13/06/2015
une vraie résistante
alsacienne, fille de communistes, petite-fille de juive-manouche, épouse de tunisien, pacifiste, écologiste, amie de Kadhafi.
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09/06/2015
la dictature qui vient
Source http://rt.com/news/terrorism-credit-cards-government-613/
Payer en liquide est suspicieux… Le Big Brother américain nous dit comment reconnaître les citoyens terroristes.
Possédez-vous une lampe torche ? Ou payez-vous en espèce vos achats au lieu de payer avec une carte de crédit ? Je le fais, systématiquement. Faites-vous vos courses pour la semaine ? et bien voici la nouvelle : d’après le département de la sécurité de la patrie (NdT: Department of Homeland Security ou DHS, la Stasi ou Securitate américaine renforcée sous Bush, consolidée sous Obama…) et le FBI, ceci pourrait bien faire de nous des terroristes.
Récemment une vidéo du DHS a abondamment circulé sur la toile; cette vidéo dit aux gens de manière non équivoque que “payer en espèces est suspicieux et bizarre.” Avec une voix calme et assurée, le narrateur explique à l’audience que “si un client apparaît nerveux ou anxieux, ou insiste pour payer en liquide, contactez les agents de sécurité, car cela EST une attitude suspicieuse.”
Donc il en découle, que si vous avez eu une journée stressante et n’avez pas de carte de crédit, vous êtes bon pour la romaine.
Cette suggestion, ainsi que bien d’autres, a été envoyée aux hotels à travers les Etats-Unis comme partie intégrante de la campagne actuelle du DHS “Vous voyez quelque chose, dites quelque chose”. Cela inclut même un manuel de 84 pages, pompeusement titré “Guide des mesures de protection pour l’industrie de l’hôtellerie américaine”, qui stipule entr’autre que demander une certaine intimité est suspicieux et alarmant.
Et cela est vraiment ce pour quoi tout cela est fait: une guerre contre la vie privée et l’intimité. Un terroriste potentiel, argumente le DHS, est bien plus facile à tracer s’il utilise une carte de credit. Une carte de crédit donne à Big Brother un accès quasi immédiat aux informations de contact de l’acheteur, son historique d’achats, et si besoin est, la capacité de couper sa source financière en un instant.
Mais l’application de cette idée est en fait un noir projet: au lieu d’utiliser un système de contrôle déjà existant pour les aider dans leurs tâches, les agences comme le DHS et le FBI suppriment de facto la liberté de choix garantie dans un pays supposé libre.
Vous ne voulez pas vivre à crédit ? Vous êtes un terroriste potentiel. Nerveux ? Vous êtes un terroriste potentiel. Vous ne voulez pas être dérangé ? Vous êtes un terroriste potentiel.
C'est pas tout; dans une brochure du FBI distribuée aux grossistes et maisons de surplus, les gens “qui font des achats en gros incluant des munitions tous temps ou des containers d’allumettes, des repas tous préparés ou des outils de vision nocturne y compris les lampes torches” doivent être dénoncés, parce que toutes ces marchandises sont “des indicateurs d’activité terroristes potentielles.”
(ça vous rappelle pas certains pays, certaines époques, tout ça ?)
et dans les transports aussi ! http://rt.com/usa/tsa-ground-security-transportation-555/
MAINTENANT ILS REPRENNENT CARRèMENT LE VOCABULAIRE ET LE COMPORTENENT DE L'ALLEMAGNE HITLERIENNE : http://www.legrandsoir.info/la-criminalisation-de-la-dissidence-politique-aux-etats-unis.html
Et imposé dans les médicaments ? le totalitarisme ultime : http://stopmensonges.com/des-micro-puces-rfid-bientot-int...
Quant aux terroristes (les vrais, et les faux ! ...) sont les meilleurs amis de Big Brother, car c'est alibi idéal pour instaurer l'horreur totalitaire :
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04/06/2015
l'espoir d'un mode meilleur, qui était celui du Donbass
Ici chacun sait ce qu’il veut, ce qu’il fait quand il passe.
Ami, si tu tombes un ami sort de l’ombre à ta place.
Une preuve tangible de la société qu’il était en train de construire et que nous construirons.
Un communiste avec les idées claires, un grand cœur et le fusil sur l’épaule. C’était, est et sera pour toujours le commandant Mozgovoy.
De nouveaux bras, de nouveaux esprits, feront avancer ta lutte, pour notre combat, pour une société plus juste, pour une humanité socialiste. No pasaran !
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29/05/2015
nos marquis et leur repli identitaire
http://tousensemble-90.blogspirit.com/archive/2005/06/20/les_ouistes_restent_en_tete.html#more
lundi, 20 juin 2005
Deux jours après la grosse baffe du 29 mai, Christine Ockrent tenait salon sur France 3. Tout l’ancien régime y était réuni, rose et poudré comme à Versailles, continuant à déguster du Oui comme Marie-Antoinette de la brioche : un maître-sondeur (Stéphane Rozès), un expert aux cheveux oxygénés (Pascal Perrineau), un directeur d’opinion (Serge July), un socialiste (Pierre Moscovici) et quelques autres qui leur ressemblaient comme deux gouttes de verveine. L’un parlait du « front de la conservation sociale » forgé par les électeurs du Non, un autre postillonnait sur leur « xénophobie », un troisième s’affligeait de l’ère glaciaire qu’allait connaître l’Union européenne. Leur baratin déjà mille fois ressassé, mille fois réfuté, et que les urnes venaient de disqualifier pour de bon quarante-huit heures plus tôt, ils nous le resservaient comme au premier jour, vivifié par leur appartenance toute neuve à une minorité rebelle quoique archi-dominante. L’esprit pionnier de Lafayette...
Cependant, nos marquis se targuant de causer au nom de la démocratie, au point de se confondre totalement avec elle, ils s’avisèrent que le « camp du Non » avait bien droit à un tabouret au bout de la table, près du rince-doigts en faïence et du crachoir Louis XV. Non bien sûr qu’il faille accorder le moindre crédit à ce que peuvent dire les vilains, les hétéroclites, les « extrêmes qui se touchent », les trop-Français, les pas assez-Français. Mais quand même, malgré les maladies vénériennes dont ils sont porteurs, malgré la bouse qui leur colle aux semelles, malgré leur rigidité fruste, leurs acquis sociaux fétides, leur peur irrationnelle du changement, ces gens-là existent. Rappelle-moi, ils ont même gagné une élection, non ? Alors il faut faire avec. Un peu, pas trop, presque pas. Juste assez pour égayer le banquet. C’est là où la décadence aristocratique toucha au sublime. Car qui reçut des mains de la douairière Ockrent le titre d’ambassadeur de la France des 55 % ? Sur quel bouffon l’amicale des seigneurs allait-elle se venger de la fronde référendaire ? Coupons court au suspens : Jean-Claude Mailly ! [1]Oui, le patron de Force Ouvrière. Petite chose toute molle, sauf le respect. Bonne tête à claque, piètre orateur. Chaque fois qu’il hasardait un mot sur la « dimension sociale » du vote, la dinde Ockrent lui volait dans les plumes en caquetant : « ah ça, mais !... » Le Mailly en était tout ébahi. Pas moyen de finir une phrase. Dès qu’il gonflait les joues, l’autre lui claquait le bec. On ne l’a même pas vu partir.
Ce qu’on a vu par contre, et avec fascination, c’est l’application avec laquelle les poudrés entreprirent de ne pas « se couper » totalement du peuple. Le peuple avait ses raisons, après tout. Dont une que l’on pouvait à la rigueur tenir pour légitime : l’impopularité de Raffarin. À ce propos, Moscovici relaya le message déjà martelé par Hollande : ce vote a été un vote de contestation contre Chirac et son gouvernement. Point final. Tu changes de président et de gouvernement, et tout baigne comme avant. Sous la conduite éclairée du PS, le peuple serait à nouveau sous contrôle. Pas une seconde l’idée ne les effleura que c’était aussi à leurs têtes de cons qu’on en avait, à leur bilan au pouvoir, à leur célébration du travail, à leur culte de la laideur, et puis à leurs pauvres mots tout creux, vidés de leur sens comme on éviscère un ortolan.
Mais la pire entourloupe était encore à venir. À peine assurée son repli (identitaire) dans ces maisons de maître que sont les plateaux de télévision, la Restauration sonna le tocsin de la guerre civile. Dans Le Nouvel Observateur (02/06/05), Jacques Julliard constata en avalant une bouchée de brioche : « La fièvre. La fureur. La rage. Un parfum de guerre civile. Une envie de lynchage sans que l’on sache encore qui en sera la victime. Paradoxe : des Français littéralement hors d’eux ont décidé de se replier sur eux-mêmes... » Dis, Jacquot, faut aller beaucoup au cinéma et avoir un joy-stick à la place du cervelet pour se mettre dans des états pareils. Le droit de vote, que beaucoup ont trouvé la ressource d’exercer à nouveau, un lynchage ? Et tu te demandes qui en sera « la victime » ? Mais c’est nous, ducon ! Le dindon de la farce, c’est évidemment tous ceux qui espéraient ou faisaient semblant d’espérer que voter non à une Constitution digne du règlement intérieur d’un centre commercial permettrait sinon de bloquer les caisses, du moins de les chahuter un peu. D’accord, on se doutait bien que ce chahut serait sans effet durable. Et même on était assez affranchi pour admettre les hypothèses les plus baroques, y compris Sarkozy remplaçant Villepin qui remplace Raffarin, oui, pourquoi pas ? Ils mettent des policiers partout en bas, normal qu’ils mettent des ministres de l’Intérieur partout en haut. On ne se faisait pas d’illusions. Mais de là à...
De là à métamorphoser le Non à l’Europe libérale en un Oui au libéralisme tricolore, c’était plus dur à faire passer. Politiques et médias s’y attelèrent dans les jours qui suivirent. On vit soudain une nuée de ballons étoilés se lever dans les airs : « lutte contre le chômage », « cent jours pour la confiance », « modèle danois », « flex-sécurité », « assouplissement du droit du travail », « période d’essai de deux ans » et même « quotas de l’immigration »... Sur les ondes, dans la seigneurie d’Arlette Chabot ou les boudoirs de France Inter, les consanguins se trouvèrent à nouveau réunis, non plus pour bavasser sur le Non, la fureur et la guerre civile, mais pour dénoncer le chômage, ce « mal français » qu’il urgeait de guérir à la racine, c’est-à-dire par la médéfisation du travail et des frontières. Les gens réclament moins de concurrence ? On les exauce en leur en donnant plus. Les chômeurs ont massivement rejeté le traité de Giscard ? On leur administre un concentré de giscardisme. Les pauvres réclament de la solidarité ? On leur répond « quotas » et « flexibilité ». Le pont-levis est fermé, les châtelains bien à l’abri. Tout autour, il n’y a plus qu’à chercher les fourches, les échelles, les catapultes et les feux grégeois.
Olivier Cyran CQFD
18:50 Publié dans MÉDIAS ET PENSÉE UNIQUE | Lien permanent
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28/05/2015
Il n'y a pas que l'UPR au monde ! En Italie il y a la Coordination italienne de la Gauche contre l’Euro
http://www.m-pep.org/Une-nouvelle-forme-d-organisation-po...
et en Espagne le Frente Civico Somos Mayoria, qui a signé à Assise la déclaration pour la sortie de l'UE de l'Euro et de l'OTAN :
http://es.wikipedia.org/wiki/Frente_Cívico_Somos_Mayoría
http://frentecivicosomosmayoriavalencia.wordpress.com/201...
"la actual Unión Europea es capaz de destruir Europa y reeditar las páginas más negras de nuestra reciente historia."
Et il y a Teresa Forcades et son "Procés Constituent" (en catalan ! langue qui a une littérature depuis le XIIIè siècle, plus vieux que le français) qui est pour la sortie de l'EURO et de l'OTAN :
http://fdg-info13.com/2013/10/30/t-forcades-et-e-vivas-en...
http://es.wikipedia.org/wiki/Procés_Constituent_a_Catalun...
rappel, la coordination d'Athènes http://www.regards-citoyens.com/article-les-partisans-de-... :
Lors du week-end des 30 novembre et 1er décembre 2013, des mouvements populaires et des économistes de tous les pays d’Europe et d’autres nations, ont tenu une réunion qui a connu un grand succès. La réunion a été organisée à l’initiative du Front unitaire populaire de Grèce (EPAM) sur les thèmes suivants : la dette, la monnaie nationale et la démocratie. Dès le premier jour de la conférence, il était clair que tous les participants avaient des idées communes permettant de construire une coopération étroite sur les questions suivantes :
1.- La dette a été imposée par les banques à travers l’euro qui emprisonne les nations et asservit les peuples.
2.- Quitter l’euro et rétablir les monnaies nationales est une condition de base pour reconquérir l’indépendance et mener des politiques de plein-emploi.
3.- Il faut quitter l’Union européenne dans les conditions précisées par l’article 50 du traité sur l’Union européenne.
4.- La démocratie apparait comme un enjeu majeur dans un environnement politique européen où les gouvernements de l’eurozone – et avant tout les élites de ces pays – imposent des politiques menant l’Europe à un nouveau système féodal dirigé par les marchés contre les intérêts des peuples.
L’euro, comme les autres unions monétaires, s’effondrera tôt ou tard. Plus vite chaque pays quittera l’euro et mieux ce sera.
Le dilemme auquel font face les peuples d’Europe est le suivant : ou la dictature des marchés, ou la démocratie et une économie basée sur les besoins des peuples.
La réunion a conclu ses travaux sur des perspectives ambitieuses :
a)- L’importante réunion de deux jours qui s’est tenue à Athènes marque le début d’une coopération stable et active entre les mouvements qui y ont pris part, dans le cadre du respect mutuel de l’identité nationale de chacun.
b)- Cette réunion est le commencement de la libération des peuples d’Europe, qui ont le droit de bâtir leur propre démocratie et leur propre économie.
c)- Les participants, bien qu’ils représentent des mouvements démocratiques, subissent l’omerta de tous les grands médias. Cependant, ils observent dans chaque pays que les mêmes grands médias donnent une large place aux partis d’extrême droite, organisant ainsi la confusion chez les citoyens en associant la nécessité de sortir de l’euro avec l’idéologie d’extrême droite.
d)- Tous les participants à cette réunion internationale se sont engagés (y compris l'UPR) à intensifier leurs efforts et à accroître le nombre de mouvements – dans toute l’Europe et dans le monde – selon les étapes décrites lors de la réunion d’Athènes.
Déclaration sans aucune ambiguïté signée par :
1.- Alza Il Pugno /Eurotruffa (Soulevez votre poing/ Eurotruffa) – Italie.
2.- Asociación Democracia Real Ya (Association démocratie réelle maintenant) – Espagne.
3.- Campaign for an Independent Britain (Campagne pour une Grande-Bretagne indépendante) – Grande-Bretagne.
4.- Economia Per I Cittadini (EPIC – L’économie pour les citoyens) – Italie.
5.- EPAM (Front unitaire populaire) – Grèce.
6.- IPU (Parti de l’indépendance) – Finlande.
7.- Mouvement Politique d’Émancipation Populaire (MPEP) – France.
8.- National Platform (Plateforme nationale) – Irlande.
9.- Per Il Bene Comune (Pour le bien commun) – Italie.
10.- Union populaire républicaine (UPR) – France.
Traduction en français assurée par le M’PEP. Source : communiqué de presse
Sur Wikipédia .....Partis politiques proposant la sortie de l'UE[modifier | modifier le code]
Article détaillé : Euroscepticisme.
En Autriche, la parti de gauche Euro-Austritt (Comité « Sortir de l’euro ») : Wilhelm Langthaler, Albert F. Reiterer.
En Espagne le Frente Cívico Somos Mayoría (FC – Front civique) de Manolo Monero Pérez.
En Finlande, le Parti de l'indépendance de Antti Pesonen souhaite le retrait.
En France, le Pole de renaissance communiste en France, le Mouvement politique d'émancipation populaire et l'Union populaire républicaine8 souhaitent la sortie de la France de l'euro et de l'Union européenne. Le Front national, à l'inverse, propose de renégocier les traités, à l'instar des partis européistes ou alter-européistes9. Ainsi que par le M'PEP, présent à Assise
En Grèce, le retrait est souhaité à gauche par l'EPAM (Front populaire uni) et le Parti communiste, à droite par Aube dorée.
En Italie, cette tendance est incarnée par le parti Pour le bien commun et la Coordinamento nationale sinistra contro l’euro (Coordination nationale contre l’euro) : Moreno Pasquinelli, qui s'est prononcé pour la sortie de l'UE lors de la rencontre d'Assisele 23 août 2014 (voir Déclaration d'Assise.
Au Royaume-Uni par le Parti pour l'indépendance du Royaume-Uni.
Aux élections européennes 2014, en France l'UPR, en Grèce l'EPAM et en Finlande le parti d'Antti Pesonen présentent des listes de candidats sur la base de ce programme de retrait.
(attention ! je ne sais pas combien de temps encore l'UPR tolérera qu'on parle des autres partis pour une sortie de l'UE sur son site ! ... rien de pire que la jalousie et l'exclusivisme)
en tous cas le parti autrichien est à l'oeuvre ! http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/initi...
et en France des déçus de l'UPR (qui avait suscité un tel espoir, et qui déçoit maintenant beaucoup, au point qu'on se demande, sera-t-il sauvé, ça serait vraiment triste qu'il se casse la gueule pour de mesquines querelles d'ego et des réflexes d'autoritarisme pas vraiment congruents avec les valeurs de l'UPR ! le salut de la France et de nos libertés, et des principes de République, de services Publique, de démocratie réelle dépendent de son succès ceux qui auront été son fossoyeur, si c'est ce qui arrive, en seront tenu responsables devant l'histoire !) des déçus dont veulent créer un autre parti, qu'importe le flacon pourvu qu'on aie l'ivresse, qu'importe le leader pourvu que la France SORTE DE L'UE, de lEURO et de l'OTAN ! http://sylvain-baron.blogspot.fr/2015/05/un-nouveau-parti...
le prochain rassemblement sera de nouveau à Athènes et en juin prochain, les 28 et 29 juin 2015 http://www.antieu-forum.org/index.php
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19/05/2015
Giscard censuré ! même lui maintenant ! La presse "voix de nos maîtres" ne nous en parle pas !!! - GISCARD ! UNE VRAIE BOMBE !
voici ce qu'en dit la PRAVDA dans son édition en anglais :
Recently too we had some good news finally coming from France. Former president Giscard d'Estaing, elected in 1974, who was then running the third most important country on earth (now hardly the tenth, yet the most submitted to American-Saudi 'axis of evil'), was interviewed by the pro-American review International politics (N°146). The interview was so strategically incorrect and subversive that it was reduced to silence in that neo-totalitarian state we called once the French Republic. I discovered this interview thanks to Russian friends. It is important to mark that the journalist was an aggressive and biased ignoramus, an insolent asset because our ex-president was not advocating for the third World War against Russia.
http://english.pravda.ru/opinion/columnists/26-05-2015/13...
Et pas même le journal où travaille l'intervieweuse Isabelle Lasserre : le Figaro, n'en parle pas !
Elle a interviewé Giscard, or celui-ci à côté de propos auxquels on pouvait s'attendre chez lui, toujours pro-réaction capitaliste ! et pro européiste sur la question de la Crimée et de l'Ukraine, tient des propos qui ne sont pas du tout ceux que l'intervieweuse attendait (c'est sans doute pour ça que l'interview a été black-outé en France !!
Interview de Giscard. Dans le climat politicien actuel c'est une bombe.
Bien sûr le même discours réac-capitaliste, toujours les "réformes", et toujours européiste, mais à la question sur la Crimée il répond, tenez-vous bien !
I. L. – Quel regard portez-vous sur l’annexion de la Crimée et la déstabilisation de l’est de l’Ukraine par la Russie ?
V. G. E. – Concernant le retour de la Crimée en Russie, très franchement, je l’ai jugé conforme à l’Histoire. J’ai relu des livres décrivant l’histoire russe du XVIIIe siècle. La Crimée a été conquise sous le règne de Catherine II, avec l’action prédominante du prince Potemkine, lorsque la Russie descendait vers le sud en direction de la Turquie dans l’idée de reconquérir Constantinople. La conquête de la Crimée fut assez dure. Elle ne s’est pas faite au détriment de l’Ukraine, qui n’existait pas, mais d’un souverain local qui dépendait du pouvoir turc. Depuis, elle n’a été peuplée que par des Russes. Quand Nikita Khrouchtchev a voulu accroître le poids de l’URSS au sein des Nations unies qui venaient de naître, il a inventé l’Ukraine et la Biélorussie pour donner deux voix de plus à l’URSS, et il a attribué une autorité nouvelle à l’Ukraine sur la Crimée, qui n’avait pas de précédent. À l’époque, déjà, je pensais que cette dépendance artificielle ne durerait pas. Les récents événements étaient prévisibles. D’ailleurs, le retour de la Crimée à la Russie a été largement approuvé par la population. Ce n’est que lorsque les problèmes se sont étendus à l’est de l’Ukraine qu’on s’en est inquiété…
mais c'est pas tout !
encore mieux (remarquez la haine très orienté propagande du journaliste, à laquelle s'oppose - sur ce sujet là ! - un attitude nettement plu sereine de Giscard
I. L. – De nombreux analystes et responsables politiques plaident pour une plus grande compréhension à l’égard de Vladimir Poutine. Bien que vous ayez toujours été un partisan de la détente vis-à-vis de Moscou, à l’époque de la guerre froide comme aujourd’hui, acceptez-vous qu’on puisse ainsi violer le droit international et déstabiliser un pays ?
V. G. E. – Les règles conventionnelles adoptées lors de la paix de Westphalie en 1648 posaient le principe du respect de la souveraineté nationale et des frontières. En vertu de ce principe, certains estiment que l’Ukraine doit absolument conserver la totalité du territoire qui était le sien au moment de son indépendance en 1991. Mais n’oublions pas que la décomposition de l’URSS s’est faite dans la débandade et a provoqué un émiettement des frontières! La méthode de Vladimir Poutine aurait pu être différente. Mais, aujourd’hui, la question de la Crimée doit être laissée de côté. Celle de l’Est ukrainien est, en revanche, plus difficile. N’oubliez pas que l’Ukraine a longtemps été russe, Kiev fut la capitale de la Russie. Lorsque, ministre des Finances, je suis allé en Union soviétique à la demande du général de Gaulle, j’ai été reçu par Khrouchtchev à Kiev…
Pour y voir vraiment clair, il faut se demander ce qui s’est réellement passé il y a un an dans la capitale ukrainienne. Quel rôle la CIA a-t-elle joué dans la révolution du Maïdan ? Quel est le sens de la politique systématiquement anti-russe menée par Barack Obama ? Pourquoi les États-Unis ont-ils voulu avancer leurs pions en Ukraine ? Existe-t-il un lobby ukrainien influent aux États-Unis ? Les Américains ont-ils voulu compenser leur faiblesse au Moyen-Orient en conduisant, sur le continent européen, une politique plus dure contre la Russie ?
ouah ! Giscard déballe tout ! étonnant de sa part ! se sentirait-il comme Mitterand avant de mourir )
et il enfonce le clou !
"il faut reconnaître que la transition ukrainienne a un aspect peu démocratique
"la politique de sanctions visant la Russie – une politique qui a enfreint le droit international
"L’Ukraine telle qu’elle est n’est pas en état de fonctionner démocratiquement.
"Ce qui est sûr, c’est que l’Ukraine n’entrera pas dans le système européen : c’est impossible ! Elle n’a ni la maturité économique ni la pratique politique nécessaires.
même giscard, qui était pourtant un sacré traître, un grand bourgeois européiste et atlantiste du temps de De Gaulle - mais c'était il y a une génération maintenant et par rapport à maintenant il était resté "gaulliste" en même temps, comme la politique étrangère française l'est plus ou moins resté longtemps, l'évolution à 180% a été progressive - par rapport aux larbins atlantistes qu'on a maintenant giscard, tout atlantiste libéral qu'il était était fait figure de patriote anti-impérialiste face à cette lamentable marionnette qu'est le "socialiste" Hollande c'est là qu'on voit à quel point le climat a changé à vitesse grand V depuis 40 ans ! - se met à tenir (sur ce sujet !) des propos sensés et avec un "point de vue élevé" comme les aimait le Général ("prenez toujours le point de vue le plus élevé, car c'est l'endroit le moins encombré"). Quand on compare avec le discours propagandiste de taureaux décérébrés et dicté par l'OTAN, que tiennent les autres "kapos" des diverses baraques du camp, quel contraste !
et même sur l'UE il a l'air sinon sceptique au moins d'un réalisme qui serait interdit d'expression de nos jours ! (et encore remarquez le contraste avec l'ardeur militante et "mougeon" de l'intervieweur,un vrai cas d'école !)
I. L. – Sur la place Maïdan à Kiev, des Ukrainiens sont morts en défendant les valeurs européennes et en brandissant le drapeau de l’Union. Est-il possible de décevoir l’enthousiasme de ces hommes qui regardent vers nous avec autant de confiance ?
V. G. E. – Les aspirations européennes de Kiev étaient un songe. Comme ils n’entrevoyaient aucune perspective, il fallait bien que les Ukrainiens rêvent de quelque chose. Mais soyons réalistes : les Hongrois, qui sont dans l’Europe, n’en veulent plus, et l’Union, après sept ans, n’a pas réussi à régler de manière satisfaisante l’intégration de la Bulgarie et de la Roumanie…
et vlan !
(par contre sur la Syrie il n'a pas compris ce qui se passe ! (ou fait semblant ?) ses ressources intellectuelle s'arrêtent là)
l'entretien complet est là :
http://lesakerfrancophone.net/valery-giscard-destaingla-f...
http://fortruss.blogspot.fr/2015/03/giscard-destaing-crim...
http://www.politiqueinternationale.com/revue/article.php?...
rappelons les propos de François Asselineau "voilà ce qui favorise la paix, ce sont les échanges avec tous les peuples du monde sans distinction nauséabonde entre ceux qui appartiendrait à l'Europe et ceux qui n'en feraient pas partie !"
au fait, un rappel sur l'origine du putsch fasciste en Ukraine (baptisé "révolution" par ses commanditaires) : http://fr.sputniknews.com/international/20150420/10157465...
un autre rappel les sondages montrent que 84% des russes sont satisfaits de Poutine, combien de français sont satisfaits de Hollande ? 14%
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18/05/2015
conditionnement toujours et toujours un peu plus et encore et encore, on vous serre encore et encore plus le kiki
débile ! toujours plus de conditionnement, de terrorisme en fait, terrorisme intellectuel si on veut, mais dont le but est de faire rêgner dans les esprit une ambiance de terreur, de culpabilisation obsessionnelle, comme autrefois avec le Diable, le Péché, ou la sorcellerie ! il faut petit à petit à force de matraquage obsessionnel habituer les gens à l'ascétisme, à toujours plus d'ascétisme, les habituer, les veaux, à bien obéir, et à se sentir constamment surveillés, à s'auto-surveiller, à avoir honte de soi et de ses éventuelles envies, on est dans le conditionnement autrefois des calotins et des confesseurs qui habituaient les gens à se sentir coupables de partout, à avoir peur à tout instant de la tentation et du diable, et là aussi à bien SE PRIVER de tout et à bien obéir à "ceux qui savent".
C'est une nouvelle idéologie totalitaire qu'on est en train de construire sur notre dos et qu'on essaye d'injecter jusqu'à la moelle de nos os.
très mauvais tout ça.
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12/05/2015
l'argent comme facteur coercitif universel
01/05/2015
"Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde." (Albert Camus)
En Roumanie le SEUL parti qui soit de gauche est le parti Partidul poporului
http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_populaire_-_Dan_Diacon...
c'est le seul à demander la hausse des retraites et des aides sociales, c'est également le seul à soutenir la collectivisation de l'agriculture, et la fondation d'entreprises publiques avec des dirigeants directement élus.
réaction de la "communauté internationale" ? à savoir la doxa de nos maîtres qui dicte la manière de rédiger la Wikipédia, le qualifier de "populiste" ( du latin populus, c'est à dire du grec démos, ce qui veut donc dire, etymologiquement, "démocrate" remarquez !) et de "nationaliste" (bof ! Chavez aussi est nationaliste, et De Gaulle à la tête du CNR de 1944 aussi )
Mais si on raisonne en termes clairs cartésiens (cf http://miiraslimake.hautetfort.com/archive/2015/02/19/une-analyse-magistrale-definitive-pour-comprendre-les-2-siec-5560676.html ) et de bon sens :
est de gauche un parti si, et seulement si, il défend les classes populaires contre les classes exploiteuses, et vise à l'instauration radicale ou réformiste, du socialisme (c. à d. je le rappelle, là aussi on appelle les choses par LEUR NOM, la propriété collective des moyens de production, et l'abolition de l'exploitation de l'homme par l'homme). Donc le parti Partidul Poporului est, et est le seul dans ce cas en Roumanie, un parti de gauche.
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30/04/2015
quand on y pense bien, et vu la situation actuelle (TAFTA, agression sur l'Ukraine, leur rôle dans l'UE, Snowden, etc) ça serait une bonne idée
https://plus.google.com/+michèlemisseminiNourry/posts/RDK...
oui ! je crois qu'il faut en venir là
on point où on en est c'est une réplique qui s'impose, et la seule défense efficace.
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l'ultra-libéralisme, en réalité le néo-féodalisme