéologique plus l'aiguillon de la volonté de convaincre à tout prix ?
Mais, déjà, en tous cas, que cette campagne soit ainsi orchestrée et formée visiblement de (au moins beaucoup, peut-être 100 % ? ) mensonges, et de manipulation malhonnête du subconscient du « bon peuple », ça déconsidère tout ce discours, et jette le soupçon sur cette campagne !
J'ai bien l'impression qu'on peut continuer à aller au cirque avec plaisir ! http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2017/11/20/viv...
18/01/2023
Louis Fouché
15/01/2023
été lumière
Aujourd’hui, je ne suis plus rien,
Même en la maison de mon père,
Qu’un vieil homme qui se souvient
D’avoir, enfant, été lumière.
(Maurice Carême)
Publié dans la vraie vie, mi iras limake, Société | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer