13/06/2014
l'Union "Européenne" n'est pas une idée européenne
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*l'UE est une construction essentiellement anti-démocratique, et conçue comme telle.
Sur le dernier éditorial de "Bastille République Nations"
"Le PDG du « groupe » Airbus écrivait à ses salariés à la veille des élections européennes : « je vous encourage vivement à aller voter pour une Europe démocratique, résiliente, forte politiquement et militairement. »
ouais; mais c'est un mythe ! elle n'a jamais existé, ce qu'on a créé sous couvert de ce mythe c'est une Europe terrain de soumission de l'impérialisme US, camp de concentration capitaliste pour ses habitants, « puissant levier » pour la destruction de toutes les politiques pro-travailleurs, une « assurance-vie contre le socialisme », une construction mafieuse et oligarchique, une étape vers le NWO.
Le FdG et Die Linke qui a fait le même choix avec la même déconvenue …. a pris pour thème l'exigence de « transformer » l'UE. Ce mot d'ordre a été bien compris pour ce qu'il est : un refus de sortir de l'UE – et de l'Euro. Pour dire les choses simplement, entre l' « anti-européisme » et l' « alter-européisme », la colère populaire – particulièrement chez les ouvriers et les jeunes – a tranché, fondamentalement et durablement.
l’UE va de plus en plus évoluer comme une machinerie oppressive et incontrôlable, durcissant son attitude à mesure que la contestation populaire va augmenter
12/06/2014
super Rougeyron !
il ne lui manque qu'une chose, c'est les méthodes d'analyse marxiste - c'est à dire le bon sens même ! - les intérêts de classe et les idéologies et plans qu'elles suscitent, à l'origine, de toute la dérive néo-libérale qu'il décrit et dénonce avec pertinence. Il refuse (quoique l'on sent qu'an fond de lui c'est ce qui le motive, mais il ne veut pas le dire !) la perspective morale; ce qui pourtant doit être l'essentiel pour choisir quels doivent les bons principes pour guider une économie politique.
et pourtant par exemple ce que montre le graphique de la dette, la conclusion est simple : c'est un racket mafieux ! tout simplement. Les financiers sont de voleurs de grand chemins. Ils l'ont toujours été; et la dette est, comme elle l'était déjà entre les peons et padrones méxicains, un instrument intentionnel, de mise en esclavage, tel est le but.
Sans ça, et les ressorts psychologiques des possédants, des prédateurs viscéraux, et des impérialistes, on se demande pourquoi ils ont bien inventé toute cette idéologie néo-libérale et leur rage revancharde contre le peuple et contre l'intérêt général !
Bon, ceci dit, c'est vrai qu'avec Rougeyron on comprend les mécanismes de notre asservissement, et quels sont les principes à rétablir, d'URGENCE ! (d'ailleurs il y a un extrait de François Asselineau, ce qui montre que Rougeyron a compris quel est le chemin, qui peut seul nous sauver)
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23/05/2014
pour comprendre il faut bien décortiquer ce qui s'est réellement passé
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l'Euro est une des éléments de l'entreprise de vassalisation de l'Europe par les Etats-Unis
"L'UPR est le parti qui reprend la Résistance !" Claude Roddier, astrophysicienne, fille d'un responsable de maquis en 40 :
"L'UPR : c'est le parti qui reprend la Résistance !". ces mots prononcés par une personnalité de la Résistance varoise
sonnent comme un nouvel appel du 18 juin.
La situation de la France de 2014 est comparable à celle de 1944.
Le peuple a été trahi par ses représentants
qui ont accepté l'asservissement à une puissance étrangère.
La France comme l'ensemble des nations européennes, (regardez la Grèce !)
se retrouve sous la domination d'une oligarchie capitaliste
animée par une volonté impériale.
La stratégie est la même qu'avec les Indiens d'Amérique,
puis avec les Etats d'Amérique du Nord :
la signature de traités qui seront imposés aux peuples colonisés
sans être jamais respectés par leurs instigateurs.
En France, nous avons eu les traités de Rome,
puis de Maastricht puis de Lisbonne et demain le "TAFTA". ("Grand Marché Transatlantique")
Assez de collaboration, assez de soumission !
La solution c'est de briser l'engrenage en exigeant,
sans ambiguïté, la dénonciation de ces traités infâmes.
L'article 50 du traité de Lisbonne le permet.
Exigeons sa mise en application sans délai.
Tel le but de l'Union Populaire Républicaine... son seul but.
Plus d'infos sur l'UPR : www.upr.fr
Pour en savoir plus sur Mme RODDIER, c'est là :
http://rene.merle.charles.antonin.ove...
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comment sauver la France
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http://europereinformezvous.over-blog.com/
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*dimanche 25 première chose : voter pour les listes UPR
*dans le programme il y a nationalisation des banques; comme disait déjà le Général de Gaulle, en 1945 justement : http://antibanque.blogspot.fr/2011/06/le-general-de-gaull...
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19/05/2014
le critère
que tous les chefs d'Etat (surtout ceux du Tiers-Monde, quoique maintenant je le conseille aussi très fort aussi à ceux d'Europe !) doivent garder à l'esprit :
« Quand les États-Unis sont contents de moi, cela veut dire que je suis sur la mauvaise route. »
(Gamal Abd-el Nasser)
13/05/2014
le terme "populisme" arme de manipulation de classe !
*En une image tout est expliqué ! Je pense que là vous avez compris !
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05/05/2014
c'est une révolution (en fait)
Bien entendu tout ce petit monde n'a rien d'antisémite ! tout ça c'est de la propagande, comme l'accusation de "sorcellerie" au XVIè siècle, la force démocratique d'Internet rend nos maîtres complètement hystériques !
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comme il n'y a plus moyen d'intégrer une vidéo Dailymotion voici un lien :
Tepa - MetaTV versus AFP - Le Clash au Congrés... par metatvofficiel
09/04/2014
chaque jour nous
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*sans l'UE notre dette publique ne serait que de 10% du PIB
Qu'ont-ils fait de notre NON du 29 mai 2005 ?
Heureusement il y a l'article 50 du TUE, vous connaissez ?
et :
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31/03/2014
Oni ne pafas en Jamburg
Je crois qu’avec le temps on s’est aperçu et on s’aperçoit de plus en plus qu’il convient de, comment appeler ça ? banaliser le régime soviétique (et d’ailleurs également le nazisme comme l’ont bien montré les travaux de Sven Lindqvist et de Sygmunt Bauman) , c’est à dire : que les caractéristiques qu’on a vues comme propres à lui, monstrueuses, exceptionnelles, peuvent se retrouver partout, sont des tendances générales et universelles de la psychologie, de l’Etat, et de ses organes, tout cela mutatis mutandis, il suffit que les conditions de manifestation soient suffisamment remplies. (d’ailleurs on a bien vu ces dernières années comme des trucs, autrefois ardemment décriés, de l’URSS ont « déménagé » chez nous, tels que les Rideaux de fils de Fer barbelés aux frontières visant à empêcher des migrations économiques jugées indésirables par l’Etat, ou la surveillance des gens par des caméras !) Ainsi donc, par exemple, si on prend le type de discours, et de comportement, des agents du KGB (comme par exemple on les voit à l’œuvre dans le roman de Mikaelo Bronŝtejn « Oni ne pafas en Jamburg »), et toute leur sournoiserie puante, leurs tons bénins et cauteleux, leur hypocrisie venimeuse, n’a rien d’exceptionnel ni de propre à l’URSS, mais se retrouve dans tous les corps similaires, tels dans le monde actuel les flics et les flics sociaux, surtout ces derniers, car comme il s’agissait d’une Police de la Pensée, et du comportement, et d’une chasse à tout ce qui ne rentre pas dans les normes édictées par l’Etat, ça se retrouve beaucoup plus dans toute la flicaille sociale que dans la police judiciaire traditionnelle.
"La police n'a rien à voir avec la liberté. Sa raison d'être ? Saisir, courir, ruser,
terroriser, forcer. Ni l'origine, ni l'aboutissement ne la concernent. Un déclic met
l'appareil en marche, et il va prêt à broyer. [...] Le bon policier est celui qui ne se pose
pas de questions (1) embarrassantes, le chien de chasse qui bondit après tout ce qui fuit." (Bernard Charbonneau, in "L'Etat" 1949)
(1) pensez à l'analyse de Zygmunt Bauman dans "Holocauste et modernité"
Dans son très interessant blog Ouistiti, Pirouette et Saperlipopette , l'impression dominante d'une française qui a vécu aux USA (actuels): "quand j’ai démenagé en 1996 pour la première fois dans la baie de San Francisco, j’ai eu beaucoup de mal à me faire à ce pays, je me croyais chez les communistes tant je trouvais qu’ils étaient contrôlés et surveillés"
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10/03/2014
le jargon de nos prédateurs - typique !
Recension parue dans Bastille-République-Nations du 17/09/12
sous la plume de François Asselineau
( une de ses conférences : http://www.youtube.com/watch?v=jXjnlLRM8LY )
Lorsque les censures des pouvoirs autocratiques de l’Europe d’Ancien Régime se faisaient trop pressantes, certains essayistes contournaient le problème en publiant des pamphlets codés ou des romans à clé.
Ils les présentaient comme des lettres faussement naïves écrites par des étrangers (L'espion Turc de Cotolendi ou Les Lettres Persanes de Montesquieu, parues en 1721) ; ou bien ils les situaient dans un monde imaginaire (Les Voyages de Gulliver, de Jonathan Swift) ; ou bien encore, ils les situaient dans un futur imaginaire. Ce dernier procédé rhétorique fut par exemple utilisé, en 1771, par le Français Louis-Sébastien Mercier, dans son livre L'an deux mille quatre cent quarante. Rêve s'il en fût jamais. Dans ce tout premier roman d’anticipation dont le retentissement s’étendit à toute l’Europe, Mercier imaginait qu’il s’endormait pour se réveiller 669 ans après, en l’an 2440. Ce qu’il y découvrait avait de quoi mettre le vieux Louis XV en pétard : la monarchie était devenue constitutionnelle, Versailles était tombé en ruines, et l’impôt, désormais volontaire, ne dépassait pas les 2% des revenus. Détail ravageur puisqu’en 1771, le monarque français venait de sanctionner la Cour des Aides qui avait osé critiquer la levée de nouveaux impôts. Lesquels visaient (déjà !) à lutter contre le déficit budgétaire.
En cette fin 2012, cette belle tradition pamphlétaire vient de s’orner d’un nouveau petit bijou signé Pierre Lévy. Dans L’Insurrection, l’auteur nous emmène non pas en 2440, mais plus modestement en 2022. C'est un roman d’anticipation politique, un peu à la manière de Mercier. Mais son contenu a de quoi provoquer, chez Jacques Delors, Nicolas Sarkozy ou François Chérèque, un trouble de l’humeur à côté duquel la colère de Louis XV devant le pamphlet de Mercier ferait figure de légère irritation.
Au gré des pages de ce roman qui se lit d’une traite, s’égrènent impitoyablement toutes les idées reçues européistes, toutes les niaiseries médiatiques, toutes les imitations américanolâtres, et tout le catéchisme ultralibéral de notre époque. Le narrateur nous y décrit, dans un style d’une candeur désarmante, un univers de bisounours décervelés qui portent tous des prénoms américains (Dylan, Samantha, Cindy, Jordan, Steven…), et dont l’horizon conceptuel est strictement borné à la pensée de Bernard-Henri Lévy et de Laurence Parisot. Il y est question d’interventions militaires aux quatre coins du globe pour y protéger la liberté du commerce et la légitime rentabilité des entreprises.
Dans ce monde où la France a été dépecée et fusionnée dans une « Communauté euro-atlantique des Valeurs » (CEAV), tout ou presque a été privatisé, y compris la justice, certaines municipalités et des États entiers. Mais l’inhumanité atroce et la violence des rapports sociaux qui en découlent sont systématiquement occultées par un discours lénifiant et des antiphrases orwelliennes.
Sous la réserve qu’un taux de suicide minimum parmi les salariés de chaque entreprise permette de rassurer les actionnaires sur la recherche de la rentabilité optimale, on y chante donc la transparence, la gouvernance, la stabilité, la tolérance, la compétitivité, la biodiversité, la solidarité, la rentabilité et l'on en passe. Tous ces concepts doivent aussi être étiquetés : globaux, solidaires, harmonieux, citoyens, innovants, équitables, renouvelables, soutenables, responsables, durables, etc. Et le discours public consiste à marier toutes les combinaisons possibles entre ces substantifs et ces adjectifs politiquement corrects. On pourra ainsi, au choix, militer pour une « biodiversité équitable », une « tolérance solidaire », une « stabilité globale », une « gouvernance citoyenne », etc. En 2022, la pensée politique a ainsi disparu pour laisser la place à un jeu de « cadavres exquis » digne des surréalistes.
Page après page, le lecteur est également joyeusement noyé sous les tartufferies de notre époque, tels le « recyclage citoyen », les « expérimentations innovantes », la nécessité « d’assouplir les retraites », de « moderniser le droit de grève » ou de « faire respirer les rapports entre salariés et employeurs ». Tous ces euphémismes ayant toujours le même objectif – celui des « réformes indispensables » – que nous ne connaissons que trop bien : encore et toujours, détruire tous les acquis sociaux.
Dans la foulée, la plume de Pierre Lévy souligne implacablement les ridicules de la discrimination positive et du communautarisme, nous informe de l’invention du « crime contre la stabilité économique » justiciable d’un nouveau Tribunal de la Haye, nous explique pourquoi il a été décidé de substituer les sondages aux élections, et nous montre comment tous les opposants à cet univers sont disqualifiés par la simple apposition d’épithètes méprisantes (« intégristes de l’État de droit », « intégristes de la laïcité », « intégristes des acquis sociaux », « populistes », « archaïques », etc.). Comme le dit son narrateur dans un élan de « pédagogie », de toute façon, « il n'y a pas le choix ».
Déjà implacable, la plume de l’auteur devient carrément cruelle pour dépeindre, par quelques formules exquisément assassines, la façon éhontée dont des responsables syndicaux trahissent ceux qui leur font confiance.
Ces syndicalistes jaunes, qui approuvent en catimini toutes les mesures de régression sociale, ne se battent, pour la galerie, que sur des modalités d’application ridicules. Tel syndicat, par exemple, « exige » que les licenciements minutes soient notifiés au salarié par courriel et pas seulement par SMS… Une association féministe, quant à elle, « exige » que les licenciements touchent équitablement les hommes et les femmes. Et tout ce beau monde tombe d'accord pour que la grève « modernisée » se limite à une inscription sur le site Internet « jesuisengreve.com », étant entendu que le « gréviste » continue à travailler pour ne pas mettre en péril l’équilibre financier de l’entreprise.
Devant un tel torrent d’idées percutantes et de dénonciations qui font mouche, on regrettera peut-être certains passages un peu trop appuyés, ou des clins d’œil parfois trop explicites. La nostalgie affichée pour l’Allemagne de l’Est ne convaincra sans doute pas tous les lecteurs. Et d’autres feront peut-être la moue devant quelques jeux de mots qui frisent la plaisanterie de potache.
Mais j’avoue que je n’ai pas pu m’empêcher de rire souvent devant cet intarissable feu d’artifice de calembours, dont Pierre Lévy nous prouve une nouvelle fois qu’il en est un maître incontesté. Pour n’en citer qu’une poignée parmi des dizaines, le conseil d'un père à son rejeton né des amours éphémères d’un couple de traders : « tu seras un gnome, mon fils » ; l’agence de communication « Triple Buzz » ; le projet « d’érection des Maisons de la Tolérance » ; ou les limites de négociations atteintes lorsque la Commission de Bruxelles a « épuisé ses quotas de prêche ». Je laisse le lecteur faire la compilation de tous les autres, notamment de ceux que « la décence m’interdit de préciser davantage », comme disait le regretté Pierre Dac.
Ce monde de 2022 est aussi peuplé d’organisations dont les acronymes, plus burlesques les uns que les autres, invitent à en rechercher le sens caché, toujours drolatique et souvent plein de sel : l’AISE, la FAUST, l’EPEG, les CCTV, la FEU, l’OCU, le FÉE, le MAM, le HCSIG, etc., avec une mention spéciale pour le Fonds EELV (Ethnic Equity / Loyal View) qui rachète la Corse et le Pays basque.
Lorsque l’on referme cet ouvrage, qui se conclut de façon très enlevée par deux coups de théâtre successifs, on se dit que l’on n’a pas perdu son temps. Non seulement on a pu rire de bon cœur devant ce spectaculaire « chamboule-tout », mais l'on sent aussi que derrière cette jubilation se cache une immense colère contenue. L’arme de la dérision se révèle spécialement efficace pour démasquer cet affreux mélange de tyrannie et de bonne conscience, qui est d'ores et déjà le monde enchanté de l’Union européenne.
Armé de cet excellent pamphlet, il nous appartient de tous nous mobiliser pour hâter la nécrose de cet univers qu'il nous laisse entrevoir. Une nécrose qui a déjà largement commencé.
FRANCOIS ASSELINEAU
Un autre "OUTIL" très important pour museler la contestation du peuple c'est - devinez ! - Le Front National, le méchant de service, utile pour toutes les manips :
Crève sale linux !
http://www.youtube.com/watch?v=6B_cX5Useq4
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