29/04/2015
les preuves s'accumulent jour après jour
qu'est-ce que vous direz dans vingt ans à vos enfants, à vos petits enfants, quand ils vous demanderont : "qu'est-ce que tu as fait pour nous sauver de la dictature ?"
Pendant ce temps là en Italie ça commence à bouger http://sans-langue-de-bois.eklablog.fr/l-italie-une-sorti...
et : http://quandcafaithouille.blogspot.fr/2015/04/la-volonte-...
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23/04/2015
Un pays qui fait peur
il y a les infos spécialisés qui font peur
( http://miiraslimake.over-blog.com/article-31184887.html
http://miiraslimake.over-blog.com/article-1227360.html )
Il y a aussi la simple expérience quotidienne des voyageurs, et alors dès avant d'arriver bonjour l'ambiance !
témoignage de quelqu'un qui en revient, extraits :
"Je rentre des USA où j’ai passé 10 jours pour un séminaire à l’université du Michigan.
Quelques impressions américaines que je me permets de vous transmettre car il s’agit de mon premier voyage aux USA à l’âge de 40 ans (avec 25 ans de lecture qui me permettent d’avoir un certain recul).
Je décollais de la République tchèque avec mon unique passeport français, car je suis français de souche mais vivant à Prague.
À l’aller, interrogatoire serré qui dure 15 mn par un International Security Officer issu de la diversité à Londres... mi-asiat’, mi-je-ne-sais-pas-quoi. La même chose en arrivant au Michigan – mais cette fois-ci l’officier est d’origine mexicaine –, avec un recoupement de mes déclarations faites à Londres sept heures avant… En prime de bienvenue, le cadenas de ma valise qui a disparu en arrivant ! Bizarre… Je vérifie le contenu de ma valise, rien ne manque, et rien n’a été ajouté...
Au moins une trentaine de questions, jusqu’à : « Avez vous fait votre service militaire ? » « Qu’est ce que vous venez faire au Michigan ? » « Avez-vous des parents tchèques ? » « Vous voyagez beaucoup... »
...
Mes profs sont des gens assez sérieux, a priori (tous des docteurs avec des CV de dix pages qui ont tous collaboré avec des multinationales et fait du training à Washington), mais tout est du marketing ici. Le prof ne donne pas un cours, c’est la star d’un show TV devant des élèves-spectateurs avec la petite blague qui va bien, et la tape sur l’épaule en fin de cours.
Bizarre, mais le public est conquis. Quant à savoir ce que vaut un PHD (doctorat aux USA), j’ai quand même un peu des doutes. J’ai posé une question à un prof d’économie sur la FED et le renouvellement de son contrat avec l’État US, le type m’a simplement répondu : « Je ne sais pas... » Carton rouge, expulsion du terrain.
Le jour suivant, visite de l’entreprise informatique X dans la banlieue de Lansing. Une ville dans la ville. Un salle de commandement qui est certainement plus grande que celle des Affaires étrangères au Quai d’Orsay ! Au moins 150 opérateurs derrière des desks, un seul black…
Les chauffeurs sont filmés, les camions géolocalisés, tout est enregistré… Le chef du poste de commandement nous glisse dans la discussion qu’ X a des clients prestigieux et travaille aussi pour le gouvernement fédéral (j’ai compris)… et que « l’équilibre travail-vie privée ce n’est pas important quand on est passionné par son travail »...C’était la brainwashing session made in USA [1].
À l’étage au dessous, les employés travaillent dans des cubes de 1,5 mètre carré sans fenêtre et allumés au néon. Un des DRH nous parle de la devise de X : « Have a fun… » Un compatriote présent lui fait comprendre qu’il nous ressort un discours formaté, pour ne pas lui dire qu’il nous prend carrément pour des cons. Le type pour se défendre nous répond : « Mais moi aussi je travaille dans un cube »… (Appareils photos et téléphones portables interdits pendant la visite de X avec passeport exigé à l’entrée et signature la veille d’un contrat de confidentialité). Pas de syndicats bien sur… « Tout le monde est content », selon le DRH.
Le lendemain, visite d’une autre entreprise start-up, Y, avec des jeunes qui se baladent en trottinette dans les couloirs… quand ils ne bouffent pas des pizzas en buvant du Coca, avachis sur leurs bureaux. Entretien avec un executive de la boite. Le Monsieur nous dit : « On prend soin de la santé de nos employés ici. On fait un contrôle complet tous les 6 mois (tension, poids etc.) et on incite les gens à faire du sport. Si l’employé ne respecte pas les consignes médicales il est sanctionné… » Bienvenu aux USA, la plus grande démocratie du monde. Au fait première parole de notre correspondante en arrivant « “Michigan is a non smoking state. [2]” Si vous ne respectez pas la Loi, c’est une amende de 500 $ pour quiconque fumera dans les chambres ou dans un lieu privé ouvert au public. » Avis aux fumeurs dont je ne fais pas partie…
Autre chose : ici les femmes sont à l’honneur partout… L’influence du féminisme est complètement folle
...
Dans la rue, les boutiques et dans les aéroports, on voit clairement que les Noirs font tous les sales boulots, quand ils ne sont pas drogués divaguant dans la rue comme je l’ai vu le soir dans les rues de Lansing.
Des drapeaux et des statues de partout, des gens habillés n’importe comment (j’ai vu la combinaison ballerines et chaussettes de laine), avec, je trouve, une race qui n’est pas belle (je n’ai pas croisé une femme mignonne en dix jours !).
...
Au retour à Prague, je découvre mon cadenas pulvérisé en prenant mon bagage (merci la démocratie américaine again).
Bref, je trouve après ce voyage très instructif, et encore plus débiles, les Français qui bavent sur modèle américain (comme Sarkozy), qui ressemble en fait à un Big Brother d’État « accepté » par tous.
Ils veulent nous imposer ce même modèle en France. Non, je ne veux pas de ce modèle !! Seul coté positif, les gens sont décomplexés, entreprenants, innovants toujours prêts à vous aider. Prenons uniquement ces quatre choses de ce pays car il n’y a rien d’autre à imiter.
En conclusion, les USA c’est du marketing institutionnalisé avec pour cible le citoyen-consommateur, un pays d’hypocrites inspiré par le protestantisme , où tout est condamné mais tout autorisé dans la discrétion… That’s all.
Cordialement,
Charles Martel"
(c'est visiblement un pseudonyme ! le type a peur, de son patron ? de la police tchèque ? du projet INDECT ?)
10/04/2015
Tirer cette partie-là de la gauche de son sommeil dogmatique
la vidéo est longue mais très importante (surtout pour les gens de gauche), vous pouvez passer les présentations, mais surtout pas l'intervention de Lordon.
Si la Grèce se libérant de l'Euro serait un exemple pour tous les autres pays Ce serait ça "le commencement de l'internationalisme réel, de l'internationalisme concret !"
à part ça un rappel : sur la propagande mensongère et interessée des merdias de l'OTAN il y a 20 ans, vous vous souvenez ? la Yougoslavie ? :
Le traitement de la « guerre civile » en Ukraine par nos médias ressemble à s’y méprendre à toutes celles qui ont caché les pires méfaits, comme le Rwanda, le Kosovo, et particulièrement la Serbie que le tri-bunal international vient de reconnaître innocente du crime de génocide. C’est néanmoins par ce pré- texte que les Etats-Unis justifièrent leur intervention en Yougoslavie, après l’acte d’accusation porté par Mme Albright aux Nations Unis. Les crimes commis contre les populations civiles serbes par les forces de l’OTAN ne doivent pas gêner le sommeil de Made- leine, qui, toute honte bue, a jeté son dévolu sur les biens de la Serbie, au profit des affaires financières sombres de la compagnie dont elle est directrice : Al- bright Capital Management. En effet, cette dernière briguait en 2012 le rachat de la compagnie de télé- communications PTK, l’une des entreprises les plus rentables du Kosovo. Pour autant, propriété de droit du gouvernement serbe, ce rachat est purement illé- gal puisque son appropriation par les dirigeants ko- sovars est nulle et non avenue en Droit commercial international. Une violation de la loi qui ne semble pas déranger Mme Albright, ni son entreprise très rentable. C’est par ce même procédé que le fils de Joe Biden, Vice-président des Etats-Unis, s’est retrouvé «bombardé» administrateur de Burisma Holdings, plus important producteur privé de gaz d’Ukraine.
(source : Denisto)
07/04/2015
eh eh ! Varoufakis est conscient du vrai rôle de la dette !
Eh oui il l'a dit, le roi est tout nu, le but de la "dette", aussi bien celles qui étaient artificieusement mises sur les dos des peons du Mexique par leurs padrones (voir les romans de Traven (1), que celles qu'ont manigancées les banques et leurs bras armés, UE par exemple, est de rendre les hommes ou les pays esclaves et soumis à un pompage constant qui les plonge dans la misère, sans défense aucune :
"la dette elle-même, que notre dette est une « variable de contrôle », comme disent les mathématiciens, dans le contexte d'un exercice de « planification » dont l'objectif est de maximiser l'autorité politique sur les nations déficitaires."
http://fr.sputniknews.com/interviews/20150305/1015041455....
(1) en particulier Marŝo en la regnon de l' mahagono (PDF) et http://www.ipernity.com/doc/cezar/3920913
Ici Bernard CHALUMEAU montre qu'on ne peut être de gauche et pour l'Union "Européenne", car celle-ci soumet les Etats (c'est à dire la démocratie, car quelles sont les seules instances qui ont encore une constitution démocratique ? les gouvernements nationaux) aux BANQUES, au pouvoir des financiers et des spéculateurs, en d'autre termes le grand capital, le fameux New World Order,
30/03/2015
LE DROIT À L'EMPLOI : UN CONCEPT JURIDIQUE OU UNE REVENDICATION POLITIQUE ?
le droit à l'emploi était inscrit dans la Constitution française de la 4è république, or la constitution de la 5è SE REFERE au préambule de celle de la 4è. DONC le droit à travail est normalement garanti par la constitution ! Reste à le faire respecter. Juristes, au boulôt !
(Par le Mouvement politique d’émancipation populaire M’PEP) :
Le 12 mars 2015.
Habitant de l’Ille-et-Vilaine, père de deux enfants, cinquantenaire confronté au temps partiel subi et au chômage de longue durée, Jean-Claude Bouthemy partageait le sort devenu banal de nombreux Français. Pourtant, son parcours devint tout à fait singulier quand il se décida à interpeller les partis et syndicats sur son droit constitutionnel d'obtenir un emploi. Il ne trouva aucune oreille attentive et choisit finalement d'emprunter, en solitaire, la voie judiciaire.
(…)
- Pour lire la suite, cliquez ci-dessous :
http://www.m-pep.org/spip.php?article3935
Pour accéder au projet de droit opposable à l’emploi présenté par le M’PEP, cliquez ci-dessous :
http://www.m-pep.org/IMG/pdf/130216_Droit_opposable_emploi_complet.pdf
29/03/2015
"les gens m'ont beaucoup soutenu"
**"Dans une vraie démocratie tout le monde devrait avoir le droit de se présenter seul, sans argent, et tout le monde sur un pied d'égalité" ça n'est pas le cas en Belgique (en France non plus)
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13/03/2015
"c'est assez triste de voir jusqu'où on peut aller"
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07/03/2015
"et ça ? c'est quoi ça ? c'est de la blanquette de veau ?"
à 2 h et 34 minutes
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* En fait toute la conférence est aussi impressionante et éclairante.
Je sais, elle dure 3 heures, profitez qu'on est samedi, aujourd'hui ou demain prenez le temps de la regarder, si vous ne connaissez pas ce sera une révélation.
L'étude Sapir-Murer sur les conséquences de la sortie de l'euro ici : http://www.fondation-res-publica.org/etude-euro/
divers partis qui ont le même programme :RENCONTRE INTERNATIONALE - AU-DELÀ DE L’EURO, CONTRE LES POLITIQUES NÉOLIBÉRALES
C’est à Rome (Italie), les 24 et 25 janvier 2015, que c’est tenue la RENCONTRE INTERNATIONALE - AU-DELÀ DE L’EURO, CONTRE LES POLITIQUES NÉOLIBÉRALES.
Les initiateurs de ces rencontres : M’PEP (France), CSCE (Italie), CEA (Autriche), IU (Espagne)… se sont retrouvés pendant deux jours pour analyser l’évolution de la crise de l’Union européenne, les mobilisations sociales et les perspectives. Cette rencontre venait à la suite des réunions d’Athènes en décembre 2014 et d’Assise en août de la même année. De nouvelles rencontres seront organisées prochainement pour élargir encore le cercle des organisations qui veulent sortir de l’euro, de l’Union européenne, de l’OTAN, reconquérir la souveraineté de chaque nation pour créer les conditions d’une coopération véritable entre les peuples.
- Pour regarder la vidéo du discours de Jacques Nikonoff, porte-parole du M’PEP, cliquez ci-dessous :
http://www.m-pep.org/spip.php?article3916
Pour accéder au compte rendu de cette rencontre, cliquez ci-dessous :
http://www.m-pep.org/spip.php?article3915
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28/02/2015
"il s'agit encore une fois de l'oligarchie financière euro-atlantiste"
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(Un détail au passage sur l'obsession de plus en plus exacerbée (quand nos Régimes libéral-fascistes exacerbent quelque chose, ça a toujours un but plus ou moins pervers, et ça cache toujours quelque chose) pour la fameuse "parité"
parité dans quel domaine au fait ? vieux/jeunes ? riches/pauvres (en voilà une qui serait importante non ?) français de souche/immigrés ? chrétiens/athées ? gros/maigres ? ......
Remarquons donc au passage que le législateur a imposé une parité homme/femme stricte.
Heu ...et la parité patrons/ouvriers ??? (ou proportion correspondant à leurs nombres respectif plutôt !) pourquoi on ne l'impose pas alors !? (surtout quelle n'est pas du tout respectée : dans la précédente législature il n'y avait plus que 2 députés d'origine ouvrière et/ou employés. Et maintenant après le départ de Maxime Gremetz ZERO ! rappelez-moi leur proportion dans la population française ?) Elle est ce me semble nettement plus importante pour la démocratie que la parité homme-femme ! les interêts des hommes ouvriers et ceux des femmes ouvrières ne doivent pas être très différents, de même que ceux des bourgeois de ceux des bourgeoises, par contre les problèmes d'une caissière de supermarché sont très différents de ceux d'une conseillère fiscale ou d'une Directrice de Ressources Humaines ! remarquez les militantes des mouvements "féministes" appartiennent presque toutes à la bourgeoisie, comme par hasard)
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27/01/2015
les aveux de sarkozy
« Il y a eu une improvisation sur le Mali et la Centrafrique. Je ne dis pas qu’il ne fallait pas intervenir, mais je n’ai toujours pas compris ce qu’on allait y faire. Le Mali, c’est du désert, des montagnes et des grottes. Quand je vois le soin que j’ai mis à intervenir en Côte d’Ivoire… On a sorti Laurent Gbagbo, on a installé Alassane Ouattara, sans aucune polémique, sans rien». Nicolas Sarkozy a fait cet aveu de taille lors des nombreux rendez-vous secrets qu’il a eus pendant sa retraite politique de deux ans et demi avec Nathalie Schuck et Frédéric Gerschel pour chroniquer le quinquennat de François Hollande. Des confidences que les deux journalistes français ont consignées dans un livre paru, en novembre 2014, aux éditions Flammarion, sous le titre : « Ça reste entre nous, hein ? Deux ans de confidences de Nicolas Sarkozy ». Et qui dévoile, selon l’éditeur, «un Sarkozy brut de décoffrage, sans le filtre de la communication que les Français détectent et abhorrent».
Les vérités d’un aveu
Nicolas Sarkozy avoue avoir installé Alassane Ouattara en renversant le président Laurent Gbagbo, déclaré élu à l’issue de l’élection présidentielle de novembre 2010, et investi comme tel par le Conseil constitutionnel, l’unique juge des élections en Côte d’Ivoire. Gbagbo a été «sorti» pour qu’Alassane Ouattara soit «installé» comme l’affirme Nicolas Sarkozy, à la page 39 du livre.
La première vérité, c’est qu’il s’agit d’un aveu pur et simple de coup d’Etat. La deuxième vérité dévoilée par cet aveu, c’est que Sarkozy reconnaît l’implication de la France dans le drame ivoirien qui a coûté la vie à des milliers d’enfants, de femmes et d’hommes. La troisième vérité, c’est la raison économique qui a motivé, comme l’indique Nicolas Sarkozy, la barbarie de l’armée française en Côte d’Ivoire. Notre pays étant pour la France, une vache à lait. Dès lors, toutes ses ressources naturelles énormes doivent être contrôlées par la France.
Toutes ces vérités contredisent clairement ce que Nicolas Sarkozy avait toujours brandi comme argument au début de son offensive contre le président Gbagbo dans une affaire de contentieux électoral. A savoir que c’était pour « le respect du choix des Ivoiriens exprimé dans les urnes».
Le choix des Ivoiriens n’était pas Ouattara. Gbagbo qui en était sûr avait demandé le recomptage des voix sous la supervision de la communauté internationale pour voir où se trouvait la vérité. Mais cette démarche démocratique et pacifique avait été catégoriquement récusée par Sarkozy qui a usé de la violence militaire pour installer son poulain, Alassane Ouattara, à la tête de la Côte d’Ivoire.
Robert Krassault ciurbaine@yahoo.fr