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31/03/2021

cloches sonnant

Dimanche matin : Tiens on entend des cloches ! Il y a quelque part un tas de brique fermé à double-tour qui cherche à se faire passer pour une église.

26/03/2021

contrairement à ce que croient les racistes, les identitaires affolés et tout ça - et avec encore une vidéo en plus découvrez la chaîne maquis cévénol !

l'assimilation ça se fait ! sI  si !  y compris avec les gens d'origine "arabe"


(le lien : https://www.youtube.com/watch?v=w1ZNKEu_nFc ) autre lien libre, où on peut télécharger https://ru-clip.net/video/w1ZNKEu_nFc/gj-musulman-attenta...

Tous ensembles avec les gilets jaunes pour chassez la mafia exploiteuse au pouvoir et pour rendre sa démocratie et son humanisme à ce pays

Et d'ailleurs relisez les vieux journaux, livres d'histoire, études sociologique anciennes et tout ça : les belges (les belges !) quand à la fin du XIXè siècle ils sont arrivés dans les usines du Nord les journalistes, ont  dit que c'était des "barbares inassimilables", en 1900 on reprochait aux italiens de Marseille de refuser l'assimilation, de vivre entre-eux, d'être des terroristes (eh oui ! on venait d'assassiner plusieurs rois, impératrice, président de la république et même lancer une bombe dans la chambre des Députés, et à chaque fois c'était un anarchiste italien !), en 1930 on reprochaient aux polonais de se pas s'assimiler, ils venaient avec leurs curés, car ils étaient "trop religieux", et les polonaises ne sortaient pas de leurs corons et ne savaient même pas parler français,  on a reproché ça aussi, très officiellement - étude d'une équipe de sociologues ! - aux arméniens, etc, etc (on a reproché ça aux juifs aussi quand ils sont arrivés de Russie au début du siècle).

EN fait la plupart des gens d'origine musulmane etc, la plupart se considèrent comme français et  fiers d'être français, et raisonnent en français (de même  que les polonais qu'on traitait de ""polaks ou les arméniens du groupe Manouchian...). Et avec la tradition frondeuse des français, https://ru-clip.net/video/Wfa6VXuEBSQ/%F0%9F%9A%A8le-plan...

et sous une des dernières vidéos de Florian Philippot, un commentaire dit :

E Kml Il y a 34 minutes

Mr Philippot, je suis français d’origine marocaine, sachez que je vous écoute depuis pas mal de temps et que nous français avons absolument besoin de vous! J’aime mon pays, j’aime ma patrie et notre France doit être dirigé par une personne comme vous qui n’est pas nationaliste mais qui protège l’âme de notre France. Svp ne lâchez rien face à tout ces corrompus. Je vous soutiens et encourage mon entourage à en faire autant. Vive la France

il faut faire de la pub pour la chaîne de Florian et dans votre entourage : https://ru-clip.net/video/cpw-QxnCITw/esclavage-pour-dett...

17/03/2021

l'analyse du philosophe Michel Weber ou le fascisme 2.0 - depuis 2013 il savait que ça allait arriver


son récent livre : https://www.t-pas-net.com/libr-critique/chronique-michel-...

en 2013 il avait déjà annoncé ce qui se passe en ce moment :

Michel WEBER

Tocqueville (1835) a indiqué que la démocratie de marché pouvait facilement donner naissance à un totalitarisme mou. Depuis Mumford (1932), on sait que la technoscience donnera volontiers un peu de rigueur au tropisme fasciste. Où en sommes-nous ?

La crise qui se propage de proche en proche depuis 2008 est une crise qui est essentiellement politique et, en tant que telle, elle demande une réponse politique.

De fait, les observateurs avertis peuvent discerner la multiplication des signes d’une dérive fasciste, à la fois au niveau de la base et à celui du sommet de la pyramide sociale. D’une part, les idées fascistes sont de plus en plus courantes dans les milieux défavorisés (qui sont eux-mêmes en croissance rapide) ; d’autre part, elles sont de plus en plus explicites chez les technocrates — mais sous une forme tellement aseptisée qu’on pourrait, il est vrai, croire à leur parfaite innocuité.

Il est donc fort piquant de remarquer que le grand public est parfaitement ignorant de ce retour de l’extrême-droite. Il pressent certes l’imminence de l’effondrement sociétal mais il n’a absolument pas conscience de la nature exacte du danger. La réouverture de camps de concentration ou même la généralisation des conflits régionaux semble passer inaperçue. De même, le sens et la portée de l’existence d’apologies hollywoodiennes (au propre comme au figuré) de la torture demeurent entièrement mystérieux. Cette double tension est paralysante et anxiogène, ce qui fait le jeu de l’oligarchie : quoi de plus manipulable en effet que des individus dans un état de coma moral et politique ?

Pire, les acteurs sociaux les plus remuants, les militants et les universitaires pensent l’effondrement de la civilisation globalisée à partir de leur expertise et sont dès lors conduits systématiquement à manipuler des statistiques, parfois très convaincantes, mais qui comprennent la transformation sociétale annoncée sur le mode de la lente désagrégation d’un pan de la société. Le long terme est ainsi mis en perspective à partir d’une facette supposée cruciale.

Or, ce qui s’annonce c’est un effondrement total et abrupt des « démocraties de marché » à la faveur de l’emballement d’une de ces crises qui constitue, en synergie, la crise globale systémique. Peu importe la nature de l’événement déclencheur — une pénurie de dix jours de l’approvisionnement de pétrole, des émeutes de la faim dans des quartiers (ou des pays) « défavorisés », des macro-mouvements de population forçant les portes de la citadelle Europe, un accident industriel majeur, une nouvelle bulle financière, une vraie-fausse pandémie, une guerre inter-régionale ou même mondiale, … — la conséquence politique sera inévitable et immédiate : l’état d’urgence, c’est-à-dire le totalitarisme, ou le chaos absolu, c’est-à-dire la guerre de tous contre tous. Une guerre civile serait comparativement plus structurante.

L’enseignant-chercheur qui n’a pas oublié la leçon de citoyenneté magistrale que nous a laissé Victor Klemperer (LTI, 1947) se doit en conséquence de mettre en évidence deux dynamiques : premièrement, il faut montrer que la réponse à la crise globale systémique est bien d’ores et déjà politique et que, si aucune force ne vient entraver l’inexorable progression du capitalisme du désastre, il ne nous restera bientôt plus qu’à émettre des regrets carcéraux ou post-mortem. Deuxièmement, il faut discerner les pistes théoriques et pratiques qui sont susceptibles d’infléchir cette trajectoire dès aujourd’hui.

Michel Weber

Une première version de ce billet a été publiée ici : http://www.pauljorion.com/blog/?p=53721
Dernier ouvrage paru : De quelle révolution avons-nous besoin ?, Paris, Éditions Sang de la Terre, 2013. (978-2-86985-297-6)

Et n'oublions pas MICHAEL PARAIRE, lisez son article Covid 19 et Fascisme 2.0 dans son blog " un quart d'heure avec le penseur " http://leblogdupenseur.canalblog.com/archives/2020/05/02/...

Dans un Etat fasciste et totalitaire on connait déjà à l'avance quels seront  les résultats  : (!)

https://ruclip.com/video/sV7MRHL_OzI/covid-l%E2%80%99incr...

Enfance et Libertés, l'association : https://enfance-libertes.fr/

La culture , le sport , les loisirs , la créativité, la joie et la confiance ont fait place au repli sur soi , à la méfiance , au rabougrissement, au mépris envers les autres .
La vie que le grand capital et son gouvernement nous laissait n’était pas terrible , mais mon Dieu nous parvenions à peu près à l’embellir .
Aujourd’hui c’est devenu de la merde et ils nous interdisent d’en sortir .
Cela va se finir en révolte armée et ils joueront les étonnés . Si on pouvait les pendre comme au tribunal de Nüremberg !

"Covid 19 le grand Reset" de Claus Schwab est leur Mein Kampf

autre philosophe : https://odysee.com/@Dieudonn%C3%A9officiel:f/episode-161:0



15/03/2021

Clouscard et l'évolution de la société contemporaine

Michel Clouscard (1928-2009) sociologue et philosophe français, proche du parti communiste. Professeur de sociologie à l’Université de Poitiers, marxiste, auteur de nombreux ouvrages, il a fait une critique radicale du libéralisme en prenant en compte les changements de processus de production d’abord, l’évolution de l’objet même de la production ensuite.
Second volet d’un triptyque comprenant par ailleurs Le Capitalisme de la séduction et Critique du libéralisme libertaire, Michel Clouscard se propose ici d’« étudier par quelle stratégie le capitalisme a produit la société civile, ce que Hegel appelait  la Bête Sauvage : une société qui n’est plus qu’un marché ». (Contrôlé et normalisé par toute une flicaille, et à l’avenir une nuée de dispositifs électroniques et de caméras à reconnaisance faciale automatisées).
Sous de Gaulle, le capitalisme d’État permet à la France de développer son infrastructure, et une politique de distribution des profits donne aux ménages la possibilité de s’équiper, créant « l’environnement qui permet aux vertus ménagères de se déchaîner, à l’enfant de bien travailler dans son coin, au père de se reposer ». Ceci fait, le capitalisme a besoin d’un nouveau marché. Le temps libéré par la mécanisation et par l’équipement des ménages deviendra sa cible : ce sera le tournant de la société des loisirs servie par l’idéologie du désir. Mais il faut pour cela passer du sérieux incarné par de Gaulle, au frivole : ce sera le rôle de Mai 68 qui mettra au pouvoir Pompidou le libéral

(le paradoxe vroudra que celui aui fera lanalyse la plus marxiste de MAI 68 sera un gars étiquetté "extrème-droite", l'aristocrate catholique Philippe de Villiers ! lisez ce qu'il a appris là-dessus tout y est et c'est on ne peut plus marxiste !)

(Pompidou l'homme de la Loi de 1973, celui que dès 1965 Gabriel Matzneff avait déjà identifié comme « le croque-mort idéal aux yeux de ceux qui veulent enterrer le gaullisme avec le Général » (article dans Combat du 26/8/65)

et les idées de Cohn-Bendit, le libertaire. Dès lors, l’appareil d’État n’est plus l’émanation de l’État – qui de répressif devient « permissif » (en apparence bien sûr, car de plus en plus normalisateur, et culpabilisateur au nom de la nouvelle religion, qui remplace l’ancienne, définitivement morte, la religion de l’hygiéno-sécuritarisme)

– mais du grand capital. La liquidation des valeurs traditionnelles devient nécessaire ; le gauchisme sera « l’instrument privilégié de cette opération : toute morale sera dite réactionnaire, (Mais ce programme en apparence libérateur prépare en fait une société bien plus coercitive et bien plus aliénante, totalitaire en fait, ceux qui on tpasé à la moulinette des nouvelles méthodes de gestion des "ressources humaines" en savent quelque-chose... ou l'école qui dresse les enfants sous le muffles des caméras de vidéo-surveillance à se conduire selon les normes de plus en plus totalitaires rebaptisées avec perversité du doux nom de "citoyenneté" !) ce qui permet de ridiculiser la résistance populaire, du travailleur chef de famille » au nom des "diplômés de l'université", méprisants souverainement cette race inférieure que sont les pauvres, le peuple (= " populiste " !). qui ne l'est pas et qui donc, on revient à voltaire, redevient une "canaille qui n'est point faite pour penser" !

ce qui permet de ridiculiser la résistance populaire, du travailleur chef de famille » au nom des "diplômés de l'université", méprisants souverainement cette race inférieure que sont les pauvres, le peuple (= " populiste " !). qui ne l'est pas et qui donc, on revient à voltaire, redevient une "canaille qui n'est point faite pour penser" !

 

À ce stade, « la société civile tient les deux bouts : le macrosocial et le microsocial, l’État et la famille, l’instance suprême de la morale sociale et la cellule de base de sa diffusion ». C’est l’avènement de la social-démocratie qui, bien plus qu’un courant de pensée ou un parti politique, est « un concept opératoire : la gestion de la nouvelle société voulue par le capitalisme moderne ». (relisez mon article sur les centristes les plus ennemis de la démocratie !)

14/03/2021

constat pessimiste

Texte paru sur le site capitaliste totalitaire (c’est à dire imposant à ses lecteurs l’injection d'immondes et fascistes cookies DANS LEURS ORDINATEURS ) « les moutons enragés » :
Une accalmie trompeuse est en train d’endormir encore un peu plus les Français. Le réveil sera très douloureux. 
Lorsqu’on entend certaines des vedettes qu’il est convenu d’appeler, selon qu’on les condamne ou qu’on les loue, des complotistes, des dissidents ou des lanceurs d’alerte, on est frappé par un discours qui se veut d’un optimisme à toute épreuve.
Que l’on souhaite ne pas décourager ceux qui tentent de lutter contre la dictature, peut se concevoir. Toutefois, il ne faudrait pas perdre le sens des réalités. D’autant que, quand on est en guerre, ce qui est bien le cas, l’une des exigences les plus impératives pour ne pas perdre, est de mesurer correctement le rapport des forces, et donc, entre autres, de ne pas surestimer ses propres atouts. 
Du rêve … 
Or, certains semblent prendre leurs rêves pour des réalités. Aussi a-t-on droit aux sempiternelles banalités du genre : les Français ont compris; de plus en plus de Français comprennent (1); plus personne ne croit ce que radotent le gouvernement et les médias du système; les gens ne sont pas dupes; plus personne ne se laisse avoir etc etc.
… à la réalité
Eh bien, si, mesdames et messieurs, dans leur immense majorité, les populations ont été complètement bernées, et elles ne comprennent strictement rien à ce qui se passe. 
D’ailleurs, si vraiment elles avaient aussi bien réalisé que vous le prétendez, nous n’en serions pas là. 
A Si nous nous trouvons dans une situation aussi catastrophique, c’est bien parce que la plus grande partie du pays gobe absolument toutes les sornettes que la presse mainstream lui débite, à commencer par les plus énormes. 
Quand vous entendez des personnes parler du Covid-19, ne répètent-elles pas, le plus souvent, exactement ce que leur serinent la télévision, les radios et les journaux du pouvoir ? Nous n’aurions d’ailleurs même pas besoin de regarder la télé pour connaître la teneur de sa propagande : nous en percevons assez bien l’écho par le truchement du discours que débitent au quotidien les personnes que nous croisons, et nous devinons ainsi ce que l’oligarchie veut qu’elles croient (2). 
Nous avons pu constater notamment que le quidam n’est pas gêné le moins du monde par ce qui devrait lui apparaître comme des contradictions, des incohérences ou des bizarreries : par exemple, on lui raconte que le vaccin est super efficace, mais qu’il faudra se le faire injecter tous les six mois tout en continuant à porter le masque, à respecter la distanciation sociale, à garder les commerces fermés ? Eh bien, oui, puisque la télé clame que c’est normal, il n’y a rien là qui perturbe le moins du monde ceux qui, d’après nos lanceurs d’alerte, ont soi-disant tout compris (3).Une accalmie trompeuse est en train d’endormir encore un peu plus les Français. Le réveil sera très douloureux. 
B Si tant de gens avaient saisi ce qui se passe, il y aurait peut-être davantage de monde pour refuser de baisser la tête et de ramper (4). 
Et il y aurait peut-être moins de peureux pour porter la muselière y compris quand ils ne risquent pas d’amende. Car c’est l’une des choses qui nous frappent : des individus qui ne dévissent pas leur masque même quand, se trouvant en un lieu désert, ils pourraient l’enlever (5). 
Ce serait bien la preuve qu’ils sont persuadés de devoir se protéger pour ne pas attraper le Covid-19, ou qu’ils poussent la soumission aussi loin que celui qui s’enfermerait lui-même, de son propre gré, dans sa geôle (6). Comme les bons allemands bien « solidaires » et « décents » à partir de 1933
C Il faut les voir aussi s’écarter de l’outrecuidant qui ne porte pas la muselière, ou se reculer en tirant leur tête vers l’arrière, des fois que le virus leur sauterait dessus, alors qu’ils sont eux-mêmes masqués … Si, en plus, le malotru dépourvu de muselière a le malheur d’éternuer ou simplement de se moucher, les imbéciles essaient aussitôt de s’éloigner de plusieurs mètres, une véritable retraite de Russie … Des images pathétiques, pour le moins …  
D Ainsi, il y a un abîme entre, d’une part, le monde tel que veulent le voir les dissidents, et, d’autre part, les scènes auxquelles nous assistons quotidiennement, scènes qui indiquent que la quasi-totalité de la population n’a en réalité rien compris : attirer son attention sur la dictature qui se met en place, sur les atteintes sans précédent aux libertés, sur le nouvel ordre mondial, sur le grand reset etc, c’est littéralement lui parler, non pas chinois, mais martien. 
Le mirage des réseaux sociaux
Pourtant, certains lanceurs d’alerte n’en démordent pas : la population se défierait des médias mainstream comme de la peste; elle chercherait de plus en plus à se renseigner ailleurs, en particulier sur les sites internet alternatifs. 
Plus haut, nous avons esquissé une réponse à ce gros bobard.
Mais, il nous faut considérer une véritable tarte à la crème qui constitue l’une des arguties les plus usitées pour légitimer ce bobard : la preuve que les citoyens auraient tout compris et rejetteraient le système, résiderait notamment dans le nombre d’abonnés des chaînes Youtube contestataires et dans le nombre de vues qu’affichent leurs vidéos. 
Il y aurait énormément à dire sur ce sujet (7). Pour l’instant, nous nous contenterons de remettre rapidement les pendules à l’heure en rappelant cette évidence, trop souvent oubliée : seule une toute petite minorité du pays s’informe sur des espaces alternatifs ayant leur propre site internet ou hébergés par Youtube, Odysee, Facebook, et autres réseaux sociaux. En vérité, ces espaces alternatifs, dissidents, ou complotistes pour reprendre l’expression de l’oligarchie, ne touchent qu’un microcosme. La quasi-totalité de la population ne les connaît même pas ou préfère les ignorer, et elle ne se fie qu’aux médias du système : télévision, radios et presse écrite des milliardaires. Là encore, il suffit d’écouter les gens parler, ou de regarder quels journaux ils dévorent dans les transports en commun, pour constater que le grand public passe son temps à se désinformer auprès du mainstream et ne daigne s’en remettre qu’à la voix de son maître. 
Seulement, il semble que l’un des problèmes de certains dissidents, est qu’à force de camper sur les réseaux sociaux, ils finissent par prendre ce microcosme pour le monde réel, avec lequel ils perdent le contact. 
Après le Covid, le déluge 
L’optimisme de certains lanceurs d’alerte touche carrément à l’inconscience quand il s’agit d’envisager l’avenir. Car, une idée semble ne pas leur avoir traversé l’esprit : que se passera-t-il quand, demain, [les organisateurs de l’ingénierie Covid-19 balanceront un virus qui, cette fois, sera beaucoup plus meurtrier ?]url:Vers le faux attentat bactériologique – Les moutons enragés (lesmoutonsenrages.fr) 
Or, cela ne fait aucun doute pour toute personne un tant soit peu sérieuse : le Covid-19 n’est encore qu’une étape, un galop d’essai, une mise en bouche, une répétition générale, et le pire est à venir.
Pour faire accepter une société de plus en plus cauchemardesque, la pseudo-pandémie actuelle ne suffira pas, si bien que l’oligarchie est en quelque sorte obligée de frapper plus fort. 
Une logique exterministe
Du reste, la mise en scène du coronavirus relève d’un processus mortifère. 
Quand on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage. Et si on l’accuse de la rage, c’est qu’on veut le tuer. Ce raisonnement vaut pour la population, taxée de colporter le Covid-19 et d’être non essentielle, c’est-à-dire, dans l’esprit des gouvernants pervers, et du grand capital avide de parts de marché et de monopole pour leurs « groupes », inutile et même nuisible. Or, qui s’embarrasserait d’individus qu’il a catalogués comme tels ? Pourquoi les classes dominantes auraient-elles ruiné et réduit à l’inactivité des millions de commerçants avec leurs salariés ? Pour le seul plaisir d’en faire des titulaires d’un quelconque RSA, auxquels on versera une aumône de 500 euros par mois ? 
Beaucoup de commentateurs soulignent que la caste dirigeante veut tenir la population en esclavage. Certes, (et ce ne serait jamais que le retour à la première des trois phases historiques identifiée par Karl Marx ! Relisez-le !) mais il y a une chose que ces commentateurs n’ont pas comprise : ôter toute liberté à la population, la réduire au servage, c’est encore, quelque part, en être esclave soi-même, parce que c’est devoir s’embêter à la contrôler, à la mater, et donc à faire avec elle, malgré tout. Priver l’autre de liberté, c’est, dans une certaine mesure, s’en priver soi-même aussi. Aussi ne s’enquiquine-t-on pas à mettre un gêneur sous cloche pour se contraindre soi-même à devoir garder constamment un œil sur lui : on s’en débarrasse définitivement, radicalement. 
Il est certain qu’il y aura d’autres virus, beaucoup plus mortels que le Covid-19 (8). Déjà la « grippe porcine,donc la « psy-op » le « business-plan » avait échoué, car il n’était pas assez mortel. Quan on considère rétrospectivement on s’aperçoit que Jane Bürgermeister, qui apparaissait alors comme « un peu parano », eh bien avait raison ! 
Ce sont d’ailleurs les organisateurs de l’ingénierie Coronavirus qui le répètent eux-mêmes constamment : depuis le début de cette mise en scène mondiale, ils n’ont cessé de seriner qu’il y aurait des variants bien plus redoutables, et d’autres agents pathogènes encore plus terribles, et que l’âge des pandémies ne faisait que commencer … 
L’ère du chacun pour soi
Déjà, avec une pseudo-épidémie, les populations, dans leur immense majorité, ont accepté des atteintes sans précédent aux libertés (9). 
Il n’est pas difficile de deviner ce qui adviendra quand un véritable cataclysme sanitaire provoquera quantités de décès; quand les gens tomberont comme des mouches dans les rues; quand la mort sera réellement présente sous les yeux de tout un chacun, à chaque instant, en chaque lieu : la réaction des populations ne sera pas belle à voir. Une toute petite minorité, plus restreinte encore que celle d’aujourd’hui, tentera de résister. Mais, la grande masse sera prête à toutes les horreurs : elle applaudira aux camps de concentration, aux arrestations arbitraires, aux exécutions sommaires, aux charniers, aux feux de purification. Elle ira jusqu’à les réclamer. Le quidam ne reculera devant aucune atrocité qui lui paraîtra susceptible de l’aider à sauver sa peau. 
Quand tombera l’argument de la fausse pandémie …
Et une autre difficulté, énorme, surviendra, à laquelle certains lanceurs d’alerte paraissent ne pas avoir songé : comme il s’agira cette fois d’une vraie catastrophe, avec des quantités de morts, parmi lesquels des enfants, il ne sera plus possible d’argumenter sur le thème : C’est une fausse pandémie. Sera alors anéanti tout le travail consistant à démontrer que les tests sont faussés, que les chiffres de contaminations sont gonflés, que les statistiques sont bidonnées, que l’on compte comme tué par le Covid-19 tout individu décédé de tout et de n’importe quoi. Ces explications deviendront caduques et n’auront plus lieu d’être, puisque l’épidémie et les morts seront réels (10). 
C’est pourquoi il est irresponsable de croire que l’on peut contrer l’oligarchie et ses plans diaboliques en se contentant de rétablir la vérité sur les chiffres actuels, sur le caractère plus ou moins létal du Covid-19, sur les tests PCR etc. 
Car, quand il y aura une véritable pandémie, quand il y aura vraiment des milliers et des milliers de morts de tous âges, faudra-t-il pour autant accepter l’anéantissement de toutes les libertés, les camps d’internement, le puçage, la vaccination obligatoire, le confinement total ad vitam aeternam, et autres abominations que nous ne pouvons peut-être même pas imaginer ? Evidemment non ! Et c’est cela qu’il faudrait dire. C’est ce Non qu’il faut faire entendre. En 40-44quelque uns ont su le faire entendre, ais maintenant , y aura-t-il encore des héros ?
 
Les aveugles qui sont toujours incapables d’anticiper l’avenir, penseront que nous délirons. Ce sont les mêmes qui n’ont jamais rien vu venir, quand tout ce que nous avions annoncé est arrivé (11); les mêmes qui parlaient de méchants Chinois propageant le Covid-19 à cause de leur goût supposé pour les pangolins, qui colportaient les fadaises sur le virus accroché plusieurs jours aux objets; les mêmes, donc, qui étaient complètement à côté de la plaque quand nous écrivions, dès l’annonce du premier confinement, qu’il s’agissait d’un coup d’Etat, expression que certains n’ont toujours pas utilisée, ce qui ne les empêche pas de se faire passer pour LES lanceurs d’alerte ayant soi-disant tout deviné et tout compris avant tout le monde …  
Aujourd’hui encore, nous entendons certains naïfs (ou certains agents du système …) dire que l’on peut profiter d’une pause de la psychose, que l’on est un peu moins oppressé parce qu’il n’y a pas eu de nouveau confinement général (pour l’instant), que l’oligarchie a d’ores et déjà perdu et ne pourra pas mettre en œuvre son projet (!) etc etc. 
La vérité est que l’on est en train d’endormir encore un peu plus les populations afin de mieux les prendre par surprise à la prochaine attaque. Le pouvoir est en train de préparer un très sale coup, et, à notre avis, la bombe ne va plus tarder à éclater, peut-être en mars/avril, au plus tard pendant l’été. Quel que soit le moment, la tempête va venir, il n’en faut pas douter, et le calme relatif dont on jouit aujourd’hui, ne fait que l’annoncer. 
 
(1) Si 3 % des gens sont lucides, puis, quinze ans plus tard, 5 %, on peut, certes, toujours se réjouir qu’il y ait de plus en plus de gens lucides … En vérité, les décennies qui viennent de s’écouler, démontrent que c’est l’inverse qui s’est produit : dans les années 1960, par exemple, les populations n’auraient pas accepté ce qu’elles acceptent et gobé ce qu’elles gobent aujourd’hui. En 1830 les parisiens se sont soulevés ont prit les armes, tiré sur l’armée du roi Charles X et l’ont chassé du trône, pour moins que ça ! Quant à ces deux événements fondateurs que l’on peut considérer comme des ancêtres de l’ingénierie Covid-19, la vague du sida et les attentats du 11 septembre 2001 (pour ne pas parler de la grande psy-op : la diabolisation et quasi-interdiction du tabac ! On soit maintenant qu’en fait c’était une opération-test), qui peut soutenir sérieusement que, tant d’années après, ils ont été correctement analysés par les citoyens ? 
(2) La crédulité des populations concerne tous les sujets : prétendue pandémie, terrorisme, guerres, économie etc. Quel que soit le thème, écouter ce que récite le plus grand nombre, c’est savoir ce que la télévision, les radios et les journaux de l’oligarchie lui ont hurlé à l’oreille. 
(3) Nous publierons peut-être un article dans lequel nous transcrirons certains des propos qui nous ont été tenus et qui montrent à quel point des gens peuvent être moutons.
(4) Cela fait des décennies que nous entendons les discours du genre : les gens ont compris; les Français commencent à comprendre etc. Depuis le temps qu’ils commencent, ils devraient peut-être avoir fini … Mais, au fait, puisqu’ils ont saisi ou commencé à saisir il y a déjà des dizaines d’années, comment se fait-il qu’ils votent comme des nigauds ? Il est certes possible que les élections soient truquées, mais, pour ne citer qu’un exemple, en 2007, c’étaient bien des individus du quotidien, et non des instituts de sondage, que nous entendions chanter les louanges de Sarkozy, l’homme miraculeux qui allait soi-disant redresser la France … 
(5) Il est triste aussi de voir des parents imposer le masque à leurs très jeunes enfants, dont certains semblent ne même pas avoir six ans. 
(6) Le masque est bien une espèce de geôle portative. Il est vrai aussi que la plupart des gens ont dû tomber dans ce piège : Si vous ne mettez pas le masque pour vous, mettez-le au moins pour les autres, vos enfants, vos parents, vos aïeux, que vous allez contaminer et peut-être même tuer. Une autre argutie qui doit terroriser certains, est cette fable selon laquelle le virus demeurerait en suspension dans l’air ou sur les objets pendant plusieurs jours. Mais, répétons-le, personne n’est obligé de sauter à pieds joints dans ces pièges, sauf à y être contraint par sa propre bêtise. 
(7) Si nous en avons le temps, nous rédigerons une réfutation en règle de cette illusion. 
(8) D’autant que, comme nous l’avons écrit dans un autre article, l’ingénierie Covid-19 est chargée aussi de préparer un vrai conflit armé. 
(9) Les gens ne sont pas devenus aussi soumis du jour au lendemain. Nous payons des décennies de propagande, d’ingénieries diverses et variées (en matière d’attentats particulièrement), de terrorisme intellectuel. Cela mériterait toute une étude. Aussi, on ne peut pas reprocher aux Français, aujourd’hui, de s’aplatir et de la fermer alors que, depuis des décennies, on leur a imposé le silence sur tout un tas de sujets, y compris les plus vitaux.
(10) On peut d’ailleurs se demander si l’un des principaux pièges tendus par la mise en scène du Covid-19, ne réside pas, justement, dans ce fait que, constituant une fausse pandémie, elle a conduit les esprits critiques à se focaliser sur cet aspect (véritables chiffres, statistiques réelles etc). Maintenant, il n’y a plus qu’à provoquer un vrai séisme sanitaire, et tout le discours contestataire relatif au coronavirus, tombera de lui-même. 
(11) Par exemple, nous avions écrit qu’il y aurait des confinements locaux, notamment par ville, et c’est chose faite. Nous y reviendrons, car, là encore, force est de constater que personne ne semble percevoir l’un des objectifs de ces reconfinements localisés. 
Sellami


09/03/2021

la vraie vie

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avez-vous remarqué qu'on ne voit dans notre pays pratiquement plus jamais de mères (ni de pères, ni de grands-parents) tenant leur enfant dans les bras ?

bizarre ! vous trouvez ça normal ? Moi pas.

ça nous prépare une drôle de génération.

 

14/02/2021

souvenez-vous de Henri GEORGE poète tournaisien !

Ce poème

origine  : souvenez-vous de Henri GEORGES poète tournaisien

trouvé dans une anthologie de la poésie wallonne  en fait n'est pas en wallon ( le dialecte wallon est beaucoup plus compliqué à comprendre et surtout à prononcer) mais en picard, comme dins ch' Nord ! Tournais est (était...) picard dans son patois. Ce poème est un chef-d'oeuvre de talent  et d'émotion, on devrait le mettre dans les classiques de la littérature, et le faire apprendre aux enfants des écoles on aurait peut-être introduit enfin ce genre de considération pour les cultures régionales!), il le mériterait, il mériterait même d'être choisi dans une anthologie mondiale de la poésie.

Et  ça ne parle que de valeurs aujourd'hui diabolisées, presque interdites ou en voie de disparition ou bien menacées..... (Le Carnaval, les masques, les bals publics, la fête, le bruit, la gaîté, l'occupation des voies "publiques" (autrefois publiques ... mais avec Sarko ça ne va plus durer !) par des foules de gens et non par les bagnoles et les vigiles privés!, et bien sûr l'amour (aujourd'hui on l'appelle comment? ...  "violence"? "harcèlement sexuel"?  "dépendance psychologique"? ) Et, last but not least, le chagrin ! autre chose psychomachinchoseiquement interdite, un jour peut-être on condamnera  à la prison pour "non prise en charge de leur santé" les gens qui souffrent de chagrin puis on les fichera à vie et on les obligera à suivre une cure  d'euphorisation "positive". On parie ?
Si vous pouvez apprenez-le par coeur, il le mérite, ou au moins la dernière strophe.

Tiu  ĉi poemo eble estas la plej bela de la pikardlingva literaturo, kiun oni tro ofte rigardas kiel reduktita al komikaĵoj lokaj;  ĝi indus fakte esti enigita en klasikaĵojn pro la talento kaj emocipovo kun kiu ĝi traktas  malĝojan kaj universalan temon. memoru parkere almenaŭ la lastan strofon kiel citaĵon: ĝi estas tiom bela kaj korprema!

 

Ch’éteot l’Mi-Carême, i-aveot dins chés rues

Ene masse dė musiques, dés tas d’gins masqués.

In face du Grand-Garde, ch’éteot ène cohue

Et l’cortêche aveot du mal dè passer.

Cha, ch’ ‘teot in cortêche! Lés prumiés in tiète,

I-éteotė pus d’chint, tous in calikeot :

Juste autant d’Pièrots qu’i n-aveot d’Pièrètes,

Juste autant d’Pièrètes qu’i n-aveot d’Pièrots.

Après cha, ch’éteot ène éote mascarate,

Pwis v’là deûs Pièreots qu’i s’eont ratardé

Et qui n’ trouv’tè pus l’binde dés camarates :

Pièrète par ichi, Pièreot d’l’éôte coté.

I n’seon po l’in d’l’eôte pus d’à chenk-sî metes,

Més lès-amoureûs, ch’èst come dés bièc-beos.

Pièreot, i s’inquiète dè n’pus vir Pièrete,

Pièrète, èlle èst triste dè n’pus vir Pièrot.

Pauve pétit' Pièrète ! èlle a l’invie d’brêre,

Elle ortoun’reot bin tout d’swite à s’majèon !

Et Piéreo s’désole, i n’sét pus qwa faire,

I va come quéqu’in qui-a pèrdu s’résèon.

Pour l’in comme pour lééôte, ch’èst ène tristė fiète ;

Au lieu d’s’amuser, i-eont leûs cœurs bin greos :

Par ichi Pièreot cache après Pièrete

Et par là Pièrète cache après Pièreot !

Pindant tout-in tans, j’é suivi l’cortêche.

J’areos bin voulu lés vir s’ortrouver,

Més d’lés vir à deûs, i n’aveot po mèche :

J’véyeos l’in, pwis l’éôte, més lés deûs, jamés !

J’é rintré dins l’bal in m’disant qu’pétète,

In dansant t’t-à l’eure on s’rincontrėreot.

Més Piéreot d’ssus l’banc atindeo Pièrète

Et Pièrète bin sache atindeot Pièreot.
Et pindant dès-eures, au son dė l’musique

- vous savez qu’cha dure tout jusqu’au matin -,

i seont rès là come deûs vrés-antiques,

pwis i seont partis, chakin pa s’kémin.

J’lés-é vu partir : piéreot baisseot s’tiète

Et j’é intindu Pièrète qu’èle brèyeot…

Et pindant ç’tans-là, toutes lès-éôtes Pièrètes

Danseot’tė gaimint avèc leûs Pièreots.

Hélas ! dins chelle vie, ch’èst bin souvin l’même :

on rèstė vièle file ou bin vieûs garchèon ;

èt ch’t-acor pus triste qu’à l’Demi-Carême :

l’carnaval, ch’èst court, mé la vie, ch’èst lèong …

On èst treop timite, treop fier ou treop …. Biète,

On vient d’ène famile bin treop come i fèot

Èt Pièreot viélit in r’grètant Pièrete,

Et Pièrète ès’fane in r’grètant Pièreot.
Et cha dure insin pindant dés-innées,

Et quand on s’rinconte, on s’fét dès saluts.

Qwa çé quė vous voulez, ch’èst ène dèstinée !

I-arife même alfeos qu’on s’orconeot pus.

On s’résine, ch’èst vré, més toudi on r’grète,

Et alfeos on s’dit, quand on soufre ėd’ treop :

« Come ėj’ s’reos ureûs si j’aveos Pièrète!

- Come ėj’ s’reos continte si j’aveos Piéreot ! »

Et par in byèo jour in cortêche i passe,

On seone àl’églisse pou in n-intièr’mint,

Et l’vieûs, ou bé l’vièle, i dit’ à vwas basse :

« Acor in qui passe pou m’montrer ch’kémin.

- Qui ç’quė ch’èst cèle-là qu’on mène à Mulète ?

- Qui ç’quė ch’èst c’ti-là qu’on porte à Navyèo ? »

On dit : « Ch’èst ène tèle ». Piéreot : « Ch’est t’ Pièrète ! »

Ou bin : « Ch’èst in tèl ». Pièrète : Ch’èst t’Pièreot ! »

Awi, mé bones gins, ch’est ène triste istware,

Dès-istwares parèles, on in sét tèrtous

Pace qu’i n-a bôkeop – cha, vous pouvez m’cwrâre -,

Et ch’èste pétète même vo-n-isware à vous.

Et p’tète qu’avèc mi, tout bas, in cachète,

Wê, vous l’dites tout bas, mi jė l’dis tout hèot :

« Ah ! chès pauves Pièrèots qui n’eont po d’Pièretes !

Ah chès pauves Pièrètes qui n’eont po d’Pièrèos ! »

 

Henri GEORGE (1879-1952)

 

Eh oui au fait ! et cette année va-t-on avoir le droit de fêter le Carnaval ????? avec l'ambiance fasciste anti-humaniste actuelle ! Va-t-on encore avoir le droit de danser, de s'embrasser sous les yeux de la flicaille ? Que va devenir notre Civilisation ? Que vont devenir les traditions humaines?

Tiens Farida Belghoul va essayer d'organiser un "carnaval" qui sera en même temps une forme de meeeting, nos maître lui laisseront-ils le droit ?

apparemment non ....

Quelqu'un a proposé une idée, celle d'une sorte de "carnaval des démasqués" au prochain mardi gras du 16 février 2021 (avant l'éventuel "Carême" imposé d'un 3ème confinement) où chacun se "déguiserait en lui-même", c'est-à-dire enlèverait librement son masque pour pouvoir enfin récupérer sa respiration naturelle...

11/02/2021

quelques films vus

*1997 - « L'invitée de l'hiver » de Alan Rickman https://www.dailymotion.com/video/x4osocr  
Très beau film, et très prenant, qui se déroule dans un petit port d'Ecosse un jour de grand gel. Mais je remarque que c'est tout du long très "politiquement correct" - travail du deuil, idylle, psychologie de bonnes-femmes, "think positive"  et tout ça - jusqu'à ce que la scène finale avec les deux enfants (la vérité est sentie seulement par les enfants ! je m'en suis moi-même aperçu durant ma propre enfance), qui rompt cette bien-pensance "positive" et où la vérité de tout est finalement bien sentie, et dite, à mi-mots.

la scène finale de "L"invitée de l'hiver", de Alan Rickman (bizarrement aucun descriptif de ce film ni critique n'en parle ! tout le monde se focalise sur le couple mère-fille, et rien sur ces enfants !!! (ni les chatons ... ) pourtant c'est selon moi la partie la plus tragique la plus profonde et la plus importante du film)

 

*1987 - Un film « L’intendant Shansho » de Mizogushi (japonais) que j’ai vu hier
soir à la télévision. Très beau film. Drame humain, et sujet social sur l’esclavage dans le Japon
antique. Il se passe entre 950 et 1150 de notre ère à l’époque Heian, des régents Fujiwara,
avant que s’instaure la féodalité et le Moyen-Age japonais. Un gouverneur trop indulgent lors d’une  révolte de paysans est condamné à l’exil. Sur  la route avec sa femme et son fils et sa fille,
ils sont attaqués par des brigands, qui enlèvent le fils et la fille et les vendent comme esclaves.
Ils se retrouvent aux mains d’un intendant cruel et tyrannique. Avec l’aide de sa sœur le jeune
homme s’évade et se réfugie dans un monastère bouddhique. La sœur se noie pour ne pas à avoir
sous la torture à trahir son frère. Celui-ci idéaliste qui refuse de se contenter de prier le Bouddha,
part avec une lettre de recommandation de l’abbé pour Kyoto voir le Régent, qui lui apprend que son père est mort en exil, mais le réhabilite et le nomme gouverneur de la province où il a été
esclave. Il projette alors de faire libérer tous les esclaves de cette province, le Régent lui rappelle
qu’il n’a ce pouvoir que sur les terres de l’Etat (système des terres étatisées, inspiré de la Chine T’ang et extension des domaines alloués à des particuliers, échappant au lot commun, et  tendant à devenir plus  tard un système féodal) Le domaine où ils étaient esclaves est privé et hors de son
autorité. Il le fait pourtant, libère les esclaves, exile l’intendant et confisque ses biens, en dépit
 des menaces qu’il risque. Puis démissionne  et part chercher le village où il retrouve sa mère,
seule, misérable, aveugle, et au bord de la folie. Elle lui demande où sont son père et sa sœur.
Et il lui répond en la prenant dans ses bras « Il ne reste plus  que nous deux désormais ».

  (…)

 

 

*  22/4/1990 Vu « Crimes et Délits » de Woody Allen : Très Bien, et très  woody-allenien. Il y a beaucoup de choses là-dedans, et il y aurait beaucoup à dire. Une remarque, en comparaison avec ce qui se passe dans « Hanna et ses sœurs ». Dans Hanna et ses sœurs, le héros, après avoir été torturé par la peur de la mort et avoir essayé en vain toutes les religions fini par trouver la paix (cf. Camus in Le Mythe de Sysiphe « Cette paix empoisonnée » et ces « renoncements mortels » ) dans la sensation immédiate du bonheur ;
à comparer à ce qui arrive à l’ophtalmologiste de Crimes et Délits qui après avoir accepté de faire tuer la femme qui l’aime et risque de briser sa sécurité et sa puissance (est-il vraiment plus mauvais que les autres ? je ne pense pas, mais justement la puissance et la sécurité corrompent, il a plus à perdre, il lui est plus dur d’accepter les catastrophes et plus facile de disposer du sort des gens), a connu (« l’œil était dans la tombe et regardait Caïn ») les transes du remords ; et puis quelques mois plus tard, dans l’athmosphère du bonheur familial a retrouvé la paix, assis sur le cadavre de cette femme. C’est le même phénomène en fait, la  même paix gagnée à coups d’inconscience et d’engourdissement sous l’effet des petits bonheurs, que nos maîtres à penser appellent "travail de deuil", laquelle est tout aussi criminel ("dans son coeur" disait Jésus-Christ)
La comparaison mérite qu’on y réfléchisse par l’éclairage qu’elle ouvre.

 

*29/3/1992 Vu « Ombres et Brouillard de Woody Allen,
c’est un conte philosophique.Très beau, très complexe, marrant, émouvant. C’est Woody Allen, l’auteur, et l’acteur aussi, et son visage qu’évoque la critique. Le scénario est fait pour finir en tragédie, mais comme d’habitude il y échappe par une pirouette Ce cœur pur à l’air de minus en naphtaline et qui est sans doute l’être le plus inoffensif de sa ville, peut-être le seul, qui se veut trop honnête, trop ouvert à la vie, et à la raison, à l’honnêteté, donc à l’impuissance, qui a gâché sa vie par ses hésitations, piégé dans une machine infernale devrait finit pendu jugé et condamné comme étant le tueur psychopathe. Il se sauve en  acceptant, finalement (…..) de devenir l’assistant de l’illusionniste. c. à d. : dans cette machine infernale qu’est la vie le seul « salut » ce sont les illusions. Mais les choses ne sont pas ce qu’on croit qu’elles sont. « On a besoin de choses solides sur lesquelles on peut compter » dit-il (cf. la scène finale de « Manhattan ») Mais il s’aperçoit que sa fiancée n’est pas celle qu’il croyait. Ça arrive souvent dans la vie qu’on s’aperçoive que la femme qu’on aimait n’est pas, n’a jamais été, ce qu’on croyait, qu’on croyait à un être de lumière sur lequel on pourrait compter et tout s’effondre quand son vrai visage se révèle dans l’épreuve. N’est-ce pas ?

 

29/3/2002 Vu « Intervention Divine» film palestinien (le 3ème je pense, après
le merveilleux « Conte des Trois Diamants » de Michel Khleifi
)  de Elia Suleiman. Très beau,
très « konsilinda ». Si on le laisse travailler (…) et si les Israéliens ne le tuent pas, il deviendra un
des plus  grands réalisateurs du siècle (le 21ème) « un tableau tout à la fois burlesque et
désespéré ». Oui la critique évoque Jacques Tati et Buster Keaton, exact, j’y ajouterais la Provence  de Pagnol ; et par moment les images ou les scènes virent au surréaliste. E. Suleiman manie un humour tout à fait personnel.
https://www.youtube.com/watch?v=ICkLnlDnOIk

Et la scène des mains https://www.youtube.com/watch?v=9wgoJbfWGj8 au parking du check-point fout en l’air, à elle seule, le slogan absurde et anti-humaniste  « à chacun son corps »

 

*28/11/2002 vu « l’homme sans passé » de Aki Kaurismaki (un finlandais), primé à Cannes ;

 Quel monde sinistre et morbide comme c’est pas permis ! D’une totale déshumanisation et d’une profonde barbarie. L’inde (même les bidonvilles de l’Inde !) est un monde dix fois plus civilisé et dix fois plus humain que la Finlande !

 C’est bien un pays nordique, on sent  très fort qu’on est dans ces pays où on a stérilisé les femmes  qui se teignent les ongles de pieds en rouge et où on met en prison les clients des prostituées !  C’est l’image du monde orwellien et barbare que nous préparent le capitalisme + Sarkozy + la politically correctness. La « citée de la Joie » de Calcutta c’est un espace d’humanité (même le  parrain mafieux ! en comparaison ! même lui !!) de civilisation, de solidarité et de douceur, et de joie, c’est une vraie soirée dansante, en comparaison avec la Finlande de l'an 2.000 ! La femme (dans le film) du guichet de l’ »ANPE », on aurait envie de l’écraser sous son talon, tellement elle est odieuse  (et typique).  Ce film pue la mort. Et vous fait aussi comprendre, encore mieux que tout un site Internet d’antimondialistes ou d’anarchistes, à quel point on est enfermés sans espoir dans un bagne. Et que quand on a accepté dans les années 70 de se laisser « bancariser », on a signé notre arrêt de mort, et celui, très concret, de milliers d’êtres, et celui de la Civilisation. Il aurait fallu alors se révolter et brûler les carnets de chèques.

 Ces finlandais nous montrent un peuple profondément brutal, égoïste, et rustre. Les seuls êtres qui respirent l'humanité là-dedans ce sont les chiens.

 Ce film évoque à peu près autant la vie que le cadavre refroidi de Jacqueline sur son lit de décor mortuaire.

 

 *134) 12/3/2003 Vu « Monsieur Schmidt »

film d’Alexander Payne. TB. C’est très émouvant, les  acteurs très bons ; Ca fait fort penser à cet autre film américain « Mort d'un commis voyageur » ; ça évoque aussi par moments le Dictionnaire des Idées reçues de Flaubert, en beaucoup plus cruel.
 Ça se passe aux USA mais c’est non seulement une « devastating » (comme on dit en anglais) condamnation des américains-moyens mais tout aussi bien des français-moyens. Et pas seulement de ce qu’est devenu le christianisme aux USA mais tout autant de ce qu’il est devenu en France ! Ça décortique dur ! et ça met à jour bien des choses dans la psychologie sociale.

Et puis encore une fois, comme « La maîtresse du lieutenant français », « Le huitième jour », etc, tant de films, le spectacle et la dénonciation de ce que c’est que les femmes : profondément affligeant et répugnant. Et bien entendu une fois de plus cela montre que contrairement à de vieilles idées reçues ce sont les hommes qui sont sentimentaux, vulnérables et sensibles, qui sont de vrais êtres humains, et les femmes matérialistes, égoïstes, « positives », bouffées par les
conventions et sans cœur.

 

 * 6/10/2003 « A cinq heures de l’après-midi » ( l’heure de la mort chez Garcia Lorca ) : tu  vois, que ce soit chez Kiarostami ou Makhmalbaf (et le père aussi) il y a une école iranienne de  cinéma, on retrouve ce côté « contemplatif », cette sensualité lente et attentive des images, leur  splendeur, leur poids, etc, il faut le voir pour comprendre. Et cette attention aux êtres si forte,  attention  silencieuse, et pleine de respect.  
Makhmalbaf ne caricature pas du tout ses vieilles badernes « fanatiques », ils sont d’une profonde  humanité, et même parfois d’une grandeur « antique » , et c’était pareil dans le « voyage de  Kandahar » le vieux qui s’appliquait, comme un Saint François d’Assise, à rendre grâce à Dieu  pendant qu’il se faisait dépouiller par les voleurs.  
 En fait, contrairement à ce que vous font croire les journalistes, le thème « émancipation de la  femme », forcément d’actualité dans l’Afghanistan  post-Taliban, et qui fait saliver et se masturber  intellectuellement tous les politiquement corrects et les bien-pensants de notre occident, n’est pas le  seul thème du film. C’est un film très triste, à l’image de la condition des afghans, ça a aussi un côté  Beckett (Samuel).
Et puis c’est un film à montrer aux espérantistes pour les alerter sur l’hégémonie de l’anglais !!!! et le  besoin urgentissime de subventionner le projet « Zaban-e-Salam » de former des professeurs  d’Espéranto afghans !  
 En tous cas on voit qu’en Afghanistan c’est comme en France (en Occident, aux USA ou en Suède  c’est encore pire) : les hommes afghans se sont persuadés que de voir le visage d’une femme c’est  sexuel, et que ce qui est sexuel c’est mal et pervers, alors ils ont honte de les regarder, se tournent  contre le mur et demandent pardon aux autorités (en l’occurrence Dieu ; heureusement, lui,
 pardonne !! ……) en France maintenant c’est pareil: on a intégré aux hommes la honte du désir  sexuel et ils (et d’abord elles) sont persuadés que c’est mal, sale et pervers.

 * « Dirty pretty things » film de Stephen Frears. Excellent film. Grand film. Voilà l’image toute  crachée et précise du monde actuel.

Et pour une fois je crois que Jacqueline aurait aimé…..

Et le rôle principal (Akwe) est quelqu’un de bien. Mieux que la femme, bien sûr, comme toujours.

 

 

 * J’avais acheté le video-disque de « Le vent nous emportera » d’Abbas
Kiarostami (vraiment le cinéma iranien est un des meilleurs du monde en ce moment, avec également ce que j’appellerais le Néo-Réalisme anglais Ken Loach, Stephen Frears, Mike Leigh, etc)

Je l’ai regardé. Que de choses à dire ! que de thèmes à aborder ! Un voici un : contrairement aux  phantasmes que s’entretiennent complaisamment les occidentaux, dans la vie quotidienne de ce  village (en plus village ! donc traditionnel, pas des intellectuels ou des bourgeois occidentalisés) pas
 du tout d’ambiance « lourde » religieusement, pas de puritanisme (peut-être moins que dans la  France actuelle où tout est interdit par « politically correctness »), des sous-entendus grivois entre  hommes et femmes, une attitude sereine et pleine d’assurance chez ces dernières (et pas la  réserve et la peur paranoïaque qu’on constate maintenant en France de leur part !), une convivialité  libre et tranquille comme dans les villages français d’avant-guerre.
 
Et par ailleurs une qualité et une chaleur des rapports humains, une liberté d’aller et venir dans  l’espace public qu’on ne connaît plus en Europe aujourd’hui !

 

 *Janvier 2004   ) Vu « Un Roi sans divertissement » de Giono(le film) ; oui ça mérite d’être classé
 parmi les classiques. Et c’est un chef d’œuvre filmé (par Giono même) de main de maître, tout y est
 pensé savamment jusqu’aux moindres détails.

Le procureur, vers la fin il fait un peu CHEREA (personnage dans le "Caligula" de Camus). « quatre sous de vie, il ne faut pas jouer avec » - ouais !
 bien sûr il a tort. En fait et l’autre film,
le film italien vu il y a quelques mois « Nos années »
* (« i nostri anni ») montre très bien que non seulement quatre sous de vie mais 80 ans
de vie ce n’est RIEN  (n’est-ce pas Jacqueline ?), et pas seulement la vie, mais tout ce dont on
la remplit, y comprit les  valeurs et tout ce pour quoi on se passionne et est prêt à mourir et à
 tuer. Rien du tout. Fini.
 

 

*9/2/2004 Vu « LA FIN DU REGNE ANIMAL » c’est un film horrible. C’est un très beau film.

 C’est un film qui a tout pour devenir un film-culte, auprès de écologistes par exemple.  C’est un film aussi horrible qu’un film qui raconterait Auschwitz.  (Et c’est révèlateur de l’unité foncière du mal, croyez vous qu’il y ait une différence entre les
 gendarmes français (que faisaient ils en 40-45 au fait ? ils ont obéis aux ordres) et les SS ? non,  non, les SS aussi faisaient leur devoir sans état d’âme, c’est pareil, on leur avait dit sur les juifs la  même chose que les autorités vétérinaires, et ils étaient aussi sans âme et impavide devant des  êtres qu’ils ne reconnaissaient pas)

Son titre devrait être en fait « Le triomphe de la mort » et de tous ceux qui sont de sont côté, qui la  propagent, l’imposent en font le culte, sont ses hommes de mains fanatiques et dévoués.

A la fin il ( le héros du film, Noël) s’enferme avec tous les animaux restants du village et se fait bruler  vif avec eux dans sa grange. Après ce qu’il a vu quelques heures avant, et ce qu’il a été amené à faire  (la vieille brebis) ça se comprend. C’est logique.  

Ca n’a rien d’étonnant que cette France se met à voir rouge pour le moindre bout de tissus qui  témoigne que quelqu’un croit en Dieu !
C’est bien l’alliance de Raffarin-Sarkozy-la ligue- d’action- Laïque- les-nouveaux-calotins-de- l’Ordre,  et la société décrite dans « Brave New World » qui est la notre aujourd’hui, la flicaille (la flicaille  éternelle, le seul Internationale imperturbable) les ayatolllahs du Freudisme et du culte de la mort.
 Les bonnes–femmes  de notre époque, ces Anges de la Mort,  qui ont d’ailleurs le physique de  l’emploi: maigres, raides et glacées, toujours tendues , aussi blindées et fermées qu’une Entreprise  moderne, elle ont le même look qu’un tiroir de morgue et contrairement aux chiens, (et même aux  moutons, si l’on en croit le film) elles sont incapables d’aimer qui que ce soit, c’est tout à fait  incompatible.

Enfin, la morale est sauve !…. - la morale de l’athéisme et du matérialisme ! - puisque que tous les  phénomènes bizarres du films ont en fait une explication naturelle !  
Un film désespéré et désespérant.

 

* 26/5/2004 « Printemps, été, automne, hiver, et printemps », c’est un
exposé romanesque de la métaphysique bouddhiste en fait, le karma, le désir, etc. Très didactique en fait. Bref, si au lieu  du  Bouddhisme, si ç’avait été l’Islam que l’auteur aurait ainsi exposé, le film aurait été  "descendu en flammes" par tout le monde, et sa projection aurait été interdite en France, et si  jamais le réalisateur  aurait osé se pointer, il aurait été aussitôt arrêté par la police et expulsé.

 

 *4/5/2004 Baboussia

Ce film – Baboussia – est, je m’en doutais, tout un tableau de la Russie de l’après communisme.
Tout y est, ou beaucoup. Et l ' "éternelle Russie" des forêts et des clairières. Et la belle musique  russe. Et quel contraste entre  les russes modernes : maigres, dures, fermées, pequeneuses ( bref comme les françaises de  maintenant !!) et celles de deux générations avant, les vieilles paysannes, rondes épanouies
 rieuses, toujours des chansons aux lèvres, humaines, tendres et débordantes d’affection, palpable,  réelle («forta palpa kuneco » comme disait Claude Piron) et un cœur en or. La scène la plus sublime  est sans doute celle où lors de la soirée d’adieu dans le village la vieille ( le nom ?, celle qui se  casse la jambe, la mère de l’ivrogne, mais qui a un cœur et du respect pour sa mère et sa tante  quand il est sobre) se blottit contre Baboussia et la caresse tendrement, et le  regard que lui  rend  Baboussia. Et tu te souviens du moment où elle a faillit mourir prostrée sans manger parce que sa  fille était morte, voilà ! elle faisait simplement comme les animaux des histoires, si nombreux ! et pas  seulement des chiens, mais aussi le chat Kout d’Elian Finbert et des oiseaux, etc, qui se laissent  mourir de chagrin, refusent de jouer, bouger, manger, et meurent, c’est ça la façon normale, et
 logique, et lucide, de se comporter quand on est un être humain. Ceux qui survivent ne sont pas des  êtres humains, tout simplement. Et ceux qui trouvent ça bien sont des monstres pervertis. Et des  idéologues de la religion de la mort.

- Ce film, c’est (un peu manichéen ?  non, justifié  tout simplement) la condamnation du mode de vie  moderne et des mentalités qui vont avec. Et dans la Russie postcommuniste c’est encore aggravé  par ces fameux « Nouveaux russes », ceux qui ont compris le capitalisme ! … (et en sont les  victimes, sans s’en rendre compte), en contraste avec la vie au village, encore comme avant.
 

Oui j’ai encore eu la chance de vivre mon enfance à une époque où il y avait encore une France,  dans une vraie maison  un vrai foyer, où il y avait toujours quelqu’un à la maison. Une France  équipée et à visage humain, où il y avait, autour, une VILLE, une vraie, avec des magasins, des  bornes fontaines, tout ce dont on a besoin, mais par contre pas un seul digicode ni caméra de
 vidéo-surveillance
. Une société qui était encore civilisée, des églises où il y avait encore des  gens qui prient, et dont les portes étaient ouvertes !!! des églises avec des sacristains. Des  vitrines décorées pour Noël, et à Noël des chants de Noël à la radio et le reste de l’année PLEIN,  plein de choses de tous genres à la radio. Un pays moderne et encore à visage humain. Une  maison où tous les gens de la ville  venaient y passer leurs commandes aux Galeries Lafayette.
Bon, c'est parce qu’on ne le savait pas, mais en Algérie on commettait autant d’atrocités qu’en Tchétchènie.
 Sans doute il n’y a plus qu’en Inde qu’il y a encore de la civilisation. En Inde et en
Ouzbékistan. Et sans doute aussi en Amérique Latine (coté peuple !)
 
De toutes façons la petite fille « muette » n’a sans doute jamais été incapable de parler, c’était
certainement dans la tête, sans doute au moment du bombardement elle a promis à Dieu de ne plus 
jamais parler si elle s’en sortait vivante, ou bien elle était persuadée que si jamais elle reparlait ses  parents mourraient. Et seule la conscience que si elle ne disait rien Baboussia mourrait lui a donné  la force de sortir du cercle où elle s’était elle-même enfermée.

 

 * date  ? 2005 ? « Uzak » de Nuri Bilga Ceylan : Dans cette Turquie qui ressemble à fond de train à l’Europe occidentale (de maintenant !…) les ramiers et les chats sont les seuls êtres vivants.

Le héro du film aura tout tué. Il a tué la souris, il a tué l’amitié possible avec son compagnon du village, avec qui il n’a cessé de refuser tout rapport humain et qu’il a fait fuir, il a tué son enfant, en le faisant avorter, et dans la séquence la plus forte (non la plus forte c’est la tragédie de la malheureuse souris) du film : la dernière, 20 secondes, il commence à se rendre compte et à regretter.



* 3/07/2005 ULTRANOVA

 Vu « Ultranova » de Bouli Lanners, film belge de 2004. C’est un très bon film, Très artiste et pensé.

 Là aussi c’est encore une fois un sacré résumé de la société contemporaine ! de notre société  détraquée, pervertie et accessoirement déshumanisée par l’âme du Libéral-Fascisme actuel, on y  voit bien le contenu (et les symbolisations matérielles en locaux !) et la perversion, l’absurdité à la  Kafka et le cynisme grotesque à la Ubu, du monde à la W-Bush-Doustes-Blazy !! et le fascisme glacé
 de notre Civilisation de l’Assurance et tout ce qu’elle recèle de stalinisme. (et de déshumanisation  surréaliste, mais ça, malheureusement ça n’est encore que son aspect superficiel, au cœur c’est  encore plus pervers et plus anti-humaniste !
 
Jusqu’à ces immeubles avec leurs placrages de baies vitrées hermétiques en  place de fenêtres,  ces Fleury-Mérogis blindés et digicodés en lieu d’immeubles. Et last but not least ces enterrements  qui sont autant de petits Auschwitz de salon…Tout y pue la société actuelle
 
Et la mort du plus « puant » ( non, le plus puant c’est le capitalistoflic de la benne, et c’est lui aussi le  plus représentatif, à lui seul il résume toute l’idéologie du Régime actuel) de ces personnages est  une sacré trouvaille ! Et comme toujours la mort vient révéler l’absolu néant de toute cette  « civilisation », ces conceptions, ces « valeurs » (boursières ! Enfin, les autres ne durent pas  davantage…)

 Le désappointement final de l’obsédé des femmes enceintes (sans doute encore un, qui a été  largué comme un bout de papier gras par une ex-femme, qui a gardé les gosses, et lui réclame une  pension alimentaire, après lui avoir démoli la vie) a un goût nihiliste de Le Petit Prince de  Saint-Exupéry (bien sûr ! c’est un livre nihiliste Le Petit Prince, vous ne la saviez pas ?!! relisez-le)

 C’est frappant, je me souviens, dès la toute première scène où les deux filles parlent ensemble du  jeune homme, en disant « ah il est toujours seul, il paraît qu’il est orphelin, etc. » mon commentaire  a été immédiatement : elles aussi elles sont seules ! je crois voir de manière palpable une vitre de  verre blindée entre elles-deux, tout à fait. Et la suite n’a fait que confirmer mon impression. En fait les
 seuls personnages qui ne participent pas de ces mentalités délétères et perverties par les  habitudes de vie et d’être modernes ce sont, bien sûr, les deux vieux parents du jeune homme (qui  n’est pas du tout orphelin en réalité), on dirait des martiens débarqués d’une autre planète ! la  planète du monde d’il y a un demi-siècle, du temps où il y avait encore des pays, et une société, et  une vie, et des individus, dans ces pays. Tout ça a été remplacé par la mort, capitaliste et
 politiquement correcte. Moderne quoi…
 
Tu vois comme j’avais raison, et que ce n’était pas des paroles en l’air quand je résumais cette  société actuelle comme le règne de la mort, et de la Secte des Adorateurs de la Mort (ah oui ! il y a  aussi celle qui fait des « cours de psychopédagogie », tout y est !), et pas seulement pour ce qui est  de l’avortement et de l’euthanasie, de l’athéisme obligatoire d’état, et les guerres à W Bush et les
 arbres qu’on abat si compulsivement, et impavidement, avant que ça soit aussi les gens, mais  TOUTE la société actuelle, c’est presque palpable, est une société qui ne révère, ne tolère, et  n’engendre que la mort.

Et, la réalisation est très pensée et très fine jusqu’aux décors; le décors peut-être parle plus que  les gens ; Par exemple ces salles sinistres au possible (à l’image de la société, de ses  institutions, forces, rapports sociaux, idées) aux murs tout nus et tout blancs avec des casiers  (fermant à clé !) des portes à vitres blindées, on dirait une morgue. Pas étonnant que leurs âmes  se mettent à ressembler au lieux où ils vivent, normal ! Habiter dans des gourbis de torchis et de  chaume dans le tiers monde serait moins désagréable, moins inconfortable, et moins pénible !

 
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début/10/2006 DES ROSES POUR LE PROCUREUR

Vu à la télévision le film allemand de 1959 « Des Roses pour le Procureur »

Ce film sur les anciens nazis avec son ton auquel on n’est pas habitué sur ce sujet, malgré son  ton presque guilleret de tragi-comédie et sa musique de cha-cha-cha 1960 est une excellente  dénonciation, qui porte loin, justement hors du mélo facile des films plus récents, mais par  contre les tenants et aboutissants psycho-culturels sont l’air de rien beaucoup mieux mis en  évidence. Et donc ce film sous sa légèreté frappe fort et juste et donne à réfléchir, beaucoup.

Il a raison de ne pas mettre en scène les habituelles grosses brutes fanatiques, mais cet espèce de vil Joseph Prud’homme. (d’autant plus qu’ils sont toujours très nombreux) Les  Joseph Prud’hommes sont beaucoup plus, le film le montre bien, liés aux plus impavides  atrocité, et de manière bien plus dangereuse, que bien d’autres types. La lecture du livre de Zygmunt Bauman - et de nombreux textes actuels .... - aussi permet de le comprendre. Attention ! derrière chaque Joseph Prudhomme se cache un Himmler


Pour le dernier je ne mettrai pas mes propres commentaires mais recopierai des commentaires trouvés sur Internet, ce film est
* BOMBON EL PERRO ( film argentin, filmé en Patagonie)

 

Le destin malheureux de cet homme que tout accable est tout a fait touchant et devant toutes ses rencontres imprévues l'embarrassement dont il fait preuve est poignant . Un très beau moment de cinéma !

Ce film que j'avais vu dans le cadre d'un festival il y a deux ans environ et qui n'était pas connu à l'époque est un véritable enchantement. Je me réjouis de le voir maintenant sorti dans les salles. Le jeu de l'acteur principal est un vrai bonheur ainsi que cette complicité avec Bombon le chien à qui on aimerait attribuer un prix .....

Un petit bonhomme attachant au sourire malicieux, un chien d'une beauté et un coach débrouillard. Un cocktail doux-amer pour une ballade sud américaine authentique.

Wahou ! Quel jeu d'acteur impressionnant ! Ces acteurs non-professionnels n'ont rien a envier aux meilleurs acteurs des super-productions. On se lie d'amitié tout de suite avec Juan, qui joue son rôle a merveille. Le scénario est magnifique, plein de tendresse et d'émotion. A ne pas rater.


C'est l'un des meilleurs films de l'année. Une claque humaniste qui filme avec tendresse l'amour d'un homme pour un chien.Un chien somptueux et qu'on voudrait absolument avoir à côté de soi. C'est un film simple interprété par des acteurs non professionnels...et supérieurs à ces derniers. Pas besoin de claquer des milliards pour faire un grand film. Bonbon el perro est vraiment le meilleur ami du spectateur....


Servi par un jeu d'acteur exceptionnel, tout dans la nuance et les expressions de visage, Bombon el Perro est un film savoureux. le message passe, les acteurs sont touchants et l'humour sur les conditions de vie en argentine n'est pas absent ! Dommage qu'il soit diffusé dans si peu de salles ! Un régal à aller voir d'urgence et à conseiller autour de vous...


Bombo el perro, avec les moyens du bord et des non-acteurs (Juan Villegas, gardien de parking de son état, joue Juan Villegas, employé d’une station service paumée), nous entraîne gaiement dans un véritable voyage philosophique. L’accueil de l’événement est à toute épreuve comme le sourire de Juan Villegas, dont le visage ne se ferme vraiment que devant la violence d’un soir de son associé. Un film en fragments, mais rien d’anecdotique ni de disparate. Plutôt une lente et patiente leçon de générosité teintée de sagesse indienne, souvent prise à tort pour passivité, et une critique sociale et politique discrète mais efficace et fine. Avec ses personnages vrais, à peine des personnages donc, et ses histoires de la vie ordinaire, Bombon el perro parle d’une réalité plus fabuleuse que nos fictions, c’est-à-dire du Monde, qui n’existe, lui aussi, qu’en fragments. Cela le grand cinéma italien, d’un Scola ou d’un Fellini, le cinéma populaire au sens fort du terme, l’avait bien compris

 

 
* 27/2/2005 La Chute

"La Chute". Eh bien l'attitude de Hitler dans les dernières semaines dans son bunker , et encore plus celle d'Eva Braun, est tout à fait comparable et similaire à ce que le catéchisme "psychologiquement correct" appelle la Pensée Positive.......

Eva Braun avant de se suicider, et que son cadavre soit brûlé, s'est mis du rouge à lèvre.

Remarquez, moi j'ai bien mis un bouquet de primevères de mon jardin sur Jacqueline avant qu'on l'emporte .....

04/02/2021

ce genre de sujet devrait mettre 5 millions de français dans la rue tellement c'est grave !

c'est aussi important, et même plus important, que ce qui était en jeu en 40, où sont "les fusils les grenades, la mitraille" ?

Les français sont-ils murs pour la déshumanisation et l'esclavage ?


lien capitaliste de merde : https://www.youtube.com/watch?v=RU_5ahazvVQ

lien libre :

https://ruclip.com/video/RU_5ahazvVQ/florian-philippot-au...

Et il est vraiment lamentable (et révélateur, et ça donne aussi raison à Etienne Chouard au passage) que parmi les hommes politiques il n'y a que lui et Asselineau à garder la conscience des valeurs et à appeler les choses par leur nom (plus Martine Wonner, mais elle est une isolée). En tous cas on voit que la "gauche" est totalement morte, et à reconstruire de zéro, autour de Bernard Friot et des gilets jaunes ça serait bien ! plus Etienne Chouard.

Ce qu'il dit des médias "c'est la logique des choses" bien sûr ! c'est la logique du grand capital, et de la logique de l'argent, c'est la lutte des classes, qui est plus que jamais d'actualité - quoi qu'on die ! -"jamais on n'a subit une telle pression", mais vous ne connaissez pas l'histoire, sous le Second empire c'était pareil, souvenez-vous, j'ai fait un billet là-dessus - de comment on traitait les "marianneux", souvenez-vous de Henri Wallon qui disait "un rouge n'est pas un homme c'est un rouge !"

"dès qu'il s'agit de défendre les intérêts oligarchiques il y a un matraquage terrible," bien sûr ! et physique, et qui ne s'arrête pas làà : en Finlande en 1918 on a génocidé toute la classe ouvrière 40.000 personnes abattues à la mitrailleuse (pour un pays de 4 millions d'habitants) Et quand les intérêts de Big Pharma sont menacés vous savez quand-même le nombre de gens qui ont été  récement éliminés par des morts mystérieuses ....  Et encore ! on connaît les nom des célèbres, mais les autres ? ....

oui, il ne faut oublier (la différence d'avec Asselineau, bourgeois) ses parents -  "mes parents - sont important à sa vocation, or il est d'origine populaire ! et du NORD ! les gens du Nord savent ce que c'est que le peuple et que Résister ! et lui ne s'est pas laisser mouler par HEC et l'ENA, bref serait-ce un "inéduqué et inéducable" comme dit Michel Terestchenko ?

Et à Lille n'est pas né que le Général de Gaulle, mais aussi et surtout  a été composée la musique de l'Internationale ! il reproche à "l'élite" française d'être "anti-peuple" et "méprisante", il est donc de gauche, même si il ne le dit pas textuellement, pour des raisons de contexte et de tactique sans doute.

quand à ces appels aux commerçants restaurateurs cafetiers à braver la loi et ouvrir, il est dit :

Pour ma part, il faut que les commerçants est une certaine audace mais les gens qui voudront rentrer dans ces commerces susceptibles de rester fermés, devront également avoir de l’audace pour y rentrer.... car il me semble que même les clients peuvent être amendés car ils peuvent être reconnu comme des collaborateurs avec les dirigeants des commerces.
Oui, comme en Allemagne nazie, quand ils ont interdit d'aller acheter dans les commerces tenus par des juifs, les allemands qui auraient bien bravé cet interdit n'ont-ils pas été arrêtés?
Et,comme dit un autre commentaire :
les commerçants ont besoin du soutien de la population , il faudrait qu ils ouvrent et que le peuple se poste devant chaque bar et resto et autre commerce ..... pour faire barrière aux policiers ! mais ça c' est sur une autre planète !!!! tant que les français ne seront pas solidaires on ne s'en sortira pas ! peut-être quand ils verront les gens crever ....et encore ...pas sur!!! c'est ça la force de ce gouvernement et de tous les gouvernements fascistes d'hier et d'aujourd'hui ! pas encore assez de réveillés !!!

"et masques enlevés" oui ! surtout ! c'est  ce qu'il faut faire !absolument ! Le Lien :
https://ru-clip.com/video/9YHZd8TGmA0/tirage-appel-%C3%A0...

oui ! voyez vos amis et "Bravi abbracciatevi come eravamo abituati a fare"

24/01/2021

la persécution des fumeurs n'était qu'une "Psy-op" pour tester la capacité de soumission des gens

Pour revenir sur la question que tous se posent devant la diabolisation et l’interdiction du tabac, et de bien d'autres choses  : quel va être le suivant ? qui va prendre la suite dans les plaisirs de la vie destinés à être éradiqués par les « calotins » modernes ?

Je pense que dans la chasse aux traces, aux odeurs, et aux « coupables » révélés par cette traque, ça va être le parfum. Oui les parfums de femmes. Le MLF et tous les bien-pensants vont répéter à satiété, (surtout aux collégiennes bien sûr, comme pour le tabac) que les parfums sont des instruments d’asservissement de LA Femme, que celles qui en portent sont des « femmes soumises », que c’est une « violence » etc., etc. La vente sera d’abord interdite aux mineurs, puis de plus en plus, on va bien entendu en interdire l’usage dans les lieux de travail, et tous les lieux publics (on dira que c’est pour préserver la santé des collègues qui peuvent éventuellement être allergiques), puis on les couvrira d’injures sur les forums Internet où on dira que « ça pue !», que les femmes qui mettent ça sont des « cochons », des « demeurées », etc., et on finira par faire des analyses des traces d’odeurs sur les vêtement, etc., pour établir la preuve que untel en a fait usage. Dans ce cas, une petite différence d’avec le tabac, ce n’est pas elle qu’on enverra en prison, mais son mari, qu’on accusera d’être un « porc machiste » et sur qui on mettra toute la faute. Elle, on lui proposera gentiment de l'"aider" en lui faisant faire une cure de rééducation dans un hopital psychiatrique.
Et bien sûr on lui retirera ses enfants, « pour les protéger ».


On parie ?

 

J'ai gagné !

http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fic...

http://www.lepost.fr/article/2010/03/20/1996667_apres-le-...

(et bien évidemment c'est dans les pays anglo-saxons que ça commence : http://miiraslimake.over-blog.com/article-1550802.html )

et une fois de plus j'avais raison ! http://miiraslimake.over-blog.com/article-637912.html

tu vois dans ce domaine comme dans tous les autres du même genre, les imaginations voltairiennes qui hier encore pouvaient sembler les plus délirantes deviennent en peu de temps réalité. Vous verrez mes autres prédictions, mêmes les plus sinistres vont hélas se réaliser ....

(j'ai écris ça il y a une dizaine d'années, voyez comme j'avais raison hélas !!!)

ça y est ! 2020 vous voyez ! en fait ce matraquage malsain et obsessionnel qu'ils ont fait sur le tabac (pas plus dangereux -  moins en fait  ! -   que bien d'autres choses, mais acte de LIBERTE INDIVIDUELLE,  de SOCIALITE non fliquée, et de PLAISIR était une "psy-op" un TEST POUR VOIR si on allait pouvoir, en tablant sur la PEUR, la PROPAGANDE, et le FLICAGE, dresser les gens de manière totalitaire plus qu'on ne l'avait encore jamais fait. Le résultat a été concluant ! alors ils foncent, Voyez ce qui se passe ....

Pauvres moutons voilà ce que vous avez !  tremblez!!   vous tremblerez bien davantage quand vous verrez ce qu'ils vous réservent !!!

le film crime parfait (version courte, si quelqu'un arrive à trouver un lien NON CENSURé pour aller à la version longue qu'il l'ajoute vite !) https://ruclip.com/video/vmn4c4wlohg/le-crime-parfait-doc...

 

et ici une analyse psychologique du problème et de  comment lutter contre :

cet interview restera une des grands moments de l'histoire de l'humanité - si ! (car nous vivons un moment crucial de l'avenir de l'humanité, en son essence, malheurs à ceux qui ne s'en rendent pas compte, si ceux-là s'avèreront les plus nombreux on est foutus)