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31/03/2017

de tout temps

déjà en ce temps-là ceux qui disaient de choses embêtantes (par exemple qui risquaient de compromettre les positions de classe de certains, et leurs agréables profits ! l'analyse marxiste est et reste toujours un outil de compréhension lumineux et indispensable !) on disait tout de suite d'eux qu'ils étaient des fous, des "conspirationistes", des menteurs, ou (argument ad hominem toujours ! quand on n'a pas d'argument !) des "affreux" qu'on stigmatise ! Et maintenant c'est toujours ce qui arrive à ceux qui disent des vérités que les élites au pouvoir dans la société où ils le disent ne veulent pas qu'elles soient dites. Alors on se garde bien de répondre par des arguments rationnels (eh ! on n'en a pas qui vaille !) on cherche à les faire taire (par tous les moyens) ou à les déconsidérer aux yeux de la foule. regardez ce qui se passe de nos jours sur tel ou tel sujet (il y en a plusieurs, il y en a beaucoup même) et vous verrez les constantes à travers les siècles.

Au travail ! analysez l'actualité, vous verrez ! et vous comprendrez.

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27/02/2017

Macron c'est pareil que Sarko, il gère sa "candidature" comme un produit de marketing !

et cette candidature c'est tout juste un "gadget", vide, un emballage de savonnette destiné à amuser le troupeau, à faire croire au peuple des "mougeons" qu'ils seraient en "démocratie"  et les faire consentir à la continuation du pouvoir des
VRAIS maitres derrière, et de leur VRAI programme pour lesquels on le fait pas choisir ! et pour cause : personne n'en voudrait.

http://actu.orange.fr/france/presidentielle-2017-borloo-l...

 

ce n'est pas la "politique au sens noble du terme" comme dit François Asselineau ! loin de là !!

Vive nous ! vive les justes ! vive Francois, vive l'UPR, vive LA FRANCE! à mort l' "europe", la corruption, le fascisme, les lobbys capitalistes, les collabos et le nouvel ordre mondial de la mondialisation esclavagiste !   Le peuple reste souverain,et portera l'UPR sur ses épaules jusqu'à l'élysée!

18/02/2017

la manipulation des cerveaux


05/02/2017

une citation de Wolinski

une citation que je place souvent maintenant, comme dit Wolinski « avant d’ouvrir une porte il faut l’entrouvrir », et même qu'avant de l’entrouvrir il faut d’abord mettre la main sur la clinche ! (ça c’est le programme de François Asselineau), et même encore avant il faut que quelqu’un aie le courage de dire (cf « le roi est tout nu ») : « on étouffe ici ! Il faudrait que quelqu’un ouvre une porte ! » Ça c’est Viviane Forrester, elle est non seulement humaine (et literaturément talentueuse), mais « historique », la parution de l’Horreur économique devra un jour être commémoré par un monument, ou au moins un titre de paragraphe dans les livres d’histoire.

24/01/2017

le choc des deux droites

22/1/2017 le magasine hyper-bourge « Le Point » titre « le choc des deux gauches » non ! c’est le choc des deux droites, je regrette !
Valls est un réactionnaire de droite c’est clair !
Et Hamon son programme c’est du Giscard de 74, relisez le ! et souvenez-vous de 74,(autre preuve un qui a bien vu ça :http://www.agoravox.tv/actualites/politique/article/benoi...) c’est un programme pour bourgeois bobos post 1968 giscardiens, quand le capital sentait qu’il fallait préparer une nouvelle époque pour le troupeau des travailleurs, et surfait sur les nouvelles idées à la mode, maintenant sanctuarisées et devenus la nouvelle religion (écologie, sécuritarisme, etc). Donc la droite libérale.
Quand au « revenu de base», depuis les projets de la Finlande, et les raisons de ce projet ! depuis le ralliement massif des forces de droite, depuis la critique qu'en a faite Bernard Friot, on sait que c’est une réforme de droite, un outil de lutte de classe patronale, « la roue de secours du capitalisme ».

19/01/2017

les idées justes finissent toujours pas se répandre

"L’euro interdit radicalement toute politique progressiste possible" Frédéric Lordon - INITIATIVE COMMUNISTE

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Nous sommes tous des grecs

d'abords, un rappel contre certains agents d'influence de l'OTAN déguisés en "antifas" : L'UPR est parti le plus démocrate et humaniste qui soit :

 

et puis on passe au morceau de résistance, une interview sur "Radio-Soleil"

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* Et, comme je disais (voir les articles là-dessus en archive) il n'y a pas que l'UPR sur terre, et la prise de conscience gagne de plus en plus, en particulier à gauche, où des partis se rendent de plus en plus compte des tenants et aboutissants,

 

Mais voici aussi un mouvement, qui semble plutôt à droite, en tous cas se réfère à la "spiritualité", et qui arrive lui aussi pourtant aux mêmes conclusions qu'Asselineau : il faut sortir de l'UE, de l'Euro et de l'OTAN, et il met met aussi l'accent sur ce qu'il faut rendre enfin sa souveraineté économique à l'Afrique, victime du néo-colonialisme, et tendre la main à Poutine :

Pour revenir à la gauche, et même la gauche marxiste, voici que les 3 députés au Parlement européen du parti communiste portugais se prononcent pour la sortie de l'euro :

« Rompre avec la logique d'intégration capitaliste européenne » ou « réformer l'Union européenne » : l'alternative dans les partis communistes et la gauche d'alternative en Europe. Si les partis réformistes du PGE comme Die Linke, Syriza poussent à l'accomodement, le PC portugais choisit la rupture.

Ce 29 août, les trois députés européens du PCP ont mis les pieds dans le plat de la remise en question de l'intégration à une Europe « néo-libérale, militariste et anti-démocratique » incarnée par le nouveau président Donald Tusk, rejetée massivement par les peuples

Alors que nombreux sont les partis dans le groupe GUE (Gauche unitaire européenne) prêts à « défendre l'idée européenne », « sauver l'Euro », « réorienter la BCE », le PCP pose la question qui fâche :et si on envisageait de sortir de l'Euro ?

« Préparer la sortie de l'euro et renégocier la dette »

Au cours de cette conférence de presse, les trois députés du PCP – Joao Ferreira, Inés Zuber et le nouvel élu Miguel Viegas – ont fixé une ligne de conduite à porter dans l'enceinte du Parlement européen : « renégocier la dette et préparer la sortie du Portugal de l'euro ».

Le jeune député Joao Ferreira a livré un constat sans appel de l'intégration à la monnaie unique : « Cela fait longtemps que le Portugal souffre d'une intégration à une monnaiedécouplée des conditions réelles de la base productive du pays et de ses besoins sur le plan économique ».

Et la catastrophe de l'intégration à la monnaie unique enfonce le peuple portugais dans la crise, l'austérité insoutenable : « les contraintes identifiées à la soumission du Portugal à la monnaie unique non seulement persistent, mais elles tendent à s'aggraver ».

Pas d'amélioration pour le peuple portugais au sein de l'euro pour le PCP

Ce qui débouche sur une conclusion politique claire : « la question, le PCP se la pose depuis longtemps :existe-t-il une voie pour la reprise économique qui repose sur la défense des conditions de vie des portugais au sein de l'euro ? La réponse est négative ».

Pour les élus communistes, le débat doit donc s'ouvrir au Parlement pour : la dissolution de l'Union économique et monétaire, la fin du Pacte de Stabilité, une renégociation de la dette « devenues insoutenables et impayables » et des « compensations européennes pour les préjudices causés par une sortie négociée de la monnaie unique ».

Car pour Joao Ferreira,« cette exigence de la sortie de l'euro monte de plus en plus, elle doit se faire en lien avec la renégociation de la dette justement pour libérer le pays de cette contrainte ».

Pour le PCP, l' « Union européenne n'est pas réformable »

Cette prise de position publique, collective, révèle une radicalisation du discours du Parti communiste portugais ces derniers mois.

Certes, le PCP a toujours été un fervent critique de l'adhésion du Portugal à la CEE, au Traité de Maastricht, à l'adhésion du pays à la monnaie unique et plus tard au Traité de Lisbonne.

Il a toujours identité l'intégration européenne comme un processus d'asservissement du peuple portugais aux intérêts du capital national et européen, un moyen de casser les acquis sociaux et démocratiques, issus notamment de la Révolution de 1974.

Lors de son dernier congrès, en décembre 2012, le PCP a réaffirmé sa position :l’Union européenne n’est pas réformable, la crise de la zone Euro est la conséquence logique de l’Union économique et monétaire, et de la nature de classe de cette UE.

Le PCP se radicalise : « sortir de l'euro : nécessaire mais pas suffisant »

Toutefois, jusque-là, il s'était montré prudent sur la question du « sortie de l'euro », soulevant d'abord – non sans raisons – les dangers de cette manœuvre dans un pays très dépendant de l'extérieur, les risques d'une dégradation de la situation.

La situation a évolué depuis. La direction du PCP a organisé une grande rencontre le 19 mars 2013 à Lisbonne avec divers économistes du PCP, l'économiste longtemps proche du PS Joao Ferreira do Amaral favorable à la sortie de l'euro, qui a permis de révéler tantla nécessité de cette rupture, que lescomplexes conditions techniquesde sa réalisation.

La synthèse du secrétaire-général du PCP, Jeronimo de Sousa, a alors : (1) – fait le constat de l'incompatibilité entre « maintien dans l'euro » et « politique alternative, de gauche, patriotique, pour les travailleurs », critiquant l'hypocrisie du PS, du Bloc de gauche dans leur « fédéralisme européen outrancier » ; (2) – la déduction que la sortie de l'euro était « nécessaire mais pas suffisante » à cette rupture ; (3) – ce qui pose la question des mesures permettant la rupture avec l'intégration capitaliste, accompagnant cette sortie : re-négociation de la dette mais aussi nationalisation des secteurs stratégiques, dont les banques.

Depuis, le PCP a porté dans la campagne des élections européennes une critique radicale de trente ans d'intégration capitaliste européenne au Portugal, elle a pointé du doigt le rôle de la monnaie unique dans la casse de l'appareil productif national, des droits sociaux des travailleurs, indiqué les responsabilités de la classe dirigeante nationale, dont le Parti socialiste.

Une ligne qui paye face au Bloc de "gauche" pro-européen

Cette ligne de clarté a payé : le Parti communiste portugais dans la coalition de la CDU a obtenu 13 % des voix aux européennes, son meilleur score depuis 20 ans et gagné un troisième député

Dans le même temps, au Portugal le « Bloc de gauche » soutenu par le PGE (partenaire de SYRIZA, Die Linke, du Front de gauche …) a porté la « réforme de l'UE », du « maintien dans l'euro » : les électeurs ont tranché, le « Bloc » a obtenu 4,5 % des voix (contre 11 % en 2009) et perdu deux députés.

Fort heureusement, nos camarades portugais ne sont pas seuls en Europe. Au Parlement européen, les chypriotes d'AKEL posent la question de la sortie de l'Euro, le PTB belge, le KKE grec, le KSCM tchèque remettent en question l'intégration capitaliste européen. Hors du Parlement, les Partis communistes du Luxembourg, d'Irlande, d'Allemagne ou des Pays-bas partagent cette ligne.

Voilà un bel exemple de ce qui différencie les communistes porteurs d'une ligne de rupture avec le capitalisme et l'UE du Capital et la « gauche européenne » d'accompagnement.Que les « bouches s'ouvrent » en Europe notamment grâce aux communistes portugais !

12/01/2017

Kion volas la popolo la kapitalistoj net la ŝtatajn instancoj ne volas

là c'est l'attaque ! la lutte de classe caractérisée ! Mais quand réagirons-nous ??
FMI ekatakas Francion, kiel ĝi faris por Grekio, tio estas la klasbatalo. Kion fari ? unuavice eliri el tiu raktakaptilo :Eŭropunuiĝo kaj Eŭro.
http://www.onsaitcequelonveutquonsache.com/2015/10/le-fmi...



Quand aura lieu la votation populaire sur la sortie de l’UE?
Par Renate Zittmayr le 30 juillet 2015

Entre le 24 juin et le 1er juillet, 261 159 Autrichiens et Autrichiennes ont déposé ouvertement leur nom, leur date de naissance et leur identité auprès de leur mairie en faveur de la sortie de leur pays de l’UE. (Ni kalkulu, estas kvazaŭ 2 milionoj da francoj, aŭ da italoj, estus subskribintaj al tia petskribo !) Cela c’est fait malgré des conditions-cadres extrêmement difficiles: un silence assourdissant de la plupart des médias, malgré l’invitation de tous les journalistes aux 12 conférences de presse organisées au cours des mois précédant l’unique semaine prévue pour le dépôt des signatures; la fixation de la semaine d’inscription par la Ministre de l’Intérieur à la dernière semaine de juin, précisément au moment où de nombreuses familles avec des enfants non encore scolarisés ou ayant terminé leur scolarité et beaucoup de retraités sont déjà partis en vacances à l’étranger; l’interdiction de placer les affiches informant sur les emplacements des locaux d’inscription et des heures d’ouvertures dans les immeubles d’habitation viennois, comme cela fut possible lors de référendums précédents etc.

Aucun parti parlementaire, aucun fond public ou gros sponsor privé n’a soutenu ce référendum. (al kio utilas la partioj ? ĉu ne teorie ili reprezentu la popolon ?) Ce sont plusieurs milliers de «simples» citoyens qui ont financé et accompli l’énorme travail d’envoyer et de distribuer bénévolement à nos concitoyens un total d’environ 900 000 feuilles d’informations et de nombreuses autres documentations en sacrifiant des journées, des semaines ou même des mois de leur temps. De toute évidence, nous n’avons de cette manière et par nos activités sur Internet et les médias sociaux pas pu atteindre une majorité des 6,4 millions d’électeurs autrichiens du pays, si bien qu’au moins un tiers sinon la moitié de ces personnes n’ont pas eu connaissance de ces activités et n’avaient donc aucune idée où et quand on pouvait s’inscrire. Le plus grand scandale a résidé dans le fait que l’Agence de presse autrichienne (APA) n’ait porté aucune attention à ce mouvement populaire. Lors du référendum initié par le gros industriel Hannes Androsch au sujet de la formation, elle a publié et diffusé à tous les médias près de 70 communiqués d’information détaillés pendant plusieurs mois, alors que le référendum pour la sortie de l’UE n’a eu droit qu’à 6 communiqués. Cependant la chaîne télévisuelle ORF a encore battu ce record: N’a-t-elle pas informé sur ce référendum pendant 1,2 heures? Non, ce furent uniquement 1,2 minutes!

Ceci étant dit, il est clair que ce référendum, organisé et mené à bien uniquement par un mouvement populaire, a été un grand succès. Il transmet une mission claire aux partis parlementaires: exiger du gouvernement, lors du débat officiel de cet automne, un engagement ferme d’organiser une votation populaire (ĉar Aŭstrio havas la ŝancon, kiel Svislando, disponi pri popoliniciataj referendumoj) sur la sortie de l’UE selon le texte de ce référendum signé par plus d’un quart de million d’Autrichiens.
Renate Zittmayr, Hofkirchen im Traunkreis (Membre du comité hors-partis du référendum sur la sortie de l’UE)

(Traduction Horizons et débats)

horizons-et-debats.ch/index.php?id=4676

EN FRANCE IL Y A FRANCOIS ASSELINEAU
François Asselineau invité du Grand Forum sur Radio France-Maghreb 2 - Union Populaire Républicaine | UPR

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08/01/2017

une vidéo qui démonte les mensonges et l'ignoble hypocrisie des européistes

elle dure 3 heures mais elle en vaut la peine. Par exemple regardez à 2H 34 ! où vous verrez le degré d'hypocrisie et d'égoïsme de ces fameux européistes qui esayent de vous terroriser pour mieux vous tenir.

"ceux qui veulent faire peur aux français en agitant la menace de la "fermeture des frontières" en cas de sortie de l'UE sont les premiers à construire des frontières d'une extrème cruauté, où des centaines de migrants meurent chaque année"


les larbins n'oublient pas de bien s'applatir devant leurs maîtres : www.upr.fr/communiques-de-presse/association-quebec-franc...

13/12/2016

les habitants d'Alep explosent de joie à la libération de leur ville


des moments historiques, comme à Paris en 44

14/11/2016

la VRAIE raison du programme Linky est .....

ça !

 

Les « justifications » du programme Linky ne sont en réalité que des prétextes qui ne tiennent absolument pas debout : aucune économie d'énergie (au contraire, des abonnements plus chers), aucun besoin pour les énergies renouvelables (l'Allemagne qui les développe bien plus que la France a annulé son programme de compteurs communicants), etc.

Mais alors, quelle est la véritable explication de la mise en place de ce programme ? Elle est illustrée de façon édifiante par une récente interview de Philippe Monloubou, le grand chef d’Enedis. Tout est pratiquement dit dès le titre, qui n’est autre qu’une citation de M. Monloubou :

Pour ce genre de personnages, la comptabilisation de nos consommations n’est plus qu’une activité parfaitement subalterne (qu’ils continueront bien sûr à assurer car elle leur rapporte pas mal d’argent : notre argent). Ce qui les fait vibrer, c’est tout autre chose, c’est la nouvelle guerre mondiale du numérique, celle des données : celle du Big data.

Il s’agit en particulier de créer de gigantesques bases de données dans lesquels nous (anciennement usagers, d’abord rabaissés au rang de clients, et désormais réduits au statut de produits) figurons tous, et qui contiennent d’innombrables données sur nos vie, nos habitudes, nos modes de consommation, nos capacités financières, etc.

Et, précisément, les compteurs communicants vont être les « parfaits » outils d’élaboration de ces bases de données. D’ailleurs, relisez bien la citation de M. Monloubou : est-ce que quelque chose ne vous choque pas ? Regardez bien, ce monsieur ne parle pas de compteurs mais de capteurs.

Tout est dit : pour Enedis, les 35 millions de Linky qui doivent nous êtres imposés (si nous nous laissons faire) ne sont plus des compteurs mais des capteurs : leur véritable justification est bel et bien de capter toutes les informations possibles et imaginables sur nous.

Dès 1948, dans son roman 1984, Orwell prévoyait une société totalitaire capable de surveiller les gens chez eux par l’intermédiaire d’un système vidéo présent dans tous les logements, avec un slogan en forme d’avertissement et de menace : « Big brother is watching you ».

Nous y voilà même si, contrairement à ce qui est prétendu dans une vidéo truquée, le compteur Linky ne possède pas de caméra : il n’en a en réalité pas besoin pour tout savoir sur nous. Orwell avait tout prévu, à un détail près : aujourd’hui, avec Linky, « BIG DATA is watching you ».

 

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