11/04/2017
sa popularité auprès de "la France d'en bas" est telle que plein de gens bricolent des vidéos pour appeler à voter pour lui, exemple
eh oui ! bien raisonné : le système le déteste, alors c'est un bon signe, signe qu'il dit la vérité !
et qu'il est pour le peuple !
et pour montrer la diversité de ses fans, et qu'ils représentent toute la France, dans sa diversité, tous les âges, toutes les origines, tous les styles, après le "beur" en colère d'en-haut voici ci-dessous, une minaudière vieille dame :
et toujours Asselineau avec le poids des arguments
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10/04/2017
quelques jours avant sa mort, un aveu
Les médias français ont « oublié » de mentionner certaines déclarations de Michel Rocard, auquel nous rendons hommage ici, non pour son oeuvre de destruction de la “1° Gauche” dans un premier temps, puis de la France, par sa soumission et sa complicité avec le nouvel ordre mondial, mais pour ses quelques moments de lucidité et d'honnêteté, que certains attribueront à un cynisme exacerbé, et d'autres, plus cléments, à un début de repentence, qui sait, d'un homme en fin de parcours. Rappelons que quelques jours avant sa mort, Michel Rocard se félicitait d'un éventuel Brexit...
Les déclarations « oubliées » furent faites l'an dernier à la Réunion. et ne furent bien évidemment pas passées en boucle dans les médias.
L'extrait retranscrit ici est disponible sur la vidéo dont voici le lien:
Journaliste: « on a l'impression que l'homme politique ne sert plus à rien! »
Réponse de M. Rocard: « ça fait longtemps que l'homme politique a perdu le pouvoir au profit des grandes banques; le consortium des grandes banques systémiques a pris le commandement de la planète sur l'organisation financière, résultat, la crise, 2°, tous les hommes politiques et tous les gouvernements savent qu'un grand projet d'importantes réformes ne peut passer que si les directeurs d'antenne des grands journaux de 20h à la télévision sont d'accord avec. Si les rédacteurs et les directeurs d'antenne combattent ce projet de réformes, il ne passera plus, terminé. »
C'est ce système pervers qu'il nous fait abattre, sans pitié ! (sinon on est foutus, à jamais)
On voit là que la lutte des classes est plus d'actualité, et plus centrale que jamais.
Et pour commencer il nous faut en avril et mai 2017 élire François Asselineau et sortir de l'UE, l'Euro et l'OTAN
08/04/2017
une interview magistrale
Asselineau c'est vraiment une autre pointure que tous les autres !
(Et un vrai humaniste en plus)
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07/04/2017
la nature du capitalisme dévoilée
pour visionner la vidéo il faut cliquer sur le rectangle rouge, puis sur la flèche qui apparaîtra au milieu de l'écran
http://www.blueman.name/Des_Videos_Remarquables.php?NumVideo=6824
31/03/2017
de tout temps
déjà en ce temps-là ceux qui disaient de choses embêtantes (par exemple qui risquaient de compromettre les positions de classe de certains, et leurs agréables profits ! l'analyse marxiste est et reste toujours un outil de compréhension lumineux et indispensable !) on disait tout de suite d'eux qu'ils étaient des fous, des "conspirationistes", des menteurs, ou (argument ad hominem toujours ! quand on n'a pas d'argument !) des "affreux" qu'on stigmatise ! Et maintenant c'est toujours ce qui arrive à ceux qui disent des vérités que les élites au pouvoir dans la société où ils le disent ne veulent pas qu'elles soient dites. Alors on se garde bien de répondre par des arguments rationnels (eh ! on n'en a pas qui vaille !) on cherche à les faire taire (par tous les moyens) ou à les déconsidérer aux yeux de la foule. regardez ce qui se passe de nos jours sur tel ou tel sujet (il y en a plusieurs, il y en a beaucoup même) et vous verrez les constantes à travers les siècles.
Au travail ! analysez l'actualité, vous verrez ! et vous comprendrez.
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27/02/2017
Macron c'est pareil que Sarko, il gère sa "candidature" comme un produit de marketing !
et cette candidature c'est tout juste un "gadget", vide, un emballage de savonnette destiné à amuser le troupeau, à faire croire au peuple des "mougeons" qu'ils seraient en "démocratie" et les faire consentir à la continuation du pouvoir des
VRAIS maitres derrière, et de leur VRAI programme pour lesquels on le fait pas choisir ! et pour cause : personne n'en voudrait.
http://actu.orange.fr/france/presidentielle-2017-borloo-l...
ce n'est pas la "politique au sens noble du terme" comme dit François Asselineau ! loin de là !!
Vive nous ! vive les justes ! vive Francois, vive l'UPR, vive LA FRANCE! à mort l' "europe", la corruption, le fascisme, les lobbys capitalistes, les collabos et le nouvel ordre mondial de la mondialisation esclavagiste ! Le peuple reste souverain,et portera l'UPR sur ses épaules jusqu'à l'élysée!
18/02/2017
la manipulation des cerveaux
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05/02/2017
une citation de Wolinski
une citation que je place souvent maintenant, comme dit Wolinski « avant d’ouvrir une porte il faut l’entrouvrir », et même qu'avant de l’entrouvrir il faut d’abord mettre la main sur la clinche ! (ça c’est le programme de François Asselineau), et même encore avant il faut que quelqu’un aie le courage de dire (cf « le roi est tout nu ») : « on étouffe ici ! Il faudrait que quelqu’un ouvre une porte ! » Ça c’est Viviane Forrester, elle est non seulement humaine (et literaturément talentueuse), mais « historique », la parution de l’Horreur économique devra un jour être commémoré par un monument, ou au moins un titre de paragraphe dans les livres d’histoire.
24/01/2017
le choc des deux droites
22/1/2017 le magasine hyper-bourge « Le Point » titre « le choc des deux gauches » non ! c’est le choc des deux droites, je regrette !
Valls est un réactionnaire de droite c’est clair !
Et Hamon son programme c’est du Giscard de 74, relisez le ! et souvenez-vous de 74,(autre preuve un qui a bien vu ça :http://www.agoravox.tv/actualites/politique/article/benoi...) c’est un programme pour bourgeois bobos post 1968 giscardiens, quand le capital sentait qu’il fallait préparer une nouvelle époque pour le troupeau des travailleurs, et surfait sur les nouvelles idées à la mode, maintenant sanctuarisées et devenus la nouvelle religion (écologie, sécuritarisme, etc). Donc la droite libérale.
Quand au « revenu de base», depuis les projets de la Finlande, et les raisons de ce projet ! depuis le ralliement massif des forces de droite, depuis la critique qu'en a faite Bernard Friot, on sait que c’est une réforme de droite, un outil de lutte de classe patronale, « la roue de secours du capitalisme ».
19/01/2017
les idées justes finissent toujours pas se répandre
Nous sommes tous des grecs
d'abords, un rappel contre certains agents d'influence de l'OTAN déguisés en "antifas" : L'UPR est parti le plus démocrate et humaniste qui soit :
et puis on passe au morceau de résistance, une interview sur "Radio-Soleil"
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* Et, comme je disais (voir les articles là-dessus en archive) il n'y a pas que l'UPR sur terre, et la prise de conscience gagne de plus en plus, en particulier à gauche, où des partis se rendent de plus en plus compte des tenants et aboutissants,
Mais voici aussi un mouvement, qui semble plutôt à droite, en tous cas se réfère à la "spiritualité", et qui arrive lui aussi pourtant aux mêmes conclusions qu'Asselineau : il faut sortir de l'UE, de l'Euro et de l'OTAN, et il met met aussi l'accent sur ce qu'il faut rendre enfin sa souveraineté économique à l'Afrique, victime du néo-colonialisme, et tendre la main à Poutine :
Pour revenir à la gauche, et même la gauche marxiste, voici que les 3 députés au Parlement européen du parti communiste portugais se prononcent pour la sortie de l'euro :
« Rompre avec la logique d'intégration capitaliste européenne » ou « réformer l'Union européenne » : l'alternative dans les partis communistes et la gauche d'alternative en Europe. Si les partis réformistes du PGE comme Die Linke, Syriza poussent à l'accomodement, le PC portugais choisit la rupture.
Ce 29 août, les trois députés européens du PCP ont mis les pieds dans le plat de la remise en question de l'intégration à une Europe « néo-libérale, militariste et anti-démocratique » incarnée par le nouveau président Donald Tusk, rejetée massivement par les peuples
Alors que nombreux sont les partis dans le groupe GUE (Gauche unitaire européenne) prêts à « défendre l'idée européenne », « sauver l'Euro », « réorienter la BCE », le PCP pose la question qui fâche :et si on envisageait de sortir de l'Euro ?
« Préparer la sortie de l'euro et renégocier la dette »
Au cours de cette conférence de presse, les trois députés du PCP – Joao Ferreira, Inés Zuber et le nouvel élu Miguel Viegas – ont fixé une ligne de conduite à porter dans l'enceinte du Parlement européen : « renégocier la dette et préparer la sortie du Portugal de l'euro ».
Le jeune député Joao Ferreira a livré un constat sans appel de l'intégration à la monnaie unique : « Cela fait longtemps que le Portugal souffre d'une intégration à une monnaiedécouplée des conditions réelles de la base productive du pays et de ses besoins sur le plan économique ».
Et la catastrophe de l'intégration à la monnaie unique enfonce le peuple portugais dans la crise, l'austérité insoutenable : « les contraintes identifiées à la soumission du Portugal à la monnaie unique non seulement persistent, mais elles tendent à s'aggraver ».
Pas d'amélioration pour le peuple portugais au sein de l'euro pour le PCP
Ce qui débouche sur une conclusion politique claire : « la question, le PCP se la pose depuis longtemps :existe-t-il une voie pour la reprise économique qui repose sur la défense des conditions de vie des portugais au sein de l'euro ? La réponse est négative ».
Pour les élus communistes, le débat doit donc s'ouvrir au Parlement pour : la dissolution de l'Union économique et monétaire, la fin du Pacte de Stabilité, une renégociation de la dette « devenues insoutenables et impayables » et des « compensations européennes pour les préjudices causés par une sortie négociée de la monnaie unique ».
Car pour Joao Ferreira,« cette exigence de la sortie de l'euro monte de plus en plus, elle doit se faire en lien avec la renégociation de la dette justement pour libérer le pays de cette contrainte ».
Pour le PCP, l' « Union européenne n'est pas réformable »
Cette prise de position publique, collective, révèle une radicalisation du discours du Parti communiste portugais ces derniers mois.
Certes, le PCP a toujours été un fervent critique de l'adhésion du Portugal à la CEE, au Traité de Maastricht, à l'adhésion du pays à la monnaie unique et plus tard au Traité de Lisbonne.
Il a toujours identité l'intégration européenne comme un processus d'asservissement du peuple portugais aux intérêts du capital national et européen, un moyen de casser les acquis sociaux et démocratiques, issus notamment de la Révolution de 1974.
Lors de son dernier congrès, en décembre 2012, le PCP a réaffirmé sa position :l’Union européenne n’est pas réformable, la crise de la zone Euro est la conséquence logique de l’Union économique et monétaire, et de la nature de classe de cette UE.
Le PCP se radicalise : « sortir de l'euro : nécessaire mais pas suffisant »
Toutefois, jusque-là, il s'était montré prudent sur la question du « sortie de l'euro », soulevant d'abord – non sans raisons – les dangers de cette manœuvre dans un pays très dépendant de l'extérieur, les risques d'une dégradation de la situation.
La situation a évolué depuis. La direction du PCP a organisé une grande rencontre le 19 mars 2013 à Lisbonne avec divers économistes du PCP, l'économiste longtemps proche du PS Joao Ferreira do Amaral favorable à la sortie de l'euro, qui a permis de révéler tantla nécessité de cette rupture, que lescomplexes conditions techniquesde sa réalisation.
La synthèse du secrétaire-général du PCP, Jeronimo de Sousa, a alors : (1) – fait le constat de l'incompatibilité entre « maintien dans l'euro » et « politique alternative, de gauche, patriotique, pour les travailleurs », critiquant l'hypocrisie du PS, du Bloc de gauche dans leur « fédéralisme européen outrancier » ; (2) – la déduction que la sortie de l'euro était « nécessaire mais pas suffisante » à cette rupture ; (3) – ce qui pose la question des mesures permettant la rupture avec l'intégration capitaliste, accompagnant cette sortie : re-négociation de la dette mais aussi nationalisation des secteurs stratégiques, dont les banques.
Depuis, le PCP a porté dans la campagne des élections européennes une critique radicale de trente ans d'intégration capitaliste européenne au Portugal, elle a pointé du doigt le rôle de la monnaie unique dans la casse de l'appareil productif national, des droits sociaux des travailleurs, indiqué les responsabilités de la classe dirigeante nationale, dont le Parti socialiste.
Une ligne qui paye face au Bloc de "gauche" pro-européen
Cette ligne de clarté a payé : le Parti communiste portugais dans la coalition de la CDU a obtenu 13 % des voix aux européennes, son meilleur score depuis 20 ans et gagné un troisième député
Dans le même temps, au Portugal le « Bloc de gauche » soutenu par le PGE (partenaire de SYRIZA, Die Linke, du Front de gauche …) a porté la « réforme de l'UE », du « maintien dans l'euro » : les électeurs ont tranché, le « Bloc » a obtenu 4,5 % des voix (contre 11 % en 2009) et perdu deux députés.
Fort heureusement, nos camarades portugais ne sont pas seuls en Europe. Au Parlement européen, les chypriotes d'AKEL posent la question de la sortie de l'Euro, le PTB belge, le KKE grec, le KSCM tchèque remettent en question l'intégration capitaliste européen. Hors du Parlement, les Partis communistes du Luxembourg, d'Irlande, d'Allemagne ou des Pays-bas partagent cette ligne.
Voilà un bel exemple de ce qui différencie les communistes porteurs d'une ligne de rupture avec le capitalisme et l'UE du Capital et la « gauche européenne » d'accompagnement.Que les « bouches s'ouvrent » en Europe notamment grâce aux communistes portugais !